Un homme rentre chez lui (épuisé) après sa journée de travail.
Il est seul, sa femme n'est pas encore rentrée.
Il décide donc de profiter de cet instant de sérénité pour s'offrir une petite bière bien fraiche. En allant à la cuisine il remarque un Post-it sur le lave-vaisselle : "Je suis propre mais pas vidé..."
Le mari s'exécute et range la vaisselle, boit sa bière d'un trait, avale une rondelle de saucisson sans s'étrangler avec la peau, court à la salle de bain, se déshabille vite vite, se douche rapidos, se rend dans la chambre, se colle le Post-it sur le front puis se couche en attendant le retour de sa femme chérie...
La petite vengeance Dans un cinéma où l’on joue un policier à suspense, un spectateur entre au moment où le film vient de commencer. Sa lampe torche à la main, l’ouvreuse le guide, éclaire chaque marche pour qu’il ne trébuche pas, et l’amène jusqu’à un fauteuil libre. – C’est trop près, vous n’auriez pas une autre place ? Elle repart dans l’autre sens et le guide jusqu’à un nouveau siège. – Là c’est vraiment trop de côté. Il n’y a rien de plus central ? Elle parcourt toute l’allée, repère enfin une place en plein milieu, et elle y conduit le type, qui lui donne royalement une pièce de dix centimes. Alors elle se penche vers lui et lui dit à l’oreille : – C’est le juge l’assassin…
Une affaire loucheUn curé de campagne invite à dîner le chanoine du diocèse. Alors il met les petits plats dans les grands, demande à sa bonne de se surpasser, et sort le service en argent qu’il a hérité de sa mère. Le dîner se déroule très bien. Mais, une fois le chanoine parti, le curé s’aperçoit que la louche à disparu. « Un homme d’église de son rang ! il ne m’a tout de même pas volé ma louche en argent ! » pense-t-il. Mais les jours passent et il se dit qu’après tout il s’agit d’une pièce trop importante pour qu’on puisse l’emmener par inadvertance. Alors il se décide à écrire la lettre suivante : « Monsieur le chanoine, je ne dis pas que vous avez emporté ma louche en argent, je ne dis pas que vous ne l’avez pas emportée, mais si jamais vous l’aviez emportée, soyez assez aimable pour me la rendre. » Trois jours plus tard, il reçoit la réponse : « Monsieur le curé, je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, je ne dis pas que vous ne couchez pas avec votre bonne. Mais si vous dormiez dans votre lit, vous y auriez déjà retrouvé la louche que j’ai glissé entre les draps… »
Un jeune homme se fait arrêter par un flic, il ouvre la vitre et dit poliment : - Bonsoir M'sieur l'agent... - Votre permis s'il vous plait ? lui demande l'agent de police.
Pendant qu'il cherche son permis dans la boîte à gants, l'agent se penche à la fenêtre et lui dit : - Ça sent l'alcool là dedans ! - Alors là M'sieur l'agent, je vous arrête tout de suite, attendez je sors...
Lorsqu'il est dehors du véhicule, il dit : - Venez avec moi M'sieur l'agent. Puis il dévisse le bouchon du réservoir et lui dit : - Sentez donc la dedans... - Ben quoi,ça sent l'essence, lui rétorque l'agent. - Je suis d'accord avec vous M'sieur l'agent, ça sent l'essence, pourtant le réservoir il n'est pas plein !
A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
-Celle qui vient après elle lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit : "- Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !" La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique : "-Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps."
Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute : - "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps. Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer : - A cette époque on retournait les bouteilles de verre. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau. Les bouteilles étaient recyclées, mais c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique. Elle ajoute : - De mon temps, on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues > > > > > > > : on marchait jusqu'à l'épicerie du coin. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde On avait un réveil qu'on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées : On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon. On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo. On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rue. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique ! On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui. ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT ECOLOGISTE ! Tout ce qu'on regrette, c'est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d'engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s'imagine avoir toutinventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d'orthographe, qui n'ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel… (pensent même que c'est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand onleurpropose Vienne ou Athènes, etc. mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur ignorance crasse ! MERDE à la fin ! Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l'environnement. Mais ne vous privez pas de faire suivre ! ! !
Un homme rentre chez lui (épuisé) après sa journée de travail.
Il est seul, sa femme n'est pas encore rentrée.
Il décide donc de profiter de cet instant de sérénité pour s'offrir une petite bière bien fraiche.
En allant à la cuisine il remarque un Post-it sur le lave-vaisselle :
"Je suis propre mais pas vidé..."
Le mari s'exécute et range la vaisselle, boit sa bière d'un trait, avale une rondelle de saucisson sans s'étrangler avec la peau, court à la
salle de bain, se déshabille vite vite, se douche rapidos, se rend dans la chambre, se colle le Post-it sur le front puis se couche en attendant le retour de sa femme chérie...
La petite vengeance
Dans un cinéma où l’on joue un policier à suspense, un spectateur entre au moment où le film vient de commencer.
Sa lampe torche à la main, l’ouvreuse le guide, éclaire chaque marche pour qu’il ne trébuche pas, et l’amène jusqu’à un fauteuil libre.
– C’est trop près, vous n’auriez pas une autre place ?
Elle repart dans l’autre sens et le guide jusqu’à un nouveau siège.
– Là c’est vraiment trop de côté. Il n’y a rien de plus central ?
Elle parcourt toute l’allée, repère enfin une place en plein milieu, et elle y conduit le type, qui lui donne royalement une pièce de dix centimes.
Alors elle se penche vers lui et lui dit à l’oreille :
– C’est le juge l’assassin…
Une affaire loucheUn curé de campagne invite à dîner le chanoine du diocèse. Alors il met les petits
plats dans les grands, demande à sa bonne de se surpasser, et sort le
service en argent qu’il a hérité de sa mère.
Le dîner se déroule très bien. Mais, une fois le chanoine parti, le curé s’aperçoit que la louche à disparu.
« Un homme d’église de son rang ! il ne m’a tout de même pas volé ma louche en argent ! » pense-t-il.
Mais les jours passent et il se dit qu’après tout il s’agit d’une pièce trop importante pour qu’on puisse l’emmener par inadvertance.
Alors il se décide à écrire la lettre suivante :
« Monsieur le chanoine, je ne dis pas que vous avez emporté ma louche en
argent, je ne dis pas que vous ne l’avez pas emportée, mais si jamais
vous l’aviez emportée, soyez assez aimable pour me la rendre. »
Trois jours plus tard, il reçoit la réponse :
« Monsieur le curé, je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, je
ne dis pas que vous ne couchez pas avec votre bonne. Mais si vous
dormiez dans votre lit, vous y auriez déjà retrouvé la louche que j’ai
glissé entre les draps… »
Contrôle routier
Un jeune homme se fait arrêter par un flic, il ouvre la vitre et dit poliment :
- Bonsoir M'sieur l'agent...
- Votre permis s'il vous plait ? lui demande l'agent de police.
Pendant qu'il cherche son permis dans la boîte à gants, l'agent se penche à la fenêtre et lui dit :
- Ça sent l'alcool là dedans !
- Alors là M'sieur l'agent, je vous arrête tout de suite, attendez je sors...
Lorsqu'il est dehors du véhicule, il dit :
- Venez avec moi M'sieur l'agent.
Puis il dévisse le bouchon du réservoir et lui dit :
- Sentez donc la dedans...
- Ben quoi,ça sent l'essence, lui rétorque l'agent.
- Je suis d'accord avec vous M'sieur l'agent, ça sent l'essence, pourtant le réservoir il n'est pas plein !