De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
15/02/2017 - 14:47
L'airelle aiguise l’appétit et facilite la digestion.

De la même famille que la canneberge, l'airelle aide à faire le plein de vitamine C et à soigner les troubles gastriques et de l'appétit.

Les baies d'airelles peuvent se consommer crues ou cuites

Parfois confondues avec les myrtilles, les airelles sont les fruits d’un sous-arbrisseau des landes, des tourbières de montagne ou encore des forêts de conifères ou mixtes, au sol acide.

La plante (Vaccinium vitisidaea) atteint une hauteur moyenne de 25 cm et possède des feuilles vert foncé, coriaces, gaufrées, de la forme d’un oeuf posé à l’envers. Leur bord est absolument lisse. Ces caractéristiques distinguent, au premier coup d’oeil, l’airelle des myrtilles.

Les fleurs blanches ou rosées se transforment à maturité en grappes de baies d’un rouge vif luisant, sur lesquelles persiste une trace du calice.

Cueillir les baies d'airelle entre les mois de juillet et septembre.
Consommées à l’état cru – ce qui préserve leur haute teneur en VITAMINE C –, les airelles combattent le manque d’appétit. Elles peuvent aussi être dégustées sous forme de délicieuses CONFITURES, de compotes ou encore de jus.

Leur goût est à la fois un peu âpre et acidulé-sucré. Cette âpreté provient des tanins contenus dans les fruits, qui possèdent également des vertus astringentes.

Les feuilles de l'airelle possèdent des vertus apéritives, astringentes, DIURÉTIQUES, antiseptiques et antigoutteuses utilisées en phytothérapie.

15/02/2017 - 10:07
Ces Grands Sites de France,
paysages époustouflants de beauté.

LifeStyleVoyages Par Aude Godfryd
 
Le cirque de Navacelles, à cheval entre le Gard et l'Hérault, rejoint le petit cercle des sites reconnus par ce label qui regroupe les plus belles merveilles naturelles de l'hexagone. (Re)découvrez-les.
Situé entre les départements du Gard et de l'Hérault, au coeur des gorges de la Vis, le Cirque de Navacelles, large de deux kilomètres et de 300 mètres de profondeur, abandonné naturellement il y a 6000 ans, formé par un large méandre et marqué par une imposante cascade, fait partie du Grand Site de Navacelles. Cet espace naturel et protégé de plus de 46.000 hectares (comprenant également les gorges et les causses) est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2011. Il vient de rejoindre le label des Grands sites de France.
Créé en 2003 par l'État français et inscrit depuis mai 2010 au code de l'environnement (art. L341-15-1), ce label reconnaît que le gestionnaire préserve les caractéristiques paysagères, naturelles et culturelles du site, qu'il veille à ce que la fréquentation touristique reste compatible avec la préservation des milieux naturels et les conditions de vie des habitants, et ce pour une durée de six années renouvelable.
Ce site géologique d'une biodiversite particulière rejoint ainsi les quatre autres Grands Sites de France labellisés en Occitanie: la Camargue Gardoise, le Massif du Canig
ó, le Pont du Gard et Saint-Guilhem-le-Désert - Gorges de l'Hérault.

24 autres sites sont en cours d'attente pour obtenir le précieux label:


15/02/2017 - 09:25
Le granit de Bretagne, première pierre à protéger son appellation.
Par Jean-Bernard Litzler Le Figaro.


   Les indications géographiques ce n’est pas réservé aux fromages ou aux volailles. Depuis fin janvier,le granit breton est la première pierre naturelle ainsi protégée.
Explications sur une démarche originale.
Même le granit s’effrite... Cette production bretonne typique, comme de nombreux autres produits, fait face à une concurrence internationale toujours plus forte et voit sa balance commerciale se dégrader. Les quantités de pierre naturelle importées ont presque triplé entre 1997 et 2015 et la filière n’emploie plus que 700 personnes. C’est pourquoi une poignée d’irréductibles producteurs a choisi de se battre pour protéger son appellation. C’est ainsi que la filière est parvenue à décrocher le 20 janvier 2017 son Indication géographique «Granit de Bretagne».
» Lire aussi - Il y a 131 ans... une tour en granit de 300 m pour concurrencer la tour Eiffel  



