Laissez-vous emporter par le rêve Dans un monde où s'égrènent rires et sons Aux détours de mes mots Voyage qui nous "fait exister de tout ce qui nous remplit".
Le ciel fredonne de doux chants bleus Rêve d'un lointain ailleurs Où des voyageurs vont nous délivrer un message Qui dépasse l'entendement.
Partir, c'est assouvir le peu Et le faire grandir, puis le faire mûrir De pensées qui se tiennent Qui aident à se construire. Partir, c'est aussi mourir aux souvenirs.
Mon oasis est une perle rare dans le désert Nous voyageons depuis l'aube des temps Un arrachement au temps d'imageries lointaines Qui vous libère l'âme.
Personne ne te remplacera Dans mon coeur toujours tu seras Je ne passe aucune journée Sans que tu sois dans mes pensées Je n'aime que toi J'ai besoin de toi Personne ne peut m'apporter Ce que tu as su me donner Plus que tu ne crois Mon amour n'est désormais que pour toi Avec toi mon amour la vie est belle Je t'aime et je t'aimerai toujours
Adélaïde , ma belle de jour , Éclos de ton sommeil d'hiver ; Reviens de ton pélerinage en terre Thébaïde , Et descends te désaltérer à la source limpide , L'hirondelle , messagère du printemps , est de retour ! Et la douce colombe Nidifie au Jardin des Délices ... De la saison nouvelle qui , timide , s'élève , Délectons-nous sans délai , ô , ma dulcinée !
Je suis l'Adonis fidèle et aimant , L'aède du mont Olympe , Le chantre à la lyre , avide de vers .
Adélaïde , ma pierre de lune , Pour logis d'amour , J'ai imaginé un Taj Mahal idéal , un Éden candide , Par un déluge de cascades de fleurs capiteuses , sublimé , À faire pâlir les splendides roses des jardins de Babylone .
Adélaïde , mon étoile filante , D'huile lucide et vivifiante , Emplis le vase de ta lampe ; Sous l'égide du Roi Soleil , Et du bel Apollon , notre guide , Vers notre céleste Eldorado , - Écrin de notre idylle , - Chevauchant les chérubins , Envolons-nous sur les ailes du vent ...
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail et les endroits dans lesquels ils avaient passé leurs vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits. Les gens se promenaient parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade quipassait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent… Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de luiaccorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'hommeétait aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. « Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. » commenta t-elle. Auteur inconnu
Il y a des personnes qui te lisent comme un livre ouvert, qui te ferme comme un livre lu, qui t’écrivent comme un livre blanc, qui perdent le signet, qui voulait te lire, mais les émotions n’étaient pas en solde... Qui t’ont déballé et placé sur une étagère, qui t’ont amené à la maison et mis dans la bibliothèque. …. Peut-être qu’un jour quelqu’un te lira sérieusement, de la couverture à la dernière page et te gardera avec lui comme un cadeau précieux. (Francesco P.Ettari)
Laissez-vous emporter par le rêve
Dans un monde où s'égrènent rires et sons
Aux détours de mes mots
Voyage qui nous "fait exister de tout ce qui nous remplit".
Le ciel fredonne de doux chants bleus
Rêve d'un lointain ailleurs
Où des voyageurs vont nous délivrer un message
Qui dépasse l'entendement.
Partir, c'est assouvir le peu
Et le faire grandir, puis le faire mûrir
De pensées qui se tiennent
Qui aident à se construire.
Partir, c'est aussi mourir aux souvenirs.
Mon oasis est une perle rare dans le désert
Nous voyageons depuis l'aube des temps
Un arrachement au temps d'imageries lointaines
Qui vous libère l'âme.
Marie_Louise.
Autorisation De Rêver...
S'il fallait abandonner nos rêves,
Nous perdrions la joie de vivre,
Dans la routine faire une trêve,
Pour que le plaisir nous enivre...
Se revêtir de simples étoiles,
Pour que la lumière nous fasse briller,
Que sur la nuit se lève le voile,
Et que le désir nous fasse vibrer...
S'autoriser à s'évader,
C'est se permettre de faire les pas,
Vers ce qu'on a imaginé,
Et que la vie nous permettra...
