Pendant les fêtes, les rues du cœur médiéval de la ville se transforment en véritable village du père Noël. Selon les connaisseurs, c'est sûrement le plus authentique et le plus dépaysant marché de Noël de France. Les charmantes échoppes de bois se succèdent dans un décor véritablement digne d'un film. La ville propose notamment une ouverture du « temps de Noël » avec mise en lumière simultanée des villages de la vallée, au son des cloches. Dans les échoppes, vous rencontrerez des artisans de tous les horizons : art floral, poterie, décors et sujets décoratifs de Noël en verre soufflé, jouets en bois, tissus, gourmandises et spécialités alsaciennes.
Le pays de Ribeauvillé et Riquewihr vous en met plein les yeux pour célébrer la magie de Noël. Au cœur des plus beaux villages viticoles fortifiés de la région, l’ambiance est à la fête. Riquewihr propose tout au long de l’Avent ses illuminations, des animations et des dégustations. Ambiance Noël médiéval à Ribeauvillé, le temps de 2 week-end. Bergheim avec son chemin des crèches, Guémar et Thannenkirch sont aussi de la fête. Un programme bien étoffé et un service complet de navettes pour célébrer en toute sérénité.
«Vous ne pouvez pas baisser la tête pour lire votre discours, vous devez élever le texte de ce dernier sinon vous risquez de briser votre cou». Alors voilà, en exclusivité dans un documentaire de la BBC, la reine Elizabeth II, habituellement si avare de commentaires, confie que la couronne impériale est... trop «lourde».
«Il y a quelques inconvénients aux couronnes», rajoute-t-elle dans le film qui sera diffusé dimanche 14 janvier sur la chaîne britannique.
«Mais ce sont des objets très importants.»
En effet, la couronne d'apparat a été créée au XIXe siècle et a été portée par la reine lors de son couronnement en 1953, ainsi que lors de la plupart des cérémonies annuelles d'ouverture du Parlement.
Également portée par son père, le roi George VI, elle a été ré-ajustée après la mort de ce dernier pour paraître plus féminine et plus adaptée à Sa Majesté, âgée de 27 ans à l'époque.
«Elle est beaucoup plus petite maintenant, n'est-ce pas?», constate Elizabeth II en manipulant la coiffe posée sur une table devant elle.
Dans le documentaire, intitulé Le Couronnement et basé sur des images d'archives qui retracent la journée historique du 2 juin 1953, la reine évoque également le souvenir d'une robe trop lourde, restée coincée dans un tapis, et ses enfants, le prince Charles et la princesse Anne, qu'elle décrit comme «taquins».
Dans un extrait diffusé lundi 8 janvier, la monarque de 91 ans se plaignait aussi du manque de confort du carrosse de son couronnement ainsi qu'à d'autres occasions. Mais oui, quelle vie...
Par ailleurs, les médias britanniques se sont emparés ce vendredi d'une autre anecdote concernant la fameuse couronne royale et la Seconde Guerre mondiale.
Selon de nouvelles révélations issues de lettres confidentielles conservées dans les archives royales, les joyaux l'ornant auraient été cachés dans une boîte de biscuits, elle-même enterrée sur le terrain du château de Windsor, près de Londres, par crainte qu'ils ne tombent dans les mains des nazis.
Selon les théories qui circulaient jusqu'ici, ils auraient été exfiltrés au Canada ou dans une cave au Pays de Galles. Là-dessus, il semblerait que la reine n'en dise pas plus. Ce serait parler de l'autre «poids» de la Couronne.
Et si l’Algérie est loin de la côte Est des Etats-Unis, le même front froid a contribué à la neige dans les deux cas.
L’air froid qui a causé de fortes chutes de neige sur la côte Est a traversé l’Atlantique, faisant chuter les températures dans des endroits inattendus, comme le Sahara.
Il en résulte une mince couche de neige à travers le désert sablonneux.
Mais étant donné que les photos semblent être prises dans des zones situées à une altitude plus élevée,
un porte-parole du Met Office a dit à The Independent que la neige n’était pas aussi inhabituelle qu’on pourrait le croire.
« Il semble que les photos enneigées ont été prises dans les régions plus élevées du nord de la région, vers les régions de l’Atlas, donc il n’est pas surprenant que la région verrait de la neige si les conditions étaient bonnes. »
Des ours blancs qui vivent sans neige à l’installation de récifs artificiels en remplacement des habitats naturels, les changements climatiques ont un impact sur les animaux et les humains partout dans le monde.
BELLE FRANCE QUE J'AIME LA VILLE SAINTE DU PUY EN VELAY.
Ils sont chaque année vingt mille ou trente mille à prendre sur le grand escalier de la cathédrale le départ de la célèbre via Podiensis, le plus prestigieux des itinéraires vers Compostelle. La vieille ville mariale, qui a longtemps fait peu cas de ce pèlerinage concurrent, a fini par se prendre au jeu. Encore plus depuis que l’engouement pour cette longue randonnée spirituelle lui a valu d’être inscrite, en 1998, au patrimoine de l’humanité.
Pour apprécier pleinement la cathédrale Notre-Dame-de- France, et l‘effort à fournir avant de se lancer à l‘ascension des 137 marches qui y mènent, puis poursuivre vers le rocher Corneille où domine la statue de la Vierge, une vue d‘ensemble s'impose. Les pèlerins qui partent de Puy-en-Velay s’élancent pour 1 522 kilomètres... ou un peu moins, car beaucoup jouent le jeu sur une dizaine d’étapes seulement, entre Le Puy et Conques, les plus belles aux dires des connaisseurs, ou même une journée : l’office du tourisme a mis en place à cet effet une navette de retour ! Tous redescendront vers la ville basse en guettant au sol, tous les 50 mètres, les clous de bronze ornés d’une coquille. Rue et place des Tables, rue Raphaël, placedu Plot où une plaque matérialise au mur le point de départ officiel dela via Podiensis... Tout cela est aussi récent que la restauration des quartiers anciens, rondement menée depuis une quinzaine d’années. La ville aux murs sombres et aux ruelles sales a pris des couleurs étonnamment variées de bonbonnière, des roses, jaunes, bleus ou verts pastel, qui vont comme un gant à ces bâtisses étroites et semblent donner du ressort au pas des promeneurs.
Le marché du samedi matin, qui envahit les abords de la fontaine de la Bidoire, apporte beaucoup d‘animation à la place du Plot. C‘est là que se dressait le pilori où les malfaisants étaient exposés. Elle fait le lien entre le chemin de Compostelle et la cathédrale. 213 canons fondus Où sont dans tout cela les traces du passé jacquaire de la cité ? Inutile de chercher les coquilles aux frontons des porches médiévaux ou dans le décor des fontaines, ni d’espérer saint Jacques au fond des niches murales. Si Le Puy est bien une ville de pèlerinage, c’est à la Vierge qu’elle est vouée depuis des lustres. Face à la Vierge noire de la cathédrale, qui change de robe à chaque fête carillonnée, le saint Jacques du XVe siècle n’a été installé que vers 1990. Ce n’est d'ailleurs pas une statue de saint Jacques qui a été édifiée sur le piédestal naturel du rocher Corneille, mais bien Notre-Dame-de-France (restaurée en 2012), forgée avec la fonte des 213 canons pris à Sébastopol.
