Bora Bora dans l’archipel des îles Sous-le-Vent, Polynésie française
Cette île a une taille minuscule (moins de 40 km²) et pourtant, elle est célèbre à travers le monde entier… Avez-vous deviné pourquoi ? Tout simplement parce qu’il s’agit de l’une des plus belles îles de la planète, et elle fait partie de la Polynésie française ! Située à 255 kmau nord-ouest de Tahiti, Bora-Bora mérite bien son surnom de “perle du Pacifique”. D’origine volcanique, elle est entourée d’un lagon et d’un récif corallien dont la beauté est éblouissante. Depuis la seconde moitié du XXe siècle, l’île s’est dotée de plusieurs hôtels de grand luxe. Toutefois, ils ont été construits dans le soucis de préserver l’authenticité de Bora-Bora. Il faut casser sa tirelire pour se rendre ici, mais cela en vaut tellement la peine
Le canal du Nord est un canal de jonction reliant la vallée de l'Oise au canal Dunkerque-Escaut. Il possède deux biefs de partage alimentés par pompage depuis l'Oise et l'Aisne, et reçoit également les excédents de la Somme à hauteur d’Épénancourt. Imaginé vingt ans après le plan Freycinet pour promouvoir un gabarit de navigation supérieur au canal de Saint-Quentin, sa construction, amorcéeen 1913, a été interrompue par les deux guerres mondiales et les difficultés économiques de l'entre-deux-guerres. Il a été finalement ouvert à la navigation en 1965.
Le canal du Nord vient s'embrancher sur le canal Dunkerque-Escaut par le canal de la Sensée, au port fluvial d’Arleux, et établit une connexion fluviale avec le canal latéral à l'Oise à Pont-l’Évêque, non loin de Noyon. D'une longueur de 95 km, il compte 19 écluses et deux biefs de partage :celui du souterrain de Ruyaulcourt au nord, d'une longueur de 4,35 km.
La dénivelée entre Arleux et ce bief, de 40 m, est rachetée par sept écluses, tandis que la descente vers la vallée de la Somme, de 28 m, emploie cinq écluses ;celui du tunnel de la Panneterie (long de 1,10 km). La dénivelée entre la vallée de la Somme et ce bief est de 13 m et est rachetée par trois écluses, tandis que la descente vers la vallée de l'Oise au sud est de 22 m franchis en quatre écluses. La section centrale du canal emprunte le Canal de la Somme à hauteur de Péronne sur 20 km environ.
Un petit tour sur l'ile de Noirmoutier en Vendée, c'est la saison du mimosa.
L'île de Noirmoutier version nature, une halte incontournable.Succombez aux vues imprenables sur l'océan, aux fôrets domaniales, aux dunes innombrables et aux grandes réserves naturelles...Les reflets lunaires sur l'Océan Atlantique, l'air iodé et l'odeur des pins ne vous laisseront pas indifférents. Cette île vous donnera le goût de la liberté.
Forêts sur l'Ile de Noirmoutier Vous êtes plutôt chênes verts ou forêts de pins ?
La forêt de la Frandière à Barbâtre, le Bois des Eloux à L'Epine et le Bois de la Chaise à Noirmoutier sont les trois principales forêts de l'île. A deux pas de la plage, leur végétation (mélange méditerranéen et insulaire) vous offre un décor de carte postale pour vos loisirs.
Le Bois des Eloux à l'Epine se situe en bordure de mer sur le point culminant de l'île. Egarez-vous dans cet espace naturel et sauvage époustouflant ; les odeurs de sel marin vous guideront vers les plages alentours...Si vous croisez un elfe, n'oubliez pas de lui demander de vous conter la légende du bois.
Le Bois de la Chaize est une forêt domaniale hors du temps. Installé sur les grès au nord-est de Noirmoutier, ce bois est la douceur océane à l'état pur, à l'abri des vents d'ouest. Le bois est gardé par des hiboux petits ducs et par des coléoptères volants. Le peintre Auguste Renoir a été conquis par cet endroit inspiré et inspirant. Le serez-vous autant que lui ? Dans le Bois de la Chaise Site classé, le Bois de la Chaise a vu naître le début son ère touristique par les notables de l'île. Ceux-ci construisirent une centaine de villas à la fin du Second Empire, qui représentent le romantisme de cette période.
Les cabines de plage de la Plage des Dames, la Plage des Sableaux et celles de l'Anse Rouge marquent le début du tourisme balnéaire. Les dames y enfilaient leur maillot de bain, à une époque où la mode était aux bains de mer et la pudeur, encore très présente.
Le Bois de la Chaise fût le rendez-vous des poètes et des peintres de mérite. En 1892, l’île de Noirmoutier accueillait un visiteur de choix en la personne du célèbre peintre Auguste Renoir (1841-1919). Du Bois de la Chaise, il déclare «C’est un coin admirable, beau comme le Midi mais avec une mer autrement belle que la Méditerranée». Inspiré par la lumière du site, il y peindra deux toiles :
Le Bois de la Chaise fût aussi une destination de premier choix pour les convalescents, qui venaient profiter de la douceur hivernale et respirer à pleins poumons l'air pur embaumé par les pins. Du lait d'ânesse leur était prescrit. Ne ratez pas en hiver la floraison du mimosa, le Bois de la Chaize s'égaye ainsi de ces petits boules jaunes lumineuses et vous offre un paysage unique et plein de poésie...
de janvier à mi-février.
