Hommage aux célébrités disparues.

Par Clodisa il y a 5 années 10 mois
24/04/2021 - 18:44

 J'aimais beaucoup Yves RENIER, son rôle de Commissaire Moulin Il nous restera ses films.
Merci Victoria pour cet hommage
24/04/2021 - 17:54
Certains journaux annoncent son décès , d'autres parlent d'une rumeur ......

J'ai fait un sujet sur Yves RENIER , mais dans le doute ....



Je l'ai posé sur : « Acteurs , Actrices , Musiciens, Imitateurs »



On n'est pas couché avec : Yves Renier
son Livre "Et si je m'étais trompé de vie"
8 novembre 2008 Laurent Ruquier avec Eric Zemmour & Eric Naulleau France 2


Panique dans l'oreilletteYves Rénier
Présenté par Frédéric Lopez
15 novembre 2008
France 2
08/04/2021 - 00:44
Le couturier Max Chaoul est décédé

Max  CHAOUL  s'est éteint  le 1er décembre ,des suites d'un cancer foudroyant à l'âge de 70 ans.

"Cette étoile de la couture, qui a habillé des milliers de femmes à Lyon, à Paris et dans le monde entier est partie",

annoncent ses proches sur la page officielle de son compte Facebook.


"Il a su donner ses lettres de noblesse à la robe de mariée, c’est pour cela que la maison Max Chaoul et son équipe continueront de faire briller ses idées et son talent en hommage à ce grand créateur",
est-il encore écrit dans le message .

Le styliste lyonnais avait acquis sa renommée,
en effet, dans les années 1990, en se spécialisant dans les robes de mariées, séduisant de nombreuses stars.


Fils de détaillants, le jeune Max Chaoul s’oriente d’emblée vers le secteur de la mode et la création.
Immergé dès l’enfance dans les soyeux tissus, précieuses matières des vêtements qui garnissent les portants du premier magasin de
prêt-à-porter de sa mère, Grande rue de la Guillotière, Max donne à huit ans son premier coup de ciseau dans la robe d’une cliente en plein essayage !

Stupéfaction et admiration des parents qui ouvrent en 1963 deux boutiques rue Victor Hugo, ' Cécilie et Marie-Mag’.

Pensionnaire avec Alain, son frère à Notre-Dame de Mongré à Villefranche-sur-Saône, le jeune Max noircit ses carnets de croquis de costumes, sans déroger à la sacro-sainte discipline de l’établissement choisi par Simone et Daniel Chaoul, pour inculquer à leurs enfants les vertus de l’exigence et de la persévérance.

Terminer leurs études secondaires à Lyon donne l’opportunité aux deux frères de gagner leur argent de poche en faisant des concours de vente de manteaux le samedi, dans les deux magasins de prêt-à-porter de leurs parents.

L’un reprendra l’une des boutiques familiales, l’autre deviendra un créateur d’envergure internationale.




Après avoir fait ses classes auprès de grands noms comme Agnès b. ou Jean-Charles de Castelbajac,
il s’associe à la marque de prêt-à-porter féminin lyonnaise Christian Josse.

Puis, dans les années 1976,
il ouvre une boutique à Lyon baptisée Clémentine, prenant le prénom d’une acheteuse, devenue sa compagne et égérie,
avec qui il va créer sa première marque.



En 1993,
la marque connaît des difficultés financières et est liquidée.

Max Chaoul redémarre alors à zéro en créant des modèles en free-lance pour d’autres marques et pour ses clientes.

Face à l’engouement pour ses robes de mariées, il fonde la maison qui porte son nom en 1994 en se spécialisant sur ce créneau.

Le styliste transforme son appartement en showroom, puis en boutique.
     Le succès est à nouveau au rendez-vous.

L’offre s’élargit au robes de cocktail et du soir, au prêt-à-porter et au sur-mesure, ainsi qu'aux chaussures, bijoux et accessoires et il ouvre une adresse à Paris.

Après une dizaine d’années, la maison est à nouveau confrontée à des difficultés.

Elle est placée en redressement judiciaire en 2013, puis liquidée.
      Un an plus tard, Max Chaoul parvient néanmoins une fois de plus à rebondir.
Il obtient auprès du tribunal le droit de réutiliser son nom et celui de sa marque et reprend son activité.

Pour fêter ses 25 ans de création, la maison Max Chaoul Couture avait sorti cette année une collection spéciale,
baptisée "Vingt sur Vingt". 

Depuis l’ouverture de son premier showroom à Lyon, le créateur a réalisé plus de 3.000 robes de mariées.


© 2021 FashionNetwork.com

2013 2015






Le créateur lyonnais est décédé
© MAXPPP

Il a été six fois sacré « meilleur créateur ».
Très renommé pour ses créations d’exceptions, il est très demandé jusqu’aux réalisateurs de films.



