Balade florale a la gacilly Derrière la carte postale de village fleuri du Morbihan, La Gacilly recèle une âme beaucoup plus contemporaine : une halte ressourçante à ne pas manquer.
Un fleurissement récompensée par 4 fleurs au label Villes et villages fleuris. En faisant escale à La Gacilly, vous découvrirez, mieux qu’un jardin, un ensemble de lieux dédiés à la nature. Ils se révéleront doucement à vousau fil des chemins creux du bocage et des ruelles du village qui masque avec une profusion de fleurs l’austérité de ses murs de granit. Du petit carré potager au bord de l’eau à l’immense jardin botanique, vous irez de découverte en découverte. Vous vous rendrez à l’autre bout du monde devant des chefs-d’œuvre photographiques accrochés à des murs de verdure. Et vous finirez peut-être dans les vapeurs bienfaisantes du Spade l’éco-hôtel récemment implanté en haut de la colline. Tout ce que décrivons ici pourrait être pris comme une succession d’attractions visant à détourner les foules du littoral, mais c’est bien plus que cela, car tout ici converge vers un seul et même but : célébrer la nature et inciter à mieux la respecter et la préserver. Le long de l’Aff (1), La Gacilly propose, entre autres haltes dédiées à la nature, son jardin botanique (2). Nature et cosmétique. Le mécène des lieux, un enfant du pays nommé Yves Rocher, a toujours cultivé le naturel, un credo qui a fait sa réputation bien au-delà de nos frontières. À tel point que La Gacilly, en un demi-siècle, est devenue une capitale reconnue de la cosmétique. À quelques centaines de mètres du siège et de l’usine high-tech, le village a conservé son aspect authentique et attiré bon nombre d’artisans et d’artistes. Mais l’entreprise n’est devenue vraiment visible que depuis une quinzaine d’années, à la faveur des nouveaux aménagements du jardin botanique. Des expositions photographiques cachées dans un labyrinthe de verdure. Longtemps réservé aux seuls chercheurs, il s’est doté de nouveaux carrés de culture, classés selon les usages, destinés à un large public pris en charge par des animateurs. De récentes plantations d’arbres apportent un nouvel intérêt au paysage; et au bord de l’eau, une maison s’est vue transformée en « herbularium », avec un parcours scénographique consacré aux plantes cosmétiques venues d’ailleurs. Des œuvres contemporaines dressées sur la lande et ses prairies. Un mécénat plus militant Les transformations des années 2000, puis l’ouverture d’un hôtel-Spa à l’avant-garde de la construction durable participent d’une volonté d’amener le public à une plus grande conscience écologique. Ce bâtiment de bois et de verre, dont les ouvertures sont orientées pour optimiser le réchauffement solaire, est semi-enterré sous des toits de prairie ; les res- taurants sont approvisionnés localement par des maraîchers qui,forts de ce débouché, ont pu se mettre en bio, tout comme le boulanger du coin; tout le monde en profite, jusqu’aux vaches de race pie noire qui étaient en voie d’extinction et qui sont remises au pré. 1. Le toit végétalisé de l’éco-hôtel la Grée des Landes. 2. La cabane perchée : une autre option d’hébergement. 3. La prairie est omniprésente. 4. Devant le restaurant, le potager rappelle que la cuisine puise dans les ressources du terroir. Le domaine de la Grée des Landes travaille au côté de la Ligue de protection des oiseaux pour augmenter le potentiel d’accueil de l’avifaune locale : plantations d’essences fruitières, entre- tien des haies et des prés, création de mares, installation de nichoirs dans les murs sont la promesse de belles envolées à observer depuis les terrasses de l’hôtel. Des restaurants approvisionnés par les produits du terroir. 4 simples aux propriétés bienfaisantes Autour du village, 50 ha de champs sont dédiés à la production des fleurs pour la firme cosmétique, mais bien d’autres simples poussent en liberté dans les prairies... apprivoisez-les dans votre jardin. 1. Calendula officinalis. Le souci est un anti- inflammatoire aux propriétés multiples (anti-œdème, anti- oxydant..) utilisé en dermatologie pour apaiser les brûlures et les plaies et soigner les peaux fragiles. Cette annuelle à la vie dure fleurit tout l’été et se ressème librement partout. 2. L’arnica est essentiel à la pharmacie familiale pour parer les coups, les douleurs musculaires et les piqûres d’insectes ; en gel, pommade, onguent ou huile, il s’applique sur la peau en l’absence de lésions. Longtemps approvisionnée par les cueillettes d’Arnica montana, la cosmétique utilise aujourd’hui A. Chaminossis aux propriétés similaires, et cultivable en champs. 3. Hypericum perforatum. Le millepertuis est une « mauvaise herbe » à préserver dans la prairie. Très actif contre les brûlures, on en fait des huiles et pommades anti-inflammatoires et cicatrisantes. En lotion, il régule les peaux grasses. 4. Malva sylvestris La mauve est un astringent qui rend la peau plus lisse, plus douce et apaise les petites irritations. Que demander de plus à cette fleur des talus, vivace et florifère, qui pousse toute seule ou presque !
Du champ au séchoir À La Gacilly, tout est accompli manuellement pour des produits 100 % naturels. Le sol n’est jamais désherbé autrement qu’à la main ou à la herse avant les semis. La technique du faux semis – qui consiste à laisser lever les mauvaises herbes sur le sol préparé – permet d’éliminer un bon nombre d’adventices avant de semer pour de bon. L’alternance des cultures avec des semis d’engrais vert maintient une bonne fertilité des sols. Les fleurs sont cueillies à maturité, immédiatement triées, et passées au séchoir ; celui-ci est chauffé au bois, un choix énergétique adopté en 2011 pour tout le site.
