Le vieux couple C’est l’histoire d’un vieux couple, marié depuis 45 ans. Ils vivent paisiblement dans un coin paumé du centre de la France. L’homme appelle son fils qui vit à Marseille et lui dit : - Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et moi, on a décidé de divorcer, 45 années comme ça c’est assez ! - Mais qu’est-ce que tu racontes papa ! - Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, nous ne nous supportons plus et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout,alors appelle ta sœur qui vit à Paris et annonce lui la nouvelle ! Et le vieil homme raccroche. Le fils reste abasourdi et appelle sa sœur qui explose au téléphone : « Ce n’est pas possible qu’ils divorcent comme ça, je vais m’occuper deça ! » Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone : « Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu’à ce que j’arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons chez toi dès demain matin ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M’AS COMPRISE ? » Et elle raccroche. Le vieil homme raccroche lui aussi et se tourne en souriant vers sa femme : « Et voilà, ça a marché ma chérie, nous aurons les enfants avec nous pour le jour de l’an et en plus ce sont eux qui payent leur voyage ».
Les cigognesTrois cigognes se rencontrent, et se demandent les unes aux autres : – Tu vas où ? – Ho, je vais chez un couple qui essaye d’avoir un enfant depuis 10 ans… Je leur apporte une petite fille. – C’est cool ! – Et toi ? – Je vais chez une dame qui n’a jamais eu d’enfants. Je lui apporte un petit garçon ! – C’est bien, je suis sûre qu’elle va être vraiment heureuse. – Et toi ? demandent les deux premières à la troisième cigogne. – Moi ? Je vais juste là à côté, au couvent. Je ne leur apporte jamais rien ,mais j’adore leur foutre la trouille.
Professeur : Que dois-je faire pour répartir 11 pommes deterre entre 7 personnes ? Élève :Une purée de pomme de terre, maître! (Il y a de la logique !)
Professeur :-Joachim,dites-moi le présent de l’indicatif du verbe marcher. Elève : -Je marche… tu marches… il marche… Professeur : -Plus vite ! Elève : -Nous courons, vous courez, ils courent ! (Et c’est vrai, non ?) Professeur :« Il pleuvait », c’est quel temps ? Elève :C’est du mauvais temps, maître. (Pas de doute !)
Professeur:Combien de cœurs avons-nous ? Élève:Deux, Maître Professeur:Deux ! Élève:Oui, le vôtre et le mien ! (La logique explique… correct !
Deux élèves arrivent en retard à l’école. Ils s’expliquent : - Le 1er élève dit :Je me suis réveillé en retard, maître. J’ai rêvé que je suis allé en Polynésie et le voyage a duré longtemps. - Le 2ème élève dit : Et moi je suis allé le chercher à l’aéroport. (Bien argumenté… non ?)
Professeur: Pouvez-vous me dire le nom de 5 choses qui contiennent du lait ? Elève :Oui maître. Un fromage et quatre vaches… (Dites-moi où il s’est trompé ?)
Un élève en droit pendant son examen oral : qu’est-ce qu’une fraude? Réponse de l’élève : C’est ce que vous êtes en train de faire, Monsieur. Le professeur intrigué : Bah alors, expliquez-vous… L’élève dit : Selon le Code pénal, celui qui profite de l’ignorance de l’autre pour lui porter préjudice, commet une fraude. (Et alors … dans la logique ... pas faux)
Maitresse: Tony, dites-moi sincèrement, vous priez avant chaque repas ? Tony : Non, maîtresse, je n’ai pas besoin… ma maman est une excellente cuisinière. (Sans commentaires)
Maitresse: Arthur, ta rédaction « mon chien » est exactement la même que celle de ton frère. Tu as copié ? Arthur : Non maîtresse, le chien c’est le même. (Plus logique ... tu meurs !!