Avec Max Chaoul, la mariée n’est jamais trop belle, voire rebelle…
Corsetée de cuir brut rebrodée de dentelle, auréolée de soies lyonnaises et d’organza ciselés de papillons ou de fleurs pastelles… Fatale ou réservée, sauvageonne ou rock…mantique, la femme reste l’éternelle muse du couturier élu à maintes reprises meilleur
créateur français de robes de mariées.


« Une robe est d’abord le fruit d’une rencontre, d’un échange, elle doit transcender la personnalité de la jeune femme que je m’attache à saisir pour mieux la sublimer »,
confie-t-il l’œil pétillant.

- Pour le lauréat du Meryl Award de Venise en 1999,
- du Couture Bridal Awards de New York en 2001 et
- du Wedding Trends Awards de Paris en 2003,
        créer la robe du plus beau jour de notre vie, se veut un acte d’amour


Max Chaoul Tous les Secrets du Style de Fabienne Gay Jacob Vial (R.B Les Editions)







Max Chaoul aurait fait le bonheur de pas moins de 3000 futures mariées depuis la création de sa griffe, dont Alessandra Sublet et
Mélissa Theuriaux .
Le couturier habillait aussi les stars, pour la montée des marches du Festival de Cannes ou leur promotion dans les médias.

Parmi les célébrités ayant fait appel à ses services :
- Kate Winslet,
- Beyoncé,
- Elisa Tovati,
- Adrianna Karembeu,
- Vanessa Paradis,
- Isabelle Adjani ,
- Kylie Minogue,
- Séverine Ferrer,
-Hélène Ségara

Côté cinéma, il avait créé les robes de mariée aperçues par les spectateurs dans le film à succès:
- " Qu'est -ce qu'on a fait au bon Dieu ?"





Le couturier lyonnais Max Chaoul, spécialisé dans les robes de mariés, est mort mardi 1er décembre 2020.
Sa boutique historique du couturier est située rue François Dauphin à Lyon (Rhône). (©Google street view)


Il est inhumé à Champagne au Mont d’Or


06/04/2021 - 02:42
Patrick Juvet
est un  chanteur - compositeur suisse ,

né le 21 août 1950 à Montreux (Suisse)
et
découvert mort (depuis moins de trois jours) le 1er avril 2021 à Barcelone (Espagne) .



Brièvement mannequin,
il connaît le succès en tant que chanteur dans les années 1970 avec des titres de variété française puis de disco ,
dont  I  LOVE  AMERICA  qui parvient à se classer dans plusieurs pays européens.



Patrick Juvet naît le 21 août 1950 à Montreux et grandit à La Tour-de-Peilz , dans le canton de Vaud en Suisse.

Le lieu d'origine de la famille Juvet est Fleurier au Val-de-Travers. 

Son père Robert Juvet possédait un commerce de radio et télévision, ce qui permettra à Patrick d'obtenir tous les disques américains.
-  Sa mère, Janine Juvet, née Féty, est d'origine française et naturalisée suisse.
Avec elle, il a une relation fusionnelle jusqu'à sa mort, le 17 décembre 2017, à l'âge de 89 ans.

© BOWEN / BESTIMAGEPatrick Juvet aux côtés de sa mère, Janine, en 1994.

Elle a fait de la politique en Suisse, comme députée du Grand Conseil du canton de Vaud * de 1982  jusqu'en 1989 où elle démissionne , mais aussi conseillère communale * de La Tour-de-Peilz de 1966 à 1985 et présidente en 1981, avec les radicaux  avant d’entrer à la Croix-Rouge suisse  .
(* Le Grand Conseil du canton de Vaud est le parlement mis en place lors de la création du Canton de Vaud en
1803. À l'origine, cette assemblée législative comptait 180 députés. Ce nombre a par la suite fluctué, pour atteindre un maximum de 237 députés en 1921, puis retomber à 180 en 2000. Depuis 2007, le législatif compte 150 députés.)

(*Dans le système fédéral suisse, le pouvoir législatif au niveau communal est exercé directement par le peuple ou par le biais d'un organe élu. La dénomination varie de canton à canton, voire de commune à commune au sein d'un même canton.)

- Il a un frère et une sœur.

Il entre au conservatoire de Lausanne  dès l'âge de 6 ans, dans la classe de piano où il obtient un premier prix.

Il poursuit ses études à l'école des arts décoratifs jusqu'à 17 ans lorsqu'on lui propose de remplacer un mannequin pour une agence en Allemagne à Düsseldorf.

À 18 ans, il est remarqué par une agence allemande de mannequin pour qui il travaille pendant deux ans .

En décembre 1968, il participe à un concours local en Suisse La Grande Chance où paraît un article sur les candidats dans
le Journal d'Yverdon.
Le journaliste tient cette appréciation :
- « le niveau général était à vrai dire assez moyen. Pourtant quelques-uns ressortaient du lot.
Patrick Juvet de la Tour-de-Peilz a présenté une chanson de sa composition en s'accompagnant au piano.
Si la mélodie est très « accrocheuse », les paroles paraissent un peu trop facile, dommage ».



