Bonjour , MAYYAN 1 , peut-être que votre ordinateur , ne ' déconne' pas ! ,et, qu'il n'y a que moi , qui voit les photos ? Je vais demander à mes amies , si, elles le voit , comme ça , nous saurons bien , ce qu'il en ait......
Bonjour , pardon , MAYYAN 1 , mais , je n'ai pas compris votre message ; les photos , je les vois ......sur mon écran...... Vous , vous , ne les voyez pas ! ?
Julian Barbour, l'auteur principal de cette théorie, et ses collègues physiciens, suggèrent en fait que lorsque le Big Bang a eu lieu, ce n'est pas un univers qui a été créé, mais deux. L'un avançant dans le temps, et l'autre allant à reculons.
Flèche Du Temps Symétrique. Cette idée défie complètement notre conception de la "flèche du temps", notion introduite par Arthur Eddington dans les années 1920 pour décrire le temps qui passe. Selon cette théorie, le temps s'écoule dans une seule direction. Le bois prend feu, mais jamais la fumée ne redevient du bois. Nous vieillissons, et ne serons jamais comme Benjamin Button.
Le hic: les lois de la physique s'appliquent peu importe le sens dans lequel le temps passe. Rien ne peut démonter a priori l'idée d'un univers parallèle allant dans un sens différent du notre. "Le temps est un mystère,explique Barbour au DailyMail. En gros, toutes les lois physiques connues sont exactement pareilles peu importe dans quel sens le temps passe, et dans le monde dans lequel nousvivons tout va dans une direction."
Peu importe leur taille, la distance entre elles, ces particules finissaient par se retrouver les unes à côté des autres, dans un état proche de celui du Big Bang. Mais ensuite, et c'est là tout le mystère de cette étude, les particules se sont étendues dans deux directions différentes, les deux directions temporelles du modèle. C'est comme si le modèle général avait un passé, mais deux futurs. Ainsi, deux flèches du temps, symétriques, opposées, se sont créées. Le long de ces deux structures temporelles, les lois de la physique classique ont ensuite fait leur travail, les particules se regroupant dans des structures complexes, comme ce fut le cas pour les galaxies, étoiles et planètes après le Big Bang.
Si un tel système théorique a réellement pris forme dans notre lointain passé, comment vivent les êtres vivants de cet univers opposé? "Ils définiraient leur flèche comme s'éloignant de l'état central. Ils penseraient que nous vivons dans leur plus lointain passé". Et inversement, nous penserions qu'ils vivent dans notre passé, un passé "négatif". Quant à localiser cet autre univers, dans la pratique, c'est encore un autre problème. "Nos résultats sont une démonstration de faisabilité", indique Barbour.
Charles VI le Bien Aimé devient le Fou, c'était en 1392.
Le 5 août 1392, Charles VI (24 ans) traverse la forêt du Mans à la tête de ses troupes. Le roi, que ses sujets surnomment le Bien Aimé pour les avoir délivrés des exactions de ses puissants oncles, entreprend une expédition contre le duc de Bretagne Jean IV, allié aux Anglais. Un illuminé surgit soudain, saisit la bride de son cheval et lui crie : «Arrête, noble roi, tu es trahi ! » Peu après, la lance d'un soldat heurte un bouclier. Au bruit, le roi qui s'était assoupi sous l'effet de la chaleur, tire son épée et frappe ses compagnons. Six chevaliers sont tués avant qu'on ait pu le maîtriser! Un vieux médecin de grande réputation est requis par le conseiller Enguerrand de Coucy pour le soigner. Il s'agit de Guillaume de Harcigny, né à Laon neuf décennies plus tôt. Il voit immédiatement dans la folie du roi une maladie congénitale héritée de sa mère Jeanne de Bourbon : «cette maladie est venue au roi de coulpe ; il tient trop de la moiteur de sa mère», dit-il. Nommé premier médecin du roi, il obtient une rémission de la maladie en six semaines mais, lui-même trop usé, il abandonne sa charge et meurt peu après. Désormais les crises de folie ne vont plus quitter le jeune souverain mais seul son entourage immédiat est dans la confidence et ses retours intermittents à la raison empêchent la constitution d'une régence en bonne et due forme.
Les puissants oncles du roi, les ducs de Bourgogne, de Berry, d'Anjou et de Bourbon, en profitent pour revenir en force au pouvoir avec la complicité de la reine Isabeau de Bavière Naissance de Neil Armstrong, c'est en 1930.
5 août 1930 à Wapakoneta, Ohio (États-Unis) – 25 août 2012(États-Unis)
Neil Armstrong est le premier homme à avoir posé le pied sur la Lune, dans la nuit du 20 au 21 juillet 1969, à 3h56 (heure française).
À l'adresse d'un milliard de téléspectateurs terriens, il lance la phrase ci-après, préalablement mûrie par des spécialistes de la communication : «Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité». Il est rejoint un quart d'heure plus tard par Edwin «Buzz» Aldrin.
Avec une formation d'ingénieur en aéronautique, Neil Armstrong a participé d'abord à la guerre de Corée comme aviateur dans l'United States Navy. De retour dans le civil, il est ensuite devenu pilote d'essai à la base Edwards (Californie) avant d'être recruté par la NASA en 1962.
