Découvrez Cette Extraordinaire Tribu Mongole Qui...vit En Harmonie Avec La Nature & Qui Risque De La Quitter... Hamid Sardar-Afkhami est un photographe passionné par le Tibet et la Mongolie. Il a longtemps étudié les coutumes, les cultures et lalangue des peuples qui se nichent au coeur de cette région aux paysages magnifiques. Aujourd’hui, il a décidé de vous faire partager son voyage, à dos de renne, dans une tribu mongole au mode de vie unique et proche de la nature.
Hamid Sardar-Afkhami a vécu au Népal pendant plus d’une décennie, explorant l’Himalaya et le Tibet, et découvrant des cultures et coutumes différentes. Hamid a obtenu son doctorat de l’université Harvard en sanskrit et langue tibétaine, ce qui lui permet aujourd’hui de pouvoir encore plus partager avec ces peuples incroyables. Il est donc naturellement parti à la rencontre d’une des quelques tribus qui jalonnent la Mongolie. Il a donc pu découvrir et partager le mode de vie simple et unique de la tribu nomade des Dukha. Ces derniers dépendent entièrement des rennes qu’ils ont domestiqués. Ces grosses bêtes apportent à la fois du fromage, du lait à la tribu mais elles les aident aussi à se déplacer dans des zones parfois inhospitalières dans lesquelles ils doivent aller pour chasser. Malgré la beauté de cette culture, la tribu des Dukha est pourtant en train dedisparaître rapidement. Il reste seulement environ 44 familles Dukha, c’est-à-dire entre 200 à 400 personnes. Dans les années 1970, on estime qu’il y avait une population d’environ 2 000 rennes mais ce nombre est en constant déclin. Aujourd’hui, la principale source de revenu des Dukha se trouve dans le tourisme, les étrangers viennent acheter leur artisanat et monter leurs rennes. Malheureusement, leur troupeau de rennes diminue et signe petit à petit l’extinction de toute une tribu. Hamid a capturé cette culture en perdition, à travers des photographies bouleversantes, mais aussi par l’intermédiaire d’un film intitulé « The Reindeer People » (« Le peuple des rennes ») qui suit une famille pendant leur migration saisonnière à travers les forêts de la province Hovsgol de la Mongolie.
Ce peuple cohabite avec la nature dans un paysage merveilleux et authentique. Malgré les aléas de la nature et les périodes de grand froid, ce peuple semble très heureux avec très peu de choses.
Découvrez La Bretagne Version Britannique... Par Philippe Bourget...
Plage De Cornouailles À l'extrême sud-ouest de la Grande-Bretagne, règnent les paysages de bocage aux prairies vert gazon, aux haies immenses et les ports blottis le long d'estuaires cachés. Bienvenue en Cornouailles, illustrés par la beauté du cap Lizard, de St. Michael's Mount et de havres minuscules, sans oublier, tradition anglaise oblige, un détour par d’incroyables jardins.
Proche des falaises du cap Lizard, la plage de Kinance Cove. On y accède par le South West Coast Path, sentier de randonnée qui longe le littoral des Cornouailles Polperro, un port joliment encaissé au fond d’un vallon maritime sur la côte sud des Cornouailles. Des maisons pieds dans l’eau ; une minuscule criée, à l’image de ce village de poupée ; un ruisseau discret glissant à l’arrière des cottages ; des mouettes criardes et voraces... Coup de cœur pour ce port intime, incarnation du rivage de cette région anglaise où se succèdent, invisibles depuis les terres, des escales côtières entretenues comme des reliques patrimoniales. Il faut compter au moins trois jours pour profiter du territoire. Le granit de la pointe sud-ouest du Royaume-Uni est découpé en tellement debaies, anses et estuaires que suivre le trait de côte prend un peu de temps... D’autant que les routes sont à l’unisson. Ah ! les routes. Il n’y a que les Britanniques qui savent fondre ainsi les signes du progrès dans des paysages ancestraux. Imaginez. Un carroyage de prairiesondulantes couturées de haies, un damier jaune-vert-brun glissant jusqu’au bord des falaises. Là, enfouies entre les talus de séparation, des routes étroites et invisibles. Le dépassement y est impossible, le croisement délicat mais toujours courtois, civilité british oblige. La végétation est parfois si dense que la route glisse dans un tunnel boisé. Autant dire que la vitesse est proscrite. D’autant que le parcours est parfois stoppé net au bord d’un estuaire. Il faut alors embarquer sur un bac, comme à Polruan ou à St. Mawes, l’occasion d’observer un voilier filant tranquillement vers une marina –la plaisance chic est ici dans son royaume. Un Essaim De Villages CôtiersImpossible de raconter tous les villages. Sur l’itinéraire de Looe à Boscastle, qui englobe toute la pointe des Cornouailles, les bonnes surprises sont trop nombreuses. Résumons. Looe se love sur les versants de la rivière éponyme. Ce port de pêche actif, aux ruelles bordées de vieilles maisons chaulées, est très touristique. Les deux rives sont reliées par un esthétique pontde pierre à sept arches. The Old Lifeboat Station (1866-1930) trône au bout du quai. Fowey, lui, fait face à Polruan, posé autour de l’église anglicane St. Fimbarrus et de sa tour-clocher à pinacles. À la sortie de la messe, on y croise des old ladies en jupes longues et cheveux blancs permanentés. Le port, tout en longueur, est fort animé, bercé notamment par le souvenir de la romancière Daphné du Maurier, qui vécut au bord de l’estuaire. Mevagissey entre dans notre « top 3 ». Nous sommes tombés sous le charme de ce bassin « double » quasi fortifié, l’avant et l’arrière-port, seulement séparés par une jetée juste assez large pour accueillir la criée. À marée basse, les petits chalutiers et les barques de pêche reposent sur la vase verte, au-dessous de quelques maisons peintes de couleurs vives. Une carte postale. Quant à St. Ives, c’est un peu le Deauville des Cornouailles. Où plutôt son Pont-Aven. La ville (11 000 habitants) est devenue célèbre grâce aux peintres, séduits par la beauté des plages, la lumière atlantique et les ruelles bordées de maisons à pans d’ardoises et bow-windows. La foule, dense sur les quais aux beaux jours, s’y délecte de hamburgers, d’ice-creams et de sundaes. Des familles pique-niquent sur la plage principale, entre ondées et rais de lumière, protégées des bourrasques par des pare-vents piqués dans le sable. Symboles de la fibre artistique de St. Ives, maintes galeries ainsi qu’un Tate Museum, bâtiment en béton dressé face à la plage de Porthmeor, se sont installés.
