De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
25/02/2018 - 20:09

                                                     LES  PLUS  BEAUX  MANÈGES  DE  PARIS            
Ils sont indispensables au paysage parisien au même titre que les fontaines Wallace, les lampadaires ou les kiosques à journaux. Les
carrousels portent en eux toute la poésie du Paris d'antan, qui fut le
terrain de jeu de nos grands-parents. Authentiques ou de construction
plus récente, les carrousels disséminés encore aujourd'hui dans la
capitale tournent inlassablement, et savent par leurs lentes
ritournelles et leurs lumières chatoyantes bercer nos âmes d'enfants.
Voici les 8 spécimens à ne pas manquer

Avec les nombreuses ampoules qui éclairent son chapiteau noir et rouge à la
nuit tombée, ce petit carrousel égaye le parc Monceau et attire
immédiatement l'attention des enfants. Ils sont nombreux chaque jour à
grimper sur l'un de ses étalons noirs à la crinière dorée, son vaisseau
Nautilus, son camion de pompier agrémenté d'une grande échelle, son
tramway en bois jaune et à virevolter à bord de ses « tasses »
tournantes. Mais attention, les jours d'affluence, les places
s'arrachent comme des petits pains...
Parc Monceau, boulevard de Courcelles, 75008


LE DODO MANÈGE DU JARDIN DES PLANTES
S'il est petit et plutôt discret, le carrousel du Jardin des Plantes mérite
que l'on s'y attarde, ne serait-ce que pour sa thématique originale.
Ici, point de chevaux de bois ou de voitures, on grimpe sur le dos
d'animaux en voie de disparition ou déjà disparus, comme le panda, le
loup de Tasmanie, la tortue à corne ou le dodo, qui lui donne son nom.
Depuis son installation en 1992 dans ce jardin proche du Musée
d'Histoire Naturelle, il sensibilise de façon ludique les enfants au
phénomène d'extinction des espèces.
Jardin des Plantes, Rue Cuvier, 75005


« AU VOLANT DU 66 »
Comme la plupart des carrousels parisiens, le carrousel du square des
Batignolles porte un nom, mais le sien, « Au volant du 66 », est à
première vue plutôt énigmatique. Il s'agit d'une allusion au bus 66 qui
circule quotidiennement dans le quartier et dont on retrouve une version
miniature dans le manège, aux côtés d'un avion volant, d'un bateau,
d'un cygne ou encore de vieilles voitures. Dans ce square
particulièrement fréquenté par les familles avec enfants en bas âge, ce
joli carrousel remporte un franc succès.
Square des Batignolles, Place Charles Fillion, rue Cardinet, 75017



LE CARROUSEL DE MONTMARTRE
Impossible de ne pas avoir une pensée pour Amélie Poulain, l'héroïne du film de
Jean-Pierre Jeunet, lorsque l'on passe devant ce carrousel qui sert de
décor à ses pérégrinations. De style vénitien, il a le charme de
l'ancien avec ses carrosses et ses chevaux de bois, et pour cause : il
date du 18ème siècle ! Idéalement situé sur la place Saint-Pierre à
Montmartre, au pied du Sacré-Coeur, il ravit les touristes en mal de
clichés parisiens et les enfants qui adorent monter à bord des nacelles
qui tournent sur elles-mêmes.
Place Saint-Pierre, 75018


LE MANÈGE JULES VERNE
Vos enfants sont fans de l'univers de Jules Verne ? Permettez-leur
d'embarquer sur le manège de la Villette, qui fait la part belle aux
moyens de locomotion qui peuplent les récits de l'auteur : avion, fusée
spatiale, tramway, les petits voyageurs en herbe ont de quoi s'évader.
Il y a même une jolie montgolfière jaune et bleue pour les plus rêveurs
d'entre eux. Le premier étage de ce carrousel situé à deux pas du canal
de l'Ourcq est lui consacré aux classiques chevaux de bois. Des étalons
que l'on peut chevaucher, comme toutes les autres embarcations, tous les
jours de l'année !
Parc de la Villette, près de la grande halle de la Villette, 75019


LE CARROUSEL DES TUILERIES
Avec ses petits lampions et ses chevaux de bois, le carrousel des Tuileries
est l'un des plus jolis carrousels de Paris. Il a la particularité de
tourner un peu plus rapidement que les autres manèges parisiens, d'être
très éclairé le soir et d'être musical, puisque les tours s'y effectuent
aux doux sons des comptines enfantines. Un charme désuet qui se marie
ici avec la modernité, puisqu'en plus de pouvoir s'installer sur un
cheval, une autruche, ou dans un carrosse, on peut y prendre les
commandes d'une jeep beige !
Jardin des Tuileries, 113 rue de Rivoli, 75001


