De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
07/09/2017 - 17:00

                                     LE  SAVIEZ  VOUS ?             


Bertha von Suttner, première Prix Nobel de la paix
Bertha Sophie Felicitas comtesse Kinský von Chinic und Tettau, ou baronne von
Suttner (1843 – 1914), est une pacifiste autrichienne. Lauréate du prix
Nobel de la paix en 1905, elle est une des premières personnes et la
première femme à obtenir ce prix.
Secrétaire privée d'Alfred Nobel

Bertha von SuttnerNée à Prague le 9 juin 1843, Bertha von Suttner descend
d'une famille noble. Son père, Franz Michael Graf Kinsky, meurt avant sa
naissance et elle grandit auprès de sa mère, Sophie Wilhelmine. Elle
bénéficie d'une bonne éducation, apprend plusieurs langues (allemand,
anglais, français et italien) et voyage beaucoup.

Sa mère dilapide la fortune de son père en jeu et, en 1873, Bertha devient
gouvernante chez le baron Karl von Suttner – un industriel de Vienne -,
donnant des cours de langue et de musique à ses filles. Elle tombe
amoureuse du fils von Suttner, Arthur Gundaccar von Suttner, mais la
famille désapprouve cette relation ; la mère d'Arthur renvoie Bertha et
lui trouve une place comme secrétaire privée d'Alfred Nobel, pour une
courte période. Les deux se lient cependant d'amitié et entretiennent
une correspondance.
Bertha rentre à Vienne et épouse secrètement Arthur Gundaccar le 12 juin 1876 ; son époux, écrivain, est déshérité et
le couple part s'installer en Géorgie auprès de la princesse Ekatarina
Dadiani von Mingrelien ; ils vivent de traductions ou de l'écriture de
romans populaires. Après la Guerre russo-turque, Arthur publie des
récits de guerre dans des journaux allemands tandis que Bertha travaille
comme journaliste ; sous le pseudonyme de B. Oulet, elle écrit des
histoires courtes et des essais pour des journaux autrichiens. En 1885,
rentrant à Vienne, ils se réconcilient avec la famille von Suttner et
emménagent au domaine familial
Continuant à écrire, Bertha explore le thème du pacifisme, confiante en la capacité de l'homme à s'améliorer
et à ne plus avoir recours à la guerre. Elle publie des essais et des
romans pacifistes parmi lesquels Die Waffen nieder! (Bas les armes !),
dans lequel elle décrit la guerre du point de vue d'une femme. Le roman a
beaucoup de succès – il sera traduit en 12 langues et adapté au cinéma –
et Bertha devient une des principales représentantes principales du
mouvement pacifiste.

11 novembre 2013 Eve
Bertha von Suttner, première Prix Nobel de la paix

Bertha Sophie Felicitas comtesse Kinský von Chinic und Tettau, ou baronne von
Suttner (1843 – 1914), est une pacifiste autrichienne. Lauréate du prix
Nobel de la paix en 1905, elle est une des premières personnes et la
première femme à obtenir ce prix.
Secrétaire privée d'Alfred Nobel

Bertha von SuttnerNée à Prague le 9 juin 1843, Bertha von Suttner descend
d'une famille noble. Son père, Franz Michael Graf Kinsky, meurt avant sa
naissance et elle grandit auprès de sa mère, Sophie Wilhelmine. Elle
bénéficie d'une bonne éducation, apprend plusieurs langues (allemand,
anglais, français et italien) et voyage beaucoup.

Sa mère dilapide la fortune de son père en jeu et, en 1873, Bertha devient
gouvernante chez le baron Karl von Suttner – un industriel de Vienne -,
donnant des cours de langue et de musique à ses filles. Elle tombe
amoureuse du fils von Suttner, Arthur Gundaccar von Suttner, mais la
famille désapprouve cette relation ; la mère d'Arthur renvoie Bertha et
lui trouve une place comme secrétaire privée d'Alfred Nobel, pour une
courte période. Les deux se lient cependant d'amitié et entretiennent
une correspondance.
Bas les armes !

