Cet événement nous est arrivé un samedi soir, quand minuit allait sonner. Nous étions prêts d’éteindre la lumière pour aller nous coucher quand nous avons entendu un groupe de gens parler dans la rue, juste devant notre maison. C’est Alors que nous avons entendu deux bruits sourds, juste au-dessus de notre chambre, suivit par des éclats de rire, et de gens prenant leurs à leurs jambes à leur cou pour déguerpir le plus rapidement possible.
Nous sommes sortis rapidement du lit, et je me rappelle de m’être précipité pour allumer la lumière extérieure de la maison. J’étais prêt à courir après eux, quand j’ai réalisé que j’étais pieds nus. Nous venions d’être bombardés avec des œufs !
Il était trop tard pour nettoyer ce désordre et je décidais d’attendre le matin suivant pour faire cette corvée, car je ne voulais pas, en plus, déranger nos voisins.
Le lendemain tôt, je me suis armé d’un seau d’eau chaude et d’une brosse pour monter sur mon échelle pour nettoyer ce mess. Une tâche peu reluisante à faire de nettoyer ces coulures d’œufs au-dessus des fenêtres de notre chambre.
Ma tâche avait été rendue encore plus difficile par les deux grands auvents de toile qui protégeaient les fenêtres de notre chambre.
Comme je travaillais en ravalant ma mauvaise humeur contre cette bande de scélérats, je découvris qu’une des petites fenêtres qui se trouvait en dessous du toit était endommagée et prête à tomber en morceaux dans l’allée devant notre maison.
Juste à quelques pas, était installé un anneau de basket-ball—nos deux garçons jouaient souvent avec leurs amis à cet endroit— j’ai réalisais alors le danger qui aurait pu arriver si les morceaux de verre de cette fenêtre étaient tombés sur eux.
Quand le nettoyage de ce désordre fut terminé, je pris la décision de sécuriser les fêlures de cette vitre avec un ruban adhésif noir. Moins de 24 heures plus tard, la fenêtre était remplacée.
Si cet incident n’était pas survenu ce samedi soir, je n’aurais pas pu découvrir l’état de cette fenêtre qui était sur le point de se briser et de tomber dans notre allée.
Bien que contrarié, cela ne m’avait pas pris trop de temps pour nettoyer ces taches sur la façade de notre maison ; mais par contre, ces morceaux de verre auraient pu blesser nos garçons et avoir des conséquences bien plus graves dans leurs vies.
Bien souvent dans la vie, des petites choses comme cela qui nous arrivent, nous cause de la peine, des ennuis, et même des irritations.
Pourtant, nous devrions regarder le côté positif de ces choses et le bien qui peut en ressortir.
Qu’il y a toujours une lueur d’espoir, même derrière les nuages les plus sombres de ces situations indésirables et gênantes.
Qu’il y a toujours une face positive dans n’importe quelle situation qui nous arrive, quelque chose d’important que la vie nous enseigne.
Quelques belles choses de la vie J'habite à Annaba en Algérie Là où est enterré Saint Augustin ... D'ailleurs je visite presque quotidiennement l'asile des vieux qui est mitoyen à la basilique. Les petites soeurs des pauvres accueillent sans distinction de religions ni d'origine tous les pauvres. Je viens de lire une belle citation de Michèle "si on devait quitter ce monde" et alors j'ai pensé à ce poème de Saint Augustin que je partage avec vous. Essia ================================================= La mort n'est rien La mort n'est rien,je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous.Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. N'employez pas un ton différent,ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez,pensez à moi,priez pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été,sans emphase d'aucune sorte,sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées,simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
Canon Henry Scott-Holland (1847-1918), traduction d'un extrait de "The King of Terrors", sermon sur la mort 1910 Quelquefois attribué à Charles Péguy, d'après un texte de Saint Augustin
Pour remonter le temps Profitant de chaque instant J'élabore un plan savant Pour en apprécier chaque vent
Je revois par mes souvenirs Les plus beaux de mes sourires Je perçois dans ma mémoire Les larmes de mon désespoir
Un visage plein de tendresse Vient charmer mon allégresse Une face s'empile , s'efface Pour ne laisser aucune trace
Le conte à rebours sans cesse Démonte le temps , insistant La machine perd de la vitesse Au détriment des doux moments
Je ne peux plus compter à l'envers Je ne veux plus regarder en arrière Laisser à ma pensée libre cours Ne plus jamais conter à rebours
Thierry Petibon Chapitre V - La Liberté Recueil Le Chemin
"Conte à rebours" = Conte vers une fin déterminée --> face à ce déterminisme , le poète se révolte et se réfugie dans l'intemporel . Un conte n'est-il pas un récit de faits imaginaires ...
