Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon coeur Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Le Bonheur... Le bonheur c’est la vie Quand on la peint en rose Le bonheur c’est l’envie De faire mille choses…
C’est apprécier le temps, Parcourir le chemin Sans crainte ni tourment En croyant à demain… C’est un élan du cœur Vers les plus malheureux C’est vivre en douceur Rendre les siens heureux… Diffuser sa tendresse Dominer ses instincts Et quand fuit la jeunesse Garder le cœur serein… Le bonheur c’est savoir Écouter et apprendre Mais c’est surtout savoir Qu’on ne peut tout comprendre…
Au désert de la Morosité , Où s'enlisent les sensations Et où s'assèchent les sentiments , Quand la nuit et l'ennui s'unissent , Sur sa couche de sable et de cendre , S'endort la rose de Jéricho . Dans l'arène de silence et de solitude , Souveraine est l'angoisse ; Le désarroi d'un coeur privé de rênes , Au sérail , emprisonné .
Au désert de l'Aridité , Où croissent les épines et les ronces Et où les pierres elles-mêmes ne crient plus , Sous les assauts incessants Du soleil à son zénith , Sous l'offensive du vent impétueux , La fleur suffoque et se flétrit . Artères de l'être altérées , Terrain d'exultation inculte , Tel un jardin de joie en jachère .
Étoile esseulée , En une nacelle de sable , enlisée , Cesse donc de te désoler ! Du ciel , la fraîche rosée matinière , - Bénéfice évanescent , - À un nouvel avènement , te mènera .
Aujourd’hui, je viens m’asseoir avec toi Je te fait une demande Je te donne rendez-vous Tu es triste Ton coeur a de la peine Laisse-moi devenir ton complice Laisse ,je t'assiste La solitude est ton ennemie Moi je serai ton ami(e) Tu souffres Ton coeur est blessé Tu vis seul Isolé de tous Tu vis pleins de bouleversements Tu as pleins de tourments Laisse-moi partager tes souffrances Il te faut être bien à l'aise Je désire devenir ton ami(e) Allez raconte-moi Confie-toi ,c’est important Je désire t'écouter tenter de te comprendre Puis-je être une lumière pour toi! Vivre seul, c'est parfois si cruel Ne garde pas le silence T'isoler n'est pas la solution Puis-je te consoler! Je désire te soulager, te protéger Mon amitié te fera peut-être du bien Tu désire savoir qui je suis? Je suis quelqu'un qui désire ton attention Je suis quelqu'un qui désire t'aider, te soulager Je suis un Ange, qui veille sur les coeurs saignants Je suis un Ange , l'Ange protecteur
Sous le rapide vol du temps Oh ! du moins, souviens-toi de moi Parmi les fleurs de mon heureux printemps Moi, je chantais ce chant de ma joie.
Et je me demandais si jusqu'à la dernière heure Mes jours sereins ne renaîtraient pas de l'absence De ta brûlante ivresse dans l'ardeur Ce souvenir de toi dont j'ai conscience.
Emprisonner ce trouble et ces ondes d'émoi Si je sentais une caresse au front Près de l'âtre, réjoui par un grand feu de bois Et de ta parole, j'entends le son.
Souvenirs d'une des nuits, où tes baisers S'embrasaient de ta grâce mystique sur mes lèvres Dans cette ombre qui sort des brumes du passé Sur ce chemin semé d'amours et de rêves.
Et toi, fantôme de l'honneur Je n'ose plus t'attendre Et ce qui me frappa, dans ma sainte terreur C'est de ne plus t'entendre.
Sous l'arcade où le jour s'émousse Et que tu fus à ce dernier jour Il me reste le souvenir des oiseaux et des fleurs Tes parfums, tes chansons et tes douces chaleurs !
Toi c’est un mot
Toi c’est une voix
Toi c’est tes yeux et c’est ma joie
Toi c’est si beau
Toi c’est pour moi
Toi c’est bien là et je n’y crois
Toi c’est soleil
Toi c’est printemps
Toi c’est merveille de chaque instant
Toi c’est présent
Toi c’est bonheur
Toi c’est arc-en-ciel dans mon coeur
Toi c’est distant…
Toi c’est changeant…
Toi c’est rêvant et esquivant…
Toi c’est pensant…
Toi c’est taisant…
Toi c’est tristesse qui me prend…
Toi c’est fini.
Fini ? Pourquoi ?
Toi c’est le vide dans mes bras…
Toi c’est mon soleil qui s’en va…
Et moi, je reste, pleurant tout bas.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Le bonheur c’est la vie
Quand on la peint en rose
Le bonheur c’est l’envie
De faire mille choses…
C’est apprécier le temps,
Parcourir le chemin
Sans crainte ni tourment
En croyant à demain…
C’est un élan du cœur
Vers les plus malheureux
C’est vivre en douceur
Rendre les siens heureux…
Diffuser sa tendresse
Dominer ses instincts
Et quand fuit la jeunesse
Garder le cœur serein…
Le bonheur c’est savoir
Écouter et apprendre
Mais c’est surtout savoir
Qu’on ne peut tout comprendre…
Auteure...Elea Tout Simplement...Overblog
Une mèche de cheveux
Au fond de mon grenier
Blottie dans un tiroir
Un jour j’ai retrouvé :
Une amourette d’un soir
Une mèche de cheveux
Qu’elle m’avait donnée
Une mèche de cheveu
Qu’un jour j’ai caressés
Une mèche de cheveu
Qui venait ressussiter
Le souvenir d’un temps heureux
Le doux mirage d’un été
Je sentais ma mémoire
Prête à tout raconter
Mais je connaissais l’histoire
J’ai préféré rêver…
Ce jour là c’est étrange
J’ai voulu croire aux fées
Mais pincé par un ange
Je me suis éveillé…
Jean Claude Brinette
Au désert de la Morosité ,
Où s'enlisent les sensations
Et où s'assèchent les sentiments ,
Quand la nuit et l'ennui s'unissent ,
Sur sa couche de sable et de cendre ,
S'endort la rose de Jéricho .