LE CARROUSEL DU TROCADÉRO
Faire un tour de manège tout en admirant la Tour Eiffel, voilà l'expérience
offerte par le carrousel du Trocadéro, situé dans les jardins du même
nom. Classique dans sa forme et très coloré, ce manège à étage attire
les touristes avec ses dorures, ses ritournelles et ses décors peints
qui rendent hommage aux plus beaux monuments parisiens. Les enfants
voyagent à dos de cheval, dans des carrosses ou dans une montgolfière.
Une belle manière de les épater !
Le Trocadéro, Avenue Gustave V de Suède, 75016
***************

LE CARROUSEL DU LUXEMBOURG
Le plus vieux carrousel de Paris est au jardin du Luxembourg ! Datant de
1879, il comporte des chevaux de bois dessinés par l'architecte de
l'Opéra de Paris Charles Garnier, mais également des cerfs, des girafes
et quelques nacelles. S'il est loin d'être le plus sophistiqué ni le
plus attractif avec son chapiteau vert sans fioriture, il est sans
conteste le plus ludique pour les enfants : installés sur leurs
montures, ils peuvent attraper des anneaux suspendus, qui leur donnent
droit à un nouveau tour de manège !
Jardin du Luxembourg, 2 rue Auguste Comte, 75006
25/02/2018 - 20:06

                                                      LES MAITRES VERRIERS DE BAYEL
                                                                   

« La Cristallerie Royale de Champagne
est l'une des plus anciennes manufactures françaises de cristal soufflé à
la bouche.
Cette cristallerie de réputation mondiale n'a jamais éteint ses fours depuis
le XVIIe siècle. La Royale de Champagne d'aujourd'hui est l'héritière
d'un savoir-faire parmi les plus riches et raffinés où la main de
l'homme est souveraine. Soufflage à la bouche, taille à la main, gravure
au sable, satinage, dorure, dépôt de platine, émaillage... sont autant
d'hommages aux métiers du feu qui ont fait la réputation de Bayel, et
lui ont permis d'obtenir le label Entreprise du Patrimoine Vivant.
LE TRAVAIL A CHAUD

Selon les formes et la régularité voulues, le façonnage peut être très
différent d'une pièce à l'autre. Les pièces ou parties de pièces peuvent
être soufflées-tourné à la bouche, soufflées-fixe à l'air comprimé,
pressées dans des moules pour les pièces peintes ou façonnées par
étirement et déformation à partir d'une moulure. Le travail commence
toujours par le cueillage. De la pointe de sa canne, le verrier «
cueille » dans le creuset la quantité de verre en fusion nécessaire au
façonnage de la pièce. Le cueillage est réalisé à l'aide d'une canne
creuse si la pièce est soufflée, ou une canne pleine.
Les verres et les gobelets

Leur fabrication est l'activité principale de la manufacture. Les verres
sont composés de trois parties fabriquées en trois étapes : la paraison
ou partie supérieure soufflée, la jambe et le pied. Les techniques
diffèrent selon le rendu voulu. Les parties de la pièce sont ensuite
collées à chaud puis recuites pendant deux heures. Les gobelets et les
verres dépourvus de jambe et de pied sont façonnés en une seule pièce.

Les carafes

Une fois la paraison soufflée, la jambe, le pied, le col et le bec verseur
sont façonnés. Sur la canne, le cristal pré-façonné est maintenu en
rotation avant d'être pré-soufflé puis placé dans un moule. Le soufflage
peut alors être soit un soufflé-tourné (avec rotation et le propre
souffle du verrier), soit un soufflé-fixe (sans rotation avec air
comprimé). Jambe et pied lui sont rajoutés après un rebrûlage du fond.
Une fois la paraison, la jambe et le pied de la carafe réalisés, ces 3
parties sont ensuite séparées de la canne et placées sur un chasse-pot
afin de travailler le col, le bec verseur et l'anse. Après le rebrûlage,
le col est coupé puis ouvert avec des fers. Le bec est formé à la
coupeuse ou par pincement à chaud et enfin l'anse est collée à chaud
après avoir été roulée sur le marbre.
Les moules

Les moules doivent être préparés avant de les utiliser. Pour les techniques
de soufflé tourné, où la matière est en mouvement, sa paroi intérieure
est enduite d'un lubrifiant à base de carbone, puis saupoudrée de grains
de liège ce qui permet de lustrer le cristal lors du soufflage. Avant
utilisation, les moules sont refroidis et humidifiés. Pour les
techniques de soufflé-fixe, le moule est chauffé et ses parois internes
sont nettoyées et lubrifiées afin d'éviter le collage du cristal.
Taille et gravure

Ces décors font la réputation du cristal de Bayel. On trouve deux sortes de
taille : la taille plate, large et plane et la taille en biseau qui est
étroite et profonde. La taille se fait à la meule diamant de différents
gabarits. Il faut savoir doser pression et mouvement.
La confection

Cette dernière étape comporte le lavage, le rinçage, l'essuyage de la pièce,
puis l'ultime contrôle de qualité, le poinçon, le tampon ou l'estampille
des articles avant le conditionnement en coffret ou carton.
Un brin d'évasion
Le Cristal de Roche, un patrimoine méditerranéen

