"Je veux t'aimer sans m'agripper, T' apprécier sans te juger, Te rejoindre sans t'envahir, T'inviter sans insistance, Te laisser sans culpabilité, Te critiquer sans te blâmer, T'aider sans te diminuer,
Si tu veux m'accorder la même chose, Alors nous pourrons nous rencontrer et nous enrichir l'un et l'autre "
Poème de Virginia Satir sur l'amour véritable et ce qu'il devrait toujours être
DE Virginia Satir(1916 - 1988) , psychothérapeute américaine plus connue
dans le monde des thérapies nouvelles
La maturité humaine, selon elle, c'est lorsque la personne est capable de se prendre en
Rappelle-toi Rappelle-toi de moi Si tu le veux bien Si tes souvenirs demeurent fidèles De l’aube des jours Au crépuscule des nuits Rappelle-toi, je suis le lutin Qui te réveillait le matin En riant comme un diablotin Avec un sourire mutin Rappelle-toi, serais-je ce visage Qui se noyait en tes yeux câlins À qui tu ouvrais les bras accueillants Comme un arc en ciel Valse timide au soleil béat Rappelle-toi, je suis le pantin Qui se désarticulait de joie Dont tu tirais les ficelles Pour faire danser les bambins Rappelle-toi de moi Si tu le veux encore Si ton âme pure scintille toujours Du crépuscule des jours À l’aube des nuits
Mon bel été est presque terminé Quand je vois septembre arriver Quand les fleurs vont se dessécher Ou que les feuilles seront coloriées
Au fond je le sais, il faut être réaliste Mais je me permets d’être un peu triste L’été depuis toujours, est ma saison préférée Celle qui m’a fait le plus souvent rêver
Durant mes étés j’avais beaucoup de projets De mes étés, j’ai gardé beaucoup de secrets Je me surprenais parfois à désirer Des choses, extérieures à mes pensées
Pourtant mois de septembre, et tes jours radieux Tu seras toujours un délice pour mes yeux De nos saisons, tu es le plus grand séducteur Tu nous grises avec tes belles couleurs
Durant chaque nuit je peux me reposer Pour profiter de chacune de mes journées Il faut croire que tu es un bon système On veut se rapprocher de celle qu’on aime
On a le goût de lui écrire des poèmes Aussi, lui dire souvent qu’on l’aime Mois de septembre tu sais, à bien y penser Je devrais te garder toute l’année
Je serais prêt même, à te privilégier Mais il ne faudrait pas, le dire à l’été
Il n'y a rien qui cloche chez moi Je suis aussi en santé que qui que ce soit J'ai de l'arthrite aux deux genoux Et je parle toujours avec une petite toux Mon sang est faible et mon pouls volage Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge ! Mon foie fonctionne de façon pénible Et j'ai un mal de reins terrible J'entends mal, ma vue a baissé Tout le système semble désaccordé Mon médecin me dit que la fin approche Car à chaque jour quelque chose de plus décroche La manière dont je zigzague en marchant Je vais me ramasser par terre avant longtemps Je saute et je sursaute au moindre remue-ménage Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge ! Canne ou bras charitable, il me faut pour avancer Je ne saurais autrement la rue traverser Mes articulations sont crochues et raides La tremblote m'oblige à demander de l'aide Nuit après nuit, c'est l'insomnie Et le matin j'ai l'air d'un mort-en-vie Je radote, j'ai des étourdissements Je ne vis que de médicaments, pilules ou drogue Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge ! La morale de cette histoire d'infirmité Est que, pour vous et moi en route pour l'éternité Il est préférable de dire un: "Je suis encore pas mal capable" bien sage ! C'est ce qui nous fera le mieux vivre à "notre âge " !
L’habit ne fait pas le moine, Combien cet adage Est pertinent !
Grand, mince, Cheveux mi- longs, Vêtements étriqués, L’air plutôt hagard, Image irréaliste Ou surréaliste D’une personne à part, Voix rauque et profonde, Autoportrait de quelqu’un Un tant soit peu Marginal du monde, Créature de plaintes Et de douleurs, L’image est sublime Et parfaite…
Mais, n’est-ce pas là Un stéréotype D’une image romanesque Qu’on se fait de lui ?