À une heure de voiture à peine de Plymouth, le port de Looe, toujours très actif, est la première étape de cette escapade en Cornouailles Boscastle & Port Isaac, Les Ports Du Bout Du MondeSur la côte nord, deux « villages miniatures » méritent aussi la visite : Boscastle et Port Isaac. Le premier apparaît après une longue route tortueuse dans un vallon forestier. L’expression « bout du monde » lui va bien. L’unique rue, en pente, encadrée de maisons de granit, est prolongée par une rivière et un bras d’estuaire serpentin, au point que l’océan reste caché à la vue du village. Une pépite ! Le second village résume à lui seul l’architecture littorale des Cornouailles...Un port de poche, des maisons du XVIe siècle à touche-touche, une petite plage et un hangar curieusement fortifié, occupé par des mareyeurs qui trient des soles et cassent des pinces de crabes au marteau. Le tout fréquenté par la marée des touristes et dominé par un joli manoir-hôtel. Sur la côte nord des Cornouailles, Boscastle se love au fond d'un vallon si profond qu'on ne voit pas la mer depuis le village. Un long chemin mène au port. À visiter, un étonnant musée de la Sorcellerie . Passages Vertigineux De La Côte NordCette enfilade de ports-abris pourrait laisser croire que la côte est monotone.Erreur ! Les paysages sont changeants. La partie sud, dentelée et dense, fait place au nord à de vastes espaces de champs et de landes. Land’s End en est l’exemple parfait, plateau désolé fréquemment noyé dans la brume. On y croise de rares fermes grises, des pubs dans des hameaux et quelques gentlemen farmers bottés, casquettes anglaises sur la tête. Le St. AgnesBeacon, 192 mètres au dessus de l’océan, livre aussi, entre St. Ives et Newquay, son large mamelon, juste recouvert d’un tapis de bruyère violet ouvert à tous les vents. Les randonneurs sont aux anges. Une portion du Cornwall Coast Path suit la ligne de côte de Plymouth à Bude, avec des passages ici spectaculaires (460 kilomètres). « Nous surveillons les marcheurs et les vététistes mais aussi les parapentistes et les pêcheurs », sourit Anthea Philips,jumelles penduessur sa chemisette blanche à épaulettes, installée dans sa cabane-radio tapissée d’une grande carte marine et surmontée de l’Union Jack. Volontaire au sein de la National Coastwatch Institution, elle assure des vacations pour surveiller les activités humaines. Car cette côte présente parfois des aspects vertigineux.
Port Isaac avec ses maisons de poupée du XVIIIe siècle, est un village de pêcheurs où se croisent vacanciers et mareyeurs. Tintagel Ou La Légende Du Roi Arthur .À St. Agnes, par exemple, petite anse pour surfeurs de la côte nord, les falaises blanches plongent dans l’océan. Le port a été reconstruit six fois, laminé par les tempêtes et les éboulements rocheux. À Tintagel, village fameux associé au roi Arthur – la légende dit qu’il serait né ici –, on imagine aisément que son prétendu château, ruine au-dessus de falaises cisaillées, a pu subir sans répit les assauts de la houle et du vent. Le cap Lizard symbolise cette confrontation violente entre terre et océan. Pointe la plus au sud du Royaume-Uni, célèbre ligne d’arrivée de courses transatlantiques, il offre ses murailles noires et grises aux vagues bruyantes de l’English Channel. Miracle de la nature, ce cap en dents de scie, prisé par les touristes britanniques, cache aussi l’une des plus belles et secrètes plages du Royaume-Uni : Kynance Cove, sidérante de sable blanc à marée basse.
