De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
27/08/2017 - 08:36
J'AIME LA CORSE.
























27/08/2017 - 08:09
ARRANGEMENT DE CHAMPIGNONS PHOTOGRAPHIES PAR JILL BLISS.
   
L'artiste et l'éducatrice Jill Bliss vit sur une petite île de  la mer de Salish, un réseau complexe de voies navigables côtières qui s'étend de la Colombie-Britannique au Pacifique Nord-Ouest. 
C'est parmi une vaste gamme de biodiversité qu'elle  crée des œuvres qui couvrent l'illustration, la photographie et l'aménagement temporaire de plantes et de champignons locaux auxquels elle fait référence comme Nature Medleys . 

 











27/08/2017 - 08:07
Marie Jeanne...voir le 25/08 le même sujet.
26/08/2017 - 20:25
                                              

Histoire de l'Hôtel du Nord à paris 10èm
Un hôtel rendu célèbre par le cinéma :




Ces noms vous paraissent familiers ? C'est normal, ce sont ceux des
personnages principaux du film de Marcel Carné, L'Hôtel du Nord. En
1938, l'hôtel est la vedette du nouveau long-métrage de ce réalisateur à
succès, au même titre qu'Arletty ou Louis Jouvet qui figurent au
casting. Pourtant, c'est en studio, où l'intérieur de l'établissement
ainsi qu'une partie du canal Saint-Martin ont été recréés, que la grande
partie des scènes ont été tournées. Mais il n'en reste que la façade si
caractéristique, elle, a marqué les esprits à jamais
L'idée de raconter le destin croisé des clients de cet hôtel n'est pas de Marcel
Carné : le cinéaste s'est contenté d'adapter sur écran le roman d'Eugène
Dabit, le fils des propriétaires, très inspiré par l'atmosphère
populaire du lieu.



Un hôtel très « titi parisien » :



Au tout début du XXème siècle, l'établissement de quarante chambres attirait une
clientèle populaire d'éclusiers, d'ouvriers et de chômeurs qui louaient
leurs chambres à la semaine. Peu de temps après son ouverture en 1912,
son parquet était déjà délabré, mais la chaleureuse salle de restaurant
et la courette avec écurie et poulailler lui apportent un charme
pittoresque.
Témoin de toutes les pérégrinations de l'hôtel, Eugène Dabit eut le temps de tout consigner dans un livre, mais
pas de voir ce dernier adapté à l'écran. Il mourut trop tôt d'une
scarlatine, en 1936.
Le succès du film fut immédiat, mais malgré l'engouement des Français pour
ce petit hôtel pittoresque, l'établissement se dégrada davantage. Grâce
au support de quelques passionnés de Paris et de cinéma, il échappa
plusieurs fois à la destruction avant de voir sa célèbre façade classée
au titre des monuments historiques en 1989.
Pour les repreneurs, impossible donc de toucher à ce qui est aujourd'hui un lieu
de pélerinage pour de nombreux nostalgiques. James Arch, l'ancien
assistant de Marcel Carné qui transforma le lieu en restaurant en 1995
conserva l'enseigne « Hôtel du Nord » malgré le changement d'activité
Et aujourd'hui encore, malgré l'arrivée d'un nouveau propriétaire et
l'aménagement de logements aux étages, la façade reste inchangée.
Au rez-de-chaussée, le restaurant actuel, beaucoup plus accueillant que
l'Hôtel du Nord du début des années 30, ne trahit en rien l'histoire
hors norme du lieu . Dans la partie bistrot, les dalles de ciment noir
et blanc et le comptoir en zinc ont été préservés.
Dans l'espace restaurant, de nombreux livres sur le cinéma, consultables sur place,
jonchent les étagères de la bibliothèque, tandis que des affiches de
films et des photos vintage d'acteurs habillent les murs  
26/08/2017 - 18:03
Le Rocher Percé Toujours Aussi Populaire...

Seulement pour le mois de juillet, Tourisme Gaspésie a noté une hausse de fréquentation de ses principaux attraits de 29 %.
Photo François Roy, Archives La PresseNathaëlle Morissette La Presse
La mer, les excursions en kayak, l'île Bonaventure et le parc national Forillon ont une fois de plus attiré de nombreux vacanciers pendant la saison estivale.