Dans l'arène de silence et de solitude ,
Souveraine est l'angoisse ;
Le désarroi d'un coeur privé de rênes ,
Au sérail , emprisonné .
Au désert de l'Aridité ,
Où croissent les épines et les ronces
Et où les pierres elles-mêmes ne crient plus ,
Sous les assauts incessants
Du soleil à son zénith ,
Sous l'offensive du vent impétueux ,
La fleur suffoque et se flétrit .
Artères de l'être altérées ,
Terrain d'exultation inculte ,
Tel un jardin de joie en jachère .
Étoile esseulée ,
En une nacelle de sable , enlisée ,
Cesse donc de te désoler !
Du ciel , la fraîche rosée matinière ,
- Bénéfice évanescent , -
À un nouvel avènement , te mènera .
Isadova
clic ici............https://vimeo.com/seansteininger/roseofjericho
Terre brûlée
Terre incendiée
Ravagée
Ensanglantée
Tu n’oses respirer !
Devenu aridité
Le sol sous le vent
S’éteint sèchement
Il ne pleut que des larmes
Ou des bombes
Sur les tombes
Des morts sans armes
Terre volée
Terre violée
Refleuriras-tu un jour
Souriras-tu encor ?
Pleureras-tu alors
Reviendront les bonjours ?
Où sont les enfants
Où sont leurs parents ?
(Malices)
Poète
Charles-Pierre Baudelaire est un poète français,
né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la
même ville le 31 août 1867. Wikipédia
Le Serpent Qui Danse
Que j'aime voir, chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau!
Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s'éveille
Au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain.
Tes yeux, où rien ne se révèle
De doux ni d'amer,
Sont deux bijoux froids où se mêle
L'or avec le fer.
A te voir marcher en cadence,
Belle d'abandon,
On dirait un serpent qui danse
Au bout d'un bâton.
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d'enfant
Se balance avec la mollesse
D'un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s'allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l'eau.
Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants,
Quand l'eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents,
Je crois boire un vin de Bohême,
Amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème
D'étoiles mon coeur !
Auteur : Charles Baudelaire
Les Fleurs Du Mal
POUR TOI QUI EST SEUL(E)
Aujourd’hui, je viens m’asseoir avec toi
Je te fait une demande
Je te donne rendez-vous
Tu es triste
Ton coeur a de la peine
Laisse-moi devenir ton complice
Laisse ,je t'assiste
La solitude est ton ennemie
Moi je serai ton ami(e)
Tu souffres
Ton coeur est blessé
Tu vis seul
Isolé de tous
Tu vis pleins de bouleversements
Tu as pleins de tourments
Laisse-moi partager tes souffrances
Il te faut être bien à l'aise
Je désire devenir ton ami(e)
Allez raconte-moi
Confie-toi ,c’est important
Je désire t'écouter tenter de te comprendre
Puis-je être une lumière pour toi!
Vivre seul, c'est parfois si cruel
Ne garde pas le silence
T'isoler n'est pas la solution
Puis-je te consoler!
Je désire te soulager, te protéger
Mon amitié te fera peut-être du bien
Tu désire savoir qui je suis?
Je suis quelqu'un qui désire ton attention
Je suis quelqu'un qui désire t'aider, te soulager
Je suis un Ange, qui veille sur les coeurs saignants
Je suis un Ange , l'Ange protecteur
@copyright Théma
Souvenirs de toi
Sous le rapide vol du temps
Oh ! du moins, souviens-toi de moi
Parmi les fleurs de mon heureux printemps
Moi, je chantais ce chant de ma joie.
Et je me demandais si jusqu'à la dernière heure
Mes jours sereins ne renaîtraient pas de l'absence
De ta brûlante ivresse dans l'ardeur
Ce souvenir de toi dont j'ai conscience.
Emprisonner ce trouble et ces ondes d'émoi
Si je sentais une caresse au front
Près de l'âtre, réjoui par un grand feu de bois
Et de ta parole, j'entends le son.
Souvenirs d'une des nuits, où tes baisers
S'embrasaient de ta grâce mystique sur mes lèvres
Dans cette ombre qui sort des brumes du passé
Sur ce chemin semé d'amours et de rêves.
Et toi, fantôme de l'honneur
Je n'ose plus t'attendre
Et ce qui me frappa, dans ma sainte terreur
C'est de ne plus t'entendre.
Sous l'arcade où le jour s'émousse
Et que tu fus à ce dernier jour
Il me reste le souvenir des oiseaux et des fleurs
Tes parfums, tes chansons et tes douces chaleurs !
Marie_Louise.