La voituretteUne vieille dame arrive à la station-service dans sa voiturette sans permis et dit au pompiste : – Je voudrais de l’essence, mais alors juste un dé à coudre, hein ! – Très bien à votre service, répond le pompiste. – Et puis de l’huile, mais trois gouttes, hein ! Le pompiste la regarde d’un air quelque peu interloqué et lui demande : – Et dans les pneus, un petit pet ?
Un régal et pas seulement d’un point de vue culinaire !!! Prenez quelques belles aubergines, brillantes, bien en chair, la peau tendue,couchées dans le lit dune cocotte (en fonte). Dès qu’une douce chaleur les envahit, elles s’alanguissent, s’offrent. Le poivron, aux aguets, approche, constate leur disponibilité, et sans même demander leur approbation, se glisse sur elles. L’aubergine n’est pas raciste, rouge, verte ou jaune, elle les accepte tous,dès l’instant où ils sont déshabillés, épépinés. Séduit, le poivron fond. La courgette, pudique mais excitée, se tripote le pédoncule depuis un moment,attend les premiers signes de fatigue pour s’introduire auprès d’eux et ranimer les ardeurs. Impatiente elle n’a pas l’air comme ça, la courgette, elle enjambe la cocotte et très vite se mélange, une main sur l’aubergine, la bouche sur le poivron. Elle est disponible, elle en veut, elle en a partout et sauvagement. La tomate, grande prêtresse des mélanges, attend le moment propice. Les soupirs de l’aubergine, les gémissements de la courgette, la fougue du poivron la mettent au comble de l’excitation. Elle veut du plaisir… Sans tarder, elle pénètre dans la débauche des parfums déjà mêlés, embrasse,étreint, ranime et se laisse enfin prendre par toutes les turgescences.Les odeurs s’unissent, les jus se mélangent. L’orgie est à son comble !!!L’ail a peur de ne pas en être. Il se déshabille rapidement, enlève sa pelure et la gousse gonflée se précipite dans la bacchanale et apporte sa note d’originalité. Le laurier qui aime tout le monde et que tout le monde aime, sait se montrer indispensable, posant sa feuille de l’un à l'autre. Il se fait léger, superficiel, volatile, attentif à ne pas gâcher par son amertume la suavité de ces ébats incestueux. Le thym, fébrile, ne veut pas être en reste, il se précipite, impatient de se répandre au milieu de toutes ces fragrances. Quand tous les participants commencent à se fatiguer, certains même à s’effondrer, le piment fait son apparition,triomphant, volant comme un oiseau au secours des défaillances des uns et des autres, exaltant par son énergie les plus indolents. En langage légume, cela s’appelle faire une RATATOUILLE !!!!BON APPETIT !
Moise, Jésus et un petit vieux barbu jouent au golf. Moise prend son club et d'un swing élégant envoie sa balle. Elle monte en l'air d'un superbe mouvement parabolique et tombe directement... ...dans le lac ! Moise ne se perturbe pas, lève son club et a ce moment les eaux s'ouvrent, lui laissant le passage pour faire un nouveau coup. C'est maintenant au tour de Jésus. Il prend son club et, également d'une parabole parfaite, (rappelez-vous : la parabole c'est sa spécialité !), il envoie la balle dans... ...le lac, ou elle tombe sur une feuille de nénuphar. Sans s'énerver, Jésus se met à marcher sur l'eau jusqu'a la balle, et donne le coup suivant. Le petit vieux prend son club et, d'un geste affreux de qui n'a jamais joué au golf de sa vie, envoie sa balle sur un arbre. La balle rebondit sur un camion puis à nouveau sur un arbre. De la, elle tombe sur le toit d'une maison, roule dans la gouttière, descend le tuyau, tombe dans l'égout d'où elle se trouve lancée dans un canal qui l'envoie... ...dans le lac mentionné ci-dessus. Mais, en arrivant dans le lac, elle rebondit sur une pierre et tombe finalement sur la berge ou elle s'arrête. Un gros crapaud qui se trouve juste a coté l'avale. Et soudain, dans le ciel, un épervier fond sur le crapaud et l'attrape ainsi bien sur que la balle. Il vole au-dessus du terrain de golf, et le crapaud, pris de vertige, finit par vomir la balle... ...juste dans le trou ! Moise se tourne alors vers Jésus et lui dit : 'J'ai horreur de jouer avec ton père !'
