Top 10 des endroits pour faire la sieste à Paris. .Pour ceux qui veulent pioncer en paix Comme nous vous l'expliquions il y a peu, la sieste c'est tout un art. Mais autant faut-il pouvoir faire une sieste, et pour les pauvres petits Parisiens c'est loin d'être évident. Voici donc quelques spots immanquables pour cuver sa soirée de la veille en toute discrétion.
Zen, bar à sieste Premier bar à sieste de Paris, Zen vous propose de pioncer 15, 25, 35 ou 45 minutes dans un hamac ou n'importe quel autre fauteuil de votre choix. Si vous êtes vraiment tout chonchon, fatigué et dépité, vous pouvez même vous offrir un petit massage des pieds ou du crâne en complément. Bon, évidemment, tout ça coûte un peu bonbon. Adresse : 29 Passage Choiseul, Paris 2e Le Perchoir Rooftop le plus hype du moment, Le Perchoir dispose de larges assises bien moelleuses dans lesquelles on s'écraserait bien pour passer l'aprem et ronfloter discrètement. C'est joli, sympa et truffé de beaux mecs à barbe, mais un gros point noir tout de même : à moins d'arriver à la première heure, il faut compter deux heures de queue pour espérer poser son séant quelque part. Adresse : 14 Rue Crespin du Gast, Paris 11e Le café A, Maison de l'Architecture d'Île-de-France Situé dans l'ancien couvent des Recollets, ce café fort sympathique abrite un cloître parsemé de jolis petits transats de toutes les couleurs. L'endroit idéal pour ceux qui veulent être pépères et ne sont pas plus intéressés que ça par le côté "oh mon dieu un chroniqueur du grand journal, tu crois qu'il m'a vue ? hein ? hein ? hein ?" du Perchoir. Adresse : 148 Rue du Faubourg Saint-Martin, Paris 10e Le Jardin des Tuileries Bien connu des Parisiens comme des touristes, pour qui c'est une étape incontournable de leur voyage à Paris, le Jardin des Tuileries a l'immense mérite de mettre à la disposition de ses visiteurs de nombreuses chaises. Pour une sieste parfaite, nous vous recommandons donc d'en choper deux et de vous installer au bord du grand bassin principal. Et en plus c'est gratos ! Adresse : 113 Rue de Rivoli, Paris 1er Lac Daumesnil, Bois de Vincennes Comme au Bois de Boulogne, il est possible au Bois de Vincennes de louer des barques. Quelques coups de rames et vous voilà donc au milieu du lac, avec des bruits de piafs en fond sonore et un léger vent frais pour vous bercer. Pas désagréable, oui. Faites tout de même attention à ne pas basculer, ce serait dommage que cette petite sieste vire à la noyade. Adresse : Paris 12e [url=https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?s=100&p[url] [/url] Rosa Bonheur sur Seine Initialement implanté dans le Parc des Buttes Chaumont, le Rosa Bonheur a désormais une annexe au pont des Invalides. Si les consos sont un peu chères, on appréciera grandement les énormes poufs et les transats en libre squattage toute la journée. Idéal si vous cherchez un spot où vous poser une aprem entière avec des potes. Adresse : Pont des Invalides, Paris 7e Le parc de la Cité universitaire Si vous voulez vous poser sur une pelouse, plutôt que les Invalides ou le Champ-de-Mars, préférez celle de la Cité universitaire. D'abord parce que les bâtiments sont beaux et méritent bien le détour, ensuite parce que l'ambiance (sans le bruit des voitures et les pickpockets) est tout de même plus sympa. Renseignez-vous, des concerts et autres festivités sont régulièrement organisés pendant les beaux jours. Adresse : 17 Boulevard Jourdan, Paris 14e
Piscine Molitor Si vous êtes un gros richou (et c'est tant mieux pour vous hein), le rooftop de la piscine Molitor devrait bien vous plaire. Vous pourrez en effet y siroter des cocktails pas donnés, mais très bons dans de gros fauteuils avant de vous assoupir au soleil. Si vous croulez sous les biftons, n'hésitez pas à vous offrir un petit diner au resto de Yannick Alléno juste en dessous. Adresse : 13 rue Nungesser et Coli, Paris 16e Le Starbucks d'Opéra Bon ok, le Starbucks c'est pas la panacée, mais honnêtement celui d'Opéra est vraiment pas mal du tout. Les fauteuils sont balaises, nombreux, et personne ne vient vérifier si vous n'avez pas consommé depuis huit heures. Après niveau bouffe et café, on ne va pas se mentir, on a connu mieux. Adresse : 26 Avenue de l'Opéra, Paris 1er
Jardins Albert-Kahn Conciliant des styles venus des quatre coins du monde, les jardins Albert-Kahn sont considérés comme l'un des plus beaux parcs de Paris et sa région. Posez-vous au coin de l'une des petites fontaines japonisantes et laissez-vous aller à une petite sieste. Plus zen tu fais pas. Adresse : 10-14 Rue du Port, Boulogne-Billancourt t
Je passe cet été dans le 5ème arrondissement de Lyon, non loin du quartier Saint-Jean. Voilà peut-être l’un des lieux les plus connus de la ville, et c’est ici que je commence ma photo-exploration lyonnaise. Les nombreuses traboules (typiques passages reliant ruelles et cours intérieures), les montées d’escalier style renaissance et les façades anciennes sont toutes plus fascinantes les unes que les autres, mais les accès n’y sont pas toujours évidents. C’est un jeu de patience et de curiosité que de tenter sa chance à chaque porte et chaque passage.