À Tintagel, haut lieu des légendes arthuriennes, le chemin qui descend vers les ruines du château du XIIIe siècle offre des vues vertigineuses sur les falaises plongeant dans la mer Celtique. Une Autre "Merveille". Reste à parler de St. Michael’s Mount. Sa ressemblance avec la Merveille ne tient pas seulement à l’homonymie. Normal, cet îlot rocheux de la pointedes Cornouailles a été doté au XIIIe siècle d’un monastère et d’une église... par les moines bénédictins venus de « notre » Mont-Saint-Michel ! L’allure est plus modeste et le monastère, démantelé au XVIIe siècle, est devenu château, propriété de lord St Aubyn. Pas de digue comme en Normandie...On s’y rend à pied à marée basse, par une chaussée (causeway) submersible ; et en canot à marée haute. Trente personnes vivent à l'année au bas de ce caillou seigneurial, dans de petites maisons accolées à cours fermées. Elles sont employées à l'intendance du château, qui se visite. Lors de notre passage, une maman et son jeune fils, cravate et pull en V aux armes de son école, embarquaient sur une navette chargés de sacs, apparemment habitués à cette logistique quotidienne. Nous avons même aperçu l'épouse du lord refermant la porte du jardin du château, une fois le dernier visiteur parti. L'ultime image d'une Angleterre singulière, prompte à préserver ses traditions et à garder intacts ses trésors de nature. Entre le Cap Lizard et Land's End, une curiosité : St. Michael's Mount, un Mont-Saint-Michel en réduction. Le causeway (chaussée submersible) permet d'accéder à marée basse à cet îlot escarpé où des moines bénédictins s'installèrent au XIIIe siècle
Dans Les Cornouailles, Deux Étonnants Jardins.Sous le ciel gris, les dômes blancs en nid d’abeille où sont abritées les plantes exotiques ont un air irréel. Le sentiment est renforcé par la tyrolienne géante qui survole le site et sur laquelle glissent des météores humains. Eden Project est le résultat d’une idée folle : protéger la biodiversité du monde en conservant sous cloche des milliers d’espèces. Résultat ? « 90 000 visiteurs par jour en période de pointe », nous confirme une responsable à l’accueil. Il n’est qu’à voir la taille des parkings pour comprendre le succès du lieu... Installé sur le site d'une ancienne carrière, le parc Eden Project est né de la volonté de son concepteur, Tim Smit, de démontrer la capacité de la nature à régénérer un site détérioré par l'activité humaine Eden Project: Un Laboratoire De La BiodiversitéEden Project est à la hauteur du défi, lancé il y a une quinzaine d’années par Sir Tim Smit, né au Pays-Bas, ancien compositeur et producteur de musique de rock et d’opéra. Aménagés dans une carrière de kaolin désaffectée près de St. Austell, les dômes jumelés géants (jusqu’à 45 mètres de hauteur) accueillent des plantes tropicales d'un côté, des essences méditerranéennes de l'autre. Côté "pays chauds", le bluff est complet : reproduction de forêts humides d'Amérique de Sud, Asie du Sud-Est, d'Afrique de l'ouest et des îles tropicales. Cascades, huttes de bambous, maison de paysans malaisiens, arbres fruitiers tropicaux (manguiers, bananiers..)s'observent à partir de passerelles aériennes sur la canopée..Il fait plus de 31° sur la plateforme sommitale aménagée 30 mètres au-dessus du sol (un peu mouvante, sensibles au vertige s’abstenir !, d’où l’on domine l’ensemble de l’écosystème. Il ne manque que la faune pour se croire téléporté à Bornéo ou à Manaus... Le dôme méditerranéen, avec son verger d’agrumes et son oliveraie, en revanche, est nettement moins réussi, un peu artificiel, trop académique. Conçues par L'architecte Nicholas Grimshaw avec les matériaux les plus innovants, les serres d'Eden Project se visitent à 30 mètres de hauteur,en cheminant sur le Canopy Walkway (passerelle de la canopée). Ces biomes - écosystèmes caractéristiques d'une aire géographique - abritent des environnements contrôlés : climat chaud tempéré du bassin méditerranéen, et forêt humide tropicale. Les Étranges Créatures Végétales Des Jardins Perdus De Heligan...Nous sommes arrivés aux jardins perdus de Heligan, près de Mevagissey, asseztard en fin d’après-midi, au moment où les visiteurs commençaient à regagner la sortie. Résultat : le bonheur rare d’arpenter un domaine végétal en touristes VIP, seulsou presque dans cet immense maelström de verdure. The Lost Gardens of Heligan ont été aménagés aux XVIIIe et XIXe siècles par la famille Tremayne et relancés par leurs héritiers au tournant des années 1990, après une longue période d’abandon. Imaginez : un domaine courant presque jusqu’à la mer, une jungle valley perdue au fond d’un vallon, avec pont de singe, étangs et plantes tropicales géantes...Des prairies à moutons, vaches et émeus, des palmiers et des fougères géantes, des chênes et des cèdres antédiluviens sur les branches desquelles courent des écureuils...Un potager clos, des jardins d’agrément, une maison de maître aux grounds (pelouses) taillées au ciseau, une ferme..., le tout dans un silence de cathédrale. En prime, la surprise de découvrir des sculptures arbustives : une femme couchée au sol, épaules et hanches couvertes de lierre, un gnome aux yeux bleus à tête végétale... Un vrai bonheur. Le domaine de Heligan, qui appartient à la famille Tremayne depuis le XVIe siècle, a été laissé à l'abandon après la Première Guerre mondiale. Reconstitué d'après les plans d'origine, il renaît en 1990.
Voici à quoi ressemblent réellement ces 25 lieux touristiques photographiques.
Ces 25 lieux touristiques sont autant d’endroits qu’on croise régulièrement sur les photos Instagram, et comme bien souvent sur Instagram, tout est toujours bien léché. Ces photos sont toujours mises en scène de telle sorte qu’on a vraiment l’impression que l’endroit est paradisiaque, mais ce n’est pas forcément ce que la réalité reflète. Vous allez pouvoir le constater avec ces 25 lieux connus pour leurs spots photos, dans leur version réalité et leur version Instagram, le contraste est saisissant.
Fort Lupin est un fort construit par Vauban (commandée en 1683 la construction commencera en 1685 et se terminera en 1689, 4 ans de construction) sur la rive sud de l'estuaire de la Charente dans le département de la Charente-Maritime et la région Nouvelle-Aquitaine entre Soubise et Saint-Nazaire-sur-Charente. Il a été construit pour défendre l'accès à Rochefort et son arsenal.