La plume n’a pas besoin De couleurs pour exister, Ni d’une chandelle Pour la main qui écrit ; La poésie tient du cœur, Elle s’offre sans retenue Pour celui qui l’aime, Et qui sait l’aimer. Peut-être, près de chez vous Avez-vous…
Tu peux hocher la tête et te rire de moi, Avec ton vieux chapeau, pauvre pantin de paille, Je t'ai bien aperçu tout au bout du chemin, Maigre et fantasmatique et me faisant grimace! As-tu vu ces humains, ces hordes en furie, Qui brandissaient leurs piques en injuriant le ciel?
Ce ne sont que des arbres dans cette immense plaine, Ils sont enracinés, et ne peuvent marcher...
Que sont ces lumignons ressemblant à des yeux, Et qui dans la pénombre me fixent, m'interrogent? ...Je vois encore au loin des monstres aux dents pointues, Des dents si menaçantes que je voudrais m'enfuir...
Ce sont les dents de l'océan qui mordent les rochers, Les bâteaux et la terre, sans faim ni soif, et sans férocité...
Cette étendue informe de vase qui bouillonne Où viennent s'abreuver des oiseaux de malheur, Et ces formes mouvantes, lorsque tombe le soir, Sans yeux, ni nez, ni bouche, est-ce qu'elles peuvent aimer?
Ceci est la matière qui se fait des enfants, Elle s'en fait des myriades pour se faire la guerre...
Et cette brume cendre aux effluves de sang, Et ce bruit lancinant dans cet épais brouillard?
Tout ceci est l'espace, l'espace très malade De trop d'indifférence...et l'espace se meurt...
Seize heures, il fait si chaud, pas la moindre risée, L'air opaque s'effrite, par le soleil brisé. Le temps retient son souffle et suspend son haleine, Ah! pouvoir respirer! Mais ce n'est pas la peine, Quand on est prisonnier au coeur de la fournaise, Aspirant un air chiche, brûlant comme la braise! On rêve d'oasis et de palmiers mirages Qui s'impriment en nos yeux, fallacieuses images. Le papillon, tapi sous la feuille jaunie Vit ses derniers instants, tout près de l'asphyxie! Les oiseaux, accablés, cherchent en vain la fraîcheur, Loin de l'astre brutal qui brille avec ardeur. La terre desséchée se fissure et se ride, Suffoquant, crevassée par la chaleur morbide!
Il ne suffit pas d' être en vie, il faut être vivant.....( de René Barjavel)
Joli petite plume !!! Dépose tes jolis mots !! Douce, amoureuse et légère !! Déplore !!! la haine et la colère.... Et prône !!! l’amour, et le repos… Sans jamais trop en dire….. Toujours donne joie et plaisir !!!
Avec quelques notes d’alphabet…. Bien au tempo de la musique…. Douce tendre , grande romantique !!
Danse !!! vole !! aime !!!! vibre sur le papier….. Au son des jolies rengaines…. Exprime tous ces « je t’aime » !!!!!!
Demain, après demain…… Plus fort !!!! encore !!!!
Chante… sur ce refrain !!!!
copyright ? Nadianna ?
"créa romantique en vidéo peu connue , si belle chanson.." "Viens me retrouver"
Thème: femme-mer / mer-femme
La femme est la mer-
Y vogue l’homme heureux
Jusqu’à l‘infini
************************************
Où la mer veille ?
- Jusqu’à l’horizon là-bas
Où la femme attend
*************************************
La femme pleure
Quand chantent les sirènes -
Récifs de la mer
**********************************
Les femmes chantent
Quand pleure la sirène -
La mer est calme
Malices
T' apprécier sans te juger,
Te rejoindre sans t'envahir,
T'inviter sans insistance,
Te laisser sans culpabilité,
Te critiquer sans te blâmer,
T'aider sans te diminuer,
Si tu veux m'accorder la même chose,
Alors nous pourrons nous rencontrer et nous enrichir l'un et l'autre "
Poème de Virginia Satir sur l'amour véritable et ce qu'il devrait toujours être
DE Virginia Satir(1916 - 1988) , psychothérapeute américaine plus connue
dans le monde des thérapies nouvelles
La maturité humaine, selon elle, c'est lorsque la personne est capable de se prendre en
charge pleinement elle-même.
