De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
15/12/2017 - 17:47
Les plus belles fleurs du monde

En ces temps plutôt grisâtres, Nous vous proposons  de fairele plein de couleur et vous dévoile sa sélection de coups de cœur floraux ! Majestuosité, légèreté et douceur sont au rendez-vous !  
 
La fleur la plus « majestueuse »
Bien qu’elle ne soit pas des plus impressionnantes, la « daucus carota » a su charmer notre équipe ! En effet, si, en France, cette jolie
fleur est également appelée « carotte sauvage » elle est, en Angleterre,surnommée « Queen Anne's lace », c'est-à-dire : la dentelle de la Reine Anne. Sans doute ce nom fait-il écho à l’une des plus célèbres histoires racontées aux enfants…

Cette histoire raconte en effet qu’un jour de plein hiver, une reine, qui était assise devant sa fenêtre en bois d’ébène, cousait négligemment en regardant les flocons tomber.
Maladroitement, elle se piqua le doigt avec son aiguille et c’est alors que trois petites gouttes de sang tombèrent sur la neige. Cette tache rouge vif sur le blanc immaculée de la neige laissa la reine songeuse…
« Si j’avais un enfant, au teint blanc comme la neige, aux lèvres rougescomme le sang et aux cheveux noirs comme le bois d’ébène ! ». Or, peu de temps après et juste avant d’être emportée par la mort, la reine faisait naître une petite fille nommée Blanche Neige.

Sans doute les quelques âmes poétiques aiment alors comparer cette tâche de sang dans la neige à la discrète tache noire qui se loge au cœur de cette bien jolie fleur !

La daucus carota avant éclosion

La daucus carota

 
Les fleurs les plus superbes
Si la « daucus carota » vaut sa majestuosité à la légende qu’on lui assimile, certaines espèces de fleurs tirent la leur de leurs superbes profils. C’est notamment le cas de la « nigella damascena », de l’orchidée tigre, de la « whirligig » ou encore de la « fleur araignée »rouge que nous vous laissons découvrir en images…

  La nigella avant éclosion

  La nigella damascena bleue

  La nigella damascena blanche

  L’orchidée tigre

La whirligig

  La fleur araignée
 
Les fleurs les plus exotiques
Parmi les plus belles fleurs exotiques, l’équipe a également été séduite par les « taccas », un type de plante venu des forêts pluviales
d'Asie du Sud-Est. On aime également la « grevillea olivacea », la « bulbophyllum » et la « kangaroo paw » venues d’Australie ainsi que la très rare espèce de Cornus florida, la « magic dogwood » originaire du Mexique... On vous laisse admirer !

  La tacca

  La grevillea olivacea

  La bulbophyllum

  La « magic dogwood »

  La kangaroo paw avant éclosion

  La fleur de kangaroo
 
Et vous, quelle est votre fleur préférée ?
15/12/2017 - 14:55
                                                      Val Monceau : la station du Royal Monceau
Le Royal Monceau, le plus parisien des palaces, vient de convertir sa
terrasse extérieure en véritable station de ski avec neige, cabine
vintage et chalet de bois. Jusqu'au mois de février, vous pourrez venir y
déguster trois cocktails signature élaborés avec la maison Veuve
Clicquot, des hot dogs truffés ou des crêpes au saumon fumé, sans
oublier les délicieux macarons Pierre Hermé. Quelques pièces mode en
collaboration avec Fusalp sont également proposées à la vente.

*********
Le Val d'Auteuil : la station branchée du 16ème !
La brasserie d'Auteuil est le nouveau hot spot de l'Ouest parisien. Pour
la saison hivernale, le lieu se métamorphose en paradis enneigé sous le
patronage de Val d'Isère et Coca Cola. Plaids en fourrure, coussins en
tricot, guirlandes lumineuses, immense boule à neige sur le roof top
... vous allez adorer siroter votre vin chaud ! Le truc en plus : les
dimanches «retour de ski» où vous pourrez partager une bonne tartiflette
flambée à la grappa, en moonboots, sur fond de DJ set
Dimanches «retour de ski» les 14 janvier et 18 février 2018, de 12h à 18h. Menu à 29,90 euros

78, rue d'Auteuil, Paris 16ème

***********
Le chalet du Park Hyatt Paris-Vendôme : le plus intimiste !
Le Park Hyatt Paris-Vendôme propose jusqu'au 15 mars 2018, son chalet
d'hiver en collaboration avec la Maison d'horlogerie Suisse IWC

Schaffhausen. Ensemble, ils ont imaginé un chalet contemporain, revêtu
d'un profond noir cendré et saupoudré de touches blanches et argent ça
et là, pouvant accueillir jusqu'à douze convives. Le chef Jean-François
Rouquette propose tous les soirs une raclette montagnarde, avec fromage
de Saint Nicklaus, pommes de terre grenailles, ainsi qu'une sélection de
charcuterie des Alpes. Une version «Palace» agrémentée de truffes sera
également proposée aux amateurs.
Réservation obligatoire au 01 58 71 10 60

Chalet privatisé de 4 à 12 personnes maximum / 175 euros par personne pour le
menu «Raclette Montagnarde», 275 euros pour le menu «Raclette Palace»
15/12/2017 - 14:55
Grand frisson à l'aiguille du Midi

  L’aiguille du Midi propose une expérience vertigineuse : admirer le panorama sur le mont Blanc depuis le Pas dans le vide, une cage de verre perchée à 3 842 mètres d’altitude. À la façon du Skywalk, passerelle surplombant le Grand Canyon, les visiteurs peuvent maîtriser leur peur avec plus de 1 000 mètres de vide sous leurs pieds... mais en toute sécurité.