10 bonnes raisons de visiter le Groenland, un territoire magique.
Marre de visiter des destinations que l’on voit partout, de croiser des hordes de touristes et de vous retrouver dans lieux bondés de monde ? Alors ne cherchez plus, ce qu’il vous faut, c’est le Groenland. Entre ses grands espaces sauvages, ses animaux d’une rare beauté et sescoutumes ancestrales, cette terre vous garantit un dépaysement total ! Fini les villages vacances et les hôtels all inclusive, en mettant les voiles vers le Groenland, vous embarquez pour une aventure dont vous vous souviendrez toute votre vie. En effet, le territoire ne ressemble à aucun autre sur la planète. Profitez également de ce voyage pour prendre conscience (si ce n’est pas déjà le cas) de l’urgence dans laquelle nous sommes par rapport au réchauffement climatique. Pour cela, rien de plus efficace que de découvrir au plus près cet immense univers glacé. C’est sûr, vous allez en prendre plein la vue et en rapporter des images extraordinaires. Pour finir de vous convaincre, voici 10 choses incontournables à découvrir sur place :
1. Scoresby Sund
2. Uummannaq 3. Disko Bay 4. Les baleines 5. Ilulissat
6. Les chiens de traîneaux 7. Les aurores boréales 8. Survey Canyon 9. Les ours polaires 10. Jakobshavn Isbræ
Bientôt des péages en France à l'entrée des grandes villes.
Des péages à l'entrée des villes françaises pourront-ils bientôt être installés, afin de désengorger les centres-villes et pousser les automobilistes à privilégier d'autres moyens de transport ? L'idée fait son chemin… et elle semble être plus que jamais dans les dossiers du gouvernement. Un péage à Londres / DR Le concept n'est pas nouveau : dans d'autres pays européens, les usagers de la route payent déjà depuis longtemps des frais supplémentaires pour pénétrer dans l'enceinte de certaines grandes villes. C'est le cas notamment de Milan, de Londres ou encore de Stockholm, où de tels systèmes de péages urbains ont déjà été mis en place dans l'espoir d'améliorer la fluidité de la circulation et de lutter contre la pollution de l'air. Pour l'instant, les communes françaises ont été « épargnées »… mais cela pourrait bientôt changer ! En effet, il s'agit de l'une des pistes envisagées dans le projet de « loi sur les mobilités » préparé par la ministre des Transports, Élisabeth Borne, et présenté ce mercredi dans le journal « Les Échos ». Un projet controversé. Sur le principe, l'idée est plus que louable : il s'agit de favoriser les transports en commun et les déplacements doux, de réduire le trafic dansle centre des grandes villes et de permettre aux citadins de respirer un peu d'air pur, dans les espaces urbains de plus en plus pollués et suffocants. Mais voilà, un tel projet suscite immanquablement la colère des associations d'automobilistes, qui ont le sentiment d'être « punis » ou de se faire vider les poches. Il faut dire que, dans certaines villes ou le système existe, la taxe est plutôt sévère et dissuasive : les automobilistes londoniens doivent ainsi s'acquitter d'une obole d'environ 13 euros pour avoir le droit de profiter des joies d'une balade motorisée au cœur de la City. Autre critique soulevée par ce genre de taxes : son côté clivant « anti-pauvres », perçu comme étant vecteur d'exclusion sociale vis-à-vis des plus modestes. En effet, en expulsant les automobilistes les moins riches (qui ne peuvent pas s'acquitter de la taxe) des centresurbains, on désengorge effectivement les centres-villes… mais ce tri se ferait aussi au prix de moins de diversité et de mixité sociale. Bref, il faudra sans doute un certain temps pour que l'idée fasse son bonhomme de chemin, et on peut d'ores et déjà imaginer qu'elle ne soit pas facilement acceptée par au moins une bonne partie de la population. D'autres pistes sont envisagées par le gouvernement : Élisabeth Borne a ainsi évoqué l'idée de la mise en place de voies dédiées au covoiturage à l'entrée des grandes agglomérations. L'idée serait que, comme pour les taxis, certaines voies soient réservées à ceux qui partagent une voiture… À voir comment pourrait s'effectuer la mise en application réelle d'une telle idée.
La création de cette liste n’était pas un mince exploit. Cette année, le nombre de clichés soumis a gonflé à un niveau record pour atteindre 173 444 photographies de 171 pays.
Faites La Découverte Des 25 Plus Beaux Lacs Au Monde...
Le parc national de Glacier est un parc national américain situé dans l'État américain du Montana. Fondé en 1910 et d'une superficie de 4101 km², il est bordé au nord par les provinces canadiennes de l'Alberta et de la Colombie-Britannique. On y trouve le lac St-Mary's. Wikipédia
Notre planète regorge d’endroits magnifiques et de merveilles de la Nature. Les lacs font partis des trésors que nous offrent la Terre. Il nous semblait donc indispensable de vous offrir une sélection des plus beaux lacs du Monde.
Soso et Haru sont deux personnages, vivant leur histoire d'amour à travers des illustrations réconfortantes, créées par Young Joo Kim.
Les illustrations de l'artiste coréen sont généralement monochromes avec seulement une pincée de rouge ou de rose.
La série d'illustrations en cours illustrant la vie quotidienne d'un couple.
Parfois banal, parfois excitant, mais révélant toujours un beau lien entre deux personnes.
Hamid Sardar-Afkhami est un photographe passionné par le Tibet et la Mongolie.
Il a longtemps étudié les coutumes, les cultures et lalangue des peuples qui se nichent au coeur de cette région aux paysages magnifiques.
