En bas de la vallée Où coule une rivière Dans ma tête je l'imaginais Où je n'ai jamais foulé ses pierres Je rêvais au gré du Zéphyr Cette femme qui jouait Caressant les cordes de sa lyre Assise à l'ombre des cyprès Quand les feuilles tourbillonnent Porté par le vent de l'oubli Dans la tiédeur pâlichonne D'un soleil de midi L'eau amenant des senteurs fanées J'écoutais cette sage mélodie Admirant l'iris des marais Et le rose poudré de l'ancolie M'éveillant, ouvrant les yeux Pas de rivière sinuant entre les pierres Juste les draps au tissu soyeux Mais en mémoire ce beau rêve éphémère
Dans chaque enfant, il y a un Artiste... Le problème est de savoir... Comment rester un Artiste...En grandissant... (Pablo Picasso) Les Yeux D’un Enfant...
Rien n’est plus beau, rien n’est plus précieux , que ce doux cadeau... Un enfant dont les yeux vous regardent, miroir d’eau... Attendant l’aubade de votre coeur,tellement gros, qu’il a peur... Tendez lui la main, offrez lui des lendemains montrez lui la route... Loin de vos déroutes, un nouveau monde, où la paix abonde... Jusqu’au cieux du miroir de ses yeux... Nous nous soucions de ce que l’enfant deviendra demain... Mais nous oublions qu’il est déjà quelqu’un aujourd’hui !
Plus on vieillit, plus on ressemble à des ordinateurs
On manque de mémoire... On gèle plus souvent... On est moins rapide qu'avant... On "bug" pour des riens... On manque d'énergie... On attrape des virus... On fait des petits séjours à l'hôpital.. On devient vite dépassé par les jeunes... On cherche où sont rendues nos petites affaires... Des jours, ça ne marche pas fort, fort... On a besoin d'un petit tune up de temps en temps... On est heureux quand même et on vit avec nos petites misères !
Quand un facteur s’envole Quand un facteur s´envole S´envole s´envole C´est qu´il est trop léger Alors pour voyager Au-dessus des platanes Il plane il plane Au-dessus des maisons Il chante une chanson Les oiseaux à la ronde Lui font bonjour Autant d´oiseaux au monde Autant de lettres d´amour Que le facteur apporte Et glisse sous les portes C´est le courrier du cœur Le courrier du bonheur C´est le courrier du cœur Le courrier du bonheur Joie sans pareille Pour le facteur Comme il fait bleu qu´il fait bon dans son cœur Il s´émerveille Ô liberté Joli soleil Amour clarté! 2. Quand un facteur s´envole S´envole s´envole Il voit le monde petit Les gens comme des fourmis Le clocher du village Bien sage bien sage L´école et la mairie Et la gendarmerie Sa fiancée toute rose Dans un jardin Comme une fleur éclose Au milieu du chemin Alors vite il se repose Et cueille cette rose Qu´il emporte avec lui Seul dans son paradis Qu´il emporte avec lui Seul dans son paradis Et c´est ainsi Ainsi que finit La chanson folle Du facteur qui s´envole
(Charles Trenet)
Du film "Adieu Léonard" 1943.
Ce commentaire a été modifié le 13/09/2018 à 08:30
En bas de la vallée Où coule une rivière Dans ma tête je l'imaginais Où je n'ai jamais foulé ses pierres Je rêvais au gré du Zéphyr Cette femme qui jouait Caressant les cordes de sa lyre Assise à l'ombre des cyprès Quand les feuilles tourbillonnent Porté par le vent de l'oubli Dans la tiédeur pâlichonne D'un soleil de midi L'eau amenant des senteurs fanées J'écoutais cette sage mélodie Admirant l'iris des marais Et le rose poudré de l'ancolie M'éveillant, ouvrant les yeux Pas de rivière sinuant entre les pierres Juste les draps au tissu soyeux Mais en mémoire ce beau rêve éphémère @Vizzavona2A
Dans un féérique tableau, Le soleil jetait des flots de lumière dorée Sur les ballots de paille, Un dernier jour d’été somptueux, Un automne qui s’annonçait Tendre, doux et coloré !
Les jets du soleil couchant s’étiraient Dans les mousselines opaques de la nuit, Ses rayons obliques pailletaient D’une jolie clarté, la surface de l’eau.
Voilé par la dentelle des cirrus, il déclinait Dans un panache de rouge ! La lune, déjà bien en place, Jouait avec les vagues !
En bas de la vallée
Où coule une rivière
Dans ma tête je l'imaginais
Où je n'ai jamais foulé ses pierres
Je rêvais au gré du Zéphyr
Cette femme qui jouait
Caressant les cordes de sa lyre
Assise à l'ombre des cyprès
Quand les feuilles tourbillonnent
Porté par le vent de l'oubli
Dans la tiédeur pâlichonne
D'un soleil de midi
L'eau amenant des senteurs fanées
J'écoutais cette sage mélodie
Admirant l'iris des marais
Et le rose poudré de l'ancolie
M'éveillant, ouvrant les yeux
Pas de rivière sinuant entre les pierres
Juste les draps au tissu soyeux
Mais en mémoire ce beau rêve éphémère
@Vizzavona2A
Le problème est de savoir...
