De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
27/08/2017 - 21:20
                                               

Le Paris des Grands Boulevards :


Les larges artères ouvertes par Haussmann dans Paris racontent la ville. Ce
qu'elle fut, comment on s'y amusait, ce que l'on y achetait, qui on y
rencontrait. Elles ont structuré la circulation entre les quartiers,
définit un style architectural, imposé un rythme trépidant et nerveux.
Le palais Garnier vu depuis la place Diaghilev, le boulevard Haussmann

et la rue scribe. L'envers ne vaut pas tout à fait l'endroit, même si la
façade et la cour arrière nord présentent un grand intérêt
architectural. Cette entrée a un rôle avant tout fonctionnel, elle a été
conçue pour réceptionner le matériel et les décors. Le fronton (large
de 
152 mètres) correspond à l'emplacement de la cage de scène
Le Baron Haussmann avait reproché à l'opéra de
Charles Garnier de se
 « trouver médiocrement
 en harmonie avec
l'architecture imposée à toutes les maisons voisines ».
Le théâtre national 
de l'Opéra-Comique, 
sur la place Boieldieu
 (2e
arr.), fut créé sous le règne de Louis XIV. La salle Favart, inaugurée
en 1783, sera reconstruite à deux reprises, en 1840 et 1898, suite à des
incendies.
On s'y presse pour applaudir les compositions de Chabrier,
Bizet, Massenet ou Ambroise Thomas, dont le Mignon (1866) fait un tabac.
L'Opéra-Comique est actuellement dirigé par Jérôme Deschamps.
 Le
divertissement est
 à la mode.
Partout sur 
les Grands Boulevards s'ouvrent des « caf' conc' » (la Scala,
l'Alcazar d'été,
 les Ambassadeurs...) et 
des salles de music-hall. Des
Folies Bergères
 à l'Olympia, théâtres et opéras affichent complets.
Le boulevard des Italiens s'étire entre les 
2e et 9e arrondissements. Au
centre de l'image, l'immeuble historique du quotidien Le Monde. Cet
édifice post-haussmannien, dont la façade s'orne d'une monumentale
horloge, a regroupé rédaction et imprimerie pendant 45 ans.
La porte Saint-Martin, tout comme sa voisine 
la porte Saint-Denis, est un
arc de triomphe, élevé au XVIIesiècle sur ordre de Louis XIV. Elle
marque le point de croisement
 de l'axe Saint-Denis et des grands
boulevards. Le théâtre de la Porte Saint-Martin, depuis son ouverture en
1802 (et sa reconstruction après son incendie en 1870), s'est essayé à
tous les genres
 de l'art dramatique : féeries, ballets, comédies,
drames et tragédies. C'est dans ce dernier registre que la grande salle
boulevardière s'est taillé sa réputation. Frédérick Lemaître, Marie
Dorval et surtout Sarah Bernhardt étaient des comédiens fidèles.


Près du métro Grands-Boulevards, le boulevard Poissonnière croise la rue et le
faubourg du même nom, lesquels se prolongent par la rue des
Poissonniers, qui devient elle-même avenue de la Porte-des-Poissonniers,
et redevient, une fois de l'autre côté du périphérique, à Saint-Denis,
la rue des Poissonniers. Cette insistance s'explique par le fait que,
dès le XVIe siècle, le poisson frais était livré en moins d'une nuit
depuis la Manche, par des attelages qui suivaient un itinéraire tracé en
droite ligne entre le port de Dieppe et le quartier parisien des
Halles.
1870, le retour de la République est effectif.
 Il faut qu'un monument digne
de ce nom inscrive l'événement pour la postérité. Les frères Morice
érigent, place de la République, une œuvre monumentale : une Marianne en
bronze de 9,50 mètres de hauteur, veillant sur les allégories de la
Liberté, de l'Égalité, de la Fraternité. La République aimant aussi
l'ordre, une caserne de 3 000 hommes jouxte Marianne et ses Droits de
l'homme.
Les grands magasins sont nés
 sur le boulevard Haussmann. Les
Galeries Lafayette datent d'octobre 1912. Mais l'aventure avait débuté
en 1894 sous l'impulsion de Théophile Bader et Alphonse Kahn.
Tout y fut conçu pour que le client 
se sente bien, se laisse aller à
l'émerveillement, donne libre cours à ses envies d'achats, de la
terrasse du 5e étage avec vue panoramique sur la ville, à l'immense
coupole aux armatures métalliques sculptées de motifs floraux. Les
balustres des étages et la rampe d'escalier sont signés Majorelle.



