Célèbres dans le monde entier pour leur vin rosé, les vignobles varois font partie intégrante du patrimoine local. Parmi les nombreux châteaux et domaines du département, en voici 5 à ne pas rater !
Côtes de Provence sur le terroir de La Londe les Maures.
Les vignes sont omniprésentes dans le paysage varois. Au milieu des pins, des oliviers, des champs de lavande et parfois, à seulement quelques mètres de la Méditerranée, on peut dire que les vignobles varois ont la belle vie. Logique, le rosé de la région est une star internationale dont le succès est en pleine expansion !
Pour notre plus grand plaisir, les coulisses de certains de ces domaines et châteaux du Var ouvrent leur porte et leur cave au public. Au programme : dégustation, visite guidée, exposition d'art, activités ludiques...
Vignes de Coteaux Varois en Provence.
5 vignobles à ne pas rater !
La sélection a été faite avec le concours du magazine Régal .
Le château Roubine Situé entre Lorgues et Draguignan, le Chateau Roubine est l’un des plus anciens vignobles de France, historiquement connu depuis le XIVe , quand l’Ordre des Templiers le céda à l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
En 1953, il obtient le titre de « Cru Classé ». Le vignoble se caractérise par un drainage naturel (« roubine » signifie « ruisseau » en provençal) et par un sol argilo-calcaire. Pour venir visiter le domaine, rien de tel que de passer la nuit auMas des Candeliers, qui se dresse au milieu des vignes. À la fois gîte rural et table d’hôte, le Mas offre une sélection d’activités liées à l’œnotourisme, à la gastronomie et à la découverte du pays provençal.
Le Château Sainte Roseline Le Chateau Sainte Roseline propose tout au long de l’année des visites guidées des caves, de la chapelle et du Cloître (pour les groupes), et bien sûr, des dégustation de vins du domaine. 30 000 visiteurs se pressent chaque année à la découverte du domaine.
C'est un vignoble en A.O.P, Côte de Provence « cru classé » depuis 1955. Le domaine produit 50% de rosés, 35% de rouges et 15% de blancs pour un total d'environ 400 000 bouteilles par an . Le vin du domaine est caractérisé par des couleurs pâles et pures. Les raisins sont vendangés de nuit, de fin août à septembre, pour éviter toute oxydation et prise de couleur.
L'art contemporain Chaque année, depuis quinze ans, le Château accueille des artistes contemporains pendant l’été. Des œuvres d’art et sculptures sont installées dans les vignes, dans les jardins ou encore dans le caveau du domaine. En 2015, c’est l’artiste Nicolas Sanhes, qui est venu installer ses gigantesques sculptures dans le domaine du château.
Le domaine du Château de Berne Tout comme le château Sainte Roseline, le château de Berne est très actif en œnotourisme et proposent des évènements tout au long de l'année. Les nuits fraîches du Haut Var assurent une maturation lente des raisins, les rosés arrivent à maturité plus tardivement que sur le littoral. Ce sont des vins structurés avec de la tenue qui conviennent bien aux accords mets & vins de la cuisine contemporaine.
Le Château de Pampelonne Le château de Pampelonne est l’un des grands noms du vignoble tropézien. À Ramatuelle, à quelques pas de l’une des plus célèbres plages du monde, c'est une propriété familiale de 50 ha située sur un terroir sableux face à la mersur la baie de Pampelonne.
Le rosé se caractérise par une robe rose clair aux reflets bleutés. Une belle longueur en bouche, un vin rond, velouté et charnu aux notes de fruits rouges.
Le Domaine de l’île – Porquerolles S'il est un emplacement encore plus extraordinaire que les autres, c'est bien celui du Domaine de l'Île. Au cœur de l'une des îles d'Or, l'insularité du vignoble, l'air salin et près de 300 jours d'ensoleillement par an, donne au vin de ce domaine ses caractères minéraux, puissant, iodé et harmonieux à la fois.
Etats-Unis : treize artistes donnent leur vision du 11-Septembre Quinze ans après l'attentat qui a fait 2 753 morts, une exposition ouvre ses portes, le 12 septembre, au mémorial de New York.
http://www.francetvinfo.fr/monde/usa/video-etats-unis-treize-artistes-donnent-leur-vision-du-11-septembre_1817941.html#xtor=EPR-2- LA NEWSLETTER ACTU Nous la préparons pour vous chaque matin L'art pour se souvenir. A l'occasion du quinzième anniversaire du 11-Septembre, le musée dédié aux attentats à New York a fait entrer l'art dans ses murs, pour raconter autrement le souvenir de cette journée. Une exposition, "Rendering the Unthinkable", "Traduire l'impensable", débute le 12 septembre, au lendemain de la date anniversaire, avec treize œuvres d'artistes locaux reconnus, présentant peintures, vidéos ainsi qu'une sculpture. Tous ont en commun d'avoir vécu, chacun à leur façon, les attentats. Pas de représentations violentesDans les galeries, pas de toiles violentes ou de représentations douloureuses. L'art a fait son chemin dans les souvenirs, a apaisé la souffrance et apprivoisé l'histoire, désormais intégrée dans l'ADN new-yorkais. Certains, comme Ejay Weiss, ont utilisé des cendres de Ground Zero pour les incorporer à quatre peintures à l'acrylique, qui subliment le chaos, avec en leur centre des carrés de ciel bleu : celui dont se souviennent encore les New-yorkais le matin où se sont écroulées les tours jumelles, faisant 2 753 morts. Christopher Saucedo avait, lui, deux frères pompiers. L'un d'eux a disparu à jamaisdans l'effondrement des tours. Sculpteur, il avait l'habitude de travailler avec de l'acier et autres métaux. Mais pas question pour lui,après le 11-Septembre, de travailler avec les mêmes matériaux que ceux des carcasses suppliciées du World Trade Center. Il a pressé du lin blanc sur des rectangles de papier mâché bleu, et de là sont nées des compositions éthérées, presque réconfortantes, où semble flotter le World Trade Center.
Non ? C’est normal ! Le dernier train de bois est arrivé à Paris en 1877 ! Mais vous pourriez bien en apercevoir un cet été sur les bords de Seine. Découvrir l’histoire du train de bois, c’est replonger dans trois siècles d’histoire de Paris et du Morvan. Tout commence au XVIe siècle, sous le règne d’Henri IV. Le bois des forêts autour de Paris s’épuise et le domaine royal reste réservé aux chasses de la cour. La pénurie guette la capitale et menace ses habitants et son développement. En effet, pas de bois, pas de four, pas de four, pas de pain et pas de pain : c’est l’émeute…
On se tourne alors vers le Morvan et ses forêts pour fournir du bois aux Parisiens. C’est toute une organisation qui se met en place dans la région pour envoyer 700 000 stères de bois (un stère = 1m3) jusqu’à Paris ; un système d’acheminement aussi inattendu qu’efficace : le flottage et le train de bois ! Le long parcours du bois débute en hiver. Les arbres sont abattus en bûches de diamètre homogène : 18 pouces (45.72cm) maximum, puis elles sont laissées au repos pour les vider de leur sève. A la Toussaint suivante, elles sont vendues aux commerçants locaux appelés « marchands forains ». Chacun de ces marchands fait apposer sa marque à chaque extrémité des morceaux de bois, afin de reconnaître son bien tout au long du parcours : c’est le martelage. Commence ensuite le flottage du bois. Les bûches sont jetées à l’eau sur les ruisseaux et les rivières du Morvan. Emportées par le courant, elles sont dirigées par des ouvriers placés sur les berges, appelés « poules d’eau », jusqu’à un des 22 ports où elles sont regroupées dans des retenues d’eau. Au printemps, ces étangs, naturels ou artificiels, gonflés par les pluies et la fonte des neiges, sont ouverts, et l’eau achemine les bûches vers Clamecy et quelques autres villes, dans l’Yonne, en quelques heures seulement. Le bois est alors tiré, triqué (trié) et empilé selon les marques apposées pendant le martelage. Cette tâche est généralement dévolue aux femmes et aux enfants. La fin de ces travaux, vers la mi-juillet, est célébrée par l’organisation de joutes sur la rivière. Le vainqueur de ces joutes, appelé « Roi Sec » devient le porte-parole des flotteurs pour l’année à venir. Une sorte de représentant syndical de l’époque ! A Clamecy, c’est la vie de 500 familles qui est régie par cette activité du bois.
Après cinq mois de séchage, les bûches sont enfin assemblées en trains de bois ! (Nous sommes déjà à plus de deux ans après la coupe du bois…). Le train de bois est un radeau mesurant de 36 m de long, 4.50 m de large et 40 à 60 cm d’épaisseur, d’un volume moyen de 100 stères de bois. Il faut environ une semaine de travail de six ouvriers expérimentés pour en assembler un. 3 500 trains de bois sont ainsi construits en une saison à Clamecy ! Ajoutés au millier de trains assemblés dans d’autres ports, c’est près d’un million de stères de bois qui sont agrégés, ce qui représente 90% du bois consommé annuellement à Paris. Chaque train est dirigé par deux flotteurs, marins aguerris aux dangers de la navigation. Près d’Auxerre, lorsque le cours de l’Yonne a grossi, les radeaux sont couplés, formant des plateformes à la longueur impressionnante de 72 mètres ! Le voyage jusqu’au port de Bercy, à Paris, dure ensuite de 10 à 15 jours. Une fois dans la capitale, le bois est à nouveau séché puis récupéré par les propriétaires parisiens. Les flotteurs bourguignons, après avoir profité des « joies » de la capitale, repartent à pied et effectuent le trajet retour de 200km en 4 jours seulement !
Le premier train de bois est entré à Paris le 20 avril 1547. Pendant plus de trois cents ans, le Morvan va alimenter Paris en bois. Mais l’arrivée du charbon et l’amélioration des transports de marchandises par route vont progressivement remplacer le flottage. Le dernier train de bois arrive à Paris en 1877. Avec lui, c’est toute une industrie régionale qui s’éteint… … Mais cette année, l’association Flotescale fait revivre cette tradition ! Début 2015, des bénévoles ont construit, selon les méthodes ancestrales, un nouveau train de bois. Ce dernier est parti de Clamecy le 6 juin. Tout le long de son parcours jusqu’à Paris, des étapes sont organisées. L’occasion à chaque port de profiter de nombreux événements. Après une épopée de 261 km et le passage de 64 écluses en 21 jours, l’arrivée au port de Bercy est prévue le 27 juin. Enfin, le 5 juillet, le train de bois traversera la capitale sur la Seine.
FRANCE -escales dans le gers-la gascogne-les landes. Juste un soupçon de cette région.
La Gascogne est une province historique française célèbre pour ses personnages au fort tempéremment comme D'Artagnans ou Cyrano de Bergerac. Mais c'est aussi un vaste territoire englobant une partie des départements des Landes, du Gers, des Hautes-Pyrénées, de l'Ariège, de la Haute-Garonne, du Lot-et-Garonne, de la Dordogne et de la Gironde.
Cathédrale Sainte Marie d'Auch - Gers - 32000
Le massif du Vignemale - Hautes-Pyrénées
Confluent de Mont de Marsan - Landes - 40000
Bassin d'Arcachon et la dune du Pilat - Gironde - 33115
Château mairie de Fumel - Lot-et-Garonne - 47500
Château de Beaumont - Gers - 32100
Bidart dans le Golfe de Gascogne - Océan Atlantique - Pyrénées-Atlantiques - 64210
Vieille église de Cocumont - Landes - 47250
Château de Lagarde - Ariège - 09500
Fontaine Duvignau à Tarbes - Hautes-Pyrénées- 65000
Avec sa vieille ville majestueuse et étonnamment bien conservée, ses kilomètres de plages, et ses infrastructures touristiques exemplaires, l'île de Rhodes est une destination majeure en Grèce. Son climat particulièrement doux et sec, sa grande variété de paysages et la large palette d'activités disponibles constituent également les ingrédients du succès touristique qu'elle connait depuis plusieurs dizaines d'années. Une splendide enceinte médiévale, percée de sept portes majestueuses, entoure la vieille ville de Rhodes.
La perle de Rhodes est sans conteste le village de Lindos. Dominé par l'acropole, il étale ses nombreuses ruelles éblouissantes de blancheur et ses terrasses en amphithéâtre autour d'un rocher abrupt, dominant une crique aux eaux turquoise.
Top 25 Des Plus Beaux Villages Perchés De France... Par Stéphanie Pia & Chloé Madec
Bâtis à l'origine comme des forteresses, de nombreux villages perchés ont su préserver leur charme d’antan et sont désormais de véritables bijoux architecturaux. Découverte de quelques-uns de ces trésors aux quatre coins de la France.