L’une des différences les plus frappantes dans bon nombre de ces plages sont les différentes couleurs de leur sable. Le sable est généralement formé à partir de ce que les vagues ramènent sur le rivage, que ce soit de la roche, des coquillages, des coraux, ou du verre. Les plages vertes, très rares, peuvent contenir de l’olivine, qui provient d’éruptions volcaniques, et les plages de sable noir sont aussi généralement formées par les restes volcaniques. Les plages roses des Bermudes sont colorées par les restes de coraux. Glass Beach, Fort Bragg, Californie Cette plage est connue pour être abondante en verres de mer, créés par des années de déversement d’ordures dans la zone côtière située au nord de la ville, qui font désormais venir de nombreux touristes dans la région. La plage secrète des Îles Marieta, au Mexique Située dans une sorte de cratère à ciel ouvert et baignée de soleil, cette plage est artificielle et a été créé par l’explosion d’une bombe qui aurait atterri malencontreusement à cet endroit lors des essais militaires du siècle passé. Une plage des Maldives qui scintille en pleine nuit Les petites lumières bleues sur cette plage aux Maldives sont causées par le phytoplancton, des plantes microscopiques bioluminescentes, qui dégage de la lumière lorsqu’il est agité par les vagues. La plage des Cathédrales à Ribadeo, EspagneCette plage sur la côte Nord de l’Espagne a de magnifiques arches qui ressemblent aux contreforts d’une cathédrale. Celles-ci ont été formées par l’eau qui se fracasse contre les parois depuis des milliers et des milliers d’années. Pink Sand Beach, aux Bahamas Le sable rose de cette plage des Bahamas est pigmenté par les restes de coraux échoués, qui sont brisés et broyés en petits morceaux par le ressac. Maho Beach et ses atterrissages d’avions extrêmes, Saint-Martin Cette plage est vraiment spéciale. Une piste d’aéroport se trouve juste à quelques mètres du sable et des baigneurs. De quoi en effrayer (et décoiffer) quelques-uns. Ce « phénomène » existe aussi en Grèce. Plage au bord du lac Jökulsárlón, en Islande Le sable noir volcanique sur cette plage islandaise contraste admirablement avec les morceaux blancs et vitreux de la glace. Les œufs de dragons (Moeraki Boulders) de Koekohe Beach, en Nouvelle Zélande Des centaines d’énormes rochers sont éparpillés sur la plage de Koekohe comme des œufs de dragons géants prêts à éclore… Ces rochers sphériques auraient été formés il y a plus de 60 millions d’années et sont simplement le résultat de la concrétion et de l’érosion au fil du temps.
Royaume-Uni. Voici les aliments interdits à la famille royale ! La reine d'Angleterre Élizabeth II est soumise à un régime alimentaire strict. Fruits de mer, viandes saignantes ou plats trop épicés sont ainsi exclus des menus de la famille royale britannique. Et ce, dans le but d'éviter des intoxications alimentaires. Les excès ou petites gourmandises ne sont pas tolérés pour la reine d'Angleterre et sa famille. Et il s'agit là, peut-être, du secret de longévité de Sa Majesté Élizabeth II Le quotidien britannique The Sun révèle ainsi une liste d'aliments interdits au menu des repas de la famille royale. Et pas question de s'écarter de ce protocole strict.
Fruits de mer et viande saignante prohibés : Les fruits de mer sont ainsi exclus. Exit donc les crevettes, les huîtres ou le crabe. Le risque d'intoxication alimentaire est trop grand et pourrait entraver les emplois du temps de la reine Élizabeth II ou de son petit-fils le prince William. Pour la même raison, la viande saignante est aussi bannie, ainsi que les plats épicés ou exotiques et l'eau du robinet dans les pays étrangers Nous ne pouvons jamais servir de plats avec de l'ail, ou trop d'oignons », avait aussi expliqué en 2015, dans une interview à Recipes Plus, Darren McGrady, le chef au service de la famille royale pendant quinze ans
Il a également indiqué que la reine ne consomme que des produits de saison : « Vous pouvez donner à la reine des fraises tous les jours pendant l'été au château de Balmoral (Écosse) et elle ne dira rien ... Mais essayez de mettre des fraises dans le menu en janvier et elle l'effacera, disant qu'il est hors de question qu'elle mange des fraises génétiquement modifiées. .
Nous vous invitons à découvrir une exposition unique consacrée à la cité interdite de Pékin, et qui se tient au Grimaldi Forum de Monaco. Grâce à une caméra 360 degré, vous allez pouvoir littérallement faire le tour des salles, pas moins de 3200 mètres carrés, réparti en une dizaine de salles. Les pièces exposées viennent des quatre coins du monde, et de nombreuses viennent directement de la Cité interdite, prêtées spécialement pour l’occasion. La Cité interdite est l’un des ensembles palatiaux les plus prestigieux et le site le plus visité au monde avec quelques 10 millions d’entrées paran. A la fois palais et musée, c’est autour de lui que la nouvelle capitale de Pékin s’est ordonnée. La Cité interdite a surgi ex-nihilo de la volonté du 3ème des empereurs des Ming et fut construite d’un seul jet entre 1406 et 1420. Elle deviendra le berceau du pouvoir où se succéderont les empereurs Mandchous sur près de trois siècles.
Cette Association Installe Des Potagers Sur Les Toits De ParisDepuis 7 ans, l'association Veni Verdi se donne pour mission de verdir les toits des écoles parisiennes en y installant des potagers. Par Victoria Ouicher 23 août 2017 Et si les Parisiens faisaient pousser leur nourriture ? Dans la capitale, le prix de l’immobilier est tellement élevé qu’il n’y a pas de place pour les jardins.
Chaque espace est optimisé. Alors, une association a eu une idée... :investir les toits pour en faire des potagers collectifs.
L’objectif de Veni Verdi est simple : permettre aux habitants de Paris de savoir ce qu’ils mettent dans leurs assiettes.
Que ce soit sur les toits des collèges ou des écoles, l’association est à la recherche de tout espace qu’elle pourrait verdir.
Et choisir de s’implanter en milieu scolaire n’est pas anodin, comme l’explique Nadine Lahoud, la fondatrice de l’association, au micro de Mr Mondialisation...
« Les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain et si on veut agir surun des leviers, il faut le faire le plus tôt possible. »
Aujourd’hui Veni Verdi exploite quatre sites et s’apprête à en ouvrir trois autres.Nadine Lahoud a débuté ce projet associatif en 2010. Mais c’est en 2015 que Veni Verdi a réellement grandi, avec l’arrivée de trois salariés qui ont rejoint la fondatrice. L’association produit ses fruits et légumes dans le respect de l’environnement...
« Il n’y a pas de produits chimiques, pas de pesticides, même pas de pesticides naturels, il n’y a rien du tout, que de l’eau, de l’eau de pluie, de l’amour et de la passion. »
Vendredi 23 juin, a partir de 15h30 pour la Fête des Talents au collège Henri Matisse, Veni Verdi propose de rencontrer nos poulettes... De visiter le toit, et aussi nous proposerons des légumes et des plants à la vente et à 18h nous serons au Natema pour ceux qui ne peuvent pas venir au collège !!! Des bizzzz chaleureuses... Veni Verdi vise également à rapprocher les habitants et à créer du lien social autour d’une activité commune. Car l’association ne pourrait exister sans ses bénévoles. Chaque semaine, ils sont invités à travailler sur différents sites selon leurs disponibilités par groupe d’une dizaine de personnes. Et quand on sait que de très sérieuses études ont prouvé à plusieurs reprises les bienfaits du jardinage sur le bien-être personnel, on n’a qu’une envie, c’est de s’inscrire pour la prochaine session. Et si vous n’avez vraiment pas la main verte mais que vous souhaitez manger sainement, Veni Verdi vend ses récoltes tous les jeudis du mois. Il semblerait que la nature tente petit à petit de regagner ses droits dans les grandes villes, et c’est une bonne nouvelle.