Autre temple de la mode, Le Printemps fondé par Jules
Jaluzot en 1865, et sa grande nef centrale couverte d'une coupole
27/08/2017 - 21:19
                                              
L'hémisphère sud dans le Finistère nord.
3 000 espèces de plantes australes, un rocher de 18 m. de haut offrant une vue panoramique
imprenable sur la baie de Morlaix et le nouveau port de plaisance, des cascades et bassins peuplés de
tortues, des rocailles de cactus, d'agaves et d'aloes...
Un lieu enchanteur au goût de voyage...
Le jardin présente l'une des plus grandes collections de plantes australes
et de cactus cultivés en plein air sous nos climats ; une richesse
botanique incroyable avec des pla,ntes d'Afrique du Sud , de Nouvelle
Zélande, d'Australie, d'Amérique du Sud, du Chili, des Iles Canaries et
de Madère. Vous pourrez admirer des collections de Protea , de
Callistemon, d'Eucalyptus, de Pittosporum, de Kniphofia.


Beaucoup de personnes grimpent sur le rocher (18 mètres de haut) pour admirer la vue.

Le jardin est géré par le G.R.A.P.E.S. c'est à dire le Groupement
Roscovite des Amateurs de Plantes Exotiques Subtropicales. (Le président
est David Chaperon, la directrice Elisabeth Edern )

Il y a aussi les hôtesses très sympathiques de l'accueil qui feront leur
possible pour vous renseigner lors de votre visite. Malheureusement,
cela ne fait pas beaucoup de monde et le GRAPES (association avec 5
employés à plein temps sans subventions) a besoin du soutien d'un
maximum de personnes ! Alors, si vous habitez la région de Roscoff et
êtes passionnés de jardinage ou de plantes exotiques, venez nous
rejoindre.

Le jardin a été fondé en 1986 par D. Person et Louis Kerdiles cofondateur,
le plan du jardin a été dessiné par Alain Le Goff directeur jusqu'en
2003.

Sa superficie 1 ha 600, 2 Kms d'allées accessible à 60% aux personnes handicapées, 3000 espèces de plantes Exotiques, Australes et
subtropicales ; il offre une vue panoramique imprenable sur la baie de
Morlaix.

Des cascades, bassins peuplés de tortues de Floride, des rocailles de
cactus d'Agaves et d'Aloès etc.... un lieu enchanteur au goût de voyage




                                                             
27/08/2017 - 18:43
Les cinémas les moins chers de Paris.



Vous avez envie de vous faire une toile, mais pas tellement envie d’y mettrel’équivalent d’un plat du jour au resto ? On vous dit où trouver les cinémas qui pratiquent les meilleurs tarifs de la capitale.
Pour les matinaux On le sait tous, pour vraiment profiter des tarifs réduits au cinéma, il faut être du matin. C’est à ce moment là que les cinémas ont le moins declients et besoin de remplir leurs salles : ils n’hésitent pas à réduire leurs marges ! On peut donc facilement s’en sortir pour moins de8 € dans n’importe quel cinéma, mais certains d’entre eux vont plus loin. Au Studio des Ursulines, dans le 5e arrondissement, les séances avant 13h sont au prix imbattable de 4,50 €. À l’Archipel, on déboursera 5 €, soit un petit peu moins que les 5,50 € pratiqués par le Brady voisin. Enfin, les emblématiquescinémas Louxor et Grand Rex proposent, eux-aussi, des tarifs avantageux à leurs clients du matin : 5,80 € pour le premier, 6 € pour le second. Des tarifs tout doux pour des cinémas qui proposent des films de qualité.

