De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
24/12/2017 - 17:02
...Mayyan on pense à vous , revenez nous vite !
BON NOËL À TOUS ...
24/12/2017 - 16:30

                                         L'ORIGINE  DES  13  DESSERTS                



Ils seraient d'origine provençale et paraissent inconnus au nombre de 13 avant le début du 20ème siècle.

Autrefois les desserts de Noël étaient composés de fruits récoltés dans les
campagnes. il y avait beaucoup de fruits secs ou frais conservés dans
les greniers, en prévision de l'hiver.

La tradition des 13 desserts est récente : depuis 1920, ils représentent Jésus et les 12
Apôtres. En fait, jadis, il était de bon ton de montrer à sa famille et
à ses amis que l'on ne manquait de rien et que l'hiver pouvait
arriver...on tiendrait jusqu'à la saison de production. Avec l'exode
rural, on n'avait plus chez soi comme à la ferme, de quoi présenter le
maximum de desserts, d'où la nécessité de les acheter... On les fixa
donc arbitrairement à 13, en ville cela était réalisable.





Les 13 desserts évoquent Jésus et ses 12 apôtres et se déclinent à partir de "mendiants" qui sont :


Les noisettes ou les noix (symbole des Augustins)
Les figues sèches (symbole des Franciscains)
Les amandes (symbole des Carmes)
Les raisins secs (symbole des Dominicains)

La couleur des fruits est en rapport avec la robe des ordres religieux et
le terme "mendiant" rapelle que ces ordres vivaient de l'aumône. La
couleur des vêtements a d'ailleurs changé au cours des décennies, mais
les fruits sont restés les mêmes.

Après ces quatre premiers desserts, nous trouvons suivant les villes et les familles 9 autres
fruits et confiserie parmi le choix suivant :

La fougasse (gâteau à l'huile d'olive et à la fleur d'oranger), elle doit être
rompue, comme le Christ l'a fait avec le pain lors de la cène.
Les dates (qui peuvent être déguisées de pâte d'amande)
Le nougat blanc (aux pistaches) ou le nougat noir (au miel)
Les dragées
Les fritures : oreillettes, beignets, gauffres..
La pâte de coing ou confiture
Du raisin blanc
Le melon de Noël
Les oranges (signe de richesse)
Les melons confits (ou d'autres fruits confits)
Les pommes ou les poires
Les clémentines
Les prunes...

Ils sont servis en même temps, la table doit être couverte de 3 nappes,
éclairée d'un chandelier de 3 bougies et chaque personne doit tous les
goûter ...

Selon les familles et les villages leur composition varie, mais partout, on commence par servir le premier : la "pompe à
huile", une sorte de brioche à l'huile et aux fruits confits. Parfois il
s'agit d'une fougasse ou d'une sorte de bûche servie avec des
confiseries comme les calissons d'Aix.

Lorsque vous aurez dégusté, tour à tour 12 desserts, vous pourrez, avec la première
mandarine, faire votre vœu secret qui sera vraisemblablement exaucé dans
l'année.

Cette tradition viendrait d'ailleurs en substitut des 13 pains du gros souper.

Le "museon arlaten" crée par Frédéric Mistral, en Arles (13) montre dans
une de ses salles la table de fête avec les mets et desserts de Noël,
avec la famille en costumes traditionnels (trouvez le temps d'y aller
faire un tour, cela en vaut la peine ...) toutefois Mistral n'a jamais
parlé de 13 desserts, puisqu'il était décédé, vers 1920 lorsque le
nombre en a été fixé.
24/12/2017 - 15:39
Bonjour amis(es) du forum et tous les ordissinautes .

Je viens vous offrir mes voeux chaleureux...du bonheur à Noël et que la nouvelle année 2018 soit en tout point simplement merveilleuse! Que la magie de noël transforme votre foyer en un havre de paix, où règnent bonheur et gaieté ! Je vous souhaite un excellent noël,  rempli d’amour et d’amitié.



Une pensée particulière pour Mayyan qui manque sur ce forum, dès que vous le pourrez donnez nous de vos nouvelles , je pense que je ne suis pas la seule à m'inquiétez de votre santé.
À bientôt j'espère.


 

24/12/2017 - 09:45


Le sens Spirituel de Noël ...

Pour les Chrétiens, Noël permet de revivre symboliquement la naissance de Jésus ; pour tout le monde c'est une fête à la portée spirituelle très forte. Voici un éclairage sur la signification religieuse de Noël.

Une signification universelle : La fête de Noël constitue en premier lieu une célébration de la vie et de l'innocence. L'histoire de cet enfant né humblement, dans une étable, a un sens pour tout le monde.

Lorsque l'on se réunit en famille pour fêter Noël, en accordant une place particulière aux enfants et en ouvrant sa maison à autrui, cela participe à l'esprit de Noël, que l'on soit croyant ou non. 

