Gabrielle Bonheur « Coco » Chasnel voit le jour à Saumur en 1883. Orpheline à 12 ans, elle grandit dans un orphelinat avec ses sœurs. Elle apprend la couture auprès de sa tante à l’âge de 18 ans et débute sa carrière en 1903 dans un atelier qui fabrique des trousseaux et layettes. Dès 1907, attirée par la scène, Coco Chanel chante dans les cafés à Vichy. Elle garde de cette époque son surnom, « Coco » car elle chantait « Qui qu’a vu coco sur le Trocadéro ? ».
Elle y rencontrera son futur protecteur, Etienne Balsan, qui l’introduira dans la vie mondaine.
Il lui présente Arthur « Boy » Capel, le grand amour de Coco Chanel.
Boy la covainc de se lancer dans la fabrication de chapeaux et, en 1910, il lui prête de quoi ouvrir un salon de modiste. Sa boutique est située au 31 rue Cambon et s’appelle alors « Chanel Modes ».
Entre 1913 et 1915, ils ouvrent des boutiques à Deauville et Biarritz, villes d’exils pour la haute société pendant la guerre. Ses chapeaux simples et sophistiqués sont très appréciés.
Dans sa boutique de Biarritz, Coco Chanel installe sa première véritable maison de couture où elle dessine ses premières créations. La pénurie de tissu due à la guerre amène la créatrice à se fournir en jersey, une matière réservée alors aux sous-vêtements, c’est un succès. Coco Chanel retranscrit sa volonté de modernité pour la femme dans ses créations en lui conférant une allure androgyne, à travers des robes droites et le pantalon jusqu’alors réservé aux hommes. Au sortir de la guerre, son entreprise est prospère et emploie environ 300 ouvrières.
Son amant, Boy Capel décède en 1919. En 1921, Coco Chanel acquiert deux nouveaux immeubles rue Cambon, à côté du siège de la maison. Et devient la même année, la première créatrice à lancer son parfum, le célèbre N°5 de Chanel.
En 1926, Coco Chanel dessine la fameuse petite robe noire, couleur alors réservée au deuil, inspirée par l’uniforme qu’elle portait étant jeune. Le modèle devient un classique de la maison de couture, et plus généralement, dans la mode.
Coco Chanel est proche des artistes parisiens pendant l’entre-deux-guerres : elle dessine les costumes pour les pièces de Cocteau, est amie avec Marcel Proust, Toulouse-Lautrec et Auguste Renoir. En 1932, Coco Chanel, fervente adepte de perles et bijoux en tout genre, devient la première créatrice à lancer une ligne de Haute Joaillerie.
À l’annonce de la Seconde Guerre Mondiale, Coco Chanel ferme les portes de sa maison de couture pour se consacrer uniquement aux parfums. À la libération, Coco Chanel s’installe en Suisse au moment où le New Look de Christian Dior s’impose fortement. C’est seulement en 1954 qu’elle se décide à revenir à Paris pour reprendre ses activités ; elle a alors 71 ans. Gabrielle Chanel s’installe définitivement dans ses appartements de l’Hôtel Ritz, devenus aujourd’hui la Suite Coco Chanel.
Elle crée des nouveaux modèles qui deviendront des classiques, comme le tailleur en tweed et les ballerines bicolores.
Pendant les années 60 et la révolution Hippie, Coco Chanel se fait discrète, elle vit confinée entre ses appartements et sa maison de couture, travaillant avec acharnement. Coco Chanel décède en janvier 1971, à l’âge de 87 ans, alors qu’elle prépare une nouvelle collection, qui sera présentée à titre posthume .
Ce commentaire a été modifié le 10/01/2021 à 15:20
La résine circule dans les canaux résinogènes, qui se trouvent sur le pourtour de l’arbre. Elle sert à la cicatrisation lorsque le pin est entaillé, un peu comme les plaquettes dans le corps humain. Elle est composée à 70 % de colophane (ou arcanson en gascon, qui est à l’origine du nom de la ville d’Arcachon), 20 % d’essence de térébenthine, et 10% d'eau, mais le procédé se généralisa dans les landes de Gascogne à partir du milieu du XIXe siècle avec la fin pastoral et le boisement massif de la plaine sableuse des Landes.
On distingue couramment le gemmage à vie, modéré et qui permet la croissance de l'arbre, du gemmage à mort qui l'épuise en quelques années avant son abattage. Le gemmage est une activité très caractéristique de l'exploitation traditionnelle de la forêt de pin des Landes. On retrouve également la pratique du gemmage en Chine (premier pays producteur de résine), au Brésil et en Europe en Espagne et au Portugal. L'origine du mot gemmage provient de la Gemme: résine du pin maritime.
Pour récolter la résine, les anciens gemmeurs creusaient un trou au pied du pin, en général entre les racines qu'ils tapissaient de mousse. Ils réalisaient ensuite une incision dans l'arbre appelée care avec le hapchòt (extrémité recourbée). De cette blessure coule la résine qui sera récoltée trois à quatre fois par an, c'est l’amassa. Il fallait régulièrement reprendre l'incision, car l'arbre cicatrise rapidement.