1572 : Début du massacre de la Saint-Barthélemy à Paris 1916 : Naissance du chanteur monégasque Léo Ferré[ 1968 : La France lance sa première bombe H au-dessus de l'atoll de Fangataufa 1978 : Décès du chanteur et musicien américain Louis Prima. 79 L'éruption du Vésuve ensevelit Pompéi Dans la nuit du 23 au 24 août de l'an 79 de l'ère chrétienne, le Vésuve entre en éruption et cause la destruction des villes de Pompéi, Herculanum et Stabies, ensevelies sous une pluie de cendres et de boue. Les habitants des villes de Pompéi, Herculanum et Stabies avaient entendu depuis des jours des grondements en provenance de la montagne mais ne s'en inquiétèrent peu. Une fumée noire apparut et soudain, une pluie de pierres, de lave, et autres matières volcaniques ensevelirent la ville sous six mètres d'épaisseur Beaucoup de personnes n'eurent pas le temps de fuir et, asphyxiées par les gaz, elles s'écroulèrent, foudroyées, bientôt ensevelies sous plus de six mètres de cendres. La lave les a ainsi pétrifiées et les a figées dans leur course pour la fuite, ou dans l'activité au moment de l'explosion. On retrouva ainsi des esclaves enchaînés et incapables de se sauver. On croit cependant que beaucoup moururent asphyxiés par les gaz toxiques avant d'être ensevelis par les cendres. Certaines estimations suggèrent 20 000 tués. 1853 Invention des "chips"
L'invention des chips est attribuée à George Crum, un chef cuisinier au Moon Lake Lodge à Saratoga Springs, New York, le 24 août 1853. La légende veut que Crum se soit amusé à découper en très fines rondelles les pommes de terre qu'un client (que l'on pense être Cornelius Vanderbilt) renvoyait continuellement en cuisine sous prétexte qu'elles étaient trop grosses. Impossible à saisir avec une fourchette, les pommes de terre de Crum rencontrèrent un vrai succès et il les maintint sur sa carte. Elles devinrent une spécialité nommée selon le nom du village, Saratoga Chips. Ce « plat » devint assez populaire dans les années 20, avec la naissance d'une demande nationale qui correspond à l'invention de la machine à chips, mise au point par Herman Lay, un vendeur ambulant du sud des États-Unis. 2006 Pluton n'est plus considéré une planète par la NASA La découverte en 2005 de (136199) Éris, d'un diamètre comparable et d'une masse légèrement supérieure à ceux de Pluton, contribue à relancer le débat. Le diamètre d'Éris, qui avait initialement été estimé à 3 600 km (il semblait alors notablement plus grand que Pluton) était encore en 2006 du même ordre de grandeur que celui de Pluton, même après avoir été revu à la baisse (2 400 km ± 100 km). Selon une étude publiée dans Science du 14 juin 2007, sa masse serait supérieure à celle de Pluton d'environ 27 %. De nombreux autres corps ont également été découverts à cette époque, tels que (136472) Makémaké, (90482) Orcus ou (90377) Sedna, régulièrement annoncés comme la dixième planète du système solaire. La classification en neuf planètes devient difficilement tenable. Le dernier mot revient à l'UAI, qui, lors de son 26e congrès tenu le 24 août 2006 en République tchèque, a décidé au terme d'une semaine de débats de compléter la définition de planète, disant qu'une planète élimine de son voisinage tous les objets ayant une taille qui lui soit comparable29. Ce qui n'est pas le cas de Pluton, qui partage son espace avec d'autres objets transneptuniens et qui est reclassé en planète naine. Le Minor Planet Center lui attribua le 7 septembre 2006 le numéro d'objet mineur 134340
Retour Du Soleil En Antarctique. Pour certains, le Soleil a disparu derrière la Lune dans l’éclipse pendant quelques minutes, mais les 13 personnes vivant à la station de recherche Concordia de l’Antarctique ont dû faire face sans soleil pendant plus longtemps. Cette photo du coucher du soleil est magnifique, mais imaginez si vous n’aviez pas vu le soleil pendant plus de quatre mois. C’est exactement ce que l’équipe vivant et travaillant dans la base de Concordia a connu sur un plateau à 3200 m au-dessus du niveau de la mer,à l’extrémité sud de la Terre. Le Soleil ne monte pas au-dessus de l’horizon en hiver (de mai à août). L’équipage vit sans soleil et les températures peuvent descendre au-dessous de -80 ° C. Retour du soleil au nord du cercle polaire Par Raymond Desmarteau. On appelle le phénomène « la nuit polaire ». La nuit polaire, c’est une période de l’année au cours de laquelle le soleil ne se lève pas. On peut observer ce phénomène aux deux pôles de la planète, au-delà des cercles polaires, de novembre à février au cercle Arctique ou encore de mai à septembre au cercle Antarctique. Il faut savoir également que, plus on monte vers le Nord (en Arctique), plus le nombre de journées de 24 heures sans soleil augmente. Selon la latitude, la nuit polaire est de 24 heures à sa latitude la plus basse et de six mois au pôle. Donc, au nord du Canada, pendant plusieurs semaines après l’équinoxe d’automne – vers le 21 septembre – et avant l’équinoxe de printemps – vers le 21 mars – on assiste à un crépuscule permanent ou même à une nuit noire au ciel constellé d’étoiles. Ce phénomène dure jusqu’à ce que le soleil apparaisse à l’horizon. Retour Du Soleil – La Fête Le cercle Arctique est l’un des cinq parallèles principaux indiqués sur les cartes terrestres. Il s’agit du parallèle de 66° 33′ 46,041″ (au 1er janvier 2016) de latitude nord, la latitude la plus méridionale sur laquelle il est possible d’observer le soleil de minuit dans l’hémisphère nord.