Il effectue son premier vol spatial en 1966 aux commandes de Gemini 8, assure l'arrimage avec un vaisseau inhabité et témoigne dès ce moment-là d'un sang-froid à toute épreuve qui lui vaut d'être surnommé «Ice Commander» («commandant de glace»). Après la mission Apollo XI, d'un naturel discret et modeste, il a poursuivi à la NASA une paisible carrière de professeur de technologie
Henri Grouès est né à Lyon (IVe) dans une famille bourgeoise aisée et pieuse de négociants en soie lyonnais, originaire, du côté paternel, du hameau de Fouillouse à Saint-Paul-sur-Ubaye, et de Tarare dans le Rhône du côté maternel. Il est le cinquième de huit enfants. Il a été baptisé à l'église Saint-Eucher, dans le 4e arrondissement de Lyon. Il passe son enfance à Irigny, une commune au Sud-Ouest de Lyon. À 12 ans, il accompagne son père à la confrérie séculaire des Hospitaliers veilleurs, où les bourgeois se font coiffeurs barbiers pour les pauvres. Élève à l'internat Saint-Joseph (actuel lycée Saint-Marc), il fit partie des scouts de France, dans lesquels il fut totémisé « Castor Méditatif ». En 1928 à 16 ans, après un « coup de foudre avec Dieu » selon ses propres mots, il veut entrer dans les ordres franciscains, cependant il devra attendre d'avoir 17 ans et demi. En 1931, il fait profession chez les capucins où il prononce ses vœux. Il renonce cette année-là à sa part du patrimoine familial, et donne tout ce qu'il possède à des œuvres caritatives. En religion, Henri Grouès devient frère Philippe. En 1932, il entre au cloître, au couvent de Crest où il passe sept années d'austérité religieuse Le samedi 18 décembre 1937, il est ordonné diacre par monseigneur Camille Pic, évêque de Valence (Drôme) dans la chapelle du Grand Séminaire, 75 rue Montplaisir, qui abrite aujourd'hui le lycée privé catholique Montplaisir. Il est ordonné prêtre le 24 août 1938 en la chapelle du lycée Saint-Marc. En avril 1939, il est nommé vicaire à la basilique Saint-Joseph de Grenoble.
Il est mobilisé comme sous-officier dans le régiment du train des équipages, en décembre 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale Selon sa biographie officielle issue des archives officielles du ministère de la Défense nationale, « vicaire à la cathédrale Notre-Dame de Grenoble, il recueille des enfants juifs dont les familles ont été arrêtées lors des rafles des Juifs étrangers en zone Sud, en août 1942 » En novembre 1943 il fait passer en Suisse le plus jeune frère du général de Gaulle, Jacques, ainsi que son épouse qu'il confie au réseau de l'abbé Marius Jolivet, curé de Collonges-sous-Salève. Il participe à la création de maquis dont il est un des leaders dans le massif du Vercors et le massif de la Chartreuse. C'est à cette époque qu'il rencontre Lucie Coutaz, qui le cache sous un faux nom, et restera sa secrétaire particulière jusqu'à sa mort en 1983. Elle est considérée comme la cofondatrice du Mouvement Emmaüs.
Il aide les réfractaires au service du travail obligatoire (STO). Il prend le nom d'abbé Pierre dans la clandestinité. En 1944, il est arrêté par l'armée allemande à Cambo-les-Bains, dans les Pyrénées-Atlantiques, mais est relâché et passe en Espagne puis rejoint via Gibraltar le général de Gaulle à Alger en Algérie[6]. Il devient aumônier de la Marine sur le Jean Bart à Casablanca (Maroc).
Ses actions dans la résistance lui valent la Croix de guerre avec palme à la Libération. De son expérience passée et des drames dont il a été témoin, il doit, comme bien d'autres résistants de tout bord qui l'ont côtoyé, son engagement politique pour restaurer une société digne fondée sur les droits humains fondamentaux, mais aussi sa profonde détermination à agir pour des causes qu'il croit justes, y compris parfois dans l'illégalité, et à mobiliser autour de lui pour faire changer les lois établies et les regards indifférents.
Après la guerre, sur les conseils de l'entourage du général de Gaulle, et l'approbation de l'archevêque de Paris, il est élu député de Meurthe-et-Moselle aux deux assemblées nationales constituantes (1945-1946), comme indépendant apparenté au Mouvement républicain populaire (MRP) de résistants démocrates-chrétiens, puis à l'Assemblée nationale de 1946 à 1951, où il siège d'abord au sein du groupe MRP. Sa profession de foi affiche un programme proche du populisme (ni capitaliste, ni collectiviste
En 1947, il est vice-président de la Confédération mondiale, mouvement fédéraliste universel de promotion de la mondialisation démocratique. Avec Albert Camus et André Gide, il fonde le comité de soutien à Garry Davis, fondateur du mouvement des citoyens du monde, qui s'oppose à la remontée rapide des égoïsmes nationaux et déchire son passeport devant l'ambassade américaine.
Il se désolidarise du parti politique après « l'incident sanglant » de Brest d'avril 1950, ayant provoqué la mort de l'ouvrier Édouard Mazé. Dans sa lettre de démission du 28 avril 1950, Pourquoi je quitte le MRP, il dénonce les positions politiques et sociales du Mouvement. Il rejoint ensuite la Ligue de la jeune République, mouvement chrétien socialiste. Mais, il ne se représentera plus à l'Assemblée à la fin de son mandat : sa courte carrière politique se termine en 1951 et l'abbé Pierre retourne à sa vocation première de prêtre-aumônier et s'investit, avec sa petite rente d'ex-député, dans ses actions caritatives. Il fonde en 1949 le Mouvement Emmaüs (en référence à Emmaüs, village de Palestine apparaissant dans un épisode du dernier chapitre de l'Évangile selon Luc). Ce mouvement est une organisation laïque de lutte contre l'exclusion, présente aujourd'hui dans 36 pays du Monde. Il commence ainsi dès l'été 1949 par fonder la communauté Emmaüs de Neuilly-Plaisance, au 38 avenue Paul Doumer, au départ auberge de jeunesse
La rencontre avec George, désespéré qui a perdu toute raison de vivre, et à qui l'abbé Pierre demande « Viens m'aider à aider » marque cependant le véritable acte fondateur du Mouvement Emmaüs. Les communautés Emmaüs se financent par la vente de matériels et d'objets de récupération et construisent des logements:
« Emmaüs, c'est un peu la brouette, les pelles et les pioches avant les bannières. Une espèce de carburant social à base de récupération d'hommes broyés» En 1952, il participe au jeu « Quitte ou double » sur Radio Monte Carlo pour alimenter financièrement son combat, où il gagnera 256 000 francs de l'époque.