Comment rester un Artiste...En grandissant...
(Pablo Picasso)
Les Yeux D’un Enfant...
Rien n’est plus beau, rien n’est plus précieux , que ce doux cadeau...
Un enfant dont les yeux vous regardent, miroir d’eau...
Attendant l’aubade de votre coeur,tellement gros, qu’il a peur...
Tendez lui la main, offrez lui des lendemains montrez lui la route...
Loin de vos déroutes, un nouveau monde, où la paix abonde...
Jusqu’au cieux du miroir de ses yeux...
Nous nous soucions de ce que l’enfant deviendra demain...
Mais nous oublions qu’il est déjà quelqu’un aujourd’hui !
Caroline François
Plus on vieillit, plus on ressemble à des ordinateurs
On manque de mémoire...
On gèle plus souvent...
On est moins rapide qu'avant...
On "bug" pour des riens...
On manque d'énergie...
On attrape des virus...
On fait des petits séjours à l'hôpital..
On devient vite dépassé par les jeunes...
On cherche où sont rendues nos petites affaires...
Des jours, ça ne marche pas fort, fort...
On a besoin d'un petit tune up de temps en temps...
On est heureux quand même et on vit avec nos petites misères !
J’ai croisé un petit ange
Lequel n'a jamais brûlé
Ses longues ailes
Dans ce monde si cruel
C'est lui qui donne le change
Au pauvre cœur dépouillé
Que la souffrance , vautour étrange,
D'un bec cruel vient souvent blesser
Cet ange, qui te ressemble,
Sous son aile nous rassemble
C'est la paix dans l’amitié
Son regard est doux et calme ;
Il nous offre la sérénité,
Le pardon et la paix pour l'éternité
En veux-tu la moitié ?
Quand un facteur s’envole
Quand un facteur s´envole
S´envole s´envole
C´est qu´il est trop léger
Alors pour voyager
Au-dessus des platanes
Il plane il plane
Au-dessus des maisons
Il chante une chanson
Les oiseaux à la ronde
Lui font bonjour
Autant d´oiseaux au monde
Autant de lettres d´amour
Que le facteur apporte
Et glisse sous les portes
C´est le courrier du cœur
Le courrier du bonheur
C´est le courrier du cœur
Le courrier du bonheur
Joie sans pareille
Pour le facteur
Comme il fait bleu qu´il fait bon dans son cœur
Il s´émerveille
Ô liberté
Joli soleil
Amour clarté!
2. Quand un facteur s´envole
S´envole s´envole
Il voit le monde petit
Les gens comme des fourmis
Le clocher du village
Bien sage bien sage
L´école et la mairie
Et la gendarmerie
Sa fiancée toute rose
Dans un jardin
Comme une fleur éclose
Au milieu du chemin
Alors vite il se repose
Et cueille cette rose
Qu´il emporte avec lui
Seul dans son paradis
Qu´il emporte avec lui
Seul dans son paradis
Et c´est ainsi
Ainsi que finit
La chanson folle
Du facteur qui s´envole
(Charles Trenet)
Du film "Adieu Léonard" 1943.
DOUCEUR D'UN RÊVE
En bas de la vallée
Où coule une rivière
Dans ma tête je l'imaginais
Où je n'ai jamais foulé ses pierres
Je rêvais au gré du Zéphyr
Cette femme qui jouait
Caressant les cordes de sa lyre
Assise à l'ombre des cyprès
Quand les feuilles tourbillonnent
Porté par le vent de l'oubli
Dans la tiédeur pâlichonne
D'un soleil de midi
L'eau amenant des senteurs fanées
J'écoutais cette sage mélodie
Admirant l'iris des marais
Et le rose poudré de l'ancolie
M'éveillant, ouvrant les yeux
Pas de rivière sinuant entre les pierres
Juste les draps au tissu soyeux
Mais en mémoire ce beau rêve éphémère
@Vizzavona2A
Dans un féérique tableau,
Le soleil jetait des flots de lumière dorée
Sur les ballots de paille,
Un dernier jour d’été somptueux,
Un automne qui s’annonçait
Tendre, doux et coloré !
Les jets du soleil couchant s’étiraient
Dans les mousselines opaques de la nuit,
Ses rayons obliques pailletaient
D’une jolie clarté, la surface de l’eau.
Voilé par la dentelle des cirrus, il déclinait
Dans un panache de rouge !
La lune, déjà bien en place,
Jouait avec les vagues !
Michelle
Un petit Haiku de Septembre