RobinsonUn bateau est pris dans une violente tempête et coule. Seul rescapé, un marin niçois, accroché à une planche, échoue sur une île déserte. Heureusement il y a de l’eau douce, des fruits à profusion, et la mer est remplie de poissons, ce qui lui permet de survivre. Le temps passe et au bout de plusieurs mois, un point grossit à l’horizon. Un radeau apparaît. Il s’échoue sur la plage et une superbe naufragée débarque en s’écriant : » Oh bonne mère enfin une île ! » Notre Robinson niçois n’en revient pas : – Té ! Je rêve ! Une femme et en plus une niçoise ! Mademoiselle j’aimerais vous offrir un verre pour votre arrivée, mais je n’ai que de l’eau. – C’est parfait, dit la fille, moi j’ai le pastis. Elle sort de sa trousse de survie une bouteille de 51. Le niçois est ébahi. Il lui dit : – Je m’excuse, je n’ai que des fruits pour l’accompagner. – J’ai ce qu’il faut dit la fille en sortant des olives. Le niçois est aux anges. Quand ils ont terminé leur apéritif, la fille lui demande: – Ça fait longtemps que vous n’avez pas vu une femme ? – Pardi ! Six mois. Alors elle se rapproche de lui et lui dit d’une voix douce : – Ça vous plairait de tirer ? Et le niçois extasié s’écrie : – Oh Bonne mère ! Ne me dites pas que vous avez aussi amené les boules !
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À la piscine municipale!
La voituretteUne vieille dame arrive à la station-service dans sa voiturette sans permis et dit au pompiste :
– Je voudrais de l’essence, mais alors juste un dé à coudre, hein !
– Très bien à votre service, répond le pompiste.
– Et puis de l’huile, mais trois gouttes, hein !
Le pompiste la regarde d’un air quelque peu interloqué et lui demande :
– Et dans les pneus, un petit pet ?
Un régal et pas seulement d’un point de vue culinaire !!!
Prenez quelques belles aubergines, brillantes, bien en chair, la peau tendue,couchées dans le lit dune cocotte (en fonte).
Dès qu’une douce chaleur les envahit, elles s’alanguissent, s’offrent.
Le poivron, aux aguets, approche, constate leur disponibilité, et sans même demander leur approbation, se glisse sur elles.
L’aubergine n’est pas raciste, rouge, verte ou jaune, elle les accepte tous,dès l’instant où ils sont déshabillés, épépinés.
Séduit, le poivron fond.
La courgette, pudique mais excitée, se tripote le pédoncule depuis un moment,attend les premiers signes de fatigue pour s’introduire auprès d’eux et ranimer les ardeurs.
Impatiente elle n’a pas l’air comme ça, la courgette, elle enjambe la cocotte et très vite se mélange, une main sur l’aubergine, la bouche sur le poivron.
Elle est disponible, elle en veut, elle en a partout et sauvagement.
La tomate, grande prêtresse des mélanges, attend le moment propice.
Les soupirs de l’aubergine, les gémissements de la courgette, la fougue du poivron la mettent au comble de l’excitation.
Elle veut du plaisir…
Sans tarder, elle pénètre dans la débauche des parfums déjà mêlés, embrasse,étreint, ranime et se laisse enfin prendre par toutes les turgescences.Les odeurs s’unissent, les jus se mélangent. L’orgie est à son comble !!!L’ail a peur de ne pas en être. Il se déshabille rapidement, enlève sa pelure et la gousse gonflée se précipite dans la bacchanale et apporte sa note d’originalité.
Le laurier qui aime tout le monde et que tout le monde aime, sait se montrer indispensable, posant sa feuille de l’un à l'autre.
Il se fait léger, superficiel, volatile, attentif à ne pas gâcher par son amertume la suavité de ces ébats incestueux.
Le thym, fébrile, ne veut pas être en reste, il se précipite, impatient de se répandre au milieu de toutes ces fragrances.
Quand tous les participants commencent à se fatiguer, certains même à s’effondrer, le piment fait son apparition,triomphant, volant comme un oiseau au secours des défaillances des uns et des autres, exaltant par son énergie les plus indolents.
En langage légume, cela s’appelle faire une RATATOUILLE !!!!BON APPETIT !
Elle monte en l'air d'un superbe mouvement parabolique et tombe directement...
