De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
07/08/2017 - 22:44
Bonsoir,

désolée , Mayyan1 , mais , je ne vois pas l"ascension des alpinistes

Et, le coup de téléphone pour Giovanni pizza est  ' inquiétant '

Aujourd'hui , ce n'est pas ' gai gai '   sur Ordissimo ,
entre la chirurgie esthétique ( Laurette) , le diaporama de JB44 , et ,
Giovanni P. , …..
07/08/2017 - 19:10

C'est très sérieux.  Préfiguration de notre quotidien en 2020 ? pour les JO de 2024 ?


- Allo, Giovanni Pizza ?

- Non Monsieur, c'est Google Pizza.
- Ah je me suis trompé de numéro ?
- Non Monsieur, Google a racheté la pizzeria.
- Ok, prenez ma commande donc
- Bien Monsieur, vous prenez comme d'habitude ?
- Comme d'habitude ? Mais vous me connaissez ?
- Compte tenu de votre numéro de téléphone qui s'affiche ici, vous avez commandé ces 12 dernières fois
une pizza 3 fromages avec supplément
chorizo.
- Ok, c'est exact....
- Puis je vous suggérer de prendre cette fois la pizza avec fenouil, tomate et une salade ?
- Non vraiment, j'ai horreur des légumes.
- Mais votre cholestérol n'est pas brillant...
- Comment vous le savez ?!
- Par vos emails et historique Chrome, nous avons vos résultats de test sanguins de ces 7 dernières années.
- Ok...mais je ne veux pas de cette pizza, je prends des médicaments pour traiter mon cholestérol.
- Vous ne prenez pas votre traitement suffisamment régulièrement, l'achat de la dernière boîte de 30 comprimés
habituels date d'il y a 4 mois à la
pharmacie Robert au 2 rue Saint Martin.
- J'en ai acheté d'autres depuis dans une autre pharmacie.

- Cela n'est pas indiqué sur votre relevé de carte bancaire.
- J'ai payé en espèces !
- Mais cela n'est pas indiqué sur votre relevé de compte bancaire, aucun retrait en espèces.
- J'ai d'autres sources de revenus ailleurs !
 - Cela ne figure pas sur votre dernière déclaration d'impôts, ou alors c'est que vous avez des revenus illégaux
non déclarés ?

- Bon, vous me livrez ma pizza ou bien je vais ailleurs ?
- Certainement, monsieur, toujours àvotre service, nos remarques sont uniquement destinées à vous être agréable.
Pour quelle heure doit- on la livrer ?

- Mon épouse revient de chez sa mère au Mans et rentre vers 19 heures. Disons 20 heures serait idéal.
- Puis je me permettre une suggestion, avec votre accord bien sûr ?
- Je vous écoute.
- Votre épouse ne pourra sans doute pas être à 19 heures chez vous. Il est 18 heures et elle vient d'effectuer l'achat d'une Rolex dans une bijouterie de la Baule, il y a 6 minutes.
- Comment êtes-vous au courant ?
- Elle a effectué le paiement par carte sur son compte bancaire personnel numéroté en Suisse. Elle a d'ailleurs règlé sa note d'hôtel 4 étoiles, en chambre double pour 3 jours ainsi que des repas dans des restaurants étoilés pendant la même durée, toujours avec la même carte.
- Puis je connaître la somme débitée ?
- Non monsieur, nous respectons avant tout la vie privée des gens,nous n'avons pas le droit de dévoiler ce genre de renseignements.
- ÇA SUFFIT ! J'en ai ras le cul de Google, Facebook, Twitter, ...je me barre sur une ile déserte SANS internet, SANS téléphone et SURTOUT personne pour m'espionner !!!
- Je comprends monsieur...mais vous devezdonc refaire faire votre passeport dans ce cas car la date d'expiration
est dépassée depuis
5 ans et 4 jours.


07/08/2017 - 18:57
                       Bizarre  Mayan aucune  image s'ouvre
07/08/2017 - 18:43
 A l'occasion des 150 ans de la 1ère ascension du Matterhorn (Mont Cervin)....

 ... Ils sont fous ces alpinistes !! Mais c’est superbe


 

A droite ..Attention..!!un géant vous regarde .













 





 


 





 

  C'est vraiment beau !!!   
07/08/2017 - 18:33
Quel est le rapport entre le Coltan et vous?
Regardez le fichier ci-dessous.....