Aujourd’hui, il a décidé de vous faire partager son voyage, à dos de renne, dans une tribu mongole au mode de vie unique et proche de la nature.
Hamid Sardar-Afkhami a vécu au Népal pendant plus d’une décennie, explorant l’Himalaya et le Tibet, et découvrant des cultures et coutumes différentes.
Hamid a obtenu son doctorat de l’université Harvard en sanskrit et langue tibétaine, ce qui lui permet aujourd’hui de pouvoir encore plus partager avec ces peuples incroyables.
Il est donc naturellement parti à la rencontre d’une des quelques tribus qui jalonnent la Mongolie.
Il a donc pu découvrir et partager le mode de vie simple et unique de la tribu nomade des Dukha. Ces derniers dépendent entièrement des rennes qu’ils ont domestiqués.
Ces grosses bêtes apportent à la fois du fromage, du lait à la tribu mais elles les aident aussi à se déplacer dans des zones parfois inhospitalières dans lesquelles ils doivent aller pour chasser.
Malgré la beauté de cette culture, la tribu des Dukha est pourtant en train dedisparaître rapidement. Il reste seulement environ 44 familles Dukha, c’est-à-dire entre 200 à 400 personnes.
Dans les années 1970, on estime qu’il y avait une population d’environ 2 000 rennes mais ce nombre est en constant déclin.
Aujourd’hui, la principale source de revenu des Dukha se trouve dans le tourisme, les étrangers viennent acheter leur artisanat et monter leurs rennes.
Malheureusement, leur troupeau de rennes diminue et signe petit à petit l’extinction de toute une tribu.
Hamid a capturé cette culture en perdition, à travers des photographies bouleversantes, mais aussi par l’intermédiaire d’un film intitulé « The Reindeer People » (« Le peuple des rennes ») qui suit une famille pendant leur migration saisonnière à travers les forêts de la province Hovsgol de la Mongolie.
Ce peuple cohabite avec la nature dans un paysage merveilleux et authentique. Malgré les aléas de la nature et les périodes de grand froid, ce peuple semble très heureux avec très peu de choses.
Par Philippe Bourget...
Plage De Cornouailles
À l'extrême sud-ouest de la Grande-Bretagne, règnent les paysages de bocage aux prairies vert gazon, aux haies immenses et les ports blottis le long d'estuaires cachés.
Bienvenue en Cornouailles, illustrés par la beauté du cap Lizard, de St. Michael's Mount et de havres minuscules, sans oublier, tradition anglaise oblige, un détour par d’incroyables jardins.
Proche des falaises du cap Lizard, la plage de Kinance Cove. On y accède par le South West Coast Path, sentier de randonnée qui longe le littoral des Cornouailles Polperro, un port joliment encaissé au fond d’un vallon maritime sur la côte sud des Cornouailles.
Des maisons pieds dans l’eau ; une minuscule criée, à l’image de ce village de poupée ; un ruisseau discret glissant à l’arrière des cottages ; des mouettes criardes et voraces...
Coup de cœur pour ce port intime, incarnation du rivage de cette région anglaise où se succèdent, invisibles depuis les terres, des escales côtières entretenues comme des reliques patrimoniales.
Il faut compter au moins trois jours pour profiter du territoire. Le granit de la pointe sud-ouest du Royaume-Uni est découpé en tellement debaies, anses et estuaires que suivre le trait de côte prend un peu de temps... D’autant que les routes sont à l’unisson.
Ah ! les routes.
Il n’y a que les Britanniques qui savent fondre ainsi les signes du progrès dans des paysages ancestraux. Imaginez. Un carroyage de prairiesondulantes couturées de haies, un damier jaune-vert-brun glissant jusqu’au bord des falaises.
Là, enfouies entre les talus de séparation, des routes étroites et invisibles. Le dépassement y est impossible, le croisement délicat mais toujours courtois, civilité british oblige.
La végétation est parfois si dense que la route glisse dans un tunnel boisé. Autant dire que la vitesse est proscrite. D’autant que le parcours est parfois stoppé net au bord d’un estuaire.
Il faut alors embarquer sur un bac, comme à Polruan ou à St. Mawes, l’occasion d’observer un voilier filant tranquillement vers une marina –la plaisance chic est ici dans son royaume.
Un Essaim De Villages Côtiers Impossible de raconter tous les villages. Sur l’itinéraire de Looe à Boscastle, qui englobe toute la pointe des Cornouailles, les bonnes surprises sont trop nombreuses. Résumons. Looe se love sur les versants de la rivière éponyme.
Ce port de pêche actif, aux ruelles bordées de vieilles maisons chaulées, est très touristique. Les deux rives sont reliées par un esthétique pontde pierre à sept arches. The Old Lifeboat Station (1866-1930) trône au bout du quai. Fowey, lui, fait face à Polruan, posé autour de l’église anglicane St. Fimbarrus et de sa tour-clocher à pinacles.
À la sortie de la messe, on y croise des old ladies en jupes longues et cheveux blancs permanentés. Le port, tout en longueur, est fort animé, bercé notamment par le souvenir de la romancière Daphné du Maurier, qui vécut au bord de l’estuaire.
Mevagissey entre dans notre « top 3 ». Nous sommes tombés sous le charme de ce bassin « double » quasi fortifié, l’avant et l’arrière-port, seulement séparés par une jetée juste assez large pour accueillir la criée. À marée basse, les petits chalutiers et les barques de pêche reposent sur la vase verte, au-dessous de quelques maisons peintes de couleurs vives.
Une carte postale.