La place du Pauvre : C'est dans cet esprit que perdure dans bien des familles la tradition de préparer une place et un couvert supplémentaire à la table du réveillon.
Cette place, que l'on appelle la "place du pauvre", est prévue pour la personne, connue ou inconnue...
Qui viendrait sonner à la porte à l'improviste et que l'on accueillerait chaleureusement.

 Noël chez les Chrétiens :



Une Fête apparue au IVème siècle : Pour les Chrétiens, Noël est la fête la plus importante avec Pâques. Elle est apparue dans le calendrier chrétien au IVème siècle à Rome. La date du 25 décembre fut choisie pour sa proximité avec le solstice d'hiver
qui s'accompagnait depuis des temps immémoriaux de rites païens.


En effet, une fois le solstice d'hiver passé, le jour croit jusqu'au solstice d'été. Ce phénomène naturel du jour qui l'emporte enfin sur la nuit a toujours fait l'objet de célébrations, mais il est évident qu'il s'accordait particulièrement bien avec la symbolique de la nativité.

La fête de Noël prit rapidement l'importance qu'on lui connait aujourd'hui, en raison de son caractère magique et émouvant.
Ainsi, au Moyen-Âge apparurent les premières représentations théâtrales de la nativité, puis les crèches vivantes firent leur apparition dans les églises, et enfin les petites crèches de santons arrivèrent dans chaque foyer.

Histoire de la Naissance de Jésus :                                                                          

  Voici l'histoire de la naissance du Christ telle qu'elle nous est racontée dans l'Évangile selon Saint Luc. Alors que Marie était sur le point d'accoucher, un recensement obligatoire fut décrété par l'empereur romain Auguste.                                  

Or, pour se faire recenser, il fallait retourner dans sa ville natale. Joseph entreprit donc de se rendre à Bethléem dont il était originaire, accompagné de Marie.
                                                                  
  Cependant, alors qu'ils étaient arrivés à Bethléem et que l'accouchement se rapprochait, aucun hôtelier ne voulut les loger, toutes les places étant déjà prises.
                           

C'est finalement dans une étable que le couple trouva refuge.
Marie y mit donc au monde son premier-né, Jésus, l'emmaillota et le coucha dans la crèche, c'est-à-dire dans la mangeoire.
23/12/2017 - 19:10
                              
                                              
       
                                               POUR  TOUS  LES  ORDISSINAUTES
 
Je voudrais vous souhaiter de bonnes fêtes de Noel à tous,bien sur mes pensées vont au malade,au personne seule,et tout ceux qui ont perdu un être cher.
                  
                                      ,Bonnes fête à to
us

                                                                     
23/12/2017 - 15:22

                                 HISTOIRE DES LETTRES AU PERE NOEL                   


A l'instar de la décoration du sapin, de la préparation du repas et de la
découverte des cadeaux, la lettre au père Noël fait partie des
traditions incontournables des fêtes de fin d'année. Peu importe votre
âge, vous vous êtes certainement déjà appliqué à rédiger une jolie
lettre avant de l'envoyer au gros monsieur en rouge, espérant
secrètement une réponse de sa part. Si comme nous, vous avez cessé de
participer au folklore et doutez de l'existence du Père Noël, vous vous
êtes sûrement déjà demandé où vont aller toutes ces lettres qui lui
étaient adressées ? Pour y répondre, revenons sur l'histoire de ces
missives de fin d'année

Le Père Noël pose problème :