Pour la Tour Rose, les règles étaient un peu différentes. L’ayant vue sur une carte postale et donc connaissant l’adresse, le jeu a été de retrouver le point de vue en surplomb.
Un coin bien planqué du XXème, pas loin du boulevard Mortier. Des maisons construites au début du 20ème siècle pour faire face à la crise du logement et offrir à prix raisonnable des habitations aux ouvriers...Autant dire qu'on cherche aujourd'hui la trace de ces ouvriers.
Paris est une mine d’or, même pour les plus parisiens d’entre nous. On ne sait jamais sur quoi on va tomber au détour d’une promenade ou en changeant de quartier. La preuve avec ces 10 rues insolites, planquées, fleuries, champêtres… Elles transportent les visiteurs dans un autre monde, loin de la capitale agitée et stressée que l’on connaît. Petite balade autour des plus belles ruelles secrètes de Paris.
1. Notting Hill à Paris : rue Crémieux (12ème) Les aficionados de la capitale britannique trouveront sûrement à cette rue pavée des faux airs de Portobello Road, dans le quartier pastel de Notting Hill. Murs peinturlurés, façades arc-en-ciel et fresques en trompe l’œil. C’est un peu l’excentricité londonienne qui déboule à Paris. Métro : Quai de la Rapée 2. Jungle urbaine : rue des Thermopyles (14ème) Des maisons de poche qui ne dépassent pas les 3 étages, de la vigne vierge qui n’en fait qu’à sa branche et des façades où la glycine est reine. La Rue des Thermopyles c’est un p’tit bout de campagne à Paris. 280 mètres d’air pur et de tranquillité. Métro : Pernety 3. Repère d’artistes : Cité Durmar, Cité du Figuer (11ème) Ancienne impasse maraîchère, la Cité Durmar en a vu défiler du monde : les maisons de cultivateurs ont peu à peu laissé la place à des ateliers d’artisans et d’artistes. A deux pas de là, la Cité du Figuier, plus verdoyante, mixe devantures colorées, lofts arty et parterres bourgeonnants. La Cité Durmar, 154 rue Oberkampf, 75011 Paris La Cité du Figuier, 104-106 rue Oberkampf, 75011 Paris Métro : Ménilmontant
L’IMMEUBLE LE PLUS INSOLITE DE PARIS En promenade autour de la Tour Eiffel, on est sûrement déjà tous passés devant cette imposante bâtisse à la façade exubérante qui tranche avec la sobriété des immeubles environnants. La capitale abrite en effet quelques édifices pour le moins surprenants. Mais, l’un de nos plus précieux héritages de l’Art Nouveau parisien est, sans aucun doute, l’immeuble Lavirotte, véritable pépite architecturale. Retour en détails sur l’histoire de cette construction atypique qui attise toujours autant la curiosité et les regards des passants.
Haut de six étages et orné d’une façade Art Nouveau, cet immeuble, construit entre 1900 et 1901 pour le compte des grès Bigot, est tout bonnement l’oeuvre de l’architecte d’origine lyonnaise Jules Lavirotte. Pour plaire à son collaborateur, celui-ci se lança un défi des plus audacieux dans la lignée des travaux de son homologue Gaudí à Barcelone (entre autres à l’origine de la Sagrada Família, du parc Güell et de la Casa Milà). C’est la première fois que le Tout Paris voit apparaître une façade utilisant autant de céramiques : elle constitue à l’époque une véritable vitrine d’exposition pour les réalisations de l’artisan Alexandre Bigot, grand spécialiste des grès flammés.
Surplombant l’avenue Rapp dans un élégant face-à-face avec la Tour Eiffel, la devanture de l’immeuble Lavirotte – primée plus belle façade de Paris en 1901 et classée plus tard monument historique – se dresse dans l’asymétrie la plus totale, avec ses lignes courbes irrégulières. Si l’on étudie bien sa construction, on remarque aisément que les quatre travées de l’édifice sont parfaitement déséquilibrées : au 3ème étage, l’on aperçoit une fenêtre ovale légèrement avancée allant complètement à contre-courant des autres fenêtres plutôt rectangulaires et davantage en retrait. On peut également admirer la mosaïque de brique, de pierre et de céramique, minutieusement sculptée, par endroit, de motifs floraux et animaliers. Mais, la pièce maîtresse de cette façade est de loin la porte d’entrée en bois massif et fer sculptés, encadrée de feuillages ondulants qui grimpent sur le visage surplombant d’une femme que l’on assimilerait à celui de Mme Lavirotte. Certaines théories portent à croire que de nombreuses allusions sexuelles sont faites à travers les gravures, notamment la forme phallique centrale décelée dans la disposition et la forme des vitraux qui ornent l’entrée (que l’on retrouve aussi dans celles du corridor et de la cour, si l’on a l’occasion de franchir le seuil de la porte) ainsi que le lézard qui fait office de poignée (en argot parisien de l’époque, cet animal désignait plus communément un phallus). En bref, un décor somptueux et chargé à outrance prend littéralement vie sur ces murs et n’en finit pas d’intriguer, et de diviser.
Et comme un seul immeuble n’a pas suffit à notre cher architecte pour laisser libre cours à son imagination débordante, il décida d’en bâtir un deuxième, moins surchargé, au niveau du square Rapp, rien que pour nous en mettre plein la vue – enfin, pour s’y établir, avant toute chose !
Cette année, on s’offre un check up complet à la rentrée. On oublie les mono-diète désastreuses pour la santé et le moral et les cures détox chimiques, et on se concentre sur les produits de saison et ce qu’ils peuvent nous apporter pour attaquer l’année du bon pied. N’oubliez pas d’en faire profiter toute la famille !
