De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
24/02/2018 - 12:12
Ah oui ce video est magnifuqe, j'ai aller sur youtube pour regarder en plein écran, magnifique Mercci
24/02/2018 - 08:30
L'Europe Magique en Vidéo 4K...

L'Image Magique & Fascinante Du Samedi En Matinée...

La vidéo time-lapse a été le résultat de la compilation d'une quantité phénoménale de données: environ 20 téraoctets avec plus de 1000 vidéos time lapse et 200,000+ images - pour ne pas mentionner les 2 caméras, 60 vols et 30 pays.
La famille Chang a visité l'Autriche, la Belgique, la Bosnie, la Croatie, Tchèque, Danmark, Estonie, France, Finlande, Allemagne, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Liechtenstein, Malte, Monténégro, Nederland, Norvège, Portugal, Russie, Sanmarino, Slovénie, Slovensk, Espagne, Suède, Suisse, Royaume-Uni, Vatican, entre autres...
 Je pense que tout le monde a besoin de faire un voyage et ont les yeux ouverts à quel point le monde est beau.
~ Stan Chang
 Voici les captures d' écran ... dans le cas où vous avez raté quelques - uns des beaux endroits de la vidéo en mouvement rapide.
Toutes les images avec la permission de Stan Chang. S'il vous plaît vérifiez son: Site Web | Facebook




























Source: Une famille, 2 caméras, 0 pays, 60 vols, 1000 time lapse vidéos, 200 000  images ,près de 20 téraoctets de données !
24/02/2018 - 08:21
L'île De Ré , Itinéraire & Découverte...Vidéos...


L'île de Ré est une destination "toute l'année", nous vous proposons dans cette page un itinéraire pour une balade découverte de la journée.
Au cours de cette journée, nous découvrirons le pont de l'île de Ré, Sablanceaux, Rivedoux-plage, le Fort de La Prée, l'Abbaye des Châteliers, La Flotte-en-Ré, Saint-Martin-de-Ré, Loix, les marais salants, Ars-en-Ré, Saint-Clément-des-Baleines, le phare des Baleines, Les Portes-en-Ré.
L' île de Ré est petite (32 km de long, 5 km de large) mais c'est une concentration de charme et de caractère.
Les distances sont courtes mais les temps de parcours peuvent être longs en haute saison estivale ou lors des longs week-ends de printemps. Vous  profiterez à plein de tous les charmes de l'île de Ré en dehors de ces périodes.
Reliée au continent depuis mai 1988 par un superbe pont, l'île de Ré est toute proche de La Rochelle.
Le pont-viaduc, élégant ouvrage en arc de cercle de 3 kilomètres de long, est rapidement accessible à partir de La Rochelle-La Pallice.

L'île d'Oléron est située dans le département de la Charente-Maritime, lequel fait partie de la région Poitou-Charentes.
Elle se trouve au sud de l'île de Ré et de l'île d'Aix.      

Avant de s'engager sur le pont, on peut s'arrêter sur la gauche et profiter du belvédère pour avoir une première vue du pont et de l'île.

Il est même possible de louer des vélos au pied de ce Belvédère. Il y a peut-être là une bonne idée, laisser sa voiture au parking avant le pont, louer des vélos, profiter du passage gratuit du pont en vélo et continuer la balade dans l'île.
De La Rochelle-La Pallice à Sablanceaux, le pont-viaduc.
Reliée au continent depuis mai 1988 par un superbe pont, l'île de Ré est touteproche de La Rochelle. Le pont-viaduc, élégant ouvrage en arc de cerclede 3 kilomètres de long, est rapidement accessible à partir de La Rochelle-La Pallice.



> en savoir plus sur le pont de l'île de Ré
> voir les tarifs de passage du pont de l'île de Ré


Sur la côte sud de l’Ile de Ré vous trouverez de grandes étendues de sable fin, tandis que de l’autre côté ce sont de petites criques qui vous charmeront !
A La Flotte en Ré, rien de tel qu’une petite baignade sur la plage de l’Arnérault !

