Qui s'en souvient . Feuilletons un peu farfelus mais... Pour bien commencer cette semaine, Cécile et Pierre vous proposent un petit tour parmi ces feuilletons un peu farfelus mais souvent très appréciés.
Souvenez-vous.... Max La Menace... la série date des années 60..... Max est un agent secret , un mot pour le qualifier... disons : farfelu, loufoque avec des gadgets eux aussi loufoques(en photo, la chaussure téléphone). Bon résumé comme ça, la série semble voler bien bas, mais lorsqu elle était diffusée on cherchait une bonne place devant la télé du salon..
On riait des pitreries de l'agent 000!
l'agent triple 000 en mission avec l'agent 89! Don Adams et Barbara Feldon ----------------------------------------- Chapeau melon et bottes de cuir: "Madame Peel, je crois qu'on a besoin de nous"
Emma Peel (Diana Rigg) & John Steed (Patrick Macnee)1960 Chapeau melon et bottes de cuir
Duchess Mews, lieu de tournage extérieur de l’appartement de Steed. série britanique SO BRITISH mélangeant espionnage, science-fiction et action, mettant en scène John Steed gentleman anglais adorant le champagne. ----------------------------------------------- Le prisonnier - The prisoner - Number 6 "Je ne suis pas un numéro. Je suis un homme libre !" Série de Patrick McGoohan (Royaume-Uni, 1967-68, 17 épisodes de 52 mn) Un agent secret britannique démissionne brutalement de son poste et rentre chez lui au volant de sa Lotus Seven. Alors qu'il fait ses valises pour partir en vacances, un gaz anesthésiant est diffusé dans son appartement londonien. À son réveil, il est dans un autre lieu, le Village. C'est un endroit étrange, à l'architecture baroque, dirigé par le Numéro 2 ethabité par une communauté de villageois, tous vêtus d'habits colorés. Un badge numéroté sur la poitrine les identifie. L'homme est désormais le Numéro 6.
L'acteur Principal: Patrick Mac Gohan: allias numéro 6
>Le village où n°6 a été retenu
Un cauchemar à épisodes En réalité, les raisons qui ont poussé le Numéro 6 à démissionner n’intéressent guère les Numéro 2 successifsqui n’ont aucune conscience de leur chute prochaine ni de leur remplacement programmé. Persuadés d’être arrivés au sommet de leur carrière, ils ne réalisent pas qu’ils sont eux-mêmes des numéros. Ce qu’ils reprochent au Numéro 6, c’est de ne pas adhérer à l’esprit grégaire garant de la quiétude du Village.
Le Numéro 6 est accusé dans l’épisode J’ai changé d’avis d’être un individualiste, c’est-à-dire de l’endormissement collectif organisé par les autorités. Ostracisé, isolé,il se débat sous les yeux des téléspectateurs dont le malaise croît au fur et à mesure qu’ils prennent conscience qu’ils ne sont pas en train de regarder une série comme les autres mais une œuvre qui leur tend un miroir dans lequel ils observent le reflet de leur propre vie. « Qui est le Numéro 1 », la lancinante question que pose le Numéro 6, finit par résonner en eux pour devenir : « Qui est notre Numéro 1 ? »
Les réponses sont une prison C’est grâce au statut de vedette qu’il avait acquis en tournant Destination danger que Patrick McGoohan a réussi à imposer Le Prisonnier. Née à la suite d’une conversation avec George Markstein, qui évoquait l’existence de lieux où l’on mettait au vert d’anciens agents secrets, l’idée a fait son chemin dans l’esprit de l’acteur. Mais au lieu d’en faire une série d’espionnage (d’ailleurs, rien n’indique dans la VO que le Numéro 6 soit un ancien agent secret et McGoohan a révélé plus tard que son personnage était sans doute un ex-scientifique), il tourne une énigme allégorique. Le Prisonniern’est pas la suite deDestination danger, les deux séries n’ayant en commun, à quelques détails près,que leur interprète principal.
D’ailleurs, Le Prisonnier ne saurait être la continuation ou le commencement de quoi que ce soit puisque la série boucle sur elle-même : la dernière image du dernier épisode est aussi la première du premier épisode. Pour Le Prisonnier, Patrick McGoohan s’occupe de tout. En plus d’avoir créé la série, il la produit. Il en écrit et réalise de nombreux épisodes,certains sous lespseudonymes de Paddy Fitz et Joseph Serf. Il choisit comme cadre à son village imaginaire l’Hôtel Portmeirion, situé au Pays de Galles, œuvre d’un architecte visionnaire du nom de Clough Williams-Ellis, qui existe toujours aujourd’hui.
Une série intemporelle Lorsqu’il fut diffusé pour la première fois, le dernier épisode, intitulé Le dénouement, provoqua un beau tollé. L’acteur-producteur fut même obligé de quitter la Grande-Bretagne avec sa famille. Bon nombre de téléspectateurs s’obstinèrent(et certains persistent encore) à ne pas comprendre cette fin où l’identité du Numéro1 était enfin révélée. Patrick McGoohan s’en est parfois étonné : « Il n’est pas nécessaire d’être diplômé en philosophie pour comprendre que le sujet traité dans Le Prisonnier n’est autre que “nous sommes tous prisonniers de nous-mêmes” ».
Le Prisonnier est bien autre chose qu’une simple série. Elle peut être revue inlassablement et chaque nouveau visionnage est une merveilleuse découverte. C’est uneœuvre d’art, accessible à tous, où la beauté des images le dispute à une structure narrative complexe. Le sens que chacun peut lui donner varie en fonction des individus et des âges de la vie auxquels elle est vue. Le Prisonnier est bel et bien une série intemporelle.
Nous vous souhaitons à toutes et à tous une excellente semaine Et......Bonjour chez vous! Cécile et Pierre
Piqûres de moustiques : ce qu'il ne faut surtout pas faire ! Les boutons de moustiques sont toujours très désagréables. De nombreuses solutions existent pour faire passer les démangeaisons. Mais attention ! Ne vous fiez pas à n'importe quels remèdes de grand-mère au risque de favoriser une infection ! Voici tout ce qu'il ne faut pas faire.
Se gratter, grosse erreur ! Pourquoi ? " Gratter un bouton de moustique peut augmenter les risques d’infection, surtout si on a les ongles sales. De plus, le fait de gratter empêche la cicatrisation de la plaie. Lorsque vous grattez, vous augmentez encore plus l’inflammation de la piqûre de moustique"
Mettre du vinaigre ou de l’ammoniaque sur la piqûre Pourquoi est-ce une erreur ? "C’est une vieille recette de grand-mère qui n’a aucun effet sur le bouton de moustiques. Le vinaigre ou encore l’ammoniaque est sans utilité en cas de piqûre, de plus ils sont mauvais pour la peau" déclare un pharmacien parisien. Si vous avez l'impression que cela marche, c'est un donc un effet 100% placebo.
Utiliser du feu ou un corps incandescent pour sécher la piqûre Pourquoi est-ce une erreur ? "La chaleur n’est pas une solution pour guérir la piqûre de moustique. Apporter du feu ou un corps incandescent favorise le risque de brûlure beaucoup plus important que la piqûre de moustique en elle-même"
Oublier de désinfecter la piqûre Pourquoi est-ce une erreur ? "De toute évidence, ne pas désinfecter une piqûre d'insectes augmente les risques d’infection. Et s ’il y a infection, il est nécessaire de prendre des antibiotiques" prévient Corinne de la pharmacie Devulder. Donc la prochaine fois, ne tardez pas. Vous apaiserez plus rapidement les démangeaisons.
Mettre de l’éosine sur un bouton de moustique Pourquoi est-ce une erreur ? " Ce produit désinfectant est coloré (rouge). Il est déconseillé sur les piqûres de moustiques car à l’œil nu il est impossible de voir s’il y a une infection en présence de l’éosine" explique un pharmacien parisien. Pour désinfecter, prenez plutôt un antiseptique transparent.
Oublier qu'on est allergique aux piqûres de moustiques Pourquoi est-ce une erreur ? "Il est important de ne pas oublier son allergie aux piqûres de moustiques. Il est conseillé de toujours avoir un kit avec soi afin de faire face à une piqûre" déclare un pharmacien parisien.
Prendre de l’aspirine ou des inflammatoires en cas de paludisme Pourquoi est-ce une erreur ? "Il est important de ne pas prendre de cachet d’aspirine si vous êtes susceptible d’être victime du paludisme. Tout comme les médicaments anti-inflammatoires, l’aspirine est un anti-agrégant antiplaquettaire qui provoque une dissémination fulgurante du parasite. Cela entraîne une fièvre palustre" rappelle un pharmacien parisien.
Brasserie Georges, 180 ans de bonne bière et bonne chère
La brasserie Georges, c’est l’un des repères de Lyon. Un monument indissociable de la ville. Plus ancien que le plus symbolique des signes majeurs lyonnais, l’inébranlable Fourvière. La Georges, c’est aussi l’un des plus vieux restaurants de France. “Bonne bière et bonne chère depuis 1836”. Un bastion alsacien au royaume de la quenelle.