Cordes sur Ciel (Tarn) : un village au-dessus des nuages. La magie se poursuit dans les rues de ce village perché puisqu’il y règne une ambiance de légende médiévale. Ainsi, des sculptures de dragons, de monstres et de personnages grimaçants peuplent les façades des riches bâtisses bourgeoises d’autrefois. Cordes sur Ciel possède plusieurs musées dont un unique en France : le musée des arts du sucre et du chocolat. A la fin de la visite, arrêtez-vous à la boutique du musée . Elle propose, en effet, la spécialité locale : les croquants de Cordes, un délicieux biscuit à base de sucre et d'amandes. En automne et au printemps, un anneau de nuages entoure le puech, la colline en occitan, donnant l’impression que ce village flotte dans le ciel. C’est ce phénomène magique qui inspira son nom de Cordes sur Ciel. Roussillon (Vaucluse)...Le sentier des ocresLa vérité, comme vous pouvez vous en douter, est tout autre. Les couleurs flamboyantes de Roussillon viennent du gisement d’ocres de la région. C’est un spectacle coloré qui vous attend à Roussillon. Car tout au long de la journée, la teinte rouge des maisons s’habille de différentes nuances qui transforment, peu à peu, ce magnifique village. Vous pourrez prolonger votre promenade en empruntant un des deux parcours du sentier des ocres. C'est le nom qu'on a donné au gisement d'ocres qui n'est, désormais, plus exploité. Ce site est incontournable tant le décor ressemble à celui des montagnes rocheuses du Colorado. La légende raconte que les murs de Roussillon sont teintés de rouge car ils sont imprégnés du sang de Dame Sermonde . Cette dernière, après avoir appris qu’elle avait mangé le cœur de son amant, se serait jetée, de désespoir, du haut des fortifications du village. Najac (Aveyron)...Une rue unique au coeur de la forêt En plein cœur de la forêt, le village de Najac est constitué d’une rue principale épousant parfaitement une arête rocheuse. Tout en vous promenant, vous pourrez admirer les différents monuments de la commune, comme la fontaine monolithe datant du XIV ème siècle ou les maisons très anciennes du village. La forteresse du village, encore bien préservée, se dresse à l’extrémité de l’artère principale. Cette dernière est un parfait exemple de défense militaire médièvale. Sa visite est impressionnante d'une part parce que ses meurtrières sont les plus hautes du monde mais aussi parce que son donjon domine la vallée de l'Aveyron à 200 mètres de hauteur ! Pour les plus gourmands, ne manquez pas la spécialité locale...la Fouace, une brioche en forme de couronne. La construction de ce village ne correspond pas au modèle de construction traditionnelle des villages perchés : des maisons en spirale et un château en hauteur. Sainte-Agnès (Alpes-Maritimes)...Le balcon de la Côte d'AzurDu haut de ses 8OO mètres d’altitude, Sainte Agnès est le village littoral le plus haut d’Europe. C’est pour cette raison qu’on le surnomme « le balcon de la Côte d’Azur ». Le panorama depuis ce charmant village est magnifique puisque vous pouvez y admirer la mer Méditerranée, à perte de vue. Pour compléter ce somptueux tableau, vous pourrez apprécier, depuis Sainte Agnès, la vue sur la ville de Menton et le paysage naissant des montagnes des Alpes. Pendant des siècles, que ce soit au Moyen Âge ou pendant la deuxième guerre mondiale, le village a toujours servi de poste de défense. A visiter : Ainsi, un fort avait été construit sur la ligne Maginot, à Sainte-Agnès au début du XXème siècle. Une véritable ville souterraine de la taille d'un immeuble de quatre étages qui est désormais, accessible au public. Vue sur la mer depuis le village... Rocamadour (Lot)...La cité sacréeAu sommet du village, sur l'Esplanade du Sanctuaire, sont réunies les différentes bâtisses religieuses dont la crypte des reliques du Saint Amadour ou la chapelle de la vierge noire. C'est à cet endroit qu'on peut voir Durandal, l'épée de Roland de Roncevaux. En effet, à sa mort, ce dernier aurait lancé son arme qui aurait parcouru, d'après la légende, plusieurs centaines de kilomètres avant de se planter dans la roche de Notre Dame de Rocamadour ! Le seul moyen pour accéder à l'Esplanade du Sanctuaire est d’emprunter un grand escalier de pierre de 216 marches. Pour la petite histoire, les pèlerins devaient gravir les marches de cet escalier, à genoux ! Poursuivez la visite de Rocamadour qui a été candidat à l'élection du Village Préféré des Français 2016. Rocamadour est une cité sacrée accrochée à une falaise. C’est une étape du pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle. Peillon (Alpes-Maritimes )...Le village suspendu dans le videOutre cette vue magnifique, Peillon ne manque pas de charme. L’architecture médiévale est parfaitement intacte. Les ruelles sont pourvues de portes voûtées et la plupart des maisons sont accessibles par des escaliers de pierres. Pour découvrir Peillon, la commune vend des livrets accessibles à tous, petits et grands, sous forme d'enquête. Tout au long de vos investigations, vous découvrirez l'histoire du village. Le panorama depuis Peillon est à couper le souffle. Comme le village est construit à flanc de falaise, i il est comme suspendu dans le vide. Baux de Provence (Bouches-du-Rhône)...Le musée à ciel ouvertLes Baux de Provence sont au cœur du massif des Alpilles. Ses maisons sont, de ce fait, sculptées dans la roche. Le village de Baux de Provence tient son nom de la pierre qui a servi à le construire... On la nomme la pierre de Baux. Cette pierre était extraite dans les carrières de la commune qui sont désormais devenues un site de spectacles audiovisuels : les Carrières de Lumières. Si vous êtes passionnés d’histoire, vous serez charmés par ce musée à cielouvert puisque la commune compte 22 monuments historiques. En empruntant les rues pavées qui mènent au sommet du village, vous serez conquis par le panorama qui a inspiré les peintres Paul Cézanne ou Vincent Van Gogh. Poursuivez la visite du village des Baux-de-Provence au cœur des Alpilles. C’est à la suite d’une visite de la Reine d’Angleterre, que le village des Baux de Provence n’a plus cessé d’attirer la foule. C’est le cinquième site le plus visité de France. Gordes (Vaucluse)...Le village souterrainDe tous temps, les peintres , tel que Marc Chagall, ont été inspirés par le blanc et le gris des pierres sèches de Gordes. Ce village est particulier car autrefois, il avait une vie souterraine. Les habitants vivaient dans leurs maisons, mais les activités artisanales et de commerce se développaient sous terre. Aujourd'hui, les souterrains sont ensevelis. Mais une partie a été dégagée sous le Palais de Saint-Firmin où on peut encore voir des moulins à huile, des citernes et autres traces de ce passé troglodyte. Poursuivez la visite de Gordes, merveille de Provence. Gordes est un exemple parfait de construction médiévale. Il a été édifié sur les hauteurs d’une falaise afin de protéger ses habitants. Les maisons sont bâties en spirale. Et sur les hauteurs se dresse son château encore intact. Mirmande (Drôme)...Entre arts et natureVous serez surpris par tous les détails architecturaux de ce village : fenêtres Renaissance, chenaux en tuile… En errant dans les rues pavées, vous pourrez admirer les petits jardinets en pierre des maisons où poussent des fleurs ou des aromates. Car à Mirmande, on aime beaucoup la nature. Le slogan du village est " entre arts et nature". Toutes ces rues vous mèneront vers le sommet du village, où une église du XIIème siècle, l'église de Sainte-Foy, accueille, désormais, des expositions et des concerts. De là, vous aurez une vue splendide sur le village et la vallée environnante. Au début du XXème siècle, le peintre André Lhote créa une université depeinture afin d’attirer d’autres artistes et sauver Mirmande de la ruine. Ainsi, grâce à son intervention, Mirmande renaît au fil du temps.
Cliousclat (Drôme)...Le village de potiersMais le charme de ce petit village est aussi ailleurs. C’est l’accueil chaleureux et authentique de ses habitants qui vous laissera un souvenir impérissable... Les restaurateurs, les galeries d’art… Sans oublier les potiers cliousclatiens qui perpétuent la tradition ancestrale du village. N'hésitez pas à pousser la porte de la poterie du village. À l'intérieur, vous y découvrirez les dernières créations fraîchement sorties du four et le petit musée qui retrace l'histoire de la poterie à Cliousclat. Cliousclat est ce qu’on appelle un village- crête : sa rue principale s’étend sur une crête. Vous serez certainement séduits par le décor typiquement provençal de Cliousclat.
En bonus...Pont-en-Royans (Isère)...Des maisons suspendues au-dessus de la rivièreAu XVIème siècle, le pont de Pont-en-Royans était un passage entre le Vercors et la vallée de L’Isère,. C’était une très belle opportunité pour le négoce du bois. Ne disposant pas de place, les habitants ont installé leurs habitations sur la roche au dessus de la rivière. N’hésitez pas à vous placer de l’autre côté de la rive, pour admirer ce spectacle saisissant. Les maisons suspendues sont colorées, entre l’ocre et le rose, étroites et très hautes : certaines pouvant atteindre jusqu’à onze niveaux. Ce village n’est qu’en partie perché. Quelques maisons ont la particularité d’être suspendues. Coaraze (Alpes Maritimes)...Un village ensoleilléCoaraze est un village médiéval de la Côte d’Azur perché sur une colline arborée de figuiers et d’oliviers qui apportent un côté chaleureux à cet environnement éminent. En effet, un arrière plan enneigé selon les saisons vient parfaire cette vue et vous procure une sensation délicieusement vertigineuse. Vous déambulerez dans des ruelles surplombées de maisons de pierres ou colorées. Entre montagne et flore luxuriante, la mer n’est jamais bien loin. Coaraze est classé parmi les plus beaux villages de France. Le soleil illumine le paysage montagneux en arrière plan des maisons aux façades colorées. Ce n'est pas pour rien qu'on le surnomme le village du soleil. Le Mont-Saint-Michel (Manche)...Petit îlot de NormandieSitué entre terre et mer, l’incontournable Mont-Saint-Michel est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco et considéré comme l’un des sites touristiques les plus visités de France. Ce petit îlot entouré de murailles datant de la guerre de cent ans confère un aspect médiéval au site. Un village atypique encerclé par des marécages et des sables mouvants que l’on atteint par une traversée au moyen d’une passerelle sur pilotis.
Le Mont-Saint-Michel, petit îlot majestueux dans le coucher de soleil. Ce petit village ne compte seulement qu'une quarantaine d'habitants. La Roquette-sur-Var (Alpes Maritimes) : entre montagne et merCe petit village à 380 m d’altitude surplombe d’un côté la mer, de l’autre des paysages montagneux. Vous pourrez admirer une magnifique vue d’ensemble de la vallée du Var. Le site a conservé son château datant du 16ème siècle. Malheureusement, vous ne pourrez qu’apprécier sa façade extérieure car les visites ne sont pas admises. Un petit village en plein milieu de la vallée du Var. Eze (Alpes Maritimes)...Un village aux allures exotiquesCité de bord de mer campée sur une falaise à 400 m d’altitude, Eze se situe entre Nice et Monaco. Franchissez la porte de ce village pittoresque, et surprenez-vous à profiter d’une végétation exotique, d’un cadre ensoleillé, d’un panorama somptueux ainsi que de ses ruelles médiévales avec les vestiges de son château où vous pourrez découvrir l’histoire de ce petit village de Provence. Vue imprenable sur le village d'Eze bordé par la Méditerranée. Corte (Haute-Corse)...Capitale historique de la CorsePar sa flore luxuriante, Corte offre de nombreuses activités sportives telles que la randonnée, le kayak en eaux vives, les baignades et balades en tout genre. Ses maisons en schiste, ses ruelles pavées et ses escaliers pentus offrent un cadre authentique au site. Aller visiter son nid d'aigle, une citadelle datant du 15ème siècle, aujourd'hui transformée en musée. Un cadre idéalement ensoleillé pour des vacances de rêve. Beynac-et-Cazenac (Dordogne)...Un village de caractèreConstruit en hauteur dans un environnement montagneux, Beynac-et-Cazenac domine le fleuve de la Dordogne. Ses maisons typiques aux toits recouverts de pierre, son château, ses portes fortifiées reconnaissent au lieu son allure imposante et de caractère. Poursuivez la visite de Beynac-et-Cazenac avec sa forteresse. Des habitations en bord de falaise. Il ne vaut mieux pas avoir le vertige pour y habiter. Tourrettes-sur-Loup (Alpes Maritimes)...La Cité des ViolettesCe petit village médiéval élevé sur un rocher hisse ses hautes maisons au cœur de sa cité. Son aspect caractéristique est la violette que l’on cultive depuis près d’un siècle. Allez-y au mois de mars, vous pourrez assister à la fête organisée en l'honneur de cette fameuse violette. Batailles de fleurs garanties pour votre plus grand plaisir. Petite cité moyenâgeuse en plein coeur de la nature. Castelnou (Languedoc-Rousillon)...Une architecture typique catalaneDans la région des Aspres, Castelnou est un petit village perché sur les collines avec son château et sa tour de gué qui dominent une magnifique vue panoramique. Vous pourrez admirer l’architecture rurale catalane grâce à ses maisons en pierres typiques et ses ruelles pavées. Celui-ci est classé parmi les plus beaux villages de France. Ce petit village culmine toute la vallée environnante grâce à sa tour de gué. Eus (Languedoc-Roussillon)...L’artisanat au cœur du villageEntièrement fortifié, on peut encore s’enthousiasmer devant les vestiges du château féodal. Eus est un petit endroit pittoresque où les plus fervents d’artisanat pourront apprécier le travail de ses villageois. Eus est considéré comme l’un des plus beaux villages de France. Un petit village qui a gardé son charme d'antan avec ses vestiges médiévaux. Gourdon (Alpes Maritimes)...Un village protégé par sa forteresseGourdon, aux allures pittoresques, est classé parmi les plus beaux villages de France grâce à sa forteresse médiévale. Cette cité est perchée à 760 m d’altitude au-dessus de la vallée du Loup et ainsi offre une magnifique vue panoramique sur le littoral méditerranéen. Du haut de son rocher, ce village perché domine un sublime panorama méditerranéen. Banon (Haute-Provence)...La cité de la lavandeC’est sans compter son climat ensoleillé, que Banon baigne dans des étendues de champs de lavande, ce qui lui confère son caractère du sud. Niveau gastronomie, les amoureux de fromages de chèvre seront heureux de découvrir leur renommée nationale pour la qualité de leurs mets et leur élaboration depuis des siècles. Allez-y au mois de mai, vous pourrez assister à la fête du fromage de Banon. Un paysage teinté de ses champs de lavande nous donne un avant-goût de vacances. Vénasque (Vaucluse)...Un panorama exotiqueSitué au sommet d’un rocher, ce village domine la vallée de la Nesque ainsi que la plaine de Carpentras. Franchissez ses remparts et allez découvrirson église et sa baptistère. N’oubliez pas d’admirez le panorama de ses vignes, cerisiers et amandiers. Poursuivez la visite de Vénasque en goûtant quelques cerises. Petite route sinueuse pour grimper jusqu'au village perché en passant par une flore luxuriante. Saint-Véran (Hautes-Alpes)...Un village vraiment perchéSaint-Véran, village bordé de montagnes, domine à 2042 mètres d’altitude. Appréciez de déambuler entre les chalets de bois et de pierre et admirez les éléments atypiques comme les fours à pain, les fontaines, les cadrans solaires qui vous dépayseront totalement ainsi que l’église du village, classé monument historique. Saint-Véran est considéré comme le plus haut village d'Europe et classé parmi les plus beaux de France. Saint-Véran a revêtu son beau manteau blanc. Cela donne tout de suite envie de chausser ses après-skis. Sancerre (Centre-Val de Loire)...Entre art et histoireSitué sur son amas rocheux de 312 mètres d’altitude, vous déambulerez au travers de la cité de Sancerre parmi ses habitations datant du 15ème siècle et ses galeries d’art. Grimpez la Tour des Fiefs, vestige du château féodal des Comtes de Sancerre, et admirez la vue d’ensemble de cette petite cité. Faîtes une pause afin de goûter aux vins de Sancerre, produits du terroir de France. Grâce à sa tour, le village garde un oeil sur ces vignobles. Les Gavottes - Bons produits (épiceries fines, marchés ...) - Voir la fiche