En 1963, il est victime d'un naufrage dans le Río de la Plata (Argentine). Annoncé mort pendant quelques jours, l'abbé Pierre prend alors conscience que sa mort signifierait la disparition du seul lien entre les groupes Emmaüs du monde, ce qui aurait pu mener à la disparition du mouvement. C'est donc à la suite de cet événement que l'abbé Pierre décide de préparer la fondation d'Emmaüs International, qui verra le jour en 1971.
Ainsi, d'abord très désorganisé et très spontané, le mouvement Emmaüs se structure progressivement jusqu'à acquérir sa forme actuelle. En 1985 est créée l'association Emmaüs France, qui regroupe alors tous les groupes Emmaüs français, alors que l'association Emmaüs se focalise sur Paris et ne joue plus son rôle initial de fédération.
Plus tard, en 1988, l'abbé Pierre crée avec son ami Raymond Étienne la Fondation Abbé Pierre pour le logement des défavorisés, reconnue d'utilité publique en 1992.Cette fondation a pour objet la lutte contre le mal-logement. L'abbé Pierre est, avec sa secrétaire Lucie Coutaz, à l'origine d'Emmaüs. Cependant, il n'en a jamais été un dirigeant opérationnel. D'un caractère spontané, il est peu porté vers l'organisation. Ainsi, il préférera toujours créer de nouvelles structures, initier de nouveaux projets, que de gérer celles qui existent
Par exemple, il marquera à plusieurs reprises son opposition à la création de l'Union centrale de communautés Emmaüs, qui en 1958 se donne pour objet de professionnaliser la gestion des communautés Emmaüs, et qui selon l'abbé Pierre voulait donner une "trop rigide définition de tout".
Cependant, l'abbé Pierre a bien conscience de la nécessité d'une telle structuration, même si elle ne correspond pas à son penchant naturel. Il encouragera ainsi la fondation d'Emmaüs International en 1971
L'abbé Pierre meurt le lundi 22 janvier 2007, tôt le matin (5 h 25 heure locale), à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris, des suites d'une infection du poumon droit consécutive à une bronchite. Il était âgé de 94 ans[15],
Il affirmait : « J'ai passé ma vie à prier Dieu pour mourir jeune », et ajoutait : « Vous voyez, c'est raté ! ». L'abbé Pierre faisait également régulièrement allusion à sa mort en évoquant son départ en "grandes vacances". À la suite de la demande de la famille, les drapeaux français n'ont pas été mis en berne lors de l'hommage national. Les obsèques se sont déroulées le vendredi 26 janvier à 11 heures, dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Diverses personnalités de tout bords se sont jointes à la cérémonie, placées derrière Jacques Chirac, de nombreux membres du mouvement Emmaüs et la famille : Valéry Giscard d'Estaing, Dominique de Villepin, de nombreux ministres français, des artistes... ainsi qu'une immense foule anonyme. Fait rare en France, le cortège funéraire a été applaudi par le public, ainsi que dans la cathédrale.
Durant la cérémonie, les représentants officiels de différentes religions étaient présents et lui ont remis symboliquement des cadeaux placés sur son cercueil, posé à même le sol.
Son cercueil a ensuite été transféré vers le village d'Esteville en Seine-Maritime, où l'abbé Pierre a résidé pendant plusieurs années, et où se trouve un centre d'accueil toujours en activité aujourd'hui et géré par l'Association Emmaüs de Paris: la Halte d'Emmaüs. Son enterrement s'est déroulé dans la plus stricte intimité. Plusieurs personnalités politiques se prononcent déjà pour le transfert de sa tombe au Panthéon
FRANCE, RÉVEILLE-TOI ! CAR, L'ABOLITION DES NOMS, C'EST L'ABOLITION DU PEUPLE !
« Il faut réagir ! »
Sommes-nous encore libres dans notre pays ? Sauvons nos traditions, écrivez à vos Députés, vos Maires, aux politiciens... !
CHANGEMENT DES NOMS DES VACANCES ! ce que souhaite le gouvernement: Au nom de qui, de quoi ? Sont-ils devenus fous ? Combien de temps les Français vont laisser faire cela ? C'est le ridicule absolu. Le Gouvernement veut changer la référence de nos congés! Ce qui est annoncé, serait réalité pour demain. POURQUOI DEVRIONS NOUS CÉDER DEVANT DE TELLES DEMANDES ? Le congé de "Toussaint" deviendrait congé "D'automne" Le congé de "Noël" deviendrait congé "d'Hiver", et celui de "Pâques" deviendrait "De printemps", Cela afin, je cite : " de ne pas choquer certaines communautés " Au risque de choquer qui ?! Et mon PAYS ", il va se transformer en quoi ! ? Mes racines, j'en fais quoi ? et les marchés de Noël ils deviennent marchés d'hiver ? Si je choque certaines personnes, veuillez m'en excuser, je m'exprime librement tant que je le peux encore! Touche pas au Père Noël ! On ne parle pas du Carême, mais on nous rebat les oreilles du Ramadan ! RAS LE BOL DE NOS TROUILLARDS QUI TREMBLENT DEVANT Les exigences DE L'ISLAM Si vous êtes d'accord avec ceci, transférez ! Moi c’est fait !!!
Elle est courageuse la Marielle ! Et elle se bat encore. Bravo Marielle tu es une vraie Championne !!!
28 illustrations qui racontent avec émotion le combat d'une artiste britannique contre la dépression !