DR Une salle de 700 m2 et pourtant pas le moindre pilier susceptible de troubler l'ordonnancement des lieux
Pousser la porte de la Georges, c’est faire un saut dans l’histoire. La grande, celle qu’on apprend dans les manuels. Le temps ne semble plus avoir de prise sur cette caravelle Art déco dont la façade tire sur 42 mètres de long. Un roi, un empereur, trois guerres et quatre républiques s’y sont engouffrés. Imaginez un peu ! On y brasse de la bière depuis la monarchie de Juillet. Si on y fait bonne chère depuis 1836 – c’est écrit en énorme sur un pan de mur –, on y boit surtout de la bière ; la choucroute ne servant, à l’origine, qu’à éponger les quantités astronomiques de houblon et d’orge ingurgitées. D’après les livres de comptes, en 1860, la brasserie en écoule près de 3 000 hectolitres... C’est la “déferlante Gambrinus” (le roi de la bière), comme on dit alors à Lyon, un raz-de-marée d’autant plus implacable que le phylloxéra ravage la vigne. À cette époque, Lyon compte une bonne trentaine de brasseurs, dont l’usine de la Georges, qui occupe la place de leader. Aujourd’hui, la brasserie a renoué avec son passé et produit sa propre bière.
Du chou au pays du gratton DR Quelques chiffres annuels : 78 tonnes de légumes, 68 de cochonaille, 48 de viande et volaille, 21 de poisson, 48 de choucroute
Mais, de l’Alsace, vient aussi la choucroute. Dès les années 1850, l’épouse du fondateur– Georges Hoffherr, dont l’imposant buste en bronze trône dans la grande salle – se plaint d’ailleurs dans son journal de bord que leur charcutier attitré n’arrive pas à suivre la cadence infernale de la Georges. Il faut dire que la maison du cours Verdun collectionne les superlatifs : 78 tonnes de légumes, 68 de cochonnailles (à Lyon, il était exclu de faire l’impasse sur les spécialités locales), 48 de viande et volaille, 21 de poisson et 48 de choucroute. “La choucroute, c’est un quart des plats. On vient d’abord à la brasserie Georges pour sa choucroute”, fait remarquer Gérarld Straga, le chef des cuisines, qui, on le sent au ton de sa voix, aimerait que les clients piochent un peu plus dans la carte : les petites lottes braisées, pommes grenaille, les œufs cocotte à la crème de whisky et leurs moules de bouchot, les brochettes de gigot d’agneau, le tian de légumes, la daube de noix de joue de bœuf et les pieds de veau au saint-joseph, etc. La choucroute... et l’omelette norvégienne ! Une institution dans l’institution. La plus grosse vente de desserts : mille par semaine.
Une mécanique bien huilée DR Le chef de cuisine donne alors ses ordres par micro aux 20 cuisiniers de métier, assistés de 3 sous-chefs. “C’est une véritable ingénierie qui fonctionne à flux tendu, confirme Jacky Gallmann, le directeur.
La brasserie Georges, c’est une machine complexe, une mécanique huilée aux petits oignons. “Il ne suffit pas d’avoir une Rolls, aime à dire Christian Lameloise, l’actuel propriétaire. Encore faut-il un bon moteur.” Car, pour servir, en temps et en heure, près d’un millier de personnes tous les jours de l’année (la brasserie ne ferme jamais), la machine ne peut pas s’enrayer. Tout est millimétré. Chacun a un rôle bien précis, un poste qu’il faut tenir. Les 25 chefs de rang gèrent un carré de huit à dix tables. Les 11 maîtres d’hôtel épaulent 2 chefs de rang. Deux adjoints de direction supervisent le tout. Et un directeur général chapeaute l’ensemble. Les commandes sont envoyées par informatique en cuisine. Le chef de cuisine donne alors ses ordres par micro aux 20 cuisiniers de métier, assistés de 3 sous-chefs. “C’est une véritable ingénierie qui fonctionne à flux tendu, confirme Jacky Gallmann, le directeur. Le temps que les cuisines se rendent compte qu’un plat va manquer, on en a déjà vendu une cinquantaine en salle...” Les gros jours (Fête des lumières, 8 mai), la Georges peut être livrée deux fois par jour. Les mètres cubes de riesling “vieilles vignes” du domaine Schaeffler-Woerly sont acheminés de Dambach-la-Ville, les kilomètres de saucisses envoyés par le roi Bobosse Ier, les palettes de chou râpé fermenté – “cuit sur place” – débarquent directement du petit village de Krautergersheim, dans le Bas-Rhin, dont le nom signifie à quelque chose près “chou-ville” (kraut veut dire chou, en alémanique).
L’âme de la Georges DR
Ça, c’est pour les coulisses. Côté scène, la Georges est un théâtre, un spectacle permanent. “On est toujours en représentation”, souscrit Philippe Roux, l’un des maîtres d’hôtel – dont le jumeau est aussi maître d’hôtel... à la Georges. Il y a l’homme-orchestre, Jacky Gallmann, alsacien et fils d’aubergiste, ça ne s’invente pas. Puis le ballet des serveurs, nœud pap’ noir sur chemise blanche, gilet sombre sur tablier immaculé. Impeccables, virevoltant de table en table, leur énorme plateau de choucroute tenu d’une seule main et bien calé sur l’épaule. Il y a aussi ce brouhaha ininterrompu, cette immense et joyeuse clameur qui jaillit d’un peu partout. Quand ce n’est pas toute la salle qui applaudit et commente les éclats sonores de l’orgue de Barbarie qui entonne Le Poinçonneur des lilas, La Vie en rose ou Je m’voyais déjà en haut de l’affiche. Entrer dans la Georges, c’est sentir battre le pouls de la ville. “Une véritable ruche humaine”, savoure Christian Lameloise, surplombée par un plafond – “œuvre d’art unique au monde”– d’une seule portée, soutenu uniquement par quatre immenses poutres en sapin de 25 mètres de long (transportées, à l’époque, depuis la Chartreuse et le Vercors sur des chariots traînés par six paires de bœufs). Pourtant, la Georges a bien failli y laisser un jarret, quand fut inauguré le tunnel de Fourvière. C’était le 8 décembre 1971. Rien n’y a fait. La Georges, 178 ans, est toujours fringante. Jules Verne, Verlaine, Sartre, Mistinguett, Ernest Hemingway, Louison Bobet ont toujours leur place attitrée avec leur plaque de cuivre rivée sur les banquettes en moleskine rouge. L’air du temps, hors du temps. “Garçon, une royale et une pils, s’il vous plaît !”
Les arbres patriarches, les vieux de nos forêts bretonnes. Près de 400 arbres sont considérés comme "remarquables" en Bretagne. Que signifie exactement cette appellation ? Parmi eux, il y a cinq patriarches, "les vieilles branches". Mickaël Jezegou chargé de l'aménagement forestier au Conseil départemental du 22 nous livre leurs secrets. ECPublié le 12 septembre 2016 à 11:25, mis à jour le 12 septembre 2016 à 12:01
Ils se dressent majestueux, en Bretagne, ce sont les arbres remarquables. Mais que met-on derrière cette appellation ?Ces arbresse distinguent en fait des autres, par leur taille, leur forme. Ils représentent aussi des arbres consacrés par une histoire et peuvent devenir des éléments du patrimoine. Il peut s’agir d’un arbre isolé, d’un alignement, d’une allée ou d’un arbuste.
Les vieilles branches
En Bretagne, cinq d'entre eux font figure de vétérans : le châtaignier de Pont L’Abbé, l’if de Saint-Maudez, l’if de Pommerit-le-Vicomte, le chêne de Tronjoly à Bulat-Pestivien, le chêne à Guillotin en forêt de Paimpont. L'un d'eux est même "protégé", le châtaignier. Mickaël Jezegou auteur de "Arbres remarquables en Bretagne" s'occupe aussi de l'aménagement forestier au Conseil départemental des Côtes d'Armor. Il nous dévoile les dessous de l'écorce... http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/emissions/bretagne-matin/les-arbres-patriarches-les-vieux-de-nos-forets-bretonnes.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20160912-[info-titre3]
Un globe géant pour l’Exposition Universelle de 2025
Publié le 08/09/16 à 18:19 Le géographe Elisée Reclus avait imaginé cette sphère monumentale pour l’Exposition Universelle de 1900. Si la France est choisie pour l’Expo 2025, ce projet pourrait enfin voir le jour et en devenir le symbole.
Si Paris devenait la ville hôte de l’Exposition Universelle 2025 , voici l’immense structure que ses visiteurs du monde entier pourraient ydécouvrir: un immense globe terrestre. Nulle nouveauté: ce globe terrestre n’est autre que celui imaginé par le géographe Elisée Reclus, il y a une centaine d’années.
