De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/09/2017 - 10:33

                                           

ÇA  C'EST  PASSÉ UN  18  SEPTEMBRE

de son vrai nom Greta Lovisa Gustafson, naquit le 18 septembre 1905 à Stockholm, en Suède.
Son signe astrologique fut le vierge et sa grande fut 1m71.
Elle eut une soeur et un frère et vécut au sein d'une famille pauvre.
De 1922 à 1924, elle étudia au Dramaten, l'Académie royale d'art dramatique de Stockholm.
À l'acquisition de son diplôme, elle fut remarquée par Mauritz Stiller,
un grand réalisateur, qui dévoila les techniques cinématographie et lui
confia le rôle principale dans «La saga de Gösta Berling».
Ce fut ce même réalisateur qui lui suggéra son nom de scène Garbo car il signifiait en espagnol la classe et l'élégance.
Elle arriva à Hollywood, où Arnold Genthe, un photographe de Vanity Faire,
modifia son apparence; perte de poids, nouvelle coiffure et épilation
des sourcils.
Grâce à plusieurs grands films, elle devint rapidement l'actrice la mieux payée d'Amérique, et lui valut également le surnom
«la divine».
Elle y aurait eut une liaison probable avec John Gilbert, l'un des acteurs les plus en vague de l'époque, qui alimentait
les journaux à potins, qui voulut même qu'un mariage aurait dû être lieu
mais que Greta, ayant changé d'idée, l'aurait abandonné devant l'autel.
En 1930, «Anna Christie» accrut considérablement l'admiration du public
grâce à sa belle voix si sensuelle. D'ailleurs, ce film fut promu par le
slagan «Garbo Parle». Cependant, Greta Garbo n'était pas satisfaite de
sa propre performance.
Greta, lassée de la célébrité, se forgea une nouvelle image d'elle-même. Elle vivait de plus en plus en recluse,
s'éloignait des caméras, accordait rarement les entrevues, n'envoya que
de très petites photos aux admirateurs et évita les séances
photographique extérieurs.
Elle avait même modifié sa garde-robe au profit de tenue plus noble mais glamour avec velours, lignes
hiératiques, avec des propartions qui sortaient de l'orginaires.
Tout au long de sa carrière, elle insistait pour que les tournages soient
privés, c'est à dire dans des studios fermés et réfusant l'accès aux
visiteurs.
Lorsqu'elle n'aimait pas les scènes qu'elle jouait, elle menaçait régulièremen de retourner chez elle, menace qui s'exhaussait à
tout les coups.
La même année, elle s'absenta des écrans en raison d'une dispute avec la MGM, mais cela tourna à son avantage car dès son
retourn, elle pouvait exiger tout ce qu'elle voulait, à commençer par
remplacer Laurence Olivier par John Gilbert pour «La reine Christine»
(1933).
En 1935, elle déclina l'offre de David O.Selznick d'interprer l'héritière mouran te dans «Dark Victory» au profit du remake «Anna
Karénine».
En 1937, Greta Garbo fut satisfaite de son travail pour la seule et unique fois, grâce au film «Le roman de Marguerite Gautier».
En 1939, la comédie «Ninotchka» fut promu au solagan «Garbo rit» en raison d'une scène au bistot où elle éclata de rire.
Elle avait une personnalité très secrète et peu sociale, évitant autan que
possible la publicité de toute sorte et, furant tout contacte avec les
admirateurs et elle avait déclaré «Je n'ai jamais dit que je voulais
être seule, j'ai juste dit que je voulais qu'on me laisse tranquille».
Malgré plusieurs laison, notamment avec John Gilbert, Mimi Pollak et Mercedes
de Acosta, elle était refermée sur elle-même et sujette à la dépression.
De plus, elle se désintéressa de plus en plus de la sexualité avec
l'âge
Elle eut plusieurs demande en mariage, dont trois de John Gilbert, mais elle
refusa en déclara «Je sera probablement célibataire toute ma vie, le
mot «épouse» est si laid».
Selon wikipedia, elle aurait eut des liaisons avec Claudette Colbert, Joan Crawford, Leopold Stokowski,
Louise Brooks, Marlène Dietrich, Ona Munson et Salka Vietel.
En 1941, elle en raison d'un échec cinématographie «La femme aux deux visages», elle se retira définitivement du cinéma.
Elle était également une femme très économe,
Dans les années 1950, elle vivait dans un appartement newyorkais, et obtint la citoyenneté américaine en 1951.
Vers la fin de sa vie, elle souffrait d'une pneumonie et d'une insuffisance rénale terminale.
Elle décéda le 15 avril 1990 à New York, aux États-Unis.
Elle était âgée de 84 ans et ses cendres furent enterrées au cimetière Skogskyrkogarden, à Stockholm.

