De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
23/02/2018 - 15:31
En créant de toutes pièces un canular fondé sur des guirlandes de slips tendues dans le Jura, une classe de 4ème a réussi à tromper l'ensemble des médias pour un projet scolaire

 C’est la fête du slip dans le Jura ! » L’information prêtait au rire et au clic, et pour cause : des guirlandes de slips sorties de nulle part et dressées dans une commune laissent difficilement indifférent. La mystérieuse fête du slip d’un petit village du Jura appelé Poligny a ainsi été traitée et partagée par de très nombreux médias la semaine dernière.
Tout ceci n’était en réalité qu’une vaste manipulation de collégiens en classe de quatrième qui, dans le cadre d’un projet scolaire, ont intelligemment voulu montrer à quel point il était facile d’inventer uneinformation journalistique et de la faire reprendre par les médias de masse. Une farce qui a pris et qui leur a permis d’aller au bout de leurhéorie, très habilement.
 
Nous ne pouvons que féliciter la classe de 4e du collège Notre-Dame-de-Poligny dans le Jura qui a su attirer l’attention des
médias afin justement d'étudier la manière dont les informations se répandent sur la toile et à travers le monde médiatique. Dans le cadre d’un projet, les élèves de la classe ont en effet dressé un peu partout dans la commune de véritables guirlandes de slips, tendues entre les habitations, traversant la ville avec désinvolture et mystère.

Personne n’était en effet officiellement au courant de l’identité de l’instigateur de cette initiative, ni quel était son but, son message. Personne, à part deux complices et partenaires de crime idéaux : la mairie de Poligny, ainsi que la rédaction de France Bleu Besançon, premier média à révéler l'info.
Et ça a marché, très bien, trop bien même : de nombreux autres médias se sont penchés sur l’information, tiraillés entre une curiosité amusée et une volonté de faire de l’audience grâce à un fait divertissant de mystère et de malice. Qui pouvait bien être derrière la fête du slip ?  
Aujourd’hui, les collégiens se sont exprimés sur Facebook sur la nature de cette fête du slip, révélant la supercherie en ne manquant pas de lister nos confrères qui ont repris leur "intox", pris dans le piège ainsi tendu.

« Nos actions pirates n’avaient d’autre but que de susciter des réactions, à partir desquelles nous avons écrit un spectacle, Histoires de slips, quisera représenté le mardi 6 mars, à la Chapelle de la Congrégation de Poligny. Nos fameuses guirlandes ne sont porteuses d’aucune revendication, et ont été posées dans un seul but pédagogique et scolaire. Il s’agissait aussi pour nous d’éprouver la force de répercussion des médias. »


Un savant coup de comm’ de ces enfants, qui ont su se jouer de la sphère médiatique grâce à quelques complices, à savoir notamment la rédaction de France Bleu Besançon, l’association Mi-Scène et ses bénévoles, et la mairie de Poligny, sans qui le canular n’aurait jamais pu prendre forme en premier lieu.
Conformément à leur projet traitant de la désinformation et des fake news, engagé avec leur professeure Laëtitia Garreau ainsi qu’un facétieux artiste nommé Nicolas Turon, ces enfants ont réussi avec humour et bienveillance un véritable tour de force, tout en nous prouvant qu’il est facile de manipuler l'opinion : créer une information de toutes pièces avec peu de
chose, et orienter les médias de sorte à ce qu’ils la reprennent dans leurs colonnes, qu’elles soient numériques, ou faites d'encre et de papier. Il ne leur aura suffi que de quelques slips pour faire la une des informations et se jouer du monde des grands.


23/02/2018 - 15:13
Le « pont de la mort » ou,le cancer du "désespoir" des sociétés prospères..
 
Le taux de suicide en Corée du Sud est l'un des plus élevés au monde avec près de 40 cas quotidiens (environ 22 suicides pour 100 000 personnes par an). Le suicide est la principale cause de décès chez les Coréens de15 à 24 ans et près de la moitié d’entre eux y ont déjà songé.
L'éducation et la réussite à l’école sont des piliers de la culture sud-coréenne… échouer n’est pas une option.. 
 