À l’occasion de l’Exposition de 1900, l’édifice devait être installé au pied de la Tour Eiffel, sur la colline de Chaillot. Victime de son gigantisme, le projet n’avait finalement jamais été réalisé. Il revient désormais de plus belle, sélectionné par le comité d’ExpoFrance 2025.
Près de 200 mètres de haut, 60 mètres de large et un diamètre de 127 mètres, voici ce que représenterait cette Terre au 1/100.000e. Aujourd’hui, il serait impensable de l’installer en plein milieu du Champ de Mars en raison du manque d’espace évident. C’est donc au centre du futur «Village global » présenté par le Comité que se trouverait la structure.
Grand d’une cinquantaine d’hectares et installé au-delà du périphérique parisien dans le Grand Paris, le terrain consacré à l’Exposition s’étendrait à cheval sur plusieurs communes telles que Saclay ou Aulnay-sous-Bois, peut-être les prochains lieux d’accueil de cet objet d’architecture.
Un objet connecté à l’échelle planétaire
Et quoi de plus ludique qu’un objet connecté pour célébrer le thème de l’évènement: «Au cœur des territoires s’ouvre celui des hommes». Non seulement géant, ce globe serait aussi un véritable gadget technologique. Il serait capable de recevoir des données du monde entier afin que chaque pays puisse faire visiter en réalité augmentée ses propres paysages et sa culture.
De quoi convier la géographie au cœur de nos cités et mieux encore, de quoi faire un voyage au centre de la Terre. Car grâce à des escaliers et plateformes installés au cœur de la structure, les visiteurs pourraient se promener à l’intérieur de la sphère.
Pour le député-maire de Neuilly Jean-Christophe Fromantin, «ce globe sera un laboratoire grandeur nature des progrès technologiques, immersifs et architecturaux». «Il aura vocation à devenir un monument, le siège de grandes entreprises, ou pourquoi pas un laboratoire entouré d’une pépinière d’entreprises».
Les organisateurs espèrent ainsi que ce grand projet pourra permettre à Paris de se démarquer des autres villes concurrentes, comme Londres, San Francisco, Rotterdam ou Osaka.
Il faisait beau ces deux jours à Ulm, une jolie petite ville située sur les bords du Danube en Allemagne. C’était mes premiers jours de printemps,le soleil et ciel bleu conféraient à la ville un petit air de vacances alors j’en ai profité, j’ai pris du plaisir à flâner, à me balader dans les petites rues au charme typiqued’une petite ville du Bade-Wurtemberg. Récit de ce coup de coeur ! Ulm et la plus haute cathédrale d’EuropeLa première chose que l’on voit en arrivant à Ulm, c’est la cathédrale avec sa flèche, la plus haute d’Europe… Où que l’on soit, en ville, dans les alentours, dans les bâtiments voisins, on l’aperçoit forcément avec ses 161m 53 exactement de haut… On peut monter jusqu’à une petite plateforme qui se situe à 143m de haut, pour cela il faut juste gravir les 768 marches qui séparent le plancher des vaches de celle-ci ! Je l’ai fait et j’avoue la vue à 360° sur les alentours est magnifique ! Autant vous dire qu’elle se mérite. Le plus dur, c’est la première partie, celle qui mène jusqu’au superbe escalier de la flèche. Après tout est ouvert, on respire, ce serait limite facile… Avant il ne faut pas être claustrophobe.
A côté de la cathédrale, j’ai aussi beaucoup aimé la Stadthaus, la maison de la ville. Elle abrite l’office du tourisme mais aussi une salle d’exposition d’art contemporain. Elle a été dessinée par l’architecte américain Richard Meier. Il y a de chouettes photos à faireavec ce bâtiment et la cathédrale. Je me suis bien amusée avec mon appareil photo
La ville est très contrastée. Le neuf et le vieux, le moderne et l’ancien c’est un peu la marque de fabrique de Ulm (et on le voit bien sur les photos ci-dessous). Outre la maison de la ville, il y a cette pyramide que l’on trouve juste à côté de l’hôtel de ville. Son architecte est l’allemand Gottfried Böhm. Il y a un vrai contraste avec l’hôtel de ville construit lui en 1370.
Les habitants ont eu du mal à s’habituer à ces contrastes et puis comme pour notre Pyramide du Louvre, ils se sont habitués et ne reviendraient pour rien au monde en arrière.
Le quartier des pêcheurs ou Ulm la charmeuseLe quartier des pêcheurs et des tanneurs, avec ses maisons à pans de bois, est le quartier le plus charmant de Ulm. Au programme : vieilles ruelles, maisons penchées, petit pont de pierre qui traverse la Bleue, chemin de ronde des rempartsq ui offre une belle vue sur le Danube… L’endroit idéal pour flâner en laissant aller son regard en l’air, par terre, sur l’eau… Petite revue en images :......................
....................maisons à colombages, l’euro vélo qui traverse l’Europe et passe par là avant de partir vers la Bavière, des bâtiments historiques qui côtoient des créations plus modernes. L’hôtel insolite : la Schiefes haus, la maison penchéeC’est dans ce quartier que l’on trouve la maison penchée, aujourd’hui transformée en un hôtel insolite. Cette maison est penchée jusque dans son intérieur. Posez une valise et elle dévalera la chambre toute seule. Seul le lit lui n’est pas penché mais par contre les pieds ne sont pas tous au même niveau. En parlant de niveau, il y en a un sur la tête du lit pour bien vérifier qu’il est toujours droit et vous n’allez pas glisser par terre ! D’après le Guiness des records, cette maison serait l’hôtel le plus penché du monde… Maintenant je peux dire que j’ai dormi dans l’hôtel le plus penché du monde
L’Euro vélo sur les bords du Danube A Ulm nous sommes au Bade-Wurtemberg côté frontière de la Bavière. Le long du Danube qui traverse la ville, on peut traverser l’Allemagne par le sud, aller jusqu’en Bulgarie d’un côté et à Nantes de l’autre. C’est l’EuroVélo 6. Se déplacer à vélo à Ulm est vraiment agréable. Sur la rive droite du Danube, on a de belles vues sur la cathédrale et le quartier des pêcheurs.
Avec mon vélo, je suis allée jusqu’à l’abbaye de Wiblingen par les bords du Danube. Elle se trouve à environ 5 ou 6 kilomètres, il faut compter une grosse vingtaine de minute pour y aller. C’était vraiment sympa de traverser les sous-bois via la piste cyclable et de faire une pause pique-nique sur l’herbe avant de visiter l’abbaye.
L’abbaye de Wiblingen et sa bibliothèqueFondée en 1092 par des moines bénédictins, elle est assez sobre d’extérieur mais dès qu’on entre dans la bibliothèque, bienvenue dans l’époque Rococo et dans la basilique, coucou le Baroque. Bref ça vaut un petit détour à vélo par les bords du Danube, croyez moi !
Ulm est vraiment une ville sympa où il fait bon flâner. Des bords du Danube au quartier des pêcheurs en passant par sa cathédrale, elle vaut bien de s’y arrêter deux jours. Cette ville a été pour moi le vrai coup de coeur de ce voyage au Bade-Wurtemberg en Allemagne. Quelques bonnes adresses à Ulm Le bar – restaurant Bootshaus Ce restaurant situé sur un bateau accosté sur les bords du Danube, est super agréable pour diner ou boire un verre sur sa terrasse. Lieu idéal pour un petit diner au coucher du soleil.Le menu est assez varié et la carte des cocktails assez fournie. Il faut néanmoins prévoir un petit budget au moins 30 à 40 euros par personne, boissons incluses.
Le restaurant zur Forelle Avec sa petite terrasse fleurie qui donne sur la Bleue, ce restaurant est idéalement situé pour faire une pause déjeuner bien méritée au calme. Il propose des plats du jour pas trop chers (autour de 10 euros quand même) et une carte classique avec des plats sesituant autour de 16/20 euros.Le service est un peu lent, l’addition pas vraiment en rapport avec ce qu’on avait commandé mais on y mange plutôt bien !
Le café Gustaff Le café Gustaff a été ma première adresse testée à Ulm. Ce petit café qui a ouvert ses portes dans un ancien théatre est assez agréable. J’ai aimé la décoration simple mais quand même un peu recherchée et je m’y voyais bien pour une pause déjeuner sur le pouce avec mes copines !En face il ne faut pas passer à côté de la boulangerie Zaiser chez qui il faut absolument aller pour acheter le Ulmer Zuckerbrot, la spécialité de la maison. Cette boulangerie se transmet de génération en génération depuis 1838.
Dormir dans la maison la plus penchée du monde, c’est une expérience. Si celle-ci est assez unique, l’accueil y est fantastique, le confort très bon et comme la maison est située dans le quartier des pêcheurs, c’est très calme. Ceci étant, j’ai quand même été un peu déçue par la décoration intérieure des chambres et de la salle à manger que j’ai trouvée sans charme. Il y avait mieux à faire dans une maison aussi singulière.