Ce n'est quand même pas la mer à boire,
Que de vouloir se rendre bien,
Ce n'est pas avoir de faux espoirs,
Que d'envoyer balader le chagrin...
Allez vas-y envole toi,
Visualise tes rêves fous,
Ferme les yeux, ressens la joie,
Et cesse donc de vivre à genoux...
La vie est faite pour se déployer,
Il sera trop tard une fois parti,
Pour se dire qu'on aurait dû tenter,
De se construire un paradis...
Alexandra Julien, Auteur
CONFIANCE EN MON AMOUR
Personne ne te remplacera
Dans mon coeur toujours tu seras
Je ne passe aucune journée
Sans que tu sois dans mes pensées
Je n'aime que toi
J'ai besoin de toi
Personne ne peut m'apporter
Ce que tu as su me donner
Plus que tu ne crois
Mon amour n'est désormais que pour toi
Avec toi mon amour la vie est belle
Je t'aime et je t'aimerai toujours
@copyright Théma
Adélaïde et Adonis
Adélaïde , ma belle de jour ,
Éclos de ton sommeil d'hiver ;
Reviens de ton pélerinage en terre Thébaïde ,
Et descends te désaltérer à la source limpide ,
L'hirondelle , messagère du printemps , est de retour !
Et la douce colombe
Nidifie au Jardin des Délices ...
De la saison nouvelle qui , timide , s'élève ,
Délectons-nous sans délai , ô , ma dulcinée !
Je suis l'Adonis fidèle et aimant ,
L'aède du mont Olympe ,
Le chantre à la lyre , avide de vers .
Adélaïde , ma pierre de lune ,
Pour logis d'amour ,
J'ai imaginé un Taj Mahal idéal , un Éden candide ,
Par un déluge de cascades de fleurs capiteuses , sublimé ,
À faire pâlir les splendides roses des jardins de Babylone .
Adélaïde , mon étoile filante ,
D'huile lucide et vivifiante ,
Emplis le vase de ta lampe ;
Sous l'égide du Roi Soleil ,
Et du bel Apollon , notre guide ,
Vers notre céleste Eldorado ,
- Écrin de notre idylle , -
Chevauchant les chérubins ,
Envolons-nous sur les ailes du vent ...
Isadova
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail et les endroits dans lesquels ils avaient passé leurs vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits. Les gens se promenaient parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène
pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade quipassait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent…
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de luiaccorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se
tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'hommeétait aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. « Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. » commenta t-elle.
Auteur inconnu
Toutes mes pensées sont à toi,
Comme l’arbre fait parti du bois.
Tout ce que j’aime t’appartient
Aujourd’hui mais aussi demain
Les mystères conquis,
La musique sur l’infini.
Le vent qui caresse la maison,
Jusqu’aux pierres usées par les saisons.
Dans la cheminée le feu qui veille,
La nature et toutes ces merveilles.
La première graine qui prend vie au printemps,
Les oiseaux et leurs chants.
L’espoir qui renait dans les roses du jardin
La beauté d’un champ de lavandin.
Tout ce qui est dans ma main,
T’appartient comme mes écrits sur un parchemin.
Les rêves réels et les fruits aux tons vermeils,
Le goût de vivre, l’amour, mon sommeil,
L’oubli, ma vie, tout ce que j’aime
Un cahier de toi retrouvé dont j’ai fait mon emblème,
Des mots écrits qui offrent un doux poème.
Qui me sert dans le combat à renaitre à la vie même.
Copyright @Claudie
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.
Paul Eluard (1895-1952)
La barque
Des branches
Ont tissé
Leur toile
Une barque
Couleur Marne
Erre là
Depuis
La nuit des temps
Elle attend
Thierry Petibon
"Sur les routes de mon pays"
Dans le Silence... tell me
Il y a des personnes qui te lisent comme un livre ouvert, qui te ferme comme un livre lu, qui t’écrivent comme un livre blanc, qui perdent le signet, qui voulait te lire, mais les émotions n’étaient pas en solde...
Qui t’ont déballé et placé sur une étagère, qui t’ont amené à la maison et mis dans la bibliothèque.
….
Peut-être qu’un jour quelqu’un te lira sérieusement, de la couverture à la dernière page et te gardera avec lui comme un
cadeau précieux.
(Francesco P.Ettari)