Pour Kim Sungil, du Centre coréen de prévention des suicides, la Corée du Sud paye depuis quinze ans le prix de son succès économique : «Notre industrialisation a été si fulgurante que nous n’avons pas été capables de régler les problèmes sociaux qu’elle a engendrés.» Le gouvernement coréen doit encore réaliser que le suicide n’est pas un problème personnel mais un fléau social.»

 
 
À Séoul, une méthode courante est de sauter d'un pont au-dessus du fleuve Han. Le pont Mapo est le pont comptabilisant le plus de morts. Samsung Life Insurance, une compagnie d'assurance, a décidé de faire quelque chose. Ils ont transformé le pont Mapo en rajoutant des messages lumineux tout le long de la rambarde du pont. Grâce à cette opération, le taux de suicide sur ce pont a diminué de 77%. Il est prévu d'étendre ce principe à d'autres ponts. Bridge of Life version sous-titrée en français (VOSTFR)

 
 
23/02/2018 - 14:30
En Alsace, on boit du vin chaud… blanc !



Épices, cannelle, vin rouge, citron… Tout comme le grog, le vin chaud est devenu l’un des breuvages hivernaux les plus appréciés des Français.
Mais avez-vous déjà goûté du vin chaud blanc ? Une aberration vous dites ?

Pourtant, c’est une chose courante en Alsace. La raison ?
Le vin rouge représente seulement 3% des productions du vignoble alsacien.  L’Alsace est une terre de vins blancs. Et, avec Strasbourg comme "capitale de Noël ", il est logique que le vin chaud ait de nombreux liens avec ce coin de France ! 

La recette alsacienne du vin chaud mélange des cépagestypiques de l’Alsace tels que le sylvaner , le riesling ou le pinot blanc .
« Les notes d’agrumes du vin blanc sont soulignées par les fruits frais (orange, citron) que l'on rajoute à la recette.

23/02/2018 - 13:35
Les Pigeonniers .

Lors de vacances dans la région midi-pyrénées, j’ai pu admirer un bon nombre de ces pigeonniers et je veux vous les faire découvrir.
 

 
Les innombrables pigeonniers que l’on rencontre dans les campagnes de Midi-Pyrénées constituent autant de trésors.
  Ce patrimoine fait l’objet aujourd’hui d’importantes opérations de rénovation.
  Ces pigeonniers sont remarquables par leur architecture variée et soignée. Ils témoignent aussi de la vie rurale.
 

 
Le secret du nombre de ces constructions réside dans un joli nom, la colombine.
  Elle désignait la fiente de pigeon.
  Avant l’apparition des engrais chimiques, ces excréments étaient précieux.
 

 
La colombine était la seule autorisée par exemple pour fumer les vignes.
  Cela explique la quantité de pigeonniers dans les régions traditionnellement viticoles. Le seul département du Tarn en abriterait 1 700.
Les pigeonniers étaient aussi des garde-manger : la viande des pigeonneaux était souvent présente à la table familiale.
 

 
Contrairement à d’autres régions de France , la construction d’un pigeonnier en Midi-Pyrénées n’était pas le seul privilège des seigneurs.
Les premiers ont été construits vers 1600. Ils sont le plus souvent isolés ou attenants à un bâtiment.
 
Il en existe de nombreuses variantes : de plain-pied, sur piliers, pigeonniers-tours ou sur arcades
 

 
Chaque région a sa spécialité !
 
Dans le Quercy, les pigeonniers, que l’on appelle des gariottes, sont des tours rondes en pierre.
 
Dans les régions de Toulouse, d’Albi et de Montauban, la brique est l’élément le plus courant.
 
Leur toiture, de forme très diverse aussi, est surmontée ou non d’un épi de
faîtage à la symbolique bien précise. Cela peut être un oiseau qui
attire les pigeons, ou une double corne de taureau, symbole de
fécondité.