Cartouches d'Encre : Comment Les Fabricants Vous Arnaquent ! Vous avez une imprimante à la maison ? Alors, vous avez sûrement remarqué que les cartouches d'encre sont de plus en plus chères ! Vous êtes curieux de savoir comment les fabricants d'imprimantes justifient-ils cette hausse constante des prix ? Dans cet article, découvrez l'explication derrière les prix exorbitants des cartouches d'encre. Et en bonus : découvrez les 7 astuces pour réaliser des économies considérables sur vos cartouches. Pourquoi les cartouches d'encre coutent elles de plus en plus chères? De plus en plus de consommateurs l’ont remarqué : les cartouches pour imprimantes à jet d’encre se vident trop rapidement, extrêmement rapidement même. Pour l'instant, ce n'est pas vraiment un flash info. C’était déjà bien documenté : goutte pour goutte, l’encre des cartouches vous revient pluschère que du champagne millésimé. Rien que ça ! De moins en moins d'encre dans les cartouches Mais saviez-vous que la quantité d'encre des cartouches a réduit de manière spectaculaire ? Les cartouches que l’on vend aujourd’hui contiennent seulement une fraction de l'encre qu'on trouvait dans des cartouches équivalentes vendues il y a 10 ans. De nos jours, il est possible d'acheter des cartouches avec des quantités infimes d’encre. Exemple concret : Une cartouche couleur de marque Epson T032 (mise en vente en 2002) a exactement la même taille qu’une cartouche couleur Epson T089 (mise en vente en 2008). Mais avec une différence importante :le modèle T032 contient 16 ml d’encre, alors que le T089 n’en contient que 3,5 ml ! Voici comment les éponges des cartouches ont réduit en taille. Si vous utilisez des cartouches d’encre HP, c’est le même phénomène. Il ya 10 ans, les cartouches HP les plus vendues contenaient 42 ml d’encre —et elles coûtaient dans les 25 €. Aujourd’hui, elles en contiennent seulement 5 ml, mais elles se vendent quand même à 17 € ! Pour saisir l’ampleur de l’arnaque, il suffit d’ouvrir une cartouche HP. L’encre de ces cartouches est contenue dans une éponge. Au fil des ans,on constate que la taille de ces éponges a progressivement diminué. Auparavant, l’éponge occupait la plus grande partie de la cartouche. Et aujourd’hui, le reste de la cartouche est quasiment vide ! Les cartouches à couleurs. De toutes les cartouches, sachez que les plus "mauvais marché" sont les cartouches à couleur. Tous les grands fabricants d’encre (Canon, HP, Epson) proposent des cartouches à 3 couleurs (cyan, magenta, et jaune). Et bien sûr, la plupart du temps, il y a moins de 2 ml par couleur. Voici pourquoi il faut éviter ce type de cartouche : lorsque seulement 1 des 3 couleurs se vide, la cartouche cesse tout simplement de fonctionner ! Même si les 2 autres couleurs ne sont pas encore vides ! Du coup, privilégiez les imprimantes qui nécessitent une cartouche différente par couleur. Les cartouches « XL » Mais ce n'est pas tout : les fabricants ont osé aller encore plus loin. La diminution progressive de la quantité d’encre leur a permis de proposer des cartouches « XL » (extra large). Sauf que ces « nouvelles »cartouches ont exactement la même taille que les cartouches normales ! Par exemple, HP commercialise le modèle HP300, qui contient 5 ml d’encrenoir et qui se vend à 17 €. HP propose aussi le HP300XL, qui contient plus d’encre — à peu près 16 ml — et se vend entre 27 € et 34 €. Mais : ces deux produits sont presque de taille identique ! En plus, certains formats « XL » des grands fabricants contiennent moins d’encre que des produits équivalents vendus il y a quelques années. Les cartouches de format « XL » sont carrément une insulte au consommateur. En gros, des entreprises comme HP nous vendent des cartouches qui ne sont qu’à moitié remplies. Puis, ils la remplissent complètement et collent une étiquette « XL » sur la MÊME cartouche : et voilà, ils peuvent nous la vendre encore plus cher ! C'est un scandale, surtout lorsque l'on considère que la différence en termes de coût de production se compte en centimes. C’est une véritable arnaque ! Leur stratégie est de progressivement pousser le consommateur à acheter des cartouches d’encre de manière fréquente. Les grands fabricants d'imprimantes sont malins : - ils ont réduit la quantité d’encre des cartouches, - ils ont chiffré les puces électroniques des cartouches, - et ils emploient des techniques de marketing agressives pour nous décourager d’avoir recours au rechargement de cartouche. La défense des fabricants d’imprimantes Comment les fabricants peuvent-ils justifier ces stratégies aberrantes ? Et bien, les grands fabricants d’imprimantes contestent qu’ils mettent de la pression sur les consommateurs pour augmenter leurs profits. Voici un communiqué officiel de HP : « Analyser des critères tels que lepoint de vente, les coûts initiaux des cartouches et des imprimantes, ou les ml d’encre dans une cartouche n’est pas une manière précise de mesurer le vrai coût d’une impression. » HP soutient que les consommateurs doivent se référer au coût par page imprimée. En ce qui concerne les modèles Officejet Pro, le fabricant maintient que le coût par page n’a pas changé depuis 2009. L’argument d’Epson est que les buses des cartouches sont plus efficaces qu’il y a 10 ans — grâce aux avancées technologiques dans le domaine desimprimantes. « Les cartouches sont capables de produire une quantité supérieure de pages avec une quantité équivalente d’encre » précise Epson dans un communiqué. Des 3 grands fabricants, c’est Canon qui a été le moins agressif dans sa politique de diminution d’encre. Mais cela ne veut pas dire que les quantités n’ont pas diminué. Une cartouche mise en vente il y a peu de temps, la PGI-525BK, contient 19 ml d’encre. C’est peu quand on la compare à une cartouche similaire de 2005, la BCI-3BK, qui contenait 26 ml d’encre. De plus, la marque a aussi commencé à produire des cartouches en format « XL ». Des imprimantes de moins en moins chères. Ces dernières années, il y a une véritable guerre entre les fabricants d’imprimantes et les « rechargeurs » d'encre. Ces entreprises rechargentles cartouches d’encre à un prix raisonnable. Elles ont réussi à grignoter une part conséquente du marché des cartouches. Quelle a été la réponse des grands fabricants ? Produire des imprimantesà bas coûts. Puis, récupérer les pertes sur les imprimantes par la vente de cartouches avec des quantités d’encre de plus en plus petites —que les consommateurs doivent remplacer plus souvent. Résultat : il y a 15 ans, une imprimante coûtait jusqu’à 200 €, alors qu’aujourd’hui on peut en obtenir une pour seulement 40 €. Ces imprimantes sont souvent vendues avec des « cartouches de démarrage »qui contiennent de minuscules quantités d’encre. Résultat : les consommateurs doivent aller acheter une recharge presque immédiatement après avoir acquis une imprimante ! Certains fabricants ont poussé le vice encore plus loin. Ils ont inclus des technologies dans les imprimantes qui rendent les cartouches à bas coût incompatibles avec l'appareil. La logique est simple : si on achèteune imprimante HP, on est obligé d’acheter des cartouches HP — aussi chères soient-elles. Notre conclusion : c’est de l’arnaque ! Les détracteurs reconnaissent qu’il y a eu des avancées dans le domaine des imprimantes particulièrement avec les buses, qui sont plus efficaces.Mais en aucun cas ces avancées ne peuvent justifier une diminution par 5 de la quantité d’encre des cartouches! Le coût de fabrication d’une cartouche d’encre est au plus bas depuis son lancement. La plupart des cartouches se produisent pour en-dessous de 1 €. Les bénéfices sont énormes, voire odieux ! Conclusion : le consommateur paie un prix bien plus conséquent pour une cartouche et, ce, pour des petites quantités d’encre. Nos solutions : comment réaliser des économies?
Ne désespérez pas totalement ! Heureusement, il existe des p'tits trucs pour contourner ces prix démesurés. Voici 7 astuces que vous pouvez essayer dès maintenant : 1. Recharger vos cartouches chez un spécialiste Votre cartouche est vide ? Au lieu de la jeter, vous pouvez l'apporter chez un spécialiste qui peut la recharger à un prix raisonnable. Depuis les augmentations des prix des cartouches, on voit de plus en plus de ces magasins spécialisés en recharge. Le leader du marché est Cartridge World. Mais, prenez le temps de vous renseigner. Dans la plupart des villes, il existe des petits magasins qui proposent ce service. Vous voulez en savoir plus sur la recharge des cartouches d'encre ? Cliquez ici pour découvrir l'astuce. 2. Utiliser les cartouches d'encre jusqu'au bout Votre imprimante vous indique que la cartouche est vide. Il est temps de la remplacer... Peut-être pas ! Saviez-vous que dans la majorité des cas, vous pouvez continuer à utiliser la cartouche ? Cliquez ici pour découvrir l'astuce. 3. Utiliser le mode « brouillon » des imprimantes Un autre moyen d'économiser sur l'encre est de choisir le mode « brouillon » quand on imprime. La différence de qualité pour un usage quotidien est insignifiante mais vous économisez beaucoup d'encre. Découvrez nos conseils pour imprimer en mode « brouillon » en cliquant ici. 4. Imprimer en recto-verso Quand on souhaite imprimer plusieurs pages, une excellente astuce est d'imprimer en recto-verso. C'est à peine plus compliqué. En plus, on a écrit un article pour vous aider ! Vous pouvez le découvrir en cliquant ici. 5. Ne céder qu'à la nécessité Une autre règle de base est de n'imprimer qu'en cas de réelle nécessité,comme pour un billet électronique, par exemple. N'imprimez pas des documents non terminés (attendez qu'ils soient complètement finis), et n'imprimez pas des choses dont vous pourriez vous passer. 6. Modifier la mise en page Faites bien attention à la mise en page : elle peut vous permettre d'élargir la taille de votre texte, pour le faire tenir sur moins de pages par exemple. De plus, pour ceux qui impriment souvent sur Internet, vérifiez la mise en page avant, afin de ne pas imprimer de publicité inutile. Ainsi, vous imprimerez seulement le nécessaire — et vous économiserez sur l'encre. Pour imprimer facilement sans le superflu, vous pouvez utiliser une extension comme Printfriendly (dispo sur FireFox ou Chrome). 7. Utiliser le mode « noir et blanc » Une autre technique est de choisir dans votre traitement de texte une couleur d'écriture un peu plus claire. Choisissez le gris foncé plutôt que le noir.Ainsi, vous utiliserez moins d'encre. Enfin, essayez d'éviter d'imprimer des documents en couleur. Choisissez le « noir et blanc » par défaut, cela vous fera faire de bonnes économies. Voilà, vous en savez plus sur les prix exorbitants des cartouches — et comment les contourner:
Prenez la Nationale 7 avec nous pour découvrir cette route mythique aussi connue sous le nom de "route des vacances". En tout, 995 kilomètres répartis en cinq grandes étapes : de Paris à Sancerre, de Sancerre à Roanne, de Roanne à Valence, de Valence à Avignon, d'Avignon à Menton.
Vous traverserez nombre de villes et de villages, tous plus beaux les uns que les autres. Prenez votre temps, chacune de ces 5 étapes, regorge de lieux atypiques, de monuments historiques, de paysages magnifiques et de spécialités gastronomiques. Nationale 7, nous voilà !
Étape 1 : de Paris aux vignobles de Sancerre La première étape nous conduit jusqu'à Sancerre et ses vignobles. En chemin, nous passons par Barbizon , aussi connu sous le nom de "village des peintres", avant de nous arrêter au château de Fontainebleau. Plus loin, nous visitons le château de la Buissière, également appelé "château des pêcheurs" en raison de son musée de la pêche dissimulé en son coeur. Puis Briare et sa manufacture de mosaïques, où nous explorons le musée des Mosaïques et des Émaux au sein de l'usine. Départ : Porte d'Italie
Étape 2 : de Sancerre à Roanne en passant par Nevers Quittons le vignoble de Sancerrois direction Nevers, avec un détour par le village de la Charité-sur-Loire pour visiter l'église Notre-Dame,inscrite par l'Unesco au patrimoine mondial de l'humanité. Le négus nous appelle à Nevers et c'est à la maison Grelier & Lyron que nous dégustons cette délicieuse confiserie.