Quant à St. Ives, c’est un peu le Deauville des Cornouailles. Où plutôt son Pont-Aven. La ville (11 000 habitants) est devenue célèbre grâce aux peintres, séduits par la beauté des plages, la lumière atlantique et les ruelles bordées de maisons à pans d’ardoises et bow-windows.
La foule, dense sur les quais aux beaux jours, s’y délecte de hamburgers, d’ice-creams et de sundaes. Des familles pique-niquent sur la plage principale, entre ondées et rais de lumière, protégées des bourrasques par des pare-vents piqués dans le sable.
Symboles de la fibre artistique de St. Ives, maintes galeries ainsi qu’un Tate Museum, bâtiment en béton dressé face à la plage de Porthmeor, se sont installés.
À une heure de voiture à peine de Plymouth, le port de Looe, toujours très actif, est la première étape de cette escapade en Cornouailles Boscastle & Port Isaac, Les Ports Du Bout Du Monde Sur la côte nord, deux « villages miniatures » méritent aussi la visite : Boscastle et Port Isaac. Le premier apparaît après une longue route tortueuse dans un vallon forestier. L’expression « bout du monde » lui va bien.
L’unique rue, en pente, encadrée de maisons de granit, est prolongée par une rivière et un bras d’estuaire serpentin, au point que l’océan reste caché à la vue du village. Une pépite !
Le second village résume à lui seul l’architecture littorale des Cornouailles...Un port de poche, des maisons du XVIe siècle à touche-touche, une petite plage et un hangar curieusement fortifié, occupé par des mareyeurs qui trient des soles et cassent des pinces de crabes au marteau.
Le tout fréquenté par la marée des touristes et dominé par un joli manoir-hôtel.
Sur la côte nord des Cornouailles, Boscastle se love au fond d'un vallon si profond qu'on ne voit pas la mer depuis le village. Un long chemin mène au port. À visiter, un étonnant musée de la Sorcellerie .
Passages Vertigineux De La Côte Nord Cette enfilade de ports-abris pourrait laisser croire que la côte est monotone.Erreur ! Les paysages sont changeants. La partie sud, dentelée
et dense, fait place au nord à de vastes espaces de champs et de landes. Land’s End en est l’exemple parfait, plateau désolé fréquemment noyé dans la brume.
On y croise de rares fermes grises, des pubs dans des hameaux et quelques gentlemen farmers bottés, casquettes anglaises sur la tête. Le St. AgnesBeacon, 192 mètres au dessus de l’océan, livre aussi, entre St. Ives et Newquay, son large mamelon, juste recouvert d’un tapis de bruyère violet ouvert à tous les vents.
Les randonneurs sont aux anges. Une portion du Cornwall Coast Path suit la ligne de côte de Plymouth à Bude, avec des passages ici spectaculaires (460 kilomètres).
« Nous surveillons les marcheurs et les vététistes mais aussi les parapentistes et les pêcheurs », sourit Anthea Philips,jumelles penduessur sa chemisette blanche à épaulettes, installée dans sa cabane-radio tapissée d’une grande carte marine et surmontée de l’Union Jack.
Volontaire au sein de la National Coastwatch Institution, elle assure des vacations pour surveiller les activités humaines. Car cette côte présente parfois des aspects vertigineux.
Port Isaac avec ses maisons de poupée du XVIIIe siècle, est un village de pêcheurs où se croisent vacanciers et mareyeurs.
Tintagel Ou La Légende Du Roi Arthur .À St. Agnes, par exemple, petite anse pour surfeurs de la côte nord, les falaises blanches plongent dans l’océan. Le port a été reconstruit six fois, laminé par les tempêtes et les éboulements rocheux.
À Tintagel, village fameux associé au roi Arthur – la légende dit qu’il serait né ici –, on imagine aisément que son prétendu château, ruine au-dessus de falaises cisaillées, a pu subir sans répit les assauts de la houle et du vent.
Le cap Lizard symbolise cette confrontation violente entre terre et océan.
Pointe la plus au sud du Royaume-Uni, célèbre ligne d’arrivée de courses transatlantiques, il offre ses murailles noires et grises aux vagues bruyantes de l’English Channel.
Miracle de la nature, ce cap en dents de scie, prisé par les touristes britanniques, cache aussi l’une des plus belles et secrètes plages du Royaume-Uni : Kynance Cove, sidérante de sable blanc à marée basse.
À Tintagel, haut lieu des légendes arthuriennes, le chemin qui descend vers les ruines du château du XIIIe siècle offre des vues vertigineuses sur les falaises plongeant dans la mer Celtique.
Une Autre "Merveille". Reste à parler de St. Michael’s Mount. Sa ressemblance avec la Merveille ne tient pas seulement à l’homonymie. Normal, cet îlot rocheux de la pointedes Cornouailles a été doté au XIIIe siècle d’un monastère et d’une église... par les moines bénédictins venus de « notre » Mont-Saint-Michel !
L’allure est plus modeste et le monastère, démantelé au XVIIe siècle, est devenu château, propriété de lord St Aubyn. Pas de digue comme en Normandie...On s’y rend à pied à marée basse, par une chaussée (causeway) submersible ; et en canot à marée haute. Trente personnes vivent à l'année au bas de ce caillou seigneurial, dans de petites maisons accolées à cours fermées.
Elles sont employées à l'intendance du château, qui se visite. Lors de notre passage, une maman et son jeune fils, cravate et pull en V aux armes de son école, embarquaient sur une navette chargés de sacs, apparemment habitués à cette logistique quotidienne.
Nous avons même aperçu l'épouse du lord refermant la porte du jardin du château, une fois le dernier visiteur parti.
L'ultime image d'une Angleterre singulière, prompte à préserver ses traditions et à garder intacts ses trésors de nature.