Bertha rentre à Vienne et épouse secrètement Arthur Gundaccar le 12 juin 1876 ; son époux,
écrivain, est déshérité et le couple part s'installer en Géorgie auprès
de la princesse Ekatarina Dadiani von Mingrelien ; ils vivent de
traductions ou de l'écriture de romans populaires. Après la Guerre
russo-turque, Arthur publie des récits de guerre dans des journaux
allemands tandis que Bertha travaille comme journaliste ; sous le
pseudonyme de B. Oulet, elle écrit des histoires courtes et des essais
pour des journaux autrichiens. En 1885, rentrant à Vienne, ils se
réconcilient avec la famille von Suttner et emménagent au domaine
familial.

Continuant à écrire, Bertha explore le thème du pacifisme, confiante en la capacité de l'homme à s'améliorer et à ne
plus avoir recours à la guerre. Elle publie des essais et des romans
pacifistes parmi lesquels Die Waffen nieder! (Bas les armes !), dans
lequel elle décrit la guerre du point de vue d'une femme. Le roman a
beaucoup de succès – il sera traduit en 12 langues et adapté au cinéma –
et Bertha devient une des principales représentantes principales du
mouvement pacifiste.
Première femme à obtenir le Nobel de la paix

En 1890-1891, Bertha crée une « société de la paix de Venise »
(Friedensgesellschaft Venedig) et une société pacifiste autrichienne, la
Österreichische Gesellschaft der Friedensfreunde, dont elle est nommée
présidente – fonction qu'elle occupera jusqu'à sa mort. En novembre
1891, lors du congrès mondial pour la paix à Rome, elle est élue
vice-présidente du Bureau international de la paix et fonde la Deutsche
Friedensgesellschaft (société allemande de la paix), qui rassemble
beaucoup de monde. Bertha participe à plusieurs congrès de paix
internationaux et réclame la création d'un tribunal d'arbitrage
international. En 1899, elle prend part à la préparation de la première
conférence de La Haye.

Le 10 décembre 1902, Artur Gundaccar von Suttner meurt à Harmannsdorf. Endettée, Bertha vend leur propriété et
part s'installer à Vienne où elle continue à écrire. En juin 1904,
Bertha participe à la Conférence internationale des femmes à Berlin ;
elle voyage de pays en pays, notamment aux États-Unis où elle est
invitée à la Maison Blanche pour s'entretenir avec le président Theodore
Roosevelt.
Le 10 décembre 1905, Bertha von Suttner est la première femme à obtenir le Prix Nobel de la paix, créé en 1901. Elle meurt d'un
cancer le 21 juin 1914, quelques semaines avant le début de la Première
Guerre mondiale dont elle avait averti des risques.









 
07/09/2017 - 10:42
                                             
PETITES  SUPERSITIONS


Il faut éviter de manger du chou le jour de la Saint-Etienne. En effet, c'est
dans un champ de ce légume que s'était réfugié le saint pour échapper au
martyre.


Si la flamme d'une bougie tremble alors qu'aucun courant d'air n'est
perceptible, c'est qu'il faut s'attendre à avoir du temps venteux.


Lorsque deux amis discutent ensemble, ils doivent éviter de laisser passer un chien entre eux pour ne pas se brouiller.


Recevoir sur son visage une araignée tombée du plafond et un heureux présage pour la personne concernée.


L'apparition d'un arc-en-ciel le matin signifie que le temps à venir sera humide; si
l'arc-en-ciel se produit l'après-midi, il faut s'attendre à du beau
temps.


Les personnes qui souhaitent emprunter de l'argent devraient éviter de le
faire durant les trois premiers jours de février et les trois derniers
jours de mars.


De manière générale, il faut éviter de croiser les objets (couverts,
etc.); cette disposition est en effet une offense à la Croix du Christ.
Faire décroiser les objets par une autre personne annule la malédiction.
07/09/2017 - 09:31

                                          ÇA C'EST  PASSÉ  UN  7  SEPTEMBRE

- taxis - bataille de la marne
1914
Les taxis dans la Grande guerre
C'est en 1914, à l'entame de la Première guerre mondiale, que les taxis
Renault entrent dans l'histoire : dans la nuit du 06 au 07 septembre, 1
200 d'entre eux transportent dans le plus grand secret. En 48 heures 6
000 soldats sur les bords de la Marne. Le but de cette manoeuvre est
d'entraver l'offensive allemande sur la capitale.
C'est dans un long cortège que tous ces véhicules rejoignent la ligne de feu, sur le front de la Marne.
La bataille fait rage jusqu'au 13 septembre, les troupes allemandes se replient sur l'Aisne.
Cette opération est connue sous le nom de : "les taxis de la Marne"

