De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
23/08/2017 - 09:26
Brésil : une  »Main de Dieu » apparaît dans le ciel.

Un phénomène météorologique a surpris les Brésiliens jeudi soir. Beaucoup ont estimé qu’il s’agissait d’une apparition divine. 
Une surprenante formation de nuages est apparue dans le ciel brésilien jeudi soir, au-dessus de Teixeira de Freitas, une ville située au sud-est du pays. Le lendemain sur Instagram, l’internaute João Paulo Magalhães a partagé une vidéo sur laquelle on pouvait contempler l’étrange formation menacer les habitations.
«Il [le nuage] ressemblait vraiment à l’entrée d’une météorite [dans l’atmosphère] ou quelque chose comme ça. J’avais peur, nous pensions quec’était une tornade», a-t-il expliqué au Daily Mail.
Selon lui, le nuage prenait la forme d’une «flèche rouge». Plusieurs Brésiliens ont estimé quant à eux qu’il s’agissait de la «Main de Dieu».
João Paulo Magalhães a d’ailleurs publié une autre photo troublante de la scène, qui laisse à penser qu’ils disent vrai. D’autres habitants ontégalement partagé le phénomène météorologique sur la Toile.

 

23/08/2017 - 08:49
D’où vient le nom de la Samaritaine ?
 
Peu après la construction du Pont-Neuf, sous l’impulsion d’Henri IV, la première machine élévatrice d’eau de
Paris est érigée sur le côté droit du pont, en aval de la Seine. Cette dernière sert à pomper l’eau du fleuve pour alimenter le palais du Louvre et le jardin des Tuileries qui se situent à proximité.
Ce petit bâtiment sur pilotis était décoré d’une sculpture représentant une scène de la Bible : la rencontre entre Jésus et la Samaritaine au Puits de Jacob. Petit retour en arrière, dans l’Evangile selon Saint-Jean, cette histoire raconte le moment où Jésus demande à boire à une femme de Samarie qui se repose près d’un puits. En ce temps, les Juifs n’adressent pas la parole aux Samaritains. La femme reconnait alors en lui le Messie.

Cette pompe a malheureusement été détruite en 1813. Un demi-siècle plus tard,à son emplacement, un certain Ernest Cognacq installe sa première échoppe où il vend,sous un grand parapluie rouge, toutes sortes d’objets
 destinés aux femmes. Surnommé le « Napoléon du déballage », son commerce est florissant. En 1870 il décide donc de louer une petitesalle rue de la Monnaie où il ouvre sa première boutique « À la Samaritaine », donc, en référence à cette scène biblique. Au bout d’un mois, il doit déjà l’agrandir !
Deux ans plus tard il se marie avec Marie-Louise Jaÿ, vendeuse au Bon Marché, qui l’aidera à faire prospérer ses affaires jusqu’en 1900 où naîtront les fameux Grands Magasins de La Samaritaine de style art nouveau. 
Comme au Monopoly, le couple Cognacq-Jaÿ rachète les immeubles voisins pour étendre leur propriété.
Amateurs d’art, leur succès leur permet de réunir une belle collection d’œuvres du 18ème siècle, aujourd’hui exposées (gratuitement !) au musée qui porte leur nom dans le Marais. Quant à leur magasin, la Samaritaine a dû fermer ses portes en 2005 et les parisiens attendent toujours sa réouverture…prévue fin 2018 !
* Il y a des questions sur Paris dont on aimerait bien avoir la réponse. Que ce soit des interrogations importantes sur la capitale, son histoireou ses bonnes adresses ou des mini-informations à picorer dont on peut se servir pour briller en société. Avec ses « Le saviez-vous », Paris ZigZag essaie de lever le mystère sur tout ce que l’on a toujours voulu savoir sans jamais oser le demander…


23/08/2017 - 08:36
Adresses mythiques du Paris littéraire.

 
Finalement les plus grands peintres, poètes, penseurs, écrivains de ces derniers siècles étaient comme tout le monde ou presque. Ils se retrouvaient dans des bars ou cafés et y refaisaient le monde des heures durant. Entre
nuages de fumée et vapeurs d’alcool, ils échangeaient, débattaient, s’amusaient ou s’affrontaient dans des adresses parisiennes transformées en quartier général.
Quelle que soit l’époque, des Rousseau, Verlaine, Sartre, Cocteau, Picasso ou autre Hemingway squattaient jusque tard dans la nuit certains comptoirs ou terrasses de bistrots parisiens faisant rentrer ces adresses dans la légende. Petit tour d’horizon de quelques adresses mythiques du Paris Littéraire et artistique.
 