«Il s’agit avant tout d’assurer le consommateur, public ou privé, de la provenance de son granit», souligne Franck Legout, président de l’association IG Granit de Bretagne. Selon lui, il a été courant pendantdes années, pour certains producteurs concurrents, notamment Chinois ou d’Europe du Sud, de se prévaloir à tort d’une origine bretonne. Des produits qui pouvaient s’avérer moins durs et plus poreux que le véritable granit breton, et donc être bien moins durables.
Des tests scientifiques.
Désormais, plus de doute possible, car l’appellation protégée s’accompagne de tests scientifiques permettant de déterminer à coup sûr l’origine de la pierre. Un bol d’air pour cette petite filière représentant une trentaine de carrières avec un chiffre d’affaires global
de 56 millions d’euros dont la moitié est réalisée en marbrerie funéraire, près de 40% en aménagement de voirie et environ 10% pour le bâtiment.
«Les consommateurs sont de plus en plus sensibles à l’origine, estime Franck Legout. Il ne faut plus seulement raisonner en termes de coût direct des produits, il faut penser au maintien de la filière, à l’importance des circuits courts plus réactifs et plus écologiques et à des produits plus durables.» Surfant sur la vague du bio et des circuits courts, les producteurs bretons de granit comptent bien
faire comprendre que même pour des pierres, il y a des achats responsables et d’autres qui le sont moins.

15/02/2017 - 09:05
Histoire vraie.


 « UN FILS DE P. »
- RON ARCHER -

Le mac lui dit :

« Tu peux pas faire d’argent avec un bébé dans le bide !
On va devoir le supprimer, ce bébé. »

Ils la frappèrent au ventre, lui firent boire de l’alcool, la bourrèrent de drogues… Ils prirent un porte-manteau et s’acharnèrent à poignarder le bébé. Mais le bébé refusait de mourir.

Il naquit prématuré, deux mois avant son terme, privé de pancréas, avec une vessie trop petite, des troubles de l’apprentissage, incapable de fonctionner correctement.

Plus tard, il allait bégayer affreusement. On appelle ça un « fils de p. », et personne n’en veut. Aucun espoir, aucun avenir.
 
« Vas-y, t’as qu’à le supprimer. »

C’est ça qu’on disait.

Ce bébé, c’était moi…

Je suis le dernier des derniers, tout droit sorti de la boue des caniveaux et des affres de l’enfer.

Quand je suis allé à l’école, j’étais incapable de parler, je bégayais terriblement à cause de tous les traumatismes dont j’avais souffert.

Ma mère avait une maquerelle qui haïssait les hommes. Elle s’appelait Dolores. C’était une sadique qui, lorsqu’elle me surveillait, prenait un manche à balai et me l’enfonçait dans le corps.

Laissez-moi vous dire, quand vous êtes torturé comme ça, vous apprenez quatre choses : tais-toi, ne fais confiance à
personne, endurcis-toi et fais comme si de rien n’était.

Alors, à l’âge de dix ans, j’en avais assez de tout, je voulais en finir avec la vie.

A l’école, on m’a mis dans une classe spécialisée avec d’autres enfants dysfonctionnels comme moi, et toute la journée on passait notre temps à faire de la peinture avec les doigts.

Mais là, heureusement, il y avait une maîtresse – Dieu merci pour elle — qui possédait une Bible distribuée par les Gédéons.

Elle était venue dans mon école parce qu’elle considérait que les enfants comme moi étaient son champ de mission.

Elle m’a donné cette Bible et m’y lisait des histoires sur les personnages dysfonctionnels que Dieu avait utilisés. Elle me disait:
 
--Ronaldo, Dieu utilise grandement ceux qui ont été blessés au plus profond d’eux-mêmes.

Ta douleur, Il va la transformer en puissance, et tes blessures, en sagesse !

Elle me donna à lire l’histoire de Moïse, lui-même un bégayeur.

J’ai commencé à comprendre que Dieu aimait le « fils de p. » que j’étais.

Oui, j’avais été mis au rebut, mais tout à coup il y avait de l’espoir pour moi, des possibilités s’ouvraient devant moi.

Quand un enfant commence à comprendre l’amour de Dieu, la puissance de Sa Parole et les perspectives qui s’offrent à lui, ça change tout.

Comment un jeune homme rendra-t-il pure sa voie ?
C’est en y prenant garde selon Ta Parole.
(Psaume 119 :9)

Je me suis mis à mémoriser la Bible, dans cette Bible des Gédéons : 2000 versets !

Quand on fait entrer ce genre de Parole dans une vie, c’est obligé, quelque chose se passe.