La care pouvait ainsi s’élever jusqu'à 4 m. À cette hauteur, les résiniers utilisaient le pitey échelle à un seul montant qui nécessitait un équilibre ! Vers la fin de la saison (au mois de novembre), on grattait la care, cette méthode n'était pas vraiment optimale , car le résine obtenue contenait beaucoup d'impuretés (sable et brindilles) et l'essence térébenthine s'évaporait lorsque la résine coulait le long de la care.
Une partie seulement de son procédé, quelque peu compliqué, sera reprise : l’utilisation d’un pot en terre cuite coincé entre une lamelle de zinc et un clou au bas de la care pour récolter la résine. Ce pot était dit ascensionnel car il suivait chaque année la montée de la care. Le principal avantage était que la résine récoltée contenait moins d’impuretés, et c’est ainsi que durant la deuxième moitié du XIXe siècle ce procédé se généralisa. Le hapchot aussi évolua, la lame devint plus étroite et son tranchant était orthogonal à l’axe du manche, par opposition à la hache traditionnelle, où le tranchant est parallèle de la care .
Résinier sur son pitey
La pique occupe les gemmeurs jusqu'au mois d'octobre. On progresse en général de 1 m par an, les cares qui ont plusieurs années peuvent atteindre jusqu'à 5 m. Le résinier montait alors sur son pitey pour pratiquer la pique. Le béret Landais était lui aussi un outil de travail il protégeait les yeux du résinier des petits copeaux de bois. À ce stade, ensoleillement sont décisifs, plus il fait chaud, plus la résine coule.
Quand les pots étaient pleins, la femme du résinier les vidait grâce à une petite spatule (la palinette) dans des escouartes (récipients de 16 litres en bois ou en zinc), c’est l’ammasse. Les escouartes seront à leur tour vidées dans des barriques en métal pour être enfin acheminées vers les distilleries de résine.
L'ammasse (récolte de la résine)
La campagne se termine au mois de novembre avec l’arrivée de l’hiver. La dernière étape est le barrasquage. Le résinier entoure le pied du pin avec un drap et gratte la résine séchée sur la care pendant toute l’année avec le barrasquit. Le barras (résine sèche tombée sur le drap) est ensuite ajouté à la résine molle dans la barrique.Au fil des saisons, le résinier entamera de nouvelles cares autour de l’arbre, ainsi un pin peut être gemmé pendant près de 80 ans.
Un résinier devait en moyenne s’occuper de 4 000 pins, qui produisaient chacun environ 2,5 litres de résine par an en sachant qu’une care produit 1 à 1,5 litre par an.
Avec le temps, des bourrelets se forment sur les côtés de la care, l’arbre cicatrise. Mais cette cicatrisation est rarement complète, et certains pins gemmés à mort (sur tout le tour de l'arbre) ont été tellement sollicités qu'en cicatrisant ils s'évasent dans leur partie inférieure. On les appelle des pins-bouteilles.
Ce commentaire a été modifié le 08/01/2021 à 12:53
La tradition de la galette à la pâte d’amande existe également en Belgique et aux Pays-Bas. Comme en France, dans chaque famille, le plus jeune se cache sous la table pour désigner les parts et le roi du jour choisit sa reine (ou inversement). Mais pendant la journée, les enfants parcourent les rues en chantant la chanson de l’étoile et font du porte à porte pour recevoir des clémentines et des bonbons. Une coutume qui tend toutefois à disparaître.
En Espagne et au Portugal, « El día de los Reyes Magos » est souvent un jour férié au cours duquel les enfants reçoivent leurs cadeaux plutôt qu'à Noël (source Terra Femina)
l'Histoire de la Galette ,des rois, Épiphanie Tout savoir sur l'origine de la galette des rois et la fève.
L'Épiphanie est une fête d'origine païenne, durant laquelle on célébrait les Epiphanes, autrement dit Apollon et le Soleil qui Lui est associé ainsi que les autres Dieux Souverains (Dieux Epiphanes : Zeus, Athéna, Hermès, Héra, Poséidon, Déméter, Héphaïstos, Aphrodite, Arès, Artémis, Hestia).
-Le mot Epiphanie vient du grec epiphaneia qui signifie manifestation ou apparition. Cette fête a été christianisée, et l'Épiphanie célèbre la visite des 3 rois mages (Melchior, Gaspard et Balthazar) à l'enfant Jésus, le Messie dans le monde.
La tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois » La galette des rois est un moment festif à partager, c'est le plaisir de se retrouver, de savourer une spécialité, à cuire ou à réchauffer, à la frangipane, au chocolat, aux pommes, à la crème..., selon les goûts, autant de variation sur un même thème, mais avec toujours ce jeu qui consiste à savoir qui aura la fève(des petits sujets en porcelaine généralement, confectionnés pour l'occasion, santons, personnages de bandes dessinées...), et la couronne !