La petite communauté d’Inuvik dans les Territoires du Nord-Ouest est à une latitude de 68° 21′ 42″ Nord . Le week-end dernier, on y tenait la fête du retour du soleil – Sunrise Festival – un événement annuel soulignant le retour de l’astre du jour après un mois de nuit polaire. Et, cette année, les organisateurs de l’événement ont ajouté des activités extérieures pour que les habitants de la petite communauté voient le retour du soleil à l’extérieur et pas seulement « dans leurs véhicules automobiles ». Un parc thématique aux accents nordiques a été aménagé avec igloos, sculptures de neige et de glace, une patinoire extérieure et, évidemment, le classique chocolat chaud. Signe des temps et de la mondialisation, les Inuuvingmiut étaient conviés à une séance de parka yoga.
RCI – inuvik.ca – gouv.qc.ca – Gouvernement des Territoires du Nord-Ouest – CBC
On passe à côté de leurs façades parisiennes sans lever les yeux, et pour cause : dans ces restaurants, le plaisir se trouve dans l’assiette, et moins dans le décor. Pas de chichi, mais une ambiance familiale et des saveurs authentiques venues du pays de la Dolce Vita. Découvrez notre sélection des bouis-bouis italiens les plus réjouissants de Paris.
Trattoria dell’isola. Malgré l’étroitesse de ce restaurant, on se risque à faire confiance à sa réputation, encouragés par l’emblème du lieu le flamant rose. On découvre alors un savant mélange de gastronomie sarde et de fruits de mer, reconnus pour leurs fraîcheurs. On commence par une mozarella de bufflonne ou un millefeuille d’aubergines à la parmesane, avant de poursuivre avec les linguines aux palourdes. On trouve bien sûr aussi sur la carte des pizzas et des plats de pâtes classiques préparés maison, avec des produits locaux et des ingrédients directement importés d’Italie. Ne partez pas sans avoir dégusté la tarteau citron meringuée du chef, qui vole la vedette au classique tiramisu !
Papelli pizzas. Mieux vaut venir peu nombreux et en dehors des heures de pointe pour espérer s’installer à l’une des tables de ce petit restaurant, ou alors prendre à emporter. Mais le jeu en vaut la chandelle, car c’est ici, chez Papelli, que l’on peut trouver les plus grandes pizzas de Paris, des pizzas familiales mesurant jusqu’à 60cm de diamètre. On aurait alors tendance à penser que la qualité n’est pas au rendez-vous, mais loin de là. Ici, la pâte à pizza est réputée fine et croustillante et les produits ultra-frais. On se damnerait pour la pizza à la crème de truffe ! Bonne nouvelle, une nouvelle adresse toute aussi gourmande et bien plus spacieuse a ouvert tout près, sur le boulevard Saint-Martin. Pizza Julia. Classé 3ème sur 600 au très sérieux Championnat du Monde de la Pizza, Pizza Julia est une institution dans le 12ème arrondissement, malgré une devanture discrète. Rares sont ceux qui y mangent sur place, l’espace étant très réduit, mais le lieu attire chaque jour de nombreux gourmands. Ces derniers viennent y chercher l’une des meilleures pizzas de Paris et l’une des moins chères aussi ! Côté classiques, la Margherita est à 8€ et la César aux alentours de 10€ 50. On note aussi la présence sur la carte d’une pizza végan et de pizzas plus « Prestige », à la crème de courge-échalote faite maison, mozzarella, speck et tomates cerises (14€50). Osteria dell’anima. Devant sa devanture minuscule aux peintures un poil kistch, on aurait vite fait de faire demi-tour. Grave erreur, car on risquerait alors de passerà côté d’un restaurant à l’authencité rare. A l’intérieur, sans surprise, l’espace est étroit comme un couloir et la décoration peu actuelle. Mais dans les assiettes, c’est une autre chanson ! Inutile de chercher des pizzas, ici elles s’effacent au profit des pâtes fraiches, qui sont étirées sous nos yeux ébahis. Si vous n’avez jamais goûté les véritables lasagnes italiennes, celles préparées avec du porc, du veau et du boeuf, l’heure est peut-être venue de réserver. Profitez-en également pour vous laisser tenter par le dessert le plus original de la maison : l’étonnant parmesan au miel. Sale e pepe. On l’avoue, en terme de boui-bouis italiens, on vous a déniché le haut du panier. Chez Sale e pepe, pas d’aménagement design et moderne, mais un décor simple et chaleureux à base de pierres apparentes et de lumières tamisées. Alors oui, on se la joue un peu collé-serré dans cet espace réduit et le niveau sonore atteint parfois des sommets, mais on y déguste d’incroyables rigatoni à la crème d’asperges et à la pistache, des penne aux truffes et aux cèpes et des glaces maison qui valent le détour. Une pépite !
Le secret derrière les noms des stations de métro : Cadet.
Notre hostilité envers le métro parisien nous amène bien souvent à en occulter totalement les points positifs. On a tendance à l’oublier, mais, il n’y a pas meilleure leçon d’Histoire de France que nos chères stations de métro. Personnalités éminentes, batailles légendaires, événements marquants… autant d’éléments constitutifs de notre passé sont commémorés à chaque coin de rue. Et, si certains noms de stations sont particulièrement évocateurs et font directement appel à notre mémoire collective, d’autres restent entourés de bien des mystères. Retour sur l’histoire de la station Cadet dans le 9ème. Tombée aujourd’hui aux oubliettes, la petite anecdote que renferme la dénomination de la station Cadet nous ramène au 17ème siècle, à une époque où la rue Cadet s’appelait rue de la Voirie. En ce temps-là, le 9ème bobo n’était pas ce qu’il était ! En lieu et place des jolies boutiques, un dépôt d’immondices jonchait la voirie. Voyant là l’opportunité de faire fructifier leur commerce, les frères Cadet, deux maîtres jardiniers de renom, récupéraient ce tas d’ordures pour fertiliser les sols de leurs cultures maraîchères. Grâce à ce fumier d’excellente qualité, ils ont pu faire fortune en revendant leur production à tous les meilleurs restos de la capitale ! Ouverte en 1910, la station Cadet rappelle, donc, au bon souvenir d’une fratrie parisienne pleine de ressources et d’une époque où Paris ne faisait pas toujours voir la vie en rose à ses habitants…
Ouverte en 1906, la station de métro Glacière était autrefois sur la ligne 5 du métro qui reliait l’Etoile à la Gare du Nord. Elle conduisait les habitants au hameau de la Glacière qui était traversé par une rivière aujourd’hui disparue, La Bièvre. Une fois l’hiver venu, le cours d’eau gelait et formait de la glace. Si d’aucuns y voyaient un bon moyen de s’amuser en pratiquant le patin, d’autres ont eu l’idée d’utiliser cette glace. Découpée en pain, elle était entreposée dans des puits maçonnés de 5 à 12 mètres de profondeur. On la conservait entre des couches de paille pour la faire durer. Ainsi, toute l’année, ces « glacières » fournissaient de lafraîcheur aux parisiens. Vendue par des crieurs, elle servait à la confection de glaces et sorbets ou à rafraîchir les boissons de la haute société. De cette invention maline, la rue Glacière a tiré son nom, avant de le donner à la station de métro qui la surplombe. Aujourd’hui, la station est sur la partie aérienne de la ligne 6 et l’on ne peut qu’admirer les poutres et verrières qui la forment. Maintenant, on regardera d’un autre œil lorsque notre wagon fera une halte à cette station.