Dans la cabine de 2 mètres sur 2 mètres, vivez l'impossible expérience de marcher sur le vide ! Ci-dessus, les techniciens habitués aux conditions de travail extrêmes, lors de l'installation de la cabine.



À vous de décider si vous regardez en bas ou pas.



C'est en chaussons spéciaux en feutre que l'on entre dans cette attraction ouverte depuis décembre 2013. Les avis sont unanimes sur cet espace panoramique abrité : « incroyable », « magnifique ».



Fixé sur la terrasse sommitale de l’Aiguille, le sas est unique au monde par sa conception technologique en verre-acier. La cabine transparente résiste à des vents de plus de 220 km/h et à une amplitude thermique de 60 °C.
15/12/2017 - 14:50
                                                            
Meghan Markle passera Noël avec la reine Elisabeth II
Privilège : Meghan Markle passera Noël avec la reine Elisabeth II ...





- officiel : un porte-parole de
Kensington Palace a confirmé au Daily Mail que Meghan Markle aura
l'honneur de passer Noël avec la famille royale à Sandringham. Elle
suivra aussi la messe en l'Église Sainte-Marie-Madeleine. Un véritable
privilège pour la fiancée du prince Harry : par tradition, seuls les
couples mariés ont en effet le droit de participer aux festivités avec
Élisabeth II.



Kate Middleton, par exemple, avait dû attendre 2011, d'être
devenue l'épouse de William, pour pouvoir s'y rendre. Preuve
supplémentaire qu'Harry est vraiment le chouchou de sa granny
15/12/2017 - 14:49
                                                

un monsieur charmant qui me donnais souvent des superbes bouteilles en verre
a l'usine Souchon Neuvesel de Givors
********

Antoine Riboud a sorti le capitalisme français de sa torpeur conservatrice. On
ne soulignera jamais assez l'impact de l'OPA de BSN sur Saint-Gobain, en
1968. Un nouvel âge de l'entreprise commence alors et le patron de BSN
en est l'un des artisans : ouverture sociale et prise en compte des
nouvelles aspirations du consommateur. Patron de gauche mais redoutable
champion de la galaxie Lazard, habile manipulateur mais sincère adepte
du dialogue syndical, Antoine Riboud est l'homme qui dérange.

Antoine Riboud naît le 24 décembre 1918 dans une famille de la bonne
bourgeoisie lyonnaise. Son grand-père avait été l'un des fondateurs de
la Lyonnaise de Banque, l'un des piliers de l'économie locale. Son père
lui avait succédé à la tête de l'établissement. De santé fragile _ « Cet
enfant aura du mal à vivre ", affirment les médecins _, un moment
affecté de problèmes de croissance puis d'une grave pleurésie, le futur
créateur du groupe BSN suit une scolarité médiocre, d'abord à Lyon puis à
Fribourg, en Suisse, chez les pères maristes. Son père l'en retirera
prématurément devant ses mauvais résultats. Antoine Riboud se souviendra
toujours de l'entretien dans l'imposant bureau de la Lyonnaise de
Banque où, « timide et dans ses petits souliers », il écoute son père
décider de son avenir : « Tu ne présenteras pas ton bac ; tu n'auras
donc pas à subir cet échec. Tu termineras ton année scolaire en suivant
des cours particuliers à la maison. » A défaut d'avoir celle des études,
du moins le « dernier de la classe », comme il se surnommera plus tard,
a-t-il la bosse du commerce. Dans le jardin de ses parents, où il fait
pousser quelques légumes, il se distingue en revendant fort cher, à la
cuisinière de son grand-père, les radis qu'il a cultivés. « C'est parce
que je les ai triés soigneusement et lavés longuement », réplique-t-il à
son grand-père qui lui tient une leçon de morale sur l'enrichissement
personnel. Le commercial restera toujours l'une des « bottes secrètes »
d'Antoine Riboud.