UN BUNKER SOUTERRAIN DES ANNEES 60.. . Ce sont les images d’un bunker souterrain des années 60, un abri conçu par Girard B. « Jerry » Henderson pour survivre en cas de guerre mondiale. Un type de construction qui n’était pas rare à l’époque puisque 70% estimait la guerre imminente et la société Underground World Home Inc de Henderson en a fabriqué plus d’une. A plus de 7 mètres sous terre, il dispose de tout le confort (avec piscine, barbecue et même salle de fête) mais surtout d’une décoration d’époque dans les 500 mètres carrés qu’il occupe. Un faux ciel est activé via un commutateur et les durées de nuit et de jour sont réglables, nourrissant de la lumière d’un faux soleil de faux arbres. De faux arbres plantés dans de faux jardins avec de faux paysages. Cette coque de béton simulant une petite maison tranquille est situé sous une batisse de Las Vegas et s’est vendue quelques 1 million d'€ en Mars 2014.
Le 17 oût 1661, Nicolas Fouquet, surintendant des Finances de Louis XIV , inaugure la fête des Chandelles à à Vaux le Vicompte; Le château de Vaux-le-Vicompte a été la "maison" des plus grands de l'époque : le jardinier Lenôtre, le peintre et décorateur Le Brun et le cuisinier Vattel. Tous les ans, le château revit cette tradition en permettant aux visiteurs, de décourvrir l'intérieur des lieux à la chandelle, de profiter d'un feux d'artifice et de goûter aux plats gastronomiques préparés dans les cuisines du château.
11 Septembre...15 ans Après Les Attentats, L'Amérique Se Recueille...
Les attentats du 11 septembre 2001 sont quatre attentats-suicides perpétrés le même jour aux États-Unis, entre 8h14 et 10h03, par des membres du réseau djihadiste islamiste Al-Qaïda, visant des bâtiments ... Wikipédia Les attentats les plus meurtriers jamais commis. Les Etats-Unis commémorent ce dimanche les 15 ans des attaques du 11 septembre 2001. De 8h46 à 10h28, quatre attentats-suicide coordonnés ont fait près de 3 000 morts à New York, Washington et en Pennsylvanie. Deux avions de ligne détournés ont été précipités contre les tours du World Trade Center à New York (2 753 morts), un troisième a éventré le Pentagone (siège du ministère de la Défense) en banlieue de Washington (184 morts), et un quatrième, dirigé aussi vers la capitale américaine, s'est écrasé dans un champ à Shanksville, en Pennsylvanie, après une révolte des passagers (40 morts). Quelque 75 000 personnes souffrent toujours de troubles mentaux et physiques liés à ces attaques commises par 19 terroristes d'Al-Qaïda. Les Etats-Unis ont répondu en lançant une «guerre mondiale contre le terrorisme» qui fait rage encore aujourd'hui. 11 Septembre...Le terrorisme est devenu une menace globale Journée mondiale de lutte contre le terrorisme... Le 11 septembre est reconnu depuis 2008 comme la Journée mondiale de lutte contre le terrorisme, une date qui n'a pas été choisie au hasard. Il y a d'ailleurs 15 ans, aujourd'hui, survenait l'un des actes de terrorisme les plus marquants de l'histoire, soit les attentats du 11 septembre 2001. Ce triste anniversaire sera souligné cet avant-midi, à New York, de même qu'à la grandeur des États-Unis et ailleurs dans le monde.
Revivez le 11 Septembre en 2 minutesLes attentats du 11 septembre 2001 ont fait près de 3000 morts à New York, à Washington et en Pennsylvanie. Les attaques orchestrées par Al-Qaïda ont bouleversé les États-Unis et changé le monde. Revoyez les moments marquants de cette journée tragique. Journée mondiale de lutte contre le terrorisme Depuis 2008, le 11 septembre a été reconnu Journée Mondiale de Lutte contre leTerrorisme par de nombreuses associations, comme le MPCT (Mouvement pour la Paix et Contre le Terrorisme). Un site à visiter : www.sos-attentats.org Notre dossier: Les attentats du 11 septembre 2001Au matin du 11 septembre 2001, 19 terroristes détournent quatre avions de ligne afin de les faire s’écraser sur des bâtiments hautement symboliques du Nord-Est des États-Unis. Deux avions sont projetés sur les tours jumelles du World Trade Center, à Manhattan, et le troisième sur le Pentagone, siège du Département de la Défense, à Washington, tuant toutes les personnes à bord et de nombreuses autres victimes travaillant dans ces immeubles.
L'équipage du quatrième avion arrive à reprendre le contrôle de l'appareil et empêche les terroristes de faire s’écraser l'avion sur la Maison Blanche. On retrouvera l'appareil dans la campagne de Shanksville en Pennysylvanie, non loin de la capitale. Toutes les personnes à bord seront tuées.
Les événements du 11 septembre ont été suivis presque en temps réel par desmillions de spectateurs à travers le monde et ont provoqué un choc psychologique, notamment lors de l'effondrement en direct en quelques secondes des tours jumelles. L'attentat aura fait en tout 2973 morts, de 93 nationalités différentes.
Cependant le site du World Trade Center n'est pas le seul à avoir été touché par ces attentats. En effet, le Pentagone a également subit une attaque le matin du 11 septembre. Plusieurs témoins affirment avoir vu le Boeing 757 voler à basse altitude et se dirigeant droit vers le Pentagone. Le Pentagone après avoir été percuté par le Boeing 757.
En 2002, la Commission Nationale des attaques terroristes contre les États-Unis est créée pour expliquer comment ont pu se produire de tels attentats et éviter qu'ils ne se reproduisent. Dans un rapport publié en 2004, elle donne comme responsable de ces actes terroristes le réseau d'Al-Qaida en affirmant que les 19 terroristes auteurs de ces attentats-suicides en étaient membres et étaient sous les ordres d'Oussama Ben Laden, qui a revendiqué à plusieurs reprises sa responsabilité dans les attentats.
Lors des interrogatoires préliminaires au procès, un membre du réseau terroriste Khalid Cheikh Mohammed a avoué être le principal organisateurdes attaques. Pourtant plusieurs personnes contestent ces explications et se tournent vers une autre version appelée la « théorie du complot ». Cette théorie avance le fait que ces attentats ont été organisés par le gouvernement des Etats-Unis eux-mêmes afin de justifier leurs intervention dans la guerre en Irak.
Suite à ce drame, le gouvernement des États-Unis ainsi que de nombreux autres pays ont décidé de renforcer leur dispositifs de sécurité et leur législation antiterroriste.
L'administration américaine a engagé une « guerre contre le terrorisme » notamment en Afghanistan dès octobre 2001, dont le régime taliban, favorable à Al-Qaida, était soupçonné d'héberger Oussama Ben Laden.
Le Pentagone a été réparé en 2006, et six nouvelles tours dont le "1 World Trade Center", devraient être construites sur le site du World Trade Center d'ici 2015.
Le mémorial du 11-Septembre, de manière formelle le National September 11 Memorial & Museum, est un mémorial et un musée à New York en mémoiredes victimes des attentats du 11 septembre 2001 contre les ... Wikipédia L'une des principales conséquences du 11 Septembre 2001 est le lancement de la « guerre contre le terrorisme » ou « guerre contre la terreur », nom donné par l'administration de Georges W. Bush aux campagnes de l'armée américaine en Afghanistan (en Octobre 2001) et en Irak (en 2003). La guerre contre le terrorisme consiste en plusieurs actions policières, politiques et militaires du gouvernement des États-Unis, appuyé par différents alliés dont l'OTAN, contre différentes organisations liées au terrorisme islamiste, en premier lieu contre Al-Qaida. Après les attentats, l'administration américaine a adoptée des mesures exceptionnelles visant à combattre lesorganisations terroristes mondiales, et pas seulement islamistes... - Le Patriot Act, voté par le Congrès et signé par Georges W. Bush le 26 octobre, permet aux agences fédérales américaines d'effacer les distinctions juridiques entre elles s'il s'agit de terroristes étrangers et créé également les statuts de "combattant ennemi" (ou illégal), qui permet au gouvernement de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste. - Le Homeland Security Act, présenté au Congrès dans les mois suivant les attentats et voté le 25 novembre 2002, créé une banque de données de 300 millionsde fiches qui regroupent des informations de sources publiques et privées sur chaque Américain.
Pour bien commencer cette semaine, Cécile et Pierre vous proposent un petit
tour parmi ces feuilletons un peu farfelus mais souvent très appréciés.
Souvenez-vous....
Max La Menace... la série date des années 60..... Max est un agent secret ,
un mot pour le qualifier... disons : farfelu, loufoque avec des gadgets
eux aussi loufoques(en photo, la chaussure téléphone). Bon résumé
comme ça, la série semble voler bien bas, mais lorsqu elle était
diffusée on cherchait une bonne place devant la télé du salon..