Anecdote : Son plat préféré fut des nouilles aux beurres qu'elle faisait elle-même
************
1970: Mort de Jimi Hendrix. Le légendaire guitariste-chanteur américain
d'origine cherokee s'éteint à Londres à 10 heures du matin. Selon la
version officielle, James Marshall Hendrix meurt "étouffé suite à une
intoxication par somnifères"... Ce gaucher autodidacte de la guitare
était devenu en quelques années à peine un mythe de la musique rock.
Figure de la lutte contre la guerre du Vietnam, il est resté célèbre
grâce à son interprétation de l'hymne américain lors du festival de
Woodstock en août 1969. A sa mort, il laisse à son père une fortune
colossale, 100 millions de dollars. Eric Clapton interrompt sa tournée
en Angleterre pour aller jouer à ses funérailles le 4 octobre à Seattle.
***********
2002: Stupeur! La cour d'appel de Paris décide de remettre en liberté Maurice
Papon, 92 ans, en raison de son état de santé jugé incompatible avec un
maintien en détention. Papon purgeait une peine de 10 ans (ainsi
ramenée à 3 ans) de réclusion pour sa responsabilité dans la déportation
de juifs pendant la seconde guerre mondiale. Inutile de lui demander si
l'état de santé des juifs était compatible avec leur déportation vers
les chambres à gaz! Inutile de chercher si d'autres détenus, aussi âgés,
voir plus encore, peuvent profiter de cette clémence.
**********
badinter

La France abolit la peine de mort, c'est en 1981.
Le 18 septembre 1981, à Paris, l'Assemblée nationale vote la loi
d'abolition de la peine de mort présentée par le garde des Sceaux,
Robert Badinter, 53 ans.

369 députés votent en sa faveur et 113 s'y opposent. Cette initiative met la France au diapason des autres pays
d'Europe occidentale. C'est la principale mesure qui reste des deux
septennats du président François Mitterrand.
Un long chemin

Dès la fin du XVIIIe siècle, la peine de mort fait l'objet d'une
contestation courageuse. Elle vient d'un jeune marquis italien,
admirateur de Montesquieu, Cesare Beccaria. Dans un opuscule publié sous
le manteau en 1764, Des délits et des peines, il écrit : «L'État n'a
pas le droit d'enlever la vie. La peine de mort est une survivance de
rigueurs antiques et un anachronisme dans une société policée. Elle
n'est pas seulement inutile parce que sa valeur d'exemple est nulle,
elle est aussi nuisible».

Sa protestation est relayée par Voltaire puis Robespierre (qui changera assez vite d'avis). Après la
chute de l'Empire, François Guizot relance le combat en faveur de
l'abolition et échoue de peu à faire voter une loi dans ce sens. Le
jeune poète Victor Hugo publie en 1829 Le Dernier Jour d'un Condamné (il
s'agit du récit des derniers moments d'un jeune condamné, par
lui-même).

Les pays nordiques sont les premiers à délaisser la peine de mort. La Finlande entame le mouvement dès 1826, suivie par la
Norvège en 1875, le Danemark en 1892, la Suède en 1910. Les Pays-Bas
l'abolissent en 1850. Née en 1830, la Belgique applique la peine de mort
avec réticence, le roi usant généralement de son droit de grâce. La
peine capitale est systématiquement commuée en détention à perpétuité à
partir de 1950 et officiellement abolie en 1996. La Suisse entame le
processus d'abolition en 1874. Plus surprenant, le Portugal l'abolit en
1867 et l'Italie en 1890 (Mussolini la rétablira brièvement). Parmi les
tard venus à l'abolition figure l'Allemagne (1949).
France : essais successifs

En France, après la vaine tentative de Guizot, le républicain Jules Simon
tente une nouvelle fois en 1870 de faire passer l'abolition.

Au tournant du siècle, les présidents de la République Émile Loubet
(1898-1906) et Armand Fallières (1906-1913) usent systématiquement de
leur droit de grâce, en résistant avec courage à la pression de
l'opinion publique. Le garde des sceaux Aristide Briand veut transformer
l'essai en faisant passer une simple loi : «La peine de mort est
abolie», mais l'opposition se déchaîne !

En 1939, le gouvernement interdit les exécutions publiques. Celles-ci auront désormais lieu dans
la cour des prisons. Mais dès lors, pendant l'Occupation, on ne
rechignera plus à exécuter des femmes, ce qui n'était plus arrivé depuis
1906... Et à la Libération, la peine de mort n'est plus limitée à des
crimes de sang mais étendue à des vols à main armée.

La guillotine revient en force pendant la guerre d'Algérie. Cela dit, on
compte ensuite de moins en moins d'exécutions et, en 1970, année sans
exécution, le sombre rituel paraît voué à tomber en désuétude. Mais
l'exécution de Buffet et de son complice Bontemps, le 28 avril 1972,
anéantit les espoirs des abolitionnistes, parmi lesquels maître
Badinter, avocat de Bontemps.

Le 10 mars 1976, une nouvelle condamnation envoie à l'échafaud Christian Ranucci, un jeune homme de 20
ans accusé du meurtre d'un enfant. Christian Ranucci se voit refuser sa
grâce par le président Valéry Giscard d'Estaing, dont l'esprit
d'ouverture se heurte à la pression croissante de la fraction
conservatrice de son camp. Du coup, le rival socialiste du président va
faire de ce thème de l'abolition le marqueur de sa campagne de 1981 et
même de son double septennat...
La peine de mort dans le monde (2010)

La peine de mort a été unanimement répudiée par les États européens et le
Canada ainsi que de nombreux États latino-américains et plusieurs États
d'Afrique subsaharienne et d'Océanie. La Russie ou encore l'Algérie ont
instauré un moratoire sur son application...