Studio des Ursulines – 10 rue des Ursulines, 75005
Le Brady – 39 boulevard de Strasbourg, 75010
L’Archipel Paris Ciné - 17 boulevard de Strasbourg, 75010
Le Louxor - 170 Boulevard de Magenta, 75010
Le Grand Rex – 1 Boulevard Poissonnière, 75002
Pour les moins de 26 ans Les cinémas font partie des lieux culturels les plus enclins à faire des prix aux plus jeunes et on ne s’en plaindra pas ! Si vous avez moins de 26 ans, le sud-est de la capitale est clairement le lieu où vous irez vous faire une toile. Le MK2 Bibliothèque et l’UGC Ciné Cité Bercy, situés presque face à face de part et d’autre de la Seine, se disputent depuis des années le prix du cinéma le moins cher pour les jeunes. Tout deux cassent les prix de leurs séances de la semaine à 4,90 € pour les moins de 26 ans.

MK2 Bibliothèque - 128/162 avenue de France, 75013
UGC Ciné Cité Bercy - 2 cour Saint Emilion, 75012
Pour tout le monde, n’importe quand Si on ne peut bénéficier d’aucune réduction, c’est dans les cinémas indépendants qu’on ira en priorité. Les salles art et essai de la capitale ont en effet des grilles tarifaires n’excédant jamais 8,50 € en plein tarif. Pour voir un film grand public sorti récemment, il faudra cependant se résoudre à mettre la main à la poche. En effet, rares sont les multiplexes parisiens à proposer des plein tarifs inférieurs à 11 €. Seuls l’UGC Lyon Bastille et les MK2
Nation et Gambetta se détachent du lot. Le premier propose ces séances à 9,80 € (salles 5 à 7) ou 10,20 € (salles 1 à 4), les deux autres à 9,90€ pour toutes leurs salles.


UGC Lyon Bastille – 12 rue de Lyon, 75010
MK2 Nation - 133 boulevard Diderot, 75012
MK2 Gambetta - 6 rue Belgrand, 75020
Celui qui bat tout le monde en plein tarif Dans la catégorie des cinémas pas chers, celui qui casse vraiment les prix,
c’est le Forum des Images : 6 € en tarif plein et 5 € en tarif réduit (moins de 25 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, + 60 ans) pour toutes les séances ! Mieux, le cinéma propose une carte illimitée à 9,90 € par mois, soit moins cher que le prix à payer pour une seule place dans la plupart des cinémas parisiens. Et puis, aller au Forum des Images, c’est le gage de découvrir des pépites du cinéma que l’on n’aurait jamais pu découvrir ailleurs.



Forum des Images - Forum des Halles, 2 rue du cinéma, 75001


27/08/2017 - 18:22
Les sous-stations, joyaux du patrimoine industriel parisien.


Si vous avez l’habitude de vous balader dans les rues de Paris, vous en avez sans doute déjà croisé et les avez forcément remarquées. Elles se dressent en effet bien en évidence aux quatre coins de la capitale : des dizaines de grandes bâtisses en brique présentant une large façade vitrée à pan de fer. Grises, bleues, ocres, leurs couleurs et structures diffèrent légèrement à chaque fois, mais l’on peut systématiquement y lire « Compagnie Parisienne de Distribution d’Électricité » ou encore « S-Station ».
À quoi servent ces étonnants édifices ? De quand datent-ils ? On vous dit tout.