On riait des pitreries de l'agent 000!
l'agent triple 000 en mission avec l'agent 89!
Don Adams et Barbara Feldon
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Chapeau melon et bottes de cuir:
"Madame Peel, je crois qu'on a besoin de nous"
Emma Peel (Diana Rigg) & John Steed (Patrick Macnee)1960
Chapeau melon et bottes de cuir
Duchess Mews, lieu de tournage extérieur de l’appartement de Steed.
série britanique SO BRITISH mélangeant espionnage, science-fiction et action, mettant en
scène John Steed gentleman anglais adorant le champagne.
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Le prisonnier - The prisoner - Number 6 "Je ne suis pas un numéro. Je suis un homme libre !"
Série de Patrick McGoohan (Royaume-Uni, 1967-68, 17 épisodes de 52 mn)
Un agent secret britannique démissionne brutalement de son poste et rentre chez lui au volant
de sa Lotus Seven.
Alors qu'il fait ses valises pour partir en vacances, un gaz anesthésiant est diffusé dans son appartement londonien.
À son réveil, il est dans un autre lieu, le Village. C'est un endroit étrange, à l'architecture baroque, dirigé par le Numéro 2 ethabité par une communauté de villageois, tous vêtus d'habits colorés. Un badge numéroté sur la poitrine les identifie.
L'homme est désormais le Numéro 6.
L'acteur Principal: Patrick Mac Gohan: allias numéro 6
>Le village où n°6 a été retenu
Un cauchemar à épisodes
En réalité, les raisons qui ont poussé le Numéro 6 à démissionner n’intéressent guère les Numéro 2 successifsqui n’ont aucune conscience de leur chute prochaine ni de leur remplacement programmé. Persuadés d’être arrivés au sommet de leur carrière, ils ne réalisent pas qu’ils sont eux-mêmes des numéros. Ce qu’ils reprochent au Numéro 6, c’est de ne pas adhérer à l’esprit grégaire garant de la quiétude du Village.
Le Numéro 6 est accusé dans l’épisode J’ai changé d’avis d’être un individualiste, c’est-à-dire de l’endormissement collectif organisé par les autorités. Ostracisé, isolé,il se débat sous les yeux des téléspectateurs dont le malaise croît au fur et à mesure qu’ils prennent conscience qu’ils ne sont pas en train de regarder une série comme les autres mais une œuvre qui leur tend un miroir dans lequel ils observent le reflet de leur propre vie. « Qui est le Numéro 1 », la lancinante question que pose le Numéro 6, finit par résonner en eux pour devenir :
« Qui est notre Numéro 1 ? »
Les réponses sont une prison
C’est grâce au statut de vedette qu’il avait acquis en tournant Destination danger que Patrick McGoohan a réussi à imposer Le Prisonnier. Née à la suite d’une conversation avec George Markstein, qui évoquait l’existence de lieux où l’on mettait au vert d’anciens agents secrets,
l’idée a fait son chemin dans l’esprit de l’acteur. Mais au lieu d’en faire une série d’espionnage
(d’ailleurs, rien n’indique dans la VO que le Numéro 6 soit un ancien agent secret et McGoohan
a révélé plus tard que son personnage était sans doute un ex-scientifique), il tourne une énigme allégorique.
Le Prisonnier n’est pas la suite de Destination danger, les deux séries n’ayant en commun, à quelques détails près,que leur interprète principal.
D’ailleurs, Le Prisonnier ne saurait être la continuation ou le commencement de quoi que ce soit puisque la série boucle sur elle-même : la dernière image du dernier épisode est aussi la première du premier épisode. Pour Le Prisonnier, Patrick McGoohan s’occupe de tout. En plus d’avoir créé la série, il la produit. Il en écrit et réalise de nombreux épisodes,certains sous lespseudonymes de Paddy Fitz et Joseph Serf. Il choisit comme cadre à son village imaginaire l’Hôtel Portmeirion, situé au Pays de Galles, œuvre d’un architecte visionnaire du nom de Clough Williams-Ellis, qui existe toujours aujourd’hui.
Une série intemporelle
Lorsqu’il fut diffusé pour la première fois, le dernier épisode, intitulé Le dénouement, provoqua un beau tollé. L’acteur-producteur fut même obligé de quitter la Grande-Bretagne avec sa famille. Bon nombre de téléspectateurs s’obstinèrent(et certains persistent encore) à ne pas comprendre cette fin où l’identité du Numéro1 était enfin révélée.
Patrick McGoohan s’en est parfois étonné : « Il n’est pas nécessaire d’être diplômé en philosophie pour comprendre que le sujet traité dans Le Prisonnier n’est autre que
“nous sommes tous prisonniers de nous-mêmes” ».
Le Prisonnier est bien autre chose qu’une simple série.
Elle peut être revue inlassablement et chaque nouveau visionnage est une merveilleuse découverte.
C’est uneœuvre d’art, accessible à tous, où la beauté des images le dispute à une structure narrative complexe.
Le sens que chacun peut lui donner varie en fonction des individus et des âges de la vie auxquels elle est vue. Le Prisonnier est bel et bien une série intemporelle.
Nous vous souhaitons à toutes et à tous une excellente semaine
Et......Bonjour chez vous!
Cécile et Pierre
Les boutons de moustiques sont toujours très désagréables. De nombreuses
solutions existent pour faire passer les démangeaisons. Mais attention !
Ne vous fiez pas à n'importe quels remèdes de grand-mère au risque de
favoriser une infection ! Voici tout ce qu'il ne faut pas faire.
Se gratter, grosse erreur !
Pourquoi ? " Gratter un bouton de moustique peut augmenter les risques
d’infection, surtout si on a les ongles sales. De plus, le fait de
gratter empêche la cicatrisation de la plaie. Lorsque vous grattez, vous
augmentez encore plus l’inflammation de la piqûre de moustique"
Mettre du vinaigre ou de l’ammoniaque sur la piqûre
Pourquoi est-ce une erreur ? "C’est une vieille recette de grand-mère qui n’a
aucun effet sur le bouton de moustiques. Le vinaigre ou encore
l’ammoniaque est sans utilité en cas de piqûre, de plus ils sont mauvais
pour la peau" déclare un pharmacien parisien. Si vous avez l'impression
que cela marche, c'est un donc un effet 100% placebo.
Utiliser du feu ou un corps incandescent pour sécher la piqûre
Pourquoi est-ce une erreur ? "La chaleur n’est pas une solution pour guérir la
piqûre de moustique. Apporter du feu ou un corps incandescent favorise
le risque de brûlure beaucoup plus important que la piqûre de moustique
en elle-même"
Oublier de désinfecter la piqûre
Pourquoi est-ce une erreur ? "De toute évidence, ne pas désinfecter une piqûre
d'insectes augmente les risques d’infection. Et s ’il y a infection, il
est nécessaire de prendre des antibiotiques" prévient Corinne de la
pharmacie Devulder. Donc la prochaine fois, ne tardez pas. Vous
apaiserez plus rapidement les démangeaisons.
Mettre de l’éosine sur un bouton de moustique
Pourquoi est-ce une erreur ? " Ce produit désinfectant est coloré (rouge). Il
est déconseillé sur les piqûres de moustiques car à l’œil nu il est
impossible de voir s’il y a une infection en présence de l’éosine"
explique un pharmacien parisien. Pour désinfecter, prenez plutôt un
antiseptique transparent.
Oublier qu'on est allergique aux piqûres de moustiques
Pourquoi est-ce une erreur ? "Il est important de ne pas oublier son allergie
aux piqûres de moustiques. Il est conseillé de toujours avoir un kit
avec soi afin de faire face à une piqûre" déclare un pharmacien parisien.
Prendre de l’aspirine ou des inflammatoires en cas de paludisme
Pourquoi est-ce une erreur ? "Il est important de ne pas prendre de cachet
d’aspirine si vous êtes susceptible d’être victime du paludisme. Tout
comme les médicaments anti-inflammatoires, l’aspirine est un
anti-agrégant antiplaquettaire qui provoque une dissémination fulgurante
du parasite. Cela entraîne une fièvre palustre" rappelle un pharmacien parisien.
La brasserie Georges, c’est l’un des repères de Lyon. Un monument
indissociable de la ville. Plus ancien que le plus symbolique des signes
majeurs lyonnais, l’inébranlable Fourvière. La Georges, c’est aussi l’un des
plus vieux restaurants de France. “Bonne bière et bonne chère depuis 1836”.
Un bastion alsacien au royaume de la quenelle.