En 1971, Patrick Juvet quitte son emploi et part pour Paris rejoindre Pascal Maignant, son compagnon et futur agent,
où il persuade l'attachée de presse Florence Aboulker *(1934-2002) de faire reconnaître son talent de compositeur.

(Florence Aboulker née le 7 .10.1934 et morte le 28.08.2002 est une romancière et productrice française.Elle est l'auteur de plusieurs romans de La Galère (1975) à L'Étrange Peine (1990), en passant par son plus gros succès, La Femme-tendresse (1984).)

Elle le présente à  Eddie Barclay  qui produit Romantiques pas morts, un premier 45 tours dans la même année,
puis La musica qui sort en mai 1972 et se vend à plus de 300 000 exemplaires.






Patrick Juvet compose alors  LE  LUNDI  AU  SOLEIL  interprété par  Claude François , qui est un immense succès.

Avec entre autres Véronique Sanson et Alain Chamfort,
il fait partie d'une nouvelle génération qui compose des chansons originales contrairement aux YÉYÉS  qui proposaient surtout des reprises de tubes américains.


Le 16 février 1973, lors d'une sélection nationale télévisée à Berne .
Patrick Juvet est choisi, parmi dix candidats, pour représenter la Suisse au Concours Eurovision de la chanson avec le titre
« JE  VAIS  ME  MARIER  , MARIE»  qu'il a lui même composé sur un texte de Pierre Delanoë .

Le 7 avril, au terme du Concours qui se déroule à Luxembourg, il termine à la 12e place sur les 17 pays participants.

L'album LOVE , sorti la même année, est suivi de RAPPELLE- TOI MINETTE , l'un des titres emblématiques de Juvet :
   en effet, il se considère alors comme un « chanteur à minettes »




En décembre,
il présente lors d'un MUSICORAMA * à l' Olympia  un show d'avant-garde inspiré par les stars et
la mode GLAM  ROCK * anglo-saxonne.

(* Musicorama est le nom d'un spectacle musical présenté le plus souvent à l'Olympia de Paris, entre 1957 et 1975, organisé et diffusé par Europe 1. Il accueille des grands noms de la chanson française et de nombreux représentants des variétés internationales.)
(*Le glam rock, aussi appelé glitter rock, est un genre de rock qui s'est développé au Royaume-Uni dans les années 1971-1975, et a perduré jusque dans les années 1980. Par certains aspects, il est précurseur du mouvement punk, qui est apparu en 1977. À l'origine, le glam rock est considéré comme un mouvement purement britannique, avec pour principaux représentants T. Rex, David Bowie,
Gary Glitter et Roxy Music mais certains musiciens américains comme les New York Dolls et Lou Reed ont aussi fait une incursion dans ce style.)


Dans un nuage de fumée, il chante maquillé à la Ziggy Stardust *.
(
Ziggy Stardust est un personnage fictif conçu et interprété par David Bowie au début des années 1970.)


Impressionné par la forte personnalité de son choriste Daniel Balavoine * , il lui permet en 1974 de co-signer son nouvel album Chrysalide.
Il contribue à lancer la carrière du chanteur, alors inconnu, en lui laissant interpréter la chanson COULEURS d' AUTOMNE  *
(Couleurs d'automne est une chanson écrite, composée et interprétée par Daniel Balavoine.)
(Daniel Balavoine est un auteur-compositeur-interprète et musicien français, né le 5 février 1952 à Alençon (Orne) et mort le 14 janvier 1986 aux environs de Gourma-Rharous (Mali).)

En 1975, il traduit le "Only Women Bleed * " d'Alice Cooper *  en " J'ai peur de la nuit."
(Only Women Bleed est une chanson écrite par Alice Cooper et Dick Wagner et interprétée par Alice Cooper en 1975. Dick Wagner avait fait écouter à Alice Cooper une ballade qu'il avait écrite en 1968. Le chanteur appréciant particulièrement la musique écrivit, en vingt minutes, de nouvelles
paroles. La chanson évoque la détresse et la souffrance psychologique des femmes battues suite aux humiliations et violences qu’elles subissent de la part de leur compagnon.)

( Alice Cooper, nom de scène de Vincent Damon Furnier, né le 4 février 1948 à Détroit (Michigan), est un chanteur et auteur-compositeur-interprète de hard rock américain, dont la carrière s'étend sur plus de cinq décennies. Son attitude et son apparence, ainsi que ses mises en scène
incluant entre autres guillotines, chaises électriques, faux sang, serpents, poupées et sabres, lui valent d'être reconnu comme le principal père du shock rock. Il s'est inspiré des films d'horreur, du vaudeville, et du garage rock, mais aussi d'Halloween, pour créer ce nouveau genre de rock, macabre et théâtral, dont le but est de choquer.)


Patrick Juvet en 1976.

La même année, il rencontre un jeune parolier, Jean-Michel Jarre *, dont il a déjà enregistré quelques titres.
(
Jean-Michel Jarre, né le 24 août 1948 dans le 4e arrondissement de Lyon, est un auteur-compositeur-interprète français, surtout connu pour son travail dans la musique électronique. Il a vendu plus de 85 millions de disques au cours de sa carrière.)

