De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
01/09/2016 - 18:11
Prolonger les bienfaits de l'été pour votre peau et vos cheveux

Les vacances sont bientôt terminées et vous rentrez plus resplendissant(e) que jamais. Un nouveau challenge s'offre à vous : garder votre bronzage et retrouver une chevelure soyeuse. Alimentation, hydratation, soins : quelques astuces pour arriver à vos fins.

Sur la plage face à la mer, dans l'eau de la piscine ou en randonnée dans les montagnes, votre peau et vos cheveux ont profité tout l'été de l'extérieur, avec ses bienfaits mais aussi ses dangers : soleil, sel et chlore ne sont pas forcément les meilleurs amis possibles durant la saison estivale.

Si à la fin de vos vacances, c'est bronzage parfait et jolis reflets garantis. L'effet n'est parfois que de courte durée et vous vous seriez bien passé des cheveux abimés. Voici quelques précieux conseils pour prolonger les effets au-delà de la rentrée.

Une belle peau toute ensoleillée
Optez pour une alimentation riche en bêta-carotènes
La légende des effets des carottes sur la peau n'est pas totalement fausse. En effet, l'alimentation joue un rôle important dans l'entretien du bronzage. Les antioxydants à privilégier sont les bêta-carotènes. N'hésitez pas à consommer des carottes, des épinards, du persil frais, du melon, des patates douces, des baies de Goji qui font partie de la liste des aliments les plus riches dans ce domaine.
Plus généralement, tous les végétaux contiennent des antioxydants. Après les agressions à répétition des rayons UV, votre peau vieillie plus vite. En orientant son alimentation vers les produits riches en bêta-carotènes, vous stimulez une production naturelle d'antioxydants.
Résultat, le vieillissement cutané est limité et le bronzage prolongé. 
Certains recommandent également les compléments alimentaires naturels car ils ralentissent le blanchiment de la peau. L'idéal serait de commencer la cure avant ses vacances, mais il n'est jamais trop tard pour mettre toutes les chances de son côté. 

Hydrater, le maître mot
Il est nécessaire d'hydrater votre peau avec une crème ou un après-soleil afin de calmer les irritations. Il vaut mieux opter pour des crèmes hydratantes incluant des huiles végétales, qui ralentissent le vieillissement de la peau. Nos cellules se renouvellent toutes les troissemaines.
L'hydratation permet de prolonger cette durée de vie. Elle évite aussi à la peau de peler et d'emporter la couleur de votre joli
teint. Matin, midi et soir : dès que vous le pouvez, n'hésitez pas à vous enduire de crème. 

La crème solaire n'est pas à bannir, même bronzé.
Continuez d'en mettre quand vous vous exposez car le bronzage ne fait pas office de protection. En plus des coups de soleil, l'agression des UV n'est jamaisbonne pour les cellules cutanées. 


Faites des gommages légers
Il ne faut jamais abuser des gommages, mais un petit soin après une longue exposition peut s'avérer utile. Exfolier permet en effet d'éliminer toutes les cellules mortes qui s'étaient formées pour protéger votre peau. Cette protection risque maintenant d'obstruer les pores de votre peau et de favoriser l'apparition d'impuretés. Boutons et points noirs risquent de rapidement faire surface.

Avec le gommage, votre peau respire et votre teint caramélisé est unifié. Néanmoins, il doit rester léger pour ne pas irriter. 

Pour les peaux sensibles, privilégiez les gommages "chimiques", sans grains ni billes qu'on applique et laisse agir comme un masque. Pour les peaux grasses, optez pour le gommage "mécanique" avec des ingrédients exfoliants comme la poudre de noyaux que l'on utilise en se massant. 
Pendant que votre peau brunit, elle épaissit et entraine l'apparition des imperfections. Si cela arrive, parce que vous avez tardé à faire ungommage ou si vous êtes simplement en excès de sébum, n'y touchez surtout pas. Plus vous vous acharnez sur vos boutons et points noirs, plus ils se propagent. Il faut se contenter de nettoyer votre peau correctement avec des produits doux. 

Pour des cheveux en pleine forme
Couper les pointes avant tout L'enveloppe protectrice et la cuticule du cheveu ont été mises à rude épreuve pendant les vacances. Si vos cheveux ont atteint le stade fourche, il est trop tard : il faut couper les pointes avant de commencer n'importe quel soin.