Au total, en 2009, 140 des 192 membres de l'ONU ont aboli ou suspendu la peine de mort.
Mais ces pays ne rassemblent que 40% de la population mondiale et
constituent la fraction la moins dynamique de la planète !

L'essentiel de l'Asie et les pays les plus peuplés du monde (Chine, Inde,
Indonésie, États-Unis, Pakistan, Japon, Bangladesh etc) continuent
d'appliquer la peine de mort sans guère d'état d'âme
***********

*Que s'est-il passé le 18 Septembre 1931 ?
Le 18 septembre 1931, un jeune Chinois de Shanghai embarque pour l'Europe.
Éduqué au collège des Jésuites dans la concession française de la ville, il a
appris le Français. Il peint. Il a été acteur, il a appris la
photogravure, il a travaillé dans les studios de cinéma de Shanghai.
Bref, c'est un artiste. Il a vingt-quatre ans et depuis quelques mois,
il rêve de partir pour Paris et y étudier les Beaux-Arts.
Il n'est pas le premier à nourrir ce rêve : pendant les années 20 et 30, des
milliers de jeunes Chinois se sont rendus en France. Entre 1923 et 1927,
des personnalités aussi connues aujourd'hui que Chou En-Lai, Deng Xiao
Ping ou l'écrivain Pa Kin ont séjourné à Paris. Mais comme le voyage
coûte cher et comme il craint que la ville lumière ne lui fasse perdre
la tête, notre jeune homme choisit sagement, une fois arrivé à
Marseille, de se rendre dans une ville francophone plus tranquille :
Bruxelles.
Il passe l'examen d'entrée à l'Académie Royale des Beaux-Arts et son talent lui vaut d'entrer directement dans la classe
supérieure. En trois ans, il accumule les prix de peinture, et aussi de
sculpture, à laquelle il commence seulement à s'intéresser. Secrétaire
et porte-parole des étudiants chinois, il fréquente régulièrement le
père Gosset, leur aumônier. Et le père Gosset, qui a l'esprit
particulièrement ouvert, s'intéresse à un autre artiste dont il suit les
productions depuis plusieurs années dans le quotidien catholique « Le
petit vingtième »L'artiste en question se nomme Georges Rémi. Il réalise
pour le quotidien une bande dessinée dont le héros est un jeune garçon
en pantalon de golf, qu'il a expédié successivement en Union Soviétique,
au Congo Belge, à Chicago et au Far-W est, et qui vient de traverser
l'Égypte et l'Arabie saoudite pour parvenir jusqu'en Inde. Prochaine
étape du jeune reporter, annoncée par l'auteur : Shanghai.

En apprenant cela, le père Gosset se dit : « Il ne faut pas que ce jeune
homme raconte n'importe quoi sur Shanghaï et la Chine. » Or, justement,
Georges Rémi, alias Hergé, est en train de se constituer une
documentation sur la Chine pour dessiner le prochain album des aventures
de... Tintin. Le père Gosset lui propose de rencontrer de jeunes
Chinois. Hergé accepte, et c'est ainsi qu'il fait la connaissance de
celui qui sera son ami pendant tout le reste de sa vie :
Tchang Tchong-Jen.

La collaboration de Tchang et d'Hergé éclate dans la première version du
Lotus Bleu. C'est un album très différent des précédents, car à partir
de la planche 10, il est composé à quatre mains : les textes en chinois
sont bien sûr de Tchang ; les décors, certains objets et surtout le
caractère cosmopolite de la ville de Shanghai sont dessinés par Hergé
sur les conseils de son nouvel ami et parfois aussi par le jeune artiste
chinois. L'album dénonce ainsi vigoureusement la mainmise des Japonais
sur Shanghaï dans les années 30.

L'amitié des deux hommes est tellement forte que Hergé transpose dans Le Lotus Bleu un incident très
important dans l'histoire de la Chine - le sabotage par des agents
japonais d'une ligne de chemin de fer - et va jusqu'à donner au jeune
Chinois à qui Tintin sauve la vie le nom de son nouvel ami.

Voilà, Tchang Tchong-Jen n'est plus seulement un jeune artiste, c'est un
personnage universel, qui sera le héros d'un autre album d'Hergé, sans
doute le plus beau, en tout cas celui qu'il considère comme le plus
personnel : Tintin au Tibet

 
18/09/2017 - 10:28
TROMBE MARINE EN FLORIDE...
 