De cette collaboration fructueuse, naissent 21 titres, dont "Magic, Faut pas rêver "
et surtou"  Où sont les femmes ?" classé no 6 en France) de l'album Paris by Night.





En 1978, il s'installe à LOS  ANGELES .
À  NEW YORK, il rencontre des producteurs .
D'une conversation naît une collaboration entre ces trois hommes pour trois albums  :
c'est la naissance de  I LOVE  AMERICA .
Le titre se classe dans plusieurs pays, notamment en :
- France (no 10),
- au Royaume-Uni (no 12),
- en Espagne (no 29) et
- en Italie (no 10).


L'année suivante, il publie l'album Lady Night, un autre album Disco  , et se produit à l'Olympia.



Au début des années 1980 ,
sort l'album rock en anglais Still Alive, suivi de Rêves immoraux, qui ne rencontrent pas le succès escompté.

Avec la baisse de ses ventes et de sa notoriété, Patrick Juvet sombre dans la drogue et l'alcool.


 Barclay réédite une compilation de ses principaux succès.

En 1993, il s'essaye à la techno avec Deep Dark Night et reprend une tournée en discothèque.


En 2002, il écrit Je rêve pour  Hélène Ségara .

En 2005, il publie ses mémoires Les Bleus au cœur, où il raconte son succès, son déclin et sa lutte contre ses addictions.


En 2008, il fait partie d' ÂGE TENDRE , LA TOURNÉE DES IDOLES  saison 3 pour 200 dates.

En mai, une triple compilation, Les 50 plus belles chansons, sort chez Universal.

La même année, il est invité à la soirée inauguration du Nouveau Palace 

Le Palace est une salle de spectacle parisienne située 8, rue du Faubourg-Montmartre dans le 9e arrondissement et qui, entre autres, fut de 1978 à 1995 un club parisien très en vogue dans la culture underground.

Il participe à nouveau en 2009, 2011, 2014 et 2018 à la tournée ÂGE TENDRE ET TÊTES DE BOIS 
.
Âge tendre, la tournée des Idoles, souvent appelée Âge tendre et anciennement Âge tendre et têtes de bois, est une tournée musicale d'artistes de variétés ayant débuté leur carrière dans les années 1960 et 1970.




VIE  PRIVÉE :
 En 2012, il indique dans une interview ( Patrick Juvet était  bisexuel )
« Je suis surpris que ce sujet reste un tabou. Depuis quarante ans, les mentalités n’ont pas évolué. »

Dans l'émission VIE PRIVÉE , VIE PUBLIQUE ,
il confie en 2010, que le grand amour de sa vie est Florence Aboulker , du moment qu'il l'a connue vers l'âge de 20 ans jusqu'en 2002, date de sa mort.
Qu'en plus de l'amour, c'était une amie et une sœur, et qu'il n'a jamais vécu cela avec une autre femme ou un homme.

Il s'installe à  Barcelone en Catalogne  au début des années 2000.

Le 1er avril 2021,
son agent Yann Ydoux annonce à l'AFP la mort de Patrick Juvet, mais sans en préciser la date, indiquant qu'il a été retrouvé mort dans un appartement de Barcelone  et que les causes de la mort ne sont pas directement connues :
    « Il y aura une autopsie, je l'avais eu au téléphone il y a trois jours, je l'avais trouvé bien ».

Selon sa volonté, il sera incinéré à la suite de ses obsèques
.
Publication[autobiographie] :
Les Bleus au cœur



05/04/2021 - 16:41
  MERCI VICTORIA POUR TOUS CES RENSEIGNEMENTS ET PHOTOS.
JE NE SAVAIS PAS SON NOM , NI QU'IL ÉTAIT MORT !!!C'EST QUAND J'AI VU SA PHOTO QUE JE L'AI RECONNU.
MES CONDOLÉANCES À SA FAMILLE. 
05/04/2021 - 16:30
Gérard Filippelli, dit Phil,
est un :
- acteur ,
- compositeur ,
- scénariste et
- producteur français
né le 12 . 12. 1942  à  Paris dans le 14e arrondissement
et mort le 30 mars 2021 à Argenteuil.


Gérard Filipelli, membre emblématique de la troupe comique Les Charlots, est mort à l'âge de 78 ans  ce mardi 30 mars.
Cette joyeuse bande était composée de :
- Gérard Rinaldi,
- Gérard Filippelli,
- Jean-Guy Fechner,
- Luis Rego,
- Richard Bonnot et de
- Jean Sarrus, le dernier membre encore en vie.

Celui-ci n'a pas caché son émotion.
"On a passé cinquante ans ensemble ! Phil était un amoureux fou de la musique et un excellent guitariste,"
se souvient-il. Et d'ajouter :
"C’était l’insouciance et la gentillesse. On s’est beaucoup amusé ensemble."