Hemingway et ses amis dans un café parisien


Sartre et Simone de Beauvoir au Café de Flore


Sartre, Vian et Beauvoir refont le monde


Paul Verlaine au Procope

La Closerie des Lilas
Ancien simple relais de poste sur la route de Fontainebleau, la Closerie des Lilas est le premier café qui a donné la réputation artistique du quartier de Montparnasse. Dès le 19ème siècle Emile Zola y établit son quartier
général avec ses amis Paul Cézanne ou Théophile Gautier. Au 20ème siècle, Paul Verlaine et Guillaume Apollinaire ont participé à la légende du lieu en se réunissant tous les mardis avec d’autres hommes de lettres de l’époque pour débattre, échanger et déclamer des poèmes. Les américains fuyant la prohibition, s’y installaient également pour boire en toute tranquillité et refaire le monde comme Ernest Hemingway, Scott
Fitzgerald ou Henry Miller. D’autres grands noms s’y retrouvaient aussi comme Oscar Wilde, Samuel Beckett ou encore Jean Paul Sartre. Bref vousl’aurez compris, la Closerie des Lilas est l’un des lieux de la littérature et de la poésie les plus légendaires de Paris.
Où ? 171, boulevard du Montparnasse, 75014
Métro : Raspail ou Vavin


Le Café de Flore
Véritable institution de St Germain des Prés où on s’y installe plus pour être vu qu’autre chose, le Flore a accueilli au 20ème siècle les plus grands noms de la littérature. Le mythique couple Jean Paul Sartre et Simone de Beauvoir y restaient près de 8 heures par jour. Pour la petite anecdote, ils y restaient car cela leur permettait d’être chauffé pour le prix d’un café grâce au grand poêle de l’établissement.
Albert Camus, Boris Vian ou Jacques Prévert y venaient également pour participer aux débats autour des courants existentialistes ou progressistes. Difficile de parler du Flore sans évoquer son voisin les Deux Magots où les artistes venaient aussi en nombre, et jonglaient entre les deux établissements.
Où ? 172, boulevard Saint-Germain, 75006
Métro : Saint Germain des Prés


Le Café de la Paix
Le Café de la Paix situé Place de l’Opéra ouvre en 1862. C’est l’inauguration de l’Opéra Garnier qui va lui donner une nouvelle dimension, aidé par l’aménagement de l’avenue de l’Opéra en 1875. Parmi ses illustres habitués on notera Émile Zola, Guy de Maupassant, Oscar Wilde, Marcel Proust, André Gide et l’incontournable Ernest Hemingway.
Où ? 5 Place de l’Opéra, 75009
Métro : Opéra


Le Procope
Souvent présenté comme le plus ancien café de Paris (ce qui est d’ailleurs est plus ou moins vrai), c’est au siècle des Lumières que le Procope connut la plus forte concentration des grands penseurs. Voltaire, Diderot,
Rousseau rien que ceux-là s’y retrouvaient autour d’un café ou d’une glace. Au 19ème siècle, Paul Verlaine, Victor Hugo, Alfred de Musset, ou Honoré de Balzac l’ont fréquenté régulièrement. Aujourd’hui, c’est l’un
des emblèmes de Paris où les touristes se pressent pour une pause dans ce décor plutôt atypique pour un café parisien.
Où ? 13, rue Ancienne Comédie, 75006
Métro : Odéon


La Rotonde
La Rotonde a permis au même titre que la Closerie des Lilas de faire migrer certains peintres du quartier de Montmartre vers celui de Montparnasse. Plus tard ce sera au tour de Guillaume Apollinaire dans les années 10/20 d’en devenir l’un de ses illustres habitués. On y verra également Amedo Modigliani attablé avec Blaise Cendrars. Les surréalistes, fans de zinc parisien y défileront également comme André Breton, Louis Aragon, Jacques Prévert et Raymond Queneau. Hemingway (souvent cité dans cet article !) aimait également s’y poser. D’ailleursdans « Le soleil se lève aussi », paru en 1949, il écrit: « Le taxi s’arrêta en face de la Rotonde. Quel que soit le café de Montparnasse oùvous demandiez à un chauffeur de la rive droite de vous conduire, il vous conduira toujours à la Rotonde ». Les incontournables expatriés Francis Scott Fitzgerald et Henri Miller s’y retrouvent aussi. Bref, vous l’avez compris il s’agit d’une adresse incontournable quand on parle du Paris artistique !
Où ? 105, boulevard Montparnasse, 75006
Métro : Vavin


 
23/08/2017 - 08:22
L'Irlande du nord (vidéo)
L'image Magique & Fascinante Du Mercredi...