Traditions Dans la plus grande partie de la France, la galette des Rois est originellement une galette à base de pâte feuilletée, simplement dorée au four et mangée accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat, compote de pommes…
Dans le Sud de la France, on sert en revanche le gâteau des Rois, une brioche aux fruits confits en forme de couronne parfumée à la fleur d'oranger, préférée à la galette en pâte feuilletée, péjorativement appelée « parisienne ». Le royaume de France se partageait alors en Langue d'oc où l’on fabriquait toujours un gâteau des Rois (la recette de la pâte variant suivant les régions : « flamusse » de Bresse, « patissous » du Périgord, « coque des rois » ariégeoise, « royaume » des Cévennes, « garfou » du Béarn, « goumeau » de Franche-Comté, etc.) et langue d'oïl où l’on préparait dès le XVe siècle un dessert de pâte sablée fourré de crème d’amandes qui devient plus tard une pâte levée à la levure de bière nommée « gorenflot » On trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l’Ouest.
le garfou
La fève L’emploi de la fève remonte aux Grecs, qui se servaient de fèves pour l’élection de leurs magistrats. Les Romains se servant du même moyen pour élire le maitre des Saturnales, cette coutume païenne fut longtemps combattue par l’Église avant de le remplacer par l’enfant Jésus longtemps cherché par les Rois mages. À la fin du XVIIIe siècle, apparurent les fèves en porcelaine.
Fèves en bronze.
Sous la Révolution, on remplaça l’enfant Jésus par un bonnet phrygien. Les graines de fève furent systématiquement remplacées en 1870 par des figurines en porcelaine ou – plus récemment – en plastique. Actuellement, si on trouve toujours de vraies fèves, il existe une multitude de fèves fantaisie que collectionnent les adeptes de la fabophilie.
Ailleurs
Gâteau des Rois louisianais.
L’Épiphanie étant passée, avec les émigrants français, dans le Nouveau Monde, il est de coutume de consommer à La Nouvelle-Orléans lors du mardi gras un « gâteau des Rois » consistant en une espèce de brioche au glaçage aux couleurs violette, verte et or, traditionnelles du carnaval quelquefois fourrée de fromage à la crème et de pralines.
On trouve des coutumes similaires selon les pays et les régions, qui recourent à d’autres sortes de pâtisserie : En Guyane, la galette (garnie de crème coco, de crème goyave ou de frangipane), est consommée pendant toute la période carnavalesque (de l'épiphanie aux Cendres) et est de préférence accompagnée de Champagne ; en Belgique, la pratique est très répandue (elle porte le nom de driekoningentaart ) le pithiviers dans le Loiret ; le gâteau des Rois, le pastis,le royaume ou la brioche dans le Sud de la France ; la galette comtoise (galette sèche à base de pâte à chou recouverte de sucre et de beurre, aromatisée à la fleur d’oranger) ; la galette beurrée (ou au beurre) dans le Nord et la Belgique ; la nourolle en Normandie ; le tortell en Catalogne ; le roscón en Espagne ; le king cake au Sud des États-Unis ; le bolo rei au Portugal ; la rosca au Mexique ; la vassilopita en Grèce ; la pitka en Bulgarie.
Déguster une galette des rois encore tiède est un vrai régal ! Mais lorsque l’on prépare son gâteau des rois plusieurs heures à l’avance, pas facile de le conserver au chaud jusqu’au moment de le servir. L’idéal est donc de réchauffer votre galette des rois pour régaler les papilles de vos convives. Mais, attention, quelques règles sont à respecter pour garder tout le croustillant de la pâte feuilletée et le fondant de la crème d’amandes.
Peut-on réchauffer sa galette au micro-ondes ? Comment procéder avec le four traditionnel ? Voici toutes les astuces pour une fête de l’Épiphanie réussie.
Évitez le micro-ondes Tous les gourmands sont d’accords sur ce point, une galette des rois servie tiède est encore meilleure ! Si la solution la plus simple et la plus rapide semble être de passer votre galette quelques minutes au micro-ondes, ce mode de cuisson est absolument à éviter. Réchauffer une galette des rois frangipane ou briochée risquerait d’altérer sa texture.Cela peut notamment la ramollir et retirer tout le croustillant de la délicieuse pâte feuilletée. De plus, passer sa galette au micro-ondes risque de la sur cuire et d’assécher la crème d’amandes ou la brioche.
Pour un excellent résultat, oubliez le micro-ondes et optez pour un petit passage dans votre four traditionnel.
Optez pour le four traditionnel Un court passage de votre galette des rois dans votre four traditionnel permettra de faire ressortir toutes les saveurs de la crème d’amandes et de conserver le croustillant du feuilletage, sans la dessécher.
Pour réchauffer une frangipane classique, placez votre galette à mi-hauteur dans votre four avec un petit bol d’eau. Faites chauffer pendant 10 minutes (four préchauffé à 150°C).
Pour une frangipane garnie de fruits (par exemple une galette frangipane aux pommes), placez votre galette dans un four éteint, préalablement préchauffé à 150°C et laissez-la pendant une dizaine de minutes.