Lutter contre la dépression n’est jamais chose facile. Souvent invisible aux yeux des autres, la dépression vous fait ressentir des sentiments si profonds et si incompréhensibles qu’il est très difficile d’en parler aux autres. Certains artistes qui vivent ce combat ou l’ont vécu, ont décidé de faire de leur art une manière d’exprimer ce qu’ils ressentent de façon plus imagée, comme une échappatoire au mal-être. Destiny Blue fait partie de ces artistes. C’est à travers des portraits inspirés de l’univers Anime que l’artiste britannique raconte son bras de fer avec la dépression. Présente sur la toile depuis 2004, Destiny Blue est devenue très populaire grâce à ses tableaux qu’elle réalise en grande partie sur le logiciel Photoshop CS6 et tout ça en autodidacte ! Grâce au partage de son histoire à travers ses tableaux, Destiny Blue nous dévoile un beau combat dont elle sort victorieuse et donne de l'espoir aux gens qui se sentent incompris.
1- "Brisée" Crédit photo : DestinyBlue 2- "Ce que j'ai vu" Crédit photo : DestinyBlue 3- "L'anxiété" Crédit photo : DestinyBlue 4- "Blindée" Crédit photo : DestinyBlue 5- "Peinture de guerre" Crédit photo : DestinyBlue 6- " Je t'ouvre mon cœur" Crédit photo : DestinyBlue 7- "Profondeur" Crédit photo : DestinyBlue 8- "Piégée par l'école" Crédit photo : DestinyBlue 9- "Peins tes ailes" Crédit photo : DestinyBlue 10- "L'un de nous deux peut être libre" Crédit photo : DestinyBlue 11- "Je vais bien" Crédit photo : DestinyBlue 12- "Pas seule" Crédit photo : DestinyBlue 13- "Grandir à nouveau" Crédit photo : DestinyBlue 14- "Perds toi en moi" Crédit photo : DestinyBlue 15- "La confiance" Crédit photo : DestinyBlue 16- "Les amis vous libèrent" Crédit photo : DestinyBlue 17- "D'or" Crédit photo : DestinyBlue 18- "Je suis compliquée" Crédit photo : DestinyBlue 19- "Pour toujours - Fini" Crédit photo : DestinyBlue 20- "Coudre pour enfermer mon âme" Crédit photo : DestinyBlue 21- "Tout faux" Crédit photo : DestinyBlue 22- "Je vais bien - Je ne vais pas bien" Crédit photo : DestinyBlue 23- "Si les larmes laissaient des cicatrices" Crédit photo : DestinyBlue 24- "Fenêtre brisée de l'âme" Crédit photo : DestinyBlue 25- "Imprimer" Crédit photo : DestinyBlue 26- "La dernière pièce" Crédit photo : DestinyBlue 27- "Bonjour, je suis suicidaire" Crédit photo : DestinyBlue 28- "Bonjour, je me sens mieux"
Découvrez L’un Des Plus Beaux Jardins Zen De France Par Catherine Delvaux Du Magazine Détente Jardin
Le jardin zen d’Erik Borja, dans la Drôme est, en France, le jardin le plus abouti et le plus connu des jardins japonais contemporains adaptés ànotre climat. Ce jardin a aujourd’hui 40 ans et ces photos récentes témoignent de sa beauté. L’entrée est matérialisée par un Torii (portique traditionnel japonais), dont on voit ici juste les deux montants.
Au bout de l’allée en carreaux de terre cuite, une zone dégagée est pavée avec des galets de manière traditionnelle à ce qui se fait dans la vallée du Rhône.
Elle marque la transition entre le monde réel (l’ouest) et le monde rêvé (le jardin à l’est), et dessert les deux accès de la maison, le privé et le public.
Comme Erik Borja, vous pouvez vous aussi aménager un jardin zen chez vous ! Le gravier ratissé en profonds sillons affirme l’aspect graphique du jardin et les jeux d’ombre et de lumière animent la mer de sable. Pour les Occidentaux cartésiens que nous sommes, il faut faire un effort, faire le vide dans notre esprit pour que le jardin devienne le support de notre propre imagination.
Le pavillon de thé surplombe l’étang en contrebas. La pente abrupte devant est plantée de bambous nains, d’où émergent des lonicéras, des osmanthes et d’encore frêles érables du Japon. Dans le même registre : découvrez notre sélection des plus beaux jardins du monde ! Une source alimente le bassin. Le miroir d’eau reflète le ciel et éclaire la partie la plus ancienne du jardin de méditation.
La nature des sols et l’orientation du terrain sont propices aux variétés fragiles d’érables du Japon dont la silhouette est mise en valeur par les volumes arrondis et taillés des lonicéras, junipérus, pittosporums… Le jardin de promenade s’ouvre par trouées sur la campagne environnante.
Deux junipérus et une lanterne de pierre indiquent la fin du jardin de thé au sortir de la clairière.
Kare-san-sui, « montagne et eau »... Ce jardin sec octogonal est constitué de roches granitiques provenant du Cap corse. Leur disposition évoque le corps écailleux d’un dragon. Le pavillon sur la gauche de l’image a été construit en surélévation pour admirer ce jardin.
Le jardin zen ou jardin de méditation... C’est la partie la plus ancienne, passée en 40 ans de prairie fleurie à jardin de méditation.
MAYYAN 1 , peut-être que votre ordinateur , ne ' déconne' pas ! ,et, qu'il n'y a que moi , qui voit les photos ?
Je vais demander à mes amies , si, elles le voit , comme ça , nous saurons bien , ce qu'il en ait......
pardon , MAYYAN 1 , mais , je n'ai pas compris votre message ;
les photos , je les vois ......sur mon écran......
Vous , vous , ne les voyez pas ! ?