Belfast est la capitale d'Irlande du Nord au Royaume-Uni, et de la province historique irlandaise d'Ulster, avec une population de 333 871 habitantsen 2015. Ses habitants s'appellent les Belfastois. Wikipédia
Météo : 16 °C, vent SO à 13 km/h, 94 % d'humidité
    Hôtels : 3 étoiles (prix moyen : 141 $), 5 étoiles (prix moyen : 354 $). Afficher les hôtels
Province : Ulster
  Anglais : Northern Ireland, irlandais : Tuaisceart Éireann, scots d'Ulster : Norlin Airlann) est l'une des quatre nations constitutives du Royaume-Uni. Elle se compose de six des neuf comtés de la province irlandaise d'Ulster, au nord-est de l'île d'Irlande.
 
Elle couvre 14 139 km2, soit environ un sixième de l'île entière et 5 % du Royaume-Uni. Elle a une population de 1 810 863 habitants d'après le recensement du Royaume-Uni de 2011.
 
Cela représente entre un quart et un tiers de la population de l'île et 3 % de celle du Royaume-Uni.
La capitale, est en même temps la plus grande ville, est Belfast.

L'Irlande du Nord a été créée en 1921 par le Parlement britannique en application du Government of Ireland Act. Le 3 mai 1921, il s'agissait de l'une des deux nouvelles régions britanniques - l'Irlande du Nord et l'Irlande du Sud (en anglais, Southern Ireland).
Le 6 décembre 1922, l'Irlande du Nord est devenue une région du nouvel État irlandais, l'État libre d'Irlande (Irish Free State).
Cependant, le parlement de l'Irlande du Nord a décidé de quitter le nouvel État le jour suivant sa création.
Un conflit a opposé les deux communautés du territoire, le conflit nord-irlandais de la fin des années 1960 jusqu'à la fin des années 1990.
Les minoritaires nationalistes, presque tous catholiques, motivés par un désir d'égalité des droits et d'union avec la République d'Irlande s'opposaient aux majoritaires unionistes, presque tous
protestants, descendants des colons installés au XVIIe siècle, partisans du statu quo.

Des troubles publics à la fin des années 1960 se sont mués à l'orée des années 1970 en une campagne paramilitaire contre l'État britannique en Irlande du Nord.
L'actrice principale était l'Armée républicaine irlandaise provisoire (IRA) qui a lutté contre le Royal Ulster Constabulary (RUC), l'ex-force de police en Irlande du Nord.
Mais, dans cette guerre sont aussi intervenus des paramilitaires unionistes, l'armée britannique et d'autres paramilitaires nationalistes.
En 1998, un accord a été conclu entre les principaux partis politiques, et en 2007, un accord de gouvernement a été conclu. Il a eu l'appui de tous les partis majeurs de l'État.
Le conflit a laissé des traces psychosociologiques très profondes dans la vie culturelle et politique en Irlande du Nord. Les divisions entre les deux communautés sont encore très présentes.
Le lin, qui était une industrie importante dans l'Histoire de cette province, en est devenu symbole, accepté par les deux communautés.
La main rouge d'Ulster ou l’Ulster Banner sont moins consensuels, puisqu'ils représentent depuis 1972 l'Unionisme (Irlande)|mouvement unioniste irlandais]], surtout la frange loyaliste.
Géographie de l'Irlande du Nord
 
Pour l'île d'Irlande dans sa globalité : Géographie de l'Irlande.
 
Le climat de l'Irlande du Nord est tempéré océanique, plus humide à l'ouest qu'à l'est, mais la présence d'une couverture nuageuse est fréquente partout dans la région à cause des reliefs.
 
Les pluies y sont fréquentes et particulièrement d’août à janvier. Le temps est imprévisible pendant tout l'année et, bien que les saisons soient distinctes, elles sont moins prononcées que sur l'Europe continentale ou l'est de l'Amérique du Nord.
 
La température maximale moyenne à Belfast est 6,5 °C en janvier et 17,5 °C en juillet.
 
Le température la plus haute enregistrée fut 30,8 °C à Knockarevan, dans le Fermanagh le 30 juin 1976 et à Belfast le 12 juillet 1983.
 