Puis, cap sur Moulins , ses monuments et son Grand Café avant de nous arrêter à Saint-Loup au petit musée de la N7. Gagnons ensuite Lapalisse, son château fort et sonmusée d'Art brut. Avant de rejoindre Roanne, qui marque le fin de cette deuxième étape , offrons-nous une halte à Saint-Martin-d'Estréaux. Un arrêt s'impose au musée de la N7
Étape 3 : de Roanne chez les Troisgros à Valence
Incontournable de cette troisième étape , déjeuner à la Maison Troisgros à Roanne, restaurant étoilé par le guide Michelin. Puis direction Saint-Étienne, qui, malgré ce que l'on peut endire, n'est pas grise mais verte. Déambulons donc dans le jardin du musée d'Art et crapahutons sur la montée du Crêt du Roch.
Petite pause au col de la République, où nous nous arrêtons à l'auberge du Grand-Bois. À Tain l'Hermitage, Valrhona et sa cité du chocolat nous fait les yeux doux. Avant d'atteindre Valence, pause gourmande au restaurant étoilé de Michel Chabran à Pont-de-l'Isère. Ça monte au col de la République !
Étape 4 : de Valence au palais des Papes d'Avignon Après Valence et son port de plaisance, nous arrivons à Montélimar, la ville du nougat. Visite du palais des Bonbons et du Nougat avant de conclure cette escapade à la maison Soubeyran pour nous approvisionner en sucreries. À Piolenc, de nouveau un musée dédié à la Nationale 7. Prochaine escale à Orange, où le théâtre antique accueille les Chorégies, célèbre festival d'opéra. Avignon se profile enfin, c'est ici que s'achève la quatrième étape . Pour cette occasion, nous faisons un tour au palais des Papes. Tranquille sur la route, nous profitons du paysage
Étape 5 : d'Avignon à Menton, la fin d'une aventure Ultime étape de notre road-trip, nous partons d'Avignon et prenons la direction d'Aix-en-Provence. N'oublions pas de faire un petit tour à l'ancien palais de l'Archevêché, au Grand Théâtre de Provence, au château du Tholonet, au musée Granet... Enfin la côte, Fréjus et ses plages.
Premier bain de soleil, avant de faire un petit tour par les arènes et le théâtre antique. Rapide escale à Cannes, puis nous gagnons e Nice et ses cathédrales Sainte-Réparate et Sainte-Nicolas, le palais Lascaris, le château Valrose, l'ancien palais de la princesse Kotchoubeydevenu le musée des Beaux-arts...
Escale à Èze, un des plus beaux villages perchés de France, pour recharger nos batteries et reprendre la route vers Monaco pour découvrir son jardin exotique et faire un petit détour par le célèbre casino, le Monte-Carlo. Notre voyage se termine par la ville de Menton , la visite de la basilique Saint-Michel-Archange, le monastère de l'Annonciade et le palais Carnolès. À toute allure, nous arrivons enfin.
On connaît les bienfaits de la marche pour entretenir sa forme physique, moins ceux sur la santé psychique. Les dix bénéfices qu’il y aà marcher pour se sentir mieux dans sa tête.
Se sentir mieux après une bonne marche est un sentiment largement partagé par ceux qui en ont fait l’expérience. Lors de cette activité, l’interaction corps/esprit est en effet unique. Marcher 30 à 40 minutes plusieurs fois par semaine permet de décompresser, de s’apaiser quand on est tendu, mais aussi d’y voir plus clair ou encore de trouver des solutions. Bref, c’est à la fois un extraordinaire booster cognitif et un formidable tranquillisant naturel. Cette expérience empirique des bienfaits psychiques de la marche est confirmée régulièrement par les chercheurs.
« Les travaux de l’Inserm, dit le Dr Guillaume Schneider-Maunoury, ont scientifiquement établi les bienfaits de la marche pour prévenir les troubles psychiques sur le très large spectre qui va du stress de la viemoderne jusqu’à la dépression. La marche libère les endorphines qui participent à notre sensation de mieux-être, nous permet de mieux nous situer dans notre vie et de renforcer notre estime de soi. »
Marcher Pour Dénouer Les Tensions. La respiration ample et régulière que la marche implique favorise une meilleure oxygénation du corps et du cerveau, ce qui participe à dénouerles tensions accumulées.
« C’est un effet mécanique, souligne Pierre-Yves Brissiaud, psychothérapeute. La verticalité qu’impose la marche entraîne un relâchement des trapèzes, du haut du dos, des mâchoires, jusqu’aux dents qui se desserrent... La marche oblige à abandonner ces tensions hautes, dos, nuque, épaules, qui s’installent quand nous sommes stressés. Ce relâchement physique induit immédiatement un relâchement psychique. »
Marcher Pour Découvrir. La marche favorise notre capacité d’attention et fait émerger notre créativité. « Quand on marche en pleine campagne par exemple, rappelle Valérie Germain, psychologue clinicienne, on s’éloigne de la sursollicitation du quotidien. Notre attention en est à la fois plus large et moins dispersée. Le seul mouvement de la marche renforce notreconcentration. Nos réflexions aussi changent de nature. Elles sont plus existentielles. » En effet, la symbolique de ce mouvement est très forte. « En marchant, précise Pierre-Yves Brissiaud, on se retrouve relié au ciel et à la terre, les pieds reprennent racine et la tête s’évade vers le haut. Il y a une dimension de quête spirituelle dans la marche. » Et l’occasion de découvrir en nous des ressources insoupçonnées, nos résistances habituelles baissent la garde, les associations d’idées se font plus facilement aidées par ce qui se passe sous nos yeux. Marcher Pour JubilerC’est la cerise sur le gâteau. Il y a un très vif plaisir à profiter de l’énergie, du bonheur, que nous renvoient la douceur de l’air, la clarté d’un ciel, la force d’un vent, un grand ravissement à contempler la beauté qui nous entoure. La nature est un puissant et joyeux thérapeute. Marcher Pour MéditerMéditer, ce n’est pas seulement faire le vide, c’est aussi réfléchir autrement.
« La marche est une médiation en mouvement, insiste Pierre-Yves Brissiaud. Par la rupture avec notre quotidien, par la régularité de ce mouvement répétitif, un pied devant l’autre, et par la respiration qu’elle instaure, elle nous fait entrer en méditation plus facilement. »
On peut alors décider de se focaliser sur son ressenti corporel. Par exemple, on peut entamer une marche en faisant attention à relâcher ses épaules et en observant ce qui se passe en nous. Ou bien en décidant d’être plus attentif à ce que l’on entend de l’oreille droite, puis de l’oreille gauche, et enfin des deux. Ensuite, il n’y a plus qu’à laisser libre cours à ce qui vient à l’esprit. Marcher Pour Positiver. Marcher permet de positiver parce que c’est une activité toute simple et libératrice. Aucune compétence n’est nécessaire, aucun prérequis n’est exigé, pas besoin d’être beau, jeune, riche ou fort ! On sait tous marcher. Mieux, on est tout de suite bon. On peut démarrer et en tirer plaisir immédiatement. On enclenche ainsi une spirale positivedont l’un des atouts est de nous aider à sortir de nos ruminations et pensées négatives. « La marche met en mouvement notre corps, précise Valérie Germain, et cette nouvelle réalité physiologique a une incidence sur notre réalité psychique... Elle nous oblige à sortir de notre fonctionnement en boucle. » On adopte de fait un nouvel angle de vue, on échappe à une vision sans issue, on abandonne ces pensées qui tournoyaient sans fin en nous. Un effet visualisé dans le cerveau par l’imagerie médicale. Marcher Pour Prendre De La Distance. Quand on se sent coincé, sans solution, marcher nourrit la réflexion, « en nous plaçant dans un état de concentration qui favorise un retour vers l’essentiel, observe Valérie Germain. Ce mouvement se fait presque naturellement, à notre “corps défendant”. On se remet face à soi-même dans une vision plus globale au lieu de se focaliser sur des détails, on reformule ce qui nous obsède. » En intégrant une réalité nouvelle, un autre chemin, on prend du recul tout simplement. On ne subit plus, on se place en tant qu’acteur. Marcher Pour Rencontrer De Nouvelles Personnes . La marche est aussi un puissant facteur de convivialité. C’est un exercice qui fait sortir de l’isolement, y comprislorsqu’on marche seul. La rencontre et la reconnaissance par ceux que nous croisons se trouvent toujours à un pas devant soi.
« Quand on n’a pas le moral, constate Valérie Germain, on perd l’envie d’aller vers les autres. On doute de sa valeur, on manque de confiance en soi. Or, marcher dans un endroit qui nous plaît aide à restaurer cette confiance. On se sent de la même famille que ceux qui nous entourent. Les marcheurs se saluent, un regard peut suffire, et partagent des valeurs qui les unissent. »
Marcher Pour Réveiller Ses Sens. En marchant, nos cinq sens sont mis en éveil. « Presque automatiquement, ils se synchronisent, constate Pierre-Yves Brissiaud. On sent l’odeur dela forêt, on écoute le chant des oiseaux, on ressent le vent ou la chaleur du soleil, on observe le paysage, on goûte la pluie... » Cette stimulation sensorielle ouvre la palette des émotions, nous permettant de mieux ressentir ce qui vient à nous. Marcher Pour Se Recentrer. Marcher permet de remettre en ordre ce que l’on a entendu, vécu, réalisé. C’est l’occasion de trier et de réorganiser les multiples informations et sensations perçues dans la journée. « C’est un exercice d’intériorisation quand on décide de s’y livrer en pleine conscience, dit Pierre-Yves Brissiaud. On peut se demander, “Pourquoi jeme mets en marche ? Est-ce pour faire le vide ? Tout oublier ? Ou bien me rappeler ?” Marcher, c’est alors revenir à soi, recréer une intimité avec soi. » Marcher Pour Se Retrouver. Mais la marche, seul, dans le silence de ses pensées, c’est certainement d’abord et avant tout l’occasion d’une rencontre avec soi-même, d’un dialogue intérieur. L’harmonie entre corps et tête dans laquelle le mouvement nous installe, nous restaure dans notre complétude. « Nous sommes dans une société de l’apparence, souligne Pierre-Yves Brissiaud. C’est notre extériorité que nous travaillons le plus... “Je suis untel, je fais ceci dans la vie, je possède telle chose...” Or, l’être extérieur est sous influence permanente de son environnement tandis que l’être intérieur est plus authentique, plus juste, mais aussi plus silencieux. Marcher nous permet de le faire émerger, de lui laisser sa place et d’engager un dialogue entre cet être extérieur et notre être intérieur. »
Un Loft Sous Les Toits De Paris Par Sandrine Echivard Transformer l’ancien hôtel particulier où vécut la meneuse de revue Joséphine Baker en un duplex-loft bioclimatique... C’est le challenge que se sont lancé l’architecte François Pélegrin et son épouse Evelyne quand ils ont découvert ce lieu de rêve. Ils ont maintenant eux aussi deux amours, leur loft et Paris.
Dans cet élégant duplex en noir et blanc, l’espace du bas accueille les pièces à vivre : le salon circulaire invite à la convivialité ; le coin salle à manger met en valeur une table dessinée par François Pélegrin et réalisée sur mesure par un artisan ; et la cuisine Mobili tout en rondeurs joue l’accord parfait. Enfin, planté au centre de la pièce, l’escalier en colimaçon tient le haut de l’affiche et capte toutes les attentions.
François Pélegrin a troqué l’ancien garde-corps de la mezzanine pour une verrière fabriquée sur mesure, permettant une meilleure isolation acoustique, thermique et olfactive.
Déjà très utilisée au rez-de-chaussée, l’idée d’un espace en libre circulation se poursuit sur la mezzanine, avec cette enfilade de pièces non cloisonnées.
Les meubles en bois blond confèrent à la chambre une ambiance plus nature. Dans le fond de la pièce, le dressing habillé de rideaux évoquant Paris, d’une psyché dorée et d’un valet évoque l’ancienne habitante des lieux : la meneuse de revue Joséphine Baker.
Entre la chambre et le dressing, se cache un cabinet de douche très fonctionnel.
Du haut de l’escalier, la vue sur le salon circulaire est tout simplement imprenable. L’aménagement décloisonné offre une vue panoramique sur cette pièce en forme de dôme. Ici, la géométrie se dessine en noir et blanc et confère au lieu un esprit très graphique.
Mur de brique et toit d’ardoise se dressent face à la terrasse aménagée de 50?m2. Un espace idéal pour convier des amis à un apéritif pour admirer la vue sur Paris. C’est en septembre 2010 que François Pélegrin, l’architecte aux principes bioclimatiques, et sa femme Évelyne achètent cet ancien hôtel particulier du 20e arrondissement de Paris, où vécut Josephine Baker. Leur intention ? En faire un bâtiment basse consommation (BBC). Mais l’isolation ne peut se faire que de l’intérieur, la façade étant classée par la Ville de Paris.