Derrière la carte postale de village fleuri du Morbihan, La Gacilly recèle une âme beaucoup plus contemporaine : une halte ressourçante à ne pas manquer.
Un fleurissement récompensée par 4 fleurs au label Villes et villages fleuris.
En faisant escale à La Gacilly, vous découvrirez, mieux qu’un jardin, un ensemble de lieux dédiés à la nature. Ils se révéleront doucement à vousau fil des chemins creux du bocage et des ruelles du village qui masque avec une profusion de fleurs l’austérité de ses murs de granit. Du petit carré potager au bord de l’eau à l’immense jardin botanique, vous irez de découverte en découverte. Vous vous rendrez à l’autre bout du monde devant des chefs-d’œuvre photographiques accrochés à des murs de verdure. Et vous finirez peut-être dans les vapeurs bienfaisantes du Spade l’éco-hôtel récemment implanté en haut de la colline. Tout ce que
décrivons ici pourrait être pris comme une succession d’attractions visant à détourner les foules du littoral, mais c’est bien plus que cela, car tout ici converge vers un seul et même but : célébrer la nature et inciter à mieux la respecter et la préserver.
Le long de l’Aff (1), La Gacilly propose, entre autres haltes dédiées à la nature, son jardin botanique (2).
Nature et cosmétique.
Le mécène des lieux, un enfant du pays nommé Yves Rocher, a toujours cultivé le naturel, un credo qui a fait sa réputation bien au-delà de nos frontières. À tel point que La Gacilly, en un demi-siècle, est devenue une capitale reconnue de la cosmétique. À quelques centaines de mètres du siège et de l’usine high-tech, le village a conservé son aspect authentique et attiré bon nombre d’artisans et d’artistes. Mais l’entreprise n’est devenue vraiment visible que depuis une quinzaine d’années, à la faveur des nouveaux aménagements du jardin botanique.
Des expositions photographiques cachées dans un labyrinthe de verdure.
Longtemps réservé aux seuls chercheurs, il s’est doté de nouveaux carrés de culture, classés selon les usages, destinés à un large public pris en charge par des animateurs. De récentes plantations d’arbres apportent un nouvel intérêt au paysage; et au bord de l’eau, une maison s’est vue transformée en « herbularium », avec un parcours scénographique consacré aux plantes cosmétiques venues d’ailleurs.
Des œuvres contemporaines dressées sur la lande et ses prairies.
Un mécénat plus militant Les transformations des années 2000, puis l’ouverture d’un hôtel-Spa à l’avant-garde de la construction durable participent d’une volonté d’amener le public à une plus grande conscience écologique. Ce bâtiment de bois et de verre, dont les ouvertures sont orientées pour optimiser le réchauffement solaire, est semi-enterré sous des toits de prairie ; les res- taurants sont approvisionnés localement par des maraîchers qui,forts de ce débouché, ont pu se mettre en bio, tout comme le boulanger du coin; tout le monde en profite, jusqu’aux vaches de race pie noire qui étaient en voie d’extinction et qui sont remises au pré.
1. Le toit végétalisé de l’éco-hôtel la Grée des Landes.
2. La cabane perchée : une autre option d’hébergement.
3. La prairie est omniprésente.
4. Devant le restaurant, le potager rappelle que la cuisine puise dans les ressources du terroir.
Le domaine de la Grée des Landes travaille au côté de la Ligue de protection des oiseaux pour augmenter le potentiel d’accueil de
l’avifaune locale : plantations d’essences fruitières, entre- tien des haies et des prés, création de mares, installation de nichoirs dans les murs sont la promesse de belles envolées à observer depuis les terrasses de l’hôtel.
Des restaurants approvisionnés par les produits du terroir.
4 simples aux propriétés bienfaisantes Autour du village, 50 ha de champs sont dédiés à la production des fleurs pour la firme cosmétique, mais bien d’autres simples poussent en liberté dans les prairies... apprivoisez-les dans votre jardin.
1. Calendula officinalis. Le souci est un anti- inflammatoire aux propriétés multiples (anti-œdème, anti- oxydant..) utilisé en dermatologie pour apaiser les brûlures et les plaies et soigner les peaux fragiles. Cette annuelle à la vie dure fleurit tout l’été et se ressème librement partout.
2. L’arnica est essentiel à la pharmacie familiale pour parer les coups, les douleurs musculaires et les piqûres d’insectes ; en gel, pommade, onguent ou huile, il s’applique sur la peau en l’absence de lésions. Longtemps approvisionnée par les cueillettes d’Arnica montana, la cosmétique utilise aujourd’hui A. Chaminossis aux propriétés similaires, et cultivable en champs.
3. Hypericum perforatum. Le millepertuis est une « mauvaise herbe » à préserver dans la prairie. Très actif contre les brûlures, on en fait des huiles et pommades anti-inflammatoires et cicatrisantes. En lotion, il régule les peaux grasses.
4. Malva sylvestris La mauve est un astringent qui rend la peau plus lisse, plus douce et apaise les petites irritations. Que demander de plus à cette fleur des talus, vivace et florifère, qui pousse toute seule ou presque !
Du champ au séchoir
À La Gacilly, tout est accompli manuellement pour des produits 100 % naturels. Le sol n’est jamais désherbé autrement qu’à la main ou à la herse avant les semis. La technique du faux semis – qui consiste à laisser lever les mauvaises herbes sur le sol préparé – permet d’éliminer un bon nombre d’adventices avant de semer pour de bon. L’alternance des cultures avec des semis d’engrais vert maintient une bonne fertilité des sols. Les fleurs sont cueillies à maturité, immédiatement triées, et passées au séchoir ; celui-ci est chauffé au bois, un choix énergétique adopté en 2011 pour tout le site.
sur le rivage, que ce soit de la roche, des coquillages, des coraux, ou
du verre. Les plages vertes, très rares, peuvent contenir de l’olivine,
qui provient d’éruptions volcaniques, et les plages de sable noir sont
aussi généralement formées par les restes volcaniques. Les plages roses
des Bermudes sont colorées par les restes de coraux.