La plus basse était -17,5ºC à Magherally, dans le Down le 1er janvier 1979.
Pour l'histoire de l'île d'Irlande dans sa globalité, voir...
Histoire de l'Irlande
 
L'histoire de l'Irlande du Nord commence en 1920 lorsque l'île d'Irlande est scindée en Irlande du Sud (qui deviendra l'État d'Irlande indépendant que l'on connaît aujourd'hui) et Irlande du Nord.
Administration L'Irlande du Nord possède six comtés traditionnels. Ils ne sont pas pris en compte actuellement par l'administration. En revanche, ils sont mentionnés sur les passeports irlandais...
Qui présentent un champ « comté de naissance », et ils sont également mentionnés sur les cartes délivrées par le gouvernement.
Ils jouent également un rôle dans d'autres domaines : en sport, par exemple, les équipes de l'Association athlétique gaélique sont toujours réparties par comté.
L'Irlande du Nord est également divisée en onze districts à des fins d'administration locale.
À leur tête se trouvent des conseils locaux dont les pouvoirs sont moins étendus que dans le reste du Royaume-Uni. Ils sont onze districts, qui ont remplacé les vingt-six anciens districts en avril 2015.
L'Irlande du Nord est encore divisée en dix-huit circonscriptions électorales pour les élections de la Chambre des communes du Royaume-Uni et de l'Assemblée d'Irlande du Nord.
Démographie de l'Irlande du Nord
Religion...
Catholicisme
Protestantisme et autres
Culture.La culture de l'Irlande du Nord est un mélange entre celle d'Irlande et celle de Grande-Bretagne.
À cause des divisions entre les deux communautés, il semble qu'il y ait deux cultures qui existent parallèlement.
Toutefois il est des institutions où elles s'entremêlent sans anicroche[réf. souhaitée].
Folklore de l'Irlande
Gastronomie. L'Irlande du Nord partage beaucoup de traditions gastronomiques avec le reste de
l'Irlande, notamment l'utilisation courante de la pomme de terre et de la viande de mouton.

Le repas traditionnel en Irlande du Nord était composé de pommes de terre avec du chou et d'un morceau de viande pour les plus aisés.
Traditionnellement, les fermiers se levaient à 6 heures du matin pour traire les vaches et travailler sur la ferme, donc ils mangeaient un petit peu au lever, mais le repas le plus important était à midi, quand on mangeait un Ulster fry...
Le plat le plus connu de l'Irlande du Nord. Cela consistait en des tranches de saucisson, des œufs, du pain au lait, du pain de pommes de terre et des tomates, une variante d'un petit déjeuner complet. Le cheddar de Coleraine était lui souvent consommé en en-cas avant de se coucher.

Arts
Sport en Irlande du Nord
Irlande (île) - Irlande (pays)
Royaume-Uni
Autres nations constitutives 
Angleterre, Pays de Galles, Écosse
Îles Britanniques
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L'Irlande du Nord aujourd'hui

CLIC........Ireland by Drone from Blue Mantle Media on Vimeo

22/08/2017 - 14:00
                                               
ÇA C'EST PASSÉ UN 22 AOUT
22 août 1962 : Attentat du
Petit-Clamart. Dans la soirée, la Citroën DS dans laquelle se trouve
Charles de Gaulle et son épouse Yvonne tombe dans un guet-apens. Le
cortège présidentiel est mitraillé par les membres du commando de
Bastien-Thiry. Le général de Gaulle et son épouse réchappent à
l'attentat organisé par l'OAS.

22 août 1908 : Naissance d'Henri Cartier-Bresson. Le célèbre photographe
français, pionnier du photojournalisme, est l'un des fondateurs avec
Robert Capa, David Seymour, William Vandivert et George Rodger de
l'agence Magnum Photos. Henri Cartier-Bresson est décédé le 3 août 2004.


22 août 1864 : Première Convention de Genève. Le texte, rédigé à
l'initiative d'Henry Dunant pour protéger le sort des blessés en temps
de guerre , est signé par 12 Etats européens (Bade, Belgique, Danemark,
Espagne, France, Hesse, Italie, Pays-Bas, Portugal, Prusse, Suisse,
Württember, Norvège et Suède). La Convention établit également la
Croix-Rouge internationale.


22 août 1851 : Naissance de la Coupe de l'America. Le voilier America
remporte la régate autour de l'île de Wight (sud de l'Angleterre)
battant 14 bateaux britanniques. Les organisateurs décident alors de
créer la Coupe de l'America pour remettre le trophée en jeu.