Seulement pour le mois de juillet, Tourisme Gaspésie a noté une hausse de fréquentation de ses principaux attraits de 29 %.
«On a tellement eu du beau temps», s'exclame Joëlle Ross, directrice générale de Tourisme Gaspésie. Il s'agit, selon elle, de l'une des principales clés du succès de la saison estivale en terre gaspésienne.

CLIC.............  Rocher de Percé, Gaspésie, Québec from Tonio Nicolazzi on Vimeo.

CLIC..............La Tournée des Entrepreneurs 2014 - Gaspé from Credo Productions on Vimeo.

CLIC.............Aquarelles de voyage au Rocher Percé from Alain MARC peintre on Vimeo.

J'enseigne les méthodes que j'utilise lors de mes stages et cours et suis heureux de vous faire partager mon expérience.
Nombreux sont les carnettistes et aquarellistes qui ont su en tirer profit !
Aujourd'hui c'est à Percé que je vous emmène, en Gaspésie, au Québec...
L'an dernier, la péninsule a accueilli quelque 762 000 visiteurs, ce qui avait réjoui les acteurs de l'industrie touristique.
Et on s'attend cette année à surpasser ce nombre.
26/08/2017 - 16:13
                                  SI VOUS VOUS SENTEZ CONCERNÉ,AGISSEZ !..............

                                        
> > Retraite Attention danger.
 
Lisez ce qui suit..........>  > >  Chère Madame, Cher Monsieur,
> >  

> > C'est une aide déterminante pour stopper cette attaque sans précédent sur les retraités.
> > Nous sommes en train d'organiser un rendez-vous avec les services du
ministre de l'Economie pour lui remettre ces pétitions. Je voudrais
pouvoir lui remettre au moins  50.000 pétitions, et si possible, même,
100.000.
> > Si chacun fait un petit geste, nous pouvons y arriver en quelques jours.
> >  Alors, s'il vous plaît, transférez le mail ci-dessous à 5 ou 10 personnes de votre liste de contacts.
> > D'avance merci pour cette aide supplémentaire pour riposter à ce coup de massue
sournoisement préparé et stopper cette hausse fiscale brutale.
> >
> > Très cordialement,
> > Marie-Laure Dufrêche
> > Déléguée générale
> >
> >   Chère Madame, Cher Monsieur,
> >  
> >  1) Le nouveau gouvernement a décidé de mener une attaque sans précédent sur
les retraités, et j'ai besoin de vous de toute urgence   pour la
contrer.

> > Car ce qu'ils veulent infliger aux retraités de ce pays est vraiment inacceptable :
> >
> > 1) Une augmentation de 25% de la CSG
> >  Des millions de retraités vont subir une augmentation de 25 % de la CSG sur leur retraite, qui bondira d'un coup de 6,6 à 8,3 %.
> > Une hausse aussi violente d'un impôt, en une seule fois, c'est quasiment du
jamais vu. Une amputation radicale de votre retraite, que vous pouvez
encore éviter, à condition qu'on s'y oppose dès maintenant. Et
massivement.
> > Alors signez sans attendre la pétition "NON à la hausse de la CSG !"
> > > Mais je dois dire aussi que la méthode pour enfumer les citoyens avant
les élections, et donner l'impression d'avoir un blanc-seing ensuite
pour se livrer à cette augmentation brutale d'impôt, est encore plus
odieuse.
> >
> >  2) Un mensonge odieux
> > Lorsqu'il était en campagne, l'actuel Président Emmanuel Macron évoquait, pour
museler l'opposition à son projet, une hausse qui ne toucherait que les
plus aisés.
> > Or on découvre, après son élection, que la hausse de la CSG touchera les personnes ayant une retraite de 1200
euros par mois ou plus…"Aisé" à 1200 euros par mois ?… C'est honteux !