...dans le lac ! Moise ne se perturbe pas, lève son club et a ce moment les eaux s'ouvrent, lui laissant le passage pour faire un nouveau
coup.
C'est maintenant au tour de Jésus. Il prend son club et, également d'une parabole parfaite, (rappelez-vous : la parabole c'est sa
spécialité !), il envoie la balle dans...
...le lac, ou elle tombe sur une feuille de nénuphar. Sans s'énerver, Jésus se met à marcher sur l'eau jusqu'a la balle, et donne le coup
suivant.
Le petit vieux prend son club et, d'un geste affreux de qui n'a jamais joué au golf de sa vie, envoie sa balle sur un arbre. La balle
rebondit sur un camion puis à nouveau sur un arbre. De la, elle tombe
sur le toit d'une maison, roule dans la gouttière, descend le tuyau,
tombe dans l'égout d'où elle se trouve lancée dans un canal qui
l'envoie...
...dans le lac mentionné ci-dessus.
Mais, en arrivant dans le lac, elle rebondit sur une pierre et tombe finalement sur la berge ou elle s'arrête. Un gros crapaud qui se trouve
juste a coté l'avale. Et soudain, dans le ciel, un épervier fond sur le
crapaud et l'attrape ainsi bien sur que la balle. Il vole au-dessus du
terrain de golf, et le crapaud, pris de vertige, finit par vomir la
balle...
...juste dans le trou ! Moise se tourne alors vers Jésus et lui dit : 'J'ai horreur de jouer avec ton père !'
RobinsonUn bateau est pris dans une violente tempête et coule. Seul rescapé, un marin niçois, accroché à une planche, échoue sur
une île déserte. Heureusement il y a de l’eau douce, des fruits à
profusion, et la mer est remplie de poissons, ce qui lui permet de
survivre.
Le temps passe et au bout de plusieurs mois, un point grossit à l’horizon. Un radeau apparaît. Il s’échoue sur la plage et une superbe
naufragée débarque en s’écriant : » Oh bonne mère enfin une île ! »
Notre Robinson niçois n’en revient pas :
– Té ! Je rêve ! Une femme et en plus une niçoise ! Mademoiselle
j’aimerais vous offrir un verre pour votre arrivée, mais je n’ai que de
l’eau.
– C’est parfait, dit la fille, moi j’ai le pastis.
Elle sort de sa trousse de survie une bouteille de 51. Le niçois est ébahi. Il lui dit :
– Je m’excuse, je n’ai que des fruits pour l’accompagner.
– J’ai ce qu’il faut dit la fille en sortant des olives.
Le niçois est aux anges. Quand ils ont terminé leur apéritif, la fille lui demande:
– Ça fait longtemps que vous n’avez pas vu une femme ?
– Pardi ! Six mois.
Alors elle se rapproche de lui et lui dit d’une voix douce :
– Ça vous plairait de tirer ?
Et le niçois extasié s’écrie :
– Oh Bonne mère ! Ne me dites pas que vous avez aussi amené les boules !
Nous avons trois questions à vous poser, mais on préférerait que ce soit Simplet qui les pose.
- Aucun problème, répond le Pape, je t’écoute Simplet.
- Votre Sainteté, est-ce qu’au pôle Nord, il y a des bonnes sœurs ?
- Oui Simplet, au pôle Nord il y a des bonnes sœurs.
- Est-ce qu’au pôle Nord, il y a des bonnes sœurs noires ?
- Oui Simplet, au pôle nord il y a des bonnes sœurs noires.
- Votre Sainteté, est-ce qu’au pôle nord il y a des bonnes sœurs noires et naines ?
- Ah non simplet, il n’y a pas de bonnes sœurs noires et naines.
À ce moment-là, les 6 autres nains crient en chœur :
- Simplet y s’est fait un pingouin ! Simplet y s’est fait un pingouin !
l'installe sur le lit,et commence un strip-tease.
A chaque fois qu'il enlève un vêtement
il montre l'un de ses muscles en disant :
"Tu vois ça, c'est de la dynamite".
Il commence par ses biceps :
de la dynamite,
puis ses pectoraux :
de la dynamite.
Il les énumère tous :
de la dynamite.
Il finit par ses cuisses,
de la dynamite.
Et lorsqu'il enlève son slip,
la fille lui demande :
"Mais dis moi, c'est pas dangereux autant de dynamiteavec une si petite mèche ?