Rappelle-toi de moi
Si tu le veux bien
Si tes souvenirs demeurent fidèles
De l’aube des jours
Au crépuscule des nuits
Rappelle-toi, je suis le lutin
Qui te réveillait le matin
En riant comme un diablotin
Avec un sourire mutin
Rappelle-toi, serais-je ce visage
Qui se noyait en tes yeux câlins
À qui tu ouvrais les bras accueillants
Comme un arc en ciel
Valse timide au soleil béat
Rappelle-toi, je suis le pantin
Qui se désarticulait de joie
Dont tu tirais les ficelles
Pour faire danser les bambins
Rappelle-toi de moi
Si tu le veux encore
Si ton âme pure scintille toujours
Du crépuscule des jours
À l’aube des nuits
(Malices)
08/09/2016
Mon bel été est presque terminé
Quand je vois septembre arriver
Quand les fleurs vont se dessécher
Ou que les feuilles seront coloriées
Au fond je le sais, il faut être réaliste
Mais je me permets d’être un peu triste
L’été depuis toujours, est ma saison préférée
Celle qui m’a fait le plus souvent rêver
Durant mes étés j’avais beaucoup de projets
De mes étés, j’ai gardé beaucoup de secrets
Je me surprenais parfois à désirer
Des choses, extérieures à mes pensées
Pourtant mois de septembre, et tes jours radieux
Tu seras toujours un délice pour mes yeux
De nos saisons, tu es le plus grand séducteur
Tu nous grises avec tes belles couleurs
Durant chaque nuit je peux me reposer
Pour profiter de chacune de mes journées
Il faut croire que tu es un bon système
On veut se rapprocher de celle qu’on aime
On a le goût de lui écrire des poèmes
Aussi, lui dire souvent qu’on l’aime
Mois de septembre tu sais, à bien y penser
Je devrais te garder toute l’année
Je serais prêt même, à te privilégier
Mais il ne faudrait pas, le dire à l’été
Je suis encore capable
Il n'y a rien qui cloche chez moi
Je suis aussi en santé que qui que ce soit
J'ai de l'arthrite aux deux genoux
Et je parle toujours avec une petite toux
Mon sang est faible et mon pouls volage
Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge !
Mon foie fonctionne de façon pénible
Et j'ai un mal de reins terrible
J'entends mal, ma vue a baissé
Tout le système semble désaccordé
Mon médecin me dit que la fin approche
Car à chaque jour quelque chose de plus décroche
La manière dont je zigzague en marchant
Je vais me ramasser par terre avant longtemps
Je saute et je sursaute au moindre remue-ménage
Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge !
Canne ou bras charitable, il me faut pour avancer
Je ne saurais autrement la rue traverser
Mes articulations sont crochues et raides
La tremblote m'oblige à demander de l'aide
Nuit après nuit, c'est l'insomnie
Et le matin j'ai l'air d'un mort-en-vie
Je radote, j'ai des étourdissements
Je ne vis que de médicaments, pilules ou drogue
Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge !
La morale de cette histoire d'infirmité
Est que, pour vous et moi en route pour l'éternité
Il est préférable de dire un:
"Je suis encore pas mal capable" bien sage !
C'est ce qui nous fera le mieux vivre à "notre âge " !
Auteur inconnu
"""""""""
Demain ...
De l'étirement de l'Azur,
Poindra, au delà des colères,
L'étincelle d'Amour
"Tendresse"....
Demain....
De l'océan des Ages,
Tombera rosée, au delà des frissons d'airs,
La note profonde du vent céleste,
"Sagesse"....
Demain....
De l'ombre s'immolant de Lumière,
Poindra, au delà des tempêtes,
La cadance des flots harmonieux,
"Caresse"....
Demain....