Lors de la procession mariale du 15 août, la Vierge noire, voilée et couronnée, est présentée aux fidèles.
Quelque 213 canons saisis lors du siège de Sébastopol furent fondus pour réaliser la statue de la Vierge, sur le rocher Corneille, à 755 mètres d'altitude. Une prouesse pour un résultat plus spectaculaire qu'esthétique. À cette époque, le voyage à Compostelle de l'évêque Godescalc en 951, 150ans après la découverte du tombeau de saint Jacques, était méconnu. Àl’occasion de son millénaire, en 1951, l’idée jaillit de faire du saint homme le premier pèlerin. Après quoi, il fallut encore 20 ans pour que s’impose la mode du « trekking », et que la Fédération française de randonnée pédestre balise le désormaiscélèbre GR 65®, la « voie du Puy ». Quant à la rue de Compostelle, qui prolonge à la sortie de la ville les rues Saint-Jacques et des Capucins, elle n’a pris ce nom qu’en 1966.Un pèlerin de chêne y salue ses compagnons en partance. Il y a tant à découvrir dans le labyrinthe de rues étranglées et de faux escaliers qui grimpent aux flancs du vieux mont Anis, leur pavé inégal justifiant amplement les croquenots de randonneur, si bien qu’on renonce à distinguer les vrais jacquaires des simples visiteurs.
En contrebas du dyke d’Aiguilhe, la chapelle Saint- Clair, également nommée temple de Diane, de plan octogonal, date du XIIe siècle. Elle servait de chapelle funéraire à l'ancien hôpital Saint-Nicolas.
Façades Renaissance emblématiques de l'enfilade des rues Courrerie et Pannessac. Cette dernière était la grande artère de la ville au Moyen Âge, elle comptaitdeux tours (XIIIe), dont une seule subsiste. Son nom évoque le marché aux grains qui s‘y tenait. Tourelles médiévales, linteaux Renaissance, hôtels particuliers du XVIIe siècle, les époques s’y mêlentavec une belle désinvolture, toutes amoureusement restaurées. Noire et fêlée, la plus ancienne de toutes – c'est l’une des bornes d’informations semées par le service Pays d’Art et d’Histoire qui le dit – attend des jours meilleurs rue de la Rochetaillade. Plus loin, l’hôtel des Juges-Mages donne à rêver, autant pour son nom que pour sa tour d’escalier ouvragée, qui s’envole en belvédère, bien au-dessus du toit. Par le bas du jardin de l’évêché et l’obscure montée du Cloître, on rejoint la place du For que ferme l’hôtel Saint-Vidal. Celui-ci abrite entre autres le Centre européen Saint-Jacques et le Camino, musée et lieu de rencontre. Chaque soir, anciens et futurs marcheurs s’y retrouvent pour échanger tuyaux et souvenirs. Un nostalgique parle du temps où le voyage au Puy valait presque celui de Rome, un couple d’Irlandais, de la variante du Jakobsweg, inaugurée en 2004, qu’ils achèvent ici depuis Genève ; on enchaîne sur le tracé d’une nouvelle voie vers Rocamadour tandis qu’un collectionneur s’emballe sursa dernière ampoule de pèlerin, une fiole de plomb qu’on rapportait jadis pleine du sable de Compostelle. Consacrée au Xe siècle par l’évêque Godescalc, la chapelle Saint-Michel s’élance vers le ciel depuis le dyke d'Aiguilhe, cheminée d‘un ancien volcan. « À Saint-Michel d’Aiguilhe, dit le dicton, on prie avec ses pieds » : c’est qu‘il faut gravir 268 marches... Plus loin, Plus haut... Et quand quelqu’un entonne « Tous les matins, nous prenons le chemin », les premiers mots du chant des jacquaires modernes,tous reprennent: « Ultreïa E sus eia ! », aller plus loin, plus haut. Hmm... Très bien, demain on fera l’ascension du rocher Corneille : 100 mètres gagnés en cinq minutes, promet la pancarte, sans oublier les 262 marches en colimaçon dans l’intérieur de la statue, jusqu’à la couronne. Et s’il nous reste un peu de souffle, on y ajoutera un dernier vertige : celui de Saint-Michel-d’Aiguilhe, une chapelle minuscule. Godescalc ne l’a-t-il pas fait bâtir, de retour d’Espagne, au Xe siècle, d’où sa délicate façade quelque peu mozarabe ?
Les 10 choses à faire à Saint Jean de Luz. Saint Jean de Luz c’est ma ville préférée sur la Côte Basque. Plus petite et plus charmante que Biarritz et Bayonne, elle s’est développée autour de la baie de Socoa. Cette baie est protégée par des digues, ce qui fait que les plages sont très agréables, facilement accessibles depuis le centre ville tout proche et que les vacanciers apprécient cette destination de la Côte. Mais il n’y a pas que les plages à St Jean de Luz, la ville a plein de charme, et voici pour moi les indispensables à faire, à voir ou à manger ! 1. Se promener le long du Littoral, entre Bidart et Hendaye Ce sentier il est magique. Il permet de relier les deux villes en passant par la côte, pour y découvrir de superbes paysages. Une belle randonnée (2 bonnes heures à prévoir) pour s’en mettre plein les yeux ! Il est possible également de faire se sentier de Saint Jean de Luz à Hendaye, mais nous ne l’avons pas encore testé. 2. Rentrer dans l’Eglise Saint Jean-Baptiste Les églises et moi ça fait deux, mais celle-ci est un des monuments phares de la ville car Louis XIV s’y maria avec l’Infante Marie-Thérèse. Elle est immense ! Les parties les plus anciennes, comme le clocher porche et quelques fenêtres donnant sur la rue Gambetta datent du XIVè ou XVè siècles. Le bâtiment fut maintes fois détruit par les nombreux incendies qu’a connu la ville, régulièrement ravagée par les invasions espagnoles. 3. Découvrir la Pointe Sainte-Barbe Si vous n’avez pas le courage de vous promener sur le sentier du littoral, allez au moins à la Pointe Sainte-Barbe. Vous y découvrirez un très beau panorama sur la mer et la montagne, par temps dégagé ! 4. Acheter des macarons chez Maison Adam Les macarons de Saint Jean de Luz n’ont rien à envier aux macarons fourrés façon Ladurée & autres. Depuis 1660, cette pâtisserie régale les gourmands avec ses macarons faits de sucre, de poudre d’amandes et d’œufs. J’aime également d’autres gourmandises de chez eux, comme les gâteaux basques vraiment parfaits, mais également les chocolats. Une bonne adresse à noter ! 5. Se régaler des gourmandises de chez Pariès Après les Macarons de chez Maison Adam, passez chez Maison Pariès. Institution du Pays Basque depuis 1895, elle régale les gourmands avec ses gâteaux basques (testez celui au chocolat !), ses mouchous (macarons nature, au chocolat ou aux noisettes), ses Kanougas qui sont de délicieux caramels parfumés mais également ses tranches de turon tendres bien parfumées et colorées. Le tout est bien présenté, bien emballé c’est top pour des cadeaux gourmands. 6. Faire un pique-nique Basque sur la plage Il est très facile de trouver de très bons produits locaux à St Jean de Luz. En allant aux Halles, toutes proches de la Gare, vous trouverez de quoi préparer votre repas : dans ce marché couvert vous trouverez des charcuteries basques, fromages locaux, légumes de saison, vins et bières locales il y a de quoi faire ! Et pour les p’tits difficiles à qui il faut un Yop et du Jambon Blanc le Monop’ a un rayon sympa de produits à emporter ! N’oubliez pas la Buvette des Halles, un p’tit endroit qui ne paye pas de mine pour manger quelques tapas ou des sardines grillées.