Vue aérienne du pont de l'île de Ré, de la pointe de Sablanceaux, (côté îlede Ré en bas à droite sur la photo) à La Pallice au nord-ouest de La Rochelle.

 L'île de Ré, quatre îlots et une dizaine de villages.
On retient plus facilement la géographie de l'île de Ré en se souvenant qu'elle est en fait constituée de quatre îlots, Ré, Loix, Ars et Les Portes, reliés entre eux au fil des siècles par les alluvions naturelleset les digues construites par les hommes.

L'île de Ré, quatre îlots et une dizaine de villes et villages...
A Sablanceaux, juste après le pont, on a un premier choix, soit prendre, sur la gauche, la D201 en direction de
Le Bois-Plage et La Couarde, soitprendre, sur la droite, la D735 en direction de Rivedoux, La Flotte et Saint-Martin-de-Ré.

Les deux routes, D201 et D735, se rejoignent à La Couarde, station balnéaire importante avec plage orientée au sud.
Prenons La D235.
De la pointe de Sablanceaux à Saint-Martin-de-Ré Le premier village est Rivedoux avec sa longue et belle promenade aménagéeen bord de mer qui offre de belles vues sur la courbe du pont de l'île de Ré.

Rivedoux a une activité ostréicole importante.


Rivedoux, le port avec le pont de l'île de Ré en arrière-plan.


Rivedoux, la promenade en bord de mer
Peu après Rivedoux, vous trouverez sur votre droite une petite route qui conduit au Fort de la Prée.
Le Fort de La Prée a été construit en 1626 dans le but de contrôler l'île de Ré et de surveiller La Rochelle alors protestante. Il a été remanié par Vauban dans les années 1680.
Le site restauré est ouvert au public depuis 2005. La visite est intéressante et les vues sur le pertuis Breton et le pont de l'île de Résont superbes.

Ile de Ré, le Fort de la Prée, Le petit port d'échouage permettait le ravitaillement du fort.
Après avoir repris la D735 en direction de La Flotte, on est surpris par la vue sur la droite des ruines de l'Abbaye des Châteliers qui se dressent au milieu des champs. Nous sommes déjà sur la commune de La Flotte.
Il s'agit plus exactement de l'abbaye Notre-Dame-de-Ré, dite "Des Châteliers".

>en savoir plus sur l'Abbaye des Châteliers

 Ile de Ré, l'Abbaye des Châteliers, commune de La Flotte.
La Flotte-en-Ré

On pourrait être tenté de rejoindre Saint-Martin au plus vite en contournant la Flotte, sans s'y arrêter. Ce serait vraiment dommage de ne pas prendre le temps de visiter cette charmante petite ville.
C'est un concentré de toutes les facettes de l'île de Ré. On y retrouve tous les aspects du charme de l'île de Ré, le petit port, les façades alignées le long des quais, les petites rues du centre, le marché, la promenade en bord de mer, l'atmosphère paisible,...

> en savoir plus sur la Flotte-en-Ré

La Flotte-en-Ré, un port animé et de charmants bistrots avec des terrasses sur les quais.
On passe pratiquement sans transition de La Flotte à Saint-Martin.
Nous vous recommandons de laisser la voiture sur le parking Vauban, à l'entrée est de la ville. Ce parking occupe un vaste terrain et est trèsbien placé. Il est situé entre la citadelle et le port, séparé de la mer par le Parc de la Barbette.
Saint-Martin-de-Ré est considérée comme "la Capitale" de l'île de Ré.

> en savoir plus sur Saint-Martin de Ré

Saint-Martin-de-Ré, le port et les quais

             Saint-Martin-de-Ré, la promenade sur les remparts.
Après Saint-Martin, la route D735 nous conduit en 5 kilomètres à La Couarde, station balnéaire avec une belle plage orientée sud.
Loix, une visite qui mérite le détour.
Deux kilomètres après La Couarde, nous vous suggérons de quitter la direction Ars-en-Ré pour prendre sur la droite la D102 qui conduit à Loix.