1. On adopte LE réflexe qui fait du bien avec le citron Mon bras et le vôtre ne suffiraient pas à lister tous les bienfaits du citron, jaune ou vert. Prévenir certains cancers ? Le citron. Ralentir leur évolution ? Le citron. Diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires ? Le citron. Réduire le cholestérol et les inflammations ? Le citron. A la rentrée, on adopte le réflexe agrume, en se préparant chaque matin un demi jus de citron frais dans une tasse d’eau froide ou chaude,comme vous préférez !
2. On hydrate son corps en lui apportant de puissants antioxydants avec le thé Le thé aura besoin de votre autre bras et du mien pour lister, lui aussi, ses bienfaits : riche en antioxydants, il aiderait lui aussi à réduire le risque d’apparition de certains cancers de l’appareil digestif, il empêche la formation de caillots sanguins bouchant les artères et pouvant conduire à l’infarctus et c’est un puissant stimulant pour la mémoire et la concentration. Cerise sur le gâteau, le thé prend soin de votre hygiène bucco-dentaire. A raison de deux tasses par jour, c’est décidé, à la rentrée, je passe au thé !
3. On nettoie ses reins avec le pissenlit Il est un peu tard pour le consommer frais, mais la poudre de racine et/ou de feuilles de pissenlit se trouve très facilement en grande surface ou en pharmacie. Vous pouvez en faire une petite cure dès la rentrée. Attention tout de même : sachez que le pissenlit est connu pour ouvrir l’appétit et est utilisé pour traiter le manque d’appétit passager.
Il vous aidera à améliorer votre digestion, le fonctionnement de votre foie, de votre bile et vos fonctions urinaires, luttera contre les calculs rénaux. Le pissenlit est un diurétique naturel. Alors que les racines traiteront plutôt le foie, les feuilles, elles, agiront plutôt sur les reins. Cela dépend de ce que vous souhaitez en faire ! Qui a dit mauvaise herbe ?!
4. On prend soin de sa peau avec un gommage maison Éliminer les toxines de son corps, ça passe forcément aussi par la peau. On se prépare donc un petit gommage visage maison pour éliminer les peaux mortes et les impuretés et laisser ainsi la peau respirer.
Pour votre gommage maison vous aurez besoin : De 2 cuillères d’un yaourt nature De la même quantité de miel Du jus d’un demi citron (celui que vous avez bu ce matin fera parfaitement l’affaire !) Et d’un peu de sucre roux Mélangez tous les ingrédients et appliquer délicatement sur votre visage en effectuant doucement des petits cercles en évitant les yeux. Tandis que le sucre roux enlèvera les peaux mortes, le citron purifiera la peau et le yaourt et le miel s’occuperont de la partie hydratation. Rincez à l’eau tiède, et recommencez la semaine prochaine ! Vous pouvez, avant votre gommage, faire chauffer de l’eau et la mettre dans un saladier, au-dessus duquel vous placerez votre visage pendant quelques minutes (recouvrez votre tête d’une serviette pour que la vapeur ne s’échappe pas). Cela permettra d’ouvrir les pores et les préparer pour le grand nettoyage !
5. On fait le plein de vitamines avec les canneberges Les canneberges sont de véritables bombes de vitamine C. Leur récolte s’étend de la fin du mois de septembre à la fin du mois d’octobre, c’est donc la période idéale pour les consommer fraîches. Mais vous pouvez tout aussi bien les consommer tout au long de l’année, en jus vendus dans le commerce (attention à la dose de sucre !) ou bien dans des produits à base de, disponibles en pharmacie. Au-delà de l’énergie qu’elle apporte, elle est également encensée dans les cas d’infections urinaires déclarées ou en préventif, et elle protègera vos intestins et vos dents.
6. On maintient ses yeux en forme avec les myrtilles La légende raconte que les pilotes de chasse anglais, pendant la Seconde Guerre Mondiale, se gavaient de myrtilles pour pouvoir piloter dans la nuit sans être repérés par les soldats allemands. Si nous ne saurions vérifier cette anecdote historique, il est cependant scientifiquement prouvé que la myrtille est une véritable potion magique pour la vision : elle ralentit le vieillissement prématuré de la rétine, notamment dans le cas d’une exposition prolongée à un écran d’ordinateur, elle améliore la vision nocturne en aidant à faire les contrastes entre les blancs et les noirs, diminue la fatigue visuelle, et préviendrait même contre la cataracte et les glaucomes. Tout comme la canneberge, elle est également très riche en vitamine C et A et vous donnera l’énergie nécessaire pour attaquer cette nouvelle année du bon pied. Et, bien qu’il soit difficile de la trouver, même lorsque c’est la période, vous pouvez toujours vous rabattre sur les versions séchées. Attention aux produits ajoutés !
7. On s’offre une cure de jouvence avec le raisin C’est la pleine période pour le consommer frais ! On se jette sur toutes les variétés qu’on trouve et on lutte, grâce aux anti-radicalaires puissants qu’il contient, contre le vieillissement prématuré et les problèmes cardiaques ! On fait attention au jus de raisins bourrés de sucre et aux raisins secs ultra gras, et on préfère vraiment les consommer très frais ! Bonne rentrée !
Marie-Jeanne , ne vous gènez pas , vous pouvez toutes les préparer , pour avoir la recette , cliquer sur le nom en bleu de la recette , vous aurez la marche à suivre.
La renommée de l’Espagne en matière de gastronomie est indiscutable : de la paella au gaspacho en passant par les tapas, les Ibériques sont très forts à l’heure de se mettre à la cuisine.