***********
Des taxis parisiens aux taxis de la Marne

La Compagnie Française des Automobiles de Place, plus tard dite « G7 » (du
fait que ses véhicules étaient immatriculés G7 par la préfecture), est
fondée le 4 mars 1905 par le baron Rognat. Dès 1905, après des essais
comparatifs, la Compagnie choisit les véhicules Renault de type AG à 8
chevaux et deux cylindres pour son parc automobile de taxis parisiens.
La production commence en 1905 à Boulogne-Billancourt, et en 1914, les
trois quarts des 12 000 taxis parisiens sont des véhicules Renault AG.

Dès septembre 1914, le gouvernement prévoit de réquisitionner des taxis
pour évacuer de Paris les archives du ministère de la Guerre en cas de
menace allemande et, à cet effet, constitue une réserve permanente de
véhicules. Mais c'est par un usage inattendu que les taxis parisiens
deviennent les taxis de la Marne : avec l'avancée allemande de début
septembre, Joffre décide, le 6 septembre, de contre-attaquer et
d'envoyer des troupes en renfort sur le front de l'Ourcq. Les trains ne
pouvant suffire à leur transport, le général Gallieni, alors gouverneur
militaire de Paris, réquisitionne le jour même 630 taxis. Partis de
l'esplanade des Invalides, ils achemineront, à une vitesse moyenne de 25
km/h, plus de 3 000 soldats des 103e et 104e R.I. jusqu'à Silly-le-Long
et Nanteuil-le-Haudouin, à une centaine de kilomètres de Paris[
**********
1651 : Louis XIV, âgé de 13 ans, est déclaré majeur et accède au trône. Sa mère Anne d'Autriche cesse d'être régente
**********
1923 : l'Organisation internationale de police criminelle est créée. Sa
devise : "Relier les polices pour un monde plus sûr", sa mission
"Prévenir et combattre la criminalité grâce à une coopération policière
internationale renforcée".
**********
1940 : début du "Blitz", le bombardement de Londres par l'aviation nazie, qui dure un an
**********
1952 : l'écurie Ferrari est sacrée pour la première fois championne du monde de F1
***********
1953 : le film "Singing in the rain" avec Gene Kelly sort aux Etats-Unis
**********
1953 : Khrouchtchev est nommé premier secrétaire du Parti communiste
07/09/2017 - 09:25
Histoire des bouquinistes des quais de Seine.
 
Avec leurs 400 000 bouquins qui filent le long de la Seine, leurs 900 boîtes vert bouteille garnies de livres anciens, leurs bandes dessinées ou ouvrages spécialisés, les bouquinistes font partie de ces incontournables de la carte postale parisienne.
Des libraires-colporteurs pas toujours acceptés Véritables symboles des quais de Seine aujourd’hui, ces passionnés de livres tâtaient déjà du bouquin au XVIème siècle ! A noter qu’au XIIIème siècle également, des libraires jurés (marchands chargés de vendre des manuscrits originaux sous la surveillance de l’université de Paris devant laquelle ils ont prêté serment) exposaient une fois par an les livres manuscrits de leurs magasins dans des boutiques portatives.
Cependant, c’est avec la naissance de l’imprimerie en 1450 que le commerce de livres prend un nouveau tournant. Au XVIème siècle, des petits marchandscolporteurs commencent à prendre possession des quais de Seine pour vendre leurs livres, souvent d’occasion. Tréteaux, boîtes en bois ou en osier, ou simplement étalés à même le sol, tous les moyens sont bons pour exposer leurs marchandises. Le Pont Neuf, construit en 1606, est particulièrement prisé par ces vendeurs de livres.
Mais c’est sans compter sur la méfiance des libraires et la pression des autorités royales qui, dès la moitié du XVIème siècle, réglementent le commerce de livres à coup d’arrêts et de sentences interdisant la présence des libraires-colporteurs. C’est au début du XVIIème siècle que ces derniers sont finalement autorisés à vendre à condition qu’ils reversent une redevance annuelle. La trêve est de courte durée cependantet c’est sur fond de Fronde (1648-1653) que les libraires-colporteurs sont menacés d’extinction. D’un côté, autorités royales,libraires et policiers se battent pour supprimer les étalages clandestins.De l’autre, les vendeurs de pamphlets non soumis à la censure et de gazetteà scandale tentent de faire commerce. Durant le XVIIème et jusqu’à la moitié du XVIIIème siècle, les bouquinistes de plein air sont ainsi tour à tour chassés puis réintégrés sous agréments.
1789 : officiellement « bouquinistes ».
Le sort des bouquinistes évolue avec la Révolution Française et c’est en 1789,que le terme «bouquiniste »rentre dans le dictionnaire de l’Académie Française. C’est une période prospère pour ces marchands de plus en plus nombreux à se réunir sur le Pont Neuf, centre de tous les divertissements (lectures publiques, animations musicales, spectacles deplein air) et QG des personnalités lettrées.Sous Napoléon Ier,les bouquinistes gagnent du terrain avec l’aménagement de nouveaux quais. Il faudra toutefois attendre le règne de Napoléon III pour qu’ils reçoivent des autorisations pour pouvoir exercer leur métier. En 1859, les services de l’Hôtel de ville mettent en place des concessions permettant aux vendeurs d’installer les boîtes à des endroits fixes.
Années après années, le nombre des «libraires de la Seine» ne cessent d’augmenter:156 en 1892, 200 en1900 lors de l’Exposition Universelle et 240 en 1991, année durant laquelle les bouquinistes sont inscrits au Patrimoine de l’UNESCO. En 1930, la longueur des étalages est fixée à 8 mètres de long.
Aujourd’hui, c’est 3 km de livres anciens ou contemporains, gravures, timbres et autres revues, le tout régi par la Mairie de Paris (les places sont chères !). Côté rive droite, vadrouillez du Pont Marie au quai du Louvre. Rive gauche : flânez du quai de la Tournelle au quai Voltaire.