A la veille de la Seconde Guerre mondiale, il « monte » à Paris pour suivre les cours de l'Ecole de commerce pendant
que son frère Jean est à Sciences po. Recalé d'un point, il s'enhardit à
demander audience au directeur. « Accordez-moi le point ou vous
briserez ma carrière », ose le jeune étudiant. Estomaqué par tant
d'audace, le directeur lui accordera le point. Voilà donc le jeune
Riboud diplômé et en quête d'une vocation. Il n'aura guère le loisir de
trouver chaussure à son pied. En septembre 1939, la guerre éclate.
Mobilisé, il est incorporé dans un régiment d'artillerie coloniale de
Nîmes qui, en mai 1940, fait mouvement vers Saumur. Antoine Riboud, lui,
n'ira pas plus loin que Montauban : hospitalisé à la suite d'une
violente grippe intestinale, il doit rester alité pendant un mois.
Lorsqu'il sort de convalescence, c'est pour apprendre que la guerre est
terminée et que la France est vaincue. Voilà le jeune homme en panne de
projet. Après un passage dans les Chantiers de jeunesse et une brève
formation à la célèbre Ecole des cadres d'Uriage, il entre, en 1942, à
la verrerie Souchon-Neuvesel que dirige l'un de ses oncles. Il ne
quittera plus l'entreprise..
.Achetée en 1864 par Jean-Baptiste Neuvesel, descendant lui-même d'une très ancienne famille de verriers
originaire de la région d'Evian, la verrerie Souchon-Neuvesel était
devenue, sous l'impulsion du mari de sa petite-fille, Eugène Souchon,
une entreprise prospère, attirant dans son orbite une dizaine de
verreries régionales et prenant une participation dans les Eaux
Minérales d'Evian. A la mort d'Eugène, en 1931, sa veuve, Marie Souchon,
avait confié la direction de l'entreprise à son neveu, Lucien Frachon,
le frère de la mère d'Antoine Riboud. A sa mort en 1941, la direction
des verreries Souchon-Neuvesel échoit à un autre de ses oncles : Georges
Roque. C'est lui qui, en octobre 1942, prend l'initiative d'embaucher
un Antoine Riboud un peu perdu. « Je vous envoie mon neveu, écrit-il au
responsable de la verrerie. Il ne sait rien faire, débrouillez-vous pour
le faire travailler »... Après quelques menus travaux, on confie au
jeune homme la responsabilité du fichier manuel des entrées de matières
premières et des sorties de produits finis...

Efficace, curieux, jamais à court d'idées, Antoine Riboud prend rapidement du
galon. En 1943, il est envoyé à la verrerie de Queylar, à Marseille. Sa
mission : trouver les raisons pour lesquelles cet établissement perd de
l'argent. Antoine Riboud trouvera vite : direction négligente, salaires
trop importants, absentéisme... Au prix d'un conflit social, il parvient
à faire accepter les sacrifices qui s'imposent. Un bel exploit,
assurément, pour un ancien cancre ! Impressionné, son oncle le fait
alors « monter » au siège de la société, rue de la Bourse à Lyon. A
vingt-cinq ans, le voilà responsable des réclamations des grands
clients. Bouteilles cassées, retards de livraison, problèmes de
fabrication, erreurs de facturation, litiges commerciaux... De cet
observatoire privilégié, il découvre les multiples facettes du métier de
verrier, dont il maîtrise bientôt tous les rouages. Ses fonctions lui
permettent également d'affirmer sa fibre de patron social. Homme au
contact facile, Antoine Riboud aime faire la tournée des ateliers et
saluer les ouvriers, dont il connaît un grand nombre par leur nom. Cela
lui vaudra plus tard la réputation de « patron de gauche ». Cette même
année 1943, il épouse Lucette Hugonnard Roche, la fille d'un négociant
en fil textile de Lyon. Le couple aura quatre enfants. L'ancien « canard
» de la famille est désormais sur les rails.

Au lendemain de la guerre, fort de la confiance de son oncle Georges Roque, qui apprécie
décidément les qualités de ce neveu de vingt-sept ans,

Antoine Riboud s'envole pour les Etats-Unis. Direction Toledo, dans l'Etat de
l'Ohio, où se trouve la société Libbey-Owens, un fabricant de verre plat
dans lequel Souchon-Neuvesel possède une importante participation.
C'est que le jeune Riboud est persuadé que, devant les besoins immenses
liés à la reconstruction, l'avenir est au verre plat, notamment pour les
vitrages. La question resurgira plus tard. Pour l'heure, Antoine Riboud
profite de son périple outre-Atlantique pour visiter les principaux
fabricants de verre creux américains. Il y fait des rencontres et
parfait son éducation technique.

Son ascension dans l'entreprise ne se ralentit pas. En 1952, le voilà secrétaire général ; en 1962, vice
- président-directeur général de Souchon-Neuvesel. En 1965, il succède
enfin à son oncle à la présidence du groupe. De cette société qui ne
fabrique alors que du verre creux, bouteilles, pots industriels, flacons
en verre et gobelets, il va faire, en quelques années, un groupe
verrier de première envergure avant d'opérer un grand virage stratégique
et de le hisser parmi les tout premiers acteurs mondiaux de
l'alimentation.

Son premier objectif est le verre plat. La fin de la guerre avait déjà excité son intérêt pour ce marché. Dans les années
60, l'intérêt est devenu urgence. Le déclin de la consignation,
conséquence directe de l'essor de la grande distribution, la concurrence
des nouveaux matériaux comme le plastique, le carton ou le métal, ont
tôt fait de convaincre le nouveau chef d'entreprise qu'il faut
diversifier les activités de son groupe. A l'heure du développement de
l'automobile et du bâtiment, le verre plat lui semble le marché le plus
prometteur. En 1965, à peine installé dans son fauteuil de président, il
fusionne Souchon-Neuvesel avec la société des glaces de Boussois,
troisième producteur de verre plat en Europe. Les deux sociétés se
connaissent et ont des administrateurs croisés. Les actionnaires de
Boussois, et notamment le principal d'entre eux, la famille Janssen, est
vendeuse. L'opération s'annonce donc sous les meilleurs auspices, si ce
n'est que les Belges contestent les parités de fusion proposées. Entre
le « gros » Boussois, coté à Paris et le « petit » Souchon, coté à Lyon,
c'est au petit de plier, disent-ils en substance. Antoine Riboud aura
recours à une astuce pour emporter le morceau. Le matin des
négociations, il jette sur la table, devant ses partenaires sidérés, un
exemplaire de « France-Soir ». « Vous prétendez que Souchon n'est pas
connu. Et moi je peux vous prouver que, ce soir, ma concierge connaîtra
le nom de Souchon et continuera d'ignorer celui de Boussois »,
s'exclame-t-il. En première page du quotidien, une manchette : « Affaire
Ben Barka ! L'inspecteur Souchon arrêté ! ». L'actionnaire belge a le
sens de l'humour. Il donne son aval à l'opération... Un an plus tard, en
1967, la nouvelle société prend le nom de BSN.