22 août 1812 : Découverte de Pétra, en Jordanie. L'explorateur suisse
Jean-Louis Burckhardt découvre l'ancienne cité nabatéenne oubliée depuis
plusieurs siècles


Miche­line Presle, de son vrai nom Miche­line Chas­sagne, est une des rares
actrices françaises à avoir connu le succès avant et après-guerre. Née
le 22 août 1922 à Paris, elle débute sa carrière à 15 ans, avec La
Fessée de Pierre Caron et enchaîne de suite avec le rôle qui la fera
connaître, celui de Jacque­line Presle dans Jeunes Filles en détresse.
De là vien­dra son nom de scène.
 
22/08/2017 - 13:58
                                                         
François HOLLANDE et Julie GAYET ont
dîné avec : Charles AZNAVOUR, Michel DRUCKER et son épouse ...
L'ex-président et sa compagne ont été photographiés à l'occasion d'un dîner avec
Charles Aznavour, Michel Drucker et Dany Saval.
Habituellement discret, le couple a pris la pose pour une photo à l'issue de ce dîner
chez Paulette, un restaurant de la ville d'Eygalières
(Bouches-du-Rhône), où résident l'animateur de France Télévisions et
Dany Saval.
Après avoir profité de l'été pour rendre visite à ses enfants et assister au mariage de son neveu, François Hollande a fêté
ses 63 ans à Aiguines (Var), en compagnie de l'ancien Premier ministre
Bernard Cazeneuve, de Jean-Pierre Jouyet et bien évidemment de Julie
Gayet, a rapporté "Var Matin
22/08/2017 - 13:56
                                       LE  SAVIEZ  VOUS ?      

HISTOIRE DU MARCHE AUX PUCES
Vers 1870, des chiffonniers de Paris s'installent à St-Ouen sur la zone des
Malassis, terrain d'environ 300 mètres de large autour des fortifs de
Paris, des Poissonniers à Montmartre. Vinrent ainsi se mêler aux
roulotes des gitans, installés déjà depuis fort longtemps : biffins,
crocheteurs, fripiers, chineurs qui deviendront ensuite brocanteurs et
antiquaires
Il y a trois raisons principales à ce déplacement :
1) La décision du préfet de Paris Eugène Poubelle (1884) de rendre
obligatoire une boite à ordure pour chaque maison parisienne empêchant
ainsi les crocheteurs de faire «leur beurre» dans les caniveaux ;
2) L'activité nocturne et bruyante de «la biffe» gênant le confort douillet des parisiens ;
3) Malassis et sa zone de non droit, détaxée, située au-delà des barrières de l'octroi parisien.
La zone - appellation contrôlée de cette plaine à l'herbe rase et aux
ornières boueuses - s'anima au tempo des nouveaux venus : On y mangeait
des frites, des moules, du saucisson sec, des sardines presque fraiches,
des gaufres ; On y buvait du vin blanc, au son des guitares manouches
rythmées par le tir aux pigeons des baraques. Les bistrots et leurs
bosquets musicaux voyaient de plus en plus de chiffonniers s'implanter.
Même les «singes», ces grossistes fournissant en chiffons l'industrie du
papier, s'installèrent.
Peu à peu, la zone des Malassis, bien que non constructible, se peuple et se construit. Les baraques s'édifient et
se rasent au gré des amitiés et des inimitiés, la terre d'alors
appartient à celui qui la prend et qui, surtout, sait la garder