Voici sans doute une des meilleures images jamais obtenues d'une trombe marine,une colonne ascendante d'air très humide se produisant au-dessus de l'eau.
Les trombes marines n'ont rien à envier à leurs homologues terrestres en termes de dangerosité, avec des vents dépassant les 200 km/h.
Certaines trombes marinesse forment même quand il n'y a pas d'orage, et certaines sont à peine visibles, ne laissant deviner leur présence que sous la forme d'un motif insolite à la surface de l'eau.
 Cette image a été prise début juillet 2013 près de Tampa, en Floride.
L'Atlantique au large des côtes de Floride est incontestablement l'une des zones les plus propices aux trombes marines, 
avec plusieurs centaines observées chaque année.

Certains auteurs pensent que ces trombes pourraient expliquer certaines disparitions mystérieuses dans le fameux triangle des Bermudes.
18/09/2017 - 05:21
Au Japon,

l’été est marqué par de nombreux festivals de feux d’artifices, les Hanabi Taikai.

Chaque année, c’est plus de 200 feux d’artifices qui sont tirés à
travers tout l’archipel, illuminant la nuit de couleurs féériques.

Le
photographe japonais Keisuke a eu l’occasion de photographier plusieurs évènements, documentant

la beauté des feux d’artifice au Japon dans de superbes images ! 















Images © Keisuke
17/09/2017 - 21:02
Bonsoir ,


j'appréciais beaucoup Denise Grey


Intéressant  cette histoire sur la façade ' fine ' de l'immeuble à Paris
17/09/2017 - 18:33
La façade la plus fine de Paris.
Parfois, quand on se promène à Paris, on découvre des curiosités qui nous font inventer des histoires. Et c’est aussi ce qui fait partie du charme de notre belle capitale. Par exemple, lorsque l’on balade dans le 18e arrondissement, on peut tomber nez à nez avec un immeuble qui semble avoir été coupé en deux ! Cette façade du 27 rue Francoeur attire notre regard tant elle est originale et l’on se prête volontiers à échafauder des théories multiples pour comprendre pourquoi une partie du bâtiment semble avoir été détruite.

Au croisement de la rue des Saules et de la rue Francoeur se trouve le petit théâtre Le Funambule. Cette petite maison rouge a un voisin quelque peu inattendu : un immeuble de 15m de haut très fin qui ne semble être composé que d’une façade. Ainsi, côté pile, on fait face à une belle bâtisse typiquement Haussmannienne avec ses moulures et ses petits balcons. Mais on découvre clairement qu’il manque quelques chose quand on la regarde de profil. Beaucoup de
bâtiments construits pendant les grands travaux du baron Haussmann au milieu du XIXe siècle ont subi les affres du temps. Jugés trop vieuxet/ou insalubres, certains ont été détruits mais leur jolie façade ont été gardées. La plupart ont même été classées aux monuments historiques.

Pour revenir à ce petit immeuble de la rue Francoeur, il ne semble pas avoir subi ce cas de figure. Il semblerait que le bâtiment attenant ait été détruit, laissant un vide et mettant au jour les pierres d’attente…
C’est amusant à regarder, mais on se demande si l’on aimerait vivre dans un immeuble si fin !


17/09/2017 - 17:59

Denise GREY : Denise Grey, née Jeanne
Verthuy le 17 septembre 1896 à Turin (Italie), décédée le 13 janvier
1996 à Paris (France),

,elle occupe sa première loge à l'âge de deux ans : ses parents, récemment débarqués à Paris avec leurs douze
enfants, sont concierges dans le quartier de l'Opéra. Nantie d'un seul
certificat d'études, elle est tour à tour apprentie, vendeuse dans une
parfumerie, puis mannequin.


Denise GREY fait ses premiers pas dans le monde du spectacle à l'âge de
dix-neuf ans. Elle est figurante aux Folies-Bergères. Elle se produit
ensuite dans des opérettes et des revues.


Denise GREY laisse l'image d'une femme pétillante et volubile, à l'aise sur
les planches comme à l'écran. Elle apparaît pour la première fois au
cinéma en 1913 dans Mademoiselle Etchiko d'André HUGON. Si elle joue
dans quelques films muets, elle consacre plutôt le début de sa carrière
aux planches. Actrice spécialisée dans le théâtre de boulevard, elle se
tourne naturellement vers des films du même genre à partir de 1935. Elle
apporte sa vitalité à La Dame de Vittel (1936, Roger Goupillières),
Trois artilleurs à l'Opéra (1938, André Chotin) ou On demande un ménage
(1945, Maurice Cam). Tous les personnages qu'elle interprète sont placés
sous le signe de la légèreté, du rire et de la pétulance. En 1946,
Claude AUTANT-LARA lui offre son unique rôle à contre-emploi. Elle
incarne la mère tyrannique du Diable au corps, adapté du roman de
Raymond RADIGUET avec Gérard PHILIPE. Entre les années 50 et la fin des
années 60, elle travaille pour Gilles GRANGIER, Marc ALLÉGRET, Henri
DECOIN, Henri VERNEUIL, Christian-Jaque. Son personnage le plus célèbre
reste Poupette, la grand-mère dynamique, complice et compréhensive de
Sophie MARCEAU dans La Boum et La Boum 2 (1980, 1982) de Claude
PINOTEAU. En 1990, elle tourne un dernier film, Tchin-tchin de Gene
SAKS. Elle met fin à sa carrière en 1991, après plus de soixante-dix ans
passés sur les planches et à l'écran.