La sous-station Temple, rue Jacques-Louvel-Tessier dans le 10e © GFreihalter

Des bâtisses destinées à accueillir des transformateurs Ces bâtisses sont des anciennes sous-stations électriques. À l’intérieur dechacune d’elle se trouvait, jusqu’au milieu du XXe siècle, une immense salle des machines composée de quatre commutatrices. Ces dernières étaient capables de convertir le courant alternatif à haute-tension fourni par la centrale thermique de Saint-Denis en courant continu à basse-tension utilisable par les engins moteurs. Pendant un demi-siècle,ces sous-stations ont ainsi fourni l’électricité nécessaire au fonctionnement du métro parisien. Car le métro est, depuis l’ouverture de la toute première ligne le 19 juillet 1900, alimenté par traction électrique.

La première de ces sous-stations à voir le jour est celle située au 41 rue de Caumartin, dans le quartier Opéra, en 1903. Pensée par l’architecte Paul Frésié pour le compte de la Compagnie Parisienne de Distribution d’Électricité et de la Compagnie du Chemin de Fer métropolitain de Paris (ancêtre de la RATP), elle a servi de modèle à toutes les autres.
L’architecture des sous-stations nous rappelle immédiatement ce qui se faisait au tournant du XXe siècle lorsque 
l’architecture industrielle était à son apogée. Les constructeurs donnaient alors naissance à des édifices jouant sur la géométrie et accordant une place prépondérante au fer et au verre, tels que la Gare d’Orsay ou l’Église Notre-Dame-du-Travail. Construites entre 1903 et 1925, les sous-stations du métropolitain possèdent, elles-aussi, toutes ces    caractéristiques.


La sous-station Bastille, située au 31 boulevard Bourdon dans le 4e © Clicsouris

C’est d’ailleurs pour célébrer l’architecture industrielle que l’architecte Paul Friésé à décidé d’installer ces sous-stations à la surface et non sous les stations comme cela été prévu au départ. Il souhaitait également rendre apparent le travail des employés de ces 36 sous-stations réparties dans tous les coins de la capitale.
Quatre d’entre elles classées monuments historiques Le courant électrique étant désormais fourni directement en basse-tension, les sous-stations ont perdu leur vocation originelle. Les bâtiments, eux, nous sont restés : parmi les 36 anciennes sous-stations,seulement une quinzaine ont été détruites,toutes les autres ont été conservées et,pour la plupart, reconverties. 
La sous-station Sèvres abrite par exemplela Fondation EDF, Temple accueille un centre d’hébergement Emmaüs,
Saint-Roch est devenu une crèche municipale, Opéra accueille des bureaux de la RATP. Quatre d’entre-elles (Bastille, Auteuil, Opéra et Temple) sont même classées aux monuments historiques depuis 1992. Quant à l’ancienne centrale thermique de Saint-Denis, elle accueille désormais la Cité du Cinéma

 

27/08/2017 - 18:13
MAGIE DES SUCRERIES TOUT EN DOUCEUR.

MERCI A CARL WARNER


GOURMANDES ET GOURMANDS C'EST POUR VOUS.

ATTENTION AUX KILOGS.




























27/08/2017 - 18:12
La Magie De La Côte D'Amalfi En Italie...(Vidéos)

Source...Côte Almafitaine...

Hector, le fils du dieu Jupiter, tomba amoureux de la nymphe Amalfi et quand elle mourut, peiné et attristé, il décida de l’enterrer dans le lieu le plus beau de la terre.
Quel lieu pouvait-il être le plus beau pour séduction et beauté ?
Hector célèbre cet amour et il en immortalise le nom dans la ville d’Amalfi, dans le magnifique décor entre la Divine côte et la côte de Sorrente.

À l’origine légendaire, charmante et ravissante, s’adjoint une histoire bien différente qui attribue à la ville d’Amalfi des origines romaines.
Le nom “Amalfi” est en effet de dérivation latine. Amalfi a toujours étée la cible d’incursions et pillages, au début par les lombards et après par les sarrasins.
À partir du IX siècle, la ville commence sa guerre avec les autres Républiques maritimes pour le contrôle des trafics commerciaux dans la Mediterranée.
C’est ainsi que la République d’Amalfi a origine.