Mais connaissez-vous les desserts espagnols ? Si vous craquez pour les desserts, cet article est pour vous ! Voici ce top 10 delicioso !
Churros (Madrid) Les cousins du chichi frégi. Mais à la différence de ce dernier, les churros ne se vendent pas seulement sur les fêtes foraines ou les foires, ils sont également un aliment courant du petit-déjeuner ou du goûter accompagné d’un chocolat chaud bien épais. Recette : Churros
Tarta de Santiago (Galice) La Tarte de Saint-Jacques est un célèbre gâteau aux amandes de la Galice. Elle se prépare principalement avec de la poudre d’amande, des œufs et du sucre. Le gâteau est habituellement décoré avec une empreinte de la croix de Saint-Jacques. On déguste la tarte de Santiago surtout au mois de juillet et la première semaine d’août lors des fêtes célébrant la Saint-Jacques le 25 juillet. Recette : Tarte de Saint-Jacques
Crema Catalana (Catalogne) On ne sait toujours pas vraiment si elle est française ou catalane. Cela dépend à qui vous demandez. Mais ce qui est certain c’est qu’elle est vraiment délicieuse ! Recette : Crème Catalane
Horchata et fardons (Communauté Valencienne) Sorte du lait de soja sucré élaboré à partir de tubercules de souchet (chufa). C’est une boisson rafraîchissante qui est toujours accompagnée d’un délicieux gâteau valencien appelé fartón. Dessert incontournable si vous vous rendez à Valence . Recette : Horchata
Pantxineta (Pays Basque espagnol) Dessert d’origine navarrais de texture douce. Il s’agit d’un gâteau préparé avec une pâte feuilletée, fourrée à la crème pâtissière et décoré avec des amandes. Il est recommandé de le manger tiède. Recette : Pantxineta
Ensaimada (Iles Baleares) L’ensaimada est une sorte de brioche ayant pour origine l’île de Majorquedans les Baléares. On la trouve cependant dans toute l’Espagne. Elle était traditionnellement préparée avec du saindoux : saïm en catalan d’où le nom de ensaimada. Elle se mange surtout au petit-déjeuner accompagnée de chocolat chaud ou de café au lait. Recette : Ensaimada
Sobao pasiego (Cantabrie) Gâteau d’origine cantabrique possédant une saveur qui rassemble beaucoup à celle des madeleines. Recette : Sobao pasiego
Mazapán (Castille-La Manche) D’origine arabe, ce dessert est préparé avec une pâte à base d’amande avec laquelle on peut faire des figures. C’est un produit traditionnel de Tolède et de La Rioja qui se mange surtout à Noël. Recette : Massepain
Arroz con leche (Asturies) Le riz au lait est un dessert espagnol mondialement connu et provient de la cuisine arabe. Il s’agit du riz cuit dans du lait sucré. Aromatisé soit à la cannelle, soit à la vanille, il se mange préférablement froid. Recette : Riz au lait
Tocinillo del cielo (Andalousie) Parfois confondu avec son cousin le flan. La différence entre les deux recettes réside dans le fait que celle du tocinillo ne vous fait utiliser que les jaunes d’œufs et non pas les œufs entier. Le tocinillo del cielo est donc plus sucré mais à la fois plus léger que le flan. Recette : Tocinillo del cielo
Bonus : Turrón (Communauté Valencienne) Le nougat ibérique est un autre legs de la culture arabe. Il s’agit d’une confiserie à base de miel, de sucre, de blanc d’œuf, et d’amandes entières ou pilées. Il se présente sous la forme d’une tablette rectangulaire ou circulaire de diverses tailles. Il se mange surtout à Noël. Recette : Touron
.Pour ceux qui veulent pioncer en paix
Comme nous vous l'expliquions il y a peu, la sieste c'est tout un art.
Mais autant faut-il pouvoir faire une sieste, et pour les pauvres
petits Parisiens c'est loin d'être évident. Voici donc quelques spots
immanquables pour cuver sa soirée de la veille en toute discrétion.
Zen, bar à sieste
Premier bar à sieste de Paris, Zen vous propose de pioncer 15, 25, 35 ou
45 minutes dans un hamac ou n'importe quel autre fauteuil de votre
choix. Si vous êtes vraiment tout chonchon, fatigué et dépité, vous
pouvez même vous offrir un petit massage des pieds ou du crâne en
complément. Bon, évidemment, tout ça coûte un peu bonbon.
Adresse : 29 Passage Choiseul, Paris 2e
Le Perchoir
Rooftop le plus hype du moment, Le Perchoir dispose de larges assises
bien moelleuses dans lesquelles on s'écraserait bien pour passer l'aprem
et ronfloter discrètement. C'est joli, sympa et truffé de beaux mecs à
barbe, mais un gros point noir tout de même : à moins d'arriver à la
première heure, il faut compter deux heures de queue pour espérer poser
son séant quelque part.
Adresse : 14 Rue Crespin du Gast, Paris 11e
Le café A, Maison de l'Architecture d'Île-de-France
Situé dans l'ancien couvent des Recollets, ce café fort sympathique
abrite un cloître parsemé de jolis petits transats de toutes les
couleurs. L'endroit idéal pour ceux qui veulent être pépères et ne sont
pas plus intéressés que ça par le côté "oh mon dieu un chroniqueur du
grand journal, tu crois qu'il m'a vue ? hein ? hein ? hein ?" du
Perchoir.