Mais c'est surtout l'OPA manquée sur Saint-Gobain, à la fin de l'année 1968, qui
met le groupe et son dirigeant sous les feux de la rampe. Le 21 décembre
1968, tout à son idée de créer un groupe de dimension internationale
dans le domaine du verre plat, la jeune BSN lance une OPA sur le groupe
Saint-Gobain, l'un des géants de l'industrie française, mais aussi l'une
des plus vieilles entreprises du pays. Le coup est audacieux. Pour ses
cinquante ans, Antoine Riboud s'offre l'une des toutes premières OPA en
France. « La bataille du verre », comme on la surnommera, fera la une
des journaux pendant tout le mois de janvier 1969 et déchaînera les
commentaires acerbes de l'establishment. « Imaginez un jeune aventurier
bousculant une vieille dame très digne dans un salon Louis XV », écrira
ainsi « Le Figaro », tandis que d'autres journaux n'hésiteront pas à
comparer « l'animateur populaire » Antoine Riboud à « l'aristocrate »
Arnaud de Vogüé, président de Saint-Gobain. Tout au long de la bataille,
les coups bas ne manqueront pas, certains articles allant jusqu'à
insinuer que BSN est, dans l'affaire, piloté par un groupe étranger. Des
inconnus vont même jusqu'à plastiquer l'appartement d'Antoine Riboud à
Paris et le siège de BSN boulevard Malesherbes !

L'opération, au total, échoue, Saint-Gobain ayant fait acheter une partie de ses actions
à prix fort par des sociétés amies afin d'empêcher son adversaire de
surenchérir. BSN n'en a pas moins gagné dans l'affaire une notoriété
exceptionnelle, et son patron une réputation d'entrepreneur atypique, un
peu corsaire et ne reculant devant rien pour bâtir son groupe.
Poursuivant son chemin, il édifie, seul, à coups d'acquisitions et de
fusions, un ensemble européen dans le verre plat. En 1972, cette branche
d'activité génère un chiffre d'affaires de 3 milliards de francs et se
situe au deuxième rang européen. Elle sera cédée à la veille du second
choc pétrolier de 1979. Le groupe achève alors sa mutation vers un
métier nouveau : l'agroalimentaire...

Transformer un groupe essentiellement positionné sur le verre et s'adressant aux grands
comptes en un géant de l'alimentation tourné vers la grande
consommation, le pari est audacieux. Antoine Riboud le mènera à bien,
hissant BSN dans les tout premiers rangs de son secteur. Le virage a été
pris très tôt, dès 1969, lorsque le groupe prend coup sur coup le
contrôle d'Evian _ dans lequel il avait une participation depuis des
lustres _, de Kronenbourg et de la Société Européenne de Brasserie,
devenant ainsi le numéro un français de la bière, des eaux minérales et
des aliments pour bébé. Quelques années plus tard, en 1973, BSN fusionne
avec Gervais-Danone, premier producteur européen de produits laitiers
et deuxième producteur de pâtes alimentaires. La sortie du verre plat
lui permet d'aller plus loin sur cette voie. Dans les années 80, Antoine
Riboud lance BSN à l'assaut du monde et le dote de positions leaders
dans les pâtes et plats cuisinés, les produits laitiers frais, les eaux
minérales, les biscuits, mais aussi la confiserie et les sauces et
condiments. Cette stratégie menée tambour battant fait du patron de BSN
l'un des industriels les plus emblématiques des années 80. A l'heure de «
l'entreprise France ", il incarne le dynamisme, le sens de l'innovation
et l'audace sociale d'un certain capitalisme français. N'a-t-il pas, à
Marseille en 1972, lors d'une convention du CNPF, insisté sur le rôle de
l'entreprise dans le progrès social, appelant ses pairs à de plus
grandes responsabilités en la matière ? Dans le monde encore très feutré
des grands patrons, le créateur de BSN se distingue incontestablement
par son style.