Mon bégaiement est parti, j’ai arrêté de mouiller mon lit, j’ai relevé la tête et j’ai marché dans la victoire.

Je suis devenu pasteur et j’ai prêché jusqu’à ce que tout le monde dans ma famille soit sauvé.

Pourquoi ?
Parce que quelqu’un avait mis une Bible Gédéon dans les mains de cette femme, et cette Bible a changé une certaine vie pour toujours.

Oui, c’est vrai, je suis né « fils de p. ». C’est l’ennemi qui a fait ça, mais les choses lui ont explosé à la figure !

**********


Les plus belles citations
de Mère Theresa
 
? Il existe une pauvreté bien plus grande:
     ne pas se sentir aimé, désiré, être marginalisé.
 
? L'exclusion est la pire maladie qu'aucun être
     humain puisse jamais endurer.

? Tout geste d’amour, si petit qu’il soit, à
     l’égard du pauvre et de l’indésirable, est
     important…

? C’est ce qu’il y a dans nos cœurs qui donne à
     nos vies leur qualité.

? Aimer doit être aussi naturel que vivre et
     respirer.

? L'amour n'est plus l'amour s'il n'est pas partagé.

? Qui juge les gens n'a pas le temps de les aimer.

? Le foyer est là où est la mère.

? Ne laissez personne venir à vous sans qu'il vous
    quitte meilleur et plus heureux.

15/02/2017 - 08:01
LES VAGUES SUR LE LAC ERIE...

par Trevor Pottelberg.
photographe paysager vivant à Brownsville, Ontario, Canada

 


 

 

 

 

 



 





15/02/2017 - 07:55
DES ESCALIERS SANS FIN...


L’animation de Daniella Koffler est un conte de fée moderne.
 
Une jeune fille très curieuse dans un monde sombre tente d’atteindre la
lumière en faisant face à des obstacles sur la route de la connaissance
.

Clic ici.........
https://vimeo.com/daniellakoffler/stairs

 

 



15/02/2017 - 07:52
Aventure alpine.....

Clic ici.......https://vimeo.com/203710832
14/02/2017 - 19:20
Sur L'histoire De La Fête Des Amoureux...
Saint-Valentin...Six Choses Que Vous Ignorez...
(Peut-Être)


Fête commerciale, du mauvais goût ou de l'amour obligatoire... La Saint-Valentin a souvent mauvaise presse. Pourtant, derrière la banalité de cette fête, se cache une longue histoire de luttes collectives contre l'ordre établi et pour les libertés
individuelles.


Elise LambertFrance Télévisions

 Le 14/02/2017
Lassante, désuète, inutile et consumériste... Chaque année, la fête de la Saint-Valentin fait l'objet de réactions passionnées dans les pays qui la célèbrent. Qu'on l'attende avec hâte ou qu'elle laisse indifférent, la fête des amoureux telle qu'on la connaît aujourd'hui en France est lefruit d'une longue série de luttes historiques contre l'ordre établi, contre le patriarcat et pour les libertés individuelles.
Aujourd'hui encore, "le mouvement de résistance [contre la Saint-Valentin] n'a rien de marginal", précise le sociologue Jean-Claude Kaufmann dans son dernier ouvrage Saint-Valentin, mon amour ! (ed.Les Liens qui libèrent).
De la légende à la réalité, d'où vient cette fête et quel en est le sens ? Franceinfo a tiré six anecdotes de ce livre et a interrogé son auteur.

Saint Valentin n'est pas vraiment le patron des amoureux...

Le 14 février, on lui donne souvent le visage d'un patriarche, entouré de multiples cœurs sur des cartes de vœux. Saint Valentin a vraiment existé, mais il ne correspond pas vraiment au personnage que l'on imagine.
"Près de huit saints ont porté son nom", précise Jean-Claude Kaufmann dans son ouvrage. Mais ils n'étaient pas pour autant les patrons des amoureux : ils protégeaient "le vignoble du phylloxéra, les vaches de la maladie ou la culture des oignons". Moins glamour.
Sans sources historiques solides, difficile de déterminer qui fut le véritable Valentin à l'origine de la fête des amoureux :
"Il y a un saint Valentin bien réel qui vécut au IIIe siècle à Rome et qu’on appela plus tard 'patron des amoureux', écrit le sociologue.