Maitresse: Bruno, quel nom donnons-nous à une personne qui continue à parler même si les autres ne s’intéressent pas au sujet ? Bruno: Un professeur. (La meilleure de toutes, sans doute)
Abandon de posteC’est un para en plein exercice de camouflage en forêt. Le para qui s’était déguisé en tronc arbre, a soudainement abandonné son poste à un moment crucial des manœuvres. Le sergent l’engueule un bon coup et lui demande pourquoi il a quitté son poste. Il lui dit : – Espèce de sagouin ! Tu te rends compte que tu as mis en danger non seulement ta vie mais aussi celle de tous tes copains de la compagnie. Au combat, l’ennemi nous découvrirait tous par ta faute. As-tu une explication pour ta conduite ? – Oui sergent : Autant je n’ai pas bougé d’un poil quand un couple de pigeons m’a pris pour cible. Autant je n’ai rien dit et je suis resté immobile quand j’ai vu un serpent ramper à mes pieds… Mais quand ces deux écureuils sont rentrés dans mon pantalon et que j’en ai entendu un dire « Mangeons en une tout de suite et gardons l’autre pour cet hiver », j’ai craqué !
C’est un para en plein exercice de camouflage en forêt. Le para qui s’était déguisé en tronc arbre, a soudainement abandonné son poste à un moment crucial des manœuvres. Le sergent l’engueule un bon coup et lui demande pourquoi il a quitté son poste. Il lui dit : – Espèce de sagouin ! Tu te rends compte que tu as mis en danger non seulement ta vie mais aussi celle de tous tes copains de la compagnie. Au combat, l’ennemi nous découvrirait tous par ta faute. As-tu une explication pour ta conduite ? – Oui sergent : Autant je n’ai pas bougé d’un poil quand un couple de pigeons m’a pris pour cible. Autant je n’ai rien dit et je suis resté immobile quand j’ai vu un serpent ramper à mes pieds… Mais quand ces deux écureuils sont rentrés dans mon pantalon et que j’en ai entendu un dire « Mangeons en une tout de suite et gardons l’autre pour cet hiver », j’ai craqué !
C’est l’histoire d’un vieux couple, marié depuis 45 ans. Ils vivent paisiblement dans un coin paumé du centre de la France.
L’homme appelle son fils qui vit à Marseille et lui dit :
- Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et
moi, on a décidé de divorcer, 45 années comme ça c’est assez !
- Mais qu’est-ce que tu racontes papa !
- Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, nous ne nous supportons plus et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout,alors appelle ta sœur qui vit à Paris et annonce lui la nouvelle !
Et le vieil homme raccroche.
Le fils reste abasourdi et appelle sa sœur qui explose au téléphone : « Ce n’est pas possible qu’ils divorcent comme ça, je vais m’occuper deça ! »
Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone : « Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu’à ce que j’arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons chez toi dès demain matin ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M’AS COMPRISE ? » Et elle raccroche.
Le vieil homme raccroche lui aussi et se tourne en souriant vers sa femme :
« Et voilà, ça a marché ma chérie, nous aurons les enfants avec nous pour le jour de l’an et en plus ce sont eux qui payent leur voyage ».
Les cigognesTrois cigognes se rencontrent, et se demandent les unes aux autres :
– Tu vas où ?
– Ho, je vais chez un couple qui essaye d’avoir un enfant depuis 10 ans… Je leur apporte une petite fille.
– C’est cool !
– Et toi ?
– Je vais chez une dame qui n’a jamais eu d’enfants. Je lui apporte un petit garçon !
– C’est bien, je suis sûre qu’elle va être vraiment heureuse.
– Et toi ? demandent les deux premières à la troisième cigogne.
– Moi ? Je vais juste là à côté, au couvent. Je ne leur apporte jamais rien ,mais j’adore leur foutre la trouille.
Professeur : Que dois-je faire pour répartir 11 pommes de terre entre 7 personnes ?
Élève : Une purée de pomme de terre, maître !
(Il y a de la logique !)
Professeur : - Joachim, dites-moi le présent de l’indicatif du verbe marcher.
Elève : - Je marche… tu marches… il marche…
Professeur : - Plus vite !