L'aventure trouve son accomplissement au milieu des années 90. En juin 1994, Antoine Riboud a débaptisé son groupe pour
lui donner le nom de la plus connue de ses marques : Danone. L'année
suivante, septuagénaire cédant à la tentation dynastique, il passe le
flambeau au quatrième de ses enfants, son fils Franck. Ultime fierté
pour le cancre de la famille né au lendemain de la Première Guerre
mondiale. Ultime décision, contestée sur le moment, jugée pertinente
depuis lors.
15/12/2017 - 14:37
Alaska .......... impressionnantes  spulpture sur glace


15/12/2017 - 11:58

                                             ÇA C'EST PASSÉ UN 15  DÉCEMBRE        


1675
Décès du peintre flamand Jan Vermeer (né en 1632)
Jan Vermeer est ce peintre néerlandais, peut-être le plus grand, qui
excellait dans l'art de peindre des scènes d'intérieurs confortables,
composées avec une précision mathématique et baignées d'une lumière
argentée, douce.
À quelques exceptions près, dont certains paysages, scènes de rues et portraits, la production de Vermeer consistait en des
intérieurs domestiques ensoleillés, dans chacun desquels on voit un ou
deux personnages en train de lire, écrire, jouer d'un instrument de
musique ou occupés à une tâche domestique. Il gagna modestement sa vie,
plus grâce au négoce d'œuvres d'art qu'en tant que peintre. Seules 35
des toiles de Vermeer ont survécu et aucune ne semble avoir été vendue.
Leur petit nombre s'explique par des habitudes d'un travail délibérément
méthodique de la part de Vermeer, ainsi que par son décès relativement
précoce
**********
1809
Napoléon divorce d'avec Joséphine pour raison d'État
L'empereur Napoléon Ier divorce de Joséphine, épousée 13 ans plus tôt, pour raison
d'État. Le 2 avril 1810, il épousera, à 40 ans, Marie-Louise, 18 ans,
fille de l'empereur d'Autriche François Ier et petite-nièce de la reine
Marie-Antoinette. Napoléon Ier voit dans ce remariage une ardente
nécessité: obtenir l'héritier que Joséphine, la première impératrice, ne
lui a pas donné et unir sa dynastie naissante aux familles régnantes
d'Europe
***********
1832
Naissance de Gustave Eiffel

Né en 1832 à Dijon, Gustave Eiffel sort de l'École Centrale des Arts et
Manufactures en 1855, où il obtient un diplôme d'ingénieur chimiste. Le
jeune entrepreneur se spécialise dans la construction métallique. Il
s'installe à son compte en 1864 comme "constructeur", c'est-à-dire comme
entrepreneur spécialisé dans les charpentes métalliques. L'entreprise
emporte alors plusieurs grandes commandes d'édification de viaducs et de
bâtiments à structure ou charpentes métalliques.




Mais, il est surtout connu pour la Tour Eiffel, construite en 1887-1889 pour l'Exposition universelle de 1889 à Paris.
Ville dont elle est devenue le symbole.
**********
1944
Décès de Glenn Miller, chef d'orchestre
Glenn Miller avait révolutionné le jazz en lui apportant un nouveau son, le swing.

Orchestre du temps de guerre

Alors que son orchestre est au sommet de sa popularité, Glenn Miller s'enrôle dans l'aviation.
Il y formera à l'intention des troupes le plus fameux orchestre du temps de guerre.
Alors qu'il se rendait à Paris, Glenn Miller aurait été victime de "tirs
amis". En effet, des bombardiers Lancaster rentrant d'une mission
avortée en Allemagne nazie auraient largué leurs bombes au-dessus de la
Manche, pulvérisant l'avion de Miller qui se trouvait en contrebas.

Moonlight Serenade, In the Mood, Tuxedo Junction, Chattanooga Choo Choo, Don't
Sit Under the Apple Tree, I've Got a Gal in Kalamazoo : autant de titres
qui atteignent les premières places du Hit Parade et qui font danser
l'Amérique entière.
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14/12/2017 - 20:52
                              LE  SAVIEZ  VOUS?
« En 1858 la nature fut avare. La grande
sécheresse priva les Vosges du Nord de fruits et le sapin de Noël n'eut
donc parure qui vaille. Un souffleur de verre de Goetzenbruck tenta de
compenser cette injustice en soufflant quelques boules en verre. Il
déclencha à lui seul une tradition qui traversa les cultures ».

Au-delà de la légende, se profile une aventure industrielle hors du commun qui
prend sa source dans une vallée des Vosges du Nord...

Connue pour la production de verre optique, la verrerie de Goetzenbruck,
village voisin de Meisenthal (en activité de 1721 à 2005), produisit
également des boules décoratives réfléchissantes à partir de 1858
(jusqu'à 250 000 par an). En 1964, la verrerie mettait un terme à leur
fabrication, les plongeant par la même dans l'oubli...

En 1998, le Centre International d'Art Verrier (CIAV) organise des rencontres
autour des techniques de soufflage et d'argenture des boules de Noël de
Goetzenbruck. Les derniers verriers témoins de cette aventure
industrielle transmettent aux jeunes verriers les secrets du soufflage
de ces boules de Noël. Héritier depuis lors de ce savoir-faire sauvé de
l'extinction, le CIAV confronte ces gestes ancestraux à des
questionnements contemporains et lance en 1999, une ligne éditoriale «
boules de Noël ». Aux modèles traditionnels réédités s'ajoutent année
après année des boules contemporaines conçues par des créateurs invités à
revisiter la tradition. A ce jour une vingtaine de modèles existent
dans les 2 collections : la ligne traditionnelle compte des objets
directement inspirés de modèles anciens et la ligne contemporaine
imaginée par des designers et artistes contemporains.
14/12/2017 - 19:17
12 destinations originales où passer Noël .



Lumières du tram à Budapest

Cette année, vous vous verriez bien passer des fêtes qui changent un peu ? Vous vous demandez où passer Noël ? Voici notre
sélection de 12 destinations pour un Noël vraiment différent !