Cette route se termine à Loix et nous devrons reprendre cette même toute dansl'autre sens pour rejoindre la prochaine étape, Ars-en-Ré.
La commune de Loix mérite le détour pour son église Sainte-Catherine, son petit port avec moulin à marée et surtout les marais salants. La petite route qui serpente entre les marais salants est particulièrement
pittoresque.
Pour en savoir plus sur les marais salants, deux sites à visiter:
> le site de l'Ecomusée du marais salant à Loix
> le site de la Coopérative des Sauniers de l'île de Ré

 Loix, les marais salants

Retour sur la route D735 qui conduit à Ars-en-Ré par le passage du Martray.
Le Martray est le nom du passage le plus étroit, quelques dizaines de mètres, entre la partie est et la partie ouest de l'île de Ré. On est entre le Fier d'Ars au nord et le Pertuis d'Antioche au sud.
Une digue protège le côté sud de la mer et des tempêtes. Il est possible de stationner au pied de la digue pour une petite balade bien aérée!
Le célèbre clocher d'Ars-en-Ré est déjà en vue.

Ars-en-Ré.

La visite d'Ars et du port de plaisance sur le Fier sont incontournables.
Au centre du bourg, l'église Saint-Etienne est célèbre par son clocher peint en noir et blanc pour servir de repère aux bateaux.
La promenade dans le centre, avec les venelles, les rues étroites, les maisons typiques aux volets verts, est à faire.
> en savoir plus sur Ars-en-Ré

Le phare des Baleines.

En continuant après Ars, on arrive, après avoir traversé Saint-Clément-des-Baleines, au pied d'un autre site incontournable de l'île, le phare des Baleines.
Le phare, haut de 50 mètres, se visite et du sommet, offre un des plus beaux panoramas de la région. Le phare est situé sur le territoire de lacommune de Saint-Clément-des-Baleines.
> en savoir plus sur le phare des Baleines
Ile de Ré, le phare des Baleines et la Vieille Tour, vue côté mer.


Vue du sommet du phare des Baleines, la conche des Baleines entre le phare et la pointe du Lizay aux Portes-en-Ré.
Ile de Ré, du phare des Baleines au retour sur le continent
La distance entre le phare des Baleines et Sablanceaux, départ du pont de l'île de Ré, n'est que de 30 kilomères.
On reprendra la D735 jusqu'à La Couarde où on la quittera pour prendre la D201, direction Le-Bois-Plage-en-Ré, Sainte-Marie-de-Ré et Sablanceaux.

Source :   Île de Ré, calme, détente, luminosité d'un ciel charentais, tamaris, balade en vélo...














24/02/2018 - 07:47
       Montsoreau , visitez une Pépite.


Première sentinelle ligérienne au sud de l’Anjou, premier château de la Loire à avoir les pieds dans le fleuve, Montsoreau, pépite de blanc tuffeau, offre en partage ce « petit quelque chose » qui fait la différence : un art de vivre d’une rare douceur.
De couleur, Montsoreau n’en manque guère : le tuffeau est tant chauffé à blanc par le soleil qu’il en éblouit .
Les ardoises des toitures exacerbent des teintes bleutées sous l’orage ; et le fleuve, sillon gris-argent se moire de verts insensés ou de bleus insoupçonnés.
Une célébrité littéraire  Si le nom de Montsoreau vous dit quelque chose, c’est probablement grâce à Alexandre Dumas. Son roman, La Dame de Monsoreau, a rendu mondialement célèbre ce petit village situé à 14 kilomètres de Saumur.
La fiction relatait les amours tragiques de Diane de Méridor (Françoisede Maridor dans la réalité), dont l’amant, Louis de Clermont d’Amboise dit Bussy d’Amboise, est assassiné par son mari le comte de Monsoreau.
Malgré cela, elle continuera de vivre paisiblement dans son château…

 Le château de Montsoreau, jadis « poste frontière » entre la Touraine et le Poitou, s’admire côté fleuve ou côté terre.
La « Véloroute » permet de descendre ou remonter la vallée de la Loire, sur 800 kilomètres, des Pays-de-la-Loire au Centre.
 Il faut dire que le château de Montsoreau est l’un des plus attachants de toute la vallée de la Loire !
L'histoire Du Château Dressé au bord du fleuve, à l’endroit de la rencontre de la Loire avec la Vienne, cet impressionnant vaisseau de pierre blanche a été construit à la moitié du XVe siècle par Jean II de Chambes, conseiller du roi de France Charles VII.