Une randonnée pédestre dans la Frandière, un pique-nique au Bois des Eloux ou un jogging au Bois de la Chaise sont autant d'activités qui sauront vous plaire !
Le Gois de l'Ile de Noirmoutier Le Gois, unique et touristique
Le passage du Gois, route submersible unique au monde par sa longueur (4,5 km), fait partie des curiosités, des sites incontournables de l'île. A marée basse, on l'emprunte pour rejoindre Beauvoir-sur-Mer, ou on s'y retrouve pour pêcher palourdes, huîtres et coques. Ses 9 balises servent de refuge aux plus téméraires, qui se sont fait surprendre par la montée des eaux. Inscrit par arrêté ministériel, sur la liste des sites d’intérêt général depuis 1942, Le Gois représente, pour les Noirmoutrins comme pour les touristes, le symbole majeur de l'île.
Evénements et animations autour du Gois Une course à pied , « Les Foulées du Gois », y a lieu une fois par an. Le départ est lancé à marée montante. Le peloton de tête se retrouve les pieds dans l'eau (une belle image pour ce lieu dont le nom signifie en patois ''marcher en mouillant ses sabots'' !), tandis que les derniers participants sont contraints de nager !
La route submersible a aussi été empruntée par les coureurs du Tour de France (5/07/1999, 2/07/2005, 2/07/2011). Le passage du Gois est aussi le théâtre d'un événement estival attendu : le spectacle musical pyrotechnique du mois de juillet. Un très beau feu d'artifice qui donne l'occasion aux touristes et aux habitants de se retrouver pour fêter les vacances.
Marais salants, cabanes et salorges sur l'Ile de Noirmoutier Les marais salants recouvrent 1/3 de l'île, sur les communes de Noirmoutier et de l'Epine. Cela s'explique par l'essor du commerce de l'or blanc du XVIe au XVIIIe siècles, atout majeur pour l'économie insulaire jusque dans les années 70. Après une période de déclin (34 sauniers en 1990), la relance est désormais assurée par de jeunes producteurs, aujourd'hui une centaine.
Le sel est récolté artisanalement, dans le respect des traditions. L'eau de mer circule dans un réseau de canaux et de bassins minutieusement entretenus, jusqu'à l'œillet (petit bassin d'eau de mer crée par le saunier, à fond argileux, lisse et légèrement bombé en son centre, où se dépose le sel).
Grâce à l'évaporation, la concentration en sel s'intensifie tout au long d'un lent parcours de 48 heures, elle passe de 35 gr/litre à 300 gr/ litre. Sous l'action du soleil et du vent, l'eau arrive à saturation. Le sel se cristallise et tapisse le fond argileux de l'œillet. D'un geste régulier et précis, le saunier tire alors doucement le gros sel vers le bord de l'œillet, à l'aide de son ételle : planchette de bois au bout d'un long manche.
Les petits tas ainsi formés sont appelés mulons, ils ponctuent de leur blancheur, le bleu des marais salants.
Au plus chaud de l'été, lorsque le vent d'Est s'y prête, de fins cristaux miroitent à la surface des œillets. Cueillie délicatement avec la lousse (sorte d'écumoire), c'est la fleur de sel. Elle est ensuite déposée dans des paniers, pour sécher naturellement au soleil. Cristallisée à la surface de l'eau, elle est d'une blancheur et d'une saveur unique.
Réserves naturelles sur l'Ile de Noirmoutier
La réserve de Müllembourg à Noirmoutier Gagnés sur la mer, les 48 hectares des marais de Müllemboug appartiennent au vaste ensemble des marais côtiers atlantiques, et sont le refuge de nombreuses espèces végétales et animales. Sur le Grand Müllembourg, les longues années d’abandon ont créé des îlots à l’abri des prédateurs terrestres, propices à certaines espèces d’oiseaux, à condition que l’eau de mer continue de circuler grâce aux ouvrages hydrauliques, amenant avec elle de nombreux invertébrés marins. Sur le Petit Müllembourg, constitué de marais salants encore en activité, ces mêmes espèces cohabitent avec les sauniers.
Ces marais représentent en hiver un important reposoir à marée haute pour les limicoles, canards et bernaches, qui hivernent autour de l’île. Au printemps, certains migrateurs de retour d’Afrique font simplement une étape, tandis que d’autres comme le Tadorne de Belon, la Sterne pierregarin et l’Avocette élégante, profitent des levées de terre pour dissimuler leur nid.
Depuis 1955, les marais de Müllembourg (pour partie propriété du Conservatoire du Littoral) sont gérés par la LPO en concertation avec la commune de Noirmoutier en l’Ile. Ils constituent un milieu exceptionnel pour observer la vie dans les marais, sur les vasières, et découvrir la gestion d’un milieu naturel sensible.
Le polder de Sébastopol à Barbâtre Le Polder de Sébastopol se trouve à Barbâtre, à l'entrée de l'île de Noirmoutier. Long de 4 km, large de 600m et d'une superficie de 133 hectares, c'est un site protégé et classé Réserve Naturelle Régionale.
De nombreux scientifiques et autres amoureux de la nature s'y donnent rendez-vous, car c'est un endroit privilégié pour s'adonner à l'observation ornithologique. Différentes espèces d'oiseaux sont visibles au polder : on en compte plus de 170. En période de reproduction, le polder devient le théâtre d'un incroyable spectacle. "Polder" signifie "terre endiguée" en néerlandais. Un polder est un étendue de terre à vocation agricole dont le niveau est inférieur à celui de la mer.