Pourquoi ? Dès que vos cheveux sont trop cassés, ils ne sont plus réceptifs aux cures. Les tentatives d'amélioration ne récolteront
pas les résultats escomptés. Il faut donc agir et retirer la partie abimée. 


Masque, huile : tout est bon pour nourrir Maintenant que vos cheveux peuvent réagir correctement aux soins, il est temps de
les nourrir intensément pour mettre fin à leur aspect "sec et cassé".

Côté routine, le masque s'impose : deux à trois fois par semaine pendant quinze jours, puis toutes les semaines pendant un mois pour finir avec un rythme en quinzaine. Il est important d'appliquer le masque sur cheveux "sales" plutôt que mouillés car le masque pénètre mieux. Laissezagir pendant vingt minutes avant de rincer.

Si vous êtes courageuses, vous pouvez finir à l'eau froide pendant une minute pour leur donner de la brillance. Chaque cheveu à son masque : au karité pour les cheveux épais, plein d'acide lactique pour les très abimés, à l'huile de coton pour les couleurs, chargé d'arginine pour qu'ils deviennent incassables.
 

Si ça ne suffit pas, place aux huiles essentielles nourrissantes.
Sur cheveux secs, il est possible de cibler les mèches les plus endommagées. Sinon, il faut verser quelques gouttes une fois par semaine et se masser le crâne pendant dix minutes. Ensuite, laissez reposer pendant une demi-heure. Ainsi, le soin pénètre comme il faut et peut agir dès la racine. La solution de derniers recours : mettre de l'huile sur toutes les longueurs et laisser imprégner toute la nuit. Au réveil, faites un shampoing doux. 


Les impératifs de la routine cheveux
Le but est de laisser respirer vos cheveux. Tous les shampoings avec silicone ou sulfate sont donc à éviter. Les produits à utiliser doivent être doux. En effet, il faut éviter de trop stimuler le cuir chevelu au risque de créer du sébum qui rend le cheveu gras. 

Les cheveux ont déjà bien souffert avec le soleil, pas la peine de leur imposer le sèche-cheveux ou le fer à lisser. Cela ne fera
qu'aggraver leur état. Le séchage à l'air libre reste le mieux. Si cela est vraiment impossible : travaillez uniquement les mèches autour du visage pour un effet soigné pour aller au bureau.
01/09/2016 - 14:44
Le paradoxe de la noix de coco


La noix de coco est présente absolument partout aux Philippines. On lui trouve des usages variés et parfois surprenants. La totalité du cocotierest exploitée, des palmes au coeur du tronc, mais la chouchoute des Philippins, c’est la fameuse noix. Un fruit dont on tire du lait, de l’eau, de l’huile, de la farine, du sucre, dont on fait de l’alcool, du vinaigre, de la gelée, des cordes, des matelas, du charbon, des instruments de musique et j’en passe.

L’étrange paradoxe, c’est que jamais un Philippin ne mangera la noix de coco sèche comme un simple fruit.
Explications.

Plantation de cocotiers à Romblon, Philippines

Les Philippines et la noix de coco sont indissociables. Tout d’abord parce que le pays est le premier producteur mondial, avec 19 500 000 tonnes par an. C’est colossal. De telles quantités sont rendues possibles par l’emplacement idéal de l’archipel et sa topographie.

En effet la noix de coco vient du cocotier, un palmier qui pousse principalement le long des côtes, dans les régions chaudes.
La carte ci-dessous présente, entre les lignes rouges, son habitat naturel. Principalement des côtes donc, mais ce n’est pas une
règle absolue. En effet on peut observer des cocotiers en Inde jusqu’à 1000 mètres d’altitude.

Outre ce type d’exceptions, le cocotier aime le littoral, et aux Philippines, il est servi. 7 107 îles, 36 289 kilomètres de côtes, voilà l’endroit qu’il lui faut.

Pour information, seuls 5 pays dans le monde ont plus de zones côtières que les Philippines : le Canada, la Norvège, l’Indonésie, le Danemark (grâce au Groenland) et la Russie.
A part en Indonésie, c’est raté pour les cocotiers. Et comme par hasard, l’Indonésie est justement le deuxième producteur mondial. Les Philippines l’ont détrônée il y a seulement quelques années.

