QuiproquoUn jeune mari rentre le soir chez lui, et sa femme lui saute au cou en lui disant : – Chéri, j’ai une grande nouvelle ! Je suis en retard d’un mois…Je crois que nous allons avoir un bébé! J’ai fait le test chez le médecin aujourd’hui… mais tant qu’on aura pas de certitude, on n’en parle à personne. Le jour suivant, un contrôleur EDF sonne chez elle car ils n’ont pas payé leur dernière facture d’électricité. – Vous êtes bien Madame Durand ? Vous avez un mois de retard ! – Comment le savez-vous ? balbutia la jeune femme. – Mais Madame, c’est inscrit sur nos registres. – Qu’est-ce que vous dites ? C’est inscrit…. sur vos registres ? – Absolument. Le soir, elle raconte cela à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain aux bureaux de l’EDF. – Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? hurle-t-il. Vous inscrivez dans vos registres que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous mêlez-vous ? – Écoutez, dit le contrôleur, calmez-vous. Ce n’est pas bien grave. Vous n’avez qu’à l’acquitter et on n’en parle plus… – La quitter ? Il n’en est pas question ! Je ne la quitterai jamais, ni maintenant ni plus tard ! – Dans ce cas, je vous préviens, si vous refusez de l’acquitter, on va vous la couper ! – Quoi ? Me la couper ? Mais qu’est-ce que deviendra ma femme ? – Je ne sais pas…. elle n’aura qu’à se servir d’une bougie…
C’est l’histoire d’un mec qui demande à sa femme : - Qu’est-ce qu’il y a à manger ce soir chérie ? - De la langue sauce gribiche, mon chou. - Beurk ! C’est dégueulasse ! - Ah bon pourquoi ? J’ai passé du temps à le faire mijoter ! - C’est pas ça ! Je vais quand même pas manger un truc qui a été dans la bouche d’un animal ! Tiens, fait moi plutôt des œufs……
PLACIDE DUPONT
02/12/2017 - 10:34
COMME JE NE SUIS LA SEUL ANDOUILLE QUI REPOND JE ne vais pas faire attention
Une puce nommée Pierre est allongée sur la plage a Nice en train de se bronzer au soleil. Soudain, derrière lui, il entend un soufflement et se retourne pour voir ce que c’est. Il est surpris de voir que c’est une autre puce, son ami Albert de Paris, mais choqué par son état de santé.
- Mais qu’est ce qu’il y a mon pote ? demande-t-il, car Albert a l’air d’avoir très froid, il tremble, sa peau est plutôt bleue.
- Je suis descendu ici à Nice dans la moustache d’un motard, explique-t-il, avec tout le vent, c’est pour ça que j’ai aussi froid.
Pierre commence à rigoler vigoureusement, et après un bon moment, il décide d’expliquer à son ami, qui était à son avis, plutôt naïf, comment descendre à Nice comme un roi. Albert promet à Pierre que l’année prochaine, il ferait exactement ce qu’il avait expliqué.
Un an plus tard, Pierre se trouve encore en vacances sur la plage a Nice. Soudain, derrière lui il entend un soufflement et un tremblement et il n’a même pas besoin de se retourner… il sait qui c’est… - Pierre, demande-t-il, pourquoi tu n’as pas fait ce que je t’avais dit ?
- Mais j’ai essayé, répond Pierre. Je me suis trouvé une jeune hôtesse de l’air, et je me suis installé dans ses poils bien au chaud. J’étais vraiment bien la-dedans. Comme prévu, elle est allé prendre son avion à Orly, et moi j’étais bien à l’aise. Puis, arrivant à l’aéroport,et avant de monter dans l’avion, elle a fait un petit détour pour visiter les toilettes. Elle rentre dans une des cabines, et moi, je me suis trouvé bousculé brutalement. Après quelques instants j’ai perdu connaissance. Plus tard, je me suis réveillé. Et tu ne peux pas imaginer comment j’étais étonné quand je me suis retrouvé encore une fois dans la moustache d’un motard en train de descendre à Nice !…
Le nouveau papa entre dans la chambre de la jeune maman qui vient d’accoucher : l’enfant dans le berceau est magnifique mais ne ressemble pas vraiment à ses parents.
Devant la mine interloquée de son mari, la maman s’explique : – Mon amour, je comprends ta surprise, mais vois-tu, je sais pourquoi notre enfant n’est pas blanc. Tu sais que quand j’étais petite, mon père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant à Grand-Bassam, et ma mère avait choisi une nourrice africaine Lili.Les gènes de son lait sont passés directement dans mon sang et voilà pourquoi notre enfant est noir. – Ah bon ? C’est pour ça ?
Le jeune papa va au téléphone annoncer la naissance de l’enfant à sa propre maman. – Oh mon chéri comme je suis heureuse, est-ce qu’il te ressemble ?
– Je suis l’homme le plus heureux de la terre, il me ressemble beaucoup, à part qu’il est aussi noir que je suis blanc. Mais j’ai l’explication… Voilà : Est-ce que tu savais que quand ta belle-fille était petite, son père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant, et sa mère avait choisi Lili une nourrice noire. Les gènes de son lait sont passés dans son sang et voilà pourquoi notre enfant est aussi coloré. – Ah oui, je comprends. C’est comme pour toi quand tu étais bébé, je t’ai nourri au lait de vache, les gènes ont du passer dans ton sang et c’est pour ça que tu as des cornes !
Un jour, après avoir lu les méfaits du tabac dans les journaux, il prend une grande décision, et souhaite en informer ses amis sur le champ. Paul confie à ses amis : Tous les jours, en ouvrant mon journal, je lisais des articles sur les méfaits du tabac. Au bout d’un mois, j’ai pris une grande résolution. Tu as cessé de fumer ? Non, j’ai arrêté de lire les journaux.