07/09/2017 - 09:15
LES PLUS BELLES BARBES DE 2017.

     par Greg Anderson photographe
 
Les Championnats du monde de la barbe et de la moustache sont peut-être les meilleures choses pour les cheveux du visage. 
Depuis 1990, la compétition semestrielle a fait de la culture et de la toilette une forme d'art de haute qualité et l'édition 2017 terminée à Austin, au Texas, au cours du week-end.

 








 



 







 
07/09/2017 - 09:04
Le Parc Du Vercors, France...
L’automne est l'une des quatre saisons de l’année dans les zones tempérées.
L'automne suit l'été et précède l'hiver. Il existe plusieurs définitionsde l'automne : astronomique, météorologique, et calendaire.

Wikipédia
 
Présentation:
Le Parc naturel du Vercors est réputé par les cyclotouristes pour ses routes spectaculaires. Les itinéraires sont incomparables et uniques en Europe.
Les routes ont été taillées par les hommes dans la montagne calcaire au début du XXe siècle, au prix d’incroyables efforts.
Elles se faufilent dans des défilés et des tunnels creusés à même la roche et débouchent sur le plateau du Vercors.
Des panoramas grandioses s’offrent alors au promeneur : des cirques calcaires, des forêts à perte de vue et des falaises hautes de 300 m.
Le séjour se déroule principalement dans un milieu de moyenne montagne. L’intérêt de ce circuit est de pouvoir être programmé en saison estivale, car les températures ne sont jamais très élevées.
Le début de l’automne est peut-être la saison idéale pour ce circuit.
Les couleurs sont splendides, les brumes stagnent dans la vallée...
Tandis que le ciel bleu resplendit sur le plateau.

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- La possibilité de louer un vélo électrique
- Les routes pittoresques et vertigineuses du Vercors
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 Des panoramas grandioses s’offrent alors au promeneur : des cirques calcaires, des forêts à perte de vue et des falaises hautes de 300 m.
Le séjour se déroule principalement dans un milieu de moyenne montagne.
L’intérêt de ce circuit est de pouvoir être programmé en saison estivale, car les températures ne sont jamais très élevées.

Le début de l’automne est peut-être la saison idéale pour ce circuit. Les couleurs sont splendides, les brumes stagnent dans la vallée tandis que le ciel bleu resplendit sur le plateau.
Les Hauts-Plateaux Du Vercors Plus grande réserve naturelle de France, les hauts-plateaux du Vercors s’étendent du nord au sud sur environ 30 kms à cheval sur les départements de la Drôme et de l’Isère.
La beauté des paysages, la richesse de la flore et les possibilités de rencontres avec chamois, bouquetins, vautours, aigles royaux et autre faune sauvage font de ce lieu le paradis des randonneurs.
Issus d’une longue tradition pastorale, les alpages de la réserve reçoivent chaque année près de 17000 moutons d’éleveurs locaux et transhumants du midi.