Côté nord, l’édifice, avec son chemin de ronde, ses mâchicoulis et ses imposantes tours carrées, apparaît comme une austère forteresse militaire.
La façade méridionale, influencée par la Renaissance italienne, tient davantage de l’élégante demeure de plaisance, avec sa tour d’escalier d’honneur à vis, décorée de sculptures en bas-relief.
Une impression renforcée quand on pénètre à l’intérieur. Le style est raffiné, comme celui de cet escalier doté d’une voûte en palmier.
Aucun des autres châteaux de la Loire n’épouse à ce point le fleuve. Jadis, la forteresse avait littéralement les pieds dans l’eau, car ses douves étaient alimentées par la Loire.
L’objectif était de veiller sur cette véritable autoroute fluviale – au Moyen Âge,Montsoreau était un important port de commerce.

Aujourd’hui, du haut des terrasses du château, on ne voit plus guère passer de gabares, toues, sapines ou chalands, les cales pleines de sel, vin, blé ou pierre…
L’agitation des mariniers a laissé la place à une douceur intemporelle. Il suffit d’aller crapahuter dans les rues calmes surplombant la forteresse pour s’en rendre compte.
Des escaliers et venelles pavées, abondamment fleuries, qui grimpent vers les vignes, offrent des panoramas propices à la contemplation sur le château et sur le grand spectacle de la confluence.

Au fil de votre balade dans ce charmant bourg, vous pourriez tomber nez-à-nez devant un habitat troglodyte. 
Un Château Mais Pas Que... Mais ce qui fait la noblesse de ce bourg si ligérien, ce sont bien les maisons, blanches ou blondes, selon la lumière, qui, pour beaucoup, datent des XVe et XVIe siècles.
Le tuffeau, extrait ici depuis le Moyen Âge – on a compté jusqu’à 500 «perreyeux » (carriers) ! – est une pierre calcairetendre qui a permis des constructions simples mais raffinées, comme en témoignent les fenêtres à meneaux, les sculptures et les fines tourelles qui ornent les maisons…
Le tuffeau a servi, bien sûr, à bâtir habitations et édifices du village tels que le château ou l’église Saint-Pierre-de-Rest, mais il était aussi acheminé en direction des prestigieux chantiers du château de Saumur ou encore, probablement, de la toute proche abbaye de Fontevraud.
Les anciennes carrières d’extraction ont laissé place à des caves où l’on se délecte de saumur-champigny, à d’insolites habitations troglodytiquesou à des champignonnières comme, à la sortie de la ville le Saut-aux-Loups. Pleurote, pied-bleu, champignon de Paris ou shittake s’yépanouissent comme jamais.

Détour Spirituel À Fontevraud.......
À 4 kilomètres de Montsoreau, ne manquez pas le plus grand ensemble monastique de France. Cette abbaye royale, fondée en 1101 par Robert d’Abrissel, selon le plan bénédictin, a été gouvernée par des femmes durant près de sept siècles !
Très puissante encore à la veille de la Révolution, elle sert de prison de 1804 à 1963 avant de devenir le Centre culturel de l’Ouest.
Visitez la sublime église abbatiale, présentant les gisants polychromes des souverains Plantagenêt, comtes d’Anjou et bienfaiteurs de l’abbaye .
Aliénor d’Aquitaine repose aux côtés d’Henri II Plantagenêt, de leur fils Richard Coeur de Lion et d’Isabelle d’Angoulême. Déambulez dans le cloître du Grand-Moûtier.
Enfin, les cuisines romanes du XIIe siècle vous surprendront par leur toiture d’écailles en pierre taillée, leurs lanternons et leurs cheminées.

Abbaye de Fontevraud.





23/02/2018 - 19:50
Les Gorges de kakuetta .....