Une première ébauche de marché se crée sur l'avenue Michelet, à la sortie
de l'octroi de Paris vers Saint-Denis. En 1884, le Conseil Municipal
comprend alors le besoin de règlementer ce site, mais les chiffonniers
sont allergiques à tout impôt, à Paris comme ailleurs, c'est culturel !
Ils reviennent donc sur l'ancienne zone militaire protégée de toute taxe
et tentent même, en toute illégalité, de taxer les nouveaux venus. Avec
le temps et l'arrivée du métropolitain en 1908, les brocanteurs
ressentent le besoin et l'opportunité de se poser. D'autant qu'ils n'en
peuvent plus de déballer et remballer quotidiennement leur «charreton».
C'est pour répondre à cette demande que naquit naturellement le concept
des marchés, chacun voulant disposer d'un local clos, sur un site propre
au milieu d'allées, pour exercer une activité commerciale mieux
structurée.
VERNAISON créa le premier marché, sur les 13000m² du lieudit «les 26 arpents»,
rue des Rosiers, construit avec des «baraques Vilgrain», préfabriqués
servant à la distribution de nourriture après la grande guerre. On dit à
tort que le second marché fut édifié par M Malik. Il tenait alors le
café Picolo et gardait sous son oreiller les Louis d'or avec lesquels
les gitans hongrois réglaient leurs tournées, mais ce qui deviendra le
marché MALIK resta son jardin potager jusqu'en 1942.
En 1925, le marché BIRON fut créé sur les 7000m² du terrain du «Champ des Rosiers»
exploité par les maraichers. Il fallut âprement négocier des indemnités
avec ces cultivateurs. Ce marché répondait à un besoin express des
brocanteurs mis à la rue par la démolition et l'arasement des anciennes
fortifs. En 1938, le marché Jules VALLES, sur 1500M², fut le premier
marché couvert, il fut créé par un vénitien nommé Amadéo Césana.
En 1942, sur un jardin de 3000m² face au café Picolo, le Marché MALIK fût
bâti par un noble albanais exilé. Le jardin appartenait à M Bourdin qui
le loua à vie à M Malik et respecta cet engagement comme le voulait la
coutume de l'époque. Malik utilisait alors le lieu pour cultiver ses
fruits, ses légumes et y mis même une vache pour nourrir son petit fils
Gérard, enfant rachitique de la guerre. Mais voyant la pression des
biffins entassés dans la rue, et flairant la bonne affaire, M Malik
décida de monter 15, puis 30, puis 110 stands sur ce jardin.
Après la seconde guerre mondiale, les Puces harmonisent les horaires et les jours d'ouverture
En 1946, Louis Poré loue aux brocanteurs des parcelles de sa vigne allant
de la rue Paul Bert à la rue des Rosiers mais le parcours du chaland
ressemble plus à un chemin de croix qu'à une balade touristique : le
terrain est boueux, impraticable. En 1949, grâce au soutien et à
l'autorisation de la ville, les premières boutiques en durs et les
premières allées goudronnées des Puces voient le jour au marché PAUL
BERT.
Entre 1960 et 70, la construction du boulevard périphérique mit définitivement fin à la zone, à ses roulotes et à ce romantisme
singulier. Cette langue de béton stigmatisa, plus encore que l'octroi
d'antan, la banlieue, par une rupture géographique, sociologique,
économique et culturelle. Un fonctionnement autarcique, une activité
nocturne dans ce perpétuel ballet de phares font du périf un univers
clos et fascinant, mais parfois glacial.
Serge Malik, petits fils du fondateur du marché du même nom, raconte : “Dans ces années, convaincu
que Malassis restait mon jardin, je jouais encore dans la zone devenue
chantier. Un soir, coincé par une horde de rats affamés par le départ
des roulottes, un biffin aux allures d'épouvantail me tira d'affaire à
coups de bâton et de «Godillots». J'ai gardé aux chevilles les traces de
ces morsures et, dans la tête, une terrible phobie de ces rongeurs. Il
n'y a rien de pathos ni d'inavouable dans ce souvenir d'enfance, plutôt
une espèce de fierté d'affranchi. De l'âge de 4 à 7 ans, (59/62) je
faisais les marchés en semaine et vendais le week-end au «tout à 100
francs», rue Jules Vallès, ma vie était belle, sans école, certes, mais
belle, trépidante, fraternelle et humaine !”

En 1970, Alain Serpette, grand collectionneur d'armes à feu et fils d'un bijoutier de
la rue de Rosiers, achète à Louis Poré le garage SIMCA. Il crée le
marché SERPETTE et ses 120 stands, le vend ensuite, et quitte la France
pour la Floride. En 1975, la division d'un grand entrepôt permet
l'ouverture du HALL de la BROCANTE, rue Lecuyer, de même qu'en 1976 pour
le marché des ROSIERS. En 1979, Israël Elkembaum, divise aussi son
immense magasin de copies d'ancien en 60 stands et crée le marché CAMBO,
restructuré en 24 boutiques en 1992, après un très violent incendie. A
la fin des années 80, sous l'impulsion de Patrick Duprez, agent
immobilier audonien, on voit naitre deux grands marchés donnant une
nouvelle dimension internationale aux Puces de Saint-Ouen : En 1989, le
marché MALASSIS (enfin !), sa superbe rotonde et son immense verrière
dues au talent de l'architecte Giraud ; Et en 1991, le marché DAUPHINE
avec ses cours intérieures, ses escaliers de fer dans un pur style
«industrie», ses coursives et ses pavés de bois. Ces deux superbes
marchés orientent certainement les Puces des antiquaires vers une
nouvelle destination, tout en préservant la mémoire. La liste de ces
marchés n'est pas exhaustive. D'autres apparaitront ou disparaitront,
comme ce fut le cas pour la Cité de la Brocante, la Cité commerciale de
l'occasion, le Village en bois, vers 1920, et le Passage, vers 1970...
L'histoire des Puces panache les petites et les grandes histoires, le bric et le
broc, le hasard et l'opportunité. Ce déballage sauvage bousculait le
grand Paris, l'exposition décomplexée de cette misère, qui n'en était
pas vraiment une, dérangeait les habitudes bourgeoises ; Sa règle du jeu
réinventée sans cesse déroutait les administrations. On y venait
s'encanailler, avec une curiosité délétère, voire pernicieuse.
De la population des puces d'alors, singulier métissage de gens du voyage,
crocheteurs de tous poils, artistes non-conformistes, nobles exilés,
ouvriers engagés, que reste-t-il ?