7. Profiter de la plage, ou faire du shopping ! J’adore la Grande Plage de Saint Jean de Luz. A peine on sort du centre ville que nous sommes sur la plage. Située au fond de la baie, elle est protégée des vagues et du vent par la digue. Le sable est fin, la vue est magnifique, c’est LA plage idéale pour les vacances en famille ! Bon forcément dans quelques jours vous aurez plus de monde que nous au moins de mai … Sinon découvrez la Rue Gambetta, il y a de quoi trouver son bonheur ainsi que dans toutes les petites rues perpendiculaires. Il y a une très belle boutique de jouets pour enfants, de quoi trouver des vêtements sympa, des chaussures en folie, des p’tites choses à manger, bref jamais je ne quitte cette ville sans avoir au moins regardé les vitrines de la rue Gambetta. 8. Pousser la découverte jusqu’à Socoa Nous ne sommes plus à Saint-Jean de Luz, mais à Ciboure, toujours dans la baie de Socoa. Tout proche du Fort de Socoa, vous trouverez de nombreux restaurants de poissons, des activités nautiques et des écoles de voiles. Le Fort protège le petit port et est prolongé par la digue qui sépare la baie de la mer. Quand les vagues sont bien là la vue est superbe ! Attention quand même, c’est un lieux assez dangereux pour les enfants, ne les laissez pas tout seul sur la digue !!
9. Tester les spécialités locales Au Pays Basque on mange bien, très bien. Ne loupez pas les produits de la mer, dont le merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz. Sa pêche est pratiquée par une douzaine d’artisans pêcheurs de Saint-Jean-de-Luz et Ciboure. On trouve également à la carte des restaurants le ttoro. Proche de la soupe de poissons, c’est une sorte de ragoût de la mer avec des morceaux de poisson entiers. Place également aux poissons grillés à la plancha, accompagnés de piperade, au jambon de Bayonne et au Gâteau Basque. Côté bonnes adresses mes deux incontournables de Saint-Jean de Luz sont le Kaiku et le Zoko Moko. Pensez à réserver ils ont beaucoup de succès ! 10. Se relaxer au centre de Thalassothérapie Le Centre de Thalasso de Saint-Jean de Luz fait parti du réseau Thalazur avec l’hôtel Hélianthal. Situé sur la Grande Plage, l’hôtel est relié directement au centre de Thalasso. J’avais découvert cette adresse il y a quelques années maintenant, j’avais adoré sa situation et les installations étaient top. Je vous en reparlerai dans l’année, car en tant qu’Ambassadrice Thalazur je vais le découvrir à nouveau très vite. Et bonnes vacances au Pays Basque si c’est votre destination vacances pour cet été !
Le Pays Basque, c’est vraiment un endroit que j’adore. Nous y avons passé quelques jours pendant les ponts de mai, alors je partage quelques infos et bonnes adresses qui pourraient vous intéresser si vous êtes de passage dans le coin dans les prochains mois. Pendant longtemps on a profité de l’appartement que mes parents avaient à Bidart pour y passer nos vacances d’été ou des week-end hors saison, mais depuis qu’ils l’ont vendu nous y sommes pas retourné souvent (sniff … c’était chouette !). C’est pour ça que mes articles sur le Pays Basque sont moins nombreux depuis 4 ans. Vous pouvez cependant les retrouver dans cette section ou je les ai tous identifiés. Pour commencer, je vais d’abord vous parler des logements. Ce n’est pas toujours simple dans cette zone, surtout en bord de mer car c’est hyper touristique. La dernière fois, nous avions logé à la Villa Clara, à Anglet, j’avais bien aimé le lieux mais j’avais été un peu déçue par le côté je te vends du rêve mais en fait t’as un appartement meublé chez Ikéa. Alors j’ai voulu mieux … Jardin de l’Hôtel Silhouette, Biarritz
Hôtel Silhouette, BiarritzTous les ans, nous aimons bien profiter des ponts du moi de mai pour poser ensemble une p’tite semaine de vacances. Cette année cela s’est mal goupillé, et j’ai eu envie de nous réserver deux nuits à Biarritz dans un super hôtel pour marquer le coup de vacances petites mais sympathiques.Béatrice m’a parlé de l’hôtel Silhouette et le site internet m’a fait rêver. Un peu trop même, car cet hôtel est un 4 étoiles. Sincèrement, il est superbe, l’emplacement est royal, dans le quartier des Halles, mais le hic pour un hôtel de cette catégorie est q’on s’attend à un service et des prestations dignes du nombre d’étoiles. En fait j’ai rêvé sur les chambre supérieures, et c’est ce type de chambre que j’ai réservé en pensant avoir, comme sur les photos du site, une chambre a vec une terrasse, un balcon ou un accès sur le jardin. J’avais vendu super bien le truc à ma p’tite famille et je ne vous raconte pas la déception quand nous avons ouvert la porte de la chambre qui nous a été attribuée avec une fenêtre plus que minuscule, sans vue sur la mer, sans balcon ni terrasse. J’ai ravalé ma déception, et j’ai râlé et négocié auprès de l’accueil pour avoir droit au type de chambre que j’avais réservé, surtout que la dite chambre était disponible ! 20 minutes plus tard, elle était à nous, avec quand même une belle amertume. Terrasse, Hôtel Silhouette, Biarritz
Vue depuis la terrasse, Hôtel Silhouette, Biarritz
Cette chambre était très belle, a la déco moderne, avec un lit super confortable, une moquette moelleuse, une toute p’tite salle de bain sans charme mais surtout une terrasse avec vue sur la mer (par beau temps). Nous nous y sommes sentis très bien, cependant pour le prix (250 euros la nuit plus 10 euros de parking), elle n’est pas digne d’un hôtel 4 étoiles. Chambre, Hôtel Silhouette, Biarritz
Le wifi ne fonctionne pas, la télé ne capte que 2 ou 3 chaines, il y a un mini bar mais pas les verres qui vont avec, pas un plateau de courtoisie avec la p’tite bouilloire et quelques sachets de thés et d’infusions fort appréciable dans les établissements équivalents, ni même de gel douche dans la douche. Il y avait une p’tite savonnette et des bouteilles de shampoing mais bon c’est mesquin quand même, on ne se lave pas avec du shampoing ! Et si après ta deuxième nuit tu veux les utiliser il n’y en a plus car le nombre de produits est compté et le “ravitaillement” non fait (par contre la deuxième nuit n’est pas en promo !). Si je rajoute à cela que la porte de la chambre qui donne sur la terrasse n’a pas été fermée à clé (alors qu’il y a une autre chambre sur l’autre partie de la terrasse) je trouve ça moyen niveau sécurité. Pas cool ! Salle de bain, Hôtel Silhouette, Biarritz
On a zappé les p’tits déjeuners sur place, pas non plus en adéquation avec le nombre d’étoiles. Pas de buffet, une formule basique pain / viennoiserie / jus d’orange / boisson chaude et d’autres options en supplément, genre avec oeufs, jambon et fromage à 25 euros. Bref, l’hôtel est très beau, super bien placé dans Biarritz pour en profiter, la chambre était superbe, et le lit grand et confortable, mais pour moi le prix n’est pas en adéquation avec ce qui est proposé. Sans compter le moment ou je quitte la chambre, avec la valise et vient régler à l’accueil et ou on me demande mon nom et si j’ai fait bonne route (!). Pâtisserie Miremont, BiarritzJ’adore cette pâtisserie, salon de thé située tout proche de l’hôtel, avec sa vue magnifique sur la grande plage. Nous avons opté pour cette adresse pour nos petits déjeuners. Vue depuis notre table, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Petit déjeuner classique, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Petit déjeuner sucré & salé, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Petit déjeuner sucré & salé, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Mon chéri a pris le p’tit déjeuner classique sucré, avec des toasts de pain de mie maison, de délicieuses confitures maison, un jus d’orange pressé et un café. P’tit bonhomme s’est régalé d’un cannelé et moi j’ai tenté le p’tit déjeuner sucré salé, avec une viennoiserie maison (une brioche parfaite), des oeufs au plat au jambon, du pain chaud, un jus d’orange pressé et du thé. Pâtisserie Miremont, Biarritz
L’accueil y est toujours parfait, et ils sont ouverts toute la journée, aussi bien pour un p’tit déjeuner gourmand, qu’une pause dans la journée ou un déjeuner sympa le midi. Ils ont également une deuxième adresse sur Biarritz, toute proche avec un look un peu plus moderne et qui fait restaurant mais nous ne l’avons pas encore testé. Par contre si vous y passez à un autre moment de la journée, ne loupez pas les pâtisseries elles sont sublimes !