Pour une brioche des rois, réchauffez la galette pendant 3 à 5 minutes (four préchauffé à 170°C).
Sydney Mortimer Laurence (1865–1940) était un peintre de paysage romantique américain et est largement considéré comme l'un des artistes historiques les plus importants de l' Alaska . Sydney Mortimer Laurence est né à Brooklyn , New York et a étudié à l' Art Students League de New York . Il épousa Alexandrina Fredricka Dupré en 1889.
Il expose régulièrement à la fin des années 1880. Lui et sa femme voyagèrent en Angleterre , s'installant en 1889 dans la colonie d'artistes anglais de St. Ives , Cornwall de 1889 à 1898. Au cours de la décennie suivante, il exposa à la Royal Society of British Artists et fut inclus au Salon de Paris en 1890 , 1894 et 1895, remportant un prix en 1894.Laurence abandonna sa famille et vint en Alaska en 1903 ou 1904.
Laurence a été le premier artiste de formation professionnelle à s'installer en Alaska. Il a déménagé en Alaska en 1904 pour des raisons encore inconnues. Les archives de 1907 montrent qu'il vivait dans le village de Tyonek sur la côte nord de Cook Inlet dans le sud de l'Alaska, à environ 60 miles de Ship Creek où Anchorage commencerait desannées plus tard. Vivant la dure vie du prospecteur pionnier, il a peu peint dans ses premières années dans le district d'alors de l'Alaska , mais entre 1911 et 1914, il a commencé à se concentrer à nouveau sur sonart. Il a déménagé de Valdez à la ville naissante d' Anchorage en 1915 et en 1920 était le peintre le plus en vue de l'Alaska.
Laurence a peint une variété de scènes de l'Alaska au cours de sa longue et prolifique carrière, parmi lesquelles des voiliers et des bateaux à vapeur dans les eaux de l'Alaska, des totems dans le sud-est de l'Alaska , des promontoires spectaculaires et les calmes criques et ruisseaux de Cook Inlet , des cabines et des caches sous les aurores boréales , et les autochtones de l'Alaska , les mineurs et les trappeurs engagés dans leur vie souvent solitaire dans la nature sauvage du nord.
Mais l'image de Denali des collines au-dessus des rapides de la rivière Tokositna est devenue sa marque de fabrique. C'est cette image plus que toute autre qui personnifie Laurence pour ses nombreux admirateurs et collectionneurs en Alaska et au-delà.
Laurence a forgé un style personnel unique en appliquant les techniques tonalistes qu'il avait apprises à New York et en Europe à la nature sauvage du Nord. Lui, plus que tout autre artiste, a défini pour les Alaskiens et d'autres l'image de l'Alaska comme « la dernière frontière ».En mai 1927, Laurence épouse Jeanne Kunath, une artiste d'origine française émigrée aux États-Unis en 1920. Il meurt à Anchorage le 10 décembre 1940.
Ce commentaire a été modifié le 04/01/2021 à 14:49
5 choses qui peuvent remplacer une fève dans une galette des rois.
Vous préparez votre propre galette des rois, et n'avez pas de fève sous la main ? Soyez original avec ces objets à glisser dans votre frangipane, et qui créeront la surprise à coups sûrs !
1 - Un bijou Pour créer la surprise et épater vos invités, glissez un bijou d'exception ou fantaisie à l'intérieur de votre galette. Une jolie bague ou des boucles d'oreilles pourraient faire l'affaire, à condition qu'elles ne soient pas trop petites. Attention à ne pas avaler le diamant ! Cette idée insolite pourra peut-être en inspirer certains pour une demande en mariage originale.
2 - Une pièce de monnaie Si vous n'avez pas de fève, tentez de glisser une pièce d'un ou deux euros. Quelle surprise pour celui ou celle qui tombera dessus ! Les enfants seront plus que ravis, puisqu'ils pourront la conserver dans leur tirelire. Une fève qui enrichit vos convives, voilà une bonne idée !
3 - Une pièce en chocolat Voici une fève plus que gourmande ! Petits et grands seront heureux de découvrir une fève en chocolat, lorsqu'ils dégusteront leur galette des rois. Cette fois, vous pourrez leur promettre que tout se mange, même la fève. Ils auront alors hâte de tomber dessus.
4 - Une vraie fève A l'origine, c'est une véritable fève (le légume) qui se cachait au beau milieu de la galette des rois. Symbole de la fécondité et de la prospérité, elle permet de faire découvrir la tradition ancestrale. Pour changer de la fève en porcelaine, pourquoi ne pas revenir à cette coutume d'antan ? Ce sera l'occasion de raconter ce qui se faisait jadis.
5 - Un jouet Parce que la galette des rois fait plaisir aux enfants, vous pouvez aussi leur proposer une fève originale, avec une petite figurine de leurs personnages préférés. Cela change des traditionnelles fèves, pour le bonheur des petits et des grands. N'hésitez pas à piocher dans leurs jouets, en veillant à bien les nettoyer au préalable.