Le Centre de Noirmoutier en l'île
Sortis de l'Office de Tourisme, vous pouvez admirer l'Hôtel Jacobsen, belle demeure à l'architecture remarquable, édifié en 1760. Son constructeur, Jean-Cornil Jacobsen, est à l'origine de nombreux sites de l'île comme la jetée éponyme ou le marais de Müllembourg. Vous arrivez ensuite à la Place de l'Hôtel de Ville. Reconstruit en 1884 à l'identique des maisons de marchands du XVIIIe siècle, l'Hôtel de Ville a seulement perdu son beffroi. Sa place est située en plein cœur de la zone commerçante de la Grande Rue.
Puis, le Château (XIIe siècle) se dresse devant vous. Classé monument historique depuis 1994, son donjon abrite aujourd'hui un musée qui regroupe les différentes collections du patrimoine noirmoutrin depuis la Préhistoire et une importante collection de faïences de Jersey. Il offre de belles perspectives sur la ville et l'océan.
Église st Philbert. Vous voilà maintenant devant l'Eglise Saint Philbert. Elle recèle une crypte du XIe siècle et le tombeau du moine Saint Philbert, qui créa les bases de l'économie de l'île. En 1794, l'Eglise servit de prison aux 1500 vendéens qui furent massacrés lors des guerres de Vendée.
Enfin, vous découvrez le quartier de Banzeau, l'un des plus anciens de l'île. Occupé au XIe siècle par les gens au service de l’abbaye, il a ensuite abrité les marins au XVIIe siècle. Les ruelles bordées de roses trémières et de coquettes maisons blanches aux volets colorés donnent auquartier un caractère pittoresque. Les ports, le maritime
Le Port de Noirmoutier en l'Île
Autrefois témoin d'une activité intense grâce à l'exportation du sel de Noirmoutier, ce port d'échouage accueille ujourd'hui les vieux gréements et voiliers, qui accostent pour être réparés et restaurés dans les ateliers de construction et de réparation navale.
Sa rive nord est bordée de commerces et de restaurants dont les nombreuses terrasses font la joie des promeneurs. Elle est divisée en deux tronçons séparés par la place d’Armes : le quai Cassard, capitaine de vaisseau, et le quai Jean Bart, descendant de la famille Jacobsen, tous deux corsaires de la fin du 17ème siècle.
Le Port de Morin
Sur la côte ouest de l'île, un abri entouré de rochers ou venait s'ancrer une flotille de pêcheurs, s'est transformé en un port moderne. Cet endroit fut depuis toujours un lieu où les marins de l'Epine mouillaient leurs petites embarcations. Mais il s'agissait d'un mouillage très peu protégé. En 1983 le projet d'un port renforcé par des digues artificielles redevient d'actualité. Le Port de Morin a vu officiellement le jour le 14 novembre 1994.
En 1995, la digue principale orientée à l'Ouest est inaugurée et protège de sa masse imposante, le port désormais sécurisé. La digue abrite à son extrémité un feu rouge qui donne sur la plage de la Bosse et son joli moulin rénové. En ce qui concerne le feu vert, il se trouve à proximité de la Capitainerie, ancien Blockhaus parmi plusieurs autres de la Seconde guerre mondiale. Le port est aussi doté d'un mini phare à l'oeil tricolore d'une portée de six milles. La capacité d'accueil de ce port de plaisance moderne est aujourdhui de 880 bateaux.
Le Port de l'Herbaudière
Premier port de plaisance construit en Vendée (1973), le port de l'Herbaudière est aussi un port de pêche. La criée s'installe sur le site en 1980. Les principales espèces pêchées sont la sole, le bar de ligne, le rouget, le homard, le crabe et l'araignée. Les poissons pêchés sont ensuite vendus aux professionnels et aux restaurateurs de l’île, mais aussi à certains grands restaurants parisiens, canadiens ou russes.
Le port de l'Herbaudière est aussi un lieu de promenade agréable, avec ses boutiques de souvenirs et ses restaurants.
Une cité antique vieille de 2 500 ans vient d’être découverte en Grèce.
Le monde semble avoir été exploré de fonds en combles, et pourtant : une nouvelle cité vient d’être découverte en Grèce ! Âgée de 2 500 ans, ellerenseigne les chercheurs sur une région méconnue pendant l’Antiquité, la Thessalie de l’ouest.
C’est en travaillant sur un tout autre projet en 2015 que les chercheurs de l’université de Gothenburg (Suède) et de Bournemouth (Royaume-Uni) ont découvert toute la richesse des ruines de Volchos. Situé à 300 km au nord d’Athènes, dans la Thessalie de l’ouest, ce village occupe le sommet d’une colline et ses flancs, et passait pour insignifiant, une ancienne installation humaine sans importance. A y regarder de plus près, les chercheurs des Ephories de l’Antiquité de Karditsa (Grèce) y ont pourtant découvert des tours, des murs et des portes de cité. Au mois de septembre, durant leurs deux premières semaines d’exploration, ils avaient déjà mis au jour une poterie ainsi que des pièces de monnaie datées de 500 av. J.-C. environ. A la tête de l’équipe de recherches, Robin Ronnlund explique que la cité semble avoir connu son apogée entre 400 et 300 av. J-C, avant de décliner et d’être finalement abandonnée. Il ne s’agit que d’une hypothèse, mais l’invasion romaine de la région pourrait être la cause de ce délaissement. Pour en savoir plus, une seconde mission d’exploration est prévue en août 2017. Pour le moment, les chercheurs évitent autant que possible de procéder à des fouilles par excavation. Préférant le radar pour sonder le sol, ils tiennent à laisser le site historique en état. Robin Ronnlund souligne l’importance de cette découverte : « On connaît très peu de choses sur les anciennes cités de la région, et de nombreux chercheurs pensaient jusqu’à présent que l’ouest de la Thessalie était un trou perdu pendant l’Antiquité. Notre projet comble donc un large fossé dans la connaissance de la région et prouve qu’il reste encore beaucoup à découvrir en Grèce ».