Mais ce fut (...) inventé a posteriori, parce que les autorités religieuses et politiques avaient besoin de cestorytelling." 
D'ailleurs, personne ne sait s'il résulte de l'amalgame de "deux ou trois personnes", ni s'il était "empli d'amour".

La seule certitude, c'est que ce saint célébra des mariages. "Il le fit dans un contexte très particulier (...) Pas vraiment au nom de l’amour, d’ailleurs, mais plutôt pour combattre les passions débridées de l’époque."
Le symbole historique de "l'amour", c'est l'ours

Si l'histoire de la Saint-Valentin est le fruit de "confusions et de retournements", le mythe a aussi perduré via des images. L’ours fait partie de ces repères, et il n'y aurait sans doute pas eu de Saint-Valentin sans cet animal.
Depuis la préhistoire jusqu’au haut Moyen Age, l’ours est un personnage central des mythes européens, vu à la fois comme le roi des animaux et comme le plus proche de l’homme par son comportement, son intelligence, ses "sentiments".
Il est associé à une sexualité débordante. "En 1231 encore, l’évêque Guillaume d’Auvergne écrivait que, lorsqu’une femme s’accouple avec un ours, elle donne naissance à un bébé humain", écrit Jean-Claude Kaufmann.
En Europe centrale, lors de carnavals, les hommes se déguisent en ours pour plaire aux femmes, et s'adonnent à des rituels amoureux et sexuels.Perçu comme immoral, l'animal est combattu par l'Eglise. Grâce à une "communication" féroce, l'ours, au fil des années, perd sa bestialité et devient le symbole d'un amour "galant", dont les dernières traces sont l'ourson en peluche que s'échangent les amoureux aujourd'hui.
Au IIIe siècle à Rome, on fouettait les femmes en février...

S'il est difficile de dater l'existence de saint Valentin, les prémices de cette fête sont plus faciles à retrouver. Ce sont des rituels amoureux qui remontent au IIIe siècle, lors des fêtes romaines appelées les Lupercales. 
Ces célébrations ont lieu chaque année en février, avant le printemps. "Février vient de 'februare', qui signifie 'purifier'", détaille Jean-Claude Kaufmann.
Pour célébrer la nouvelle vie arrivant avec le printemps, les Lupercales commençaient par un sacrifice d’animaux, souvent 
un bouc, dont la peau servait à confectionner des fouets.

De jeunes hommes partiellement ou totalement nus, les Luperques, s'en servaient pour fouetter des femmes, aussi dénudées. Ils visaient leur ventre ou leurs fesses, dans le but de les purifier et de les rendre fécondes.
L’Eglise condamne ces célébrations, y voyant "un exercice de débauche intolérable."

Si aujourd'hui on célèbre la norme conjugale, autrefois c'était tout le contraire. C'était une célébration de l'amour sous toutes ses formes, destinée aux célibataires.

Jean-Claude Kaufmann À france Info

Au XVe siècle en France, les "loteries amoureuses" permettaient aux femmes d'échapper à la violence masculine.
La Saint-Valentin, telle que nous la connaissons aujourd'hui, est le fruit de plusieurs manifestations au cours des siècles, célébrant l'amour.
"Dans l’ancienne société française, il fallait être propriétaire pour pouvoir se marier", explique Jean-Claude Kaufmann. 
Les mariages tardifs sont fréquents et les célibataires nombreux...

"Environ la moitié de la population en âge de procréer était donc théoriquement interdite de relations sexuelles."
Mais cette interdiction diffère entre les jeunes filles et les garçons. Pources derniers, les tolérances sont 
considérables : "C’était un âge d’amitiés viriles dans les compagnonnages et les 'abbayes joyeuses'”(...) mais aussi de pratiques des viols collectifs.

" Le rituel était toujours le même. "De jeunes hommes se rendaient chez la victime, pendant la nuit, faisaient du chahut sous ses fenêtres pour l’appeler, en la traitant de "ribaude"[débauchée].Puis, comme elle se taisait, on enfonçait sa porte."