Tromsø, Norvège



Chassez les aurores boréales depuis Tromsø !Vous rêvez d’un Noël blanc ? Le Cercle Arctique pourrait bien être la destination idéale pour les fêtes de fin d’année.
La petite ville insulaire de Tromsø, bien que totalement engloutie dans l’obscurité durant l’hiver, revient à la vie au mois de décembre.
Laissez-vous envoûter par les odeurs de clémentines, de branches de sapin et de pain d’épices, tandis que la sublime Cathédrale Arctique résonne des chants de Noël traditionnels.
Faites comme les habitants qui se retrouvent aux différents marchés de Noël, où les tentations sont si grandes qu’il est difficile de ne pas y céder. On vous conseille le traditionnel ingefærnøtter, une sorte de boule de pain d’épices, que l’on accompagne d’un verre de camarine bien chaud, cette baie des régions du Nord.
L’un des grands avantages à être dans l’obscurité la plus complète est que l’on aperçoit plus facilement des aurores boréales. La meilleure période d’observation se situe entre 18h et minuit.
Profitez de la neige abondante en attendant: partez pour une balade en traîneau à chien , ou en ski de fond , ou livrez-vous tout simplement à une bonne bataille de boules de neige.

Küssnacht, Suisse



Les lanternes de Klausjagen

Aux quatre coins du monde, le Père Noël est accueilli à bras ouverts dans les cœurs et les chaumières. Sauf dans le petit village de
Küssnacht, au nord du lac de Lucerne, où quelques 20000 personnes se réunissent chaque année autour du 5 décembre pour chasser le généreux barbu. La cérémonie s’appelle le « Klausjagen », aka « Chasse au Nicolas », et est la célébration de Noël la plus étrange de toute l’Europe.
Il s’agit d’une tradition païenne trouvant ses origines au Moyen-Âge, et durant laquelle les communautés tentent de faire fuir les esprits à coup d’explosions insupportables. Cet événement était si mouvementé qu’il fut interdit dans les années 1700, et fut réintroduit un siècle plus tard dans un style néo Chrétien, avec le vieux Saint Nicolas en ligne de mire.
Le cortège est composé de 180 hommes sonnant du cor, 200 hommes coiffés de « iffeles », des mitres de carton ornés tels des vitraux et éclairés de l’intérieur. Enfin, 700 hommes ferment la marche, en agitant de grosses cloches afin de chasser St. Nicolas et ses 4 mauvais esprits en dehors de la ville.

Douz, Tunisie



Course de chameaux dans le désert

Connue pour avoir accueilli le tournage des Star Wars, Douz, au centre-est du pays, est souvent appelée la « Porte du Sahara ». Mais
pour les quatre derniers jours de décembre, les peuples arabes qui vivent là transforment cette zone déserte et stérile en un magnifique spectacle Bedouin.

Le Festival International du Sahara attire une foule monstre.
Des touristes du monde entier se joignent aux nomades venus des pays voisins pour assister aux tournois de hockey sur sable, aux spectacles de danses traditionnelles, aux foires artisanales, tout en profitant des
délicieux buffets.

À Douz, l’humble chameau est à la fois le roi et le meilleur ami de l’homme, et les quelques 50 000 visiteurs se régalent de voir ces
mammifères bossus prendre part aux rodéos et aux courses à travers le désert. Il n’y a pas de lumières de Noël par ici, mais cette fête
tunisienne annuelle est tout aussi festive et est certainement l’endroit idéal où passer Noël pour ceux qui veulent vraiment être dépaysés !
 
Castleton, Royaume-Uni



Castleton en Angleterre est un petit village joliment décoré pour Noël

Le mois qui précède Noël est parfois stressant, entre les courses de dernière minute, et tous ces plats qu’il faut préparer. Échappez pour untemps à toute cette frénésie en vous rendant à Castleton, un charmant petit village anglais dont le motto pourrait être « Carpe Diem ».
Les festivités démarrent lorsque s’allument les lumières de Noël.
Chaque boutique décore sa vitrine de couleurs lumineuses qui contribuent à l’atmosphère bienveillante et chaleureuse qui s’empare de la ville. Elles sont également ouvertes plus tard et participent à des animations de quartiers comme des jeux pour les petits et des ateliers d’artisanat.
Castleton met en valeur son patrimoine naturel durant la période de Noël.
L’une des 4 grottes de la région, la Peak Cavern, rassemble chorale et lumignons depuis des décennies. Des fanfares animent le lieu où l’on vous accueille avec vin chaud et petits pâtés.
Décidément, on se laisse très facilement entraîner par la quiétude de cepetit village !

Kyoto, Japon



La bambouseraie d’Arashiyama

Kyoto est le centre même du bouddhisme japonais.
Ainsi, comme vous pouvez l’imaginer, ce n’est pas vraiment le premier endroit où passer Noël auquel on pense et la fête sera certainement un peu différente par ici. Sans aucun lien religieux avec la fête de Noël, les locaux célèbrent la saison avec d’abondantes décorations scintillantes, et baignent dans une ambiance romantique. Les couples se mettent sur leur 31 pour sortir dans les restaurants les plus chics de la ville, les bars et les « love hotels ».
Une fois que vous aurez goûté à cette tendresse qui inonde la ville, assistez à la cérémonie de « O-minugui Shiki » (Cérémonie de nettoyage) au temple Chion-in, un hommage musical spectaculaire à la naissance du Bouddhisme. Finissez la journée en partant à l’ouest de la ville, en direction de la montagne Arashiyama, où marcher à travers ces vastes étendues de bambous est comme traverser un autre monde – un endroit tout à fait magique où passer Noël !