> > Tous ces retraités modestes, qui comptent déjà chaque euro à la fin du mois,
je les ai souvent au bout du fil, à l'association. Et croyez-moi, ils
sont désespérés face à l'annonce de cette nouvelle augmentation brutale.
> >  La vérité, c'est que le gouvernement Macron s'apprête à infliger une
augmentation brutale d'impôt (+ 25 % !) à l'immense majorité des
  retraités, y compris ceux qui ont déjà du mal à boucler les fins de mois. Et ça ne s'arrête pas là.
> >
> >  3) Votre épargne attaquée
> > Depuis des années, tout le monde sait que les caisses de retraite vont droit
dans le mur et que les pensions seront réduites comme peau de chagrin.
> > Alors, pour ne pas être à la charge de leurs enfants, beaucoup font l'effort de mettre de l'argent de côté, d'épargner pour leurs vieux jours.
> >  Eh bien ces petits revenus de l'épargne, destinés à compléter des pensions en berne, vont eux-aussi subir une augmentation de la
> >   CSG ! Le taux passera de 8,2 à 9,9 %. Soit une augmentation de 14 % !
> > C'est une attaque massive contre les retraités : une punition pour tous ceux qui, durant toute leur vie, ont travaillé, payé
des impôts, cotisé à toutes les caisses de Sécu et de retraite, et ont
en plus fait l'effort d'épargner pour assurer dignement leurs vieux
jours et qui n'ont plus eu de revalorisation de leur retraite depuis 
des années.  C'est odieux !
> > Il n'y a aucune raison de se laisser faire docilement.
> > S'il vous plaît, aidez-moi à organiser la protestation dans tout le pays : signez la pétition "NON à la hausse de la CSG !"
> > Il n'y a pas une seconde à perdre.
> > Le Président l'a dit : il veut gouverner par ordonnance. Autrement dit, pour les premières mesures, il agira très vite.
> > Notre seul et UNIQUE recours est d'agir MAINTENANT, MASSIVEMENT, pour tuer
dans l'œuf cette mesure détestable avant qu'elle soit appliquée.
> >
> > C'est pourquoi il est très important, après avoir signé, de transférer cet
email à tous vos amis, retraités ou en âge de se constituer une épargne
pour leur future retraite :
> >
> > 1) pour les informer du coup de coup de massue fiscal, sournoisement
préparé, qu'ils vont se prendre s'ils ne réagissent pas très vite,
> > 2) pour leur demander de venir grossir les rangs de la protestation en signant, eux-aussi, la pétition.
> >
> > Ne rien dire, ne rien faire aujourd'hui, pour contrer un projet à ce point
hostile aux retraités, ce serait se comporter en victime consentante.
Nous ne leur ferons pas ce cadeau.
> >
> > Tous ensemble, nous allons nous battre pour stopper cette hausse fiscale brutale.
> >
> >    Aidez-nous à faire entendre une bronca dans tout le pays :
> >
> >  signez et faites signer massivement la pétition "NON à la hausse de la CSG !".
>
26/08/2017 - 13:42

                                   ÇA C'EST PASSÉ UN 26  AOUT         




Si je vous dis « Gonxha Bojaxhiu », il y a de fortes chances pour que vous ne
connaissiez pas cette personne. Mais si je vous dis « Mère Teresa »,
là, tout de suite, vous me répondrez que vous savez qui c'est !
Gonxha, que l'on traduit par Agnès, est née le 26 août 1910 à Usküb, connu plus
tard sous le nom de Skopje, en Macédoine, à l'époque territoire
appartenant à l'Empire ottoman. Toute cette région de l'Europe
sud-orientale, la « Péninsule des Balkans », qui correspond à
l'ex-Yougoslavie, la Bulgarie, l'Albanie, la Grèce et la Turquie
d'Europe, a toujours été en proie aux agitations, aux tensions et aux
conflits de toutes sortes. La « poudrière des Balkans », l'a-t-on
surnommée !
La famille de Gonxha est d'origine albanaise. Son père, Kölle (Nicolas), est entrepreneur. Sa mère s'appelle Drana. Agnès est
leur troisième enfant, après leur fille Aga et leur fils Lazare. Agnès
fit sa Première Communion à l'âge de cinq ans et demi et fut confirmée
en novembre 1916. Très tôt, Elle est « tombée amoureuse » de Jésus et,
tout au long de son existence, cette intimité avec son Seigneur n'a
jamais cessé de grandir ! La mort soudaine de son père, quand elle avait
environ huit ou neuf ans, laissa la famille Bojaxhiu dans une condition
financière difficile. Drana éleva ses enfants avec amour et fermeté,
influençant beaucoup le caractère et la vocation de sa fille. La
formation religieuse de Gonxha fut soutenue par la paroisse jésuite très
active du Sacré-Cœur dans laquelle elle était bien engagée.