Jean Sarrus se souviendra donc de ces scènes partagées à travers la France, de ces tubes à l'instar de
L'apérobic, parodie de l'émission GYM TONIC de Véronique et Davina, et même de leurs nombreux sketchs.

  
Jean-Guy Fechner* ,Gérard Filippelli, Jean Sarrus* et Gérard Rinaldi* en 1974.

(
Jean Sarrus est un comédien, réalisateur et musicien français né le 11 mai 1945 à Puteaux.)
( Gérard Rinaldi, est un acteur, chanteur, parolier, musicien et directeur artistique français, né le 17 février 1943 dans le 14e arrondissement de Paris et mort le 2 mars 2012 à Fontenay-lès-Briis (Essonne).)
( Jean-Guy Fechner, né le 2 mars 1947 à Agen, est un acteur, humoriste, compositeur, batteur et producteur français. Il est le frère du producteur Christian Fechner et le père du producteur Sébastien Fechner. Il a été membre des Charlots de juin 1966 à
juin 1976 et de 2014 à nos jours.)




Gérard Filippelli


En  1964 à Chateauroux , il achète un ampli pour 500 Frcs de l'époque à un soldat américain.

En 1966, il est ouvreur de rideaux au cinéma Grand Rex *, et Jean Sarrus et Gérard Rinaldi  le rencontrent et lui proposent de leur donner un coup de main pour faire le régisseur de son dans leur groupe.

(*Le Grand Rex est une salle de cinéma et de spectacle parisienne.)

Jean Sarrus :
Les circonstances de sa rencontre avec Gérard Filippelli
.
"On répétait sous le cinéma le Grand Rex avec Gérard Rinaldi et Luis Rego et il nous manquait un guitariste. Dans le groupe qui répétait avant nous, on a remarqué un certain « Phil », qui coupait la lumière quand son chanteur chantait faux. On lui a proposé de nous rejoindre" .

Gérard Filippelli  a été l'un des membres du groupe  Les Problèmes   à la guitare solo puis membre de l'équipe des Charlots *
de la fondation du groupe jusqu'en 1997 :


Dès le milieu des années 1960, il participe à ce qui deviendra la genèse des Charlots
Avec ses compères , ils lancent le groupe Les problèmes.
Avec de belles références à leur palmarès, assurant des premières parties mythiques,
comme celle de Johnny Hallyday ou encore Claude François.

(
Les Charlots sont un groupe musical et humoristique français formé en 1966, composé
principalement de Gérard Rinaldi, Gérard Filippelli, Jean Sarrus, Jean-Guy Fechner, Luis Rego, et Richard Bonnot)


D’abord accompagnateurs du chanteur Antoine sous le nom de « Problèmes », ils deviennent « Les Charlots » en 1966 et se font connaître du grand publicavec des parodies et des chansons paillardes, avant de se lancer sur le grand écran.

Leur aventure débute lorsque Jean-Guy Fechner remplace Donald Rieubon à la batterie.

C’est le temps des tubes et des parodies.

Le temps du « chagrin d’labour », de « La Trompette en bois » et de « Paulette, la reine des paupiettes ».




Les Charlots et Gérard Filippelli se tournent vers le cinéma.
    Aux côtés notamment de Claude Zidi, auprès de qui ils tournent Les bidasses en folie, Les Fous du stade (1972) ou encore Le Grand Bazar (1973).

En 1970, sa conjointe meurt dans un accident de voiture.

En 1976, Gérard Filippelli décide de quitter le groupe.

Filippelli revient finalement un an plus tard, en 1977.

Ils ne sont plus que trois après le départ de Jean-Guy Fechner.

Ils fondent leur propre maison de production et renouent avec le succès.

Un énorme succès, en musique et dans les salles de cinéma
(Les Charlots en délire, Les Charlots contre Dracula, Le Retour des bidasses en folie).

Avant un déclin, jusqu’au milieu des années 1990.

C’est à ce moment-là que Gérard Filippelli quitte le groupe, ne participant pas aux futures reformations du groupe.



Il meurt d'un cancer à l'hôpital d'Argenteuil, le 30 mars 2021, à l'âge de 78 ans.


Les Charlots :
sont un  groupe musical et humoristique français formé en 1966, composé principalement de:
- Gérard Rinaldi , Gérard Filippelli, Jean Sarrus ,Jean-Guy Fechner , Luis Rego* et Richard Bonnot *.