Provence, France



Le santon, la décoration traditionnelle d’un Noël en Provence

Si vous voulez plutôt rester en France, nous avons aussi ce qu’il vous faut. Entre sa gastronomie, ses crèches et ses décorations
féeriques, la Provence est une destination parfaite pour Noël.
Avec des températures bien moins fraîches que dans le reste de l’Hexagone, Noël revêt ici des allures particulières. Les villes
scintillent de mille feux tandis que les boutiques prennent plaisir à décorer leur vitrines pour l’occasion. Il y a bien sûr les célèbres
foires aux santons qui rassemblent des milliers de personnes venues là pour chercher de quoi décorer leur crèche.
Et vous, pour quelle figurine allez-vous craquer cette année, un boulanger, un curé, un pêcheur, un chanteur ou bien un boucher ?
Le repas de Noël est lui aussi particulier dans cette partie du pays, puisqu’on y sert traditionnellement sept plats maigres, qui symbolisentles souffrances de Marie, accompagnés de 13 petits pains, suivis de 13 desserts qui représentent la Cène, avec Jésus et ses 12 apôtres.

Honolulu, Hawaï



‘Mele Kallkimaka’, ou Joyeux Noël!

Si vous cherchez un paradis où passer Noël, quel endroit pourrait être mieux qu’Honolulu à Hawaï ? L’état le plus ensoleillé des USA
célèbre les traditionnelles fêtes de Noël depuis le 19ème siècle, avec une touche particulière hawaïenne. Aujourd’hui, les locaux de la
capitale les célèbrent avec faste, partageant la joie de Noël au cours d’une longue fête qui dure tout le mois de décembre, avec des feux d’artifices, des parades, et des chants de Noël accompagnés de ukulélé.
C’est probablement la seule place dans le monde où le Père Noël est si détendu qu’il se rend au « luau » vêtu d’un sarong rouge, d’une paire de tongs et (vous l’aurez deviné) d’une chemise hawaïenne, porté par un
canoë tiré par des dauphins…
 
Tallinn, Estonie



Le marché de Noël de Tallinn: charmant et convivial

Avec ses vieilles églises, son architecture baroque, ses toits colorés et ses ruelles pavées, le vieux centre de Tallinn semble tout
droit sortir d’un conte de fées. Le tout est si bien préservé que l’on a l’impression d’être en plein coeur de l’époque médiévale. Malgré les températures glaciales, Tallinn brille de mille éclats durant la saison de Yuletide.
La légende raconte que c’est à Tallinn qu’aurait été dressé le tout premier sapin d’Europe, en 1441, sur la place de la Mairie, par la
confrérie des Têtes Noires, une association de marchands célibataires qui chantaient et dansaient ensuite autour de l’arbre. Tout Noël se concentre aujourd’hui encore autour du sapin, où s’installe d’ailleurs un superbe marché de Noël. Sur ses étals, on trouve de tout: chapeaux delaine, décorations, et bougies parfumées produits par des artisans locaux.
Entre deux sessions de shopping, attablez-vous à l’une des échoppes du marché où l’on sert choucroute et vin chaud délicieux.

Livingstone, Zambie



Arc-en-ciel sur les Chutes Victoria

Ville principalement chrétienne, Livingstone est toujours joyeuse pendant le mois de décembre, avec des locaux accueillant les invités à bras ouverts pour chanter un cantique de Noël, assister au spectacle vivant de la crèche ou participer à la quête.
Mais le meilleur cadeau de Noël dont l’on puisse rêver est une excursion à l’extérieur de la ville au Mosi-oa-Tunya National Park,
classée au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. Elle abrite une réserve naturelle, une forêt tropicale, ainsi que les terrifiantes chutes
Victoria, aussi connues sous le nom de « La fumée qui gronde », et qui relient la Zambie à son voisin du sud, le Zimbabwe.
Les locaux sont très fiers de ce site national et la Zambie attirant assez peu de touristes, il vous sera possible de profiter de cette forêt
tropicale dans le calme. N’oubliez pas votre appareil photo.
Les Chutes Victoria sont parmi les plus rares (et les plus romantiques) endroits où l’on peut observer un arc-en-ciel lunaire, et le dégradé de couleurs qu’offre celui-ci vaut largement une photo.

Budapest, Hongrie



Tramway lumineux à Budapest

Vous cherchez une destination de dernière minute et pas chère où partir à Noël? Alors la charmante capitale hongroise est l’endroit qu’ilvous faut ! Tout d’abord il y a l’incontournable marché de Noël à Vörösmarty Square. Réputé pour être le marché festif le moins cher de toute l’Europe, les traditionnels bibelots à touristes sont remplacés par des objets hongrois faits main, l’idéal pour les cadeaux de dernière minute.
Si les températures glaciales du mois de décembre vous frigorifient, allez vite vous réchauffer dans les plus grands termes de Budapest, le Széchenyi.
Ensuite, découvrez les trams féeriques ! Pendant tout le mois de décembre, trois lignes de trams sont en effet décorées avec des
lumières de Noël. Regarder à travers les vitres de ces traîneaux futuristes est un bon moyen d’admirer la trop peu connue ville de
Budapest, rayonnante à la tombée de la nuit.