Voir le Fichier : le_coltan.pps
07/08/2017 - 15:50
                                           BRENS DANS LE DÉPARTEMENT DU TARN   

Brens est d'origine wisigothe, ancien
nom : Berens. Ce nom apparaît dans les titres en 972, lorsque Frotaire,
évêque d'Albi, donne son église à l'abbaye Saint-Michel de Gaillac avec
toutes ses dépendances.
Brens est située au bord du Tarn, à l'endroit où un ruisseau escarpé se jette dans la rivière. Le château du seigneur
était construit à l'extrémité de la bande de terre comprise entre le
Tarn et le ruisseau. Il n'en reste plus rien. Le village, à l'est du
château, était entouré de fossés, et d'un mur percé d'une porte qui
existe encore avec la rainure pour la herse, et la tour qui la
surmontait
Brens, au fil des siècles, n'échappe pas aux querelles nationales. La tolérance religieuse se fraie un chemin difficile à
travers des conflits sanglants (guerres de religion, Saint-Barthélémy)
et des périodes où domine l'acceptation de la pluralité religieuse (édit
de Nantes, Révolution).
À partir de 1882, les textes fondateurs de la République aboutissent en 1905 à l'affirmation de la laïcité avec la
séparation de l'Église et de l'État. À Brens, à cette époque, naît un
conflit entre la commune et l'autorité ecclésiastique à propos du loyer
du presbytère.
Avant 1747, le patron était saint Jacques. L'église en brique et voûtée date en partie du XIIIe siècle. En 1837, on lui ajoute
une travée et un clocher de style grec avec trois cloches. L'église
consacrée en 1862 est munie d'un orgue Maucourt à trois claviers deux
ans plus tard. Chevet à pans coupés renforcés de contreforts. Les
ouvertures sont en arcs brisés simples.














Brens est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

La commune est connue pour la présence d'un camp d'enfermement utilisé
comme centre d'accueil pour réfugiés espagnols (d'octobre 1939 à
novembre 1940), de centre d'hébergement pour réfugiés juifs étrangers
(de novembre 1940 à mars 1941), de camp de concentration pour femmes (de
1942 à 1944) et de camp pour « collabos » (en décembre 1944).

Brens a obtenu le label Village étape en 2014.

Le camp de Brens
Centre d'accueil pour réfugiés espagnols (octobre 1939 - novembre 1940)
Le 16 octobre 1939, le préfet du Tarn réquisitionne un terrain aux portes
de Gaillac situé sur la commune de Brens pour en faire un « centre
d'accueil pour réfugiés ». Vingt baraques sont construites. À partir du
15 mai 1940, le camp accueille près de mille réfugiés, Belges, Espagnols
et Polonais fuyant la zone occupée. Durant l'été 1940, le camp –
utilisé aussi par le centre de démobilisation de Gaillac – se vide.
Centre d'hébergement pour réfugiés juifs étrangers (novembre 1940 - mars 1941)

En novembre 1940, la préfecture de la Haute-Garonne et le Comité juif de
bienfaisance de Toulouse prennent l'initiative conjointe de transformer
le camp en « centre d'hébergement pour réfugiés juifs étrangers » pour
loger une partie des juifs, sans ressources, qui ont fui l'avance nazie
et se sont réfugiés à Toulouse. Le camp héberge 1 600 personnes, dont
400 enfants, près de la moitié d'origine polonaise.

À partir de janvier 1941, la libre circulation à l'extérieur est interdite et début
mars, les juifs sont transférés aux camps de Noé et du Récébédou, d'où
la plupart partiront pour Drancy puis Auschwitz.
Camp de concentration pour femmes (1942-1944)

Le 31 décembre 1941, la direction de la sureté nationale fait savoir que
Brens a été retenue comme « camp de concentration pour femmes ». Le 14
février 1942, arrivent par camion, depuis la gare de Gaillac, les 320
femmes et les 26 enfants du camp de Rieucros.

C'est une population cosmopolite, constituée à 75 % d'étrangères, comportant
une quinzaine de nationalités. Il s'agit de militantes communistes, de
syndicalistes, de réfugiées « suspectes » (en majorité, juives
allemandes et polonaises), d'Espagnoles révoltées du camp d'Argelès, de
prostituées et de droit commun (les prostituées occupant un baraquement à
part). Une des occupations dans le camp est de fabriquer des brosses et
des balais2.