Ce commentaire a été modifié le 04/01/2021 à 14:29
Gabrielle Bonheur « Coco » Chasnel voit le jour à Saumur en 1883. Orpheline à 12 ans, elle grandit dans un orphelinat avec ses sœurs. Elle apprend la couture auprès de sa tante à l’âge de 18 ans et débute sa carrière en 1903 dans un atelier qui fabrique des trousseaux et layettes. Dès 1907, attirée par la scène, Coco Chanel chante dans les cafés à Vichy. Elle garde de cette époque son surnom, « Coco » car elle chantait « Qui qu’a vu coco sur le Trocadéro ? ».
Elle y rencontrera son futur protecteur, Etienne Balsan, qui l’introduira dans la vie mondaine.
Il lui présente Arthur « Boy » Capel, le grand amour de Coco Chanel.
Boy la covainc de se lancer dans la fabrication de chapeaux et, en 1910, il lui prête de quoi ouvrir un salon de modiste. Sa boutique est située au 31 rue Cambon et s’appelle alors « Chanel Modes ».
Entre 1913 et 1915, ils ouvrent des boutiques à Deauville et Biarritz, villes d’exils pour la haute société pendant la guerre. Ses chapeaux simples et sophistiqués sont très appréciés.
Dans sa boutique de Biarritz, Coco Chanel installe sa première véritable maison de couture où elle dessine ses
premières créations. La pénurie de tissu due à la guerre amène la créatrice à se fournir en jersey, une matière réservée alors aux sous-vêtements, c’est un succès. Coco Chanel retranscrit sa volonté de modernité pour la femme dans ses créations en lui conférant une allure androgyne, à travers des robes droites et le pantalon jusqu’alors réservé aux hommes. Au sortir de la guerre, son entreprise est prospère et emploie environ 300 ouvrières.
Son amant, Boy Capel décède en 1919. En 1921, Coco Chanel acquiert deux nouveaux immeubles rue Cambon, à côté du siège de la maison. Et devient la même année, la première créatrice à lancer son parfum, le célèbre N°5 de Chanel.
En 1926, Coco Chanel dessine la fameuse petite robe noire, couleur alors réservée au deuil, inspirée par l’uniforme qu’elle portait étant jeune. Le modèle devient un classique de la maison de couture, et plus généralement, dans la mode.
Coco Chanel est proche des artistes parisiens pendant l’entre-deux-guerres : elle dessine les costumes pour
les pièces de Cocteau, est amie avec Marcel Proust, Toulouse-Lautrec et Auguste Renoir. En 1932, Coco Chanel, fervente adepte de perles et bijoux en tout genre, devient la première créatrice à lancer une ligne de Haute Joaillerie.
À l’annonce de la Seconde Guerre Mondiale, Coco Chanel ferme les portes de sa maison de couture pour se
consacrer uniquement aux parfums. À la libération, Coco Chanel s’installe en Suisse au moment où le New Look de Christian Dior s’impose fortement. C’est seulement en 1954 qu’elle se décide à revenir à Paris pour reprendre ses activités ; elle a alors 71 ans. Gabrielle Chanel s’installe définitivement dans ses appartements de l’Hôtel Ritz, devenus aujourd’hui la Suite Coco Chanel.
Elle crée des nouveaux modèles qui deviendront des classiques, comme le tailleur en tweed et les ballerines bicolores.
Pendant les années 60 et la révolution Hippie, Coco Chanel se fait discrète, elle vit confinée entre ses appartements et sa maison de couture, travaillant avec acharnement. Coco Chanel décède en janvier 1971, à l’âge de 87 ans, alors qu’elle prépare une nouvelle collection, qui sera présentée à titre posthume .
La résine circule dans les canaux résinogènes, qui se trouvent sur le pourtour de l’arbre. Elle sert à la cicatrisation lorsque le pin est entaillé, un peu comme les plaquettes dans le corps humain. Elle est composée à 70 % de colophane (ou arcanson en gascon, qui est à l’origine du nom de la ville d’Arcachon), 20 % d’essence de térébenthine, et 10% d'eau, mais le procédé se généralisa dans les landes de Gascogne à partir du milieu du XIXe siècle avec la fin pastoral et le boisement massif de la plaine sableuse des Landes.
On distingue couramment le gemmage à vie, modéré et qui permet la croissance de l'arbre, du gemmage à mort qui l'épuise en quelques années avant son abattage. Le gemmage est une activité très caractéristique de l'exploitation traditionnelle de la forêt de pin des Landes. On retrouve également la pratique du gemmage en
Chine (premier pays producteur de résine), au Brésil et en Europe en Espagne et au Portugal. L'origine du mot gemmage provient de la Gemme: résine du pin maritime.
Pour récolter la résine, les anciens gemmeurs creusaient un trou au pied du pin, en général entre les racines qu'ils tapissaient de mousse. Ils réalisaient ensuite une incision dans l'arbre appelée care avec le hapchòt (extrémité recourbée). De cette blessure coule la résine qui sera récoltée trois à quatre fois par an, c'est l’amassa. Il fallait régulièrement reprendre l'incision, car l'arbre cicatrise rapidement.