(Luis Rego est un acteur, humoriste, chanteur et musicien portugais, ayant fait sa carrière en France depuis 1960, né le 30 mai 1943 à Lisbonne.)
(Richard Bonnot est un acteur, chanteur et musicien français né le 14 novembre 1957, à Montceau-les-Mines en Saône-et-Loire. Il enseigna la musique quelque
temps à Saint-Vallier au collège Nicolas-Copernic (Saône-et-Loire) et au
collège de la Croix Menée au Creusot (Saône-et-Loire). )


Évoluant dans un style comique et parodique
,
ils doivent leur renommée d'abord à leurs chansons puis aux films dont ils ont été les vedettes dans les années 1970, notamment :
LES BIDASSES EN FOLIE (1971) ,
LES FOUS DU STADE (1972) ,
LE GRAND BAZAR (1973) ,
LES CHARLOTS CONTRE DRACULA (1980)
Les Charlots ont enchaîné les succès, notamment au cinéma, grâce à des films comiques
La recette de ce succès : le fait que les dialogues parlent au plus grand nombre.
"C’était fou mais ce qui était le plus drôle, c’est que ça marchait dans le monde entier, car les dialogues étaient rares et simples. Du coup, faciles à traduire"
"On a énormément voyagé, on a fait toutes les grandes villes en Inde. C’était drôle de se voir parler en thaï, en hindi, en chinois."
.
Leur nom fait indirectement référence à Charlot, le personnage interprété par Charlie Chaplin ,
à travers le terme argotique « charlot » dont il dérive.





30/03/2021 - 11:41
suite de l'hommage à Bertrand TAVERNIER



Éminente personnalité du cinéma français, artiste engagé à l’œuvre éclectique et reconnue à l’étranger, Bertrand Tavernier a réalisé des
films d’époque et contemporains.
Il avait une prédilection pour les sujets sociétaux.



Ce grand cinéphile était aussi investi dans la préservation et la transmission des films.
   
Le septuagénaire était mû à la fois par le souci de défendre un cinéma français indépendant et la passion pour le cinéma américain du 20e siècle.


Fils de l’écrivain et résistant René Tavernier, le cinéaste avait découvert le cinéma lors d’un séjour en sanatorium.
Il a exploré tous les genres avec un appétit égal, construisant ainsi une filmographie gargantuesque. 


Il avait glané de nombreuses récompenses:
Ses films ont été largement récompensés :
- prix 74 Louis-Delluc pour L’horloger de Saint-Paul,
- nomination aux Oscars 83 pour Coup de torchon,
- prix de la mise en scène à Cannes en 1984 pour Un dimanche à la campagne,
- BAFTA 90 du meilleur film étranger pour La vie et rien d’autre ou encore
- Ours d’Or 95 à Berlin pour L’appât.
- Bertrand Tavernier avait même reçuLion d’Or à Venise pour l’ensemble de sa carrière.





Bertrand Tavernier et Lyon : son regard sur sa ville
Depuis Montchat où il avait ses premiers souvenirs, jusqu’à l’Institut Lumière qu’il présidait,
Lyon a été un lieu central dans la vie du cinéaste.
« Lyon est une ville qui se mérite et dont on peut tomber follement amoureux, pour la vie »,
disait-il récemment.

À l’actuelle entrée nord du parc Chambovet, se trouvait l’ancienne demeure où vécut la famille Tavernier. 
Photo Le Progrès


Tout en haut du quartier de Montchat, presque vers les hôpitaux, à la lisière du parc Chambovet, le mur d’enceinte porte une plaque, en hommage au glorieux passé de l’endroit.
C’est ici qu’habitait le poète et résistant René Tavernier(son papa), et c’est ici qu’il recevait Albert Camus ou Elsa Triolet.
C’est dans ce décor presque champêtre que Louis Aragon a écrit
« Il n‘y a pas d’amour heureux ».


Et c’est aussi dans cette maison que Bertrand Tavernier avait ses premiers souvenirs.
« Mon premier souvenir, il m‘est déjà arrivé de le raconter, ce sont les fusées éclairantes qui saluent l’arrivée des Américains.
On est en 1944, j’ai 3 ans »

se rappelait le cinéaste en 2008 pour Télérama.
« Nous avons emménagé à Paris quand j‘avais 5 ans, mais je n’ai cessé de retourner à Lyon, où vivaient mes deux grands-mères.
J’ai des souvenirs très vivaces du parc de la Tête-d’Or, mais aussi des tramways,
qui me fascinaient », ajoutait Bertrand Tavernier.

Cette maison d’enfance est évoquée dans son premier long-métrage,
« L’Horloger de Saint-Paul ».
Dans un jardin à l‘abandon, encombré de meubles de brocante.
Philippe Noiret embrasse la vieille nourrice de son fils et la suit à l’intérieur de la villa décrépie.
Il demande :
« Alors, la maison, elle va être démolie ? »
. Assise à la table de sa cuisine, la vieille dame répond, fataliste :
« Oui, il paraît qu‘ils vont construire un hôpital ».


Dans un film réalisé pour France 3 l’an passé, Bertrand Tavernier avait filmé Lyon, lors du premier confinement.
«J’ai toujours aimé les villes que traversent des fleuves ou des rivières. À Lyon, j’étais gâté, j’en avais deux »,
expliquait-il en préambule.
Bertrand Tavernier avait ainsi raconté que son père décrivait Lyon comme une ville double, avec deux fleuves et deux collines.
« À Lyon, les mondes se télescopent. Une immense place géométrique jouxte une ruelle étroite.
Les collines magnifient la ville, ou l’écrasent.
C’est une ville qui se mérite, et dont on peut tomber follement amoureux, pour la vie.