Le HuffPost / Par Marine Le Breton
SCIENCE - En ce moment même, des êtres vivants sont en train de reculer dans le temps, dans un univers parallèle. Aussi saugrenu que cela puisse paraître, cette théorie est le résultat d'une étude scientifique publiée dans la revue Physical Review Letters, et elle pourrait bien bouleverser notre compréhension de l'univers, son origine, son avenir, le temps qui passe.
Julian Barbour, l'auteur principal de cette théorie, et ses collègues physiciens, suggèrent en fait que lorsque le Big Bang a eu lieu, ce n'est pas un univers qui a été créé, mais deux. L'un avançant dans le temps, et l'autre allant à reculons.
Flèche Du Temps Symétrique.
Cette idée défie complètement notre conception de la "flèche du temps", notion introduite par Arthur Eddington dans les années 1920 pour décrire le temps qui passe. Selon cette théorie, le temps s'écoule dans une seule direction. Le bois prend feu, mais jamais la fumée ne redevient du bois. Nous vieillissons, et ne serons jamais comme Benjamin Button.
Le hic: les lois de la physique s'appliquent peu importe le sens dans lequel le temps passe. Rien ne peut démonter a priori l'idée d'un univers parallèle allant dans un sens différent du notre.
"Le temps est un mystère,explique Barbour au DailyMail.
En gros, toutes les lois physiques connues sont exactement pareilles peu importe dans quel sens le temps passe, et dans le monde dans lequel nousvivons tout va dans une direction."
Les physiciens ont utilisé un modèle informatique de simulation de notre univers, composé de 1000 particules. Ils ont analysé leur comportement et interactions lorsqu'elles étaient soumises à l'influence de la gravité...Notre futur est leur passé...
Peu importe leur taille, la distance entre elles, ces particules finissaient par se retrouver les unes à côté des autres, dans un état proche de celui du Big Bang. Mais ensuite, et c'est là tout le mystère de cette étude, les particules se sont étendues dans deux directions différentes, les deux directions temporelles du modèle. C'est comme si le modèle général avait un passé, mais deux futurs.
Ainsi, deux flèches du temps, symétriques, opposées, se sont créées. Le long de ces deux structures temporelles, les lois de la physique classique ont ensuite fait leur travail, les particules se regroupant dans des structures complexes, comme ce fut le cas pour les galaxies, étoiles et planètes après le Big Bang.
Si un tel système théorique a réellement pris forme dans notre lointain passé, comment vivent les êtres vivants de cet univers opposé? "Ils définiraient leur flèche comme s'éloignant de l'état central. Ils penseraient que nous vivons dans leur plus lointain passé". Et inversement, nous penserions qu'ils vivent dans notre passé, un passé "négatif".
Quant à localiser cet autre univers, dans la pratique, c'est encore un autre problème. "Nos résultats sont une démonstration de faisabilité", indique Barbour.
ÇA S'EST PASSÉ UN 5 AOUT
Charles VI le Bien Aimé devient le Fou, c'était en 1392.
Le 5 août 1392, Charles VI (24 ans) traverse la forêt du Mans à la tête de
ses troupes. Le roi, que ses sujets surnomment le Bien Aimé pour les
avoir délivrés des exactions de ses puissants oncles, entreprend une
expédition contre le duc de Bretagne Jean IV, allié aux Anglais.
Un illuminé surgit soudain, saisit la bride de son cheval et lui crie :
«Arrête, noble roi, tu es trahi ! » Peu après, la lance d'un soldat
heurte un bouclier. Au bruit, le roi qui s'était assoupi sous l'effet de
la chaleur, tire son épée et frappe ses compagnons. Six chevaliers sont
tués avant qu'on ait pu le maîtriser!
Un vieux médecin de grande réputation est requis par le conseiller Enguerrand de Coucy pour le
soigner. Il s'agit de Guillaume de Harcigny, né à Laon neuf décennies
plus tôt. Il voit immédiatement dans la folie du roi une maladie
congénitale héritée de sa mère Jeanne de Bourbon : «cette maladie est
venue au roi de coulpe ; il tient trop de la moiteur de sa mère»,
dit-il. Nommé premier médecin du roi, il obtient une rémission de la
maladie en six semaines mais, lui-même trop usé, il abandonne sa charge
et meurt peu après.
Désormais les crises de folie ne vont plus quitter le jeune souverain mais seul
son entourage immédiat est dans la confidence et ses retours
intermittents à la raison empêchent la constitution d'une régence en
bonne et due forme.
Les puissants oncles du roi, les ducs de Bourgogne, de Berry, d'Anjou et de Bourbon, en profitent pour revenir en
force au pouvoir avec la complicité de la reine Isabeau de Bavière
Naissance de Neil Armstrong, c'est en 1930.
5 août 1930 à Wapakoneta, Ohio (États-Unis) – 25 août 2012(États-Unis)
Neil Armstrong est le premier homme à avoir posé le pied sur la Lune, dans
la nuit du 20 au 21 juillet 1969, à 3h56 (heure française).
À l'adresse d'un milliard de téléspectateurs terriens, il lance la phrase
ci-après, préalablement mûrie par des spécialistes de la communication :
«Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité». Il est
rejoint un quart d'heure plus tard par Edwin «Buzz» Aldrin.
Avec une formation d'ingénieur en aéronautique, Neil Armstrong a participé
d'abord à la guerre de Corée comme aviateur dans l'United States Navy.
De retour dans le civil, il est ensuite devenu pilote d'essai à la base
Edwards (Californie) avant d'être recruté par la NASA en 1962.
Il effectue son premier vol spatial en 1966 aux commandes de Gemini 8,
assure l'arrimage avec un vaisseau inhabité et témoigne dès ce moment-là
d'un sang-froid à toute épreuve qui lui vaut d'être surnommé «Ice
Commander» («commandant de glace»).