« Le cristal de roche, quartz pur, que les Grecs regardaient comme de la «
glace » (krustallos), créée par les dieux, prend place parmi ces gemmes
aux propriétés merveilleuses, qui, une fois taillées, évidées et
polies, produisent des objets étonnants et fastueux. Les cours de
l'Antiquité tardive les ont hautement appréciées, à la fois comme
parures et comme talismans. À la veille des conquêtes islamiques du VIIe
siècle, la Perse des rois sassanides était connue pour ses ouvrages en
quartz : coupelles, gobelets, perles, sceaux, médaillons figuratifs en
intaille, flacons gravés en nids-d'abeilles. Objets de belle facture,
ils semblent avoir été réalisés sur la frange irakienne du royaume, si
l'on en juge par l'abondance des cristaux sassanides découverts en
Mésopotamie. Dès le Haut Moyen Âge, certains exemplaires iraniens
préislamiques parviendront en Occident, comme la « Tasse de Salomon » et
le « Vase d'Aliénor » déposés dans le trésor de Saint-Denis.

Après l'avènement de l'islam, les califes omeyyades et abbassides
poursuivront les traditions iraniennes. Des écrivains arabes décrivent
l'admiration d'un Bédouin devant la lampe en cristal (billawr), que le
calife omeyyade al-Walîd avait fait placer dans la Grande Mosquée de
Damas, au-dessus du mihrab des Compagnons du Prophète. Elle était si
imposante que, plus tard, le calife abbasside al-Amîn, très amateur de
cristaux, la fera transporter clandestinement à Bagdad. Au Xe siècle,
l'encyclopédiste al-Birûnî, dans son livre sur les pierres précieuses,
mentionne Basra comme étant un important foyer de lapidaires. Une lampe
en forme de barque, ornée d'une tige d'acanthe, conservée à l'Ermitage,
atteste ses liens avec l'art décoratif de Samarra et pourrait provenir
d'un atelier irakien. Mais c'est en Égypte, pendant le règne des
Fatimides (969-1171), et sans doute pour des raisons d'ordre ésotérique,
que la taille du cristal de roche atteint une perfection inégalée et
devient une véritable industrie, stimulée par les usages somptuaires des
califes. Avec une habileté consommée, les lapidaires égyptiens ont
donné naissance à une gamme d'objets divers et souvent de grand format.
Quelque deux cents oeuvres ont subsisté sur les milliers d'objets
mentionnés par les chroniqueurs. L'Égypte, au tournant des Xe et XIe
siècles est ainsi à la source de la plupart des objets en cristal de
roche parvenus dans les trésors médiévaux de l'Occident.

Un brin d'évasion
Le Cristal de Roche, un patrimoine méditerranéen

« Le cristal de roche, quartz pur, que les Grecs regardaient comme de la «
glace » (krustallos), créée par les dieux, prend place parmi ces gemmes
aux propriétés merveilleuses, qui, une fois taillées, évidées et
polies, produisent des objets étonnants et fastueux. Les cours de
l'Antiquité tardive les ont hautement appréciées, à la fois comme
parures et comme talismans. À la veille des conquêtes islamiques du VIIe
siècle, la Perse des rois sassanides était connue pour ses ouvrages en
quartz : coupelles, gobelets, perles, sceaux, médaillons figuratifs en
intaille, flacons gravés en nids-d'abeilles. Objets de belle facture,
ils semblent avoir été réalisés sur la frange irakienne du royaume, si
l'on en juge par l'abondance des cristaux sassanides découverts en
Mésopotamie. Dès le Haut Moyen Âge, certains exemplaires iraniens
préislamiques parviendront en Occident, comme la « Tasse de Salomon » et
le « Vase d'Aliénor » déposés dans le trésor de Saint-Denis.

Après l'avènement de l'islam, les califes omeyyades et abbassides
poursuivront les traditions iraniennes. Des écrivains arabes décrivent
l'admiration d'un Bédouin devant la lampe en cristal (billawr), que le
calife omeyyade al-Walîd avait fait placer dans la Grande Mosquée de
Damas, au-dessus du mihrab des Compagnons du Prophète. Elle était si
imposante que, plus tard, le calife abbasside al-Amîn, très amateur de
cristaux, la fera transporter clandestinement à Bagdad. Au Xe siècle,
l'encyclopédiste al-Birûnî, dans son livre sur les pierres précieuses,
mentionne Basra comme étant un important foyer de lapidaires. Une lampe
en forme de barque, ornée d'une tige d'acanthe, conservée à l'Ermitage,
atteste ses liens avec l'art décoratif de Samarra et pourrait provenir
d'un atelier irakien. Mais c'est en Égypte, pendant le règne des
Fatimides (969-1171), et sans doute pour des raisons d'ordre ésotérique,
que la taille du cristal de roche atteint une perfection inégalée et
devient une véritable industrie, stimulée par les usages somptuaires des
califes. Avec une habileté consommée, les lapidaires égyptiens ont
donné naissance à une gamme d'objets divers et souvent de grand format.
Quelque deux cents oeuvres ont subsisté sur les milliers d'objets
mentionnés par les chroniqueurs. L'Égypte, au tournant des Xe et XIe
siècles est ainsi à la source de la plupart des objets en cristal de
roche parvenus dans les trésors médiévaux de l'Occident.
25/02/2018 - 19:53
 Pourquoi les pieds des verres à vin alsaciens sont verts ?