Il était logique que le cinématographe naisse dans une telle ville, et qu’il soit inventé par deux frères qui s’appelaient… Lumière », racontait le cinéaste.




Bertrand Tavernier parle de Lyon confinée pour le documentaire "Les secrets de la belle " endormie"
17.06.2020

« À Lyon, le luxe ne doit pas s‘afficher : c’est l’inverse de la logique haussmannienne, en quelque sorte.
Ces décors induisent des sentiments, un goût du secret qui est très lyonnais.
Une réserve, un quant-à-soi qui sont proches de la pudeur britannique, et auxquels j’adhère entièrement »
expliquait-il, en répudiant la réputation « renfermée » des Lyonnais.
« Le Rhône et la Saône, ces deux voies d’eaux sont comme deux avenues qui font respirer la ville et l’ouvrent sur le monde.
Ils mettent à mal cette réputation de soi-disant repli sur soi que l’on accole à Lyon et à ses habitants »
souligne-t-il dans son film sur la ville.

Tavernier était attaché à Lyon, et à son passé.
Le rôle de son père dans la Résistance l’a toujours guidé.
« Tous mes films parlent de résistance » disait-il.



La ville de naissance du cinéma était évidemment au centre de son œuvre,
dont fait partie l’Institut, créé en 1982, qu’il présidait depuis.

« L‘institut Lumière doit être un pont entre patrimoine et présent.
Entre le passé et les recherches les plus modernes, il faut montrer à des mômes qui connaissent les DVD ce qu’a été l’histoire du cinéma et l’éblouissement qu’on connaît devant les films Lumière et du passé.
Il faut qu’ils sachent que le cinéma n’a pas été inventé avec « Les Visiteurs »

nous avait-il expliqué lors d’une interview.

C’est aussi à Lyon qu’il avait découvert de nombreux films.
« J’ai vu des masses de films au Splendor, près de l’hôtel de ville. C’était le plus bel écran scope de Lyon. Je fréquentais aussi
celui de la Guillotière (L’Étoile), et le Studio, rue de la République, à côté du Progrès d’alors.
J’y ai vu Duel dans la Sierra de George Sherman, trois fois dans la même semaine »,

nous confiait-il en 2018.


30/03/2021 - 10:10
VICTORIA POUR TOUTES CES RECHERCHES  TRÈS, TRÈS INTÉRESSANTES .!!!
30/03/2021 - 04:05
  Bertrand Tavernier,

né le 25 avril 1941 à Lyon et mort le 25 mars 2021 à Sainte-Maxime .

Depuis son enfance, Bertrand Tavernier était un hôte assidu de  Sainte-Maxime(Var), résidant dans la villa familiale,
où il meurt le 25 mars 2021 à l'âge de 79 ans d'une pancréatite  dont il était atteint depuis quelques années.

C' est  un RÉALISATEUR , SCÉNARISTE,PRODUCTEUR et ÉCRIVAIN FRANÇAIS également PRÉSIDENT de l' INSTITUT LUMIÈRE
(L’Institut Lumière est une association loi de 1901 créée à Lyon en 1982. Il consacre son activité à la diffusion et à la conservation du patrimoine cinématographique.)

 


Fils de l'écrivain et résistant  lyonnais RÉNÉ TAVERNIER ,



René Tavernier
, né le 21 mai 1915 à Paris et mort le 16 décembre 1989, est un poète français.


BERTRAND TAVERNIER 
fut d'abord assistant-réalisateur, attaché de presse  et critique avant de passer à la mise en scène avec
" L'HORLOGER de SAINT - PAUL"
, son premier succès critique, à la base d'une longue collaboration avec l'acteur
PHILIPPE NOIRET
( Philippe Noiret est un acteur français, né le 1er octobre 1930 à Lille et mort le 23 novembre 2006 à Paris 7e.)


Éclectique, il a abordé plusieurs genres cinématographiques, de la comédie dramatique  au film de guerre  en passant par le film historique ou le polar .

Plusieurs de ses films ont été récompensés, en FRANCE  et à l' ÉTRANGER

Il est le père du réalisateur et comédien Nils Tavernier  et de la romancière Tiffany Tavernier
( Nils Tavernier, né le 1er septembre 1965 à Paris, est un réalisateur et acteur français. et Tiffany Tavernier est une romancière, scénariste et assistante réalisatrice française, née le 3 mai 1967.)

HOMMAGES :

Mort de Bertrand Tavernier :

pour Martin Scorsese, «sa passion du cinéma "pouvait vous mettre K.-O." »

BERTRAND TAVERNIER amoureux de cinéma américain et le new-yorkais MARTIN SCORSESE d'origine sicilienne s'étaient côtoyés notamment lors du tournage
"d' Autour de minuit" (1986), une plongée dans le monde du jazz où Scorsese fait une apparition -
un "merveilleux souvenir" pour lui.