Adresse : 148 Rue du Faubourg Saint-Martin, Paris 10e
Le Jardin des Tuileries
Bien connu des Parisiens comme des touristes, pour qui c'est une étape
incontournable de leur voyage à Paris, le Jardin des Tuileries a
l'immense mérite de mettre à la disposition de ses visiteurs de
nombreuses chaises. Pour une sieste parfaite, nous vous recommandons
donc d'en choper deux et de vous installer au bord du grand bassin
principal. Et en plus c'est gratos !
Adresse : 113 Rue de Rivoli, Paris 1er
Lac Daumesnil, Bois de Vincennes
Comme au Bois de Boulogne, il est possible au Bois de Vincennes de louer
des barques. Quelques coups de rames et vous voilà donc au milieu du
lac, avec des bruits de piafs en fond sonore et un léger vent frais pour
vous bercer. Pas désagréable, oui. Faites tout de même attention à ne
pas basculer, ce serait dommage que cette petite sieste vire à la
noyade.
Adresse : Paris 12e
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Rosa Bonheur sur Seine
Initialement implanté dans le Parc des Buttes Chaumont, le Rosa Bonheur a
désormais une annexe au pont des Invalides. Si les consos sont un peu
chères, on appréciera grandement les énormes poufs et les transats en
libre squattage toute la journée. Idéal si vous cherchez un spot où vous
poser une aprem entière avec des potes.
Adresse : Pont des Invalides, Paris 7e
Le parc de la Cité universitaire
Si vous voulez vous poser sur une pelouse, plutôt que les Invalides ou
le Champ-de-Mars, préférez celle de la Cité universitaire. D'abord parce
que les bâtiments sont beaux et méritent bien le détour, ensuite parce
que l'ambiance (sans le bruit des voitures et les pickpockets) est tout
de même plus sympa. Renseignez-vous, des concerts et autres festivités
sont régulièrement organisés pendant les beaux jours.
Adresse : 17 Boulevard Jourdan, Paris 14e
Piscine Molitor
Si vous êtes un gros richou (et c'est tant mieux pour vous hein), le
rooftop de la piscine Molitor devrait bien vous plaire. Vous pourrez en
effet y siroter des cocktails pas donnés, mais très bons dans de gros
fauteuils avant de vous assoupir au soleil. Si vous croulez sous les
biftons, n'hésitez pas à vous offrir un petit diner au resto de Yannick
Alléno juste en dessous.
Adresse : 13 rue Nungesser et Coli, Paris 16e
Le Starbucks d'Opéra
Bon ok, le Starbucks c'est pas la panacée, mais honnêtement celui
d'Opéra est vraiment pas mal du tout. Les fauteuils sont balaises,
nombreux, et personne ne vient vérifier si vous n'avez pas consommé
depuis huit heures. Après niveau bouffe et café, on ne va pas se mentir,
on a connu mieux.
Adresse : 26 Avenue de l'Opéra, Paris 1er
Jardins Albert-Kahn
Conciliant des styles venus des quatre coins du monde, les jardins
Albert-Kahn sont considérés comme l'un des plus beaux parcs de Paris et
sa région. Posez-vous au coin de l'une des petites fontaines
japonisantes et laissez-vous aller à une petite sieste. Plus zen tu fais pas.
Adresse : 10-14 Rue du Port, Boulogne-Billancourt
t
Je passe cet été dans le 5ème arrondissement de Lyon, non loin du quartier Saint-Jean.
Voilà peut-être l’un des lieux les plus connus de la ville, et c’est ici que je commence ma
photo-exploration lyonnaise.
Les nombreuses traboules (typiques passages reliant ruelles et cours intérieures), les montées d’escalier
style renaissance et les façades anciennes sont toutes plus fascinantes les unes que les autres, mais les
accès n’y sont pas toujours évidents. C’est un jeu de patience et de curiosité que de tenter sa chance à chaque porte et
chaque passage.
Pour la Tour Rose, les règles étaient un peu différentes. L’ayant vue sur une carte postale et donc connaissant l’adresse,
le jeu a été de retrouver le point de vue en surplomb.
Un coin bien planqué du XXème, pas loin du boulevard Mortier. Des
maisons construites au début du 20ème siècle pour faire face à la crise
du logement et offrir à prix raisonnable des habitations aux
ouvriers...Autant dire qu'on cherche aujourd'hui la trace de ces
ouvriers.
© Photos : Audrey FELIX / Kotomi / IceSorbets / Jpd / Pierre Ménard / Suzanne Levasseur / Alice Charpentier
Paris est une mine d’or, même pour les plus parisiens d’entre nous. On ne sait jamais sur quoi on va tomber
au détour d’une promenade ou en changeant de quartier. La preuve avec ces 10 rues insolites, planquées, fleuries, champêtres… Elles transportent les visiteurs dans un autre monde, loin de la capitale agitée et stressée que l’on connaît. Petite balade autour
des plus belles ruelles secrètes de Paris.
1. Notting Hill à Paris : rue Crémieux (12ème)
Les aficionados de la capitale britannique trouveront sûrement à cette rue pavée des faux airs de Portobello Road,
dans le quartier pastel de Notting Hill. Murs peinturlurés, façades arc-en-ciel et fresques en trompe l’œil.
C’est un peu l’excentricité londonienne qui déboule à Paris.
Métro : Quai de la Rapée
2. Jungle urbaine : rue des Thermopyles (14ème)
Des maisons de poche qui ne dépassent pas les 3 étages, de la vigne vierge qui n’en fait qu’à sa branche et
des façades où la glycine est reine. La Rue des Thermopyles c’est un p’tit bout de campagne à Paris.