Une étincelle sous la pluie demoiselle Cherche son futur sans invite au feeling Un petit feu sans artifice juste incendiaire Pour vivre a deux cheminer par le vent Et quelques braises amicales familières Juste pour l'ambiance de la chaumière
Une étincelle qui survit sans amis Elle fait la fière mais n'en revient pas d'hier Elle était bien dans se feu de copain Entourée de vieilles branches de sapin Elle dansait se tortillait sous le vent Mais ça c'était avant, avant la pluie
Le sobriquet un petit feu de briquet La saluant de la pointe de sa flamme Petite demoiselle puis je vous rallumer Et puis le vent qui les sépare en intermittence Tu vois ce petit tour de passe passe Je suis magie le feu de l'amour
———————————————————–journal d’un enfant. à méditer.. _Toi qui m’aime, ne me gâte pas trop, Je sais bien que je peux obtenir tout ce que je veux, j’essaie seulement… _N’aie pas peur d’être ferme avec moi, J’aime mieux quand tu l’es, car je me sens en sécurité… _Ne me laisse pas avoir de mauvaises habitudes, si j’en ai, c’est à toi de me les faire perdre pendant que je suis jeune… _Ne fais pas en sorte que je me sente plus petite que je ne suis, ça me pousse à agir stupidement pour montrer que je suis grande… _Ne me corrige pas en public, si tu le peux, je comprends beaucoup mieux ce que tu me dis quand tu me parles doucement et dans l’intimité… _Ne me protège pas trop des conséquences de mes décisions. Je dois apprendre les leçons de la vie. _N’oublie pas que je ne peux pas m’exprimer aussi bien que je le voudrais, c’est pourquoi je ne suis pas toujours très précise… _Ne me repousse pas quand je te pose des questions, si tu le fais, je devrais trouver des réponses ailleurs… _ne me dis pas que tu es infaillible, je reçois un grand choc quand je découvre que ce n’est pas vrai… _N’oublie pas que j’aime faire des expériences, je ne peux vivre sans elles… _Fais preuve de patience, ne te préoccupes pas trop de mes petits malaises, ils me permettent souvent de recevoir l’attention dont j’ai besoin… _n’oublie pas que je grandis vite, c’est difficile de me suivre, mais essaie! ton enfant.
Aux pieds de trois coteaux habillés de sapins Gît un lac profond, clair et sage, Où maintes fois je suis descendu, le matin, Aspirer la paix qu'il dégage.
Rond et luxuriant, à son centre, un îlot Ressemble au chaton d'une bague ; Les arbres alentour, penchés au bord de l'eau, Y dessinent des formes vagues.
Libre de quais encore, à nul chemin ouvert, Inutile et pur diadème, Il est, dans l'âpreté de ce pays désert. Une oeuvre d'art pour l'art lui-même.
Je suis ton amant pauvre, ô lac, et ne peux pas Arrêter les sinistres haches ; Écoute-les sonner, autour de toi, le glas Du bois qui te pare et te cache.
Tu deviendras, parmi les maisons, les champs nus, Une eau sans attraits, une mare, Une chose qui sert à naviguer dessus, Dont la multitude s'empare.