Glass Beach, Fort Bragg, Californie
années de déversement d’ordures dans la zone côtière située au nord de
la ville, qui font désormais venir de nombreux touristes dans la région.
La plage secrète des Îles Marieta, au Mexique
atterri malencontreusement à cet endroit lors des essais militaires du
siècle passé.
Une plage des Maldives qui scintille en pleine nuit
le phytoplancton, des plantes microscopiques bioluminescentes, qui
dégage de la lumière lorsqu’il est agité par les vagues.
La plage des Cathédrales à Ribadeo, Espagne
cathédrale. Celles-ci ont été formées par l’eau qui se fracasse contre
les parois depuis des milliers et des milliers d’années.
Pink Sand Beach, aux Bahamas
coraux échoués, qui sont brisés et broyés en petits morceaux par le
ressac.
Maho Beach et ses atterrissages d’avions extrêmes, Saint-Martin
baigneurs. De quoi en effrayer (et décoiffer) quelques-uns. Ce
« phénomène » existe aussi en Grèce.
Plage au bord du lac Jökulsárlón, en Islande
Les œufs de dragons (Moeraki Boulders) de Koekohe Beach, en Nouvelle Zélande
comme des œufs de dragons géants prêts à éclore… Ces rochers sphériques
auraient été formés il y a plus de 60 millions d’années et sont
simplement le résultat de la concrétion et de l’érosion au fil du temps.
LE SAVIEZ VOUS ?
Royaume-Uni. Voici les aliments interdits à la famille royale !
La reine d'Angleterre Élizabeth II est soumise à un régime alimentaire
strict. Fruits de mer, viandes saignantes ou plats trop épicés sont
ainsi exclus des menus de la famille royale britannique. Et ce, dans le
but d'éviter des intoxications alimentaires.
Les excès ou petites gourmandises ne sont pas tolérés pour la reine d'Angleterre et sa
famille. Et il s'agit là, peut-être, du secret de longévité de Sa
Majesté Élizabeth II
Le quotidien britannique The Sun révèle ainsi une liste d'aliments interdits au menu des repas de la famille royale.
Et pas question de s'écarter de ce protocole strict.
Fruits de mer et viande saignante prohibés : Les fruits de mer sont ainsi exclus. Exit donc
les crevettes, les huîtres ou le crabe. Le risque d'intoxication
alimentaire est trop grand et pourrait entraver les emplois du temps de
la reine Élizabeth II ou de son petit-fils le prince William. Pour la
même raison, la viande saignante est aussi bannie, ainsi que les plats
épicés ou exotiques et l'eau du robinet dans les pays étrangers
Nous ne pouvons jamais servir de plats avec de l'ail, ou trop d'oignons »,
avait aussi expliqué en 2015, dans une interview à Recipes Plus, Darren
McGrady, le chef au service de la famille royale pendant quinze ans
Il a également indiqué que la reine ne consomme que des produits de saison : « Vous pouvez donner à la reine
des fraises tous les jours pendant l'été au château de Balmoral (Écosse)
et elle ne dira rien ... Mais essayez de mettre des fraises dans le
menu en janvier et elle l'effacera, disant qu'il est hors de question
qu'elle mange des fraises génétiquement modifiées. .
Nous vous invitons à découvrir une exposition unique consacrée à la cité interdite de Pékin, et qui se tient au Grimaldi Forum de Monaco.
Grâce à une caméra 360 degré, vous allez pouvoir littérallement faire le tour des salles, pas moins de 3200 mètres carrés, réparti en une dizaine de salles.
Les pièces exposées viennent des quatre coins du monde, et de nombreuses viennent directement de la Cité interdite, prêtées spécialement pour l’occasion.
La Cité interdite est l’un des ensembles palatiaux les plus prestigieux et le site le plus visité au monde avec quelques 10 millions d’entrées paran. A la fois palais et musée, c’est autour de lui que la nouvelle capitale de Pékin s’est ordonnée. La Cité interdite a surgi ex-nihilo de la volonté du 3ème des empereurs des Ming et fut construite d’un seul jet entre 1406 et 1420. Elle deviendra le berceau du pouvoir où se succéderont les empereurs Mandchous sur près de trois siècles.
Par Victoria Ouicher 23 août 2017
Et si les Parisiens faisaient pousser leur nourriture ? Dans la capitale, le prix de l’immobilier est tellement élevé qu’il n’y a pas de place pour les jardins.
Chaque espace est optimisé. Alors, une association a eu une idée... :investir les toits pour en faire des potagers collectifs.
L’objectif de Veni Verdi est simple : permettre aux habitants de Paris de savoir ce qu’ils mettent dans leurs assiettes.
Que ce soit sur les toits des collèges ou des écoles, l’association est à la recherche de tout espace qu’elle pourrait verdir.
Et choisir de s’implanter en milieu scolaire n’est pas anodin, comme l’explique Nadine Lahoud, la fondatrice de l’association, au micro de Mr Mondialisation...
« Les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain et si on veut agir surun des leviers, il faut le faire le plus tôt possible. »
Aujourd’hui Veni Verdi exploite quatre sites et s’apprête à en ouvrir trois autres.Nadine Lahoud a débuté ce projet associatif en 2010.
Mais c’est en 2015 que Veni Verdi a réellement grandi, avec l’arrivée de trois salariés qui ont rejoint la fondatrice. L’association produit ses fruits et légumes dans le respect de l’environnement...
C'EST ARRIVÉ UN 24 AOUT
1572 : Début du massacre de la Saint-Barthélemy à Paris
1916 : Naissance du chanteur monégasque Léo Ferré[
1968 : La France lance sa première bombe H au-dessus de l'atoll de Fangataufa
1978 : Décès du chanteur et musicien américain Louis Prima.
79
L'éruption du Vésuve ensevelit Pompéi
Dans la nuit du 23 au 24 août de l'an 79 de l'ère chrétienne, le Vésuve
entre en éruption et cause la destruction des villes de Pompéi,
Herculanum et Stabies, ensevelies sous une pluie de cendres et de boue.
Les habitants des villes de Pompéi, Herculanum et Stabies avaient entendu
depuis des jours des grondements en provenance de la montagne mais ne
s'en inquiétèrent peu. Une fumée noire apparut et soudain, une pluie de
pierres, de lave, et autres matières volcaniques ensevelirent la ville
sous six mètres d'épaisseur
Beaucoup de personnes n'eurent pas le temps de fuir et, asphyxiées par les gaz, elles s'écroulèrent,
foudroyées, bientôt ensevelies sous plus de six mètres de cendres.