 

 

 

 

 
  Les gorges de Kakuetta sont situées au pays Basque à Sainte Engrace
 
Falaises vertigineuses, végétation luxuriante, refuge de rapaces majestueux, le coeur de la montagne basque réserve bien des surprises aux amoureux de la nature !

Les Gorges de Kakuetta, Amazonie des latitudes tempérées, invite les visiteurs à sillonner un large canyon sur près de 2 km de long, le long d'une rivière tortueuse.

Les sentiers et passerelles aménagés pour l'occasion mènent en toute sécurité jusqu'au clou de la balade : la fameuse cascade qui chute d'unevingtaine de mètres, récompense pour petits et grands explorateurs.

Arborant une nature vierge et luxuriante, les Gorges de Kakuetta comptent parmi les sites les plus sauvages d'Europe.
  On se met facilement dans la peau des premiers explorateurs de la gorge, en 1906.
 
On respire le parfum des lieux, on se laisse surprendre par les jeux d'ombres et de lumières. Au détour d'une falaise, ajoutant à l'atmosphère nature des lieux, un vol de rapaces fascine les visiteurs.
23/02/2018 - 19:45
Le château noir du corbeau
 

 

 
Le château de Matsumoto est un monument fortifié historique, situé dans laville éponyme, à 50 kilomètres au sud de Nagano. Classé au patrimoine culturel national du Japon et surnommé "le corbeau noir" pour sa couleur, il présente un donjon parfaitement préservé de cinq niveaux dont l'intérieur est à visiter.
 
La célébrité de l'élégant château de Matsumoto dépasse largement le cadre de l'archipel.
 

 

 
Et pour cause : superbement conservé alors que sa construction remonte au XVIe siècle, devenu plus récemment Trésor national du Japon, le bâtimentest sans doute l'un des châteaux japonais les plus représentés, grâce notamment à sa superbe robe noire qui rappellera celle d'Okayama. Pour cela, on lui donne le surnom de "corbeau".
 
Une de ses caractéristiques les plus étonnantes réside sans doute dans le fait qu'il n'a jamais été reconstruit : il s'agit bien de l'édifice d'origine que l'on visite encore aujourd'hui ! Très photogénique, le château de Matsumoto offre plusieurs beaux points de vue autour de l'étang qui l'entoure, en particulier avec la floraison -tardive- des sakura, avec en toile de fond les Alpes japonaises.
 

 
23/02/2018 - 18:41
                                                       

La mort de Lawrence d'Arabie est en grande partie la cause de l'invention du casque de moto !
La moto est le moyen de transport le plus dangereux d'où l'obligation du
port des casques de moto, qui, selon les statistiques, réduit le risque
de traumatisme crânien d'environ 69% et les décès d'environ 42%. Bien
que l'on ait spéculé que le port du casque de moto augmenterait les
blessures au cou et à la colonne vertébrale lors d'un accident, des
preuves récentes ont montré que les casques protègent contre les
blessures au rachis cervical.

Savez-vous que le casque de moto a été inventé et introduit à la suite de la mort de Thomas Edward Lawrence
Rendu célèbre par ses exploits de la Grande Guerre au Moyen-Orient et
immortalisé sous le nom de Lawrence d'Arabie, le fameux officier et
écrivain britannique est mort le 19 mai 1935, à l'âge de 46 ans, après
avoir succombé à de graves blessures à la tête dans un accident de moto.
Il ne pouvait pas imaginer que l'accident qui l'avait tué, et le
chirurgien qui a tenté de le sauver, finiront par sauver des milliers
vies.

Lawrence a perdu le contrôle de sa moto, une Brough Superior SS100, près de sa maison à Dorset, dans le sud-ouest de
l'Angleterre. L'un des médecins qui a examiné Lawrence, Hugh Cairns, a
conclu à la suite de l'examen post-mortem que Lawrence avait subi des
lacérations sévères et des dommages au cerveau quand sa tête non
protégée a heurté le sol.