Agée seulement de dix-huit ans, elle est poussée par le désir de devenir
missionnaire. Gonxha quitte sa maison en septembre 1928. Elle s'engage,
avec une amie, dans la vie religieuse dans la Congrégation de Notre-Dame
de Lorette, d'inspiration jésuite. Ces sœurs sont connues aussi sous le
nom des « Dames irlandaises » ; la maison-mère se trouve à Dublin, en
Irlande. Cette congrégation est vouée à l'enseignement afin de former
des mères de familles chrétiennes à travers le monde. Agnès et sa
compagne partent donc pour Dublin, en traversant l'Europe... Elles
rencontrent la Supérieure Générale de la Congrégation. Jugées « aptes »,
elles deviennent postulantes. Le 1° décembre 1928, elles s'embarquent
pour les Indes, colonie britannique
Les deux jeunes postulantes abordent le sous-continent indien au tout début de l'année 1929...
Madras... le Golfe du Bengale... le Gange... Calcutta... Le choc !...
Tout est complètement différent : deux continents, l'Europe et l'Asie...
deux civilisations, européenne et indienne... deux religions,
chrétienne et hindouiste...
A Calcutta, les bidonvilles les plus sordides côtoient les plus belles demeures coloniales. Dans le clos
d'Entally, Loreto House, le couvent aux murs blancs où s'installent
Agnès et sa compagne, est une oasis de calme, de fraîcheur, de paix et
de propreté... Peut-être trop coupé de la vie et de la réalité humaine
indienne..
Agnès se rend à Darjeeling pour son noviciat, à 600 Km de Calcutta et à 2000 m d'altitude au pied de la chaîne himalayenne. C'est
une ville très prisée de la bonne société coloniale.
Le 23 mai 1929, Elle prend l'habit. « C'est le plus beau jour de ma vie, celui où je me suis donnée entièrement au Christ.
En 1931, la jeune novice fait sa Profession religieuse. Elle prend le nom
de Sœur Teresa, en l'honneur de sainte Thérèse de Lisieux, canonisée
depuis peu et déclarée patronne des missions. « Je l'ai choisie parce
qu'elle faisait des choses ordinaires avec un amour extraordinaire. .
Un premier poste lui est donné dans un petit dispensaire au milieu de la
jungle du Bengale. Elle aide les infirmières pour la réception et le
soin des malades, laver, panser, donner des rudiments d'hygiène. Elle se
retrouve plongée dans l'univers indien.

Elle prend la mesure du dénuement de ces paysans, s'imprègne de leur mode de vie et de leur
culture. Elle apprend l'hindi et le bengali.
Quelques siècles plus tôt, en Amérique du Nord, des Jésuites avaient appris le huron et l'iroquois...