Pâtisserie Miremont 1Bis Place Georges Clemenceau – 64200 Biarritz 7 Place Bellevue – 64200 Biarritz
Hôtel de l’OcéanJ’aime beaucoup la place Saint-Eugénie, qui donne sur l’église du même nom à quelques mètres du vieux port, très typique et charmant. J’aime beaucouple restaurant chez Albert sur le vieux port, pour y déguster de très bons poissons et crustacés. Mais pour le petit déjeuner, une pause sur la place Saint-Eugénie est parfaite, pour laisser un peu de liberté aux enfants qui adorent ouer sous le kiosque. Nous avons opté pour le petit déjeuner de l’Hôtel de l’Océan, qui était parfait. Une jolie terrasse, un buffet varié et gourmand qui plait à tous les gourmands. Plusieurs variétés de pain, de viennoiseries, de confitures, des laitages, compotes, des salades de fruits et pour les becs salés, du fromage basque, de la charcuterie (jambons, saucissons, chorizo), des jus de fruits et boissons chaudes. Le prix du buffet est de 13,20 euros par personne, le petit déjeuner express (boisson chaude, pain, viennoiserie, jus d’orange) est à 7,95 euros.
Hôtel de l’Océan Place Sainte Eugénie – Biarritz
Avant de passer à d’autres adresses gourmandes sur Biarritz, voici une p’tite balade bien sympa à faire le matin, quand il n’y a pas encore trop de monde pour profiter des endroits que j’adore. Les Halles, Biarritz Les Halles, Biarritz Depuis l’Hôtel Silhouette, on traverse les Halles de Biarritz, assez petites mais toutes jolies avec leurs produits locaux et de saison, puis l’avenue Victor Hugo ou au numéro 5 on retrouve une épicerie fine que j’adore, Arosteguy qui propose des produits à son nom ainsi que d’autres trouvailles. Ne loupez pas les moutardes parfumées, le Pimençon d’Alain Darroze, et le ximitxurri pour parfumer vos recettes. Place Bellevue, on retrouve la très jolie vitrine de chez Pariès, ou vous serez obligé de vous arrêter pour y découvrir les Mouchous et les Macarons de St Jean de Luz pour savoir pour lequel votre cœur balance. Grande Plage, Biarritz Salon de thé Dodin, Grande Plage, Biarritz Descendez vers la Grande Plage mais n’oubliez pas d’entrer à l’étage du bâtiment au dessus du Casino pour profiter de la vue, superbe même s’il ne fait pas beau. Sinon, posez-vous sur la terrasse de chez Dodin, un salon de thé ouvert toute la journée. Le prix va avec la vue :-). Juste à côté vous avez le restaurant Le Café de la Grande Plage qui propose des menus sympa et le tout d’un bon rapport qualité prix pour des choses simples et bonnes. On longe ensuite le Boulevard du Maréchal Leclerc pour avoir une superbe vue sur la Grande Plage.
Le Sud aussi a la fièvre des marchés de Noël. Depuis plusieurs années déjà, la Provence, réputée pour ses nombreuses traditions de fin d’année, a adopté les chalets de bois et les guirlandes. Revisité à la sauce provençale, l’événement se fait la vitrine du folklore local dont les santons sont les vedettes incontestées. Direction le marché d’Avignon pour trouver l'inspiration. La cité des Papes est en effet réputée pour sa sélection de santons et pour son "Chemin des crèches" : succession de diverses crèches animées et illuminées, regroupant de magnifiques santons traditionnels. Danses folkloriques et chants de Noël assurent l'ambiance.
Autre spécialité locale de la tradition religieuse provençale du "temps de Noël" : les treize desserts servis à l’issue du gros souper de Noël. Si la coutume interdit d’être 13 à table, elle ne s'applique pas au nombre de plats ! Selon les villes, ces desserts varient mais quelques piliers restent contants : la pompe à huile (ou gibassier), les fruits secs appelés aussi les quatre mendiants, les fruits frais et le nougat. Aix-en-Provence propose un marché des 13 desserts qui rassemble une quarantaine d'agriculteurs et d'artisans des métiers de bouche du département (du 16 au 24 décembre).
Dans le cadre prestigieux de la Grand’Place et son ensemble baroque flamand, Arras célèbre avec authenticité les fêtes de fin d’année. 140 chalets accueillent les visiteurs au milieu d’une forêt de sapins aux côtés d’un carrousel, d’une grande roue ou encore d’une patinoire dans une ambiance festive et traditionnelle qui contamine la ville entière, revêtue elle aussi de ses habits de lumière. Le marché d’Arras est également une étape gourmande avec ses stands qui proposent des spécialités de la région en plus des mets traditionnels des fêtes. Idéal pour se réchauffer !
Pendant les fêtes, les rues du cœur médiéval de la ville se transforment en
véritable village du père Noël. Selon les connaisseurs, c'est sûrement
le plus authentique et le plus dépaysant marché de Noël de France. Les
charmantes échoppes de bois se succèdent dans un décor véritablement
digne d'un film. La ville propose notamment une ouverture du « temps de
Noël » avec mise en lumière simultanée des villages de la vallée, au son
des cloches. Dans les échoppes, vous rencontrerez des artisans de tous
les horizons : art floral, poterie, décors et sujets décoratifs de Noël
en verre soufflé, jouets en bois, tissus, gourmandises et spécialités alsaciennes.