Un projet ambitieux et parsemé de contraintes. François Pélegrin y installe son bureau d’études et aménage avec sa famille au-dessus. Le système d’isolation choisi est performant et permet de conserver la belle hauteur sous combles ainsi qu’un grand volume. L’architecte intègre une VMC double flux, une pompe à chaleur, un plafond rayonnant et un plancher chauffant. La pureté des lignes et l’élégance des matériaux, comme le sol en chêne, soulignent la structuredu lieu. Le choix d’un intérieur en noir et blanc s’impose. Formalisé par cette charte graphique, le lieu en a été sublimé... «?Nous ne voulions pas mettre en valeur une chose plus qu’une autre, l’architecture se suffisant à elle-même. Seul l’escalier repeint en noirtrônant au milieu du salon se détache du reste.?»
Célèbres dans le monde entier pour leur vin rosé, les vignobles varois font partie intégrante du patrimoine local. Parmi les nombreux châteaux et domaines du département, en voici 5 à ne pas rater !
Côtes de Provence sur le terroir de La Londe les Maures.
Les vignes sont omniprésentes dans le paysage varois. Au milieu des pins, des oliviers, des champs de lavande et parfois, à seulement quelques mètres de la Méditerranée, on peut dire que les vignobles varois ont la belle vie. Logique, le rosé de la région est une star internationale dont le succès est en pleine expansion !
Pour notre plus grand plaisir, les coulisses de certains de ces domaines et châteaux du Var ouvrent leur porte et leur cave au public. Au programme : dégustation, visite guidée, exposition d'art, activités ludiques...
Vignes de Coteaux Varois en Provence.
5 vignobles à ne pas rater !
La sélection a été faite avec le concours du magazine Régal .
Le château Roubine
Situé entre Lorgues et Draguignan, le Chateau Roubine est l’un des plus anciens vignobles de France, historiquement connu depuis le XIVe , quand l’Ordre des Templiers le céda à l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
En 1953, il obtient le titre de « Cru Classé ». Le vignoble se caractérise par un drainage naturel (« roubine » signifie « ruisseau »
en provençal) et par un sol argilo-calcaire.
Pour venir visiter le domaine, rien de tel que de passer la nuit auMas des Candeliers , qui se dresse au milieu des vignes. À la fois gîte rural et table d’hôte, le Mas offre une sélection d’activités liées à l’œnotourisme, à la gastronomie et à la découverte du pays provençal.
Le Château Sainte Roseline
Le Chateau Sainte Roseline propose tout au long de l’année des visites guidées des caves, de la chapelle et du Cloître (pour les groupes), et bien sûr, des dégustation de vins du domaine. 30 000 visiteurs se pressent chaque année à la découverte du domaine.
C'est un vignoble en A.O.P, Côte de Provence « cru classé » depuis 1955. Le domaine produit 50% de rosés, 35% de rouges et 15% de blancs pour un total d'environ 400 000 bouteilles par an . Le vin du domaine est caractérisé par des couleurs pâles et pures. Les raisins sont vendangés de nuit, de fin août à septembre, pour éviter toute oxydation et prise de couleur.
L'art contemporain Chaque année, depuis quinze ans, le Château accueille des artistes contemporains pendant l’été. Des œuvres d’art et sculptures sont installées dans les vignes, dans les jardins ou encore dans le caveau du domaine.
En 2015, c’est l’artiste Nicolas Sanhes, qui est venu installer ses gigantesques sculptures dans le domaine du château.
Le domaine du Château de Berne
Tout comme le château Sainte Roseline, le château de Berne est très actif en œnotourisme et proposent des évènements tout au long
de l'année. Les nuits fraîches du Haut Var assurent une maturation lente des raisins, les rosés arrivent à maturité plus tardivement que sur le littoral. Ce sont des vins structurés avec de la tenue qui conviennent bien aux accords mets & vins de la cuisine
contemporaine.
Le Château de Pampelonne
Le château de Pampelonne est l’un des grands noms du vignoble tropézien. À Ramatuelle, à quelques pas de l’une des plus célèbres plages du monde, c'est une propriété familiale de 50 ha située sur un terroir sableux face à la mersur la baie de Pampelonne.
Le rosé se caractérise par une robe rose clair aux reflets bleutés. Une belle longueur en bouche, un vin rond, velouté et charnu aux notes de fruits rouges.
Le Domaine de l’île – Porquerolles
S'il est un emplacement encore plus extraordinaire que les autres, c'est bien celui du Domaine de l'Île. Au cœur de l'une des îles d'Or,
l'insularité du vignoble, l'air salin et près de 300 jours d'ensoleillement par an, donne au vin de ce domaine ses caractères
minéraux, puissant, iodé et harmonieux à la fois.
Quinze ans après l'attentat qui a fait 2 753 morts, une exposition ouvre ses portes, le 12 septembre, au mémorial de New York.
http://www.francetvinfo.fr/monde/usa/video-etats-unis-treize-artistes-donnent-leur-vision-du-11-septembre_1817941.html#xtor=EPR-2-
LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
L'art pour se souvenir. A l'occasion du quinzième anniversaire du 11-Septembre, le musée dédié aux attentats à New York a fait entrer l'art dans ses murs, pour raconter autrement le souvenir de cette journée. Une exposition, "Rendering the Unthinkable", "Traduire l'impensable", débute le 12 septembre, au lendemain de la date anniversaire, avec treize œuvres d'artistes locaux reconnus, présentant
peintures, vidéos ainsi qu'une sculpture. Tous ont en commun d'avoir vécu, chacun à leur façon, les attentats.
Pas de représentations violentesDans les galeries, pas de toiles violentes ou de représentations douloureuses. L'art a fait son chemin dans les souvenirs, a apaisé la souffrance et apprivoisé l'histoire, désormais intégrée dans l'ADN new-yorkais.
Certains, comme Ejay Weiss, ont utilisé des cendres de Ground Zero pour les incorporer à quatre peintures à l'acrylique, qui subliment le chaos, avec en leur centre des carrés de ciel bleu : celui dont se souviennent encore les New-yorkais le matin où se sont
écroulées les tours jumelles, faisant 2 753 morts.
Christopher Saucedo avait, lui, deux frères pompiers. L'un d'eux a disparu à jamaisdans l'effondrement des tours. Sculpteur, il avait l'habitude de travailler avec de l'acier et autres métaux. Mais pas question pour lui,après le 11-Septembre, de travailler avec les mêmes matériaux que ceux des carcasses suppliciées du World Trade Center. Il a pressé du lin blanc sur des rectangles de papier mâché bleu, et de là sont nées des compositions éthérées, presque réconfortantes, où semble flotter le World Trade Center.
Non ? C’est normal ! Le dernier train de bois est arrivé à Paris en 1877 !
Mais vous pourriez bien en apercevoir un cet été sur les bords de Seine.
Découvrir l’histoire du train de bois, c’est replonger dans trois siècles d’histoire de Paris et du Morvan.
Tout commence au XVIe siècle, sous le règne d’Henri IV. Le bois des forêts
autour de Paris s’épuise et le domaine royal reste réservé aux chasses
de la cour. La pénurie guette la capitale et menace ses habitants et son
développement. En effet, pas de bois, pas de four, pas de four, pas de
pain et pas de pain : c’est l’émeute…
On se tourne alors vers le Morvan et ses forêts pour fournir du bois aux
Parisiens. C’est toute une organisation qui se met en place dans la
région pour envoyer 700 000 stères de bois (un stère = 1m3) jusqu’à Paris ;
un système d’acheminement aussi inattendu qu’efficace : le flottage et le train de bois !
Le long parcours du bois débute en hiver. Les arbres sont abattus en
bûches de diamètre homogène : 18 pouces (45.72cm) maximum, puis elles
sont laissées au repos pour les vider de leur sève.
A la Toussaint suivante, elles sont vendues aux commerçants locaux
appelés « marchands forains ». Chacun de ces marchands fait apposer sa
marque à chaque extrémité des morceaux de bois, afin de reconnaître son
bien tout au long du parcours : c’est le martelage.
Commence ensuite le flottage du bois. Les bûches sont jetées à l’eau sur les
ruisseaux et les rivières du Morvan. Emportées par le courant, elles
sont dirigées par des ouvriers placés sur les berges, appelés « poules
d’eau », jusqu’à un des 22 ports où elles sont regroupées dans des
retenues d’eau.
Au printemps, ces étangs, naturels ou artificiels, gonflés par les pluies et la fonte
des neiges, sont ouverts, et l’eau achemine les bûches vers Clamecy et
quelques autres villes, dans l’Yonne, en quelques heures seulement.
Le bois est alors tiré, triqué (trié) et empilé selon les marques apposées
pendant le martelage. Cette tâche est généralement dévolue aux femmes
et aux enfants.
La fin de ces travaux, vers la mi-juillet, est célébrée par l’organisation
de joutes sur la rivière. Le vainqueur de ces joutes, appelé « Roi Sec »
devient le porte-parole des flotteurs pour l’année à venir. Une sorte de représentant
syndical de l’époque !
A Clamecy, c’est la vie de 500 familles qui est régie par cette activité du bois.
Après cinq mois de séchage, les bûches sont enfin assemblées en trains de
bois ! (Nous sommes déjà à plus de deux ans après la coupe du bois…).
Le train de bois est un radeau mesurant de 36 m de long, 4.50 m de large
et 40 à 60 cm d’épaisseur, d’un volume moyen de 100 stères de bois. Il
faut environ une semaine de travail de six ouvriers expérimentés pour en
assembler un. 3 500 trains de bois sont ainsi construits en une saison à
Clamecy ! Ajoutés au millier de trains assemblés dans d’autres ports,
c’est près d’un million de stères de bois qui sont agrégés, ce qui représente
90% du bois consommé annuellement à Paris.
Chaque train est dirigé par deux flotteurs, marins aguerris aux dangers de la
navigation. Près d’Auxerre, lorsque le cours de l’Yonne a grossi, les radeaux
sont couplés, formant des plateformes à la longueur impressionnante de 72 mètres !
Le voyage jusqu’au port de Bercy, à Paris, dure ensuite de 10 à 15 jours.
Une fois dans la capitale, le bois est à nouveau séché puis récupéré par
les propriétaires parisiens.
Les flotteurs bourguignons, après avoir profité des « joies » de la
capitale, repartent à pied et effectuent le trajet retour de 200km en 4
jours seulement !
Le premier train de bois est entré à Paris le 20 avril 1547. Pendant plus
de trois cents ans, le Morvan va alimenter Paris en bois. Mais l’arrivée
du charbon et l’amélioration des transports de marchandises par route
vont progressivement remplacer le flottage.
Le dernier train de bois arrive à Paris en 1877. Avec lui, c’est toute une industrie régionale qui s’éteint…
… Mais cette année, l’association Flotescale fait revivre cette tradition !
Début 2015, des bénévoles ont construit, selon les méthodes
ancestrales, un nouveau train de bois. Ce dernier est parti de Clamecy le 6 juin.
Tout le long de son parcours jusqu’à Paris, des étapes sont organisées.
L’occasion à chaque port de profiter de nombreux événements.
Après une épopée de 261 km et le passage de 64 écluses en 21 jours,
l’arrivée au port de Bercy est prévue le 27 juin.
Enfin, le 5 juillet, le train de bois traversera la capitale sur la Seine.
Juste un soupçon de cette région.
La Gascogne est une province historique française célèbre pour ses
personnages au fort tempéremment comme D'Artagnans ou Cyrano de
Bergerac. Mais c'est aussi un vaste territoire englobant une partie des
départements des Landes, du Gers, des Hautes-Pyrénées, de l'Ariège, de
la Haute-Garonne, du Lot-et-Garonne, de la Dordogne et de la Gironde.
Cathédrale Sainte Marie d'Auch - Gers - 32000
Le massif du Vignemale - Hautes-Pyrénées
Confluent de Mont de Marsan - Landes - 40000
Bassin d'Arcachon et la dune du Pilat - Gironde - 33115
Château mairie de Fumel - Lot-et-Garonne - 47500
Château de Beaumont - Gers - 32100
Bidart dans le Golfe de Gascogne - Océan Atlantique - Pyrénées-Atlantiques - 64210
Vieille église de Cocumont - Landes - 47250
Château de Lagarde - Ariège - 09500
Fontaine Duvignau à Tarbes - Hautes-Pyrénées- 65000
Avec sa vieille ville majestueuse et étonnamment bien conservée, ses kilomètres de plages, et ses infrastructures touristiques exemplaires, l'île de Rhodes est une destination majeure en Grèce.
Son climat particulièrement doux et sec, sa grande variété de paysages et la large palette d'activités disponibles
constituent également les ingrédients du succès touristique qu'elle connait depuis plusieurs dizaines d'années.
Une splendide enceinte médiévale, percée de sept portes majestueuses, entoure la vieille ville de Rhodes.
La perle de Rhodes est sans conteste le village de Lindos. Dominé par l'acropole, il étale ses nombreuses ruelles éblouissantes de blancheur et ses terrasses en amphithéâtre autour d'un rocher abrupt, dominant une
crique aux eaux turquoise.
Par Stéphanie Pia & Chloé Madec
Bâtis à l'origine comme des forteresses, de nombreux villages perchés ont su
préserver leur charme d’antan et sont désormais de véritables bijoux architecturaux.
Découverte de quelques-uns de ces trésors aux quatre coins de la France.
Cordes sur Ciel (Tarn) : un village au-dessus des nuages.
La magie se poursuit dans les rues de ce village perché puisqu’il y règne une ambiance de légende médiévale.
Ainsi, des sculptures de dragons, de monstres et de personnages grimaçants
peuplent les façades des riches bâtisses bourgeoises d’autrefois.
Cordes sur Ciel possède plusieurs musées dont un unique en France : le musée des arts du sucre et du
chocolat. A la fin de la visite, arrêtez-vous à la boutique du musée .
Elle propose, en effet, la spécialité locale : les croquants de Cordes, un délicieux biscuit à base de sucre et d'amandes.