280 mètres d’air pur et de tranquillité.
Métro : Pernety
3. Repère d’artistes : Cité Durmar, Cité du Figuer (11ème)
Ancienne impasse maraîchère, la Cité Durmar en a vu défiler du monde : les maisons de cultivateurs ont peu à
peu laissé la place à des ateliers d’artisans et d’artistes. A deux pas de là, la Cité du Figuier, plus verdoyante,
mixe devantures colorées, lofts arty et parterres bourgeonnants.
La Cité Durmar, 154 rue Oberkampf, 75011 Paris
La Cité du Figuier, 104-106 rue Oberkampf, 75011 Paris
Métro : Ménilmontant
4. Labyrinthe d’impasses : rue des Vignoles (20ème)
La Rue des Vignoles abrite une quinzaine d’impasses datant du 19ème siècle où étaient originalement installés
des logements ouvriers. Perdez-vous dans cette enfilade de ruelles plus étriquées les unes que les autres.
L’impasse Poule affiche 60 mètres de long et 2 mètres de large au compteur.
Métro : Buzenval
5. Maisonnettes bucoliques: Villa Daviel (13ème)
Ouverte en 1912, la Villa Daviel est postée dans le quartier paisible et (street) arty de la Butte-aux-Cailles.
Enfoncez-vous dans cette impasse pour zyeuter les maisons qui bordent le chemin pavé, leurs plantes qui se font la malle
àtravers les portails colorés. Derrière vous, découvrez les résidences àcolombages de la Petite Alsace.
7 rue Daviel, 75013 Paris
Métro : Corvisart, Glacière
6. Passage dérobé : 52 rue Mouffetard (5ème)
C’est dans l’une des plus anciennes rues de Paris que s’est réfugié un passage endormi.
Entre une boutique de souvenirs bariolée et un distributeur, poussez la porte du numéro 52.
Là, des appartements tranquilles, des murs blancs et des volets assortisaux plantes grimpantes
vous feront oublier le bouillonnement de la ville pendant un instant.
Métro : Place Monge
7. Balade champêtre : square des Peupliers (13ème)
Encore un petit îlot de maisons pittoresques perdues dans une végétation foisonnante.
Derrière les portes presque étouffées par la nature, on imagine bien une vie calme,
loin de la folie parisienne, enfoncé dans un fauteuil confortable, un bouquin corné à la main,
le chant des oiseaux en guise de réveil.
72 rue Moulin-des-Prés, 75013 Paris
Métro : Tolbiac
8. Traversée poétique : passage Molière (3ème)
C’est depuis 1871 que les Parisiens battent le pavé dans ce joli passage.
Anciennement passage des Sans-Culottes puis passage des Nourrices,
son nom actuel vient de l’ancien théâtre Molière, aujourd’hui transformé en
Maison de la Poésie.
Reliant la rue Saint Martin à la rue Quincampoix, c’est un doux refuge
abritant quelques petites boutiques, restaurants et troquets au charme
désuet.
82 rue Quincampoix, 75003 Paris
Métro : Beaubourg
9. Repère de villas : rue de Mouzaïa (19ème)
Avant de vous poser sur l’herbe fraîche très prisée du parc des Buttes Chaumont,
flânez du côté de la rue de Mouzaïa, tenant son nom du col de Mouzaïa en Algérie.
Ouverte en 1879, c’est le QG des petites « villas », des jardins coquets et des ruelles
verdoyantes.
Métro : Botzaris
10. Planque rétro : passage L’homme (11ème)
A deux foulées du quartier grouillant de Bastille, se planque ce passage aux allures rétro.
Reliant la rue de Charonne à l’avenue Ledru-Rollin, ce sont 122 mètres de chemin pavé
flanqué d’ateliers et d’apparts’ cosy. Côté nature, des campanules, de la glycine et de la vigne
qui a mis le grappin sur toute une façade.
Mais qui a arrêté le temps ?
26 rue de Charonne, 75011 Paris
Métro : Ledru-Rollin
© Et si on se promenait… à Paris !
En promenade autour de la Tour Eiffel, on est sûrement déjà tous passés
devant cette imposante bâtisse à la façade exubérante qui tranche avec
la sobriété des immeubles environnants.
La capitale abrite en effet quelques édifices pour le moins surprenants.
Mais, l’un de nos plus précieux héritages de l’Art Nouveau parisien
est, sans aucun doute, l’immeuble Lavirotte, véritable pépite architecturale.
Retour en détails sur l’histoire de cette construction atypique qui attise
toujours autant la curiosité et les regards des passants.
Haut de six étages et orné d’une façade Art Nouveau, cet immeuble, construit
entre 1900 et 1901 pour le compte des grès Bigot, est tout bonnement
l’oeuvre de l’architecte d’origine lyonnaise Jules Lavirotte.
Pour plaire à son collaborateur, celui-ci se lança un défi des plus
audacieux dans la lignée des travaux de son homologue Gaudí à Barcelone
(entre autres à l’origine de la Sagrada Família, du parc Güell et de la Casa Milà).
C’est la première fois que le Tout Paris voit apparaître une façade utilisant
autant de céramiques : elle constitue à l’époque une véritable vitrine
d’exposition pour les réalisations de l’artisan Alexandre Bigot, grand
spécialiste des grès flammés.
Surplombant l’avenue Rapp dans un élégant face-à-face avec la Tour Eiffel, la
devanture de l’immeuble Lavirotte – primée plus belle façade de Paris en
1901 et classée plus tard monument historique – se dresse dans
l’asymétrie la plus totale, avec ses lignes courbes irrégulières.