La lave les a ainsi pétrifiées et les a figées dans leur course pour la fuite, ou dans l'activité au moment de l'explosion.
On retrouva ainsi des esclaves enchaînés et incapables de se sauver.
On croit cependant que beaucoup moururent asphyxiés par les gaz toxiques
avant d'être ensevelis par les cendres. Certaines estimations suggèrent
20 000 tués.
1853
Invention des "chips"
L'invention des chips est attribuée à George Crum, un chef cuisinier au Moon Lake
Lodge à Saratoga Springs, New York, le 24 août 1853. La légende veut que
Crum se soit amusé à découper en très fines rondelles les pommes de
terre qu'un client (que l'on pense être Cornelius Vanderbilt) renvoyait
continuellement en cuisine sous prétexte qu'elles étaient trop grosses.
Impossible à saisir avec une fourchette, les pommes de terre de Crum
rencontrèrent un vrai succès et il les maintint sur sa carte. Elles
devinrent une spécialité nommée selon le nom du village, Saratoga Chips.
Ce « plat » devint assez populaire dans les années 20, avec la naissance
d'une demande nationale qui correspond à l'invention de la machine à
chips, mise au point par Herman Lay, un vendeur ambulant du sud des
États-Unis.
2006
Pluton n'est plus considéré une planète par la NASA
La découverte en 2005 de (136199) Éris, d'un diamètre comparable et d'une
masse légèrement supérieure à ceux de Pluton, contribue à relancer le
débat. Le diamètre d'Éris, qui avait initialement été estimé à 3 600 km
(il semblait alors notablement plus grand que Pluton) était encore en
2006 du même ordre de grandeur que celui de Pluton, même après avoir été
revu à la baisse (2 400 km ± 100 km). Selon une étude publiée dans
Science du 14 juin 2007, sa masse serait supérieure à celle de Pluton
d'environ 27 %. De nombreux autres corps ont également été découverts à
cette époque, tels que (136472) Makémaké, (90482) Orcus ou (90377)
Sedna, régulièrement annoncés comme la dixième planète du système
solaire.
La classification en neuf planètes devient difficilement tenable. Le dernier mot revient à l'UAI, qui, lors de son 26e congrès
tenu le 24 août 2006 en République tchèque, a décidé au terme d'une
semaine de débats de compléter la définition de planète, disant qu'une
planète élimine de son voisinage tous les objets ayant une taille qui
lui soit comparable29. Ce qui n'est pas le cas de Pluton, qui partage
son espace avec d'autres objets transneptuniens et qui est reclassé en
planète naine. Le Minor Planet Center lui attribua le 7 septembre 2006
le numéro d'objet mineur 134340
Pour certains, le Soleil a disparu derrière la Lune dans l’éclipse pendant quelques minutes, mais les 13 personnes vivant à la station de recherche Concordia de l’Antarctique ont dû faire face sans soleil pendant plus longtemps.
Cette photo du coucher du soleil est magnifique, mais imaginez si vous n’aviez pas vu le soleil pendant plus de quatre mois.
C’est exactement ce que l’équipe vivant et travaillant dans la base de Concordia a connu sur un plateau à 3200 m au-dessus du niveau de la mer,à l’extrémité sud de la Terre.
Le Soleil ne monte pas au-dessus de l’horizon en hiver (de mai à août). L’équipage vit sans soleil et les températures peuvent descendre au-dessous de -80 ° C.
Retour du soleil au nord du cercle polaire Par Raymond Desmarteau.
On appelle le phénomène « la nuit polaire ».
La nuit polaire, c’est une période de l’année au cours de laquelle le soleil ne se lève pas.
On peut observer ce phénomène aux deux pôles de la planète, au-delà des cercles polaires, de novembre à février au cercle Arctique ou encore de mai à septembre au cercle Antarctique.
Il faut savoir également que, plus on monte vers le Nord (en Arctique), plus le nombre de journées de 24 heures sans soleil augmente.
Selon la latitude, la nuit polaire est de 24 heures à sa latitude la plus basse et de six mois au pôle.
Donc, au nord du Canada, pendant plusieurs semaines après l’équinoxe d’automne – vers le 21 septembre – et avant l’équinoxe de printemps – vers le 21 mars – on assiste à un crépuscule permanent ou même à une
nuit noire au ciel constellé d’étoiles.
Ce phénomène dure jusqu’à ce que le soleil apparaisse à l’horizon.
Retour Du Soleil – La Fête
Le cercle Arctique est l’un des cinq parallèles principaux indiqués sur les cartes terrestres.
Il s’agit du parallèle de 66° 33′ 46,041″ (au 1er janvier 2016) de latitude nord, la latitude la plus méridionale sur laquelle il est
possible d’observer le soleil de minuit dans l’hémisphère nord.
La petite communauté d’Inuvik dans les Territoires du Nord-Ouest est à une latitude de 68° 21′ 42″ Nord .
Le week-end dernier, on y tenait la fête du retour du soleil – Sunrise Festival – un événement annuel soulignant le retour de l’astre du jour après un mois de nuit polaire.
Et, cette année, les organisateurs de l’événement ont ajouté des activités extérieures pour que les habitants de la petite communauté voient le retour du soleil à l’extérieur et pas seulement « dans leurs véhicules automobiles ».
Un parc thématique aux accents nordiques a été aménagé avec igloos, sculptures de neige et de glace, une patinoire extérieure et, évidemment, le classique chocolat chaud.
Signe des temps et de la mondialisation, les Inuuvingmiut étaient conviés à une séance de parka yoga.
RCI – inuvik.ca – gouv.qc.ca – Gouvernement des Territoires du Nord-Ouest – CBC
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Mots-clés : Cercle polaire, Equinoxe, nuit polaire, Retour du soleil, Vie nordique
Publié dans : Environnement, International, Société
On passe à côté de leurs façades parisiennes sans lever les yeux, et pour cause : dans ces restaurants, le plaisir se trouve dans l’assiette, et moins dans le décor. Pas de chichi, mais une ambiance familiale et des saveurs authentiques venues du pays de la Dolce Vita. Découvrez notre sélection des bouis-bouis italiens les plus réjouissants de Paris.
Trattoria dell’isola.