Le succès pérenne d'un marché mondialement connu, largement visité chaque week-end et considéré
par la ville comme une marque importante et précieuse de notre histoire

Les biffins, toujours là, vendant sur des cartons de Montmartre à Clignancourt, mais ils doivent maintenant courir plus vite que les
«cognes» du temps béni des «hirondelles».
Les Gardiens du Temple: manouches, diseuses de bonne aventure, fripiers, bonneteaux,
bistrotiers, brocanteurs et antiquaires, dans une cohabitation
singulière... mais séculaire !
Les marchands de fringues neuves, vague déferlante des eighties, apportant une autre clientèle plus jeune
et aussi quelques frictions entre les «installés» et les nouveaux
venus... Preuve que l'histoire des Puces est un éternel recommencement.
22/08/2017 - 09:45
Parcours.date et coûts:les données du 14 Juilet 2017.

CLIC ICI......
http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/2017/07/13/01016-20170713ARTFIG00202-parcours-dates-et-couts-les-donnees-cles-du
14-juillet.php?een=8d90adda2ba87f96d175d2a3b69f74f3&seen=6&m_i=jbyWSqa1px7PV4VoFD8AYdDtn8DS4wdwSFP%2BdbyVaeH772Nb7GX0VSDgbfYeNRnI1Nj9xZaqqLYUJfthlE1qVYBIH8mUtY0bL5#xtor=EPR-300
22/08/2017 - 08:13
Des robes farfelues à la fête de l’Insolite depuis 1991


« Plus c’est étrange, mieux c’est…  » Ce pourrait être la devise de la « Fête de l’insolite » qui se déroule cette fin de semaine dans deux petits villages du Doubs, à Amathay et à Longeville. Là, il s’amusent d’un rien: d’écorces ou de rouleaux de papier-toilette !
Tout a commencé en 1991..
Les habitants des deux communes, Amathay et Longeville, ont eu envie defaire la fête. « La Fête de l’insolite » a vu le jour il y a donc 26 ans. Au programme : objets et robes bizarres, conçus et réalisés par leshabitants. Ceux d’ailleurs peuvent se joindre au mouvement… »Plus on est de fous… » Ecorces, papilottes, papier-toilette peuvent être utilisés pour ces robes assez … comment dire… extraordianires.


 
22/08/2017 - 07:49
L'ITALIE EN PASSANT PAR PALERME.
Visiter Palerme c’est se confronter à chaque coin de rues aux contrastes de la ville. De somptueux palais côtoient des monuments en ruine, de larges places ensoleillées entraînent vers un dédale de rues étroites et
sombres.
Palerme est riche d’une histoire complexe remontant à l’Antiquité, la ville ayant été fondée vers le VIIIème siècle avant notre ère et ayant subi de nombreuses phases d’occupation : arabe, normande, byzantine, française,espagnole.
Venez découvrir les nombreux lieux d’intérêt de Palerme, une ville au caractère bien trempé.

1. Le Palais des Normands et la chapelle palatine
 
Le Palais des Normands est à l’image de Palerme, un grand mélange d’influences. Tour à tour forteresse punique, romaine, résidence des émirs musulmans et palais des rois normands il héberge actuellement le
parlement de la région. Une visite incontournable qui renferme un véritable joyau : la chapelle palatine. Recouverte de dorures et mosaïques médiévales, elle est un spectacle à couper le souffle.