– Chéri, j’ai une grande nouvelle ! Je suis en retard d’un mois…Je crois que nous allons avoir un bébé! J’ai fait le test chez le médecin
aujourd’hui… mais tant qu’on aura pas de certitude, on n’en parle à
personne.
Le jour suivant, un contrôleur EDF sonne chez elle car ils n’ont pas payé leur dernière facture d’électricité.
– Vous êtes bien Madame Durand ? Vous avez un mois de retard !
– Comment le savez-vous ? balbutia la jeune femme.
– Mais Madame, c’est inscrit sur nos registres.
– Qu’est-ce que vous dites ? C’est inscrit…. sur vos registres ?
– Absolument.
Le soir, elle raconte cela à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain aux bureaux de l’EDF.
– Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? hurle-t-il. Vous inscrivez
dans vos registres que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous
mêlez-vous ?
– Écoutez, dit le contrôleur, calmez-vous. Ce n’est pas bien grave. Vous n’avez qu’à l’acquitter et on n’en parle plus…
– La quitter ? Il n’en est pas question ! Je ne la quitterai jamais, ni maintenant ni plus tard !
– Dans ce cas, je vous préviens, si vous refusez de l’acquitter, on va vous la couper !
– Quoi ? Me la couper ? Mais qu’est-ce que deviendra ma femme ?
– Je ne sais pas…. elle n’aura qu’à se servir d’une bougie…
C’est l’histoire d’un mec qui demande à sa femme :
- Qu’est-ce qu’il y a à manger ce soir chérie ?
- De la langue sauce gribiche, mon chou.
- Beurk ! C’est dégueulasse !
- Ah bon pourquoi ? J’ai passé du temps à le faire mijoter !
- C’est pas ça ! Je vais quand même pas manger un truc qui a été dans la bouche d’un animal ! Tiens, fait moi plutôt des œufs……
Une puce nommée Pierre est allongée sur la plage a Nice en train de se bronzer au soleil.
Soudain, derrière lui, il entend un soufflement et se retourne pour voir ce que c’est. Il est surpris de voir que c’est une autre puce, son
ami Albert de Paris, mais choqué par son état de santé.
- Mais qu’est ce qu’il y a mon pote ? demande-t-il, car Albert a l’air d’avoir très froid, il tremble, sa peau est plutôt bleue.
- Je suis descendu ici à Nice dans la moustache d’un motard, explique-t-il, avec tout le vent, c’est pour ça que j’ai aussi froid.
Pierre commence à rigoler vigoureusement, et après un bon moment, il décide d’expliquer à son ami, qui était à son avis, plutôt naïf, comment descendre à Nice comme un roi.
Albert promet à Pierre que l’année prochaine, il ferait exactement ce qu’il avait expliqué.
Un an plus tard, Pierre se trouve encore en vacances sur la plage a Nice. Soudain, derrière lui il entend un soufflement et un tremblement et il n’a même pas besoin de se retourner… il sait qui c’est…
- Pierre, demande-t-il, pourquoi tu n’as pas fait ce que je t’avais dit ?
- Mais j’ai essayé, répond Pierre. Je me suis trouvé une jeune hôtesse de l’air, et je me suis installé dans ses poils bien au chaud.
J’étais vraiment bien la-dedans. Comme prévu, elle est allé prendre son avion à Orly, et moi j’étais bien à l’aise. Puis, arrivant à l’aéroport,et avant de monter dans l’avion, elle a fait un petit détour pour visiter les toilettes. Elle rentre dans une des cabines, et moi, je me suis trouvé bousculé brutalement.
Après quelques instants j’ai perdu connaissance.
Plus tard, je me suis réveillé. Et tu ne peux pas imaginer comment j’étais étonné quand je me suis retrouvé encore une fois
dans la moustache d’un motard en train de descendre à Nice !…
Le nouveau papa entre dans la chambre de la jeune maman qui vient d’accoucher : l’enfant dans le berceau est magnifique mais ne ressemble pas vraiment à ses parents.
Devant la mine interloquée de son mari, la maman s’explique :
– Mon amour, je comprends ta surprise, mais vois-tu, je sais pourquoi notre enfant n’est pas blanc. Tu sais que quand j’étais petite, mon père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant à Grand-Bassam, et ma mère avait choisi une nourrice africaine Lili. Les gènes de son lait sont passés directement dans mon sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
– Ah bon ? C’est pour ça ?
Le jeune papa va au téléphone annoncer la naissance de l’enfant à sa propre maman.
– Oh mon chéri comme je suis heureuse, est-ce qu’il te ressemble ?
– Je suis l’homme le plus heureux de la terre, il me ressemble beaucoup, à part qu’il est aussi noir que je suis blanc. Mais j’ai l’explication…
Voilà : Est-ce que tu savais que quand ta belle-fille était petite, son père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant, et sa mère avait choisi Lili une nourrice noire. Les gènes de son lait sont passés dans son sang et voilà pourquoi notre enfant est aussi coloré.
– Ah oui, je comprends. C’est comme pour toi quand tu étais bébé, je t’ai nourri au lait de vache, les gènes ont du passer dans ton sang et c’est pour ça que tu as des cornes !
Un jour, après avoir lu les méfaits du tabac dans les journaux, il prend une grande décision, et souhaite en informer ses
amis sur le champ.
Paul confie à ses amis :
Tous les jours, en ouvrant mon journal, je lisais des articles sur les méfaits du tabac. Au bout d’un mois, j’ai pris une grande résolution.
Tu as cessé de fumer ?
Non, j’ai arrêté de lire les journaux.