Les enfants français ont dû attendre un peu plus
longtemps pour recevoir la missive du personnage : pour comprendre
l'importance d'une telle lettre, il nous faut revenir sur son histoire,
intimement liée à celle des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones) et
aux fameuses réponses du Père Noël. De nombreuses recherches ont été
effectuées sur le sujet dont une étude présentée lors d'une conférence à
l'Université de Poitiers. C'est après la Seconde Guerre mondiale que de
nombreuses lettres destinées au célèbre bonhomme nordique ont fait une
entrée remarquée dans les bureaux de postes français.
Venus de métropole, de Dakar, de Guinée ou encore de Madagascar, ces courriers
n'étaient pas affranchis et indiquaient des adresses toutes plus
fantaisistes les unes que les autres : « Rue des nuage », « Rue du Pôle
Nord », « 1 Rue du Ciel étoilé », « Avenue des Rennes »... Bien
évidemment, sans timbre ou adresse réelle, ces lettres ne pouvaient pas
être acheminées et, en trop grand nombre, devenaient un véritable
problème pour les employés de l'administration en charge des postes. En
effet, ouvrir un courrier à la place de son destinataire est une
violation du secret de la correspondance et une telle action est
réprimée par le code pénal et par les règles appliquées par les PTT. Une
telle lettre doit obligatoirement être redirigée vers le dépôt central
des rebuts situé dans l'Hôtel Central de Paris, en place depuis 1771
La question des lettres au père Noël aurait pu rester négligeable si le
nombre de courriers n'était pas devenu de plus en plus important avec
les années. En 1959, la revue éditée par le ministère des PTT annonce
dans son bulletin que près de 4 000 lettres au Père Noël ont été reçues,
donnant une place toute particulière à ces courriers. Si les bureaux
parisiens sont préoccupés par cette nouvelle tendance, ceux du reste de
la France le sont tout autant et certains postiers, attristés par le
sort réservé à ces correspondances, prennent les devants en répondant
aux enfants de leurs régions.
En rédigeant ces lettres, les employés violaient la loi et les
règles de l'administration au risque de perdre leur travail : c'est la
raison pour laquelle ils préféraient rester dans l'anonymat. L'une
d'entre eux, Magdeleine Homo, avait depuis longtemps décidé d'agir seule
en répondant systématiquement, discrètement et soigneusement aux
lettres rédigées par les enfants de son village. Devant l'importance du
travail, elle finira par demander de l'aide et l'autorisation de ses
supérieurs pour continuer l'envoi des réponses sous le nom du père Noël.
L'histoire raconte que c'est le ministre lui-même qui lui donna sa
bénédiction.
Un secrétariat pour le père Noël :


Durant les quatre années suivant l'approbation du
gouvernement, elle remplira sa tâche : elle recevra l'aide des maîtres
d'école et des parents de son village dans la personnalisation des
réponses avant d'intégrer le centre de rebuts de la PTT en 1962.
Dorénavant, ce dernier serait le seul habilité et autorisé à remplir
cette mission et à répondre aux enfants. Magdeleine Homo décèdera
l'année suivante sans avoir pu assister à la mise en place complète du
nouveau système de réponse, mais certainement après avoir fait rêvé des
centaines d'enfants. Cinq ans après son installation à Paris, le service
du Père Noël est envoyé à Libourne, en Gironde : le maire de la commune
et ami Jacques Marette ( Ministre des PTT) travaillait jusque là au
déménagement des services de rebuts de la poste vers sa ville. Une fois
le changement effectué, le « secrétariat » n'a pas eu d'autre choix que
de suivre le mouvement, utilisant la force de travail des employés des
PTT pour répondre aux lettres reçues. Il faudra attendre 1969 pour que
la première secrétaire « officielle » du Père Noël soit engagée et 1970
pour que la branche du dépôt central des rebuts dédié aux lettres de
Noël devienne officiellement le Secrétariat du père Noël.
La toute première carte-réponse du secrétariat fut illustrée par René Chag et
rédigée par la psychanalyste Françoise Dolto (sœur du ministre Marette).
On pouvait y lire le texte suivant : « Mon enfant chéri, ta gentille
lettre m'a fait beaucoup de plaisir. Je t'envoie mon portrait. Tu vois
que le facteur m'a trouvé, il est très malin. J'ai reçu beaucoup de
commandes. Je ne sais pas si je pourrai t'apporter ce que tu m'as
demandé. J'essaierai, mais je suis très vieux et quelquefois je me
trompe. Il faut me pardonner. Sois sage, travailles bien. Je t'embrasse
fort. Le Père Noël. »




Aujourd'hui, de nombreux lieux sont dédiés à la réception, la lecture et la
rédaction de réponses à ces lettres dans le monde, et certains bureaux
vont plus loin en envoyant des cadeaux aux enfants dans le besoin. Pour
réaliser un tel travail, les employés des bureaux de poste sont aidés de
bénévoles et différentes entreprises réalisent des opérations
similaires : L'USPS (United States Postal Service) promet une réponse du
père Noël tout droit venue du pôle Nord, avec un tampon « officiel ».
On retrouve la même chose auprès de la Royal Mail (Royaume Uni), du
Canada Post (qui a créé un code postal spécial : H0H H0H), ou encore du
Brésil. Sachez qu'en France, le traitement de la lettre est gratuit et
qu'il faut simplement prendre soin de noter son adresse au dos de
l'enveloppe envoyée pour recevoir une réponse signée du monsieur à la
barbe blanche
23/12/2017 - 13:49
Pelles usées transformées en paysage de Noël

Cindy Chinn, cette artiste qui a le don de transformer des outils de bricolage en œuvres d’art, réalise cette fois une série de pelles usées qu’elle transforme en paysage de Noël.


 
Connue pour ses scies ou ses impressionnantes mines de crayons sculptées (comme ci-dessous), Cindy Chinn travaille depuis de nombreuses années sur des vieux outils usés qu’elle a chiné en brocante et qu’elle prend plaisir à sculpter pour leur donner une nouvelle vie.