Apporter un témoignage chrétien demande une adaptation aux mentalités et aux
langues des peuples rencontrés, tout ceci sans impérialisme et sans
supériorité !
Le sabre et le goupillon » ont, finalement et malheureusement, toujours fait mauvais ménage ! Seul l'amour
désintéressé peut faire avancer le royaume du Christ !
Sœur Teresa avait raison. Déjà, ce qu'elle « inventerait » plus tard, prenait
naissance dans son cœur... Jean-Paul II dira d'elle des années plus tard
:
Après quelques mois passés dans cette forêt, elle est rappelée à Calcutta où elle sera enseignante. Elle obéit humblement et retrouve les
murs blancs de Loreto House. Elle donne des cours aux jeunes filles de
la bonne société bengalie dont les familles paient l'enseignement.Elle
se rend aussi dans une école primaire qui accueille gratuitement tous
les enfants dont les pauvres des bidonvilles. C'est le mot « slums » qui
traduit, en anglais, « bidonvilles ». Sœur Teresa se rend souvent dans
ces slums. Elle apprend aux enfants l'alphabet et la lecture mais aussi
la propreté.
Ses supérieures lui confient aussi la formation et l'accompagnement des Sœurs de sainte Anne, branche de la Congrégation de
Notre-Dame de Lorette fondée pour les jeunes filles bengalies désirant
se faire religieuses. Elles portent le sari et vivent à la manière
indienne. Sœur Teresa apprendra beaucoup au contact de ces jeunes femmes
ainsi qu'auprès de la population des quartiers pauvres de Calcutta
En 1937, Sœur Teresa fait sa profession religieuse perpétuelle, devenant,
comme elle disait, « l'épouse de Jésus » pour « toute l'éternité
Bientôt, elle est choisie pour être directrice des études à Sainte-Marie
d'Entally, école pour les jeunes anglaises et indiennes huppées de
Calcutta.
Les années que Mère Teresa passa à Loreto furent remplies d'une joie profonde, elle était très pieuse, aimant profondément ses
sœurs et ses élèves. Remarquée pour sa charité, sa générosité et son
courage, sa résistance au travail et douée d'un talent naturel pour
l'organisation, elle vécut sa consécration à Jésus, au milieu de ses
compagnes, avec joie et fidélité. Mais les responsabilités de Mère
Teresa liées à sa charge ne manquent pas !... Sa mère répond un jour à
une de ses lettres : « Ma chère enfant, n'oublie pas que si tu es partie
dans un pays si lointain, c'est pour les pauvres... »

L'appel dans l'appel



Septembre 1946, un train qui bringuebale entre Calcutta sur la plaine côtière et
Darjeeling sur le piémont himalayen... Mère Teresa se rend à sa retraite
annuelle, un peu de calme et de ressourcement dans une vie « prenante »
de directrice, et quelques fois mouvementée...


Déjà, en 1942, elle avait ressenti le désir intense de « faire quelque chose de
très beau pour Jésus ». La réponse à cette prière et à cette quête se
fit donc dans un train la nuit du 9 au 10 septembre 1946.


J'entendis l'appel de tout laisser et de suivre le Christ dans les bidonvilles, au
milieu des plus pauvres parmi les pauvres. Je savais que c'était sa
volonté, et il fallait le faire. » Mère Teresa dira plus tard à propos
de cet événement crucial pour sa vie religieuse : « C'était un appel à
l'intérieur de ma vocation, une sorte de seconde vocation. »



Rappelez-vous l'épisode évangélique du riche notable. Jésus lui énuméra les
commandements ; le notable lui répondit qu'il avait obéi à ces
commandements depuis sa jeunesse – ce qui n'était déjà pas mal ! -. Mais
Jésus voulait l'appeler à aller plus loin :

« Il te manque encore une chose : vends tout ce que tu as et distribue l'argent aux
pauvres, alors tu auras des richesses dans les cieux ; puis viens et
suis-moi.” Mais quand l'homme entendit ces mots, il devint tout triste,
car il était très riche. » (Lc 18,22)


Ce jour-là, d'une manière qu'elle n'expliquera jamais, la soif de Jésus
d'aimer et sa soif pour les âmes prit possession de son cœur et le désir
de satisfaire cette soif devint la motivation de sa vie. Au cours des
semaines et des mois suivants, Jésus lui révéla, par des locutions
intérieures et des visions, le désir de son cœur d'avoir « des victimes
d'amour », qui « diffuseraient son amour sur les âmes ». Il la suppliait
: « Viens, sois ma lumière ». « Je ne peux y aller seul. » Il lui
révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin
d'être ignoré d'eux et son immense désir d'être aimé par eux. Il demanda
à Mère Teresa d'établir une communauté religieuse, les Missionnaires de
la Charité, dédiée au service des plus pauvres d'entre les pauvres
Vers la fin de sa vie, Mère Teresa ouvra un peu son cœur :