En Italie, a été installée une fontaine à vin... gratuit, et vous pouvez en boire quand vous voulez. Comme toutes les bonnes choses, la dégustation d’un bon verre de rouge comporte un prix… à une exception près. En Italie, dans un village d’Abruzzes, se cache une fontaine ouverte de jours comme de nuit, composée de la délicieuse boisson. Et les verres sont entièrement gratuits. Il existe un lieu où tout un chacun peut se servir et se resservir à volonté, où l’on peut boire du bon vin, sans dépenser l’intégralité de son salaire en une soirée. Pour pouvoir s’accorder ce petit plaisir, il va falloir mettre le cap sur l’Italie. Comme toutes les bonnes choses, la dégustation d’un bon verre de rouge comporte un prix… à une exception près. En Italie, dans un village d’Abruzzes, se cache une fontaine ouverte de jours comme de nuit, composée de la délicieuse boisson. Et les verres sont entièrement gratuits. Il existe un lieu où tout un chacun peut se servir et se resservir à volonté, où l’on peut boire du bon vin, sans dépenser l’intégralité de son salaire en une soirée. Pour pouvoir s’accorder ce petit plaisir, il va falloir mettre le cap sur l’Italie.
AQUARELLES DE MAISON D'ARBRES LUNATIQUES... par Meream La Tree House Series est née parce que je voulais pratiquer des arbres et harmonie de couleurs. Je suis un aquarelliste autodidacte et j'ai découvert ce qui suit à ce jour: 1. Les ombres sont importantes 2. Les marionnettes sont amusantes 3. Beaucoup de gens vraiment, veulent vraiment vivre dans une maison dans l'arbre
L’Histoire en images à la basilique Saint-Denis. (Source : Le Parisien) Nichée à côté de la mairie de Saint-Denis, invisible quand on sort du parking souterrain le plus proche, la basilique Saint-Denis mérite mieux que ses170 000 visiteurs annuels. Ce joyau de l’art gothique, cercueil des rois de France depuis le Xe siècle, livre l’Histoire de France en images. Pas dans des livres ou sur écrans, mais au travers de gisants sculptés dans la pierre. Au total, 43 rois, 32 reines et une soixantaine de princes et princesses ont été enterrés ici. Les 70 gisants reposent à la vue des visiteurs, comme autant de témoins historiques. « Les rois, qu’ils soient capétiens, carolingiens ou mérovingiens, ont voulu créer ce lieu pour se légitimer, être protégés dans leurs batailles et dans l’au-delà », explique Serge Santos, administrateur de la basilique. On voit ici Berthe au grand pied, surnommée ainsi pour son pied de bot. Arégonde, la belle-fille de Clovis, découverte entourée de bijoux au détour de fouilles archéologiques en... 1959. Charles Martel, réputé pour son ardeur au combat, sorte de Premier ministre des rois mérovingiens, est inhumé face au roi Dagobert. Son fils Pépin le Bref sera le premier roi franc sacré à Saint-Denis. On découvre aussi le gisant de Charles V, avec ses rides sculptées sur le visage, ses veines sur la main. Les femmes reposent avec un chien à leur pied, qui les guidera au royaume des morts. Les hommes ont droit au lion, symbole de force et de résurrection. Dans la crypte, une alcôve abrite les cœurs des Louis XIII, XIV et XVIII, conservés séchés dans des bocaux. Au fond d’un couloir en souterrain, la crypte archéologique rassemble des dizaines de sarcophages des IVe et Ve siècles. La ville et la basilique doivent leur nom à Denis, considéré comme le premier évêque de Paris au IIIe siècle. Il a eu la tête tranchée par l’épée des Romains opposés au christianisme. Denis est mort sans renier sa foi. La cathédrale, bâtie en 1231, en moins de 50 ans — un exploit technique ! —, sera le berceau de l’art gothique en Ile-de-France. Les corps baignent dans la lumière des vitraux. Les colonnes s’étirent sur 108 m de long, les croisées d’ogives s’élancent jusqu’à 30 m. La tombe la plus majestueuse est celle d’Henri II et Catherine de Médicis,la préférée de Serge Santos qui loue la diversité des couleurs de marbre, gris, rouge, blanc, le « travail de sculpture, gracieux, ample et maniériste, influencé par la culture italienne ». Les corps gisent, nus, côte à côte, et au dessus, le couple apparaît à genoux. Les rois reposent en paix jusqu’en 1793. Les Révolutionnaires décident alors de les retirer de la basilique. Ils récupèrent les plombs des cercueils pour les transformer en armes. Tous les corps sont jetés dans une fosse commune et recouverts de chaux, dans le jardin de la cathédrale. Sauf les gisants du Moyen Âge, préservés à 80 %. Ils sont transférés au Musée des monuments français, face au Louvre. En 1815, Louis XVIII fait fermer le musée, rapatrie les gisants à Saint-Denis et réintègre symboliquement les ossements des rois. L’objet de culte devient alors objet patrimonial. Saint-Denis se visitera désormais comme un musée, pour ses trésors.