Catégorie...Voyages et événements

CLIC..................Vercors Timelapse from Marco Deias on Vimeo.


07/09/2017 - 08:57
Certaines églises portent encore la mention plus ou moins lisible LIBERTE EGALITE FRATERNITE.
Personnellement je n'en ai jamais vu ou du moins je n'y ai pas prêté attention...
Il semble qu'il y en ait beaucoup dans le sud de la France, autours de la méditérannée, dans le centre, en région Parisienne
Bonne Journée
Alice
 



 
Quand on remarque une inscription républicaine sur la façade d'une église, on est généralement stupéfait de tant de hardiesse, persuadé que ces cas sont exceptionnels.
En fait, il n'en est rien et les églises qui subissent les inscriptions "République Française" et "Liberté Égalité Fraternité" ne sont pas si rares. 

La mise au pas de la cléricanaille fut engagée sous la Révolution, poursuivie pendant la Commune et affirmée durablement dans le marbre de la loi par la Troisième République.
La Constitution civile du clergé de 1791 en a été une étape fondatrice en imposant aux sombres émissaires du Vatican le respect des principes de la République ; les prêtres se sont alors répartis entre les jureurs et les réfractaires.
De l'époque, un siècle plus tard, où la République imposa à l'Église catholique qu'elle courbe l'échine devant le triptyque "Liberté, égalité, fraternité", il reste quelques souvenirs encore inscrits aux façades de certaines églises.
 



 
Qu'elles soient effacées et difficilement discernables ou maintenues en très bon état pour mieux en assurer la lecture, ces marques républicaines rappellent incidemment qu'une religion n'adhère aux principes de liberté, d'égalité et de fraternité que sous la contrainte et en contradiction totale avec les textes dits sacrés, dans lesquels on chercherait en vain une ébauche de liberté individuelle ou un soupçon d'égalité avec, par exemple, les non croyants ou entre les hommes et les femmes.
Si cette subordination de l'institution catholique à l'État peut apparaître comme liberticide, lui laisser une entière liberté aurait étél'autoriser à renouer avec son histoire et ses fondements totalitaires. 
…/…




 
06/09/2017 - 17:46
UNE FONTAINE DE LAVE....
 
Près du volcan Kīlauea, sur l'île d'Hawaï, une fontaine de lave s'écoule dans l'océan.
Quand la lave en fusion rencontre les eaux froides, une réaction explosive fait voler les pierres et les débris.
PHOTOGRAPHIE DE JARED GOODWIN

06/09/2017 - 15:27
Les Poteries D’Albi... La poterie Élevée Au Rang D’art...

Par Maeva Destombes Du Magazine Maison Créative

Pour ceux qui aiment le travail artisanal et les pièces uniques pour habiller leur maison ou décorer leur jardin...
Les Poteries d’Albi sont incontournables !
Labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant, cette maison est spécialisée dans la poterie en terre cuite faite à la main.
La marque innove constamment tant au niveau des couleurs, souvent vitaminées, que des formes.
La création des poteries se fait en interne et suit les tendances tout en respectant son héritage et son savoir-faire traditionnel.
Les Poteries d’Albi, une marque qui bouscule totalement les idées préconçues sur la poterie…


Les poteries naissent les unes après les autres sous les doigts agiles des artisans.
L’histoire de la marque commence en 1891 à Lescure d’Albi dans le Tarn. Au départ,l’entreprise créée par Robert Bergeal fabrique des briques et des tuiles puis se tourne vers la poterie, au début culinaire puis horticole.
Elle prend le nom de Poterie Bergeal en 1962 lorsque la quatrième génération en prend les rênes.
La fabrication du Jaspé, produit marbré et moucheté typique d’Albi, se poursuit.
En 1978, Elisabeth et Bernard Camillo, la cinquième génération reprennent la poterie familiale et la rebaptise du nom de Poteries d’Albi lui procurant ainsi un ancrage fort sur le lieu de ses origines.
En 1997, Lore Camillo, leur fille, atteinte du virus familial et fraîchement diplômée d’une école de commerce, décide de créer une entreprise spécialisée dans les émaux mats et satinés.
Poterie Clair de Terre propose alors des produits insolites et osés, contrastant avec le travail habituel et classique de la terre.
Fruit du hasard, les Poteries d’Albi développent parallèlement la technique des émaux profonds et brillants.