La réputation, faite par Vichy, d'être un « camp de prostituées » a persisté jusqu'à nos jours. En réalité, les
prisonnières politiques sont nombreuses, et seront majoritaires après
septembre 1943 avec l'afflux important de Résistantes et la décision du
maréchal Pétain de faire libérer les prostituées.

Le camp est fermé le 4 juin 1944. Les 150 prisonnières sont transférées au camp de Gurs d'où elles ne tardent pas à s'évader.
Camp pour « collabos »
Le 20 décembre 1944, le camp de Brens reprend sa fonction carcérale en
hébergeant 273 collaborateurs tarnais. En juillet 1945, c'est à nouveau
un camp « féminin » (267 femmes, 118 enfants) avec des conditions
matérielles qui ne sont guère meilleures que pendant la période
précédente. Le camp se vide peu à peu de ses occupantes fin 1945 avant
d'être brièvement converti en camp de vacances, puis récupéré par son
propriétaire.

BRENS maintenant




07/08/2017 - 15:39
Elisabeth Olivier : dernière plisseuse artisanale en France.
© P.Beaugey
Elisabeth Olivier : la dernière des plisseuses artisanales.Par Eric Nedjar Publié le 07/08/2017.
Installée depuis 2007 à Clohars-Carnoët (29), Elisabeth Olivier est la dernière couturière à exercer de façon artisanale le plissage des tissus en France. Dans son atelier, robes, jupes, kilts et autres étoles subissentune étonnante métamorphose.

Couturière, styliste et formatrice, Elisabeth Olivier est aussi l’une des dernières plisseuses de France, la dernière même à exercer cet art de façon artisanale. Installée depuis 2007 dans un petit atelier baptiséArts’ Mode, à Clohars-Carnoët. C’est dans cette petite commune du sud Finistère qu’elle a acquis son savoir-faire auprès d’un autre spécialiste, fabriquant de métier de plissage et qui depuis a cessé son activité.
Une passion.
Depuis, particuliers ou professionnels font appel à elle pour transformer des étoles, écharpes, jupes, kilts et autres robes. "Le plissage, explique Elisabeth Olivier est un travail d’ennoblissement du tissus, que ce soit des petites pièces ou grandes pièces, des motifs oupas, à chaque fois il y a quelque chose qui en ressort, et à chaque fois ça m’émerveille."

CLIC.......................http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/elisabeth-olivier-derniere-plisseuse-artisanale-france-1308191.html#xtor=EPR-521-
07/08/2017 - 15:25
Festival Interceltique : revoir la grande parade des Nations Celtes.
© MaxPPP / JONATHAN KONITZ

Le triomphe des sonneurs pendant la Grande Parade des Nations Celtes du Festival Interceltique.

3500 artistes ont participé au défilé de la Grande Parade des Nations Celtes. Revivez en vidéo et en intégralité ce temps fort du Festival Interceltique de Lorient. 
Par Emilie Colin Publié le 07/08/2017
Quelque 3.500 musiciens et danseurs ont envahi dimanche sous un large soleil les rues de Lorient à l'occasion de la Grande Parade des nations celtes, l'un des temps forts du Festival interceltique de Lorient qui célèbre depuis vendredi sa 47e édition, avec l'Écosse en invitée d'honneur. 

Plusieurs dizaines de milliers de personnes, 70.000 selon les organisateurs, ont assisté dans la bonne humeur au défilé qui a débuté dans la matinée, non loin du port de pêche, pour se terminer en début d'après-midi au stade du Moustoir. 

En costumes traditionnels, les artistes, parfois très jeunes et venant du monde entier, ont paradé sous les applaudissements du public contenu derrière des barrières de sécurité ou juché sur des escabeaux, murets ouautres plots afin de disposer d'une meilleure visibilité. Plus de 750.000 festivaliers sont attendus à ce rassemblement festif breton, le premier en France en terme de fréquentation.

Revoir le défilé, en intégralité.
La parade a débuté par le passage des drapeaux des pays celtes puis par celui du bagad de Lann-Bihoué. Ont suivi 69 formations et cercles de danse venant de toute la France, bien que plus particulièrement de Bretagne, mais aussi des Asturies, des Cornouailles, de Galice, d'Écosse, d'Irlande ou des États-Unis.