Qu'importe ! Ils n'auront pas, ces maîtres imposés, Connu ton sourire de vierge ; Je le garde en mon cœur comme un secret baiser Que j'aurais cueilli sur ta berge. Alphonse BEAUREGARD
petit papillon virevoltant parmi les rafales de vent tu déploies tes jolies ailes aux couleur de l’arc -en -ciel au plus grand plaisir de nos yeux qui t’admirent l’air heureux Tu crées autour de toi merveilles et rêves fastidieux dommage que tes jours soient comptés petit être aux allure de fée.
Dans le temps… On avait le temps de prendre son temps.. Le temps de grandir.. Le temps de marcher, Le temps de sourire.. Le temps de prier et de réfléchir.. Le temps de conter tant de souvenirs.. Le temps de chanter.. Le temps de vieillir.. Le temps de s’aimer et de mourir. A présent: L’homme , tout le temps court après le temps, il n’a plus le temps de perdre son temps. Et pourtant: Il arrive un temps, où la mort l’attend.
J'habite à Annaba en Algérie
Là où est enterré Saint Augustin ...
D'ailleurs je visite presque quotidiennement l'asile des vieux qui est mitoyen à la basilique.
Les petites soeurs des pauvres accueillent sans distinction de religions ni d'origine tous les pauvres.
Je viens de lire une belle citation de Michèle
"si on devait quitter ce monde"
et alors j'ai pensé à ce poème de Saint Augustin
que je partage avec vous.
Essia
=================================================
La mort n'est rien
La mort n'est rien,je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez,pensez à moi,priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été,sans emphase d'aucune sorte,sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
Canon Henry Scott-Holland (1847-1918), traduction d'un extrait de "The King of Terrors", sermon sur la mort 1910
Quelquefois attribué à Charles Péguy, d'après un texte de Saint Augustin
Pour remonter le temps
Profitant de chaque instant
J'élabore un plan savant
Pour en apprécier chaque vent
Je revois par mes souvenirs
Les plus beaux de mes sourires
Je perçois dans ma mémoire
Les larmes de mon désespoir
Un visage plein de tendresse
Vient charmer mon allégresse
Une face s'empile , s'efface
Pour ne laisser aucune trace
Le conte à rebours sans cesse
Démonte le temps , insistant
La machine perd de la vitesse
Au détriment des doux moments
Je ne peux plus compter à l'envers
Je ne veux plus regarder en arrière
Laisser à ma pensée libre cours
Ne plus jamais conter à rebours
Thierry Petibon
Chapitre V - La Liberté
Recueil Le Chemin
"Conte à rebours"
= Conte vers une fin déterminée
--> face à ce déterminisme ,
le poète se révolte et se réfugie dans l'intemporel .
Un conte n'est-il pas un récit de faits imaginaires ...
Chanson pour oublier
...Et j'extravague
Loin de la vague
De mes ennuis,
Ce que j'invente
Je me demande
Pourquoi, pour qui...
Alors j'invente
La valse lente
Où l'on oublie.
...Un piano joue
Tourne la roue
De notre vie...
Te voilà loin,
Moi dans un coin,
Toute hébétée,
Sans réfléchir,
Laisse courir
La destinée.
...Et j'extravague
le regard vague
Et l'esprit flou
Plus loin j'entends
Un tintement:
"Un piano joue".
Alors j'esquisse
Avec délice
Trois pas de danse,
Et en cadence,
Moi je m'envole
C'est vraiment drôle...
copyrigh@ Marie-Hélène
Une étincelle sous la pluie demoiselle
Cherche son futur sans invite au feeling
Un petit feu sans artifice juste incendiaire
Pour vivre a deux cheminer par le vent
Et quelques braises amicales familières
Juste pour l'ambiance de la chaumière
Une étincelle qui survit sans amis
Elle fait la fière mais n'en revient pas d'hier
Elle était bien dans se feu de copain
Entourée de vieilles branches de sapin
Elle dansait se tortillait sous le vent
Mais ça c'était avant, avant la pluie
Le sobriquet un petit feu de briquet
La saluant de la pointe de sa flamme
Petite demoiselle puis je vous rallumer
Et puis le vent qui les sépare en intermittence
Tu vois ce petit tour de passe passe
Je suis magie le feu de l'amour
Je cherche l'étincelle de ma vie...