« J'ai souhaité, comme la Vierge Marie, garder toutes ces choses dans mon
cœur... C'est quelque chose de si intime, de si sacré, qu'encore
aujourd'hui, j'éprouve de la timidité à en parler.
Presque deux ans d'épreuves et de discernement passèrent avant que Mère Teresa ne reçoive
la permission de commencer. Elle en avait parlé en premier à son
confesseur ; il lui avait enjoint de « prier et garder le silence ».
C'est en janvier 1947 que le prêtre transmit lui-même la demande à Mgr
Périer, archevêque de Calcutta, qui refusa tout d'abord. Puis
l'archevêque fit part au pape Pie XII du projet de Mère Teresa. Le
Vatican accepta une « exclaustration » d'une année, à condition que la
Supérieure générale de Notre-Dame de Lorette et l'archevêque en soient
d'accord.


La religieuse en sari blanc et bleu



Le 18 août 1948, elle se revêtit pour la première fois de son sari blanc
bordé de trois liserés bleu et passa les portes de son couvent de
Lorette pour entrer dans un autre monde, celui des pauvres...

En partant, elle emporta juste un petit sac en tissu qui contenait une
Bible, un carnet, quelques roupies... et une certitude intérieure : «
Dieu m'accompagne ; c'est lui qui l'a voulu. »



L'archevêque lui fit deux recommandations : se former aux soins médicaux de base et
prendre des notes pendant les six premiers mois de son expérience. Mère
Teresa fit donc un stage de deux mois chez des Sœurs américaines de la
Mission Médicale qui tenait un hôpital à Patna. Puis elle retourna faire
une retraite à Darjeeling.
Mère Teresa revint à Calcutta et trouva un logement temporaire chez les Petites Sœurs des Pauvres puis dans une
famille. Elle allait pour la première fois réellement seule dans les
bidonvilles. Elle visita quelques familles, lava les plaies de plusieurs
enfants, prit soin d'un vieil homme malade allongé dans la rue et d'une
femme tuberculeuse mourant de faim. Elle commençait chaque journée en
communion avec Jésus dans l'Eucharistie et puis elle sortait, le
chapelet à la main, pour le trouver et le servir dans « les rejetés, les
mal-aimés, les négligés ». Après quelques mois, d'anciennes élèves la
rejoignirent

La fondation des Missionnaires de la Charité



Le 7 octobre 1950, un décret de Rome consacra l'existence de la nouvelle
Congrégation des Missionnaires de la Charité dans l'Archidiocèse de
Calcutta.

En 1953, les premières sœurs prononcèrent leurs vœux. En 1965, la Congrégation devint de droit pontifical
Au début des années 60, Mère Teresa commença à envoyer ses sœurs dans
d'autres régions de l'Inde. L'approbation accordée par le Pape Paul VI
en février 1965 l'encouragea à ouvrir une maison au Venezuela. Puis ce
fut bientôt des fondations à Rome et en Tanzanie et finalement, sur tous
les continents. Commençant en 1980 et continuant à travers les années
90, Mère Teresa ouvrit des maisons dans presque tous les pays
communistes, y compris l'ancienne Union Soviétique, l'Albanie et Cuba.
Que ce soit auprès des alcooliques, des drogués, des « clochards », des
chômeurs, des malades du SIDA, les Missionnaires de la Charité sont là !
Les pauvres, les rejetés, sont les amis du Christ, ils sont le Christ !
Durant les dernières années de sa vie, malgré des problèmes de santé de plus
en plus sérieux, Mère Teresa continua à gouverner sa congrégation et à
répondre aux besoins des pauvres et de l'Eglise. En 1997, les sœurs de
Mère Teresa étaient au nombre d'environ 4000 et étaient établies dans
610 fondations réparties dans 123 pays du monde. En mars 1997, elle
bénit la nouvelle supérieure générale des Missionnaires de la Charité
récemment élue et elle effectua encore un voyage à l'étranger. Après
avoir rencontré le Pape Jean Paul II pour la dernière fois, elle rentra à
Calcutta et passa ses dernières semaines à recevoir des visiteurs et à
enseigner ses sœurs. Le 5 septembre fut le dernier jour de la vie
terrestre de Mère Teresa.
L'ensemble de la vie et de l'œuvre de Mère Teresa témoignent de la joie d'aimer,
de la grandeur et dignité de chaque être humain, de la valeur de chaque
petite chose faite avec foi et avec amour, et, par-dessus tout, de
l'amitié avec Dieu

La Mémoire de la Bienheureuse Teresa de Calcutta est célébrée le 5 septembre.