Polynésie française
Cette île a une taille minuscule (moins de 40 km²) et pourtant, elle est célèbre à travers le monde entier…
Avez-vous deviné pourquoi ? Tout simplement parce qu’il s’agit de l’une des plus belles îles de la planète,
et elle fait partie de la Polynésie française ! Située à 255 kmau nord-ouest de Tahiti, Bora-Bora mérite bien
son surnom de “perle du Pacifique”. D’origine volcanique, elle est entourée d’un lagon et d’un récif corallien
dont la beauté est éblouissante. Depuis la seconde moitié du XXe siècle, l’île s’est dotée de plusieurs hôtels
de grand luxe. Toutefois, ils ont été construits dans le soucis de préserver l’authenticité de Bora-Bora.
Il faut casser sa tirelire pour se rendre ici, mais cela en vaut tellement la peine
Crédit : Crystals of australia
Le canal du Nord est un canal de jonction reliant la vallée de l'Oise au canal Dunkerque-Escaut.
Il possède deux biefs de partage alimentés par pompage depuis l'Oise et l'Aisne, et reçoit également les excédents de la Somme à hauteur d’Épénancourt.
Imaginé vingt ans après le plan Freycinet pour promouvoir un gabarit de navigation supérieur au canal de Saint-Quentin, sa construction, amorcéeen 1913, a été interrompue par les deux guerres mondiales et les difficultés économiques de l'entre-deux-guerres.
Il a été finalement ouvert à la navigation en 1965.
Le canal du Nord vient s'embrancher sur le canal Dunkerque-Escaut par le canal de la Sensée, au port fluvial d’Arleux, et établit une connexion fluviale avec le canal latéral à l'Oise à Pont-l’Évêque, non loin de Noyon.
D'une longueur de 95 km, il compte 19 écluses et deux biefs de partage :celui du souterrain de Ruyaulcourt au nord, d'une longueur de 4,35 km.
La dénivelée entre Arleux et ce bief, de 40 m, est rachetée par sept écluses, tandis que la descente vers la vallée de la Somme, de 28 m, emploie cinq écluses ;celui du tunnel de la Panneterie (long de 1,10 km). La dénivelée entre la
vallée de la Somme et ce bief est de 13 m et est rachetée par trois écluses, tandis que la descente vers la vallée de l'Oise au sud est de 22 m franchis en quatre écluses.
La section centrale du canal emprunte le Canal de la Somme à hauteur de Péronne sur 20 km environ.
Au Japon, après une abondante chute de neige, de magnifiques sculptures de neige
sont apparues au coin des rues.
L'île de Noirmoutier version nature, une halte incontournable.Succombez aux vues imprenables sur l'océan, aux fôrets domaniales, aux dunes innombrables et aux grandes réserves naturelles...Les reflets lunaires sur l'Océan Atlantique, l'air iodé et l'odeur des pins ne vous laisseront pas indifférents.
Cette île vous donnera le goût de la liberté.
Forêts sur l'Ile de Noirmoutier
Vous êtes plutôt chênes verts ou forêts de pins ?
La forêt de la Frandière à Barbâtre, le Bois des Eloux à L'Epine et le Bois de la Chaise à Noirmoutier sont les trois principales forêts de l'île. A deux pas de la plage, leur végétation (mélange méditerranéen et insulaire) vous offre un décor de carte postale pour vos loisirs.
Le Bois des Eloux à l'Epine se situe en bordure de mer sur le point culminant de l'île. Egarez-vous dans cet espace naturel et sauvage époustouflant ; les odeurs de sel marin vous guideront vers les plages alentours...Si vous croisez un elfe, n'oubliez pas de lui demander de vous conter la légende du bois.
Le Bois de la Chaize est une forêt domaniale hors du temps. Installé sur les grès au nord-est de Noirmoutier, ce bois est la douceur océane à l'état pur, à l'abri des vents d'ouest. Le bois est gardé par des hiboux petits ducs et par des coléoptères volants. Le peintre Auguste Renoir a été conquis par cet endroit inspiré et inspirant. Le serez-vous autant que lui ?
Dans le Bois de la Chaise
Site classé, le Bois de la Chaise a vu naître le début son ère touristique par les notables de l'île. Ceux-ci construisirent une centaine de villas à la fin du Second Empire, qui représentent le romantisme de cette période.
Les cabines de plage de la Plage des Dames, la Plage des Sableaux et celles de l'Anse Rouge marquent le début du tourisme balnéaire. Les dames y enfilaient leur maillot de bain, à une époque où la mode était aux bains de mer et la pudeur, encore très présente.
Le Bois de la Chaise fût le rendez-vous des poètes et des peintres de mérite. En 1892, l’île de Noirmoutier accueillait un visiteur de choix en la personne du célèbre peintre Auguste Renoir (1841-1919). Du Bois de la Chaise, il déclare «C’est un coin admirable, beau comme le Midi mais avec une mer autrement belle que la Méditerranée».
Inspiré par la lumière du site, il y peindra deux toiles :
Le Bois de la Chaise fût aussi une destination de premier choix pour les convalescents, qui venaient profiter de la douceur hivernale et respirer à pleins poumons l'air pur embaumé par les pins. Du lait d'ânesse leur était prescrit.
Ne ratez pas en hiver la floraison du mimosa, le Bois de la Chaize s'égaye ainsi de ces petits boules jaunes lumineuses et vous offre un paysage unique et plein de poésie...