Didi
———————————————————–journal d’un enfant. à méditer..
_Toi qui m’aime, ne me gâte pas trop,
Je sais bien que je peux obtenir
tout ce que je veux,
j’essaie seulement…
_N’aie pas peur d’être ferme avec moi,
J’aime mieux quand tu l’es,
car je me sens en sécurité…
_Ne me laisse pas avoir de mauvaises habitudes,
si j’en ai, c’est à toi de me les faire perdre
pendant que je suis jeune…
_Ne fais pas en sorte
que je me sente plus petite que je ne suis,
ça me pousse à agir stupidement
pour montrer que je suis grande…
_Ne me corrige pas en public, si tu le peux,
je comprends beaucoup mieux ce que tu me dis
quand tu me parles doucement et dans l’intimité…
_Ne me protège pas trop
des conséquences de mes décisions.
Je dois apprendre les leçons de la vie.
_N’oublie pas que je ne peux pas m’exprimer
aussi bien que je le voudrais,
c’est pourquoi je ne suis pas toujours très précise…
_Ne me repousse pas quand je te pose des questions,
si tu le fais, je devrais trouver des réponses ailleurs…
_ne me dis pas que tu es infaillible,
je reçois un grand choc
quand je découvre que ce n’est pas vrai…
_N’oublie pas que j’aime faire des expériences,
je ne peux vivre sans elles…
_Fais preuve de patience,
ne te préoccupes pas trop de mes petits malaises,
ils me permettent souvent de recevoir
l’attention dont j’ai besoin…
_n’oublie pas que je grandis vite,
c’est difficile de me suivre, mais essaie!
ton enfant.
Aux pieds de trois coteaux habillés de sapins
Gît un lac profond, clair et sage,
Où maintes fois je suis descendu, le matin,
Aspirer la paix qu'il dégage.
Rond et luxuriant, à son centre, un îlot
Ressemble au chaton d'une bague ;
Les arbres alentour, penchés au bord de l'eau,
Y dessinent des formes vagues.
Libre de quais encore, à nul chemin ouvert,
Inutile et pur diadème,
Il est, dans l'âpreté de ce pays désert.
Une oeuvre d'art pour l'art lui-même.
Je suis ton amant pauvre, ô lac, et ne peux pas
Arrêter les sinistres haches ;
Écoute-les sonner, autour de toi, le glas
Du bois qui te pare et te cache.
Tu deviendras, parmi les maisons, les champs nus,
Une eau sans attraits, une mare,
Une chose qui sert à naviguer dessus,
Dont la multitude s'empare.
Qu'importe ! Ils n'auront pas, ces maîtres imposés,
Connu ton sourire de vierge ;
Je le garde en mon cœur comme un secret baiser
Que j'aurais cueilli sur ta berge.
Alphonse BEAUREGARD
petit papillon virevoltant
parmi les rafales de vent
tu déploies tes jolies ailes
aux couleur de l’arc -en -ciel
au plus grand plaisir de nos yeux
qui t’admirent l’air heureux
Tu crées autour de toi
merveilles et rêves fastidieux
dommage que tes jours soient comptés
petit être aux allure de fée.
On avait le temps de prendre son temps..
Le temps de grandir..
Le temps de marcher,
Le temps de sourire..
Le temps de prier et de réfléchir..
Le temps de conter tant de souvenirs..
Le temps de chanter..
Le temps de vieillir..
Le temps de s’aimer et de mourir.
A présent:
L’homme , tout le temps
court après le temps,
il n’a plus le temps de perdre son temps.
Et pourtant:
Il arrive un temps, où la mort l’attend.
Il est là le BONHEUR...