 

 
On trouve aussi des cruches ou des vasques. On les remplissait d’eau bénite pour se protéger des mauvais sorts…
23/02/2018 - 13:30
Salon de l'Agriculture 2018 : du 24 février au 4 mars 2018



Salon de l'Agriculture 2018 : qui est Haute, la vache-star de cette année ?                                   
Haute est arrivée jeudi 22 février au Salon de l'Agriculture, accompagnée de son éleveur aveyronnais Thibaut Dijols. Elle vient d'un élevage de 130 vaches Aubrac, une race robuste aux "cornes en forme de lyre.            
 
Elle est arrivée sous les flash des photographes. Haute est l'égérie l'édition 2018 du Salon de l'Agriculture, 
qui ouvre ses portes à Paris samedi 24 février. Pendant dix jours, cette vache à la robe couleur froment, originaire de l'Aveyron, sera la star de la plus grande ferme de France.                                                                         

Son éleveur Thibaut Dijols est ravi, il a prévu de l'habiller pour l'occasion.
"C'est une cloche que je vais lui mettre pour qu'elle soit bien jolie,
explique-t-il le bijou dans les mains. Elle a été gravée 'Paris 2018' avec le nom de l'élevage.


" Haute fait partie d'un élevage de 130 vaches Aubrac, une race robuste aux "cornes en forme de lyre" et aux "yeux qui semblent maquillés de khôl", décrit l'Association pour la sélection de la race bovine d'Aubrac . Et c'est pour ces caractéristiques qu'elle a été précisément choisie."
23/02/2018 - 12:39
Bonjour, vraiment très intéressant tout ça, et très beau aussi, merci à tous pour le partage!!
23/02/2018 - 12:05
Merci Marie jeanne, c'est jolie le verre.
23/02/2018 - 11:53
                                                          

LA COLOMBE DE LA PAIX



Paxi était une colombe blanche, au vol gracieux, et aux attitudes douces.
Elle était connue pour ses propriétés apaisantes. En effet, dès qu'elle
arrivait, l'air était plus serein, le ciel prenait aussitôt une belle
couleur bleue, et tout devenait tranquille. Parfois, on l'appelait,
parfois, c'était elle, qui, au hasard de ses pérégrinations, calmait le
jeu dans des endroits enflammés. Un jour, elle atterrit près d'une
maison d'où émanaient de nombreux éclairs. Dedans, c'était tout sombre,
et on entendait des éclats de voix en sortir. Paxi s'approcha et
aussitôt, la lumière pénétra dans les pièces. La colombe trouva des
enfants en pleurs et un papa, les sourcils froncés, qui avait l'air très
en colère. Elle s'approcha encore et les larmes s'envolèrent, ainsi que
toutes les tensions. Ah, on se sentait mieux ici ! Les enfants
retrouvèrent leurs rires, et le papa, le sourire. Même la maison
semblait heureuse : les portes et les fenêtres s'étaient recourbées vers
le ciel, e
n un bel arc souriant.
Paxi caressa de ses ailes, le visage des enfants. Qu'ils étaient beaux ! Qu'ils étaient tendres !
Qu'ils étaient touchants ! Les enfants, c'était ce qu'elle connaissait
de plus beau, et ce qu'elle aimait le plus. Elle reprit son vol, et
arriva dans un pays où régnait la guerre. Des chars d'assaut dans les
rues, des bombes qui tombaient, une population affolée... Ouille,
ouille, ouille, ce n'était pas joyeux ! Elle avait du travail ! Alors,
elle vola d'un côté, puis de l'autre. Elle traversa tout le pays, fit
plusieurs passages au même endroit, et réussit enfin, à ramener la paix.
Le ciel bleu était revenu, le soleil brillait, et il ne restait plus
qu'à tout reconstruire. Mais les hommes, tout heureux d'en avoir terminé
avec la guerre, se sentaient le cœur à l'ouvrage, alors bientôt, tout
serait différent. Paxi se reposa un peu. Le pays était grand, et ses
multiples vols sans relâche, l'avaient fatigué. Elle était à peine
posée, qu'au loin, elle vit un nuage noir. Allons bon, ça n'allait pas
recommencer. Pas déjà !