En 1942, la Comédie Française engage Denise Grey. Elle y revient en 1957
comme pensionnaire. A la télévision, elle joue notamment dans Les Dames
de la côte de Nina Companeez (1979). Elle publia deux livres, en 1980 :
D'une loge à l'autre et en 1988 : 70 ans sur les planches.
Elle était la mère de Suzanne GREY près de laquelle elle est inhumée à Arradon (Morbihan)


                                                  
Devenir vieux


On s´accroche au passé
Comme un lierre à un mur
Et les miroirs gelés
Nous renvoient des blessures
Du temps passé trop vite
Qui rit de notre peau
On a le coeur qui s´effrite
Comme les pierres d´un château

On se tait de nos maux
Pour ne pas se souvenir
On pense à ce bateau
Qui nous fera partir
On oublie nos histoires
Pour ne pas en parler
Ca ennuie les enfants
Et ça nous fait pleurer

{Refrain:}
C´est comme une bougie
Qu´on oublierait d´éteindre
Qui brûlerait toute une vie
Pour que l´on puisse peindre
Sur les murs de nos yeux
Tout ce qu´on a appris
Le chagrin, la tendresse,
Les jours bleus, les jours gris,
C´est ça, devenir vieux aussi

On fume les heures qui restent
Dans un même fauteuil
Posé près d´une fenêtre
Ou dessous un tilleul
Et les heures goutte à goutte
Nous oublient peu à peu
Le nez dans notre soupe
Et les mots dans nos yeux

On est comme un vieux meuble
Qu´on cire de temps en temps
Une table ou un lit
Qu´on n´aime plus vraiment
Alors on s´habitue
A vivre doucement
A ne pas faire de bruit
A respirer seulement

{Au Refrain}

Et quand comme un oiseau
On sent l´heure du départ
Les ailes au ras du dos
On éteint son histoire
C´est pas que ça fait souffrir
Ca fait même pas pleurer
C´est pas dur de partir
Quand on ne veut plus rester

{Au Refrain}
C´est ça, devenir vieux aussi




17/09/2017 - 17:19
Une brasserie dans son jus à l'Odéon.
 

 
Les Éditeurs est une brasserie très bien située en plein cœur du quartier de l’Odéon. Son atmosphère cosy invite à l’écriture et à la lecture. Outre son cadre exceptionnel, les plats du chef Julien Deleury nous ont ravis. Une excellente adresse pour s’y poser le temps d’un déjeuner et plus si affinités…
 
Il est facile de se laisser aller dans une brasserie « passable » à Paris. Les vraies bonnes adresses sont plus rares. Les Éditeurs fait partie des incontournables du quartier de l’Odéon et on se régale le corps et l’esprit à chaque passage.
 
Ce qui attire en premier, c’est la longue et fine terrasse très bien placée de ce restaurant. Mais, l’intérieur vaut largement le détour.
Comme son nom l’indique, Les Éditeurs fait la part belle à la littérature. Les murs sont remplis de bibliothèques regorgeant de
livres, près de 5000 au total que l’on peut feuilleter pendant le café. Cette atmosphère nous enveloppe d’un charme intimiste. Dans ce quartier littéraire tout proche de Saint-Germain-Des-Prés, c’est ici que sont présentées de nombreuses publications. Avec ses gros clubs rouges, sa déco faite de bois nobles et ses lumières tamisées, on comprend facilement pourquoi le restaurant est un des chouchous.
 

 
Côté carte, pas de très grandes surprises, on est ici dans une brasserie classique, mais les plats sont très bien réalisés. Si le cheeseburger en a fait fondre plus d’un, on aime tout particulièrement l’œuf mollet aux girolles, la salade de chèvre chaud (ultra-tendre) ou encore le foie gras maison. Les produits sont frais et tout est fait sur place. On salue l’alliance de tradition et de modernité dans les assiettes.S’il vous reste de la place (les plats sont relativement copieux),les desserts valent le coup de cuillère, notamment les profiteroles au chocolat ou la brioche perdue. Le week-end, le brunch est complet et les viennoiseries à tomber !
 
Le temps d’un déjeuner, d’un dîner ou encore d’un café gourmand, on flâne avec plaisir dans ce temple des bons mots. On apporte un livre et on laisse le temps filer. Qui a dit que la vie citadine allait à 100 à l’heure ?
 
Les Éditeurs, 4 Carrefour de l’Odéon, 75 006 Paris. 

 

17/09/2017 - 17:11
Les meilleurs  restos portugais de Paris.

 
En ce moment, on peut dire que la cuisine portugaise a la cote ! Les pastéis de nata, petits flans tièdes enrobés de pâte feuilletée, sont devenus la petite douceur en vogue dans les rues de la capitale. Entre restos traditionnels et petites épiceries branchées, Paris recèle de bonnes adresses portugaises qui affichent très souvent complet. Voici donc notre sélection des meilleurs restos portugais de la ville !
 