Sans doute, le Dôme d’Amalfi, ou cathédrale de Saint André, avec son grand escalier à 57 marches et sa façade polychrome en faïence, est le lieu qui plus étonne pour son histoire et sa beauté architectonique.
 
Il remonte au IX siècle, quand Amalfi était une République maritime. Le Dôme est doté d’un magnifique clocher roman recouvert avec des  faïencesà mosaïque. La porte principale est en bronze et elle vient de Constantinople.

 À mentionner le grand crucifix en bois du XIII siècle, dans la nef centrale, la toile du martyre de Saint André, les deux colonnes en granit égyptien et la crypte gardant le corps de Saint André. On ne doit pas manquer une visite à la Basilique du Saint Crucifx édifiée à côté de la cathédrale et le Cloître du Paradis. 

 
À l’intérieur d’une vieille papeterie, Le Musée du papier d’Amalfi a été créé en 1969 pour Nicola Milano, propriétaire de la papeterie. Il setrouve dans le centre d’Amalfi, au numéro 24 de la rue des Papeteries.
Ici, il est possible d’assister à la réalisation de feuilles de papier faites à la main et au fonctionnement des vieux moulins à eau.

Le musée abrite une exposition de photographies et estampes de l’époque et une bibliothèque thématique sur la production du papier et les techniques employées.  Au premier étage de la mairie se trouve le Musée municipal qui abrite les oeuvres de Domenico Morelli et des objets relatifs à l’histoire d’Amalfi.

Source...La Côte Almafitaine...

Il y a aussi une rédaction du XV siècle de la  Tabula Amalphitana, un code maritime remontant à la période de la république maritime qui contient des normes de navigation et des objets de la marine médiévale, récupérés des épaves retrouvés dans les fonds marins.
Le musée de la Boussole et du Duché Maritime d’Amalfi illustre l’ancien arsenal et l’histoire de la république maritime.Il propose une collection d’instruments d’orientation nautique, telle la boussole.
Il abrite aussi les Pandectes de Justinien, la Tabula de Amalpha, les Consuetudines Civitatis Amalphiae de 1274 et la célèbre monnaie d’Amalfi, le Tarì.

Lieux À Visiter

Source : Côte Almafitaine, Italie...

Moins connue par le tourisme de masse et splendide pour ses vues et promenades naturalistes, la Vallée des Forges ou Vallée des Moulins est une réserve naturelle et la zone natale de la petite salamandre terdigitata, une éspèce endémique protégée.
Il y a deux sentiers pour visiter la Vallée des Forges: l’un part du centre d’Amalfi et il se dénoue avec des parcours pour piétons, escaliers et petits sentiers montant sur la montagne...
L’autre qui part de Ponton, hameau de Scala.Au cours de la route on rencontre une nature non polluée, des sources d’eau et des petites cascades.
Et les célèbres moulins qui étaient le moteur des nombreuses papeteries de la région.

Pas loin d’Amalfi, à Conca dei Marini, se trouve la Grotte del’ émeraude.
Son nom est dû à l’effet chromatique de la lumière qui , en filtrant entre les roches, se reflète dans l’eau.

On peut y arriver à pied, grâce à un grand escalier ou un ascenseur, ou par mer.

Source...La Grotte De L' Émeraude...Le Long  De La côte d'Amalfi.

Sur le fond on a installé une crèche en céramique et chaque année, pendant les vacances de Noël, des plongeurs  plongent pour poser un petit Jesus dans les profondeurs lumineuses de la grotte.Ceux qui ont du tempset de l’envie de marcher peuvent visiter la Tour du Ziro.

Il s’agit d’une antique tour de repérage des bateaux sarrasins. Ici, en 1500, Jeanne d’Aragone, dite la “folle” fût imprisonnée avec ses enfants, coupable d’avoir eu une relation avec le majordome de cour
après la mort du mari.