 

   

Avec leur longue tige et leur pied vert, les verres à vin alsaciens se reconnaissent entre mille. Mais, pourquoi leurs pieds sont verts au juste ?
La légende raconte que ces verres seraient apparus au 19ème siècle. À cette époque, les viticulteurs de l’époque privilégiaient la quantité à la qualité, ce qui donnait naissance à des vins aux reflets verts, signe de manque de maturité du raisins . Pour masquer ce « défaut », les viticulteurs servaient donc leur vin dans des verres à pieds verts en prétextant que leur couleur un peu verdâtre provenait du verre et non du vin !

Aujourd’hui, les verres alsaciens se font rares, car ils sont peu propices à la dégustation. En effet, le gobelet (c’est-à-dire la partie du verre dans laquelle on sertle vin) est tellement petit qu’il est difficile de faire tourner son vin sans en perdre une goutte !


25/02/2018 - 17:09
                                Nuages Mammatus...


Mammatus ou mamma (du latin signifiant mamelle ou mamelon) est un terme qui désigne en météorologie des poches circulaires à la base de nuages convectifs tels les altocumulus et les cumulonimbus.
Leur couleur est normalement bleu-gris comme le nuage lui-même mais peuvent prendre des tons or ou rougeâtres lorsque le soleil couchant les illumine. Ils sont le plus souvent associés avec des orages mais peuvent également se voir sous des nuages non violents comme les altostratus.
Mamma est le substantif employé dans les rapports météorologiques (voir METAR) alors que mammatus est un adjectif (comme dans cumulonimbus mammatus).
Formation Ils se forment lorsqu'une partie instable d'un nuage dérive au-dessus d'une couche d'air très sèche. Les gouttelettes ou cristaux de glace du nuage s'évaporent en descendant dans la couche sèche ce qui la refroidit en enlevant de l'énergie pour l'évaporation. Comme la descente des gouttelettes n'est pas uniforme, l'humidification de la couche sous-jacente sera inégale et des zones seront donc plus sèches que d'autres. De plus, la température de la couche sèche ne sera pas uniforme à cause de l'évaporation différentielle. Ainsi, on retrouvera dans l'air sous la base du nuage des endroits avec une température et une humidité relative plus grandes qu'à d'autres endroits.
Cette situation est instable dynamiquement : les zones chaudes et humides subissent une poussée d'Archimède vers le haut étant moins denses et celles plus froides et sèches auront une poussée vers le bas.
Ceci créera une alternance de zones de mouvements convectifs ascendants et subsidents. Les deux effets combinés donneront à la base de la couche nuageuse l'aspect en mamelon.
Les précipitations tombant sous un nuage vont également s'évaporer dans ces conditions et aider à la formation de mammas sous le nuage.
De plus, si les précipitations sont sous forme solide (cristaux de glace, neige, grêle), elles vont fondre avant de s'évaporer ou directement sublimer. Ceci demande plus d'énergie, ce qui augmentera les mouvements verticaux convectifs.
L'apparition et la position des mammas n'est cependant pas complètement expliquée théoriquement.
En effet, bien que les conditions ci-dessus se retrouvent très souvent à la base des nuages, on n'observe les formes mammatus que dans certaines situations.
De plus, même avec un nuage comme un cumulonimbus souvent associé avec des mamma, on les retrouve généralement à des endroits spécifiques, comme à l'enclume, et pas nécessairement partout dans ce dernier endroit.
Certains mécanismes supplémentaires ont été suggérés pour expliquer l'organisation :Refroidissement du sommet du nuage qui s'évapore dans l'air sec d'altitude et devient plus dense que son environnement ce qui crée une poussée vers le bas. Ce mouvement négatif amplifierait le mécanisme de formation mammatus.
De la même façon, la base d'un nuage épais est réchauffée par le sol sous-jacent et devient instable.
Ces deux poussées dynamiques sont applicables à la base du nuage mais l'effet devrait être mineur dans l'enclume d'un orage.Les forts mouvements verticaux dans un orage sont compensés à l'extérieur par des mouvements vers le bas.
Ceci crée des ondes de gravité qui vont se propager horizontalement et peuvent organiser les zones de mammas dans des cumulonimbus voisins mais cela est peu probable dans des nuages moins convectifs.
Lorsque deux masses d'air ayant des vitesses de déplacement horizontal différentes glissent l'une sur l'autre, un mouvement vertical est engendré et forme des ondes dites de Kelvin-Helmholtz.
Ce genre d'ondes peuvent être créées dans la situation de formation mammatus et peuvent accentuer l'effet. Cependant, on retrouve généralement ces ondes quand les masses d'air sont stables ce qui est l'inverse des nuages de type cumulus.