La mort de Lawrence n'a pas été oubliée par Cairns, qui, a commencé à recueillir des preuves sur les blessures à
la tête subies par les motards. Après 6 ans de recherche, en octobre
1941, il a publié ses premiers résultats dans le British Medical
Journal. L'article était intitulé « Les blessures à la tête chez les
motocyclistes et l'importance du casque de protection ».

Il a révélé que dans les 21 mois avant le début de la Seconde Guerre
mondiale, 1 884 motards avaient été tués sur les routes britanniques.
Parmi les cas étudiés par Cairns, les deux tiers ont été blessés à la
tête. « Il ne fait aucun doute que de nombreux patients de cette série
auraient vécu si leur tête avait été protégée de manière adéquate »,
a-t-il écrit.
L'armée, qui perdait deux motards chaque semaine, était convaincue par ces résultats. En novembre 1941, elle a ordonné à tous
ses motards de porter des casques. Cairns avait remporté sa première
victoire. En 1943, Cairns a pu montrer qu'un bon casque pouvait réduire
les fractures du crâne chez les motards souffrant de blessures à la tête
de 75%.

En 1946, le médecin a montré que le nombre total de décès de motocyclistes avait considérablement chuté après le port du
casque des motards de l'armée. « A partir de ces expériences, il ne fait
aucun doute que l'adoption d'un casque de protection standard par tous
les motocyclistes civils permettrait de sauver des vies », a-t-il
conclu.

Malgré les recherches laborieuses de Cairns, ce n'est qu'en 1973 que l'Angleterre a rendu obligatoire le port d'un casque de
sécurité pour tous les motocyclistes, même date pour la France. Voici un
article sur les grandes dates de la sécurité routière en France.
23/02/2018 - 16:55
Comment Elaine va creuser la ligne B du métro de Rennes
Une vidéo pour comprendre - en 5 minutes - comment le tunnelier Elaine va
creuser les 8 km en souterrain de la ligne b du métro à Rennes.


La machine de 1450 tonnes, longue de 82 m, creusera pendant 2,5 ans à une profondeur de25 m

http://player.vimeo.com/video/114556495?title=0&byline=0&portrait=0&color=b92f40 
23/02/2018 - 15:48
Les routes limitées à 80 km/h en phase d'expérimentation constitueraient un échec retentissant, difficilement avouable.

Nous vous en parlions il y a deux mois, cette année devrait être annoncée la baisse de limitation de vitesse sur les routes du réseau secondaire, dépourvues de séparation centrale, fixant une limite maximale autorisée à 80 km/h. Les arguments en faveur de cette mesure avancée par le gouvernement sont la limitation de la pollution, et le renforcement de la sécurité des automobilistes. Cette annonce a pu diviser, mais l’expérience était menée sur certains tronçons comme la RN51 depuis trois ans déjà. Il semblerait que les résultats soient loin d’être satisfaisants, d’où une certaine dissimulation de ceux-ci, puisqu’ils n’iraient pas du tout dans le sens souhaité par les instigateurs de cette mesure.



Comme le signale Le Point, les résultats de l’expérience auraient dû être divulgués déjà en juillet 2017, coïncidant avec la démarche souhaitée « transparente, honnête et rigoureuse » de Bernard Cazeneuve, grand partisan de cette nouvelle limitation en 2015. Face au manque de chiffres divulgués par le gouvernement, l’association 40 Millions d’Automobilistes a pris la décision d’analyser tous les rapports d’accidents de la route du Ministère de l’Intérieur entre 2012 et 2016 pour comparer les chiffres avant et après la mise en place de l’expérience sur les portions de routes concernées. Les conclusions qu’elle a pu en tirer ne sont pas des plus reluisantes, comme l’affirme le délégué général de l’association Pierre Chasseray :
« 30 blessés sont alors à déplorer (en 2016, seule année pleine de l’expérimentation disponible dans les rapports), soit autant qu'en 2013,plus qu'en 2012 (26) et non loin de 2014 (31), qui est la pire année en nombre de victimes (34) et de gravité des accidents. De plus, en comparaison avec des données de mortalité routière relevées à l'échelle nationale, les statistiques issues des routes secondaires en test révèlent l'inefficacité de la mesure : alors que 1 911 accidents mortels
ont été recensés sur les 386 224 kilomètres que compte le réseau secondaire français (soit 1 accident mortel en moyenne tous les 202 km) en 2016, les sections de routes nationales soumises à l'expérimentation font état de 1 accident mortel tous les 28,7 km ».