Une randonnée pédestre dans la Frandière, un pique-nique au Bois des Eloux ou un jogging au Bois de la Chaise sont autant d'activités qui sauront vous plaire !
Le Gois de l'Ile de Noirmoutier
Le Gois, unique et touristique
Le passage du Gois, route submersible unique au monde par sa longueur (4,5 km), fait partie des curiosités, des sites incontournables de l'île. A marée basse, on l'emprunte pour rejoindre Beauvoir-sur-Mer, ou on s'y retrouve pour pêcher palourdes, huîtres et coques. Ses 9 balises servent de refuge aux plus téméraires, qui se sont fait surprendre par la montée des eaux.
Inscrit par arrêté ministériel, sur la liste des sites d’intérêt général depuis 1942, Le Gois représente, pour les Noirmoutrins comme pour les touristes, le symbole majeur de l'île.
Evénements et animations autour du Gois
Une course à pied , « Les Foulées du Gois », y a lieu une fois par an. Le départ est lancé à marée montante. Le
peloton de tête se retrouve les pieds dans l'eau (une belle image pour ce lieu dont le nom signifie en patois ''marcher en mouillant ses
sabots'' !), tandis que les derniers participants sont contraints de nager !
La route submersible a aussi été empruntée par les coureurs du Tour de France (5/07/1999, 2/07/2005, 2/07/2011).
Le passage du Gois est aussi le théâtre d'un événement estival attendu : le spectacle musical pyrotechnique du mois de juillet. Un très beau feu d'artifice qui donne l'occasion aux touristes et aux habitants de se retrouver pour fêter les vacances.
Marais salants, cabanes et salorges sur l'Ile de Noirmoutier
Les marais salants recouvrent 1/3 de l'île, sur les communes de Noirmoutier et de l'Epine. Cela s'explique par l'essor du commerce de l'or blanc du XVIe au XVIIIe siècles, atout majeur pour l'économie insulaire jusque dans les années 70. Après une période
de déclin (34 sauniers en 1990), la relance est désormais assurée par de jeunes producteurs, aujourd'hui une centaine.
Le sel est récolté artisanalement, dans le respect des traditions. L'eau de mer circule dans un réseau de canaux et de bassins minutieusement entretenus, jusqu'à l'œillet (petit bassin d'eau de mer crée par le saunier, à fond argileux, lisse et légèrement bombé en son centre, où se dépose le sel).
Grâce à l'évaporation, la concentration en sel s'intensifie tout au long d'un lent parcours de 48 heures, elle passe de 35 gr/litre à 300 gr/ litre. Sous l'action du soleil et du vent, l'eau arrive à saturation.
Le sel se cristallise et tapisse le fond argileux de l'œillet. D'un geste régulier et précis, le saunier tire alors doucement le gros sel vers le bord de l'œillet, à l'aide de son ételle : planchette de bois au bout d'un long manche.
Les petits tas ainsi formés sont appelés mulons, ils ponctuent de leur blancheur, le bleu des marais salants.
Au plus chaud de l'été, lorsque le vent d'Est s'y prête, de fins cristaux miroitent à la surface des œillets. Cueillie délicatement avec la lousse (sorte d'écumoire), c'est la fleur de sel. Elle est ensuite déposée dans des paniers, pour sécher naturellement
au soleil. Cristallisée à la surface de l'eau, elle est d'une blancheur et d'une saveur unique.
Réserves naturelles sur l'Ile de Noirmoutier
La réserve de Müllembourg à Noirmoutier
Gagnés sur la mer, les 48 hectares des marais de Müllemboug appartiennent au vaste ensemble des marais côtiers atlantiques, et sont le refuge de nombreuses espèces végétales et animales.
Sur le Grand Müllembourg, les longues années d’abandon ont créé des îlots à l’abri des prédateurs terrestres, propices à certaines espèces d’oiseaux, à condition que l’eau de mer continue de circuler grâce aux ouvrages hydrauliques, amenant avec elle de nombreux invertébrés marins. Sur le Petit Müllembourg, constitué de marais salants encore en activité, ces mêmes espèces cohabitent avec les sauniers.
Ces marais représentent en hiver un important reposoir à marée haute pour les limicoles, canards et bernaches, qui hivernent autour de l’île.
Au printemps, certains migrateurs de retour d’Afrique font simplement une étape, tandis que d’autres comme le Tadorne de Belon, la Sterne pierregarin et l’Avocette élégante, profitent des levées de terre pour dissimuler leur nid.
Depuis 1955, les marais de Müllembourg (pour partie propriété du Conservatoire du Littoral) sont gérés par la LPO en concertation avec la commune de Noirmoutier en l’Ile. Ils constituent un milieu exceptionnel pour observer la vie dans les marais, sur les vasières, et découvrir la gestion d’un milieu naturel sensible.
Le polder de Sébastopol à Barbâtre
Le Polder de Sébastopol se trouve à Barbâtre, à l'entrée de l'île de Noirmoutier.
Long de 4 km, large de 600m et d'une superficie de 133 hectares, c'est un site protégé et classé Réserve Naturelle Régionale.
De nombreux scientifiques et autres amoureux de la nature s'y donnent rendez-vous, car c'est un endroit privilégié pour s'adonner à l'observation ornithologique. Différentes espèces d'oiseaux sont visibles au polder : on en compte plus de 170. En période de reproduction, le polder devient le théâtre d'un incroyable spectacle.
"Polder" signifie "terre endiguée" en néerlandais. Un polder est un étendue de terre à vocation agricole dont le niveau est inférieur à celui de la mer.