26/08/2017 - 12:06
Alerte aux nanoparticules dans les sucreries.
Par Anaïs Chabalier
© iStock Photo
 Les sucreries contiennent des nanoparticules, sans que leur présence ne soit précisée sur les produits, révèle une enquête menée par 60 millions de consommateurs.
Bonbons, biscuits et glaces... Ces sucreries appréciées des enfants ont une face cachée : elles contiennent des nanoparticules, dont la présence n'est pas toujours spécifiée sur les étiquettes. C'est ce que révèle 60 millions de consommateurs, dans une enquête parue dans son numéro de septembre.
Le colorant E171 dans le viseur.
Les nanoparticules sont des éléments 50 000 fois plus petits qu'un cheveu.
En raison de leur petite taille, ils passeraient plus facilement la barrière de la peau et pénétreraient ainsi dans l'organisme. Dans son
enquête, 60 millions de consommateurs s'est penché sur la présence du colorant E171 ou dioxyde de titane sous forme de nanoparticule, un additif qui modifie la couleur, le goût ou encore la texture d'un produit. Le magazine a analysé 18 produits sucrés, à savoir des bonbons, des gâteaux et des desserts glacés. Et le résultat est pour le moins inquiétant : tous les échantillons testés contenaient des nanoparticules de dioxyde de titane sans afficher la mention "[nano]", contrairement à ce que prévoit le règlement européen Inco.
Problème : le colorant E171 est sous surveillance. En avril dernier, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) mettait d'ailleurs en garde contre cet additif, à la suite d'une étude menée par l'Institut national de la recherche agronomique (Inra). Ces travaux révélaient que le colorant E171 favorise la croissance de lésions pré-cancéreuses chez le rat. "Aucune conclusion n'est toutefois établie pour l'homme sur le potentiel effet 'promoteur' de la cancérogenèse du E171", souligne 60 millions de consommateurs, avant de conclure : "en attendantque la transparence s'impose, le plus sage pourrait être de bannir les aliments contenant les additifs suspects".
26/08/2017 - 11:39
Etiquetage sur les Fruits… Bon à savoir !!


   Étiquetage sur les Fruits :

Retenez "code à 5 chiffres et commençant par le chiffre 9"


Voici ce que les étiquettes sur vos fruits signifient : faites attention !

Lorsque vous achetez des fruits, vous avez sûrement remarqué les étiquettes dessus et vous vous êtes demandé ce qu’elles signifiaient.

 

1-Si l'étiquette comporte 4 chiffres commençant par 3 ou 4 cela signifie :
que le fruit a été cultivé en culture intensive, à savoir avec des engrais chimiques.

 
2- Si le produit dispose de 5 chiffres, commençant avec le numéro 9, cela signifie:
que le produit a été cultivé de façon traditionnelle, sans pesticides et  sans fumier.
 
Ceci est le meilleur produit.


3-
Si le produit dispose de 5 chiffres, dont le premier numéro est de 8,
le produit a été génétiquement modifié, vous devez donc l’éviter.
 

Par conséquent, soyez extrêmement prudent lorsque vous achetez vos produits la prochaine fois que vous ferez des courses !




 
26/08/2017 - 07:48
5 membres de la Garde Royale s’écroulent lors d’une cérémonie en présence de la reine d’Angleterre

Samedi 17 juin dernier à Londres, cinq soldats de la Garde Royale Britannique n’ont pas supporté les fortes chaleurs durant la cérémonie du “Trooping The Colour”, fêtant les 90 ans de la reine Elisabeth.
Comme le prouvent les images ci-dessous, c’est sous les yeux de la famille royale que plusieurs membres de la Garde Royale se sont effondrés, ne supportant pas les températures qui ont rapidement dépassées les 30°C.