Après la mission Apollo XI, d'un naturel discret et modeste, il a poursuivi à
la NASA une paisible carrière de professeur de technologie
Henri Grouès est né à Lyon (IVe) dans une famille bourgeoise aisée et pieuse
de négociants en soie lyonnais, originaire, du côté paternel, du hameau
de Fouillouse à Saint-Paul-sur-Ubaye, et de Tarare dans le Rhône du côté
maternel. Il est le cinquième de huit enfants. Il a été baptisé à
l'église Saint-Eucher, dans le 4e arrondissement de Lyon. Il passe son
enfance à Irigny, une commune au Sud-Ouest de Lyon. À 12 ans, il
accompagne son père à la confrérie séculaire des Hospitaliers veilleurs,
où les bourgeois se font coiffeurs barbiers pour les pauvres.
Élève à l'internat Saint-Joseph (actuel lycée Saint-Marc), il fit partie des
scouts de France, dans lesquels il fut totémisé « Castor Méditatif ». En
1928 à 16 ans, après un « coup de foudre avec Dieu » selon ses propres
mots, il veut entrer dans les ordres franciscains, cependant il devra
attendre d'avoir 17 ans et demi.
En 1931, il fait profession chez les capucins où il prononce ses vœux. Il renonce cette année-là à sa part
du patrimoine familial, et donne tout ce qu'il possède à des œuvres
caritatives. En religion, Henri Grouès devient frère Philippe. En 1932,
il entre au cloître, au couvent de Crest où il passe sept années
d'austérité religieuse
Le samedi 18 décembre 1937, il est ordonné diacre par monseigneur Camille
Pic, évêque de Valence (Drôme) dans la chapelle du Grand Séminaire, 75
rue Montplaisir, qui abrite aujourd'hui le lycée privé catholique
Montplaisir.
Il est ordonné prêtre le 24 août 1938 en la chapelle du lycée Saint-Marc. En avril 1939, il est nommé vicaire à la basilique
Saint-Joseph de Grenoble.
Il est mobilisé comme sous-officier dans le régiment du train des équipages, en décembre 1939, au début de
la Seconde Guerre mondiale
Selon sa biographie officielle issue des archives officielles du ministère de la Défense nationale, « vicaire à
la cathédrale Notre-Dame de Grenoble, il recueille des enfants juifs
dont les familles ont été arrêtées lors des rafles des Juifs étrangers
en zone Sud, en août 1942 »
En novembre 1943 il fait passer en Suisse le plus jeune frère du général de Gaulle, Jacques, ainsi que son épouse
qu'il confie au réseau de l'abbé Marius Jolivet, curé de
Collonges-sous-Salève. Il participe à la création de maquis dont il est
un des leaders dans le massif du Vercors et le massif de la Chartreuse.
C'est à cette époque qu'il rencontre Lucie Coutaz, qui le cache sous un
faux nom, et restera sa secrétaire particulière jusqu'à sa mort en 1983.
Elle est considérée comme la cofondatrice du Mouvement Emmaüs.
Il aide les réfractaires au service du travail obligatoire (STO). Il prend
le nom d'abbé Pierre dans la clandestinité. En 1944, il est arrêté par
l'armée allemande à Cambo-les-Bains, dans les Pyrénées-Atlantiques, mais
est relâché et passe en Espagne puis rejoint via Gibraltar le général
de Gaulle à Alger en Algérie[6]. Il devient aumônier de la Marine sur le
Jean Bart à Casablanca (Maroc).
Ses actions dans la résistance lui valent la Croix de guerre avec palme à la Libération. De son
expérience passée et des drames dont il a été témoin, il doit, comme
bien d'autres résistants de tout bord qui l'ont côtoyé, son engagement
politique pour restaurer une société digne fondée sur les droits humains
fondamentaux, mais aussi sa profonde détermination à agir pour des
causes qu'il croit justes, y compris parfois dans l'illégalité, et à
mobiliser autour de lui pour faire changer les lois établies et les
regards indifférents.
Après la guerre, sur les conseils de l'entourage du général de Gaulle, et l'approbation de l'archevêque de
Paris, il est élu député de Meurthe-et-Moselle aux deux assemblées
nationales constituantes (1945-1946), comme indépendant apparenté au
Mouvement républicain populaire (MRP) de résistants
démocrates-chrétiens, puis à l'Assemblée nationale de 1946 à 1951, où il
siège d'abord au sein du groupe MRP. Sa profession de foi affiche un
programme proche du populisme (ni capitaliste, ni collectiviste
En 1947, il est vice-président de la Confédération mondiale, mouvement
fédéraliste universel de promotion de la mondialisation démocratique.
Avec Albert Camus et André Gide, il fonde le comité de soutien à Garry
Davis, fondateur du mouvement des citoyens du monde, qui s'oppose à la
remontée rapide des égoïsmes nationaux et déchire son passeport devant
l'ambassade américaine.
Il se désolidarise du parti politique après « l'incident sanglant » de Brest d'avril 1950, ayant provoqué la
mort de l'ouvrier Édouard Mazé. Dans sa lettre de démission du 28 avril
1950, Pourquoi je quitte le MRP, il dénonce les positions politiques et
sociales du Mouvement. Il rejoint ensuite la Ligue de la jeune
République, mouvement chrétien socialiste. Mais, il ne se représentera
plus à l'Assemblée à la fin de son mandat : sa courte carrière politique
se termine en 1951 et l'abbé Pierre retourne à sa vocation première de
prêtre-aumônier et s'investit, avec sa petite rente d'ex-député, dans
ses actions caritatives.
Il fonde en 1949 le Mouvement Emmaüs (en référence à Emmaüs, village de Palestine apparaissant dans un épisode du
dernier chapitre de l'Évangile selon Luc). Ce mouvement est une
organisation laïque de lutte contre l'exclusion, présente aujourd'hui
dans 36 pays du Monde. Il commence ainsi dès l'été 1949 par fonder la
communauté Emmaüs de Neuilly-Plaisance, au 38 avenue Paul Doumer, au
départ auberge de jeunesse
La rencontre avec George, désespéré qui a perdu toute raison de vivre, et à qui l'abbé Pierre demande «
Viens m'aider à aider » marque cependant le véritable acte fondateur du
Mouvement Emmaüs.