Mamma De Cumulonimbus
On retrouve généralement les mammas avec les cumulonimbus puisque ces derniers se produisent dans une atmosphère fortement instable. Cependant, ils se retrouvent dans la partie éloignée des précipitations comme l'enclume.
Puisqu'on les retrouve dans les orages supercellulaires, souvent associés avec les tornades, il a été déduit erronément durant les années 1950 et 1960 que les mammas sont un signe prédicteur d'orages violents.
En fait, ils ne sont qu'un sous-produit de convection qui n'a rien à voir avec les processus de formations des tornades, de la grêle ou des rafales descendantes qui se produisent dans une supercellule.
La présence de mammas ne signifie donc pas qu'il y aura du temps violent.
Par contre, parce qu'il y a convection dans la couche où se produisent les mammas, on y retrouve de forts cisaillements des vents.
De plus, comme ils sont souvent dans l'enclume, de la foudre s'y produit. Il est donc recommandé aux aéronefs d'éviter les zones de nuages mammatus.

Mamma D'autres Nuages......

Comme le mamma n'est pas une sorte particulière de nuages mais plutôt un phénomène particulier dû à la configuration des couches nuageuses et de l'air sec...
On peut en retrouver à la base de plusieurs types de nuages:stratocumulus, altocumulus, altostratus, cirrus et cirrocumulus.
Ces nuages ont des mouvements verticaux moins forts et les mammas y sont donc moins prononcés, ce qui rend leur signalement moins fréquent...






25/02/2018 - 14:49
                                                               

Les boules à neige sont les descendantes
des ludions, objets de cabinets de curiosités des XVII et XVIII siècles
qui réunissaient dans un contenant en verre soufflé des objets, souvent
d'inspiration religieuse, suspendus dans de l'eau et reliés par de fins
filaments aux deux extrémités du réceptacle.

Au XIX siècle, c'est à Venise que la technique de la fabrication des
presse-papier en sulfure a été améliorée au point d'inclure dans ces
lourdes boules de verre des camées, des baguettes millefiori ou des
substances animales ou végétales. Les sulfures étaient onéreux et les
boules neigeuses en seraient une déclinaison moins coûteuse permettant
le mouvement en plus.

Les premières authentiques boules à neige dateraient de l'exposition de
Paris de 1878 et sont décrites, à l'époque, comme des presse-papiers en
forme de boules creuses remplies d'eau et contenant un homme avec un
parapluie. Ces boules contenaient aussi une poudre blanche qui lorsque
l'objet était retourné, reproduisait la chute de la neige. Ces boules,
faites d'un globe en verre rempli d'eau avec un socle en céramique,
laiton ou marbre, étaient très lourdes et remplissaient parfaitement
leur rôle de presse-papier
Au début du XX siècle, les fabricants de souvenirs français, autrichiens, tchécoslovaques et allemands
produisaient des boules à neige dont le thème principal était les lieux
de pèlerinage religieux : Sainte Bernadette de Lourdes, Sainte Thérèse
de Lisieux, Le Petit Jésus de Prague, Saint Antoine de Padoue... mais
que l'on ne retrouve étonnamment pas dans les catalogues des grands
magasins, contrairement aux presse-papiers et autres articles
décoratifs.
Le véritable essor de la boule à neige date de la fin des années 40 avec
le développement des matières plastiques qui offraient plus de liberté
et permettaient de produire moins cher des produits de grande
consommation. Avec l'apparition des congés payés, au cours desquels l'on
rapportait un souvenir de vacances, la boule à neige évolue pour
devenir plus légère, plus colorée et perd alors sa fonction de
presse-papier pour incarner celle d'objet souvenir.
Deux marques allemandes contribuèrent particulièrement au développement des
boules à neige : Koziol et Walter & Prediger qui s'opposèrent en
justice quant à l'invention de la boule en forme de dôme et que ce
dernier remporta, obligeant Koziol à produire uniquement des boules
rondes.

Un des rares brevets de boules à neige fut déposé en 1927 aux Etats-Unis par Joseph Garaja mais le boom des boules à neige n'y
débuta réellement que dans les années du second après-guerre.

C'est au cours des années 60 que la Chine et Hong- Kong se lancèrent dans la
production de modèles à l'image d'articles existants ou pour le compte
de marques occidentales.
En France, Convert, qui fabriquait des poupées depuis 1911, se lança sur ce marché en 1969. L'entreprise fut
rachetée en 1994 par JLK qui continue aujourd'hui à fabriquer des boules
à neige tout comme l'entreprise Bruot, créée en 1961 et toujours active
dans la région d'Oyonnax. Les globes de luxe sont, par ailleurs, la
spécialité de Royal River à Paris.