Une excursion magnifique sur un sentier riche en panoramas prodigieux...
D'où on peut admirer les ruines de la Tour du Ziro et les villes de Atrani, Amalfi er Ravello.
Comment Arriver À Amalfi ...
En Train
Descendre à la gare de Salerne et prendre l’autobus de la ligne Sita sud pour Amalfi.
En Voiture
De Salerne, prendre la route nationale 163 en direction d’Amalfi.
En Autobus
Prendre les autobus de la ligne Sita sud en direction d’Amalfi. Vérifiez les horaires.

Réseaux Utiles
www.comune.amalfi.sa.it
www.valledelleferriere.it
www.museodellacarta.it

Localités À  Visiter...
Positano – dista 16 km, 32 minuti
Napoli – dista 59 km, 1 ora 15 minuti
Ischia – dista 104 km, 2 ore 39 minuti


CLIC...........DEMO DRONE Amalfi Coast from Roberto Vuilleumier on Vimeo.

CLIC...........amalfi coast & capri // travel highlights from Kat's Films on Vimeo.

CLIC..........The Amalfi Coast from George Cotterhill on Vimeo.

CLIC..........Blue Grotto + Amalfi Coast Drone from Victoria on Vimeo.

CLIC.........The Amalfi Coast from Maxx Kleiner on Vimeo.

CLIC.........rock climbing in Amalfi's coast-HD 720p from Giulio Raimondo on Vimeo.

CLIC.........VILLA LIGHEA - POSITANO, ITALY, AMALFI COAST from MODTV on Vimeo.

CLIC.........Amalfi Coast from TheYoungVoyagers on Vimeo.

CLIC........Positano from TheYoungVoyagers on Vimeo.

CLIC........CAPRI from TheYoungVoyagers on Vimeo.


27/08/2017 - 09:53

                                  IMAGE  DU  MONDE : MAGNIFIQUE

                                                     
27/08/2017 - 09:11
DECOUVRIR LE MOBILIER URBAIN DE PARIS D'ANTAN.
  À la tête du service des Promenades, Alphand et Davioud conçoivent une batterie de mobilier urbain, alliant trouvailles techniques (grilles de protection des arbres, bornes d’incendie...) et équipements d’agrément et de confort. Un siècle et demi plus tard et à peu de chose près, ce mobilier est identique...



Fontaines Wallace -
En cette seconde partie du XIXe siècle, alors que des fortunes colossales se bâtissent, le philanthropisme, où hygiénisme et libéralisme charitable s’entremêlent, prend son essor.
Partant du constat que ce qui manque au petit peuple parisien est l’eau courante et potable, le richissime sir Wallace va offrir à Paris de belles fontaines. Cet accès difficile à l’eau était particulièrement patent aux lendemains de la Semaine sanglante qui écrasa la Commune (1871). Les modèles à cariatides, dont les quatre statues féminines symbolisent la Bonté, la Simplicité, la Charité et la Sobriété, furent sculptées par Charles-Auguste Lebourg, artiste nantais formé par François Rude. Surnommées par les grisettes, apaches ou ouvriers des faubourgs les « brasseries des quatre femmes », ces fontaines en fonte, dont une centaine est encore en activité aujourd’hui, étaient fabriquéesà la Fonderie du Val d’Osne.
N'en doutez plus, les monuments de Paris se cachent sous de multiples formes.


Colonnes Morris -
En 1868, Gabriel Morris, imprimeur spécialisé dans la publicité pour les spectacles parisiens, obtient une concession de la Ville de Paris pour édifier quatre cent cinquante et une colonnes hautes de six mètres cinquante, surmontées d’un dôme ouvragé, le tout réalisé en fonte et peint en vert bouteille. À l’origine, elles servaient aussi d’entrepôt pour les balais et pelles du nettoyage des rues. En 2006, Paris en compte sept cent soixante-treize lorsque la municipalité décide d’en abattre deux cent vingt-trois, une partie de ces dernières devant être remplacées par des colonnes dont le style se qualifie par l’absolue discrétion. L’argument avancé était d’ordre esthétique... Devant le tollé général et l’émoi des directeurs de théâtre dont elles sont un vecteur publicitaire capital, il semble que les colonnes Morris aient sauvé leur avenir. Aujourd’hui, elles assurent aussi la publicité des films, et elles tournent !