Les communautés Emmaüs se financent par la vente de matériels et d'objets de récupération et construisent des logements:
« Emmaüs, c'est un peu la brouette, les pelles et les pioches avant les
bannières. Une espèce de carburant social à base de récupération
d'hommes broyés»
En 1952, il participe au jeu « Quitte ou double » sur Radio Monte Carlo pour alimenter financièrement son combat, où il
gagnera 256 000 francs de l'époque.
En 1963, il est victime d'un naufrage dans le Río de la Plata (Argentine).
Annoncé mort pendant quelques jours, l'abbé Pierre prend alors
conscience que sa mort signifierait la disparition du seul lien entre
les groupes Emmaüs du monde, ce qui aurait pu mener à la disparition du
mouvement. C'est donc à la suite de cet événement que l'abbé Pierre
décide de préparer la fondation d'Emmaüs International, qui verra le
jour en 1971.
Ainsi, d'abord très désorganisé et très spontané, le mouvement Emmaüs se structure progressivement jusqu'à acquérir sa
forme actuelle. En 1985 est créée l'association Emmaüs France, qui
regroupe alors tous les groupes Emmaüs français, alors que l'association
Emmaüs se focalise sur Paris et ne joue plus son rôle initial de
fédération.
Plus tard, en 1988, l'abbé Pierre crée avec son ami Raymond Étienne la Fondation Abbé Pierre pour le logement des
défavorisés, reconnue d'utilité publique en 1992.Cette fondation a pour
objet la lutte contre le mal-logement.
L'abbé Pierre est, avec sa secrétaire Lucie Coutaz, à l'origine d'Emmaüs. Cependant, il n'en a
jamais été un dirigeant opérationnel. D'un caractère spontané, il est
peu porté vers l'organisation. Ainsi, il préférera toujours créer de
nouvelles structures, initier de nouveaux projets, que de gérer celles
qui existent
Par exemple, il marquera à plusieurs reprises son opposition à la création de l'Union centrale de communautés Emmaüs, qui
en 1958 se donne pour objet de professionnaliser la gestion des
communautés Emmaüs, et qui selon l'abbé Pierre voulait donner une "trop
rigide définition de tout".
Cependant, l'abbé Pierre a bien conscience de la nécessité d'une telle structuration, même si elle ne
correspond pas à son penchant naturel. Il encouragera ainsi la fondation
d'Emmaüs International en 1971
L'abbé Pierre meurt le lundi 22 janvier 2007, tôt le matin (5 h 25 heure locale), à l'hôpital du
Val-de-Grâce à Paris, des suites d'une infection du poumon droit
consécutive à une bronchite. Il était âgé de 94 ans[15],
Il affirmait : « J'ai passé ma vie à prier Dieu pour mourir jeune », et
ajoutait : « Vous voyez, c'est raté ! ». L'abbé Pierre faisait également
régulièrement allusion à sa mort en évoquant son départ en "grandes
vacances".
À la suite de la demande de la famille, les drapeaux français n'ont pas été mis en berne lors de l'hommage national. Les
obsèques se sont déroulées le vendredi 26 janvier à 11 heures, dans la
cathédrale Notre-Dame de Paris. Diverses personnalités de tout bords se
sont jointes à la cérémonie, placées derrière Jacques Chirac, de
nombreux membres du mouvement Emmaüs et la famille : Valéry Giscard
d'Estaing, Dominique de Villepin, de nombreux ministres français, des
artistes... ainsi qu'une immense foule anonyme. Fait rare en France, le
cortège funéraire a été applaudi par le public, ainsi que dans la
cathédrale.
Durant la cérémonie, les représentants officiels de différentes religions étaient présents et lui ont remis symboliquement
des cadeaux placés sur son cercueil, posé à même le sol.
Son cercueil a ensuite été transféré vers le village d'Esteville en
Seine-Maritime, où l'abbé Pierre a résidé pendant plusieurs années, et
où se trouve un centre d'accueil toujours en activité aujourd'hui et
géré par l'Association Emmaüs de Paris: la Halte d'Emmaüs. Son
enterrement s'est déroulé dans la plus stricte intimité.
Plusieurs personnalités politiques se prononcent déjà pour le transfert de sa tombe au Panthéon
CAR, L'ABOLITION DES NOMS,
C'EST L'ABOLITION DU PEUPLE !
« Il faut réagir ! »
Sommes-nous encore libres dans notre pays ?
Sauvons nos traditions, écrivez à vos Députés,
vos Maires, aux politiciens... !
CHANGEMENT DES NOMS DES VACANCES !
ce que souhaite le gouvernement:
Au nom de qui, de quoi ?
Sont-ils devenus fous ?
Combien de temps les Français vont laisser faire cela ?
C'est le ridicule absolu.
Le Gouvernement veut changer la référence de nos congés!
Ce qui est annoncé, serait réalité pour demain.
POURQUOI DEVRIONS NOUS CÉDER
DEVANT DE TELLES DEMANDES ?
Le congé de "Toussaint" deviendrait congé "D'automne"
Le congé de "Noël" deviendrait congé "d'Hiver",
et celui de "Pâques" deviendrait "De printemps",
Cela afin, je cite : " de ne pas choquer certaines communautés "
Au risque de choquer qui ?!
Et mon PAYS ", il va se transformer en quoi ! ?
Mes racines, j'en fais quoi ? et les marchés de Noël ils deviennent marchés d'hiver ?
Si je choque certaines personnes, veuillez m'en excuser,
je m'exprime librement tant que je le peux encore!
Touche pas au Père Noël !