DR
Une salle de 700 m2 et pourtant pas le moindre pilier susceptible de troubler l'ordonnancement des lieux
Pousser la porte de la Georges, c’est faire un saut dans l’histoire. La grande,
celle qu’on apprend dans les manuels. Le temps ne semble plus avoir de
prise sur cette caravelle Art déco dont la façade tire sur 42 mètres de
long. Un roi, un empereur, trois guerres et quatre républiques s’y sont
engouffrés. Imaginez un peu ! On y brasse de la bière depuis la
monarchie de Juillet. Si on y fait bonne chère depuis 1836 – c’est écrit
en énorme sur un pan de mur –, on y boit surtout de la bière ; la
choucroute ne servant, à l’origine, qu’à éponger les quantités
astronomiques de houblon et d’orge ingurgitées. D’après les livres de
comptes, en 1860, la brasserie en écoule près de 3 000 hectolitres...
C’est la “déferlante Gambrinus” (le roi de la bière), comme on dit alors à
Lyon, un raz-de-marée d’autant plus implacable que le phylloxéra ravage
la vigne. À cette époque, Lyon compte une bonne trentaine de brasseurs,
dont l’usine de la Georges, qui occupe la place de leader. Aujourd’hui,
la brasserie a renoué avec son passé et produit sa propre bière.
Du chou au pays du gratton
DR
Quelques chiffres annuels : 78 tonnes de légumes, 68 de cochonaille,
48 de viande et volaille, 21 de poisson, 48 de choucroute
Mais, de l’Alsace, vient aussi la choucroute. Dès les années 1850, l’épouse
du fondateur– Georges Hoffherr, dont l’imposant buste en bronze trône
dans la grande salle – se plaint d’ailleurs dans son journal de bord que
leur charcutier attitré n’arrive pas à suivre la cadence infernale de
la Georges. Il faut dire que la maison du cours Verdun collectionne les
superlatifs : 78 tonnes de légumes, 68 de cochonnailles (à Lyon, il
était exclu de faire l’impasse sur les spécialités locales), 48 de
viande et volaille, 21 de poisson et 48 de choucroute. “La choucroute,
c’est un quart des plats.
On vient d’abord à la brasserie Georges pour sa choucroute”, fait
remarquer Gérarld Straga, le chef des cuisines, qui, on le sent au ton
de sa voix, aimerait que les clients piochent un peu plus dans la
carte : les petites lottes braisées, pommes grenaille, les œufs cocotte à
la crème de whisky et leurs moules de bouchot, les brochettes de gigot
d’agneau, le tian de légumes, la daube de noix de joue de bœuf et les
pieds de veau au saint-joseph, etc. La choucroute... et l’omelette
norvégienne !
Une institution dans l’institution. La plus grosse vente de desserts : mille par semaine.
Une mécanique bien huilée
DR
Le chef de cuisine donne alors ses ordres par micro aux 20 cuisiniers de
métier, assistés de 3 sous-chefs. “C’est une véritable ingénierie qui
fonctionne à flux tendu, confirme Jacky Gallmann, le directeur.
La brasserie Georges, c’est une machine complexe, une mécanique huilée aux
petits oignons. “Il ne suffit pas d’avoir une Rolls, aime à dire
Christian Lameloise, l’actuel propriétaire. Encore faut-il un bon
moteur.” Car, pour servir, en temps et en heure, près d’un millier de
personnes tous les jours de l’année (la brasserie ne ferme jamais), la
machine ne peut pas s’enrayer. Tout est millimétré. Chacun a un rôle
bien précis, un poste qu’il faut tenir. Les 25 chefs de rang gèrent un
carré de huit à dix tables. Les 11 maîtres d’hôtel épaulent 2 chefs de
rang. Deux adjoints de direction supervisent le tout. Et un directeur
général chapeaute l’ensemble. Les commandes sont envoyées par
informatique en cuisine. Le chef de cuisine donne alors ses ordres par
micro aux 20 cuisiniers de métier, assistés de 3 sous-chefs. “C’est une
véritable ingénierie qui fonctionne à flux tendu, confirme Jacky
Gallmann, le directeur. Le temps que les cuisines se rendent compte
qu’un plat va manquer, on en a déjà vendu une cinquantaine en salle...”
Les gros jours (Fête des lumières, 8 mai), la Georges peut être livrée deux
fois par jour. Les mètres cubes de riesling “vieilles vignes” du
domaine Schaeffler-Woerly sont acheminés de Dambach-la-Ville, les
kilomètres de saucisses envoyés par le roi Bobosse Ier, les palettes de
chou râpé fermenté – “cuit sur place” – débarquent directement du petit
village de Krautergersheim, dans le Bas-Rhin, dont le nom signifie à
quelque chose près “chou-ville” (kraut veut dire chou, en alémanique).
L’âme de la Georges
DR
Ça, c’est pour les coulisses. Côté scène, la Georges est un théâtre, un
spectacle permanent. “On est toujours en représentation”, souscrit
Philippe Roux, l’un des maîtres d’hôtel – dont le jumeau est aussi
maître d’hôtel... à la Georges. Il y a l’homme-orchestre, Jacky
Gallmann, alsacien et fils d’aubergiste, ça ne s’invente pas. Puis le
ballet des serveurs, nœud pap’ noir sur chemise blanche, gilet sombre
sur tablier immaculé. Impeccables, virevoltant de table en table, leur
énorme plateau de choucroute tenu d’une seule main et bien calé sur
l’épaule. Il y a aussi ce brouhaha ininterrompu, cette immense et
joyeuse clameur qui jaillit d’un peu partout. Quand ce n’est pas toute
la salle qui applaudit et commente les éclats sonores de l’orgue de
Barbarie qui entonne Le Poinçonneur des lilas, La Vie en rose ou Je
m’voyais déjà en haut de l’affiche.
Entrer dans la Georges, c’est sentir battre le pouls de la ville. “Une
véritable ruche humaine”, savoure Christian Lameloise, surplombée par un
plafond – “œuvre d’art unique au monde”– d’une seule portée, soutenu
uniquement par quatre immenses poutres en sapin de 25 mètres de long
(transportées, à l’époque, depuis la Chartreuse et le Vercors sur des
chariots traînés par six paires de bœufs).
Pourtant, la Georges a bien failli y laisser un jarret, quand fut inauguré le
tunnel de Fourvière. C’était le 8 décembre 1971. Rien n’y a fait.
La Georges, 178 ans, est toujours fringante. Jules Verne, Verlaine,
Sartre, Mistinguett, Ernest Hemingway, Louison Bobet ont toujours leur
place attitrée avec leur plaque de cuivre rivée sur les banquettes en
moleskine rouge.
L’air du temps, hors du temps. “Garçon, une royale et une pils, s’il vous plaît !”
Merci à Guillaume Lamy.
Près de 400 arbres sont considérés comme "remarquables" en Bretagne. Que signifie exactement cette appellation ?
Parmi eux, il y a cinq patriarches, "les vieilles branches". Mickaël Jezegou chargé de l'aménagement forestier au Conseil départemental du 22 nous livre leurs secrets.
ECPublié le 12 septembre 2016 à 11:25, mis à jour le 12 septembre 2016 à 12:01
© Guy Bernard
Le châtaignier de Pont Labbé, l'un des patriarches de notre région
Ils se dressent majestueux, en Bretagne, ce sont les arbres remarquables. Mais que met-on derrière cette appellation ? Ces arbres se distinguent en fait des autres, par leur taille, leur forme. Ils représentent aussi des arbres consacrés par une histoire et peuvent devenir des éléments du patrimoine. Il peut s’agir d’un arbre isolé, d’un alignement, d’une allée ou d’un arbuste.
Les vieilles branches
En Bretagne, cinq d'entre eux font figure de vétérans : le châtaignier de Pont L’Abbé, l’if de Saint-Maudez,
l’if de Pommerit-le-Vicomte, le chêne de Tronjoly à Bulat-Pestivien, le chêne à Guillotin en forêt de Paimpont.
L'un d'eux est même "protégé", le châtaignier. Mickaël Jezegou auteur de "Arbres remarquables en Bretagne" s'occupe aussi de l'aménagement forestier au Conseil départemental des Côtes d'Armor. Il nous dévoile les dessous de l'écorce...
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/emissions/bretagne-matin/les-arbres-patriarches-les-vieux-de-nos-forets-bretonnes.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20160912-[info-titre3]
Publié le 08/09/16 à 18:19
Le géographe Elisée Reclus avait imaginé cette sphère monumentale pour l’Exposition Universelle de
1900. Si la France est choisie pour l’Expo 2025, ce projet pourrait enfin voir le jour et en devenir le symbole.
Si Paris devenait la ville hôte de l’Exposition Universelle 2025 , voici l’immense structure que ses visiteurs du monde entier pourraient ydécouvrir: un immense globe terrestre. Nulle nouveauté: ce globe terrestre n’est autre que celui imaginé par le géographe Elisée Reclus, il y a une centaine d’années.