Si l’on étudie bien sa construction, on remarque aisément que les quatre
travées de l’édifice sont parfaitement déséquilibrées : au 3ème étage,
l’on aperçoit une fenêtre ovale légèrement avancée allant complètement à
contre-courant des autres fenêtres plutôt rectangulaires et davantage en retrait.
On peut également admirer la mosaïque de brique, de pierre et de
céramique, minutieusement sculptée, par endroit, de motifs floraux et
animaliers.
Mais, la pièce maîtresse de cette façade est de loin la porte d’entrée en bois massif et
fer sculptés, encadrée de feuillages ondulants qui grimpent sur le visage surplombant d’une femme que l’on assimilerait à celui de Mme Lavirotte.
Certaines théories portent à croire que de nombreuses allusions sexuelles sont
faites à travers les gravures, notamment la forme phallique centrale
décelée dans la disposition et la forme des vitraux qui ornent l’entrée
(que l’on retrouve aussi dans celles du corridor et de la cour, si l’on a
l’occasion de franchir le seuil de la porte) ainsi que le lézard qui
fait office de poignée (en argot parisien de l’époque, cet animal
désignait plus communément un phallus).
En bref, un décor somptueux et chargé à outrance prend littéralement vie
sur ces murs et n’en finit pas d’intriguer, et de diviser.
Et comme un seul immeuble n’a pas suffit à notre cher architecte pour
laisser libre cours à son imagination débordante, il décida d’en bâtir
un deuxième, moins surchargé, au niveau du square Rapp, rien que pour
nous en mettre plein la vue – enfin, pour s’y établir, avant toute chose
!
Cette année, on s’offre un check up complet à la rentrée. On oublie les mono-diète désastreuses pour la santé et le moral et les cures détox chimiques, et on se concentre sur les produits de saison et ce qu’ils peuvent nous apporter pour attaquer l’année du bon pied. N’oubliez pas d’en faire profiter toute la famille !
1. On adopte LE réflexe qui fait du bien avec le citron
Mon bras et le vôtre ne suffiraient pas à lister tous les bienfaits du citron, jaune ou vert. Prévenir certains cancers ? Le citron.
Ralentir leur évolution ? Le citron. Diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires ? Le citron. Réduire le cholestérol et les
inflammations ?
Le citron.
A la rentrée, on adopte le réflexe agrume, en se préparant chaque matin un demi jus de citron frais dans une tasse d’eau froide ou chaude,comme vous préférez !
2. On hydrate son corps en lui apportant de puissants antioxydants avec le thé
Le thé aura besoin de votre autre bras et du mien pour lister, lui aussi, ses bienfaits : riche en antioxydants, il aiderait lui aussi à
réduire le risque d’apparition de certains cancers de l’appareil digestif, il empêche la formation de caillots sanguins bouchant les
artères et pouvant conduire à l’infarctus et c’est un puissant stimulant pour la mémoire et la concentration.
Cerise sur le gâteau, le thé prend soin de votre hygiène bucco-dentaire.
A raison de deux tasses par jour, c’est décidé, à la rentrée, je passe au thé !
3. On nettoie ses reins avec le pissenlit
Il est un peu tard pour le consommer frais, mais la poudre de racine et/ou de feuilles de pissenlit se trouve très facilement en grande
surface ou en pharmacie. Vous pouvez en faire une petite cure dès la rentrée.
Attention tout de même : sachez que le pissenlit est connu pour ouvrir l’appétit et est utilisé pour traiter le manque d’appétit
passager.
Il vous aidera à améliorer votre digestion, le fonctionnement de votre foie, de votre bile et vos fonctions urinaires, luttera contre les
calculs rénaux. Le pissenlit est un diurétique naturel. Alors que les racines traiteront plutôt le foie, les feuilles, elles, agiront plutôt
sur les reins. Cela dépend de ce que vous souhaitez en faire !
Qui a dit mauvaise herbe ?!
4. On prend soin de sa peau avec un gommage maison
Éliminer les toxines de son corps, ça passe forcément aussi par la peau. On se prépare donc un petit gommage visage maison pour éliminer les peaux mortes et les impuretés et laisser ainsi la peau respirer.
Pour votre gommage maison vous aurez besoin :
De 2 cuillères d’un yaourt nature
De la même quantité de miel
Du jus d’un demi citron (celui que vous avez bu ce matin fera parfaitement l’affaire !)
Et d’un peu de sucre roux
Mélangez tous les ingrédients et appliquer délicatement sur votre visage en effectuant doucement des petits cercles en évitant les yeux.
Tandis que le sucre roux enlèvera les peaux mortes, le citron purifiera la peau et le yaourt et le miel s’occuperont de la partie hydratation.
Rincez à l’eau tiède, et recommencez la semaine prochaine !
Vous pouvez, avant votre gommage, faire chauffer de l’eau et la mettre dans un saladier, au-dessus duquel vous placerez votre visage pendant quelques minutes (recouvrez votre tête d’une serviette pour que la vapeur ne s’échappe pas). Cela permettra d’ouvrir les pores et les préparer pour le grand nettoyage !
5. On fait le plein de vitamines avec les canneberges
Les canneberges sont de véritables bombes de vitamine C.
Leur récolte s’étend de la fin du mois de septembre à la fin du mois d’octobre, c’est donc la période idéale pour les consommer fraîches. Mais vous pouvez tout aussi bien les consommer tout au long de l’année, en jus vendus dans le commerce (attention à la dose de sucre !) ou bien dans des produits à base de, disponibles en pharmacie.