La care pouvait ainsi s’élever jusqu'à 4 m. À cette hauteur, les résiniers utilisaient le pitey échelle à un seul montant qui nécessitait un équilibre ! Vers la fin de la saison (au mois de novembre), on grattait la care, cette méthode n'était pas vraiment optimale , car le résine obtenue contenait beaucoup d'impuretés (sable et brindilles) et l'essence térébenthine s'évaporait lorsque la résine coulait le long de la care.
Une partie seulement de son procédé, quelque peu compliqué, sera reprise : l’utilisation d’un pot en terre cuite coincé entre une lamelle de zinc et un clou au bas de la care pour récolter la résine. Ce pot était dit ascensionnel car il suivait chaque année la montée de la care. Le principal avantage était que la résine récoltée contenait moins d’impuretés, et c’est ainsi que durant la deuxième moitié du XIXe siècle ce procédé se généralisa. Le hapchot aussi évolua, la lame devint plus étroite et son tranchant était orthogonal à l’axe du manche, par opposition à la hache traditionnelle, où le tranchant est parallèle de la care .
Résinier sur son pitey
La pique occupe les gemmeurs jusqu'au mois d'octobre. On progresse en général de 1 m par an, les cares qui ont plusieurs années peuvent atteindre jusqu'à 5 m. Le résinier montait alors sur son pitey pour pratiquer la pique. Le béret Landais était lui aussi un outil de travail il protégeait les yeux du résinier des petits copeaux de bois. À ce stade, ensoleillement sont décisifs, plus il fait chaud, plus la résine coule.
Quand les pots étaient pleins, la femme du résinier les vidait grâce à une petite spatule (la palinette) dans des escouartes (récipients de 16 litres en bois ou en zinc), c’est l’ammasse. Les escouartes seront à leur tour vidées dans des barriques en métal pour être enfin acheminées vers les distilleries de résine.
L'ammasse (récolte de la résine)
La campagne se termine au mois de novembre avec l’arrivée de l’hiver. La dernière étape est le barrasquage. Le résinier entoure le pied du pin avec un drap et gratte la résine séchée sur la care pendant toute l’année avec le barrasquit. Le barras (résine sèche tombée sur le drap) est ensuite ajouté à la résine molle dans la barrique.Au fil des saisons, le résinier entamera de nouvelles cares autour de l’arbre, ainsi un pin peut être gemmé pendant près de 80 ans.
Un résinier devait en moyenne s’occuper de 4 000 pins, qui produisaient chacun environ 2,5 litres de résine par an en sachant qu’une care produit 1 à 1,5 litre par an.
Avec le temps, des bourrelets se forment sur les côtés de la care, l’arbre cicatrise. Mais cette cicatrisation est rarement complète, et certains pins gemmés à mort (sur tout le tour de l'arbre) ont été tellement sollicités qu'en cicatrisant ils s'évasent dans leur partie inférieure. On les appelle des pins-bouteilles.
La tradition de la galette à la pâte d’amande existe également en Belgique et aux Pays-Bas. Comme en France, dans chaque famille, le plus jeune se cache sous la table pour désigner les parts et le roi du jour choisit sa reine (ou inversement). Mais pendant la journée, les enfants parcourent les rues en chantant la chanson de l’étoile et font du porte à porte pour recevoir des clémentines et des bonbons. Une coutume qui tend toutefois à disparaître.
En Espagne et au Portugal, « El día de los Reyes Magos » est souvent un jour férié au cours duquel les enfants reçoivent leurs cadeaux plutôt qu'à Noël (source Terra Femina)
l'Histoire de la Galette ,des rois, Épiphanie
Tout savoir sur l'origine de la galette des rois et la fève.
L'Épiphanie est une fête d'origine païenne, durant laquelle on célébrait les Epiphanes, autrement dit Apollon et le Soleil qui Lui est associé ainsi que les autres Dieux Souverains (Dieux Epiphanes : Zeus, Athéna, Hermès, Héra, Poséidon, Déméter, Héphaïstos, Aphrodite, Arès, Artémis, Hestia).
-Le mot Epiphanie vient du grec epiphaneia qui signifie manifestation ou apparition. Cette fête a été christianisée, et l'Épiphanie célèbre la visite des 3 rois mages (Melchior, Gaspard et Balthazar) à l'enfant Jésus, le Messie dans le monde.
La tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois »
La galette des rois est un moment festif à partager, c'est le plaisir de se retrouver, de savourer une spécialité, à cuire ou à réchauffer, à la frangipane, au chocolat, aux pommes, à la crème..., selon les goûts,
autant de variation sur un même thème, mais avec toujours ce jeu qui consiste à savoir qui aura la fève(des petits sujets en porcelaine généralement, confectionnés pour l'occasion, santons, personnages de bandes dessinées...), et la couronne !