En automne et au printemps, un anneau de nuages entoure le puech, la
colline en occitan, donnant l’impression que ce village flotte dans le
ciel. C’est ce phénomène magique qui inspira son nom de Cordes sur Ciel.
Roussillon (Vaucluse)...Le sentier des ocres La vérité, comme vous pouvez vous en douter, est tout autre.
Les couleurs flamboyantes de Roussillon viennent du gisement d’ocres de la région.
C’est un spectacle coloré qui vous attend à Roussillon. Car tout au long de
la journée, la teinte rouge des maisons s’habille de différentes nuances
qui transforment, peu à peu, ce magnifique village.
Vous pourrez prolonger votre promenade en empruntant un des deux parcours
du sentier des ocres. C'est le nom qu'on a donné au gisement d'ocres
qui n'est, désormais, plus exploité.
Ce site est incontournable tant le décor ressemble à celui des montagnes rocheuses du Colorado.
La légende raconte que les murs de Roussillon sont teintés de rouge car ils sont imprégnés du sang de Dame Sermonde .
Cette dernière, après avoir appris qu’elle avait mangé le cœur de son amant, se serait jetée, de désespoir, du haut des fortifications du village.
Najac (Aveyron)...Une rue unique au coeur de la forêt
En plein cœur de la forêt, le village de Najac est constitué d’une rue principale épousant parfaitement une arête rocheuse.
Tout en vous promenant, vous pourrez admirer les différents monuments de la commune, comme la fontaine monolithe datant du XIV ème siècle ou les maisons très anciennes du village.
La forteresse du village, encore bien préservée, se dresse à l’extrémité de l’artère principale. Cette dernière est un parfait exemple de défense militaire médièvale.
Sa visite est impressionnante d'une part parce que ses meurtrières sont les plus hautes du monde mais aussi parce que
son donjon domine la vallée de l'Aveyron à 200 mètres de hauteur !
Pour les plus gourmands, ne manquez pas la spécialité locale...la Fouace, une brioche en forme de couronne.
La construction de ce village ne correspond pas au modèle de construction traditionnelle des villages perchés : des maisons en spirale et un château en hauteur.
Sainte-Agnès (Alpes-Maritimes)... Le balcon de la Côte d'Azur Du haut de ses 8OO mètres d’altitude, Sainte Agnès est le village littoral le plus haut d’Europe. C’est pour cette raison qu’on le surnomme « le balcon de la Côte d’Azur ».
Le panorama depuis ce charmant village est magnifique puisque vous pouvez y admirer la mer Méditerranée, à perte de vue.
Pour compléter ce somptueux tableau, vous pourrez apprécier, depuis Sainte Agnès, la vue sur la ville de Menton et le paysage naissant des montagnes des Alpes.
Pendant des siècles, que ce soit au Moyen Âge ou pendant la deuxième guerre mondiale, le village a toujours servi de poste de défense.
A visiter : Ainsi, un fort avait été construit sur la ligne Maginot, à Sainte-Agnès au début du XXème siècle.
Une véritable ville souterraine de la taille d'un immeuble de quatre étages qui est désormais, accessible au public.
Vue sur la mer depuis le village...
Rocamadour (Lot)...La cité sacrée Au sommet du village, sur l'Esplanade du Sanctuaire, sont réunies les
différentes bâtisses religieuses dont la crypte des reliques du Saint Amadour ou la chapelle de la vierge noire.
C'est à cet endroit qu'on peut voir Durandal, l'épée de Roland de Roncevaux.
En effet, à sa mort, ce dernier aurait lancé son arme qui aurait parcouru, d'après la légende, plusieurs centaines de kilomètres avant de se planter dans la roche de Notre Dame de Rocamadour !
Le seul moyen pour accéder à l'Esplanade du Sanctuaire est d’emprunter un grand escalier de pierre de 216 marches.
Pour la petite histoire, les pèlerins devaient gravir les marches de cet escalier, à genoux !
Poursuivez la visite de Rocamadour qui a été candidat à l'élection du Village Préféré des Français 2016.
Rocamadour est une cité sacrée accrochée à une falaise. C’est une étape du pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle.
Peillon (Alpes-Maritimes )... Le village suspendu dans le vide Outre cette vue magnifique, Peillon ne manque pas de charme. L’architecture médiévale est parfaitement intacte.
Les ruelles sont pourvues de portes voûtées et la plupart des maisons sont accessibles par des escaliers de pierres.
Pour découvrir Peillon, la commune vend des livrets accessibles à tous, petits et grands, sous forme d'enquête.
Tout au long de vos investigations, vous découvrirez l'histoire du village.
Le panorama depuis Peillon est à couper le souffle. Comme le village est construit à flanc de falaise, i
il est comme suspendu dans le vide.
Baux de Provence (Bouches-du-Rhône)... Le musée à ciel ouvert Les Baux de Provence sont au cœur du massif des Alpilles. Ses maisons sont, de ce fait, sculptées dans la roche.
Le village de Baux de Provence tient son nom de la pierre qui a servi à le construire...
On la nomme la pierre de Baux. Cette pierre était extraite dans les carrières de la commune qui sont désormais devenues
un site de spectacles audiovisuels : les Carrières de Lumières.
Si vous êtes passionnés d’histoire, vous serez charmés par ce musée à cielouvert puisque la commune compte 22 monuments historiques.
En empruntant les rues pavées qui mènent au sommet du village, vous serez conquis par le panorama qui a inspiré les peintres Paul Cézanne ou Vincent Van Gogh.
Poursuivez la visite du village des Baux-de-Provence au cœur des Alpilles.
C’est à la suite d’une visite de la Reine d’Angleterre, que le village des Baux de Provence n’a plus cessé d’attirer la foule. C’est le cinquième site le plus visité de France.
Gordes (Vaucluse)...Le village souterrain De tous temps, les peintres , tel que Marc Chagall, ont été inspirés par le blanc et
le gris des pierres sèches de Gordes.
Ce village est particulier car autrefois, il avait une vie souterraine.
Les habitants vivaient dans leurs maisons, mais les activités artisanales et de commerce se développaient sous terre.
Aujourd'hui, les souterrains sont ensevelis. Mais une partie a été dégagée sous le Palais de Saint-Firmin où on peut encore voir des moulins à huile, des citernes et autres traces de ce passé troglodyte.
Poursuivez la visite de Gordes, merveille de Provence.
Gordes est un exemple parfait de construction médiévale. Il a été édifié sur les hauteurs d’une falaise afin de protéger ses habitants.
Les maisons sont bâties en spirale. Et sur les hauteurs se dresse son château encore intact.
Mirmande (Drôme)...Entre arts et nature Vous serez surpris par tous les détails architecturaux de ce village : fenêtres Renaissance, chenaux en tuile…
En errant dans les rues pavées, vous pourrez admirer les petits jardinets en pierre des maisons où poussent des fleurs ou des aromates.
Car à Mirmande, on aime beaucoup la nature. Le slogan du village est " entre arts et nature".
Toutes ces rues vous mèneront vers le sommet du village, où une église du XIIème siècle, l'église de Sainte-Foy, accueille, désormais, des expositions et des concerts.
De là, vous aurez une vue splendide sur le village et la vallée environnante.
Au début du XXème siècle, le peintre André Lhote créa une université depeinture afin d’attirer d’autres artistes et sauver Mirmande de la ruine. Ainsi, grâce à son intervention, Mirmande renaît au fil du temps.
Cliousclat (Drôme)...Le village de potiers Mais le charme de ce petit village est aussi ailleurs. C’est l’accueil chaleureux et authentique de ses habitants qui vous laissera un souvenir impérissable...
Les restaurateurs, les galeries d’art… Sans oublier les potiers cliousclatiens qui perpétuent la tradition ancestrale du village.
N'hésitez pas à pousser la porte de la poterie du village.
À l'intérieur, vous y découvrirez les dernières créations fraîchement sorties du four et le petit musée qui retrace l'histoire de la poterie à Cliousclat.
Cliousclat est ce qu’on appelle un village- crête : sa rue principale s’étend sur une crête. Vous serez certainement séduits par le décor typiquement provençal de Cliousclat.
En bonus...Pont-en-Royans (Isère)... Des maisons suspendues au-dessus de la rivière Au XVIème siècle, le pont de Pont-en-Royans était un passage entre le Vercors et la vallée de L’Isère,. C’était une très belle opportunité pour le négoce du bois.
Ne disposant pas de place, les habitants ont installé leurs habitations sur la roche au dessus de la rivière.
N’hésitez pas à vous placer de l’autre côté de la rive, pour admirer ce spectacle saisissant.
Les maisons suspendues sont colorées, entre l’ocre et le rose, étroites et très hautes : certaines pouvant atteindre jusqu’à onze niveaux.
Ce village n’est qu’en partie perché. Quelques maisons ont la particularité d’être suspendues.
Coaraze (Alpes Maritimes)...Un village ensoleillé Coaraze est un village médiéval de la Côte d’Azur perché sur une colline
arborée de figuiers et d’oliviers qui apportent un côté chaleureux à cet environnement éminent.
En effet, un arrière plan enneigé selon les saisons vient parfaire cette vue et vous procure une sensation délicieusement vertigineuse.
Vous déambulerez dans des ruelles surplombées de maisons de pierres ou colorées.
Entre montagne et flore luxuriante, la mer n’est jamais bien loin. Coaraze est classé parmi les plus beaux villages de France.
Le soleil illumine le paysage montagneux en arrière plan des maisons aux façades colorées. Ce n'est pas pour rien qu'on le surnomme le village du soleil.
Le Mont-Saint-Michel (Manche)...Petit îlot de Normandie Situé entre terre et mer, l’incontournable Mont-Saint-Michel est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco et considéré comme l’un des sites touristiques les plus visités de France.
Ce petit îlot entouré de murailles datant de la guerre de cent ans confère un aspect médiéval au site.
Un village atypique encerclé par des marécages et des sables mouvants que l’on atteint par une traversée au moyen d’une passerelle sur pilotis.
Le Mont-Saint-Michel, petit îlot majestueux dans le coucher de soleil.
Ce petit village ne compte seulement qu'une quarantaine d'habitants.
La Roquette-sur-Var (Alpes Maritimes) : entre montagne et mer Ce petit village à 380 m d’altitude surplombe d’un côté la mer, de l’autre des paysages montagneux.
Vous pourrez admirer une magnifique vue d’ensemble de la vallée du Var.
Le site a conservé son château datant du 16ème siècle.
Malheureusement, vous ne pourrez qu’apprécier sa façade extérieure car les visites ne sont pas admises.
Un petit village en plein milieu de la vallée du Var.
Eze (Alpes Maritimes)...Un village aux allures exotiques Cité de bord de mer campée sur une falaise à 400 m d’altitude, Eze se situe entre Nice et Monaco.
Franchissez la porte de ce village pittoresque, et surprenez-vous à profiter d’une végétation exotique, d’un cadre ensoleillé, d’un panorama somptueux ainsi que de ses ruelles médiévales avec les vestiges de son château où
vous pourrez découvrir l’histoire de ce petit village de Provence.
Vue imprenable sur le village d'Eze bordé par la Méditerranée.
Corte (Haute-Corse)...Capitale historique de la Corse Par sa flore luxuriante, Corte offre de nombreuses activités sportives
telles que la randonnée, le kayak en eaux vives, les baignades et balades en tout genre.
Ses maisons en schiste, ses ruelles pavées et ses escaliers pentus offrent un cadre authentique au site.
Aller visiter son nid d'aigle, une citadelle datant du 15ème siècle, aujourd'hui transformée en musée.
Un cadre idéalement ensoleillé pour des vacances de rêve.
Beynac-et-Cazenac (Dordogne)...Un village de caractère Construit en hauteur dans un environnement montagneux,
Beynac-et-Cazenac domine le fleuve de la Dordogne.
Ses maisons typiques aux toits recouverts de pierre, son château, ses portes fortifiées reconnaissent au lieu son allure imposante et de caractère.
Poursuivez la visite de Beynac-et-Cazenac avec sa forteresse.
Des habitations en bord de falaise. Il ne vaut mieux pas avoir le vertige pour y habiter.
Tourrettes-sur-Loup (Alpes Maritimes)... La Cité des Violettes Ce petit village médiéval élevé sur un rocher hisse ses hautes maisons au cœur de sa cité.
Son aspect caractéristique est la violette que l’on cultive depuis près d’un siècle.
Allez-y au mois de mars, vous pourrez assister à la fête organisée en l'honneur de cette fameuse violette.
Batailles de fleurs garanties pour votre plus grand plaisir.
Petite cité moyenâgeuse en plein coeur de la nature.
Castelnou (Languedoc-Rousillon)... Une architecture typique catalane Dans la région des Aspres, Castelnou est un petit village perché sur les collines avec son château et sa tour de gué qui dominent une magnifique vue panoramique.
Vous pourrez admirer l’architecture rurale catalane grâce à ses maisons en pierres typiques et ses ruelles pavées.
Celui-ci est classé parmi les plus beaux villages de France.
Ce petit village culmine toute la vallée environnante grâce à sa tour de gué.
Eus (Languedoc-Roussillon)... L’artisanat au cœur du village Entièrement fortifié, on peut encore s’enthousiasmer
devant les vestiges du château féodal.
Eus est un petit endroit pittoresque où les plus fervents d’artisanat pourront apprécier le travail de ses villageois.
Eus est considéré comme l’un des plus beaux villages de France.
Un petit village qui a gardé son charme d'antan avec ses vestiges médiévaux.
Gourdon (Alpes Maritimes)...Un village protégé par sa forteresse Gourdon, aux allures pittoresques, est classé parmi les plus beaux villages de France grâce à sa forteresse médiévale.