1 – Le plus tradi : Restaurant Saudade
 
Si la déco de ce resto traditionnel de l’hypercentre parisien est un peu vieillotte, il n’en est rien de sa cuisine concoctée dans les règles de l’art par des portugais d’origine. Cette institution du genre, ouverte en 1979, est sans doute l’une des meilleures adresses de Paris. Plongé dans un décor particulièrement raffiné, tout en azulejos (carreaux de faïences typiques portugais), tableaux et miroirs au plafond, le Saudade(« nostalgie » en portugais) propose un large choix de spécialités locales : filet de porc mariné aux palourdes, cassoulet aux fruits de mer et brandade de morue déclinée sous toutes ses coutures. Comptez environ entre 18 et 46 euros pour un plat.
 

Infos pratiques : 
Restaurant Saudade – 34, rue des Bourdonnais, 75001    : La Caravelle des Saveurs
 
La Caravelle des Saveurs
lieu idéal pour une pause déjeuner entre collègues ou amis s’impose comme le nouveau repaire portugais du 10ème. On y vient aussi bien pour manger sur place que prendre à emporter. À travers ses différentes formules très bon marché (entre 9,5 et 11,9 euros), cette épicerie fine nous invite à découvrir de nombreuses spécialités portugaises, revisitées à la sauce parisienne : rissole de viande de bœuf, rissole de crevettes, empadas de poulet, beignet de morue, ainsi qu’un assortiment de sandwichs, tartines, soupes, tartes et snacks salés. En dessert, on ne peut passer à côté des trois déclinaisons de pastéis de nata (classique, à la crème d’amandes, au chocolat).
 

 
Infos pratiques :
La Caravelle des Saveurs – 12, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010
Métro : Strasbourg Saint-Denis (lignes 4, 8 et 9)
 
 
3 – Le plus populaire : Pedra Alta Bercy  

Dans l’antenne parisienne de cette grande chaîne de resto 100% portugaise, il ne faut pas avoir peur d’être dépaysé ! Ici, on mange « à la portugaise », c’est-à-dire version grand format ! Pour les petits joueurs que nous sommes, il faut savoir qu’il existe des demi-portions (mais même celles-ci restent démesurées). Cette cantine populaire, spécialisée dans les fruits de mer,  nous sert donc une cuisine authentique très bon marché, à déguster entre locaux dans le quartier d’affaires de Bercy. Victime de son succès, il vaut mieux s’y rendre le plus tôt possible, si l’on ne veut pas trop attendre.
 

 
Infos pratiques : 
Pedra Alta Bercy – 13, place Lachambeaudie, 75012
Métro : Dugommier (ligne 6) ou Cour Saint-Emilion (ligne 14)
 
 
4 – Le plus hype : Comme à Lisbonne Tasca  

À la fois épicerie, coffee shop et restaurant, ce spot branché, nichée en plein cœur du Marais, est le petit bébé de Victor Salveira. En ouvrant Comme à Lisbonne et en y ajoutant Tasca en 2013,ce portugais d’origine contribue à faire de la cuisine lisboète,le nouveau péché mignon des foodistas parisiens. Au menu : soupes chaudes ou froides, assortiment de salades, de conserves et de « toatas » (version portugaise des croque-monsieur) et pastéis de nata à tomber (à emporter aussi chez soi dans un joli écrin). Comptez une quinzaine d’euros pour y manger.
 

 
Infos pratiques : 
Comme à Lisbonne Tasca – 37, rue du Roi de Sicile, 75004
Métro : Saint-Paul (ligne 1) ou Hôtel de Ville (lignes 1 et 11)
 
 
5 – Le plus rétro : Nossa Churrasqueira  

Ici, on peut très certainement goûter au meilleur poulet grillé de la ville !
Installé dans le Quartier latin, Nossa Churrasqueira (« churrasqueira »faisant référence au barbecue au charbon de bois traditionnel
portugais) est le resto-rôtisserie privilégié des étudiants du coin.
Dans un cadre rétro et cosy, on y mange un demi-poulet frites ou bien une toasta, à des prix imbattables. À l’heure du déjeuner, profitez de leur formule déjeuner plutôt copieuse à 8 euros.
 

Infos pratiques :
Nossa Churrasqueira – 1, rue de l’École Polytechnique, 75005
Métro : Cardinal Lemoine (ligne 10)

 
 
17/09/2017 - 16:14
Les meilleurs bistrots de Paris.

 
Ambiance du paris 1900, bar en zinc, grand choix de plats traditionnels et bons vins vous attendent dans ces établissements.  Preuve de leur succès : ils sont pris d’assaut aux heures de pointe ! Pas forcement romantique mais tellement typique ! Paris est à vos pied en couple, seul ou entre potes.
 