Le Centre de Noirmoutier en l'île
Sortis de l'Office de Tourisme, vous pouvez admirer l'Hôtel Jacobsen, belle demeure à l'architecture remarquable, édifié en 1760. Son constructeur, Jean-Cornil Jacobsen, est à l'origine de nombreux sites de l'île comme la jetée éponyme ou le marais de Müllembourg.
Vous arrivez ensuite à la Place de l'Hôtel de Ville. Reconstruit en 1884 à l'identique des maisons de marchands du XVIIIe
siècle, l'Hôtel de Ville a seulement perdu son beffroi. Sa place est située en plein cœur de la zone commerçante de la Grande Rue.
Puis, le Château (XIIe siècle) se dresse devant vous. Classé monument historique depuis 1994, son donjon abrite aujourd'hui un musée qui regroupe les différentes collections du patrimoine noirmoutrin depuis la Préhistoire et une importante collection de faïences de Jersey. Il offre de belles perspectives sur la ville et l'océan.
Vous voilà maintenant devant l'Eglise Saint Philbert. Elle recèle une crypte du XIe siècle et le tombeau du moine Saint
Philbert, qui créa les bases de l'économie de l'île. En 1794, l'Eglise servit de prison aux 1500 vendéens qui furent massacrés lors des guerres de Vendée.
Enfin, vous découvrez le quartier de Banzeau, l'un des plus anciens de l'île. Occupé au XIe siècle par les gens au service de l’abbaye, il a ensuite abrité les marins au XVIIe siècle. Les ruelles bordées de roses trémières et de coquettes maisons blanches aux volets colorés donnent auquartier un caractère pittoresque.
Les ports, le maritime
Le Port de Noirmoutier en l'Île
Autrefois témoin d'une activité intense grâce à l'exportation du sel de Noirmoutier, ce port d'échouage accueille ujourd'hui les vieux gréements et voiliers, qui accostent pour être réparés et restaurés dans les ateliers de construction et de réparation navale.
Sa rive nord est bordée de commerces et de restaurants dont les nombreuses terrasses font la joie des promeneurs.
Elle est divisée en deux tronçons séparés par la place d’Armes : le quai Cassard, capitaine de vaisseau, et le quai Jean Bart, descendant de la famille Jacobsen, tous deux corsaires de la fin du 17ème siècle.
Le Port de Morin
Sur la côte ouest de l'île, un abri entouré de rochers ou venait s'ancrer une flotille de pêcheurs, s'est transformé en un port moderne. Cet endroit fut depuis toujours un lieu où les marins de l'Epine mouillaient leurs petites embarcations. Mais il s'agissait d'un
mouillage très peu protégé. En 1983 le projet d'un port renforcé par des digues artificielles redevient d'actualité. Le Port de Morin a vu officiellement le jour le 14 novembre 1994.
En 1995, la digue principale orientée à l'Ouest est inaugurée et protège de sa masse imposante, le port désormais sécurisé. La digue abrite à son extrémité un feu rouge qui donne sur la plage de la Bosse et son joli moulin rénové. En ce qui concerne le feu vert, il se trouve à proximité de la Capitainerie, ancien Blockhaus parmi plusieurs autres de la Seconde guerre mondiale.
Le port est aussi doté d'un mini phare à l'oeil tricolore d'une portée de six milles. La capacité d'accueil de ce port de plaisance moderne est aujourdhui de 880 bateaux.
Le Port de l'Herbaudière
Premier port de plaisance construit en Vendée (1973), le port de l'Herbaudière est aussi un port de pêche. La criée s'installe sur le site en 1980. Les principales espèces pêchées sont la sole, le bar de ligne, le rouget, le homard, le crabe et l'araignée. Les poissons pêchés sont ensuite vendus aux professionnels et aux restaurateurs de l’île, mais aussi à certains grands restaurants
parisiens, canadiens ou russes.
Le port de l'Herbaudière est aussi un lieu de promenade agréable, avec ses boutiques de souvenirs et ses restaurants.
Le monde semble avoir été exploré de fonds en combles, et pourtant : une nouvelle cité vient d’être découverte en Grèce ! Âgée de 2 500 ans, ellerenseigne les chercheurs sur une région méconnue pendant l’Antiquité, la Thessalie de l’ouest.
C’est en travaillant sur un tout autre projet en 2015 que les chercheurs de l’université de Gothenburg (Suède) et de Bournemouth (Royaume-Uni) ont découvert toute la richesse des ruines de Volchos. Situé à 300 km au nord d’Athènes, dans la Thessalie de l’ouest, ce village occupe le sommet d’une colline et ses flancs, et passait pour insignifiant, une ancienne installation humaine sans importance.
A y regarder de plus près, les chercheurs des Ephories de l’Antiquité de Karditsa (Grèce) y ont pourtant découvert des tours, des murs et des portes de cité. Au mois de septembre, durant leurs deux premières semaines d’exploration, ils avaient déjà mis au jour une poterie ainsi que des pièces de monnaie datées de 500 av. J.-C. environ.
A la tête de l’équipe de recherches, Robin Ronnlund explique que la cité semble avoir connu son apogée entre 400 et 300 av. J-C, avant de décliner et d’être finalement abandonnée. Il ne s’agit que d’une hypothèse, mais l’invasion romaine de la région pourrait être la cause de ce délaissement. Pour en savoir plus, une seconde mission d’exploration est prévue en août 2017. Pour le moment, les chercheurs évitent autant que possible de procéder à des fouilles par excavation. Préférant le radar pour sonder le sol, ils tiennent à laisser le site historique en état.