À l’occasion de l’Exposition de 1900, l’édifice devait être installé au pied de la Tour Eiffel, sur la colline de Chaillot. Victime de son gigantisme, le projet n’avait finalement jamais été réalisé. Il revient désormais de plus belle, sélectionné par le comité d’ExpoFrance 2025.
Près de 200 mètres de haut, 60 mètres de large et un diamètre de 127 mètres, voici ce que représenterait cette Terre au 1/100.000e.
Aujourd’hui, il serait impensable de l’installer en plein milieu du Champ de Mars en raison du manque d’espace évident. C’est donc au centre du futur «Village global » présenté par le Comité que se trouverait la structure.
Grand d’une cinquantaine d’hectares et installé au-delà du périphérique parisien dans le Grand Paris, le terrain consacré à l’Exposition s’étendrait à cheval sur plusieurs communes telles que Saclay ou Aulnay-sous-Bois, peut-être les prochains
lieux d’accueil de cet objet d’architecture.
Un objet connecté à l’échelle planétaire
Et quoi de plus ludique qu’un objet connecté pour célébrer le thème de l’évènement: «Au cœur des territoires s’ouvre
celui des hommes». Non seulement géant, ce globe serait aussi un véritable gadget technologique. Il serait capable de recevoir des
données du monde entier afin que chaque pays puisse faire visiter en réalité augmentée ses propres paysages et sa culture.
De quoi convier la géographie au cœur de nos cités et mieux encore, de quoi faire un voyage au centre de la Terre. Car grâce à des escaliers et plateformes installés au cœur de la structure, les visiteurs pourraient se promener à l’intérieur de la sphère.
Pour le député-maire de Neuilly Jean-Christophe Fromantin, «ce globe sera un laboratoire grandeur nature des progrès
technologiques, immersifs et architecturaux». «Il aura vocation à devenir un monument, le siège de grandes entreprises, ou pourquoi pas un laboratoire entouré d’une pépinière d’entreprises».
Les organisateurs espèrent ainsi que ce grand projet pourra permettre à Paris de se démarquer des autres villes concurrentes, comme Londres, San Francisco, Rotterdam ou Osaka.
Il faisait beau ces deux jours à Ulm, une jolie petite ville située sur les bords du Danube en Allemagne. C’était mes premiers jours de printemps,le soleil et ciel bleu conféraient à la ville un petit air de vacances alors j’en ai profité, j’ai pris du plaisir à flâner, à me balader dans les petites rues au charme typique d’une petite ville du Bade-Wurtemberg. Récit de ce coup de coeur !
Ulm et la plus haute cathédrale d’EuropeLa première chose que l’on voit en arrivant à Ulm, c’est la cathédrale avec sa flèche, la plus haute d’Europe… Où que l’on soit, en ville, dans les alentours, dans les bâtiments voisins, on l’aperçoit forcément avec ses 161m 53 exactement de haut… On peut monter jusqu’à une petite plateforme qui se situe à 143m de haut, pour cela il faut juste gravir les 768 marches qui séparent le plancher des vaches de celle-ci ! Je l’ai fait et j’avoue la vue à 360° sur les alentours est magnifique ! Autant vous dire qu’elle se mérite. Le plus dur, c’est la première partie, celle qui mène jusqu’au superbe escalier de la flèche. Après tout est ouvert, on respire, ce serait limite facile… Avant il ne faut pas être claustrophobe.
A côté de la cathédrale, j’ai aussi beaucoup aimé la Stadthaus, la maison de la ville. Elle abrite l’office du tourisme mais aussi une salle d’exposition d’art contemporain. Elle a été dessinée par l’architecte américain Richard Meier. Il y a de chouettes photos à faireavec ce bâtiment et la cathédrale. Je me suis bien amusée avec mon appareil photo
La ville est très contrastée. Le neuf et le vieux, le moderne et l’ancien c’est un peu la marque de fabrique de Ulm (et on le voit bien sur les photos ci-dessous). Outre la maison de la ville, il y a cette pyramide que l’on trouve juste à côté de l’hôtel de ville. Son architecte est l’allemand Gottfried Böhm. Il y a un vrai contraste avec l’hôtel de ville construit lui en 1370.
Les habitants ont eu du mal à s’habituer à ces contrastes et puis comme pour notre Pyramide du Louvre, ils se sont habitués et ne reviendraient pour rien au monde en arrière.
Le quartier des pêcheurs ou Ulm la charmeuseLe quartier des pêcheurs et des tanneurs, avec ses maisons à pans de bois, est le quartier le plus charmant de Ulm. Au programme : vieilles ruelles, maisons penchées, petit pont de pierre qui traverse la Bleue, chemin de ronde des rempartsq ui offre une belle vue sur le Danube… L’endroit idéal pour flâner en laissant aller son regard en l’air, par terre, sur l’eau… Petite revue en images :......................
....................maisons à colombages, l’euro vélo qui traverse l’Europe et passe par là avant de partir vers la Bavière, des bâtiments historiques qui côtoient des créations plus modernes.
L’hôtel insolite : la Schiefes haus, la maison penchéeC’est dans ce quartier que l’on trouve la maison penchée, aujourd’hui transformée en un hôtel insolite. Cette maison est penchée jusque dans son intérieur. Posez une valise et elle dévalera la chambre toute seule. Seul le lit lui n’est pas penché mais par contre les pieds ne sont pas tous au même niveau. En parlant de
niveau, il y en a un sur la tête du lit pour bien vérifier qu’il est toujours droit et vous n’allez pas glisser par terre ! D’après le Guiness des records, cette maison serait l’hôtel le plus penché du monde… Maintenant je peux dire que j’ai dormi dans l’hôtel le plus penché du monde
L’Euro vélo sur les bords du Danube
A Ulm nous sommes au Bade-Wurtemberg côté frontière de la Bavière. Le long du Danube qui traverse la ville, on peut traverser l’Allemagne par le sud, aller jusqu’en Bulgarie d’un côté et à Nantes de l’autre. C’est l’EuroVélo 6. Se déplacer à vélo à Ulm est vraiment agréable. Sur la rive droite du Danube, on a de belles vues sur la cathédrale et le quartier des pêcheurs.
Avec mon vélo, je suis allée jusqu’à l’abbaye de Wiblingen par les bords du Danube. Elle se trouve à environ 5 ou 6 kilomètres, il faut compter une grosse vingtaine de minute pour y aller. C’était vraiment sympa de traverser les sous-bois via la piste cyclable et de faire une pause pique-nique sur l’herbe avant de visiter l’abbaye.
L’abbaye de Wiblingen et sa bibliothèqueFondée en 1092 par des moines bénédictins, elle est assez sobre d’extérieur mais dès qu’on entre dans la bibliothèque, bienvenue dans l’époque Rococo et dans la basilique, coucou le Baroque. Bref ça vaut un petit détour à vélo par les bords du Danube, croyez moi !
Ulm est vraiment une ville sympa où il fait bon flâner. Des bords du Danube au quartier des pêcheurs en passant par sa cathédrale, elle vaut bien de s’y arrêter deux jours. Cette ville a été pour moi le vrai coup de coeur de ce voyage au Bade-Wurtemberg en Allemagne.
Quelques bonnes adresses à Ulm Le bar – restaurant Bootshaus
Ce restaurant situé sur un bateau accosté sur les bords du Danube, est super agréable pour diner ou boire un verre sur sa terrasse. Lieu idéal pour un petit diner au coucher du soleil.Le menu est assez varié et la carte des cocktails assez fournie. Il faut néanmoins prévoir un petit budget au moins 30 à 40 euros par personne, boissons incluses.
Le restaurant zur Forelle Avec sa petite terrasse fleurie qui donne sur la Bleue, ce restaurant est idéalement situé pour faire une pause déjeuner bien méritée au calme. Il propose des plats du jour pas trop chers (autour de 10 euros quand même) et une carte classique avec des plats sesituant autour de 16/20 euros.Le service est un peu lent, l’addition pas vraiment en rapport avec ce qu’on avait commandé mais on y mange plutôt bien !
Le café Gustaff
Le café Gustaff a été ma première adresse testée à Ulm. Ce petit café qui a ouvert ses portes dans un ancien théatre est assez agréable. J’ai aimé la décoration simple mais quand même un peu recherchée et je m’y voyais bien pour une pause déjeuner sur le pouce avec mes copines !En face il ne faut pas passer à côté de la boulangerie Zaiser chez qui il faut absolument aller pour acheter le Ulmer Zuckerbrot, la spécialité de la maison. Cette boulangerie se transmet de génération en génération depuis 1838.
Dormir dans la maison la plus penchée du monde, c’est une expérience. Si celle-ci est assez unique, l’accueil y est fantastique, le confort très bon et comme la maison est située dans le quartier des pêcheurs, c’est très calme. Ceci étant, j’ai quand même été un peu déçue par la décoration intérieure des chambres et de la salle à manger que j’ai trouvée sans charme. Il y avait mieux à faire dans une maison aussi singulière.
.