Bistrot Victoires :excellente adresse pour un déjeuner ou un diner pas cher et délicieux, dans un cadre très agréable ! Bonne viande, salades copieuses, fromages affinés,desserts gourmands ! On devient vite un habitué du lieu ! La salle est agréable, avec ses grands miroirs et petits recoins. Les tables sont propices pour les couples, petits et grands groupes. Le service est efficace et rapide en toute sympathie. La carte des vins est sommaire, avec un petit panel qui plaira à tous les palais. En somme, une adresse
qu’il faut essayer sans aucun doute.
Les petits plus: le gros brunch du dimanche pour 15€, la réservation possible pour plus de 5 personnes.
Sans aucun doute, cet endroit saura vous séduire et vous faire revenir…
6 Rue La Vrillière 75001 Paris – Tel : 01 42 61 43 78




Le cochon à l’oreille : il y a des bistros qui n’ont que le cadre historique, d’autres qui n’ont qu’une bonne cuisine, d’autres qui sont trop chers. Le Cochon à l’Oreille réalise une jolie quadrature du cercle. Son cadre a été miraculeusement épargné des vagues de la modernité qui ont frappé les Halles, il sort directement de la Belle Epoque. Sa cuisine est une véritable cuisine de bistro canaille,
copieuse, savoureuse, et bon marché. Sa sélection de petits vins plutôt issus des rives de la Loire ou des coteaux du Languedoc et du Sud-Ouest surprend les palais.Il faut donc pousser sans hésitation la porte pour prendre le Cochon par l’Oreille. En patientant, on admirera des faïencesd’origine sur les murs illustrant les scènes de la vie des Halles aux abords des pavillons Baltard à l’époque des Halles.
15 Rue Montmartre 75001 Paris – Tel : 01 42 36 07 56
 


Au Petit Fer à Cheval :la rue Vieille du Temple est de celles qui ne désemplissent jamais,il en va de même pour cet établissement, et surtout pour sa terrasse, qui, à toute heure, se voit assaillie par les nombreux touristes de ce quartier tendance. Le décor chargé est typique des bistros parisiens avec une touche à la fois rétro et chaleureuse quant aux toilettes, ils valent le détour ! Outre une carte fournie de plats traditionnels, il est possible de manger simplement un sandwich ou de savourer un copieux petit-déjeuner. Une bonne adresse où emmener des visiteurs qui recherchent des endroits vraiment authentiques (même si l’on est loin durestaurant gastronomique).
30, Rue Vieille du Temple, 75004 Paris – 

 


Le verre à pied :un vrai bistro-tabac qui a traversé les deux guerres sans problème.De l’AOC Bohème authentique. Rien d’artificiel, les tables et les chaises, le carrelage et le poêle en fonte sont là depuis les années trente, sans doute. Le Verre à pied a ses habitués et son lot d’habitués : étudiants, jeunes, moins jeunes, ses fans, on y vient en famille avec les enfants boire un pot ou lire le journal. On a envie d’y boire et d’y rester des heures à écouter les clients discourir de philosophes et à admirer les toiles et photos qui parsèment les murs. C’était le bistro du dénommé Mounna, fameux écolo, et candidat récurrent à l’élection présidentielle.
118 Bis Rue Mouffetard 75005 Paris – 

 

Le bistrot du peintre :le Bistrot du Peintre, est un bar typique 1900 parisien à Bastille. Les verres trinquent autour du bar ou sur la grande terrasse. Le décor est superbe et unique, dans son jus, typique, sympathique. Même si la carte est originale, côté restaurant, c’est moyen… voire mauvais (accueil également moins sympathique qu’auparavant). A visiter quand même. Un bon plan pour siroter un Perrier au soleil.
116 Avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris –



La Pomponnette : vue de l’extérieur ce restaurant fait troquet cependant une fois passé le seuil, vous êtes dans une ambiance 1900, la magie opère et au bout de quelques instants vous ne seriez pas surpris de voir apparaitre les figures qui ont fait la réputation de Montmartre. Les plats sont copieux, l’ambiance sympa et le service comme dans un bistrot: décontracté. A déconseiller peut être pour un repas en amoureux parce que l’ambiance est relativement bruyante ! Dans tous les cas c’est une
adresse à retenir. Dernière chose, tout est bon, mais si vous deviez essayer quelque chose prenez l’os à moelle. D’ailleurs on passe à proximité de La Pomponette lors de notre visite guidée de Montmartre.
42 Rue Lepic, M° Abbesse ou Blanche, 75 018 Paris – 



Chez Gladines : Idéal pour un repas convivial avec des amis. Ambiance survoltée (niveau sonore d’un bar espagnol…). Très bonne cuisine du sud-ouest, plats copieux et petits prix. L’accueil est très sympa et s’il est vrai qu’il faut souvent attendre longtemps (pas de réservation possible) avant d’avoir sa table, le jeu en vaut la chandelle (prévoir de 5 minutes à 1h30!). Attention il faut avoir un chèque ou du liquide. Ils ne prennent pas les cartes de crédit.
30 Rue des Cinq Diamants 75013 Paris –

 

Le baron bouge :un bistrot à vin situé dans le 12ème arrondissement de Paris, à coté du marché animé d’Aligre. L’établissement propose une salle de dégustation au décor de cave à vin. D’ailleurs la distribution du vin se fait directement au tonneau. On y vient manger des assiettes de charcuterie, de fromage, des huîtres d’Oléron (en saison). C’est ouvert tous les jours même le dimanche de 10h00 à 14h00 et de 17h00 à 22h00. Le patron justement annonce la fermeture avec sa cloche. Des tonneaux, coté rue font office de table à l’extérieur.
1 Rue Théophile Roussel 75012 Paris –