Le pays de Ribeauvillé et Riquewihr vous en met plein les yeux pour
célébrer la magie de Noël. Au cœur des plus beaux villages viticoles
fortifiés de la région, l’ambiance est à la fête. Riquewihr propose tout
au long de l’Avent ses illuminations, des animations et des dégustations.
Ambiance Noël médiéval à Ribeauvillé, le temps de 2 week-end.
Bergheim avec son chemin des crèches, Guémar et Thannenkirch
sont aussi de la fête. Un programme bien étoffé et un service complet de
navettes pour célébrer en toute sérénité.
Thursday, 11th January 2018 at 1:11 pm
«Vous ne pouvez pas baisser la tête pour lire votre discours, vous
devez élever le texte de ce dernier sinon vous risquez de briser votre
cou».
Alors voilà, en exclusivité dans un documentaire de la BBC, la
reine Elizabeth II, habituellement si avare de commentaires, confie que
la couronne impériale est... trop «lourde».
«Il y a quelques
inconvénients aux couronnes», rajoute-t-elle dans le film qui sera
diffusé dimanche 14 janvier sur la chaîne britannique.
«Mais ce sont des objets très importants.»
En effet, la couronne d'apparat a été créée au XIXe siècle et a été portée par la reine lors de son couronnement en 1953,
ainsi que lors de
la plupart des cérémonies annuelles d'ouverture du Parlement.
Également
portée par son père, le roi George VI,
elle a été ré-ajustée après la
mort de ce dernier pour paraître plus féminine et plus adaptée à Sa Majesté, âgée de 27 ans à l'époque.
«Elle est beaucoup plus petite maintenant, n'est-ce pas?»,
constate Elizabeth II en manipulant la coiffe posée sur une table devant elle.
Dans le documentaire, intitulé Le Couronnement et basé sur des images d'archives qui
retracent la journée historique du 2 juin 1953, la reine évoque également le souvenir d'une robe trop lourde,
restée coincée dans un tapis, et
ses enfants, le prince Charles et la princesse Anne, qu'elle décrit comme «taquins».
Dans un extrait diffusé lundi 8 janvier,
la monarque de 91 ans se plaignait aussi du manque de confort du carrosse de son couronnement ainsi qu'à d'autres occasions.
Mais oui, quelle vie...
Par ailleurs, les médias britanniques se sont emparés ce vendredi d'une
autre anecdote concernant la fameuse couronne royale et la Seconde Guerre mondiale.
Selon de nouvelles révélations issues de lettres confidentielles conservées dans les archives royales,
les joyaux l'ornant auraient été cachés dans une boîte de biscuits,
elle-même enterrée sur le terrain du château de Windsor,
près de Londres, par
crainte qu'ils ne tombent dans les mains des nazis.
Selon les théories
qui circulaient jusqu'ici, ils auraient été exfiltrés au Canada ou dans une cave au Pays de Galles.
Là-dessus, il semblerait que la reine n'en dise pas plus.
Ce serait parler de l'autre «poids» de la Couronne.
la rédaction avec AFP
Quand les gens de la petite ville d’Ain Sefra,
en Algérie, se sont réveillés
le dimanche 7 janvier,
ils étaient surpris.
Pour la deuxième fois en un
peu plus d’un an,
la neige blanche et poudreuse a laissé une couverture
légère sur le désert du Sahara.
Et bien qu’il ait déjà fondu en fin d’après-midi,
le photographe Karim Bouchetata a une fois de plus réussi à capter la scène surréaliste.
Bouchetata a également photographié la chute de neige du Sahara de décembre 2016,
la première depuis 37 ans.
Et si l’Algérie est loin de la côte Est des Etats-Unis, le même front froid a contribué à la neige dans les deux cas.
L’air froid qui a causé de fortes chutes de neige sur la côte Est a traversé l’Atlantique, faisant chuter les températures dans des endroits inattendus, comme le Sahara.
Il en résulte une mince couche de neige à travers le désert sablonneux.
Mais étant donné que les photos semblent être prises dans des zones situées à
une altitude plus élevée,
un porte-parole du Met Office a dit à The Independent que la neige n’était pas aussi inhabituelle qu’on pourrait le croire.
« Il semble que les photos enneigées ont été prises dans les régions plus élevées du nord de la région, vers les régions de l’Atlas, donc il n’est pas surprenant que la région verrait de la neige si les conditions étaient bonnes. »
Quoi qu’il en soit, la récurrence de la neige au Sahara n’est qu’un autre signe de changement climatique dans le monde.
Des ours blancs qui vivent sans neige à l’installation de récifs artificiels en remplacement des habitats naturels, les changements climatiques ont un impact sur les animaux et les humains partout dans le monde.
Ils sont chaque année vingt mille ou trente mille à prendre sur le
grand escalier de la cathédrale le départ de la célèbre via Podiensis,
le plus prestigieux des itinéraires vers Compostelle. La vieille ville
mariale, qui a longtemps fait peu cas de ce pèlerinage concurrent, a
fini par se prendre au jeu. Encore plus depuis que l’engouement pour
cette longue randonnée spirituelle lui a valu d’être inscrite, en 1998,
au patrimoine de l’humanité.
Pour apprécier pleinement la cathédrale Notre-Dame-de- France, et l‘effort à fournir
avant de se lancer à l‘ascension des 137 marches qui y mènent, puis poursuivre vers
le rocher Corneille où domine la statue de la Vierge, une vue d‘ensemble s'impose.
Les pèlerins qui partent de Puy-en-Velay s’élancent pour 1 522
kilomètres... ou un peu moins, car beaucoup jouent le jeu sur une
dizaine d’étapes seulement, entre Le Puy et Conques, les plus belles aux dires
des connaisseurs, ou même une journée : l’office du tourisme a mis en
place à cet effet une navette de retour ! Tous redescendront vers la
ville basse en guettant au sol, tous les 50 mètres, les clous de bronze
ornés d’une coquille. Rue et place des Tables, rue Raphaël, placedu Plot
où une plaque matérialise au mur le point de départ officiel dela via
Podiensis... Tout cela est aussi récent que la restauration des
quartiers anciens, rondement menée depuis une quinzaine d’années. La
ville aux murs sombres et aux ruelles sales a pris des couleurs
étonnamment variées de bonbonnière, des roses, jaunes, bleus ou verts
pastel, qui vont comme un gant à ces bâtisses étroites et semblent
donner du ressort au pas des promeneurs.
Le marché du samedi matin, qui envahit les abords de la fontaine de la Bidoire,
apporte beaucoup d‘animation à la place du Plot. C‘est là que se dressait le pilori
où les malfaisants étaient exposés.
Elle fait le lien entre le chemin de Compostelle et la cathédrale.
213 canons fondus Où sont dans tout cela les traces du passé jacquaire de la
cité ? Inutile de chercher les coquilles aux frontons des porches
médiévaux ou dans le décor des fontaines, ni d’espérer saint Jacques au
fond des niches murales. Si Le Puy est bien une ville de pèlerinage,
c’est à la Vierge qu’elle est vouée depuis des lustres. Face à la Vierge
noire de la cathédrale, qui change de robe à chaque fête carillonnée,
le saint Jacques du XVe siècle n’a été installé que vers 1990. Ce n’est
d'ailleurs pas une statue de saint Jacques qui a été édifiée sur le
piédestal naturel du rocher Corneille, mais bien Notre-Dame-de-France
(restaurée en 2012), forgée avec la fonte des 213 canons pris à Sébastopol.