Traditions
Dans la plus grande partie de la France, la galette des Rois est originellement une galette à base de pâte feuilletée, simplement dorée au four et mangée accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat, compote de pommes…
Dans le Sud de la France, on sert en revanche le gâteau des Rois, une brioche aux fruits confits en forme de couronne parfumée à la fleur d'oranger, préférée à la galette en pâte feuilletée, péjorativement appelée « parisienne ».
Le royaume de France se partageait alors en Langue d'oc où l’on fabriquait toujours un gâteau des Rois (la recette de la pâte variant suivant les régions :
« flamusse » de Bresse,
« patissous » du Périgord,
« coque des rois » ariégeoise,
« royaume » des Cévennes,
« garfou » du Béarn,
« goumeau » de Franche-Comté, etc.)
et langue d'oïl où l’on préparait dès le XVe siècle un dessert de pâte sablée fourré de crème d’amandes qui devient plus tard une pâte levée à la levure de bière nommée « gorenflot » On trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l’Ouest.
La fève
L’emploi de la fève remonte aux Grecs, qui se servaient de fèves pour l’élection de leurs magistrats. Les Romains se servant du même moyen pour élire le maitre des Saturnales, cette coutume païenne fut longtemps combattue par l’Église avant de le remplacer par l’enfant Jésus longtemps cherché par les Rois mages. À la fin du XVIIIe siècle, apparurent les fèves en porcelaine.
Fèves en bronze.
Sous la Révolution, on remplaça l’enfant Jésus par un bonnet phrygien. Les graines de fève furent systématiquement remplacées en 1870 par des figurines en porcelaine ou – plus récemment – en plastique. Actuellement, si on trouve toujours de vraies fèves, il existe une multitude de fèves fantaisie que collectionnent les adeptes de la fabophilie.
Ailleurs
Gâteau des Rois louisianais.
L’Épiphanie étant passée, avec les émigrants français, dans le Nouveau Monde, il est de coutume de consommer à La Nouvelle-Orléans lors du mardi gras un « gâteau des Rois » consistant en une espèce de brioche au glaçage aux couleurs violette, verte et or, traditionnelles du carnaval quelquefois fourrée de fromage à la crème et de pralines.
On trouve des coutumes similaires selon les pays et les régions, qui recourent à d’autres sortes de pâtisserie :
En Guyane, la galette (garnie de crème coco, de crème goyave ou de frangipane), est consommée pendant toute la période carnavalesque (de l'épiphanie aux Cendres) et est de préférence accompagnée de Champagne ;
en Belgique, la pratique est très répandue (elle porte le nom de driekoningentaart )
le pithiviers dans le Loiret ;
le gâteau des Rois, le pastis,le royaume ou la brioche dans le Sud de la France ;
la galette comtoise (galette sèche à base de pâte à chou recouverte de sucre et de beurre, aromatisée à la fleur d’oranger) ;
la galette beurrée (ou au beurre) dans le Nord et la Belgique ;
la nourolle en Normandie ;
le tortell en Catalogne ;
le roscón en Espagne ;
le king cake au Sud des États-Unis ;
le bolo rei au Portugal ;
la rosca au Mexique ;
la vassilopita en Grèce ;
la pitka en Bulgarie.
Déguster une galette des rois encore tiède est un vrai régal ! Mais lorsque l’on prépare son gâteau des rois
plusieurs heures à l’avance, pas facile de le conserver au chaud jusqu’au moment de le servir. L’idéal est donc de réchauffer votre galette des rois pour régaler les papilles de vos convives.
Mais, attention, quelques règles sont à respecter pour garder tout le croustillant de la pâte feuilletée et le fondant de la crème d’amandes.
Peut-on réchauffer sa galette au micro-ondes ?
Comment procéder avec le four traditionnel ?
Voici toutes les astuces pour une fête de l’Épiphanie réussie.
Évitez le micro-ondes
Tous les gourmands sont d’accords sur ce point, une galette des rois servie tiède est encore meilleure ! Si la solution la plus simple et la plus rapide semble être de passer votre galette quelques minutes au micro-ondes, ce mode de cuisson est absolument à éviter.
Réchauffer une galette des rois frangipane ou briochée risquerait d’altérer sa texture.Cela peut notamment la ramollir et retirer tout le croustillant de la délicieuse pâte feuilletée. De plus, passer sa galette au micro-ondes risque de la sur cuire et d’assécher la crème d’amandes ou la brioche.
Pour un excellent résultat, oubliez le micro-ondes et optez pour un petit passage dans votre four traditionnel.
Optez pour le four traditionnel
Un court passage de votre galette des rois dans votre four traditionnel permettra de faire ressortir toutes les saveurs de la crème d’amandes et de conserver le croustillant du feuilletage, sans la dessécher.
Pour réchauffer une frangipane classique, placez votre galette à mi-hauteur dans votre four avec un petit bol d’eau. Faites chauffer pendant 10 minutes (four préchauffé à 150°C).