Eléments d'une boule à neige :
Forme : boule, dôme semi ovale, œuf, cylindre, ogive, bouteille, personnage...
Matériaux du globe : verre ou plastique avec joints en fer blanc ou caoutchouc.
Liquide : eau, huile. Il supporte la neige en suspension et provoque un effet de loupe.
Neige : constituée de brisures d'os, de fragments de céramique, de riz pilé,
de sciure de bois et de cire, de plastique, de paillettes...
Motif central : réalisé en biscuit, os, métal, minéraux, plastique, caoutchouc, résine, cire...
Base : en argile, marbre, porcelaine, bois, céramique, plastique, résine...
 
25/02/2018 - 14:42
Clôture des jeux olympyque d'hiver



 Après deux semaines de compétition, la flamme olympique va s’éteindre à Pyeongchang (Corée du Sud) ...
Les Jeux Olympiques d'hiver se terminent, dimanche 25 février, sur un bilan positif pour la France, qui égale son record
de Sotchi – 15 médailles – sans pour autant atteindre son l'objectif (ambitieux) de 20 breloques. La cérémonie de clôture débute à midi, heure de Paris.                                                                        
                             
                                                                                                                                    Martin Fourcade passe le drapeau à Gabriella Papadakis ... Médaillée d’argent en danse sur glace mardi, la jeune femme sera la porte-drapeau de la délégation française."Je pense que le porte-drapeau de la cérémonie de clôture doit symboliser l'avenir et je ne suis pas sûr d'être l'athlète qui symbolise le plus l'avenir en équipe de France", avait averti vendredi Martin Fourcade, qui remplissait ce rôle lors de la cérémonie d'ouverture.    

  La France repart de Pyeongchang avec 15 médailles ... 


25/02/2018 - 14:24
Pour combattre le froid ......
 


 
Contre le froid, voici 10 aliments qui vont vous faire du bien
 
   Il fait moche, il fait froid et vous êtes fatigués. Rien de bien étonnant,c'est la période. Et si la solution se trouvait en cuisine ?
 
Un petit coup de mou ? Pas de panique, tout est normal. Temps maussade, froid, rhumes, bronchites ou autres maladies qui n'en finissent pas, en sont autant de raisons. Mais ne vous ruez pas sur les remèdes de grand-mère, la solution se trouve chez le maraîcher.
Afin de rester en forme pendant la période hivernale, tout est en effet question d'alimentation. A vos stylos, voici les 10 aliments qu'il vous faut ajouter à votre liste de courses lors de votre prochain passage en magasin.
 


Les champignons
Pour combattre le froid, rien de mieux que des vitamines. Et ça tombe bien, les champignons en regorgent. La vitamine B3 est par exemple essentiellepour la peau. Les champignons sont aussi riches en fer et en zinc qui sont des minéraux essentiels pour augmenter notre taux de globules rouges et ainsi éviter une anémie.
L'autre avantage, c'est qu'ils sont très faciles à cuisiner. Velouté ou fricassée, vous n'aurez plus d'excuse pour vous en passer.
 
Le céleri
On vous voit grimacer. Oui, le céleri, qu'il soit rave ou branche, ne branche pas tout le monde justement. Il nécessite d'être bien assaisonner pour faire ressortir son goût. Très pauvre en calories, il est en revanche riche en vitamines et en fibres qui contribuent à une bonne digestion et possède des qualités dépuratives qui permettent d'éliminer les toxines.
Le céleri contient également de nombreux minéraux dont le potassium qui participe à une bonne santé cardio-vasculaire et évite l'hypertension. Idéal dans la soupe, le pot-au-feu, la purée ou en salade.
 
Les haricots rouges
Les légumes secs seront vos meilleurs amis tout l'hiver.
On mise sur les haricots rouges, riches en protéines végétales qui sont indispensables en complément des protéines animales. Ils contiennent également des glucides comme l'amidon qui les rapprochent des céréales et des fibres, idéales pour les intestins paresseux. C'est une vertu non négligeable enhiver où on a tendance à consommer moins de fruits qu'en été. 
 
L'avocat
Oui, l'avocat est gras. Mais il s'agit de graisses insaturées essentielles pour la santé, ce qui en fait un allié en hiver où nos besoins énergiques sont légèrement plus élevés en cas d'exposition au froid.
L'avocat contient aussi des vitamines C, B et E, qui possèdent des propriétés antioxydantes et aident à lutter contre le vieillissement de la peau. De quoi garder un teint frais malgré le temps morose.
 
Le pamplemousse
Un coup de 'mousse et ça repart ! Frais dans l'assiette au petit-déjeuner ou en jus, le pamplemousse permet de démarrer la journée du bon pied.
Riche en vitamine C, ce fruit fonctionne comme un véritable remède anti-fatigue. Ses propriétés antioxydantes ont également un effet sur la peau. Et bonne nouvelle : cela marche avec tous les agrumes !
 
