De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
02/04/2021 - 14:44
Bonjour Claudia,

Merci POUR L'EXPLICATION ,d'avoir remis le sujet  .
Pourriez-vous svp nous dire quelle date concerne ses photos , je suppose que c'est peut-êètre moi qui les ai mises , je vérifierai où je les prise afin que cela ne se reproduise pas.
Cela aurait été plus simple si vous aviez expliqué tout de suite le retrait du sujet : de TOUT.
Ok pour ce problème ,quelle explication pour la SUSPENSION de : éditer et supprimer ( je comprends pour supprimer mais éditer
est indispensable ).
Merci d'avance pour votre prochaine réponse , je pensais que c'était un poisson d'avril . POURQUOI ?
02/04/2021 - 12:31
Merci d'avoir remis le sujet.
Merci pour l'explication.
Désolée pour le photographe.
02/04/2021 - 09:45
Bonjour à toutes et à tous,
Nous avons dû mettre le sujet hors ligne suite à une plainte déposée par un photographe. En effet, le photographe en question a retrouvé certaines de ses photos utilisées sur le forum sans sa permission. Pour rappel du règlement : les photos postées doivent être libres de droits.
Bonne journée à tous,

Claudia de l'équipe Ordissimo
21/03/2021 - 15:12
Un parfum bien français le papier d'Arménie

 Son nom évoque l'Orient, mais il est né en région parisienne, une histoire française et familiale débutée en 1885, celle d'une marque aujourd'hui mythique.



 C'est le plus ancien parfum d'ambiance et désodorisant naturel né de la rencontre d'un chimiste Auguste Ponsot et d'un pharmacien Henri Rivier, le premier découvre, lors d'un voyage en Arménie que les habitants font brûler du benjoin, une résine végétale venant le plus souvent d'Orient pour parfumer et purifier la maison.



 Dès son retour en France avec le second et ensemble ils parviennent à liquéfier le benjoin dans de l'alcool, ils
mettent ensuite un procédé permettant à un papier type buvard de s'imprégner de cette solution et un système pour retarder la combustion en les plongeant dans des bacs d'eau salée. Enfin ils découvrent un moyen de voir se consumer le papier sans produire de flamme. Après séchage un mois sous presse, les feuilles sont perforées, découpées et assemblées en carnet de 36 lamelles.

 

Balance d'époque pour peser le benjoin
Le papier d'Arménie connaît les honneurs lors de l'exposition d'hygiène de 1888 et lors des exposition universelles de Paris 1889 et de Lyon 1894 où lui sont décernées les médailles d'or. Près de 130 ans plus tard la marque continue à bénéficier d'une très forte notoriété auprès des français.



Aujourd'hui le papier d'Arménie ne fait plus office de désinfectant ni de purificateur. On pouvait lire dans les almanachs du début du 20ème siècle : désinfection des habitations et chambres de malades et prévention des épidémies et maladies contagieuses. Nos intérieurs sont plus sains que ceux de nos aïeux et la chasse au virus n'est plus d'actualité. Encore que !!!



Désormais simple désodorisant le papier d'Arménie repousse les odeurs de friture et tabac ainsi que celles laissées par les animaux. Mais surtout "les petits papiers" chers à Gainsbourg ont d'abord pour but de parfumer nos intérieurs d'une douce et inimitable senteur .
Ce commentaire a été modifié le 21/03/2021 à 15:18
20/03/2021 - 14:09

 
Le printemps est l’une des quatre saisons de l’année, dans les zones tempérées. Il suit l'hiver et précède l'été.Il existe plusieurs définitions du printemps, notamment météorologique (demi-saison se trouvant entre les saisons froide et chaude) et calendaire (dont les dates varient selon les pays).
 







 
Dans l’hémisphère nord, le printemps se situe entre le premier et le deuxième trimestre de l'année et dans l'hémisphère sud, il se situe entre le troisième et le dernier trimestre de l'année.
 





 
Cette saison, marquant traditionnellement le renouveau dans la nature, se caractérise par un radoucissement par à coups de la température, la fonte des neiges, le bourgeonnement et la floraison des plantes.








 
le réveil des animaux hibernants et le retour de certains animaux migrateurs.
 








Ce commentaire a été modifié le 20/03/2021 à 14:11
16/03/2021 - 13:45

 
Les Baux-de-Provence sont une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
 

 
Les Baux, situés dans le massif des Alpilles, sont aujourd'hui principalement un site touristique plus qu'un un lieu de vie. Ils sont un des plus beaux villages de France et accueillent plus d'un million et demi de visiteurs par an. 22 vivent encore dans l'enceinte des Baux , la partie haute du village , et 450 habitants pour toute la commune.
 