On ne parle pas du Carême, mais on nous rebat les oreilles du Ramadan !
RAS LE BOL DE NOS TROUILLARDS QUI
TREMBLENT DEVANT Les exigences DE L'ISLAM
Si vous êtes d'accord avec ceci, transférez !
Moi c’est fait !!!
Elle est courageuse la Marielle ! Et elle se bat encore. Bravo Marielle tu es une vraie Championne !!!
Lutter contre la dépression n’est jamais chose facile. Souvent invisible aux yeux des autres, la dépression vous fait ressentir des sentiments si profonds et si incompréhensibles qu’il est très difficile d’en parler aux autres.
Certains artistes qui vivent ce combat ou l’ont vécu, ont décidé de faire de leur art une manière d’exprimer ce qu’ils ressentent de façon plus imagée, comme une échappatoire au mal-être. Destiny Blue fait partie de ces artistes. C’est à travers des portraits inspirés de l’univers Anime que l’artiste britannique raconte son bras de fer avec la dépression.
Présente sur la toile depuis 2004, Destiny Blue est devenue très populaire grâce à ses tableaux qu’elle réalise en grande partie sur le logiciel Photoshop CS6 et tout ça en autodidacte ! Grâce au partage de son histoire à travers ses tableaux, Destiny Blue nous dévoile un beau combat dont elle sort victorieuse et donne de l'espoir aux gens qui se sentent incompris.
1- "Brisée"
Crédit photo : DestinyBlue
2- "Ce que j'ai vu"
Crédit photo : DestinyBlue
3- "L'anxiété"
Crédit photo : DestinyBlue
4- "Blindée"
Crédit photo : DestinyBlue
5- "Peinture de guerre"
Crédit photo : DestinyBlue
6- " Je t'ouvre mon cœur"
Crédit photo : DestinyBlue
7- "Profondeur"
Crédit photo : DestinyBlue
8- "Piégée par l'école"
Crédit photo : DestinyBlue
9- "Peins tes ailes"
Crédit photo : DestinyBlue
10- "L'un de nous deux peut être libre"
Crédit photo : DestinyBlue
11- "Je vais bien"
Crédit photo : DestinyBlue
12- "Pas seule"
Crédit photo : DestinyBlue
13- "Grandir à nouveau"
Crédit photo : DestinyBlue
14- "Perds toi en moi"
Crédit photo : DestinyBlue
15- "La confiance"
Crédit photo : DestinyBlue
16- "Les amis vous libèrent"
Crédit photo : DestinyBlue
17- "D'or"
Crédit photo : DestinyBlue
18- "Je suis compliquée"
Crédit photo : DestinyBlue
19- "Pour toujours - Fini"
Crédit photo : DestinyBlue
20- "Coudre pour enfermer mon âme"
Crédit photo : DestinyBlue
21- "Tout faux"
Crédit photo : DestinyBlue
22- "Je vais bien - Je ne vais pas bien"
Crédit photo : DestinyBlue
23- "Si les larmes laissaient des cicatrices"
Crédit photo : DestinyBlue
24- "Fenêtre brisée de l'âme"
Crédit photo : DestinyBlue
25- "Imprimer"
Crédit photo : DestinyBlue
26- "La dernière pièce"
Crédit photo : DestinyBlue
27- "Bonjour, je suis suicidaire"
Crédit photo : DestinyBlue
28- "Bonjour, je me sens mieux"
Par Catherine Delvaux
Du Magazine Détente Jardin
Le jardin zen d’Erik Borja, dans la Drôme est, en France, le jardin le plus abouti et le plus connu des jardins japonais contemporains adaptés ànotre climat.
Ce jardin a aujourd’hui 40 ans et ces photos récentes témoignent de sa beauté.
L’entrée est matérialisée par un Torii (portique traditionnel japonais), dont on voit ici juste les deux montants.
Au bout de l’allée en carreaux de terre cuite, une zone dégagée est pavée avec des galets de manière traditionnelle à ce qui se fait dans la vallée du Rhône.
Elle marque la transition entre le monde réel (l’ouest) et le monde rêvé (le jardin à l’est), et dessert les deux accès de la maison, le privé et le public.
Comme Erik Borja, vous pouvez vous aussi aménager un jardin zen chez vous !
Le gravier ratissé en profonds sillons affirme l’aspect graphique du jardin et les jeux d’ombre et de lumière animent la mer de sable.
Pour les Occidentaux cartésiens que nous sommes, il faut faire un effort, faire le vide dans notre esprit pour que le jardin devienne le support de notre propre imagination.
Le pavillon de thé surplombe l’étang en contrebas. La pente abrupte devant est plantée de bambous nains, d’où émergent des lonicéras, des osmanthes et d’encore frêles érables du Japon.
Dans le même registre : découvrez notre sélection des plus beaux jardins du monde !
Une source alimente le bassin. Le miroir d’eau reflète le ciel et éclaire la partie la plus ancienne du jardin de méditation.
La nature des sols et l’orientation du terrain sont propices aux variétés fragiles d’érables du Japon dont la silhouette est mise en valeur par les volumes arrondis et taillés des lonicéras, junipérus, pittosporums…
Le jardin de promenade s’ouvre par trouées sur la campagne environnante.
Deux junipérus et une lanterne de pierre indiquent la fin du jardin de thé au sortir de la clairière.
Kare-san-sui, « montagne et eau »...
Ce jardin sec octogonal est constitué de roches granitiques provenant du Cap corse.
Leur disposition évoque le corps écailleux d’un dragon.
Le pavillon sur la gauche de l’image a été construit en surélévation pour admirer ce jardin.
Le jardin zen ou jardin de méditation...
C’est la partie la plus ancienne, passée en 40 ans de prairie fleurie à jardin de méditation.
C’est l’évocation métaphorique d’un paysage de montagnes et d’eau. Découvrez l'ouvrage d'Eric Borja