Chaque pièce est faite à la main et donc unique...
Les petits défauts liés à la main de l'homme se transforment en signe distinctif permettant de reconnaître un objet d'un autre, un artisan d'un autre. 
En 2015, Elisabeth et Bernard Camillo décident de prendre une retraite bien méritée.
Se pose alors la question à Lore Camillo : doit-elle reprendre ou vendre l’entreprise familiale ?
À l’aube de ses 40 ans, Lore prend la décision de tout conserver. Les deux entreprises fusionnent, le savoir faire des équipes poursuit son travail sous une nouvelle identité...
Les Poteries d’Albi. L’atelier de fabrication se base alors sur le lieu historique, là où tout a commencé. Depuis presque trois ans, Lore Camillo a à cœur de préserver un savoir-faire devenu si rare.
Elle met en place des contrats d’apprentissage et de professionnalisation, tout en innovant dans les collections chaque année.
L’objectif : être moteur sur le marché de la déco et du jardin et bousculer les idées reçues sur la poterie.

Les poteries sont bien installées dans le four, prêtes à être cuite.
« Nous sommes fiers d’appartenir à cette histoire, d’avoir participé par le passé à la construction de la ville et de faire le lien entre le passé et le présent...
Nous sommes les derniers témoins de ce passé de potiers, puisqu’il faut savoir que dans les années 1890 il y avait une vingtaine de poteries comme la nôtre sur l’Albigeois » explique Lore Camillo.
En effet aujourd’hui, l’entreprise est l’une des dernières de France à fabriquer des contenants entièrement tournés main.
Les Poteries d’Albi ont un ADN fort ancré sur l’histoire de la ville d'Albi, ville de brique rouge classée au patrimoine mondial de l’Unesco pour sacathédrale en brique rouge (la plus grande au monde) et pour sa cité épiscopale qui abrite le musée Toulouse Lautrec.
Chaque année 200000 poteries sortent des ateliers et sont distribuées dans 600 jardineries en France.
Première Édition & Best-Seller Les premiers objets fabriqués de la marque ont bien sûr été les briques et les tuiles en 1891 mais en tant d’entreprise d’art, plus qu’un objet précis c’est plutôt une technique que l’on peut considérer comme le plus
ancien objet de la marque.

Pour l’entreprise Les Poteries d’Albi, il s’agit du jaspé, un savoir-faire typique de la région.

Le plus gros succès commercial est sans nul doute le rouge coquelicot, qui est aujourd’hui la signature des Poteries d’Albi.

Des poteries en jaspé,  savoir-faire typique de la région, font parties de la première collection de l'enseigne.


Le rouge coquelicot est une véritable marque de fabrique des Poteries d'Albi et ce qui les rend reconnaissables au premier coup d'œil.
La Nouvelle Collection Chaque année la marque développe et renouvelle un quart des collections. La nouvelle collection propose 5 nouvelles couleurs et 8 nouvelles formes. Tango Syrah revisite le « Bordeaux Griottes » rehaussé d’un cuivre rosé.
L’association des deux est très chaud et doux. Sur la Dune s’inspire du nude, des tons neutres, des couleurs très naturelles de la terre.

La palette des beiges, des grèges et de sable rehaussé d’une fine ligne mordorée apporte beaucoup de caractère à cette nouvelle couleur.
Elégante et discrète, Sur la Dune a l’avantage de s’adapter à tous les intérieurs, qu’ils soient classiques ou modernes.
Ibiza Sunshine, Fashion Pop et Blue Lagoon osent la couleur des lagons et du soleil. Le bleu et le jaune sont à l’honneur.
Ibiza Sunshine, associe un jaune d’or éclatant et très brillant à un mordoré mat.
Blue Lagon comme son nom l’indique propose un camaïeux de bleu turquoise inspiré de la mer de caraïbes.
Un vert canard vient souligner ce bleu empreint d’évasion et de créativité.
Fashion Pop donne une place importante à un vert canard que vient souligner un jaune très vif.
Concernant les formes, la rondeur voire la féminité est à l’honneur.
Que ce soit Légéreté, Plume, Inspiration, Quiétude, Douceur ou Incas, l’esthétique est dans une recherche de bien-être appliquée à la déco.