Robin Ronnlund souligne l’importance de cette découverte : « On connaît très peu de choses sur les anciennes cités de la région, et de nombreux chercheurs pensaient jusqu’à présent que l’ouest de la Thessalie était un trou perdu pendant l’Antiquité. Notre projet comble donc un large fossé dans la connaissance de la région et prouve qu’il reste encore beaucoup à découvrir en Grèce ».
gratuit, et vous pouvez en boire quand vous voulez.
Comme toutes les bonnes choses, la dégustation d’un bon verre de rouge comporte un prix… à une exception près. En Italie, dans un village d’Abruzzes, se cache une fontaine ouverte de jours comme de nuit, composée de la délicieuse boisson. Et les verres sont entièrement gratuits.
Il existe un lieu où tout un chacun peut se servir et se resservir à volonté, où l’on peut boire du bon vin, sans dépenser l’intégralité de son salaire en une soirée. Pour pouvoir s’accorder ce petit plaisir, il va falloir mettre le cap sur l’Italie.
Comme toutes les bonnes choses, la dégustation d’un bon verre de rouge comporte un prix… à une exception près. En Italie, dans un village d’Abruzzes, se cache une fontaine ouverte de jours comme de nuit, composée de la délicieuse boisson. Et les verres sont entièrement gratuits.
Il existe un lieu où tout un chacun peut se servir et se resservir à volonté, où l’on peut boire du bon vin, sans dépenser l’intégralité de son salaire en une soirée. Pour pouvoir s’accorder ce petit plaisir, il va falloir mettre le cap sur l’Italie.
par Meream
La Tree House Series est née parce que je voulais pratiquer des arbres et harmonie de couleurs. Je suis un aquarelliste autodidacte et j'ai découvert ce qui suit à ce jour:
1. Les ombres sont importantes
2. Les marionnettes sont amusantes
3. Beaucoup de gens vraiment, veulent vraiment vivre dans une maison dans l'arbre
#1
L’Histoire en images à la basilique Saint-Denis.
(Source : Le Parisien)
Nichée à côté de la mairie de Saint-Denis, invisible quand on sort du parking souterrain le plus proche, la basilique Saint-Denis mérite mieux que ses170 000 visiteurs annuels.
Ce joyau de l’art gothique, cercueil des rois de France depuis le Xe siècle, livre l’Histoire de France en images.
Pas dans des livres ou sur écrans, mais au travers de gisants sculptés dans la pierre.
Au total, 43 rois, 32 reines et une soixantaine de princes et princesses ont été enterrés ici.
Les 70 gisants reposent à la vue des visiteurs, comme autant de témoins historiques.
« Les rois, qu’ils soient capétiens, carolingiens ou mérovingiens, ont voulu créer ce lieu pour se légitimer, être protégés dans leurs batailles et dans l’au-delà », explique Serge Santos, administrateur de la basilique.
On voit ici Berthe au grand pied, surnommée ainsi pour son pied de bot. Arégonde, la belle-fille de Clovis, découverte entourée de bijoux au détour de fouilles archéologiques en... 1959.
Charles Martel, réputé pour son ardeur au combat, sorte de Premier ministre des rois mérovingiens, est inhumé face au roi Dagobert.
Son fils Pépin le Bref sera le premier roi franc sacré à Saint-Denis.
On découvre aussi le gisant de Charles V, avec ses rides sculptées sur le visage, ses veines sur la main. Les femmes reposent avec un chien à leur pied, qui les guidera au royaume des morts.
Les hommes ont droit au lion, symbole de force et de résurrection.
Dans la crypte, une alcôve abrite les cœurs des Louis XIII, XIV et XVIII, conservés séchés dans des bocaux.
Au fond d’un couloir en souterrain, la crypte archéologique rassemble des dizaines de sarcophages des IVe et Ve siècles.
La ville et la basilique doivent leur nom à Denis, considéré comme le premier évêque de Paris au IIIe siècle.
Il a eu la tête tranchée par l’épée des Romains opposés au christianisme.
Denis est mort sans renier sa foi. La cathédrale, bâtie en 1231, en moins de 50 ans — un exploit technique ! —, sera le berceau de l’art gothique en Ile-de-France.
Les corps baignent dans la lumière des vitraux. Les colonnes s’étirent sur 108 m de long, les croisées d’ogives s’élancent jusqu’à 30 m.
La tombe la plus majestueuse est celle d’Henri II et Catherine de Médicis,la préférée de Serge Santos qui loue la diversité des couleurs de marbre, gris, rouge, blanc, le « travail de sculpture, gracieux, ample et maniériste, influencé par la culture italienne ».
Les corps gisent, nus, côte à côte, et au dessus, le couple apparaît à genoux.
Les rois reposent en paix jusqu’en 1793. Les Révolutionnaires décident alors de les retirer de la basilique.
Ils récupèrent les plombs des cercueils pour les transformer en armes.
Tous les corps sont jetés dans une fosse commune et recouverts de chaux, dans le jardin de la cathédrale.
Sauf les gisants du Moyen Âge, préservés à 80 %.
Ils sont transférés au Musée des monuments français, face au Louvre. En 1815, Louis XVIII fait fermer le musée, rapatrie les gisants à Saint-Denis et réintègre symboliquement les ossements des rois.
L’objet de culte devient alors objet patrimonial. Saint-Denis se visitera désormais comme un musée, pour ses trésors.