Le cresson
Il faut aimer son goût bien particulier. Mais qu'il soit mangé cru ou cuit, le cresson est une excellente source de vitamines A, K et C et d'antioxydants. Il contient également plus de fer que les épinards, contrairement à ce qu'a voulu nous faire croire Popeye. Il est donc parfait pour affronter les petits maux de l'hiver et évacuer les toxines.
 
L'oignon
Légume de saison, l'oignon possède des qualités pas toujours connues.
Bon pour le transit et anti-infectieux, il favorise la circulation du sang et contient un grand nombre de vitamines (A, B et surtout C) et sels minéraux. C'est le moment d'en mettre un peu partout ! Attention aux yeux toutefois au moment de le couper.
 
Le radis noir
Et si le cousin du radis qui nous a pourri les repas de notre enfance à la cantine devenait notre meilleur allié pour l'hiver ? Très riche en vitamine C et en potassium, le radis noir est réputé pour son action diurétique et dépurative, en particulier sur le foie.
Il est aussi très efficace contre les infections et permet de dégager les bronches. Il peut se consommer cru, râpé ou en lamelles, selon vos goûts.
 
La propolis
C'est l'antibiotique naturel par excellence. Peu connue, la propolis est une résine fabriquée par les abeilles pour protéger la ruche des virus extérieurs. Un rôle de bouclier qu'elle remplit également chez l'homme.
Particulièrement efficace pour les problèmes respiratoires et ORL, elle pourrait bien vous sauver la mise en cas d'otite. Elle est disponible sous forme de spray, de pastille ou en pipette.
 
Le gingembre
Mieux connu pour ses propriétés aphrodisiaques, le gingembre est aussi l'un de vos meilleurs alliés l'hiver : stimulant la circulation sanguine, il agit également comme un vrai anti-inflammatoire et protège la muqueuse de l'estomac de l'acidité. Il est également recommandé pour soulager les nausées. Le cocktail miracle contre les petits virus ? Une tisane au gingembre accompagnée de miel et de citron.

 
25/02/2018 - 11:50
                                         LES  MAITRES  CHAPELIERS
                                                            
Le savoir-faire des chapeliers à Chazelles sur Lyon est lié à l'histoire du
feutre. La légende raconte que ce sont les Chevaliers qui, de retour
des Croisades, auraient appris aux habitants l'art de fouler le feutre.
Ce sont des poils de chameau importés de Turquie qui étaient alors
utilisés. D'après les archives, c'est par une balle de poils de chameau
que se serait développée la peste à Chazelles en 1623.
Pendant plusieurs siècles, les matières utilisées pour la fabrication du feutre
étaient la laine, les poils de chèvre et de chameau, ou encore de rat
musqué et de castor, mais ces derniers étaient très coûteux. C'est vers
1730 qu'est introduit en France le secret de feutrer les poils de lapin
et de lièvre, poils qui permettent un feutre de bien meilleure qualité.
Jusqu'au XIXe, la plupart des ateliers de province se contentent de fabriquer le
cône de base nécessaire au chapeau, alors que la finition se faisait à
Lyon. C'est à partir de 1850 qu'un homme, Clément Clavel, initie la
fabrication complète du chapeau. Dorénavant, les chazellois mettent en
forme, garnissent et livrent aux consommateurs. C'est ainsi que
l'industrie chazelloise prend un essor extraordinaire et acquière une
renommée internationale. La fabrication du chapeau de feutre exige un
savoir-faire particulier, et malgré les innovations techniques la
structure de base est restée très proche de ce qu'elle était.
Les étapes de fabrication du feutre
Préparation et choix du poil

Elle s'effectue dans un atelier spécialisé, la couperie. Cet établissement
nettoie la peau, la dépouille de ses poils grossiers avant de la
secréter. Cette étape de secrétage donne au poil son pouvoir feutrant.
Elle consiste à plonger les peaux dans un bain dont la composition était
tenue secrète (d'où le nom de la manoeuvre) afin de fendiller la
surface du poil et lui enlever son élasticité. Les aspérités des poils
vont alors s'accrocher les unes aux autres sous l'action de l'eau et de
la chaleur.
Le soufflage du poil

Le poil est introduit dans la souffleuse, une machine longue de 6 m,
composée de compartiments munis de cylindres perforés et de rouleaux à
pointes fines (le picker) et traversée par une ventilation qui permet la
sélection des poils. Ainsi, le poil, déchiqueté et dépouillé de ses
débris de peau, vole de cage en cage et seul le duvet s'achemine
jusqu'au bout.
Le bastissage

Le bastissage donne naissance à la première forme du chapeau, la cloche. Le poil, posé dans la
bastisseuse est roulé, brossé et battu afin de l'ouvrir puis envoyé dans
une cage vitrée circulaire qui l'aspire sur un cône en couche légère et
homogène. Il suffit ensuite au bastisseur d'arroser le cône permettant
l'agglomération des poils et de dégager la cloche délicatement. Avant
l'arrivée des machines, ces opérations se faisaient manuellement à
l'aide d'un arçon.
Le semoussage

À la sortie de la bastisseuse, les cloches sont pliées par six dans des serpillères
humides. Après un léger essorage mécanique, le semousseur les travaille
rapidement afin qu'elles ne redeviennent pas poils. Il fait « marcher
les chapeaux », c'est-à-dire qu'il plie, déplie et roule les cloches en
tous sens sur une table chauffée à la vapeur, permettant ainsi aux poils
de s'amalgamer. Il contrôle ensuite la régularité du feutre afin de ne
laisser passer aucun défaut et rectifie les imperfections.