Lors de la procession mariale du 15 août, la Vierge noire, voilée et couronnée, est présentée aux fidèles.
Quelque 213 canons saisis lors du siège de Sébastopol furent fondus pour réaliser la statue de la Vierge, sur le rocher Corneille, à 755 mètres d'altitude. Une prouesse pour un résultat plus spectaculaire qu'esthétique.
À cette époque, le voyage à Compostelle de l'évêque Godescalc en 951,
150ans après la découverte du tombeau de saint Jacques, était méconnu.
Àl’occasion de son millénaire, en 1951, l’idée jaillit de faire du saint
homme le premier pèlerin. Après quoi, il fallut encore 20 ans pour que
s’impose la mode du « trekking », et que la Fédération française de
randonnée pédestre balise le désormaiscélèbre GR 65®, la « voie du Puy
». Quant à la rue de Compostelle, qui prolonge à la sortie de la ville
les rues Saint-Jacques et des Capucins, elle n’a pris ce nom qu’en
1966.Un pèlerin de chêne y salue ses compagnons en partance. Il y a tant
à découvrir dans le labyrinthe de rues étranglées et de faux escaliers qui
grimpent aux flancs du vieux mont Anis, leur pavé inégal
justifiant amplement les croquenots de randonneur, si bien qu’on renonce
à distinguer les vrais jacquaires des simples visiteurs.
En contrebas du dyke d’Aiguilhe, la chapelle Saint- Clair, également nommée temple de Diane, de plan octogonal, date du XIIe siècle. Elle servait de chapelle funéraire à l'ancien hôpital Saint-Nicolas.
Façades Renaissance emblématiques de l'enfilade des rues Courrerie et Pannessac.
Cette dernière était la grande artère de la ville au Moyen Âge, elle comptaitdeux tours (XIIIe),
dont une seule subsiste. Son nom évoque le marché aux grains qui s‘y tenait.
Tourelles médiévales, linteaux Renaissance, hôtels particuliers du XVIIe siècle,
les époques s’y mêlentavec une belle désinvolture, toutes amoureusement restaurées.
Noire et fêlée, la plus ancienne de toutes – c'est l’une des bornes
d’informations semées par le service Pays d’Art et d’Histoire qui le dit
– attend des jours meilleurs rue de la Rochetaillade. Plus loin,
l’hôtel des Juges-Mages donne à rêver, autant pour son nom que pour sa
tour d’escalier ouvragée, qui s’envole en belvédère, bien au-dessus du
toit. Par le bas du jardin de l’évêché et l’obscure montée du Cloître,
on rejoint la place du For que ferme l’hôtel Saint-Vidal. Celui-ci
abrite entre autres le Centre européen Saint-Jacques et le Camino, musée
et lieu de rencontre. Chaque soir, anciens et futurs marcheurs s’y
retrouvent pour échanger tuyaux et souvenirs. Un nostalgique parle du
temps où le voyage au Puy valait presque celui de Rome, un couple
d’Irlandais, de la variante du Jakobsweg, inaugurée en 2004, qu’ils achèvent ici depuis Genève ; on enchaîne sur le tracé d’une nouvelle voie vers Rocamadour tandis qu’un collectionneur s’emballe sursa dernière ampoule de pèlerin, une fiole de plomb qu’on rapportait jadis pleine du sable de Compostelle.
Consacrée au Xe siècle par l’évêque Godescalc, la chapelle Saint-Michel s’élance vers le ciel depuis le dyke d'Aiguilhe, cheminée d‘un ancien volcan. « À Saint-Michel d’Aiguilhe, dit le dicton, on prie avec ses pieds » : c’est qu‘il faut gravir 268 marches...
Plus loin, Plus haut... Et quand quelqu’un entonne « Tous les matins, nous prenons le chemin », les premiers mots du chant des jacquaires modernes,tous reprennent: « Ultreïa E sus eia ! », aller plus loin, plus haut. Hmm... Très bien, demain on fera l’ascension du rocher Corneille : 100 mètres gagnés en cinq minutes, promet la pancarte, sans oublier les 262 marches en colimaçon dans l’intérieur de la statue, jusqu’à la couronne. Et s’il nous reste un peu de souffle, on y ajoutera un dernier vertige : celui de Saint-Michel-d’Aiguilhe, une chapelle minuscule. Godescalc ne l’a-t-il pas fait bâtir, de retour d’Espagne, au Xe siècle, d’où sa délicate façade quelque peu mozarabe ?
Saint Jean de Luz c’est ma ville préférée sur la Côte Basque. Plus petite et
plus charmante que Biarritz et Bayonne, elle s’est développée autour de
la baie de Socoa. Cette baie est protégée par des digues, ce qui fait
que les plages sont très agréables, facilement accessibles depuis le
centre ville tout proche et que les vacanciers apprécient cette
destination de la Côte. Mais il n’y a pas que les plages à St Jean de
Luz, la ville a plein de charme, et voici pour moi les indispensables à
faire, à voir ou à manger !
1. Se promener le long du Littoral, entre Bidart et Hendaye
Ce sentier il est magique. Il permet de relier les deux villes en passant
par la côte, pour y découvrir de superbes paysages. Une belle randonnée
(2 bonnes heures à prévoir) pour s’en mettre plein les yeux ! Il est
possible également de faire se sentier de Saint Jean de Luz à Hendaye,
mais nous ne l’avons pas encore testé.
2. Rentrer dans l’Eglise Saint Jean-Baptiste
Les églises et moi ça fait deux, mais celle-ci est un des monuments phares
de la ville car Louis XIV s’y maria avec l’Infante Marie-Thérèse. Elle
est immense ! Les parties les plus anciennes, comme le clocher porche et
quelques fenêtres donnant sur la rue Gambetta datent du XIVè ou XVè
siècles. Le bâtiment fut maintes fois détruit par les nombreux incendies
qu’a connu la ville, régulièrement ravagée par les invasions espagnoles.
3. Découvrir la Pointe Sainte-Barbe
Si vous n’avez pas le courage de vous promener sur le sentier du littoral,
allez au moins à la Pointe Sainte-Barbe. Vous y découvrirez un très
beau panorama sur la mer et la montagne, par temps dégagé !
4. Acheter des macarons chez Maison Adam
Les macarons de Saint Jean de Luz n’ont rien à envier aux macarons fourrés
façon Ladurée & autres. Depuis 1660, cette pâtisserie régale les
gourmands avec ses macarons faits de sucre, de poudre d’amandes et
d’œufs. J’aime également d’autres gourmandises de chez eux, comme les
gâteaux basques vraiment parfaits, mais également les chocolats. Une
bonne adresse à noter !
5. Se régaler des gourmandises de chez Pariès
Après les Macarons de chez Maison Adam, passez chez Maison Pariès.
Institution du Pays Basque depuis 1895, elle régale les gourmands avec
ses gâteaux basques (testez celui au chocolat !), ses mouchous (macarons
nature, au chocolat ou aux noisettes), ses Kanougas qui sont de
délicieux caramels parfumés mais également ses tranches de turon tendres
bien parfumées et colorées.