La mesure visant à limiter la vitesse à 80 km/h augmenterait ainsi drastiquement le taux moyen de mortalité routière sur ces routes, en comparaison avec les autres. Les chiffres provenant directement des rapports officiels du gouvernement, ils sont difficilement contestables par ce dernier, qui a donc tout intérêt à dissimuler les résultats de l’expérimentation, même s’il est important de rappeler que les causes des accidents (comprenant l’alcoolémie ou l’usage de drogues) ne sont pas divulguées par respect pour les victimes. Le mois dernier, le premier ministre Édouard Philippe avait rappelé à quel point il
défendait cette mesure même si elle pouvait le rendre « impopulaire », déclarant que cela lui était égal puisque cette limitation avait pour but de « sauver des vies », selon ses propres mots. Augmentation du temps de trajet, marge de dépassement d’un véhicule lent réduite, risques d’accidents accrus… Le gouvernement se rétractera-t-il donc sur
cette mesure à la lumière de ces faits, ou continuera-t-il à essayer de persuader de sa légitimité à présent sérieusement questionnée par les chiffres mis en exergue par 40 Millions d’Automobilistes ?


23/02/2018 - 15:32
                                                     
LE  SAVIEZ  VOUS ?........
L'histoire de la Gaufre débute il y a
plus de 2000 ans. Ce sont probablement les Chinois qui furent les
pionniers de cette aventure hors du commun. Des écrits relatant des
festins gargantuesques et des orgies culinaires, agrémentés par la
présence d'ancêtre de la Gaufre, sont assez courant jusqu'à la fin de la
dynastie des Ming (1644 après JC).

Pourtant, la Gaufre est devenue ce qu'elle est aujourd'hui par de
nombreux concours de circonstances comme cela arrive fréquemment en
cuisine (histoire de la tarte Tatin, de la crème brûlée...). Sa forme
rudimentaire qui a traverse les siècles, et qui continue de faire la
joie de nos amis Américains, est certainement le "pancake®" (nb: des
recherches bibliographiques assez poussées n'ont néanmoins pas permis de
tracer l'arbre généalogique complet de la Gaufre). Ce dessert simpliste
n'a heureusement pas la popularité de son lointain descendant dans nos
contrées.

Qui a donc savouré la première bouchée de notre dessert favori?
Rendons aux Belges ce qui leur appartient et dévoilons qu'il s'agit
vraisemblablement d'un artisan boulanger originaire de Bruxelles.
L'histoire de cette naissance originale est malheureusement très floue:
le boulanger a en effet été dans l'impossibilité de décrire
rationnellement sa découverte. Il a balbutié des explications quasi
surnaturelles en invoquant des petits êtres bleus, guidés par un vieil
individu doté d'un couvre chef rouge. Incapable de réitérer la saveur et
le moelleux de son unique Gaufre, le pauvre bougre se suicida par peur
d'être poursuivi par l'inquisition royale Belge (qui menait à cette
époque une lutte fratricide à tous les opposants des sacro-saintes
moules frites). Il mourut d'un traumatisme crânien après s'être pendu
avec un élastique sans avoir jamais saisit l'immense portée de son
invention.

C'est finalement à Lyon, capitale des Gaules, que la Gaufre a acquis
ses lettres de noblesse. En 1789, 3 ans et demi après le tragique
décès de la nièce de l'arrière arrière arrière arrière arrière
grand-père de Michel Noir par alliance, un pâtissier du village de
Caluire et le forgeron du hameau voisin, Cuire, se lancèrent dans la
confection des Gaufres Lyonnaises. Très vite leur succès dépassa
largement la commune du Grand Lyon et leur recette ne put rester secrète
très longtemps. Ce fut la fin d'une belle aventure humaine qui était
vouée à devenir une épopée