Vespasiennes -
Que de noms pour ces lieux d’aisance publics, et masculins : urinoirs, tasses, Ginette, pissotières, latrines, goguenots... Les
raffinés les nomment vespasiennes, du nom de l’empereur romain qui, entre l’an 69 et 79 de notre ère, dota Rome de ces commodités. Ils arrivent avec Rambuteau, préfet de la Seine de 1833 à 1848. Bronca immédiate de la part des liguesbien-pensantes et des « pères et mères la pudeur » qui fustigent ces « colonnes Rambuteau »! La Mondaine surveillera également de près les quelques quatre cents urinoirs en fer peint en vert qui jalonnent les trottoirs de la capitale. Ils furent remplacés à partir de 1980 par les sanisettes de Decaux. De ces étonnants mais si utiles édicules, il ne subsiste à notre connaissance qu’un seul exemplaire dans Paris : il se situe sur le boulevard Arago, devant la prison de la Santé. Sans doute Paris a-t- elle jugé utile de conserver un témoin d’une autre époque ?
27/08/2017 - 08:54
LE PARIS DES GRANDS BOULEVARDS.
Les larges artères ouvertes par Haussmann dans Paris racontent la ville. Ce qu’elle fut, comment on s’y amusait, ce que l’on y achetait, qui on y rencontrait. Elles ont structuré la circulation entre les quartiers, définit un style architectural, imposé un rythme trépidant et nerveux.


Le palais Garnier vu depuis la place Diaghilev, le boulevard Haussmann
 et la rue scribe. L’envers ne vaut pas tout à fait l’endroit, même si la façade et la cour arrière nord présentent un grand intérêt architectural. Cette entrée a un rôle avant tout fonctionnel, elle a été conçue pour réceptionner le matériel et les décors. Le fronton (large de  
152 mètres) correspond à l’emplacement de la cage de scène.
Haussmann avait reproché à l’opéra de Charles Garnier de se
 « trouver médiocrement
 en harmonie [avec] l’architecture imposée à toutes les maisons voisines ».
Le théâtre national 
de l’Opéra-Comique, 
sur la place Boieldieu
 (2e arr.), fut créé sous le règne de Louis XIV. La salle Favart, inaugurée en 1783,sera reconstruite à deux reprises,en 1840 et 1898, suite à des incendies.

On s’y presse pour applaudir les compositions de Chabrier, Bizet, Massenet ou Ambroise Thomas, dont le Mignon (1866) fait un tabac. L’Opéra-Comique est actuellement dirigé par Jérôme Deschamps.

Le divertissement est
 à la mode. Partout sur 
les Grands Boulevards s’ouvrent des « caf’ conc’ » (la Scala, l’Alcazar d’été,
 les Ambassadeurs...) et 
des salles de music-hall. Des Folies Bergères
 à l’Olympia, théâtres et opéras affichent complets.

Le boulevard des Italiens s’étire entre les 
2e et 9e arrondissements. Au centre de l’image, l’immeuble historique du quotidien Le Monde. Cet édifice post-haussmannien, dont la façade s’orne d’une monumentale horloge, a regroupé rédaction et imprimerie pendant 45 ans.