Entre le Cap Lizard et Land's End, une curiosité : St. Michael's Mount, un Mont-Saint-Michel en réduction. Le causeway (chaussée submersible) permet d'accéder à marée basse à cet îlot escarpé où des moines bénédictins s'installèrent au XIIIe siècle
Dans Les Cornouailles, Deux Étonnants Jardins .Sous le ciel gris, les dômes blancs en nid d’abeille où sont abritées les plantes exotiques ont un air irréel. Le sentiment est renforcé par la tyrolienne géante qui survole le site et sur laquelle glissent des météores humains.
Eden Project est le résultat d’une idée folle : protéger la biodiversité du monde en conservant sous cloche des milliers d’espèces. Résultat ? « 90 000 visiteurs par jour en période de pointe », nous confirme une responsable à l’accueil.
Il n’est qu’à voir la taille des parkings pour comprendre le succès du lieu...
Installé sur le site d'une ancienne carrière, le parc Eden Project est né de la volonté de son concepteur, Tim Smit, de démontrer la capacité de la nature à régénérer un site détérioré par l'activité humaine
Eden Project: Un Laboratoire De La Biodiversité Eden Project est à la hauteur du défi, lancé il y a une quinzaine d’années par Sir Tim Smit, né au Pays-Bas, ancien compositeur et producteur de musique de rock et d’opéra.
Aménagés dans une carrière de kaolin désaffectée près de St. Austell, les dômes jumelés géants (jusqu’à 45 mètres de hauteur) accueillent des plantes tropicales d'un côté, des essences méditerranéennes de l'autre.
Côté "pays chauds", le bluff est complet : reproduction de forêts humides d'Amérique de Sud, Asie du Sud-Est, d'Afrique de l'ouest et des îles tropicales. Cascades, huttes de bambous, maison de paysans malaisiens, arbres fruitiers tropicaux (manguiers, bananiers..)s'observent à partir de passerelles aériennes sur la canopée..Il fait plus de 31° sur la plateforme sommitale aménagée 30 mètres au-dessus du sol (un peu mouvante, sensibles au vertige s’abstenir !, d’où l’on domine l’ensemble de l’écosystème.
Il ne manque que la faune pour se croire téléporté à Bornéo ou à Manaus... Le dôme méditerranéen, avec son verger d’agrumes et son oliveraie, en revanche, est nettement moins réussi, un peu artificiel, trop académique.
Conçues par L'architecte Nicholas Grimshaw avec les matériaux les plus innovants, les serres d'Eden Project se visitent à 30 mètres de hauteur,en cheminant sur le Canopy Walkway (passerelle de la canopée).
Ces biomes - écosystèmes caractéristiques d'une aire géographique - abritent des environnements contrôlés : climat chaud tempéré du bassin méditerranéen, et forêt humide tropicale.
Les Étranges Créatures Végétales Des Jardins Perdus De Heligan... Nous sommes arrivés aux jardins perdus de Heligan, près de Mevagissey, asseztard en fin d’après-midi, au moment où les visiteurs commençaient à regagner la sortie.
Résultat : le bonheur rare d’arpenter un domaine végétal en touristes VIP, seulsou presque dans cet immense maelström de verdure. The Lost Gardens of Heligan ont été aménagés aux XVIIIe et XIXe siècles par la famille Tremayne et relancés par leurs héritiers au tournant des années 1990, après une longue période d’abandon.
Imaginez : un domaine courant presque jusqu’à la mer, une jungle valley perdue au fond d’un vallon, avec pont de singe, étangs et plantes tropicales géantes...Des prairies à moutons, vaches et émeus, des palmiers et des fougères géantes, des chênes et des cèdres antédiluviens sur les branches desquelles courent des écureuils...Un potager clos, des jardins d’agrément, une maison de maître aux grounds (pelouses) taillées au ciseau, une ferme..., le tout dans un silence de cathédrale.
En prime, la surprise de découvrir des sculptures arbustives : une femme couchée au sol, épaules et hanches couvertes de lierre, un gnome aux yeux bleus à tête végétale... Un vrai bonheur.
Le domaine de Heligan, qui appartient à la famille Tremayne depuis le XVIe siècle, a été laissé à l'abandon après la Première Guerre mondiale. Reconstitué d'après les plans d'origine, il renaît en 1990.
Ces 25 lieux touristiques sont autant d’endroits qu’on croise régulièrement
sur les photos Instagram, et comme bien souvent sur Instagram, tout est
toujours bien léché.
Ces photos sont toujours mises en scène de telle sorte qu’on a vraiment
l’impression que l’endroit est paradisiaque, mais ce n’est pas forcément
ce que la réalité reflète.
Vous allez pouvoir le constater avec ces 25 lieux connus pour leurs spots
photos, dans leur version réalité et leur version Instagram, le contraste est saisissant.
Fort Lupin est un fort construit par Vauban (commandée en 1683 la construction commencera en 1685 et se terminera en 1689, 4 ans de construction) sur la rive sud de l'estuaire de la Charente dans le département de la Charente-Maritime et la région Nouvelle-Aquitaine entre Soubise et Saint-Nazaire-sur-Charente.
Il a été construit pour défendre l'accès à Rochefort et son arsenal.
Marre de visiter des destinations que l’on voit partout, de croiser des hordes de touristes et de vous retrouver dans lieux bondés de monde ?
Alors ne cherchez plus, ce qu’il vous faut, c’est le Groenland. Entre ses grands espaces sauvages, ses animaux d’une rare beauté et sescoutumes ancestrales, cette terre vous garantit un dépaysement total !