On se saisissait d’elle, on la traînait dehors, on la battait, on la violait, chacun son tour et parfois toute la nuit.
Jean-Claude Kaufmann Dans "Saint-Valentin, Mon Amour"


Dépucelée avant le mariage, la jeune femme n'avait plus d'autre choix que la prostitution. Ce comportement était admis et la pratique très répandue. "Plus d’un jeune homme sur deux avait participé à des viols collectifs au XVe siècle."
Pour échapper à cela, les jeunes femmes n'avaient alors d'autres choix que de se conformer à des rituels "amoureux" encadrés, comme les "loteries amoureuses", où les hommes et les femmes étaient autorisés à se rencontrer hors mariage.
Ces loteries avaient lieu à des périodes différentes dans l'année, selon les villages. Cette pratique était alors un moyen de "canaliser" la violence masculine et de protéger les femmes.
Il a fallu attendre le XIXe siècle – et les Etats-Unis – pour que la Saint-Valentin devienne commercialeA partir du XVe siècle, les mœurs s'adoucissent. L'amour devient galant et romantique."Le chevalier récitait l'amour, puis les poètes
l'écrivaient sur des parchemins.

Il y eut enfin les lettres et l'émergence des cartes postales", raconte Jean-Claude Kaufmann. C'est au XIXe siècle que la carte de la Saint-Valentin, qui existait déjà en Europe, apparaît aux Etats-Unis et marque le début de l'amour commercial.
"Le pays est tout récent et en manque de fêtes sentimentales", raconte le sociologue, "les autorités promeuvent cette fête et la développent avec l'industrie de la carte."
Avec le coup de pouce des publicitaires, la carte de la Saint-Valentin est élargie aux objets et promue par des pratiques culturelles, comme le dîner au restaurant.
Dans les pays anglo-saxons, on célèbre aussi l'amour amical, au contraire des pays francophones.

Jean-Claude Kaufmann A  France Info

En France, la Saint-Valentin n'est plus fêtée depuis le XIXe siècle mais revient à la mode à la Libération...
"Les soldats américains draguaient les Françaises en leur parlant de cette fête de l'amour".
Aidée par les magazines féminins qui vantent la "fête des amoureux", la Saint-Valentin, sous la forme que nous connaissons aujourd'hui, renaît.
En Inde, au XXIe siècle, des couples sont encore pourchassés...Aujourd'hui, la Saint-Valentin n’est uniformisée par la mondialisation qu’en apparence. En Inde, si les films de Bollywood glorifient les élans du cœur, cela n'a "pas changé beaucoup le fonctionnement de l'institution matrimoniale". 
La jeunesse est partagée entre le romantisme véhiculé par la culture et les impératifs de caste.
Face à la propagation de ce "virus sentimental", les mouvements fondamentalistes hindous vont jusqu’à photographier
les couples pour lesdénoncer auprès de leurs familles, voire à frapper des jeunes filles en faisant irruption dans des restaurants spécialement décorés pour la Saint-Valentin, "car, bien sûr, ce sont surtout les femmes qui sont visées", 
décrit le sociologue.



Les jeunes amoureux usent parfois de subterfuges pour communiquer. Le bouquet de roses sera donc acheté non pour la fiancée, mais pour la future belle-mère, le restaurant romantique sera choisi dans les quartiers chics et fréquenté avec les parents de l'ami(e)...


"Il y a là le résultat de l'hégémonie culturelle occidentale, mais on observe partout dans le monde une grande envie de célébrer le sentiment amoureux", précise Jean-Claude Kaufmann.
Il est dommage de dédaigner cette fête. On se trompe sur ce qu'elle devrait être...
Une fête de toutes les amours, de la bienveillance, de la liberté.
C'est à nous de nous la réapproprier.
Jean-Claude Kaufmann À France Info



14/02/2017 - 18:03
DES PAYSAGES RUSSES A L'AQUARELLE

par Ekatirena Mango

Vous aimez voyager? Je suis sûr que la plupart d'entre vous répondre "Oh oui!" 
Voilà pourquoi elle a décidé de peindre les villes de son pays qu'elle  a visités.

 

  # 1 Vyborg


# 2 Valaam île dans la partie nord du lac Ladoga


# 3 Place du Palais, Saint-Pétersbourg


# 4 Village des pêcheurs, Kaliningrad


# 5 Tatar State Puppet Theatre, Kazan


# 6 Fire-observation Watchtower, Kostroma


# 7 Promenade, Plyos


# 8 Le Kremlin Wall, Nizhny Novgorod


# 9 Musée Armes Etat, Tula


# 10 Tour de l'Eau, Svetlogorsk


14/02/2017 - 15:06
À la recherche du moteur de recherche parfait.

http://lecollectif.orange.fr/articles/a-recherche-moteur-parfait/?utm_source=newsletter-lecollectif&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter-14-February-2017