Cette cité est perchée à 760 m d’altitude au-dessus de la vallée du Loup et ainsi offre une magnifique vue panoramique sur le littoral méditerranéen.
Du haut de son rocher, ce village perché domine un sublime panorama méditerranéen.
Banon (Haute-Provence)...La cité de la lavande C’est sans compter son climat ensoleillé, que Banon baigne dans des étendues de champs de lavande, ce qui lui confère son caractère du sud.
Niveau gastronomie, les amoureux de fromages de chèvre seront heureux de découvrir leur renommée nationale pour la qualité de leurs mets et leur élaboration depuis des siècles.
Allez-y au mois de mai, vous pourrez assister à la fête du fromage de Banon.
Un paysage teinté de ses champs de lavande nous donne un avant-goût de vacances.
Vénasque (Vaucluse)...Un panorama exotique Situé au sommet d’un rocher, ce village domine la vallée de la Nesque ainsi
que la plaine de Carpentras. Franchissez ses remparts et allez découvrirson église et sa baptistère.
N’oubliez pas d’admirez le panorama de ses vignes, cerisiers et amandiers.
Poursuivez la visite de Vénasque en goûtant quelques cerises.
Petite route sinueuse pour grimper jusqu'au village perché en passant par une flore luxuriante.
Saint-Véran (Hautes-Alpes)...Un village vraiment perché Saint-Véran, village bordé de montagnes, domine à 2042 mètres d’altitude.
Appréciez de déambuler entre les chalets de bois et de pierre et admirez les éléments atypiques comme les fours à pain, les fontaines, les cadrans solaires qui vous dépayseront totalement ainsi que l’église du village, classé monument historique.
Saint-Véran est considéré comme le plus haut village d'Europe et classé parmi les plus beaux de France.
Saint-Véran a revêtu son beau manteau blanc. Cela donne tout de suite envie de chausser ses après-skis.
Sancerre (Centre-Val de Loire)...Entre art et histoire Situé sur son amas rocheux de 312 mètres d’altitude,
vous déambulerez au travers de la cité de Sancerre parmi ses habitations datant du 15ème siècle et ses galeries d’art.
Grimpez la Tour des Fiefs, vestige du château féodal des Comtes de Sancerre, et admirez la vue d’ensemble de cette
petite cité.
Faîtes une pause afin de goûter aux vins de Sancerre, produits du terroir de France.
Grâce à sa tour, le village garde un oeil sur ces vignobles.
Les Gavottes - Bons produits (épiceries fines, marchés ...) -
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Vous avez une imprimante à la maison ?
Alors, vous avez sûrement remarqué que les cartouches d'encre sont de plus en plus chères !
Vous êtes curieux de savoir comment les fabricants d'imprimantes justifient-ils cette hausse constante des prix ?
Dans cet article, découvrez l'explication derrière les prix exorbitants des cartouches d'encre.
Et en bonus : découvrez les 7 astuces pour réaliser des économies considérables sur vos cartouches.
Pourquoi les cartouches d'encre coutent elles de plus en plus chères?
De plus en plus de consommateurs l’ont remarqué : les cartouches pour imprimantes à jet d’encre se vident trop rapidement, extrêmement rapidement même.
Pour l'instant, ce n'est pas vraiment un flash info. C’était déjà bien documenté : goutte pour goutte, l’encre des cartouches vous revient pluschère que du champagne millésimé. Rien que ça !
De moins en moins d'encre dans les cartouches
Mais saviez-vous que la quantité d'encre des cartouches a réduit de manière spectaculaire ?
Les cartouches que l’on vend aujourd’hui contiennent seulement une fraction de l'encre qu'on trouvait dans des cartouches équivalentes vendues il y a 10 ans. De nos jours, il est possible d'acheter des cartouches avec des quantités infimes d’encre.
Exemple concret : Une cartouche couleur de marque Epson T032 (mise en vente en 2002) a exactement la même taille qu’une cartouche couleur Epson T089 (mise en vente en 2008). Mais avec une différence importante :le modèle T032 contient 16 ml d’encre, alors que le T089 n’en contient que 3,5 ml !
Voici comment les éponges des cartouches ont réduit en taille.
Si vous utilisez des cartouches d’encre HP, c’est le même phénomène. Il ya 10 ans, les cartouches HP les plus vendues contenaient 42 ml d’encre —et elles coûtaient dans les 25 €. Aujourd’hui, elles en contiennent seulement 5 ml, mais elles se vendent quand même à 17 € !
Pour saisir l’ampleur de l’arnaque, il suffit d’ouvrir une cartouche HP.
L’encre de ces cartouches est contenue dans une éponge. Au fil des ans,on constate que la taille de ces éponges a progressivement diminué.
Auparavant, l’éponge occupait la plus grande partie de la cartouche. Et aujourd’hui, le reste de la cartouche est quasiment vide !
Les cartouches à couleurs.
De toutes les cartouches, sachez que les plus "mauvais marché" sont les cartouches à couleur. Tous les grands fabricants d’encre (Canon, HP, Epson) proposent des cartouches à 3 couleurs (cyan, magenta, et jaune). Et bien sûr, la plupart du temps, il y a moins de 2 ml par couleur.
Voici pourquoi il faut éviter ce type de cartouche : lorsque seulement 1 des 3 couleurs se vide, la cartouche cesse tout simplement de fonctionner ! Même si les 2 autres couleurs ne sont pas encore vides !
Du coup, privilégiez les imprimantes qui nécessitent une cartouche différente par couleur.
Les cartouches « XL »
Mais ce n'est pas tout : les fabricants ont osé aller encore plus loin.
La diminution progressive de la quantité d’encre leur a permis de proposer des cartouches « XL » (extra large). Sauf que ces « nouvelles »cartouches ont exactement la même taille que les cartouches normales !
Par exemple, HP commercialise le modèle HP300, qui contient 5 ml d’encrenoir et qui se vend à 17 €. HP propose aussi le HP300XL, qui contient plus d’encre — à peu près 16 ml — et se vend entre 27 € et 34 €.
Mais : ces deux produits sont presque de taille identique ! En plus, certains formats « XL » des grands fabricants contiennent
moins d’encre que des produits équivalents vendus il y a quelques années.
Les cartouches de format « XL » sont carrément une insulte au consommateur.
En gros, des entreprises comme HP nous vendent des cartouches qui ne sont qu’à moitié remplies. Puis, ils la remplissent complètement et collent une étiquette « XL » sur la MÊME cartouche : et voilà, ils peuvent nous la vendre encore plus cher !
C'est un scandale, surtout lorsque l'on considère que la différence en termes de coût de production se compte en centimes. C’est une véritable arnaque !
Leur stratégie est de progressivement pousser le consommateur à acheter des cartouches d’encre de manière fréquente. Les grands fabricants d'imprimantes sont malins :
- ils ont réduit la quantité d’encre des cartouches,
- ils ont chiffré les puces électroniques des cartouches,
- et ils emploient des techniques de marketing agressives pour nous décourager d’avoir recours au rechargement de cartouche.
La défense des fabricants d’imprimantes
Comment les fabricants peuvent-ils justifier ces stratégies aberrantes ?
Et bien, les grands fabricants d’imprimantes contestent qu’ils mettent de la pression sur les consommateurs pour augmenter leurs profits.
Voici un communiqué officiel de HP : « Analyser des critères tels que lepoint de vente, les coûts initiaux des cartouches et des imprimantes, ou les ml d’encre dans une cartouche n’est pas une manière précise de mesurer le vrai coût d’une impression. » HP soutient que les consommateurs doivent se référer au coût par page imprimée. En ce qui concerne les modèles Officejet Pro, le fabricant maintient que le coût par page n’a pas changé depuis 2009.
L’argument d’Epson est que les buses des cartouches sont plus efficaces qu’il y a 10 ans — grâce aux avancées technologiques dans le domaine desimprimantes. « Les cartouches sont capables de produire une quantité supérieure de pages avec une quantité équivalente d’encre » précise Epson dans un communiqué.
Des 3 grands fabricants, c’est Canon qui a été le moins agressif dans sa politique de diminution d’encre. Mais cela ne veut pas dire que les quantités n’ont pas diminué. Une cartouche mise en vente il y a peu de temps, la PGI-525BK, contient 19 ml d’encre.
C’est peu quand on la compare à une cartouche similaire de 2005, la BCI-3BK, qui contenait 26 ml d’encre. De plus, la marque a aussi commencé à produire des cartouches en format « XL ».
Des imprimantes de moins en moins chères.
Ces dernières années, il y a une véritable guerre entre les fabricants d’imprimantes et les « rechargeurs » d'encre. Ces entreprises rechargentles cartouches d’encre à un prix raisonnable. Elles ont réussi à grignoter une part conséquente du marché des cartouches.
Quelle a été la réponse des grands fabricants ? Produire des imprimantesà bas coûts. Puis, récupérer les pertes sur les imprimantes par la vente de cartouches avec des quantités d’encre de plus en plus petites —que les consommateurs doivent remplacer plus souvent.
Résultat : il y a 15 ans, une imprimante coûtait jusqu’à 200 €, alors qu’aujourd’hui on peut en obtenir une pour seulement 40 €.
Ces imprimantes sont souvent vendues avec des « cartouches de démarrage »qui contiennent de minuscules quantités d’encre. Résultat : les consommateurs doivent aller acheter une recharge presque immédiatement après avoir acquis une imprimante !
Certains fabricants ont poussé le vice encore plus loin. Ils ont inclus des technologies dans les imprimantes qui rendent les cartouches à bas coût incompatibles avec l'appareil. La logique est simple : si on achèteune imprimante HP, on est obligé d’acheter des cartouches HP — aussi chères soient-elles.
Notre conclusion : c’est de l’arnaque !
Les détracteurs reconnaissent qu’il y a eu des avancées dans le domaine des imprimantes particulièrement avec les buses, qui sont plus efficaces.Mais en aucun cas ces avancées ne peuvent justifier une diminution par 5 de la quantité d’encre des cartouches!
Le coût de fabrication d’une cartouche d’encre est au plus bas depuis son lancement. La plupart des cartouches se produisent pour en-dessous de 1 €. Les bénéfices sont énormes, voire odieux !
Conclusion : le consommateur paie un prix bien plus conséquent pour une cartouche et, ce, pour des petites quantités d’encre.
Nos solutions : comment réaliser des économies?
Ne désespérez pas totalement !
Heureusement, il existe des p'tits trucs pour contourner ces prix démesurés. Voici 7 astuces que vous pouvez essayer dès maintenant :
1. Recharger vos cartouches chez un spécialiste
Votre cartouche est vide ? Au lieu de la jeter, vous pouvez l'apporter chez un spécialiste qui peut la recharger à un prix raisonnable.
Depuis les augmentations des prix des cartouches, on voit de plus en plus de ces magasins spécialisés en recharge.
Le leader du marché est Cartridge World. Mais, prenez le temps de vous renseigner. Dans la plupart des villes, il existe des petits magasins qui proposent ce service.
Vous voulez en savoir plus sur la recharge des cartouches d'encre ?
Cliquez ici pour découvrir l'astuce.
2. Utiliser les cartouches d'encre jusqu'au bout
Votre imprimante vous indique que la cartouche est vide. Il est temps de la remplacer...
Peut-être pas ! Saviez-vous que dans la majorité des cas, vous pouvez continuer à utiliser la cartouche ?
Cliquez ici pour découvrir l'astuce.
3. Utiliser le mode « brouillon » des imprimantes
Un autre moyen d'économiser sur l'encre est de choisir le mode « brouillon » quand on imprime. La différence de qualité pour un usage quotidien est insignifiante mais vous économisez beaucoup d'encre.
Découvrez nos conseils pour imprimer en mode « brouillon » en cliquant ici.
4. Imprimer en recto-verso
Quand on souhaite imprimer plusieurs pages, une excellente astuce est d'imprimer en recto-verso.
C'est à peine plus compliqué. En plus, on a écrit un article pour vous aider !
Vous pouvez le découvrir en cliquant ici.
5. Ne céder qu'à la nécessité
Une autre règle de base est de n'imprimer qu'en cas de réelle nécessité,comme pour un billet électronique, par exemple.
N'imprimez pas des documents non terminés (attendez qu'ils soient complètement finis), et n'imprimez pas des choses dont vous pourriez vous passer.
6. Modifier la mise en page
Faites bien attention à la mise en page : elle peut vous permettre d'élargir la taille de votre texte, pour le faire tenir sur moins de pages par exemple.
De plus, pour ceux qui impriment souvent sur Internet, vérifiez la mise en page avant, afin de ne pas imprimer de publicité inutile.
Ainsi, vous imprimerez seulement le nécessaire — et vous économiserez sur l'encre.
Pour imprimer facilement sans le superflu, vous pouvez utiliser une extension comme Printfriendly (dispo sur FireFox ou Chrome).
7. Utiliser le mode « noir et blanc »
Une autre technique est de choisir dans votre traitement de texte une couleur d'écriture un peu plus claire.
Choisissez le gris foncé plutôt que le noir.Ainsi, vous utiliserez moins d'encre.
Enfin, essayez d'éviter d'imprimer des documents en couleur. Choisissez le « noir et blanc » par défaut, cela vous fera faire de bonnes économies.
Voilà, vous en savez plus sur les prix exorbitants des cartouches — et comment les contourner:
Découvrez l'astuce ici :http://www.comment-economiser.fr/astuces-cartouches-encre.html
Prenez la Nationale 7 avec nous pour découvrir cette route mythique aussi connue sous le nom de "route des vacances". En tout, 995 kilomètres répartis en cinq grandes étapes : de Paris à Sancerre, de Sancerre à Roanne, de Roanne à Valence, de Valence à Avignon, d'Avignon à Menton.