Ce n'était pas possible ! Mais celui-ci enflait, prenait de plus en plus
d'ampleur. Notre pauvre Paxi dut reprendre du service. Elle vola vers le
nuage qui se dissipa à son approche. Elle avait à peine tourné le dos
que, derrière elle, plusieurs foyers se recréèrent. Vite, elle repartit
vers eux. Mais la pauvre n'avait pas fini son vol, que déjà, ailleurs,
la guerre repartait.-« Ma parole, mais je n'y arriverai jamais ! » se
lamenta-t-elle. Un pigeon, du nom de Tampon, qui passait par là, lui
proposa son aide.-« Puis-je t'aider, jolie colombe, tu as l'air épuisé ?
»-« Oui, plutôt, je n'arrive pas à maintenir la paix ici, c'est très
difficile, la guerre semble enracinée... »-« Oh oh ! je vois... » dit le
pigeon, « tu ne réussiras pas toute seule à faire le travail, je vais
chercher d'autres colombes. »Et il fila à tire d'ailes, chercher du
renfort. Il en trouva trois, du nom de Calma, Serena et Trankiya, qu'il
ramena dare-dare vers le pays en feu. Aussitôt, elles se mirent au
travail, et bientôt, tous les foyers s'éteignirent en même temps.-«
Merci les amies ! » dit Paxi, « sans vous, je n'y serais jamais
arrivée... Merci à toi aussi, gentil pigeon ! »-« Mais ce fut un plaisir
! » dit le pigeon, en rosissant. C'est que Paxi, la jolie colombe, lui
plaisait bien, et qu'il en aurait bien fait sa fiancée.-« Paxi » lui
déclara-t-il, « je crois que tu aurais besoin de renfort en permanence.
Peut-être que je peux encore t'aider... »-« Ah oui ? Et comment ? »
demanda Paxi.-« Et bien, en créant avec toi d'autres petites colombes de
la paix... » murmura timidement le pigeon


D'autres colombes ? Que nous créerions ? « s'étonna Paxi.-« Oui, des bébés quoi !
»Paxi ouvrit les yeux ronds, car elle venait de comprendre. Tout gêné,
Tampon se retourna pour repartir.-« Excuse-moi, Paxi, je ne voulais pas
t'offenser. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris... »Paxi vint alors se
poser tout près de lui, et frotta doucement sa tête contre son cou.-«
Cher Tampon, ta proposition m'intéresse. C'est vrai que la paix a de
plus en plus de mal à régner, et que l'on a besoin des nouvelles
générations. Je serais heureuse de contribuer à ce repeuplement avec
toi... »Nos deux amoureux se bécotèrent tendrement, et attendirent
patiemment l'heureux évènement qui allait permettre au monde de se
porter mieux


23/02/2018 - 11:50
                                                         

Calvin NICHOLLS

Calvin Nicholls est un artiste canadien spécialisé dans la sculpture papier. Il
travaille pour plusieurs types de clients allant du milieu de la
publicité à celui de l'édition en passant également par des
collectionneurs privés etc..





23/02/2018 - 11:49
                                                         

Michael Cohn et Molly Stone sont réunis par leur intérêt commun dans le verre.




Michael est diplômé de l'Université de Berkeley où il a étudié l'art du verre
dans les années 1970. Il a commencé son premier studio de verre en 1973.



Molly est également diplômée de l'Université de Berkeley et son expérience de
verre chaud a commencé à Pilchuck école verre en 1977 où Dale Chihuly a
été son premier professeur de verre. En 1980, Michael et Molly se sont
croisés dans le monde du verre etCohn-Pierre Studiosa été créé. Les deux
artistes créent leurs œuvres d'art en verre conçues individuellement et
sculptées ou soufflées et ensemble ils créent et produisent
lesCohn-Pierre Studioslignes de l'art du verre.