 
2. Visitez la Cathédrale de Palerme
 
La Cathédrale de Santa Maria Assunta est un monument médiéval datant du XIIème siècle, une église romane à forte influence arabe. Elle a été construite à l’emplacement de ce qui était alors la mosquée de la ville arabe et avant cela un temple romain. On peut y admirer les façades extérieures très travaillées qui contrastent avec le style baroque très sobre à l’intérieur.

3. Le Teatro Massimo Vittorio Emanuele, le plus grand d’Italie.
 
Le Teatro Massimo est l’opéra le plus grand d’Italie et le troisième plus grand d’Europe avec plus de 1600 sièges et la possibilité d’accueillir sur scène jusqu’à 700 acteurs ! Construit au XIXème siècle il a été
restauré et rouvert en 1997 après une période d’abandon. Seuls l’Opéra Garnier de Paris et le Staatsoper de Vienne offrent de plus grandes salles que celle-ci. Allez y jeter un coup d’œil, vous ne serez pas déçus.

4. Les palais de Palerme
 
Le nombre d’églises de Palerme n’a d’égal que celui des palais. Vous en trouverez à chaque coin de rue et il est souvent possible d’entrer dans leurs cours pour mieux les apprécier. Baladez-vous le long de la Via
Maqueda, un axe historique de la ville où vous trouverez sur votre route le Palazzo Grassellini, Comitini ou encore Mazzarino. Les amateurs de cinéma ne pourront manquer de se rendre au Palazzo Gangi, un palais du XVIIIème siècle où fut tournée la fameuse scène de bal du Guépard de Visconti. Enfin, rendez-vous au palais de plaisance de la Zisa, un bâtiment du XIIème siècle de style arabe commandé par le roi normand
Guillaume Ier.

5. Les plus belles places de la ville
 
On ne peut visiter Palerme sans s’attarder sur ses places. La plus connue de toutes, plutôt un carrefour, est le Quattro Canti, centre historique de la ville flanqué de quatre monuments baroques identiques abritant les
statues des quatre gouverneurs espagnols de Palerme. La Piazza Bellini et son église de la Martorana, sans doute la plus belle de la ville, ne peuvent manquer à votre liste. Nous vous conseillons également la Piazza
Pretoria et sa fontaine monumentale du XVIème siècle.


6. Les Catacombes capucines.
 
De loin l’attraction la plus bizarre de Palerme, mais aussi l’une des plus populaires de la ville, le monastère des Capucins est surtout célèbre pour ses Catacombes. Ces passages souterrains ont été taillés dans la
roche volcanique après 1599 et ont servi de lieu de sépulture jusqu’en 1881. À l’intérieur, vous serez accueillis par environ 8000 cadavres momifiés, disposés selon le sexe et le statut dans les couloirs ou
suspendus aux murs. Les momies portent des vêtements bien conservés, carles familles « offraient » régulièrement de nouveaux vêtements aux défunts. Une momie en particulier attire les visiteurs, celle d’une
petite fille de 2 ans, Rosalia Lombardo, dont le niveau de conservation est exceptionnel.

7. La street-food et les marchés de Palerme
 
Les marchés de rue de Palerme sont l’occasion de vous plonger dans les saveurs de la Sicile, et au cœur de la vie palermitaine. La cuisine sicilienne est riche, et vous retrouverez tous les éléments qui la composent sur des étals de marché installés dans des rues étroites entre des édifices en ruines, comme sur les marchés de Ballaro et Vucciria.
La street-food est très présente à Palerme : partez à la recherche de Rocky, un personnage local, et essayez son Pane con la Milza (à base de poumon de veau et de rate), goûtez les pâtes aux oursins et les frittes de haricots frits (panelle) arrosés avec un spremuta d’arancia (jus d’orange).
Heures d’ouverture pour La Vucciria : Lun-Ven 10h-13h, Via Coltellieri 46, 90133, Palerme
Heures d’ouverture pour Ballaro : 7h30 à 20h, fermeture à 13h le dimanche, Via Ballaro, 14, 90134 Palerme

8. À voir aussi à Palerme.
Le musée archéologique régional Antonio Salinas.
On peut difficilement s’arrêter de visiter Palerme ; les surprises sont à chaque coin de rue ! Voici encore quelques étapes pour poursuivre votre parcours :
Le marché de la VucciriaLe quartier de l’Albergheria.Le musée archéologique régional Antonio Salinas.Le jardin botanique de Palerme .

À faire dans les environs de Palerme.
Le cloître de Monreale –