Tango Syrah joue sur la dualité des effets...mat et brillant pour ces couleurs flamboyantes.


Le modèle Sydney dans le nouveau coloris Blue Lagon.


Le classique et éternel modèle Bahia se pare des couleurs chaleureuses et lumineuses Ibiza Sunshine.


Sur La Dune est un joli camaieux de beiges qui met en valeur le modèle Saint-tropez.
Quelle est votre pièce préférée dans la maison ? « Ma pièce préférée est sans doute la pièce de vie, car j’aime y partager
des moments en famille que ce soit l’hiver devant le poêle en sirotant un chocolat chaud ou encore autour d’une bon repas accompagné d’un bon vin, ou encore en train de lire un bon livre pendant que ma fille fait du piano…

J’aime aussi cette pièce pour sa lumière qui transperce de part en part et qui nous baigne de lumière, j’ai voulu cette pièce ouverte sur l’extérieur...
C’est pourquoi il y a plus de baies vitrées que de murs ».
Où voyez-vous votre marque dans 5 ans ? « Je la vois toujours plus authentique, avec une équipe toujours passionnée, avec des jeunes en formation chez nous pour apprendre les gestes afin que le savoir-faire ne se perde pas...
Avec un musée autour de la terre dans l’enceinte de La Poterie, des ateliers terre et couleurs pour le public pour les grands et les petits...
Avec des trocs de graines et de plantes, des expos d’artistes liées à notre matière, toujours de l’innovation et pouvoir je l’espère récompenser mon équipe pour son travail.
Rénover peu à peu les ateliers, ouvrir 7 jours sur 7 pour accueillir les clients et être à leur écoute.
Faire connaître la marque auprès du grand public par des visites de nos ateliers » poursuit Lore Camillo.

Lore Camillo, Propriétaire Des Poteries D'Albi

Vous qui êtes souvent cités dans Maison créative, qu’auriez-vous envie de nous dire  à l’occasion de ce 100ème numéro ? 
« J’ai de la chance et je suis heureuse de faire connaître nos produits authentiques, notre savoir-faire à la main 100% Made in France à vos lecteurs.
Faire partie de cette sélection montre notre relation de confiance mutuelle ».


06/09/2017 - 14:38
                               LA  FOIRE  DU  TRONE             


De quand date la Foire du Trône ? L'histoire de la Foire du Trône est
longue ! Il est difficile de dater avec précision sa création, car elle
s'inscrit dans la continuité de manifestations diverses, d'autres
grandes foires parisiennes, qui ressemblaient plutôt à des marchés à
découvert mêlant commerces et jeux. Foire Saint Antoine, Fête du Pain
d'Épice, puis Foire du Trône se sont ainsi succédé au fil des siècles,
dans diverses zones de la capitale. En 1957, on fêta même le millénaire
de la Foire, en souvenir de la première fête foraine, créée en 957 par
le roi Lothaire. C'est en 1962 que la municipalité décida d'installer la
foire sur la Pelouse de Reuilly, à l'orée du Bois de Vincennes.
Pourquoi l'appelait-on Fête du Pain d'Épice ? Au 12ème siècle, la Fête de Saint
Antoine avait lieu tous les ans, et portait son nom du quartier dans
lequel elle prenait place, celui du Faubourg Saint Antoine. En 1131, le
roi Louis le Gros interdit aux cochons de circuler dans Paris, sauf ceux
qui appartenaient aux disciples de Saint-Antoine, qui devaient
toutefois porter une clochette au cou afin de se signaler pour éviter
les collisions avec les passants. En remerciement, les moines de
l'abbaye de Saint Antoine fabriquèrent des pains d'épice en forme de
cochons à clochettes, qu'ils vendaient lors de la Foire Saint Antoine :
la fête prit alors le nom de "Fête du Pain d'Épice".
Pourquoi l'appelle-t-on Foire du Trône ? L'abbaye de Saint Antoine était située
vers l'emplacement de l'actuelle place de la Nation, qui porta le nom de
place du Trône de 1660 à 1793, car un trône y avait été édifié, pour
célébrer l'entrée dans Paris de Louis XIV et de Marie-Thérèse
d'Autriche, tout juste mariés. La Fête du Pain d'Épice prit alors le nom
de Foire du Trône.