De la puissance de vos âmes Esseulées
Défilera, au delà de vos tristesses,
Vos pensées de fines dentelles,
"Délicatesse"...
copyright @ Onoma Gaia
Le poète mal-culotté!
L’habit ne fait pas le moine,
Combien cet adage
Est pertinent !
Grand, mince,
Cheveux mi- longs,
Vêtements étriqués,
L’air plutôt hagard,
Image irréaliste
Ou surréaliste
D’une personne à part,
Voix rauque et profonde,
Autoportrait de quelqu’un
Un tant soit peu
Marginal du monde,
Créature de plaintes
Et de douleurs,
L’image est sublime
Et parfaite…
Mais, n’est-ce pas là
Un stéréotype
D’une image romanesque
Qu’on se fait de lui ?
La plume n’a pas besoin
De couleurs pour exister,
Ni d’une chandelle
Pour la main qui écrit ;
La poésie tient du cœur,
Elle s’offre sans retenue
Pour celui qui l’aime,
Et qui sait l’aimer.
Peut-être, près de chez vous
Avez-vous…
Patrick Etienne
Dialogue avec un épouvantail
Tu peux hocher la tête et te rire de moi,
Avec ton vieux chapeau, pauvre pantin de paille,
Je t'ai bien aperçu tout au bout du chemin,
Maigre et fantasmatique et me faisant grimace!
As-tu vu ces humains, ces hordes en furie,
Qui brandissaient leurs piques en injuriant le ciel?
Ce ne sont que des arbres dans cette immense plaine,
Ils sont enracinés, et ne peuvent marcher...
Que sont ces lumignons ressemblant à des yeux,
Et qui dans la pénombre me fixent, m'interrogent?
...Je vois encore au loin des monstres aux dents pointues,
Des dents si menaçantes que je voudrais m'enfuir...
Ce sont les dents de l'océan qui mordent les rochers,
Les bâteaux et la terre, sans faim ni soif, et sans férocité...
Cette étendue informe de vase qui bouillonne
Où viennent s'abreuver des oiseaux de malheur,
Et ces formes mouvantes, lorsque tombe le soir,
Sans yeux, ni nez, ni bouche, est-ce qu'elles peuvent aimer?
Ceci est la matière qui se fait des enfants,
Elle s'en fait des myriades pour se faire la guerre...
Et cette brume cendre aux effluves de sang,
Et ce bruit lancinant dans cet épais brouillard?
Tout ceci est l'espace, l'espace très malade
De trop d'indifférence...et l'espace se meurt...
copyright@ Marie-Hélène
Soleil de plomb
Seize heures, il fait si chaud, pas la moindre risée,
L'air opaque s'effrite, par le soleil brisé.
Le temps retient son souffle et suspend son haleine,
Ah! pouvoir respirer! Mais ce n'est pas la peine,
Quand on est prisonnier au coeur de la fournaise,
Aspirant un air chiche, brûlant comme la braise!
On rêve d'oasis et de palmiers mirages
Qui s'impriment en nos yeux, fallacieuses images.
Le papillon, tapi sous la feuille jaunie
Vit ses derniers instants, tout près de l'asphyxie!
Les oiseaux, accablés, cherchent en vain la fraîcheur,
Loin de l'astre brutal qui brille avec ardeur.
La terre desséchée se fissure et se ride,
Suffoquant, crevassée par la chaleur morbide!
Nicole Larrue
Joli petite plume !!! Dépose tes jolis mots !!
Douce, amoureuse et légère !!
Déplore !!! la haine et la colère....
Et prône !!! l’amour, et le repos…
Sans jamais trop en dire…..
Toujours donne joie et plaisir !!!
Avec quelques notes d’alphabet….
Bien au tempo de la musique….
Douce tendre , grande romantique !!
Danse !!! vole !! aime !!!! vibre sur le papier…..
Au son des jolies rengaines….
Exprime tous ces « je t’aime » !!!!!!
Demain, après demain……
Plus fort !!!! encore !!!!
Chante… sur ce refrain !!!!
copyright ? Nadianna ?
"créa romantique en vidéo
peu connue , si belle chanson.."
"Viens me retrouver"