Pour une frangipane garnie de fruits (par exemple une galette frangipane aux pommes), placez votre galette dans un four éteint, préalablement préchauffé à 150°C et laissez-la pendant une dizaine de minutes.
Pour une brioche des rois, réchauffez la galette pendant 3 à 5 minutes (four préchauffé à 170°C).
Sydney Mortimer Laurence (1865–1940) était un peintre de paysage romantique américain et est largement considéré comme l'un des artistes historiques les plus importants de l' Alaska . Sydney Mortimer Laurence est né à Brooklyn , New York et a étudié à l' Art Students League de New York . Il épousa Alexandrina Fredricka Dupré en 1889.
Il expose régulièrement à la fin des années 1880. Lui et sa femme voyagèrent en Angleterre , s'installant en 1889 dans la colonie d'artistes anglais de St. Ives , Cornwall de 1889 à 1898. Au cours de la décennie suivante, il exposa à la Royal Society of British Artists et fut inclus au Salon de Paris en 1890 , 1894 et 1895, remportant un prix en 1894.Laurence abandonna sa famille et vint en Alaska en 1903 ou 1904.
Laurence a été le premier artiste de formation professionnelle à s'installer en Alaska. Il a déménagé en Alaska en 1904 pour des raisons encore inconnues. Les archives de 1907 montrent qu'il vivait dans le village de Tyonek sur la côte nord de Cook Inlet dans le sud de l'Alaska, à environ 60 miles de Ship Creek où Anchorage commencerait desannées plus tard. Vivant la dure vie du prospecteur pionnier, il a peu peint dans ses premières années dans le district d'alors de l'Alaska , mais entre 1911 et 1914, il a commencé à se concentrer à nouveau sur sonart. Il a déménagé de Valdez à la ville naissante d' Anchorage en 1915 et en 1920 était le peintre le plus en vue de l'Alaska.
Laurence a peint une variété de scènes de l'Alaska au cours de sa longue et prolifique carrière, parmi lesquelles des voiliers et des bateaux à vapeur dans les eaux de l'Alaska, des totems dans le sud-est de l'Alaska , des promontoires spectaculaires et les calmes criques et ruisseaux de Cook Inlet , des cabines et des caches sous les aurores boréales , et les autochtones de l'Alaska , les mineurs et les trappeurs engagés dans leur vie souvent solitaire dans la nature sauvage du nord.
Mais l'image de Denali des collines au-dessus des rapides de la rivière Tokositna est devenue sa marque de fabrique. C'est cette image plus que toute autre qui personnifie Laurence pour ses nombreux admirateurs et collectionneurs en Alaska et au-delà.
Laurence a forgé un style personnel unique en appliquant les techniques tonalistes qu'il avait apprises à New York et en Europe à la nature sauvage du Nord. Lui, plus que tout autre artiste, a défini pour les Alaskiens et d'autres l'image de l'Alaska comme « la dernière frontière ».En mai 1927, Laurence épouse Jeanne Kunath, une artiste d'origine française émigrée aux États-Unis en 1920. Il meurt à Anchorage le 10 décembre 1940.
Vous préparez votre propre galette des rois, et n'avez pas de fève sous la main ? Soyez original avec ces objets à glisser dans votre frangipane, et qui créeront la surprise à coups sûrs !
1 - Un bijou
Pour créer la surprise et épater vos invités, glissez un bijou d'exception ou fantaisie à l'intérieur de votre galette. Une jolie bague ou des boucles d'oreilles pourraient faire l'affaire, à condition qu'elles ne soient pas trop petites. Attention à ne pas avaler le diamant ! Cette idée insolite pourra peut-être en inspirer certains pour une demande en mariage originale.
2 - Une pièce de monnaie
Si vous n'avez pas de fève, tentez de glisser une pièce d'un ou deux euros. Quelle surprise pour celui ou celle qui tombera dessus ! Les enfants seront plus que ravis, puisqu'ils pourront la conserver dans leur tirelire. Une fève qui enrichit vos convives, voilà une bonne idée !
3 - Une pièce en chocolat
Voici une fève plus que gourmande ! Petits et grands seront heureux de découvrir une fève en chocolat, lorsqu'ils dégusteront leur galette des rois. Cette fois, vous pourrez leur promettre que tout se mange, même la fève. Ils auront alors hâte de tomber dessus.
4 - Une vraie fève
A l'origine, c'est une véritable fève (le légume) qui se cachait au beau milieu de la galette des rois. Symbole de la fécondité et de la prospérité, elle permet de faire découvrir la tradition ancestrale. Pour changer de la fève en porcelaine, pourquoi ne pas revenir à cette coutume d'antan ? Ce sera l'occasion de raconter ce qui se faisait jadis.
5 - Un jouet
Parce que la galette des rois fait plaisir aux enfants, vous pouvez aussi leur proposer une fève originale, avec une petite figurine de leurs personnages préférés. Cela change des traditionnelles fèves, pour le bonheur des petits et des grands. N'hésitez pas à piocher dans leurs jouets, en veillant à bien les nettoyer au préalable.