Bertrand Tavernier "était un passionné du cinéma : passionné par ce qu'il aimait, passionné par ce qu'il détestait, passionné par ses
nouvelles découvertes, passionné par les figures injustement oubliées dans l'histoire du cinéma -
Bertrand a été celui qui nous a permis de redécouvrir le réalisateur Michael Powell -, passionné par les films qu'il a lui-même réalisés
",
écrit le réalisateur de" Taxi Driver "et des "Affranchis"..

C'était "un cinéaste singulier, à nul autre comparable",
ajoute-t-il, estimant que :
- le dictionnaire de référence que Tavernier a consacré avec Jean-Pierre Coursodon aux réalisateurs américains
(« 50 ans de cinéma américain ») était un "ouvrage majeur (qui) mériterait d'être traduit en anglais". "


Bertrand était tellement passionné qu'il pouvait littéralement vous mettre K.-O.
Il restait assis, pendant des heures et des heures, argumentant pour ou contre un film, un cinéaste, un musicien, un livre ou une décision politique.
Au bout d'un moment, terrassé, vous vous demandiez simplement : mais d'où lui vient toute cette énergie ?
", se souvient-il.

"Le cinéma français perd sa mémoire numéro 1", estime Claude Lelouch

"C’était un grand cinéaste et un historien du cinéma incomparable", a déclaré le réalisateur Claude Lelouch, ami de Bertrand Tavernier

Réalisateur phare, érudit et engagé, apprécié du grand public et admiré au-delà des frontières, et  laissant des films comme:
L'horloger de Saint-Paul (1974),
Que la fête commence
 (1975) ou
"Coup de torchon" (1981).

 

«L'horloger de Saint-Paul »(1974),
"Je trouve que Lyon est une belle ville, et qu'on ne l'a pas souvent montrée au cinéma".
Voilà ce que déclarait Bertrand Tavernier  en 1974, à la sortie de son premier long métrage
L'horloger de Saint-Paul.

 Après Philippe Noiret et Jean Rochefort, Lyon est l'autre vedette du film.
Un attachement à sa ville natale qui ne s'est jamais démenti.


L'histoire entre Bertrand Tavernier et Lyon débute à sa naissance en 1941, en pleine guerre.

Son père, René, était un résistant et écrivain, proche de Louis Aragon et Elsa Triolet.

 "Mon père est représentatif d'un esprit lyonnais, qui est à la fois cultivé, secret, ironique et frondeur",
racontait-il en 1988.

Il quitte la ville avec ses parents en 1950.

La famille s'intalle à Paris et c'est ici qu'il débuta sa carrière.

Mais son attachement à sa ville natale restera présent toute sa vie.


Institut Lumière à Lyon

Le succès international du festival Lumière :

C'est d'ailleurs à Lyon qu'il porte avec succès (en compagnie d'un autre enfant du pays Thierry Frémaux)
un projet marquant pour les cinéphiles, la création d'un festival dédié au cinéma d'hier et d'aujourd'hui.

Un festival populaire de cinéphiles, sans compétition mais qui honore chaque année une figure majeure du septième art.

Depuis 2009,
LE FESTIVAL  LUMIERE réunit chaque automne des stars du monde entier autour de cette passion. 



Quelques années plus tôt, c'est lui aussi qui décide de réhabiliter le hangar où fut tourné le :
- tout premier film des frères Lumière «La sortie de l'usine

«La Sortie de l'usine »Lumière à Lyon, vue extraite du film tourné à Monplaisir en 1895 par les frères Lumière

En 1995, alors que l'on célèbre le centenaire de la naissance du cinéma, l'endroit est une ruine.
    Il convie quand même 40 cinéastes du monde entier pour rejouer cette mythique scène.


Depuis, le hangar est devenue une salle de cinéma, et l' INSTITUT  LUMIÈRE , qu'il présidait,
est une référence pour les amoureux du septième art.  


Cinéaste et cinéphile, Bertrand Tavernier a beaucoup oeuvré pour valoriser l'héritage de cet art qu'il aimait tant. 



Michel Descombes vit dans le quartier Saint-Paul à Lyon. Il élève son fils Bernard.
Un jour, celui-ci tue un garde et s'enfuit. Le commissaire Guiboud demande à Michel de l'aider. Après l'arrestation, Michel prend la défense de ce fils dont il réalise qu'il ignorait tout...

Son œuvre est un chant d’amour pour le cinéma.
En passeur cinéphile, il mettait un point d'honneur à défendre  tous les cinémas .

"La Princesse de Montpensier"
"Le juge et l'assassin"
"La vie et rien d'autre"
"Dans la brume électrique"
"Quai d'Orsay"
"La Mort en direct"
«L.627»
"Coup de torchon"
"Que la fête commence"
"En selle, direction "L'Ouest, le vrai"






15/03/2021 - 11:26
Clodisa

Moi aussi , je ne connaissais pas cet acteur .....Désolée pour ses proches