Vous traverserez nombre de villes et de villages, tous plus beaux les uns que les autres.
Prenez votre temps, chacune de ces 5 étapes, regorge de lieux atypiques, de monuments historiques, de paysages magnifiques et de
spécialités gastronomiques.
Nationale 7, nous voilà !
Étape 1 : de Paris aux vignobles de Sancerre
La première étape nous conduit jusqu'à Sancerre et ses vignobles. En chemin, nous passons par Barbizon , aussi connu sous le nom de "village des peintres", avant de nous arrêter au château de Fontainebleau. Plus loin, nous visitons le château de la Buissière, également appelé "château des pêcheurs" en raison de son musée de la pêche dissimulé en son coeur. Puis Briare et sa manufacture de mosaïques, où nous explorons le musée des Mosaïques et des Émaux au sein de l'usine.
Départ : Porte d'Italie
Étape 2 : de Sancerre à Roanne en passant par Nevers
Quittons le vignoble de Sancerrois direction Nevers, avec un détour par le village de la Charité-sur-Loire pour visiter l'église Notre-Dame,inscrite par l'Unesco au patrimoine mondial de l'humanité. Le négus nous appelle à Nevers et c'est à la maison Grelier & Lyron que nous dégustons cette délicieuse confiserie.
Puis, cap sur Moulins , ses monuments et son Grand Café avant de nous arrêter à Saint-Loup au petit musée de la N7. Gagnons ensuite Lapalisse, son château fort et sonmusée d'Art brut. Avant de rejoindre Roanne, qui marque le fin de cette deuxième étape
, offrons-nous une halte à Saint-Martin-d'Estréaux.
Un arrêt s'impose au musée de la N7
Étape 3 : de Roanne chez les Troisgros à Valence
Incontournable de cette troisième étape , déjeuner à la Maison Troisgros à Roanne, restaurant étoilé par le guide Michelin. Puis direction Saint-Étienne, qui, malgré ce que l'on peut endire, n'est pas grise mais verte. Déambulons donc dans le jardin du
musée d'Art et crapahutons sur la montée du Crêt du Roch.
Petite pause au col de la République, où nous nous arrêtons à l'auberge du Grand-Bois. À Tain l'Hermitage, Valrhona et sa cité du chocolat nous fait les yeux doux. Avant d'atteindre Valence, pause gourmande au restaurant étoilé de Michel Chabran à Pont-de-l'Isère.
Ça monte au col de la République !
Étape 4 : de Valence au palais des Papes d'Avignon
Après Valence et son port de plaisance, nous arrivons à Montélimar, la ville du nougat. Visite du palais des Bonbons et du Nougat avant de conclure cette escapade à la maison Soubeyran pour nous approvisionner en sucreries. À Piolenc, de nouveau un musée dédié à la Nationale 7.
Prochaine escale à Orange, où le théâtre antique accueille les Chorégies, célèbre festival d'opéra. Avignon se profile enfin, c'est ici que s'achève la quatrième étape . Pour cette occasion, nous faisons un tour au palais des Papes.
Tranquille sur la route, nous profitons du paysage
Étape 5 : d'Avignon à Menton, la fin d'une aventure
Ultime étape de notre road-trip, nous partons d'Avignon et prenons la direction d'Aix-en-Provence. N'oublions pas de faire un petit tour à l'ancien palais de l'Archevêché, au Grand Théâtre de Provence, au château du Tholonet, au musée Granet... Enfin la côte, Fréjus et ses plages.
Premier bain de soleil, avant de faire un petit tour par les arènes et le théâtre antique. Rapide escale à Cannes, puis nous gagnons e Nice et ses cathédrales Sainte-Réparate et Sainte-Nicolas, le palais Lascaris, le château Valrose, l'ancien palais de la princesse Kotchoubeydevenu le musée des Beaux-arts...
Escale à Èze, un des plus beaux villages perchés de France, pour recharger nos batteries et reprendre la route vers Monaco pour découvrir son jardin exotique et faire un petit détour par le célèbre casino, le Monte-Carlo. Notre voyage se termine par la ville
de Menton , la visite de la basilique Saint-Michel-Archange, le monastère de l'Annonciade et le palais Carnolès.
À toute allure, nous arrivons enfin.
On connaît les bienfaits de la marche pour entretenir sa forme physique, moins ceux sur la santé psychique.
Les dix bénéfices qu’il y aà marcher pour se sentir mieux dans sa tête.
Se sentir mieux après une bonne marche est un sentiment largement partagé par ceux qui en ont fait l’expérience.
Lors de cette activité, l’interaction corps/esprit est en effet unique. Marcher 30 à 40 minutes plusieurs fois par semaine permet de décompresser, de s’apaiser quand on est tendu, mais aussi d’y voir plus clair ou encore de trouver des solutions.
Bref, c’est à la fois un extraordinaire booster cognitif et un formidable tranquillisant naturel. Cette expérience empirique des bienfaits psychiques de la marche est confirmée régulièrement par les chercheurs.
Marcher Pour Dénouer Les Tensions.
La respiration ample et régulière que la marche implique favorise une meilleure oxygénation du corps et du cerveau,
ce qui participe à dénouerles tensions accumulées.
Marcher Pour Découvrir.
La marche favorise notre capacité d’attention et fait émerger notre créativité. « Quand on marche en pleine campagne par exemple, rappelle Valérie Germain, psychologue clinicienne, on s’éloigne de la sursollicitation du quotidien.
Notre attention en est à la fois plus large et moins dispersée. Le seul mouvement de la marche renforce notreconcentration.
Nos réflexions aussi changent de nature. Elles sont plus existentielles. »
En effet, la symbolique de ce mouvement est très forte. « En marchant, précise Pierre-Yves Brissiaud, on se retrouve relié au ciel et à la terre, les pieds reprennent racine et la tête s’évade vers le haut. Il y a une dimension de quête spirituelle dans la marche. »
Et l’occasion de découvrir en nous des ressources insoupçonnées, nos résistances habituelles baissent la garde, les associations d’idées se font plus facilement aidées par ce qui se passe sous nos yeux.
Marcher Pour Jubiler C’est la cerise sur le gâteau. Il y a un très vif plaisir à profiter de l’énergie, du bonheur, que nous renvoient la douceur de l’air, la clarté d’un ciel, la force d’un vent, un grand ravissement à contempler la beauté qui nous entoure. La nature est un puissant et joyeux thérapeute.
Marcher Pour Méditer Méditer, ce n’est pas seulement faire le vide, c’est aussi réfléchir autrement.
On peut alors décider de se focaliser sur son ressenti corporel. Par exemple, on peut entamer une marche en faisant attention à relâcher ses épaules et en observant ce qui se passe en nous.
Ou bien en décidant d’être plus attentif à ce que l’on entend de l’oreille droite, puis de l’oreille gauche, et enfin des deux. Ensuite, il n’y a plus qu’à laisser libre cours à ce qui vient à l’esprit.
Marcher Pour Positiver.
Marcher permet de positiver parce que c’est une activité toute simple et libératrice. Aucune compétence n’est nécessaire, aucun prérequis n’est exigé, pas besoin d’être beau, jeune, riche ou fort !
On sait tous marcher. Mieux, on est tout de suite bon. On peut démarrer et en tirer plaisir immédiatement.
On enclenche ainsi une spirale positivedont l’un des atouts est de nous aider à sortir de nos ruminations et pensées négatives.
« La marche met en mouvement notre corps, précise Valérie Germain, et cette nouvelle réalité physiologique a une incidence sur notre réalité psychique...
Elle nous oblige à sortir de notre fonctionnement en boucle. » On adopte de fait un nouvel angle de vue, on échappe à une vision sans issue, on abandonne ces pensées qui tournoyaient sans fin en nous. Un effet visualisé dans le cerveau par l’imagerie médicale.
Marcher Pour Prendre De La Distance.
Quand on se sent coincé, sans solution, marcher nourrit la réflexion, « en nous plaçant dans un état de concentration qui favorise un retour vers l’essentiel, observe Valérie Germain. Ce mouvement se fait presque naturellement, à notre “corps défendant”.
On se remet face à soi-même dans une vision plus globale au lieu de se focaliser sur des détails, on reformule ce qui nous obsède. » En intégrant une réalité nouvelle, un autre chemin, on prend du recul tout simplement. On ne subit plus, on se place en tant qu’acteur.
Marcher Pour Rencontrer De Nouvelles Personnes .
La marche est aussi un puissant facteur de convivialité. C’est un exercice qui fait sortir de l’isolement, y comprislorsqu’on marche seul. La rencontre et la reconnaissance par ceux que nous croisons se trouvent toujours à un pas devant soi.
Marcher Pour Réveiller Ses Sens.
En marchant, nos cinq sens sont mis en éveil. « Presque automatiquement, ils se synchronisent, constate Pierre-Yves Brissiaud. On sent l’odeur dela forêt, on écoute le chant des oiseaux, on ressent le vent ou la chaleur du soleil, on observe le paysage, on goûte la pluie... »
Cette stimulation sensorielle ouvre la palette des émotions, nous permettant de mieux ressentir ce qui vient à nous.
Marcher Pour Se Recentrer.
Marcher permet de remettre en ordre ce que l’on a entendu, vécu, réalisé. C’est l’occasion de trier et de réorganiser les multiples informations et sensations perçues dans la journée.
« C’est un exercice d’intériorisation quand on décide de s’y livrer en pleine conscience, dit Pierre-Yves Brissiaud.
On peut se demander, “Pourquoi jeme mets en marche ?
Est-ce pour faire le vide ? Tout oublier ? Ou bien me rappeler ?”
Marcher, c’est alors revenir à soi, recréer une intimité avec soi. »
Marcher Pour Se Retrouver.
Mais la marche, seul, dans le silence de ses pensées, c’est certainement d’abord et avant tout l’occasion d’une rencontre avec soi-même, d’un dialogue intérieur. L’harmonie entre corps et tête dans laquelle le mouvement nous installe, nous restaure dans notre complétude.
« Nous sommes dans une société de l’apparence, souligne Pierre-Yves Brissiaud.
C’est notre extériorité que nous travaillons le plus...
“Je suis untel, je fais ceci dans la vie, je possède telle chose...” Or, l’être extérieur est
sous influence permanente de son environnement tandis que l’être intérieur est plus authentique, plus juste, mais aussi plus silencieux.
Marcher nous permet de le faire émerger, de lui laisser sa place et d’engager un dialogue entre cet être extérieur et notre être intérieur. »
Par Sandrine Echivard
Transformer l’ancien hôtel particulier où vécut la meneuse de revue Joséphine Baker en un duplex-loft bioclimatique...
C’est le challenge que se sont lancé l’architecte François Pélegrin et son épouse Evelyne quand ils ont découvert ce lieu de rêve.
Ils ont maintenant eux aussi deux amours, leur loft et Paris.
Dans cet élégant duplex en noir et blanc, l’espace du bas accueille les pièces à vivre : le salon circulaire invite à la convivialité ; le coin salle à manger met en valeur une table dessinée par François Pélegrin et réalisée sur mesure par
un artisan ; et la cuisine Mobili tout en rondeurs joue l’accord parfait.
Enfin, planté au centre de la pièce, l’escalier en colimaçon tient le haut de l’affiche et capte toutes les attentions.
François Pélegrin a troqué l’ancien garde-corps de la mezzanine pour une verrière fabriquée sur mesure, permettant une meilleure isolation acoustique, thermique et olfactive.
Déjà très utilisée au rez-de-chaussée, l’idée d’un espace en libre circulation se poursuit sur la mezzanine, avec cette enfilade de pièces non cloisonnées.
Les meubles en bois blond confèrent à la chambre une ambiance plus nature.
Dans le fond de la pièce, le dressing habillé de rideaux évoquant Paris,
d’une psyché dorée et d’un valet évoque l’ancienne habitante des lieux :
la meneuse de revue Joséphine Baker.
Entre la chambre et le dressing, se cache un cabinet de douche très fonctionnel.
Du haut de l’escalier, la vue sur le salon circulaire est tout simplement imprenable.
L’aménagement décloisonné offre une vue panoramique sur cette pièce en forme de dôme.
Ici, la géométrie se dessine en noir et blanc et confère au lieu un esprit très graphique.
Mur de brique et toit d’ardoise se dressent face à la terrasse aménagée de 50?m2.
Un espace idéal pour convier des amis à un apéritif pour admirer la vue sur Paris.
C’est en septembre 2010 que François Pélegrin, l’architecte aux principes
bioclimatiques, et sa femme Évelyne achètent cet ancien hôtel particulier du 20e
arrondissement de Paris, où vécut Josephine Baker. Leur intention ?
En faire un bâtiment basse consommation (BBC). Mais l’isolation ne peut se
faire que de l’intérieur, la façade étant classée par la Ville de Paris.
Un projet ambitieux et parsemé de contraintes. François Pélegrin y installe son bureau d’études et aménage avec sa famille au-dessus. Le système d’isolation choisi est performant et permet de conserver la belle hauteur sous combles ainsi qu’un grand volume.
L’architecte intègre une VMC double flux, une pompe à chaleur, un plafond rayonnant et un plancher chauffant.
La pureté des lignes et l’élégance des matériaux, comme le sol en chêne, soulignent la structuredu lieu.
Le choix d’un intérieur en noir et blanc s’impose. Formalisé par cette charte graphique, le lieu en a été sublimé...
«?Nous ne voulions pas mettre en valeur une chose plus qu’une autre, l’architecture se suffisant à elle-même. Seul l’escalier repeint en noirtrônant au milieu du salon se détache du reste.?»