La porte Saint-Martin, tout comme sa voisine 
la porte Saint-Denis, est un arc de triomphe, élevé au XVIIe siècle sur ordre de Louis XIV. Elle marque le point de croisement
 de l’axe Saint-Denis et des grands boulevards. Le théâtre de la Porte Saint-Martin, depuis son ouverture en 1802 (et sa reconstruction après son incendie en 1870), s’est essayé à tous les genres
 de l’art dramatique : féeries, ballets, comédies, drames et tragédies. C’est dans ce dernier registre que la grande salle boulevardière s’est taillé sa réputation. Frédérick Lemaître, Marie Dorval et surtout Sarah Bernhardt étaient des comédiens fidèles. Près du métro Grands-Boulevards, le boulevard Poissonnière croise la rue et le faubourg du même nom, lesquels se prolongent par la rue des Poissonniers, qui devient elle-même avenue de la Porte-des-Poissonniers,et redevient, une fois de l’autre côté du périphérique, à Saint-Denis, la rue des Poissonniers. Cette insistance s’explique par le fait que, dès le XVIe siècle, le poisson frais était livré en moins d’une nuit depuis la Manche, par des attelages(les chasses-marées)qui suivaient un itinéraire tracé en droite ligne entre le port de Dieppe et le quartier parisien des Halles.


1870, le retour de la République est effectif.
 Il faut qu’un monument digne de ce nom inscrive l’événement pour la postérité. Les frères Morice érigent, place de la République, une œuvre monumentale : une Marianne enbronze de 9,50 mètres de hauteur, veillant sur les allégories de la Liberté, de l’Égalité, de la Fraternité. La République aimant aussi l’ordre, une caserne de 3 000 hommes jouxte Marianne et ses Droits de l’homme.

Les grands magasins.
 


Les grands magasins sont nés
 sur le boulevard Haussmann. Les Galeries Lafayette datent d’octobre 1912. Mais l’aventure avait débuté en 1894 sous l’impulsion de Théophile Bader et Alphonse Kahn. Tout y fut conçu pour que le client 
se sente bien, se laisse aller à l’émerveillement, donne libre cours à ses envies d’achats, de la terrasse du 5e étage avec vue panoramique sur la ville, à l’immense coupole aux armatures métalliques sculptées de motifs floraux. Les balustres des étages et la rampe d’escalier sont signés Majorelle. Autre temple de la mode, Le Printemps fondé par Jules Jaluzot en 1865, et sa grande nef centrale couverte d’une coupole.


27/08/2017 - 08:43
LUMIERE
A la tombée de la nuit, le patrimoine prend une tout autre dimension.
Mystère, magie, intimité ou grandeur, les jeux de lumières procurent des expériences uniques. Les sites l'ont bien compris et multiplient les animations lumineuses lors des nuits d'été.
Mais pour retrouver l'ambiance des fêtes d'autrefois, rien ne vaut les éclairages à la bougie. 
Bien avant l'arrivée de l'électricité, pour les fêtes de la cour, les maîtres de cérémonie ont redoublé d'ingénuosité pour offrir aux convivesdes soirées grandioses. La bougie était l'instrument indispensable de
leurs visions. En particulier, l'agencement des points de lumières le long des allées transcendait les perspectives des jardins à la française de le Nôtre et de ses disciples.
Aujourd'hui encore les grands châteaux ont recours à ces artifices pour offrir aux visiteurs quelques instants au temps de Louis XIV et des fêtes de Versailles.
 
Illumination à la bougie dans  les jardins des Tuileries à Paris.

Mais la bougie a bien évolué depuis le XVIIème siècle, car aujourd'hui la fête doit se poursuivre qu'il vente ou qu'il pleuve et plus question d'avoir une armée pour les rallumer tout au long de la soirée. La bougie
d'aujourd'hui a dû recourir à la technologie pour s'adapter et créer des mèches et des cires plus résitantes et qui durent toute la nuit.
Référence en France, la société société franco-suédoise Marschalle a mis au point des bougies d'extérieur capables de défier les aléas du temps, brûlant jusqu'à 12 heures, même la neige ne saurait les arrêter. Une résistance qui sert aussi le cinéma. La série "Versailles", dont les tournages nécessitent de longues heures, les utilisent sur les tournages de nuit dans les parcs du château de Versailles.