Elève : - Nous courons, vous courez, ils courent !
(Et c’est vrai, non ?)
Professeur : « Il pleuvait », c’est quel temps ?
Elève : C’est du mauvais temps, maître.
(Pas de doute !)
Professeur : Combien de cœurs avons-nous ?
Élève : Deux, Maître
Professeur : Deux !
Élève : Oui, le vôtre et le mien !
(La logique explique… correct !
Deux élèves arrivent en retard à l’école. Ils s’expliquent :
- Le 1er élève dit : Je me suis réveillé en retard, maître. J’ai rêvé que je suis allé en Polynésie et le voyage a duré longtemps.
- Le 2ème élève dit : Et moi je suis allé le chercher à l’aéroport.
(Bien argumenté… non ?)
Professeur : Pouvez-vous me dire le nom de 5 choses qui contiennent du lait ?
Elève : Oui maître. Un fromage et quatre vaches…
(Dites-moi où il s’est trompé ?)
Un élève en droit pendant son examen oral : qu’est-ce qu’une fraude?
Réponse de l’élève : C’est ce que vous êtes en train de faire, Monsieur.
Le professeur intrigué : Bah alors, expliquez-vous…
L’élève dit : Selon le Code pénal, celui qui profite de l’ignorance de l’autre pour lui porter préjudice, commet une fraude.
(Et alors … dans la logique ... pas faux)
Maitresse : Tony, dites-moi sincèrement, vous priez avant chaque repas ?
Tony : Non, maîtresse, je n’ai pas besoin… ma maman est une excellente cuisinière.
(Sans commentaires)
Maitresse : Arthur, ta rédaction « mon chien » est exactement la même que celle de ton frère. Tu as copié ?
Arthur : Non maîtresse, le chien c’est le même.
(Plus logique ... tu meurs !!
Maitresse : Bruno, quel nom donnons-nous à une personne qui continue à parler même si les autres ne s’intéressent pas au sujet ?
Bruno : Un professeur.
(La meilleure de toutes, sans doute)
Abandon de posteC’est un para en plein exercice de camouflage en forêt.
Le para qui s’était déguisé en tronc arbre, a soudainement abandonné son poste à un moment crucial des manœuvres.
Le sergent l’engueule un bon coup et lui demande pourquoi il a quitté son poste.
Il lui dit :
– Espèce de sagouin ! Tu te rends compte que tu as mis en danger non
seulement ta vie mais aussi celle de tous tes copains de la compagnie.
Au combat, l’ennemi nous découvrirait tous par ta faute. As-tu une
explication pour ta conduite ?
– Oui sergent : Autant je n’ai pas bougé d’un poil quand un couple de pigeons m’a pris pour cible. Autant je n’ai rien dit et je suis resté
immobile quand j’ai vu un serpent ramper à mes pieds… Mais quand ces
deux écureuils sont rentrés dans mon pantalon et que
dire « Mangeons en une tout de suite et gardons l’autre pour cet
hiver », j’ai craqué !
C’est un para en plein exercice de camouflage en forêt.
Le para qui s’était déguisé en tronc arbre, a soudainement abandonné son poste à un moment crucial des manœuvres.
Le sergent l’engueule un bon coup et lui demande pourquoi il a quitté son poste.
Il lui dit :
– Espèce de sagouin ! Tu te rends compte que tu as mis en danger non seulement ta vie mais aussi celle de tous tes copains de la compagnie.
Au combat, l’ennemi nous découvrirait tous par ta faute. As-tu une explication pour ta conduite ?
– Oui sergent : Autant je n’ai pas bougé d’un poil quand un couple de pigeons m’a pris pour cible. Autant je n’ai rien dit et je suis resté immobile quand j’ai vu un serpent ramper à mes pieds… Mais quand ces deux écureuils sont rentrés dans mon pantalon et que j’en ai entendu un dire « Mangeons en une tout de suite et gardons l’autre pour cet hiver », j’ai craqué !