Le tout est bien présenté, bien emballé c’est top pour des cadeaux gourmands.
6. Faire un pique-nique Basque sur la plage
Il est très facile de trouver de très bons produits locaux à St Jean de Luz.
En allant aux Halles, toutes proches de la Gare, vous trouverez de quoi préparer votre repas :
dans ce marché couvert vous trouverez des charcuteries basques,
fromages locaux, légumes de saison, vins et bières locales il y a de
quoi faire ! Et pour les p’tits difficiles à qui il faut un Yop et du
Jambon Blanc le Monop’ a un rayon sympa de produits à emporter !
N’oubliez pas la Buvette des Halles, un p’tit endroit qui ne paye pas de
mine pour manger quelques tapas ou des sardines grillées.
7. Profiter de la plage, ou faire du shopping !
J’adore la Grande Plage de Saint Jean de Luz. A peine on sort du centre ville
que nous sommes sur la plage. Située au fond de la baie, elle est
protégée des vagues et du vent par la digue. Le sable est fin, la vue
est magnifique, c’est LA plage idéale pour les vacances en famille ! Bon
forcément dans quelques jours vous aurez plus de monde que nous au
moins de mai …
Sinon découvrez la Rue Gambetta, il y a de quoi trouver son bonheur ainsi que
dans toutes les petites rues perpendiculaires. Il y a une très belle
boutique de jouets pour enfants, de quoi trouver des vêtements sympa,
des chaussures en folie, des p’tites choses à manger, bref jamais je ne
quitte cette ville sans avoir au moins regardé les vitrines de la rue Gambetta.
8. Pousser la découverte jusqu’à Socoa
Nous ne sommes plus à Saint-Jean de Luz, mais à Ciboure, toujours dans la
baie de Socoa. Tout proche du Fort de Socoa, vous trouverez de nombreux
restaurants de poissons, des activités nautiques et des écoles de
voiles. Le Fort protège le petit port et est prolongé par la digue qui
sépare la baie de la mer. Quand les vagues sont bien là la vue est
superbe ! Attention quand même, c’est un lieux assez dangereux pour les
enfants, ne les laissez pas tout seul sur la digue !!
9. Tester les spécialités locales
Au Pays Basque on mange bien, très bien. Ne loupez pas les produits de la
mer, dont le merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz. Sa pêche est pratiquée
par une douzaine d’artisans pêcheurs de Saint-Jean-de-Luz et Ciboure.
On trouve également à la carte des restaurants le ttoro. Proche de la
soupe de poissons, c’est une sorte de ragoût de la mer avec des morceaux
de poisson entiers.
Place également aux poissons grillés à la plancha, accompagnés de piperade,
au jambon de Bayonne et au Gâteau Basque. Côté bonnes adresses mes deux
incontournables de Saint-Jean de Luz sont le Kaiku et le Zoko Moko.
Pensez à réserver ils ont beaucoup de succès !
10. Se relaxer au centre de Thalassothérapie
Le Centre de Thalasso de Saint-Jean de Luz fait parti du réseau Thalazur
avec l’hôtel Hélianthal. Situé sur la Grande Plage, l’hôtel est relié
directement au centre de Thalasso. J’avais découvert cette adresse il y a
quelques années maintenant, j’avais adoré sa situation et les
installations étaient top. Je vous en reparlerai dans l’année, car en
tant qu’Ambassadrice Thalazur je vais le découvrir à nouveau très vite.
Et bonnes vacances au Pays Basque si c’est votre destination vacances pour cet été !
Le Pays Basque, c’est vraiment un endroit que j’adore. Nous y avons passé
quelques jours pendant les ponts de mai, alors je partage quelques infos
et bonnes adresses qui pourraient vous intéresser si vous êtes de
passage dans le coin dans les prochains mois.
Pendant longtemps on a profité de l’appartement que mes parents avaient à
Bidart pour y passer nos vacances d’été ou des week-end hors saison,
mais depuis qu’ils l’ont vendu nous y sommes pas retourné souvent (sniff
… c’était chouette !). C’est pour ça que mes articles sur le Pays
Basque sont moins nombreux depuis 4 ans. Vous pouvez cependant les
retrouver dans cette section ou je les ai tous identifiés.
Pour commencer, je vais d’abord vous parler des logements. Ce n’est pas
toujours simple dans cette zone, surtout en bord de mer car c’est hyper
touristique. La dernière fois, nous avions logé à la Villa Clara, à Anglet,
j’avais bien aimé le lieux mais j’avais été un peu déçue par
le côté je te vends du rêve mais en fait t’as un appartement meublé chez
Ikéa. Alors j’ai voulu mieux …
Jardin de l’Hôtel Silhouette, Biarritz
Hôtel Silhouette, Biarritz Tous les ans, nous aimons bien profiter des
ponts du moi de mai pour poser ensemble une p’tite semaine de vacances.
Cette année cela s’est mal goupillé, et j’ai eu envie de nous réserver deux nuits
à Biarritz dans un super hôtel pour marquer le coup de vacances petites mais
sympathiques.Béatrice m’a parlé de l’hôtel Silhouette et le site internet m’a fait rêver.
Un peu trop même, car cet hôtel est un 4 étoiles. Sincèrement, il est superbe,
l’emplacement est royal, dans le quartier des Halles, mais le hic pour un hôtel
de cette catégorie est q’on s’attend à un service et des prestations dignes du
nombre d’étoiles. En fait j’ai rêvé sur les chambre supérieures, et c’est ce type de
chambre que j’ai réservé en pensant avoir, comme sur les photos du site, une chambre a
vec une terrasse, un balcon ou un accès sur le jardin. J’avais vendu super bien
le truc à ma p’tite famille et je ne vous raconte pas la déception quand
nous avons ouvert la porte de la chambre qui nous a été attribuée avec
une fenêtre plus que minuscule, sans vue sur la mer, sans balcon ni terrasse.
J’ai ravalé ma déception, et j’ai râlé et négocié auprès de l’accueil pour avoir droit
au type de chambre que j’avais réservé, surtout que la dite chambre était disponible !
20 minutes plus tard, elle était à nous, avec quand même une belle amertume.
Terrasse, Hôtel Silhouette, Biarritz
Vue depuis la terrasse, Hôtel Silhouette, Biarritz
Cette chambre était très belle, a la déco moderne, avec un lit super
confortable, une moquette moelleuse, une toute p’tite salle de bain sans
charme mais surtout une terrasse avec vue sur la mer (par beau temps).
Nous nous y sommes sentis très bien, cependant pour le prix (250 euros
la nuit plus 10 euros de parking), elle n’est pas digne d’un hôtel 4 étoiles.
Chambre, Hôtel Silhouette, Biarritz
Le wifi ne fonctionne pas, la télé ne capte que 2 ou 3 chaines, il y a un
mini bar mais pas les verres qui vont avec, pas un plateau de courtoisie
avec la p’tite bouilloire et quelques sachets de thés et d’infusions
fort appréciable dans les établissements équivalents, ni même de gel
douche dans la douche. Il y avait une p’tite savonnette et des
bouteilles de shampoing mais bon c’est mesquin quand même, on ne se lave
pas avec du shampoing ! Et si après ta deuxième nuit tu veux les
utiliser il n’y en a plus car le nombre de produits est compté et le
“ravitaillement” non fait (par contre la deuxième nuit n’est pas en
promo !). Si je rajoute à cela que la porte de la chambre qui donne sur
la terrasse n’a pas été fermée à clé (alors qu’il y a une autre chambre
sur l’autre partie de la terrasse) je trouve ça moyen niveau sécurité.