Fini les villages vacances et les hôtels all inclusive, en mettant les voiles vers le Groenland, vous embarquez pour une aventure dont vous vous souviendrez toute votre vie. En effet, le territoire ne ressemble à aucun autre sur la planète. Profitez également de ce voyage pour prendre conscience (si ce n’est pas déjà le cas) de l’urgence dans laquelle nous sommes par rapport au réchauffement
climatique. Pour cela, rien de plus efficace que de découvrir au plus près cet immense univers glacé. C’est sûr, vous allez en prendre plein la vue et en rapporter des images extraordinaires.
Pour finir de vous convaincre, voici 10 choses incontournables à découvrir sur place :
1. Scoresby Sund
2. Uummannaq
3. Disko Bay
4. Les baleines
5. Ilulissat
6. Les chiens de traîneaux
7. Les aurores boréales
8. Survey Canyon
9. Les ours polaires
10. Jakobshavn Isbræ
Des péages à l'entrée des villes françaises pourront-ils bientôt être installés, afin de désengorger les centres-villes et pousser les
automobilistes à privilégier d'autres moyens de transport ? L'idée fait son chemin… et elle semble être plus que jamais dans les dossiers du gouvernement.
Un péage à Londres / DR
Le concept n'est pas nouveau : dans d'autres pays européens, les usagers de la route payent déjà depuis longtemps des frais supplémentaires pour pénétrer dans l'enceinte de certaines grandes villes. C'est le cas notamment de Milan, de Londres ou encore de Stockholm, où de tels systèmes de péages urbains ont déjà été mis en place dans l'espoir d'améliorer la fluidité de la circulation et de lutter contre la pollution de l'air.
Pour l'instant, les communes françaises ont été « épargnées »… mais cela pourrait bientôt changer ! En effet, il s'agit de l'une des
pistes envisagées dans le projet de « loi sur les mobilités » préparé par la ministre des Transports, Élisabeth Borne, et présenté ce mercredi dans le journal « Les Échos ».
Un projet controversé.
Sur le principe, l'idée est plus que louable : il s'agit de favoriser les transports en commun et les déplacements doux, de réduire le trafic dansle centre des grandes villes et de permettre aux citadins de respirer un peu d'air pur, dans les espaces urbains de plus en plus pollués et suffocants.
Mais voilà, un tel projet suscite immanquablement la colère des associations d'automobilistes, qui ont le sentiment d'être « punis » ou de se faire vider les poches. Il faut dire que, dans certaines villes ou le système existe, la taxe est plutôt sévère et dissuasive : les automobilistes londoniens doivent ainsi s'acquitter d'une obole d'environ 13 euros pour avoir le droit de profiter des joies d'une balade motorisée au cœur de la City.
Autre critique soulevée par ce genre de taxes : son côté clivant « anti-pauvres », perçu comme étant vecteur d'exclusion sociale
vis-à-vis des plus modestes. En effet, en expulsant les automobilistes les moins riches (qui ne peuvent pas s'acquitter de la taxe) des centresurbains, on désengorge effectivement les centres-villes… mais ce tri se ferait aussi au prix de moins de diversité et de mixité sociale.
Bref, il faudra sans doute un certain temps pour que l'idée fasse son bonhomme de chemin, et on peut d'ores et déjà imaginer qu'elle ne soit pas facilement acceptée par au moins une bonne partie de la population.
D'autres pistes sont envisagées par le gouvernement : Élisabeth Borne a ainsi évoqué l'idée de la mise en place de voies dédiées au covoiturage à l'entrée des grandes agglomérations. L'idée serait que, comme pour les taxis, certaines voies soient réservées à ceux qui partagent une voiture… À voir comment pourrait s'effectuer la mise en application réelle d'une telle idée.
La création de cette liste n’était pas un mince exploit. Cette année, le nombre de clichés soumis a gonflé à un niveau record pour atteindre 173 444 photographies de 171 pays.
Le parc national de Glacier est un parc national américain situé dans l'État américain du Montana. Fondé en 1910 et d'une superficie de 4101 km², il est bordé au nord par les provinces canadiennes de l'Alberta et de la Colombie-Britannique. On y trouve le lac St-Mary's. Wikipédia
Notre planète regorge d’endroits magnifiques et de merveilles de la Nature.
Les lacs font partis des trésors que nous offrent la Terre.
Il nous semblait donc indispensable de vous offrir une sélection des plus beaux lacs du Monde.
Lac De La Lune, Inde
Parc National Jiuzhaigo, Chine
Huanglong-Sichuan, Chine
Lac Crater, Canada
Lago Torre, Argentine
Lac Matheson, Nouvelle Zélande
Lac Peyto, Canada
Crédits...Floydian / Flickr
Lac Yamdrok Tso, Tibet
Lac Ruataniwha, Nouvelle Zélande
Lac Hamilton Au Texas, USA
Un Lac Près De L’île De Longoya, Norvège
Lac Powell, USA
Lac Pamamaroo, Australie
Lac Emerald, USA
Lac Aux Mille Îles, Chine
Lac Mono, USA
Lac Kanas, Chine
Le Lac Baïkal, Russie
Lac Leigh, USA
Lac Maroon, USA
Lac Plitvice, Croatie
Lac Tekapo, Nouvelle Zelande
Lac Bench, USA
Lac Moraine, Canada
Lac de Serre-Ponçon, France
1. Spider-Man
2. Les Simpson
3. South Park
4. Cendrillon
5. Mickey Mouse
6. Alvin et les Chipmunks
7. My Little Pony : Les amies, c'est magique
8. Les Tortues Ninja
9. Les Schtroumpfs
10. Scooby-Doo