Ce sont les images d’un bunker souterrain des années 60, un abri conçu par
Girard B. « Jerry » Henderson pour survivre en cas de guerre mondiale.
Un type de construction qui n’était pas rare à l’époque puisque 70%
estimait la guerre imminente et la société Underground World Home Inc de
Henderson en a fabriqué plus d’une.
A plus de 7 mètres sous terre, il dispose de tout le confort (avec
piscine, barbecue et même salle de fête) mais surtout d’une décoration
d’époque dans les 500 mètres carrés qu’il occupe.
Un faux ciel est activé via un commutateur et les durées de nuit et de
jour sont réglables, nourrissant de la lumière d’un faux soleil de faux
arbres.
De faux arbres plantés dans de faux jardins avec de faux paysages.
Cette coque de béton simulant une petite maison tranquille est situé sous une
batisse de Las Vegas et s’est vendue quelques 1 million d'€ en Mars 2014.
Le 17 oût 1661, Nicolas Fouquet, surintendant des Finances de Louis XIV ,
inaugure la fête des Chandelles à à Vaux le Vicompte;
Le château de Vaux-le-Vicompte a été la "maison" des plus grands de
l'époque : le jardinier Lenôtre, le peintre et décorateur Le Brun et le
cuisinier Vattel.
Tous les ans, le château revit cette tradition en permettant aux visiteurs,
de décourvrir l'intérieur des lieux à la chandelle, de profiter d'un
feux d'artifice et de goûter aux plats gastronomiques préparés dans les
cuisines du château.
Les attentats du 11 septembre 2001 sont quatre attentats-suicides perpétrés le même jour aux États-Unis, entre 8h14 et 10h03, par des membres du réseau djihadiste islamiste Al-Qaïda, visant des bâtiments ... Wikipédia
Les attentats les plus meurtriers jamais commis. Les Etats-Unis commémorent ce dimanche les 15 ans des attaques du 11 septembre 2001. De 8h46 à 10h28, quatre attentats-suicide coordonnés ont fait près de 3 000 morts à New York, Washington et en Pennsylvanie.
Deux avions de ligne détournés ont été précipités contre les tours du World Trade Center à New York (2 753 morts), un troisième a éventré le Pentagone (siège du ministère de la Défense) en banlieue de Washington (184 morts), et un quatrième, dirigé aussi vers la capitale américaine, s'est écrasé dans un champ à Shanksville, en Pennsylvanie,
après une révolte des passagers (40 morts).
Quelque 75 000 personnes souffrent toujours de troubles mentaux et physiques liés à ces attaques commises par 19 terroristes d'Al-Qaïda.
Les Etats-Unis ont répondu en lançant une «guerre mondiale contre le terrorisme» qui fait rage encore aujourd'hui.
11 Septembre...Le terrorisme est devenu une menace globale
Journée mondiale de lutte contre le terrorisme...
Le 11 septembre est reconnu depuis 2008 comme la Journée mondiale de lutte contre le terrorisme, une date qui n'a pas été choisie au hasard.
Il y a d'ailleurs 15 ans, aujourd'hui, survenait l'un des actes de terrorisme les plus marquants de l'histoire, soit les attentats du 11 septembre 2001.
Ce triste anniversaire sera souligné cet avant-midi, à New York, de même qu'à la grandeur des États-Unis et ailleurs dans le monde.
Revivez le 11 Septembre en 2 minutes Les attentats du 11 septembre 2001 ont fait près de 3000 morts à New York, à Washington et en Pennsylvanie. Les attaques orchestrées par Al-Qaïda ont bouleversé les États-Unis et changé le monde. Revoyez les moments marquants de cette journée tragique.
Journée mondiale de lutte contre le terrorisme
Depuis 2008, le 11 septembre a été reconnu Journée Mondiale de Lutte contre leTerrorisme par de nombreuses associations, comme le MPCT (Mouvement pour la Paix et Contre le Terrorisme). Un site à visiter : www.sos-attentats.org
Notre dossier: Les attentats du 11 septembre 2001 Au matin du 11 septembre 2001, 19 terroristes détournent quatre avions de ligne afin de les faire s’écraser sur des bâtiments hautement symboliques du Nord-Est des États-Unis.
Deux avions sont projetés sur les tours jumelles du World Trade Center, à Manhattan, et le troisième sur le Pentagone, siège du Département de la Défense, à Washington, tuant toutes les personnes à bord et de nombreuses autres victimes travaillant dans ces immeubles.
L'équipage du quatrième avion arrive à reprendre le contrôle de l'appareil et empêche les terroristes de faire s’écraser l'avion sur la Maison Blanche. On retrouvera l'appareil dans la campagne de Shanksville en Pennysylvanie, non loin de la capitale. Toutes les personnes à bord seront tuées.
Les événements du 11 septembre ont été suivis presque en temps réel par desmillions de spectateurs à travers le monde et ont provoqué un choc psychologique, notamment lors de l'effondrement en direct en quelques secondes des tours jumelles. L'attentat aura fait en tout 2973 morts, de 93 nationalités différentes.
Cependant le site du World Trade Center n'est pas le seul à avoir été touché par ces attentats. En effet, le Pentagone a également subit une attaque le matin du 11 septembre. Plusieurs témoins affirment avoir vu le Boeing 757 voler à basse altitude et se dirigeant droit vers le Pentagone.
Le Pentagone après avoir été percuté par le Boeing 757.
En 2002, la Commission Nationale des attaques terroristes contre les États-Unis est créée pour expliquer comment ont pu se produire de tels attentats et éviter qu'ils ne se reproduisent.
Dans un rapport publié en 2004, elle donne comme responsable de ces actes terroristes le réseau d'Al-Qaida en affirmant que les 19 terroristes auteurs de ces attentats-suicides en étaient membres et étaient sous les ordres d'Oussama Ben Laden, qui a revendiqué à plusieurs reprises sa responsabilité dans les attentats.
Lors des interrogatoires préliminaires au procès, un membre du réseau terroriste Khalid Cheikh Mohammed a avoué être le principal organisateurdes attaques.
Pourtant plusieurs personnes contestent ces explications et se tournent vers une autre version appelée la « théorie du complot ».
Cette théorie avance le fait que ces attentats ont été organisés par le gouvernement des Etats-Unis eux-mêmes afin de justifier leurs intervention dans la guerre en Irak.
Soldats américains lors d'une mission en Irak.
Suite à ce drame, le gouvernement des États-Unis ainsi que de nombreux autres pays ont décidé de renforcer leur dispositifs de sécurité et leur législation antiterroriste.
L'administration américaine a engagé une « guerre contre le terrorisme » notamment en Afghanistan dès octobre 2001, dont le régime taliban, favorable à Al-Qaida, était soupçonné d'héberger Oussama Ben Laden.
Le Pentagone a été réparé en 2006, et six nouvelles tours dont le "1 World Trade Center", devraient être construites sur le site du World Trade Center d'ici 2015.
Source : Le mémorial du 11-Septembre, de manière formelle le National September 11 Memorial & Museum, est un mémorial et un musée à New York en mémoiredes victimes des attentats du 11 septembre 2001 contre les ... Wikipédia
Hauteur : 20 m Date d'ouverture : 11 septembre 2011Début de la construction : mars 2006 Usage : Musée
Architectes : Michael Arad, Peter Walker, Daniel Libeskind
Cabinets d'architecture : Handel Architects, Davis Brody Bond, Snøhetta
Les conséquences du 11 Septembre 2001
Le mémorial du 11-Septembre, de manière formelle le National September 11 Memorial & Museum, est un mémorial et un musée à New York en mémoiredes victimes des attentats du 11 septembre 2001 contre les ... Wikipédia
L'une des principales conséquences du 11 Septembre 2001 est le lancement de la « guerre contre le terrorisme » ou « guerre contre la terreur », nom donné par l'administration de Georges W. Bush aux campagnes de l'armée américaine en Afghanistan (en Octobre 2001) et en Irak (en 2003).
La guerre contre le terrorisme consiste en plusieurs actions policières, politiques et militaires du gouvernement des États-Unis, appuyé par différents alliés dont l'OTAN, contre différentes organisations liées au terrorisme islamiste, en premier lieu contre Al-Qaida.
Après les attentats, l'administration américaine a adoptée des mesures exceptionnelles visant à combattre lesorganisations terroristes mondiales, et pas seulement islamistes...
- Le Patriot Act, voté par le Congrès et signé par Georges W. Bush le 26 octobre, permet aux agences fédérales américaines d'effacer les distinctions juridiques entre elles s'il s'agit de terroristes étrangers et créé également les statuts de "combattant ennemi" (ou illégal), qui permet au gouvernement de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste.
- Le Homeland Security Act, présenté au Congrès dans les mois suivant les attentats et voté le 25 novembre 2002, créé une banque de données de 300 millionsde fiches qui regroupent des informations de sources publiques et privées sur chaque Américain.