Revivez ce moment présenté comme à son habitude par l'écrivain Yann Queffélec et le journaliste et producteur costarmoricain Christophe Guyomard.


CLIC..........http://m.culturebox.francetvinfo.fr/musique/musiques-du-monde/la-grande-parade-au-festival-interceltique-de-lorient-2017-259725
07/08/2017 - 15:17
                                  
                                        FETE DU LAC D'ANNECY    2017

                                                      
07/08/2017 - 14:46
                          ÇA C'EST PASSÉ UN 7 AOUT                      

Reconnaissable avec sa petite moustache, son chapeau rond et sa silhouette
rondouillette, Oliver Hardy est l'un des membres du célèbre duo comique
Laurel et Hardy, qui a influencé des générations d'acteurs et
d'humoristes. Né Norvell Hardy, le 18 janvier 1892 aux Etats-Unis, à
Harlem dans l'Etat de Géorgie, il est le cadet d'une famille de cinq
enfants. C'est un élève peu motivé par les études, mais il va se
découvrir une passion pour la musique et le théâtre. Il suit des cours
de chant lyrique mais ne souhaite pas y faire carrière. Il entreprend
une formation d'avocat, mais n'exercera jamais ce métier
Il découvre le cinéma à l'âge de 18 ans lorsqu'une salle ouvre dans sa
ville. Il y travaillera en tant que projectionniste et même manager. Il
est persuadé qu'il peut lui aussi être de l'autre côté de l'écran. Il
déménage en Floride en espérant y trouver des opportunités en tant
qu'acteur. Il débute dans le milieu des cabarets la nuit, tandis qu'il
trouve un travail alimentaire le jour.
Il tourne son premier film en 1914 (soit trois ans avant la première expérience de Stan Laurel) pour
le studio Lubin, "Outwitting Dad". Avec pour nom de scène Babe Hardy, il
enchaîne une cinquantaine de courts métrages. Il part ensuite pour
Hollywood où il travaille pour différents studios. Il joue notamment
dans Le Veinard, un film dans lequel apparaît également un jeune
comédien, Stan Laurel ! Il faudra cependant attendre plusieurs années
avant que le célèbre duo ne se forme
Oliver Hardy rejoint le studio Vitagraph où il va faire de nombreux films et
plusieurs rencontres déterminantes, parmi lesquelles Larry Semon. Cet
auteur, réalisateur et comédien confie plusieurs rôles importants à
Oliver Hardy, dont le « bûcheron en fer blanc » dans "Le Sorcier d'Oz",
une adaptation du Magicien d'Oz.
En 1926, Hardy croise à nouveau la route de Laurel au sein du Hal Roach Studio. Laurel le remplace en effet
au pied levé suite à un incident sur le tournage de "Get 'Em Young".
Laurel et Hardy se retrouvent ensuite pour plusieurs films : Slipping
Wives, Les réservistes, Scandale à Hollywood, mais il faut attendre
"Maison à louer" pour les voir se donner la réplique. C'est cependant le
film Prenez garde à la peinture qui est considéré comme étant le
premier « Laurel et Hardy
Le duo formé en 1927 est la vedette de nombreux courts métrages et passe
au parlant en 1929 avec Une Nuit extravagante, et à la couleur en 1930
avec Le chant du bandit. Leur première apparition dans un long métrage
est pour Hollywood chante et danse. Mais c'est en 1931 que Laurel et
Hardy tiennent véritablement la tête d'affiche d'un long métrage :
Laurel et Hardy - Sous les verrous. Le duo jouera au total dans plus de
100 courts et longs métrages en 25 ans de carrière commune. Livreurs,
sachez livrer ! (1932) leur vaudra un Oscar du meilleur court métrage
Le tandem quitte le studio Hal Roach et tente de mettre sur pied sa propre
société de production, mais ne parvient pas à réitérer le succès
rencontré lors de ces dernières années. En 1950, Laurel et Hardy
travaillent sur Atoll K, qui sera leur dernier film ensemble. Cette
coproduction franco-italienne réalisée par Leo Joannon est un naufrage,
en raison des nombreux problèmes de santé des deux acteurs. Oliver Hardy
décède le 7 août 1957 des suites d'une crise cardiaque.