Ça se passe où ?
Chazelles-sur-Lyon est un chef-lieu de canton situé dans les Monts du Lyonnais, dans le
département de la Loire. Le nom Chazelles vient de Casella qui veut dire
« petite maison » ou château.
25/02/2018 - 11:41
                                          LA  LÉGENDE  DE  LA  CIGOGNE                        

C'est quoi ?
Symbole de fertilité dans l'imagerie populaire d'Alsace, la cigogne est un
oiseau de bon augure, et sa symbolique la plus célèbre l'associe aux
naissances.

D'après D. Lerch, la première trace de la légende de la cigogne porteuse de
bébés remonterait à 1840. Elle nous est parvenue grâce à l'imagerie
populaire du graveur J.-F. Wentzel : « Storick, Storick, stipper di Bein
/ Bring de Mamme a Bubbela heim » qui signifie « Cigogne, Cigogne
cabre-toi / Apporte à maman un joli marmot.»)
Les Germains font de la cigogne la messagère de la déesse Holda, dont le rôle est de renvoyer
dans le monde des vivants les âmes des défunts en les réincarnant. La
cigogne, émissaire de la déesse serait chargée d'apporter des bébés
Après avoir passé commande, la future maman doit mettre quelques
morceaux de sucre sur le rebord de la fenêtre pour attirer la cigogne. «
L'oiseau va alors chercher le bambin auprès d'une source ou d'une mare,
là où les lutins ramènent des profondeurs de la terre les âmes tombées
du ciel avec la pluie, et réincarnées en nouveau-nés. Il semble que les
cigognes, fréquentant les zones humides pour leurs besoins alimentaires,
aient ainsi remplacé depuis le siècle dernier les lutins, qui étaient
dans des temps plus anciens préposés à la livraison des bébés. »

Les légendes permettent parfois de travestir de façon poétique des sujets
délicats à aborder pour certains parents, comme celui de la conception.
Les enfants pouvaient ainsi s'entendre dire que leur maman avait été
mordue par une cigogne lorsqu'ils demandaient pourquoi elle était alitée
après la naissance du bébé.

Une autre croyance voudrait qu'elle ait volé autour de Jésus lors de sa crucifixion. Elle serait ainsi
devenue un symbole de résurrection, de régénération. C'est dans ce sens
qu'une cigogne qui volerait au-dessus d'une maison ou y construirait son
nid serait annonciatrice d'une futur naissance.

« Si une cigogne s'est posée sur votre maison, elle devient votre
porte-bonheur dans presque tous les domaines: fécondité et fidélité en
premier lieu, mais aussi richesse, santé, protection contre la foudre,
bénédiction de la ville entière où elle a élu domicile, etc. Cette
quantité de vertus lui a sans doute été attribuée dans les siècles
passés parce qu'elle débarrassait les champs et marécages des serpents
et d'autres animaux peu appréciés par les habitants.
Toujours est-il que de l'Alsace, la légende de la cigogne s'est répandue dans toute la
France et au-delà des frontières, et qu'aujourd'hui, l'oiseau migrateur
tient toujours une place de choix sur nos faire-part de naissance et
dans l'imaginaire populaire.

Poème de Basse-Allemagne, première trace de la légende de la cigogne

Storick, Storick, stipper di Bein,
Bring de Mamme a Bubbela heim,
Eins wo hielt, eins wo lacht
Eins, wo ins Hafela macht.
Storick, Storick, stipper di Bein,
Bring m'r e Korb voll Wegga heim,
Bring fer mich oi eina mit.
Awer fer d'beesi Büewa nit.

Cigogne, Cigogne cabre-toi
Apporte à maman un joli marmot,
Un qui pleure, un qui rit,
Un qui fait bien dans le pot.
Cigogne, Cigogne cabre-toi,
Apporte-moi des petits pains,
Un pour moi, un pour toi,
Mais pour les méchants garçons aucun.
 
25/02/2018 - 09:58
Coucou Marie-Jeanne,  vous les aviez déjà repérés ces beaux pompiers Australiens et leurs mignons petits chiens !!! Ont-ils choisis les plus beaux pour les photos? ou sont-ils tous comme ça, vous croyez? en tous cas elles en ont de la chance les filles de là-bas!!!!
Merci aussi à Mayan et bon dimanche.....