Pas cool !
Salle de bain, Hôtel Silhouette, Biarritz
On a zappé les p’tits déjeuners sur place, pas non plus en adéquation avec
le nombre d’étoiles. Pas de buffet, une formule basique pain /
viennoiserie / jus d’orange / boisson chaude et d’autres options en
supplément, genre avec oeufs, jambon et fromage à 25 euros.
Bref, l’hôtel est très beau, super bien placé dans Biarritz pour en profiter,
la chambre était superbe, et le lit grand et confortable, mais pour moi
le prix n’est pas en adéquation avec ce qui est proposé. Sans compter
le moment ou je quitte la chambre, avec la valise et vient régler à
l’accueil et ou on me demande mon nom et si j’ai fait bonne route (!).
Pâtisserie Miremont, Biarritz J’adore cette pâtisserie, salon de thé située
tout proche de l’hôtel, avec sa vue magnifique sur la grande plage.
Nous avons opté pour cette adresse pour nos petits déjeuners.
Vue depuis notre table, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Petit déjeuner classique, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Petit déjeuner sucré & salé, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Petit déjeuner sucré & salé, Pâtisserie Miremont, Biarritz
Mon chéri a pris le p’tit déjeuner classique sucré, avec des toasts de pain
de mie maison, de délicieuses confitures maison, un jus d’orange pressé
et un café. P’tit bonhomme s’est régalé d’un cannelé et moi j’ai tenté
le p’tit déjeuner sucré salé, avec une viennoiserie maison (une brioche
parfaite), des oeufs au plat au jambon, du pain chaud, un jus d’orange
pressé et du thé.
Pâtisserie Miremont, Biarritz
L’accueil y est toujours parfait, et ils sont ouverts toute la journée, aussi
bien pour un p’tit déjeuner gourmand, qu’une pause dans la journée ou un
déjeuner sympa le midi. Ils ont également une deuxième adresse sur
Biarritz, toute proche avec un look un peu plus moderne et qui fait
restaurant mais nous ne l’avons pas encore testé. Par contre si vous y
passez à un autre moment de la journée, ne loupez pas les pâtisseries
elles sont sublimes !
Hôtel de l’OcéanJ’aime beaucoup la place Saint-Eugénie, qui donne sur
l’église du même nom à quelques mètres du vieux port, très typique et charmant.
J’aime beaucouple restaurant chez Albert sur le vieux port, pour y déguster de très
bons poissons et crustacés. Mais pour le petit déjeuner, une pause sur la place
Saint-Eugénie est parfaite, pour laisser un peu de liberté aux enfants qui adorent
ouer sous le kiosque.
Nous avons opté pour le petit déjeuner de l’Hôtel de l’Océan, qui était
parfait. Une jolie terrasse, un buffet varié et gourmand qui plait à
tous les gourmands. Plusieurs variétés de pain, de viennoiseries, de
confitures, des laitages, compotes, des salades de fruits et pour les
becs salés, du fromage basque, de la charcuterie (jambons, saucissons,
chorizo), des jus de fruits et boissons chaudes.
Le prix du buffet est de 13,20 euros par personne, le petit déjeuner
express (boisson chaude, pain, viennoiserie, jus d’orange) est à 7,95 euros.
Avant de passer à d’autres adresses gourmandes sur Biarritz, voici une p’tite
balade bien sympa à faire le matin, quand il n’y a pas encore trop de
monde pour profiter des endroits que j’adore.
Les Halles, Biarritz
Les Halles, Biarritz
Depuis l’Hôtel Silhouette, on traverse les Halles de Biarritz, assez petites
mais toutes jolies avec leurs produits locaux et de saison, puis
l’avenue Victor Hugo ou au numéro 5 on retrouve une épicerie fine que
j’adore, Arosteguy qui propose des produits à son nom ainsi que d’autres trouvailles.
Ne loupez pas les moutardes parfumées, le Pimençon d’Alain Darroze, et
le ximitxurri pour parfumer vos recettes.
Place Bellevue, on retrouve la très jolie vitrine de chez Pariès, ou vous serez obligé
de vous arrêter pour y découvrir les Mouchous et les Macarons de St Jean de Luz
pour savoir pour lequel votre cœur balance.
Grande Plage, Biarritz
Salon de thé Dodin, Grande Plage, Biarritz
Descendez vers la Grande Plage mais n’oubliez pas d’entrer à l’étage du bâtiment
au dessus du Casino pour profiter de la vue, superbe même s’il ne fait
pas beau. Sinon, posez-vous sur la terrasse de chez Dodin, un salon de thé ouvert
toute la journée. Le prix va avec la vue :-).
Juste à côté vous avez le restaurant Le Café de la Grande Plage qui
propose des menus sympa et le tout d’un bon rapport qualité prix pour
des choses simples et bonnes.
On longe ensuite le Boulevard du Maréchal Leclerc pour avoir une superbe vue sur la Grande Plage.
Le Sud aussi a la fièvre des marchés de Noël. Depuis plusieurs années
déjà, la Provence, réputée pour ses nombreuses traditions de fin
d’année, a adopté les chalets de bois et les guirlandes. Revisité à la
sauce provençale, l’événement se fait la vitrine du folklore local dont
les santons sont les vedettes incontestées. Direction le marché
d’Avignon pour trouver l'inspiration. La cité des Papes est en effet
réputée pour sa sélection de santons et pour son "Chemin des crèches" :
succession de diverses crèches animées et illuminées, regroupant de
magnifiques santons traditionnels. Danses folkloriques et chants de
Noël assurent l'ambiance.
Autre spécialité locale de la tradition religieuse provençale du "temps de
Noël" : les treize desserts servis à l’issue du gros souper de Noël. Si
la coutume interdit d’être 13 à table, elle ne s'applique pas au nombre
de plats ! Selon les villes, ces desserts varient mais quelques piliers
restent contants : la pompe à huile (ou gibassier), les fruits secs
appelés aussi les quatre mendiants, les fruits frais et le nougat.
Aix-en-Provence propose un marché des 13 desserts qui rassemble une
quarantaine d'agriculteurs et d'artisans des métiers de bouche du
département (du 16 au 24 décembre).
J'aime cette ville,bonjour aux habitants d'arras.
Dans le cadre prestigieux de la Grand’Place et son ensemble baroque flamand,
Arras célèbre avec authenticité les fêtes de fin d’année. 140 chalets
accueillent les visiteurs au milieu d’une forêt de sapins aux côtés d’un
carrousel, d’une grande roue ou encore d’une patinoire dans une
ambiance festive et traditionnelle qui contamine la ville entière,
revêtue elle aussi de ses habits de lumière. Le marché d’Arras est
également une étape gourmande avec ses stands qui proposent des
spécialités de la région en plus des mets traditionnels des fêtes. Idéal
pour se réchauffer !