À l’aide de sa torche à plasma et de ses dessins, l'artiste sculpte avec une dextérité certaine. Il peut lui arriver de rajouter certains éléments qu’elle soude, comme par exemple dans cette pelle de Noël :





Heureuse de son travail, l’artiste déclare : « Je suis une artiste à plein temps et quand je crée une œuvre d'art, je me rappelle à quel point j'ai de la chance d'avoir la liberté de faire ce que je veux. »


23/12/2017 - 13:39
                                                                                  

  Il faut plus que jamais croire à la magie de Noël, ne pas abandonner ses rêves et penser très fort que nos voeux les plus chers
peuvent se réaliser un jour ... 

                         
  Qui sait, le père Noël a plus d'un tour dans sa hotte !

J'ai donc fait ma lettre pour le père Noël ... Non,  mais en réalité  j'ai écrit trois lettres, histoire de mettre toutes les chances de mon côté  ...   " Joyeux Noël à VOUS ! "                                          
                                                                       
 

 

  
23/12/2017 - 13:07
                                                      Bonjour  Mayyan

          J'espère que votre état de santé s'améliore ,je vous souhaite un bon Noel,et  surtout un bon rétablissement.

           Vous nous manquez sur le forum,mais on ne vous oublie pas.

            A très bientot     

            M Jeanne


                                                                          
,
23/12/2017 - 12:45
                                                     Antiquité, en Égypte, en Grèce et à
Rome, des pains sont préparés avec du miel mais l'histoire du pain
d'épices connu actuellement ne commence ni en Flandre ni en Bourgogne.
Il semble trouver ses origines en Chine, où, consommé au Xème siècle, il
porte le nom de Mi-Kong, «pain de miel». Il se compose de farine de
froment et de miel, et on le parfume quelquefois de plantes aromatiques

C'est en 1452 que le duc de Bourgogne , Philippe III le Bon , déguste avec
délice une galette au sucre d'abeilles à Courtrai. De cette tournée dans
la Flandre, le duc revient à Dijon accompagné de l'habile artisan qui
sait cuire de si bonnes galettes.

Le pain d'épice était considéré comme un aliment, et non comme une
pâtisserie. Au XIIIème siècle, il est cité parmi les rations des
cavaliers de Gengis Khan. Les Arabes l'empruntèrent aux Chinois, et les
Occidentaux le connurent en Terre sainte, à l'occasion des croisades.

Plus tard, à l'époque moderne, des pains d'épiciers se distinguèrent et
le pain d'épice devint une friandise. A Paris, ils formèrent une
corporation à laquelle Henri IV octroya des statuts .
Toutefois, c'est Reims qui s'imposa d'abord comme la cité du plus fameux pain d'épice.
On disait que les Rémois l'emportaient "à cause de la bonté des miels de

Champagne et de la manière de faire le pain d'épice que les maîtres des autres villes ne pouvaient imiter".

Le Dictionnaire de l'Académie Française de 1694, après la définition du
pain d'espice, ajoutait "Pain d'épice de Rheims". Cette réputation était
telle que les Rémois furent désignés dans un proverbe champenois sous
le sobriquet de mangeurs de pain d'épice. Il existait une corporation de
pains d'épiciers à Reims. L'industrie rémoise du pain d'épice fut
anéantie par la guerre de 1914-1918.

La production rémoise s'écoulait lors des foires : Châlons en Champagne (dénommée ainsi aujourd'hui), Soissons


, Troyes, Laon, Vitry, et, à l'occasion de pèlerinages, jusqu'à la Révolution de 1789.


La première mention de pain d'épice de Bourgogne se retrouve sur un cahier
de doléances de 1702 où les maîtres pâtissiers de Dijon se plaignent
que les habitants de la ville et des villages voisins «font gâteaux,
tartes et pains d'épice et autres pâtisseries pour les vendre dans les
rues et aux portes de la ville».
Le premier pain d'épicier de la ville voit son nom inscrit dans les rôles des tailles en 1711 :
Bonaventure Pellerin, vendeur de pain d'épice et «cabaretier», rue
Saint-Nicolas , actuelle rue Jean Jacques Rousseau. La profession se
développe, rivalisant d'astuces, de secrets, de tours de main entre
artisans et entre ville concurrentes. L'artisanat se mue en petite
industrie. La réputation de Dijon est acquise à la fin du XIXe siècle
Chaque ville a sa recette, chaque fabricant détient son secret, mais, en gros,
on retrouvera toujours dans le pain d'épice de Dijon : de la farine de
froment, contrairement à Reims qui utilisait de la farine de seigle
A partir de 1850 et jusqu'en 1940, Dijon compte en moyenne huit à douze
fabriques de pain d'épice. Mais les fabriques ont disparu l'une après
l'autre : le vrai pain d'épice demande une fabrication artisanale qui se
révèle trop exigeante.