 


 
La commune est centrée autour d'un village situé sur un éperon rocheux, début d'un plateau — premier contrefort de la chaîne des Alpilles — qui surplombe de 200 m la campagne.
 


L’extraordinaire château fort semi-troglodytique, situé sur une barre rocheuse du flanc sud des Alpilles dominant le village, est l’un des plus anciens établissements féodaux d’Europe (le castrum Balcium est mentionné dès 975).
 
 






 
En fait le site des Baux a connu une occupation humaine permanente, il a été camp refuge dès le Néolithique et place forte à l’Âge du Fer. Le Moyen Âge et la Renaissance y ont laissé des éléments architecturaux exceptionnels.
 





 
Vraisemblablement des Xe, XIe et XIIe siècles, la forteresse est munie d'un donjon rectangulaire du XIIIe siècle qui est la partie la mieux conservée. Le logis comporte des salles troglodytiques taillées dans le roc.
 




 
Il est entouré des tours « Sarrazine », « Paravelle » et de la « tour des Bannes » (« Cornes » en provençal).
 



 
Il existe également les vestiges d'une chapelle
 

 
et d'une vaste enceinte extérieure
 


 
l'on peut voir des engins de guerre reconstitués de cette époque
 


Ce commentaire a été modifié le 16/03/2021 à 13:47
12/03/2021 - 15:12
Clodisa,
Avec un peu de retard ,merci pour votre message du 06, bon week-end pluvieux .

 
Ce commentaire a été modifié le 12/03/2021 à 15:13
07/03/2021 - 15:37
7 mars 1997, décès de Gustave Elrich, dit "Gus"

 

Gustave Elrich, dit Gus, né le 17 décembre 1911 à Lublin en Pologne et mort le 7 mars 1997 à Paris, est un dessinateur humoristique, illustrateur, caricaturiste et écrivain français. 

 

Après des études à l'École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, Gus s'installa à Paris et se lança dans le monde du spectacle, puis de la publicité.

 


 
Selon une indication sur sa tombe au cimetière du Montparnasse, il a fait partie du Corps franc Pommiès en 1944-1945.

 
 

En 1940, Gus s’essaie au dessin de presse en publiant ses premiers croquis dans Le Cri de Paris et le journal Toujours. Dorénavant, il s'orienta vers le dessin humoristique en illustrant l'actualité quotidienne dans la presse écrite et à la télévision3. Gus publiera successivement dans la plupart des grands titres français : Paris-Matin,France Dimanche, Ici Paris, Le Figaro Magazine, France-Soir et Le Canard enchaîné.

 
 

Entre 1972 et 1989, Gus illustra en direct l’actualité commentée sur la chaîne de télévision Antenne 2.Gus était membre de l'Académie de l'humour, de l'Académie gauloise, de l'Académie Rabelais et de la Confrérie des Tastevins.


 
 

Il meurt le 7 mars 1997 à Paris. Il repose au cimetière du Montparnasse (division 6), à droite de Henri Langlois.

 
Ce commentaire a été modifié le 07/03/2021 à 15:41
06/03/2021 - 16:00
ET
  DE TOUT !!!  MAIS   TOUT     EST INTÉRESSANT !!!!   VRAIMENT !!!
CHÈRE MARGO.
06/03/2021 - 15:00

 
Initialement importé d'Australie dans notre pays au début du XIXe siècle seulement, le mimosa est devenu de nos jours une espèce invasive sur le massif du Tanneron, dans le Var et les Alpes maritimes, où il est cultivé et récolté pour la vente en fleurs coupées.
 







 
En France, après s'être développée sur le pourtour de la Provence méditerranéenne, sa culture s'est étendue à la côte atlantique jusqu'aux baies abritées de Bretagne où il n'est pas rare de le voir voisiner avec le palmier.
 

 

 
Il se présente sous forme d'arbre ou d'arbuste, de formes diverses dont quelques espèces rampantes, épineux ou non, à feuilles plates allongées ou très finement découpées. Il se caractérise également par une croissance rapide (jusqu'à 0,60 m/an) et une durée de vie relativement courte d'environ 50 ans.




 
Ses fleurs sont des inflorescences en glomérules ou en épis, rassemblement de 10 à 200 petites fleurs. Les boules cotonneuses si odorantes et agréables à l’œil sont formées par de très nombreuses étamines de couleur jaune vif à blanches selon les variétés.
 




Sa longue floraison pendant l'hiver et son feuillage persistant décoratif toute l'année sont d'un grand intérêt pour tous les jardins des climats doux.
 


Ce commentaire a été modifié le 06/03/2021 à 15:02