Malgré l’étroitesse de ce restaurant, on se risque à faire confiance à sa réputation, encouragés par l’emblème du lieu le flamant rose. On découvre alors un savant mélange de gastronomie sarde et de fruits de mer, reconnus pour leurs fraîcheurs. On commence par une mozarella de bufflonne ou un millefeuille d’aubergines à la parmesane, avant de
poursuivre avec les linguines aux palourdes. On trouve bien sûr aussi sur la carte des pizzas et des plats de pâtes classiques préparés maison, avec des produits locaux et des ingrédients directement importés d’Italie. Ne partez pas sans avoir dégusté la tarteau citron meringuée du chef, qui vole la vedette au classique tiramisu !
Papelli pizzas.
Mieux vaut venir peu nombreux et en dehors des heures de pointe pour espérer s’installer à l’une des tables de ce petit restaurant, ou alors prendre à emporter. Mais le jeu en vaut la chandelle, car c’est ici, chez Papelli, que l’on peut trouver les plus grandes pizzas de Paris, des pizzas familiales mesurant jusqu’à 60cm de diamètre. On aurait alors tendance à penser que la qualité n’est pas au rendez-vous, mais loin de là. Ici, la pâte à pizza est réputée fine et croustillante et les produits ultra-frais. On se damnerait pour la pizza à la crème de truffe ! Bonne nouvelle, une nouvelle adresse toute aussi gourmande et bien plus spacieuse a ouvert tout près, sur le boulevard Saint-Martin.
Pizza Julia.
Classé 3ème sur 600 au très sérieux Championnat du Monde de la Pizza, Pizza Julia est une institution dans le 12ème arrondissement, malgré une devanture discrète. Rares sont ceux qui y mangent sur place, l’espace étant très réduit, mais le lieu attire chaque jour de nombreux gourmands. Ces derniers viennent y chercher l’une des meilleures pizzas de Paris et l’une des moins chères aussi ! Côté classiques, la Margherita est à 8€ et la César aux alentours de 10€ 50. On note aussi la présence sur la carte d’une pizza végan et de pizzas plus « Prestige », à la crème de courge-échalote faite maison, mozzarella, speck et tomates cerises (14€50).
Osteria dell’anima.
Devant sa devanture minuscule aux peintures un poil kistch, on aurait vite fait de faire demi-tour. Grave erreur, car on risquerait alors de passerà côté d’un restaurant à l’authencité rare. A l’intérieur, sans surprise, l’espace est étroit comme un couloir et la décoration peu actuelle. Mais dans les assiettes, c’est une autre chanson ! Inutile de chercher des pizzas, ici elles s’effacent au profit des pâtes fraiches, qui sont étirées sous nos yeux ébahis. Si vous n’avez jamais goûté les véritables lasagnes italiennes, celles préparées avec du porc, du veau et du boeuf, l’heure est peut-être venue de réserver. Profitez-en également pour vous laisser tenter par le dessert le plus original de la maison : l’étonnant parmesan au miel.
Sale e pepe.
On l’avoue, en terme de boui-bouis italiens, on vous a déniché le haut du panier. Chez Sale e pepe, pas d’aménagement design et moderne, mais un décor simple et chaleureux à base de pierres apparentes et de lumières tamisées. Alors oui, on se la joue un peu collé-serré dans cet espace réduit et le niveau sonore atteint parfois des sommets, mais on y déguste d’incroyables rigatoni à la crème d’asperges et à la pistache, des penne aux truffes et aux cèpes et des glaces maison qui valent le détour. Une pépite !
Notre hostilité envers le métro parisien nous amène bien souvent à en occulter totalement les points positifs. On a tendance à l’oublier, mais, il n’y a pas meilleure leçon d’Histoire de France que nos chères stations de métro. Personnalités éminentes, batailles légendaires, événements marquants… autant d’éléments constitutifs de notre passé sont commémorés à chaque coin de rue. Et, si certains noms de stations sont particulièrement évocateurs et font directement appel à notre mémoire collective, d’autres restent entourés de bien des mystères. Retour sur l’histoire de la station Cadet dans le 9ème.
Tombée aujourd’hui aux oubliettes, la petite anecdote que renferme la dénomination de la station Cadet nous ramène au 17ème siècle, à une époque où la rue Cadet s’appelait rue de la Voirie. En ce temps-là, le 9ème bobo n’était pas ce qu’il était ! En lieu et place des jolies boutiques, un dépôt d’immondices jonchait la voirie. Voyant là l’opportunité de faire fructifier leur commerce, les frères Cadet, deux maîtres jardiniers de renom, récupéraient ce tas d’ordures pour fertiliser les sols de leurs cultures maraîchères. Grâce à ce fumier d’excellente qualité, ils ont pu faire fortune en
revendant leur production à tous les meilleurs restos de la capitale !
Ouverte en 1910, la station Cadet rappelle, donc, au bon souvenir d’une fratrie parisienne pleine de ressources et d’une époque où Paris ne faisait pas toujours voir la vie en rose à ses habitants…
Les noms des stations de métro peuvent être éloquents, comme lorsqu’elles portent le nom de personnes ou batailles célèbres. Certains le sont moins et suscitent nos interrogations. C’est le cas notamment de l’arrêt Glacière sur la ligne 6. C’est en fouillant dans l’histoire que l’on trouve son origine surprenante. On vous emmène à l’époque où Paris comptait deux rivières…
« Tanneries au bord de la Bièvre, vers 1865 ». Paris (XIIIème arr.). 1865-1868.
Photographie de Charles Marville (1813-1879). Paris, musée Carnavalet.
© Charles Marville / Musée Carnavalet / Roger-Viollet
Ouverte en 1906, la station de métro Glacière était autrefois sur la ligne 5 du métro qui reliait l’Etoile à la Gare du Nord. Elle conduisait les habitants au hameau de la Glacière qui était traversé par une rivière aujourd’hui disparue, La Bièvre. Une fois l’hiver venu, le cours d’eau gelait et formait de la glace. Si d’aucuns y voyaient un bon moyen de s’amuser en pratiquant le patin, d’autres ont eu l’idée d’utiliser cette glace.
Découpée en pain, elle était entreposée dans des puits maçonnés de 5 à 12 mètres de profondeur. On la conservait entre des couches de paille pour la faire durer. Ainsi, toute l’année, ces « glacières » fournissaient de lafraîcheur aux parisiens. Vendue par des crieurs, elle servait à la confection de glaces et sorbets ou à rafraîchir les boissons de la haute société. De cette invention maline, la rue Glacière a tiré son nom, avant de le donner à la station de métro qui la surplombe.
Aujourd’hui, la station est sur la partie aérienne de la ligne 6 et l’on ne peut qu’admirer les poutres et verrières qui la forment. Maintenant, on regardera d’un autre œil lorsque notre wagon fera une halte à cette station.