Sydney, Australie



Passez les fêtes avec les « Soeurs Noël » !

Durant les fêtes, Sydney est réputée pour organiser toute une série d’évènements qui devraient faire la joie des adeptes de Noël.
Les chorales traditionnelles annoncent la saison sur Pitt Street Mall, tandis que le Very Merry Christmas Rock Markett propose tout un tas de choses allant des cadeaux faits main aux spécialités locales.
Si vous aimez les chants de Noël, assistez au plus grand concert gratuit d’Australie, woolworths Carols in the Domain , qui se déroule près du Royal Botanic Garden.
Mais en Australie, Noël est tout sauf synonyme de froid et de chocolat chaud. Par contre, il y a des gambas qui grillent au barbecue
sous le soleil brûlant de l’été.
Si vous n’aimez pas la neige, c’est donc la destination idéale où passer Noël pour vous ! Rendez-vous à Bondi Beach, la plage la plus animée d’Australie est en effet l’endroit idéal pour surfer et fêter Noël à la mode australienne.
 
Nassau, Bahamas



Vibrez au rythme du Junkanoo !

Si vous voulez échapper à la dépression post-Noël, profiter d’un soleil éclatant, et admirer des costumes colorés au rythme du Goombay, alors précipitez-vous au Junkanoo de Nassau ! Se déroulant le 26 décembre, puis ensuite pour le jour de l’An, il s’agit du plus vieux festival de toutes les Caraïbes. Il rivalise même avec le Mardi Gras de la Nouvelle-Orléans et le carnaval de Rio, notamment grâce à ses costumes scintillants décorés de bijoux.
Entre toutes ces festivités, le mois de décembre est également parfait pour tous ceux qui souhaitent relâcher la pression et se
détendre sur la plage de Cable Beach par exemple, ou bien encore explorer les fonds marins lors de plongées exceptionnelles.
14/12/2017 - 18:54
Novak Djokovic .............  le tennisman généreux.



 Ayant gagné « assez d'argent pour pouvoir nourrir toute la Serbie », Novak Djokovic va ouvrir un restaurant gratuit pour les sans-abris ...                
                                                    

Avec 12 tournois du Grand Chelem à son actif, le serbe Novak Djokovic est considéré à juste titre comme l'un des meilleurs tennismen de l'histoire. Mais au-delà de ses performances sportives remarquables, il est un autre terrain sur lequel il sait se distinguer : sa tendance à utiliser la fortune qu'il a amassée au fil de ses victoires — estimée à près de 185 millions d’euros — pour soutenir les personnes qui sont dans le besoin.

 Il a récemment décidé d'ouvrir un restaurant à Belgrade, avec une petite particularité intéressante : il servira
gratuitement les sans-abri et les précaires. Ces derniers peuvent donc entrer librement et se voir offrir l'addition, en se mêlant aux autres clients «payants». Pour lui, il ne s'agit que d'un juste retour, afin de «redonner à la Serbie ce que la Serbie lui a donné.»

                           « J'ai gagné assez d'argent pour nourrir toute la Serbie » :
 
Cette philanthropie du tennisman pour son pays est loin d'être une première. Ayant été contraint de fuir avec sa famille
les 80 jours de bombardement de Belgrade par les forces de l'OTAN lorsqu'il était enfant, Novak Djokovic a juré de s'investir pour aider la Serbie et le peuple serbe à faire face aux coups durs.
Il a donc fondé la Novak Djokovic Foundation, une organisation caritative qui a pour but de soutenir les indigents dans son pays, notamment au travers d'efforts pour l'éducation des enfants défavorisés.                      
 

« L’argent n’est pas un problème pour moi. J’ai gagné assez d’argent pour pouvoir nourrir toute la Serbie, » a déclaré le sportif lors de l'annonce de l'ouverture de son restaurant.  « Je pense que la Serbie le mérite, après tout le soutien qu’elle m’a apporté. »
 
 Il s'agira du troisième restaurant ouvert par l'athlète serbe, par ailleurs féru de gastronomie et fils de restaurateurs. Dans ce nouvel établissement, des repas sains, équilibréset goûteux seront servis à une clientèle variée, puisque ses portes
seront ouvertes à toutes les bourses. Outre le fait de permettre l'intégration sociale et une certaine mixité des classes sociales dans un seul espace, Djokovic voit également dans son projet un moyen de fournir une alimentation saine et de qualité à ceux qui en ont le plus besoin :                                                                
 

« L’alimentation est le combustible auquel j’attribue toute ma réussite. De toutes les choses que j’ai expérimentées dans ma vie de sportif, une alimentation saine est ce qui m’a le plus changé. »
                            
  Une belle preuve d'amour pour la Serbie :                                                                        
                                                              
Même s'il réside aujourd'hui à Monaco, Novak Djokovic n'a pas oublié son pays pour autant et œuvre régulièrement pour appuyer financièrement l'état des Balkans et ses habitants les moins fortunés. En mai 2014, il avait par exemple fait don de tous ses gains remportés lors de sa victoire au Masters de Rome aux sinistrés de son pays, victimes d'inondations sans précédent.