 
Le petit Vendôme : A deux pas de la place Vendôme, se trouve un petit restaurant qui vous propose une restauration rapide à midi : le Petit Vendôme. Dans un quartier calme où tout est luxe et volupté, le Petit Vendôme se démarque par son air vieux bistrot. Vous trouverez des petites tables, des néons blafards et des oeufs durs sur le comptoir. A l’entrée du restaurant, vous verrez des jambons pendus aux plafonds, ainsi que des saucissons et des fromages.
8, rue des Capucines 75002 Paris

 

Le temps des cerises : Dans ce restaurant, situé à deux pas de la Place d’Italie, place à la bonne humeur ! Cet établissement, au décor de bistrot parisien, vous propose une cuisine créative venue des quatre coins du monde. Au programme : acras de morue, assiette grecque, lotte à la provençale, filet de boeuf à la périgourdine, boudin noir à la Normande, cuisse de canard confite sauce à l’oseille et purée cressonnière. On commence avec un menu très convenable à 9.20€ (entrées, plat, fromage ou dessert) avec un choix des mets changeant tous les jours de la semaine. Puis un menu à 11€ avec des entrées et des plats plus sophistiqués, pour finir, un menu à 20€ avec des entrés et des plats encore plus complet et copieux.


17/09/2017 - 16:00
A Paris 4 bars où tout est possible.

 

Les rades de Paris…
Tout un programme !
On parle ici des adresses qui baignent dans leurs jus, où l’atmosphère est aussi chaleureuse que la déco est douteuse.
On y fait des rencontres improbables, on y boit des pintes pas chères et on y refait joyeusement le monde.
Découvrez notre sélection des meilleurs rades de Paris.
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***L’Arsouille.

L’autocollant « Groland » sur la porte d’entrée donne le ton. Le week-end, passé les 22 heures, ce rade passe dans une autre dimension. Hipsters, bobos et vieux piliers de bars se mélangent joyeusement dans cet endroit hors du temps. Un jukebox fait monter la température en fonction des choix des clients. Ça chante, ça danse, ça joue au flipper,et ça se termine souvent en danse bretonne ou chenille endiablée.
Un petit clin d’oeil à Javier, l’un des tôliers du lieu qui a dépassé les 80 ans mais qui garde la pêche pour danser avec toutes les
demoiselles de l’Arsouille. Un vrai coup de coeur des Abbesses.
22 rue des Trois Frères, 75018
Métro Abbesses
 

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***  L’Assignat.
En plein cœur de Saint Germain des Prés, cette adresse détonne de ses voisins plus tendance lounge. Un peu planquée dans la petite rue Guénégaud, l’Assignat semble ne pas avoir bougé depuis des décennies.
Avec un accueil par Josette ou Gérard selon les soirs, le bar est souvent fréquenté par les étudiants du quartier (des Beaux Arts
notamment). Baby-foot, bière pas chère, fanfare le samedi, déco à l’ancienne, bref tout est réuni pour faire de l’Assignat un rade de
Paris comme on les aime !
7 Rue Guénégaud,75006
Métro Mabillon
 


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***  La Fourmi.

A deux pas de la Cigale, la Fourmi est une institution de Pigalle. On y
va pour les bières pas chères (pour le quartier), le charme de sa vaste
salle à la déco brute, la convivialité de sa micro terrasse, son
baby-foot, son zinc où il faut jouer des coudes pour mériter son demi.
74 rue des Martyrs, 75018
Métro Pigalle
 


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***  La Chope de Château Rouge
Une autre adresse du 18ème qui vaut le détour si vous aimez les rades de Paris. La Chope de Château Rouge, c’est l’une des bières les moins chères de Paris. Du coup, les tables en terrasse sont prises d’assaut mais rien de vous empêche sortir avec votre verre et une chaise pour vous installer « à la sauvage ». Ça parle fort, c’est chaleureux, on adore !
40 rue de Clignancourt, 75018
Métro Château Rouge
 


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***  Aux Folies

Un incontournable de Belleville. Ancien cabaret/café-théâtre, c’est désormais le rade le plus couru du 20ème. Déco rétro qui ne semble pas avoir changé depuis l’époque où Edith Piaf s’y produisait. Comme toujours, la terrasse est vite occupée. Simple, efficace, pas cher, service comme à la maison, aux Folies est une valeur sure de notre sélection des meilleurs rades de Paris.
8 rue de Belleville, 75020
Métro Belleville
 


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***  Le Pantalon.

Rade très prisé des étudiants du quartier du Luxembourg, ce Pantalon est tout en longueur. Très belle salle au fond, décorée par des étudiants des Beaux Arts. Un vrai rade dans son jus, ambiance électrique, bref une adresse sans prise de tête que ‘on vous recommande chaudement !
7 Rue Royer-Collard, 75005
RER Luxembourg