Au-delà de l’énergie qu’elle apporte, elle est également encensée dans les cas d’infections urinaires déclarées ou en préventif, et elle
protègera vos intestins et vos dents.
6. On maintient ses yeux en forme avec les myrtilles
La légende raconte que les pilotes de chasse anglais, pendant la Seconde Guerre Mondiale, se gavaient de myrtilles pour pouvoir piloter dans la nuit sans être repérés par les soldats allemands.
Si nous ne saurions vérifier cette anecdote historique, il est cependant scientifiquement prouvé que la myrtille est une véritable
potion magique pour la vision : elle ralentit le vieillissement prématuré de la rétine, notamment dans le cas d’une exposition prolongée
à un écran d’ordinateur, elle améliore la vision nocturne en aidant à faire les contrastes entre les blancs et les noirs, diminue la fatigue
visuelle, et préviendrait même contre la cataracte et les glaucomes.
Tout comme la canneberge, elle est également très riche en vitamine C et A et vous donnera l’énergie nécessaire pour attaquer cette nouvelle année du bon pied. Et, bien qu’il soit difficile de la trouver, même lorsque c’est la période, vous pouvez toujours vous rabattre sur les versions séchées. Attention aux produits ajoutés !
7. On s’offre une cure de jouvence avec le raisin
C’est la pleine période pour le consommer frais ! On se jette sur toutes les variétés qu’on trouve et on lutte, grâce aux
anti-radicalaires puissants qu’il contient, contre le vieillissement prématuré et les problèmes cardiaques !
On fait attention au jus de raisins bourrés de sucre et aux raisins secs ultra gras, et on préfère vraiment les consommer très frais !
Bonne rentrée !
Bon dégustation .
La renommée de l’Espagne en matière de gastronomie est indiscutable : de la paella au gaspacho en passant par les tapas, les Ibériques sont très forts à l’heure de se mettre à la cuisine.
Mais connaissez-vous les desserts espagnols ?
Si vous craquez pour les desserts, cet article est pour vous ! Voici ce top 10 delicioso !
Churros (Madrid)
Les cousins du chichi frégi. Mais à la différence de ce dernier, les churros ne se vendent pas seulement sur les fêtes foraines ou les foires, ils sont également un aliment courant du petit-déjeuner ou du goûter accompagné d’un chocolat chaud bien épais.
Recette : Churros
Tarta de Santiago (Galice)
La Tarte de Saint-Jacques est un célèbre gâteau aux amandes de la Galice. Elle se prépare principalement avec de la poudre d’amande, des œufs et du sucre. Le gâteau est habituellement décoré avec une empreinte de la croix de Saint-Jacques. On déguste la tarte de Santiago surtout au mois de juillet et la première semaine d’août lors des fêtes célébrant la Saint-Jacques le 25 juillet.
Recette : Tarte de Saint-Jacques
Crema Catalana (Catalogne)
On ne sait toujours pas vraiment si elle est française ou catalane. Cela dépend à qui vous demandez. Mais ce qui est certain c’est qu’elle est vraiment délicieuse !
Recette : Crème Catalane
Horchata et fardons (Communauté Valencienne)
Sorte du lait de soja sucré élaboré à partir de tubercules de souchet (chufa). C’est une boisson rafraîchissante qui est toujours accompagnée d’un délicieux gâteau valencien appelé fartón. Dessert incontournable si vous vous rendez à Valence .
Recette : Horchata
Pantxineta (Pays Basque espagnol)
Dessert d’origine navarrais de texture douce. Il s’agit d’un gâteau préparé avec une pâte feuilletée, fourrée à la crème
pâtissière et décoré avec des amandes. Il est recommandé de le manger tiède.
Recette : Pantxineta
Ensaimada (Iles Baleares)
L’ensaimada est une sorte de brioche ayant pour origine l’île de Majorquedans les Baléares. On la trouve cependant dans toute l’Espagne. Elle était traditionnellement préparée avec du saindoux : saïm en catalan d’où le nom de ensaimada. Elle se mange surtout au petit-déjeuner accompagnée de chocolat chaud ou de café au lait.
Recette : Ensaimada
Sobao pasiego (Cantabrie)
Gâteau d’origine cantabrique possédant une saveur qui rassemble beaucoup à celle des madeleines.
Recette : Sobao pasiego
Mazapán (Castille-La Manche)
D’origine arabe, ce dessert est préparé avec une pâte à base d’amande avec laquelle on peut faire des figures. C’est un produit traditionnel de Tolède et de La Rioja qui se mange surtout à Noël.
Recette : Massepain
Arroz con leche (Asturies)
Le riz au lait est un dessert espagnol mondialement connu et provient de la cuisine arabe. Il s’agit du riz cuit dans du lait sucré. Aromatisé soit à la cannelle, soit à la vanille, il se mange préférablement froid.
Recette : Riz au lait
Tocinillo del cielo (Andalousie)
Parfois confondu avec son cousin le flan. La différence entre les deux recettes réside dans le fait que celle du tocinillo ne vous fait utiliser que les jaunes d’œufs et non pas les œufs entier. Le tocinillo del cielo est donc plus sucré mais à la fois plus léger que le flan.
Recette : Tocinillo del cielo
Bonus : Turrón (Communauté Valencienne)
Le nougat ibérique est un autre legs de la culture arabe. Il s’agit d’une confiserie à base de miel, de sucre, de blanc d’œuf, et d’amandes entières ou pilées. Il se présente sous la forme d’une tablette rectangulaire ou circulaire de diverses tailles. Il se
mange surtout à Noël.
Recette : Touron
Cela donne envie… n’est-ce pas ?