Distribution des cocotiers

La noix de coco, c’est la tête à Toto
Notre palmier côtier sert à tout et n’importe quoi. Les Philippins lui ont trouvé des débouchés déconcertants.

C’est surtout son fruit qui les intéresse. Celui-ci est absolument fascinant. Déjà, une noix de coco, ce n’est pas une noix,
c’est une graine. Ou plus exactement, une drupe. Pour faire court, c’est un fruit qui contient un noyau, comme la pêche, la mangue ou la cerise.
Chez les drupes, le fruit peut ne pas être comestible, ce qui est le cas de la noix de coco. On ne mange en fait que l’intérieur du noyau.
Bien que leur chair soit comestible, on observe le même genre de noyau chez les abricots. On y trouve en effet une amande, un peu amère, que les Italiens utilisent pour faire leurs fameux biscuits amaretti.


Les yeux du fameux Coco en train de germer

Bon, soit dit en passant, cette fausse noix, pourquoi s’appellerait-elle coco ? Qui était donc ce Coco ? Eh bien, c’est un Portugais. C’est le croquemitaine des populations hispaniques et lusophones. D’après le linguiste Fernando Díez Losada, les navigateurs de Vasco Da Gama ont ainsi baptisé les drupes du cocotier au XVIème siècle, lorsqu’ils les ont vues pour la première fois. C’était en Inde.
La noix de coco les effrayait. Elle présente en effet trois marques noires sur l’une de ses faces. Ce sont des trous de germination, par lesquels sortira le bébé cocotier, mais les Portugais y voyaient un visage. Deux yeux, une bouche. Et étymologiquement, le mot coco désigne le crâne. Bref, ils ont vu la grimace du croquemitaine, alias Coco, et le nom est resté.


Décortiquer un coco couvert de sa bourre

Depuis, la noix de coco est arrivée jusqu’à nous. Nous la connaissons mûre et débarrassée de sa glume, aussi appelée bourre, c’est-à-dire son enveloppe extérieure, extrêmement dure. Une partie du mésocarpe (le truc très fibreux qui recouvre les
noix de coco que l’on trouve en France) a également été prélevée, pour faciliter l’ouverture de cet étrange noyau.

Le Français moyen va se saisir de la noix de coco, percer les fameux yeux du croquemitaine, et en recueillir l’eau, sucrée et très riche en potassium, vitamines et protéines. Puis il va ouvrir le noyau, souvent à l’aide d’un marteau, et prélever la pulpe. Celle-ci sera consommée comme un fruit, en la croquant à pleines dents.

Lorsque je fais cela aux Philippines, tout le monde me regarde avec de grands yeux. Sur les marchés, les marchands de noix de coco sont hilares dès qu’ils me voient manger le fruit mûr. J’en ai acheté une à Pateros avec mon amie Leane. Lorsqu’elle m’a vue faire, elle était absolument fascinée.
Elle m’a demandé si ce n’était pas trop dur. Je l’ai interrogée à mon tour : « Tu n’as jamais goûté ? » Elle me regarde avec étonnement et me répond : « Non, je peux ? » Je lui fais goûter. Elle croque, constate qu’elle y arrive sans problème et me dit : « Oh, c’est bon ! Je n’aurais jamais pensé à faire ça. »

La manger ou ne pas la manger, telle est la question
Effectivement, cette pratique est une aberration aux Philippines. Le pays a beau foisonner de noix de coco, personne ne les consomme ainsi, car à ce stade, la chair est dure.
On m’a même souvent rétorqué, lorsque je demandais aux vendeurs de simplement retirer l’écorce et de me donner la pulpe telle quelle : « Mais tu ne peux pas la manger, tu vas te casser les dents ! On les râpe seulement ! » Et c’est vrai. Sur les marchés, les noix de coco mûres sont uniquement destinées à finir hachées par des machines comparables à des presse-citrons géants.


Machine à râper les cocos, Pateros

La pulpe en paillettes ainsi récoltée sera soit utilisée en cuisine telle quelle, dans les gâteaux et les sauces, soit pressée pour en extraire le lait. Pour ce faire, une autre machine, semblable à un grand étau, vient appuyer sur la pulpe
 Et là, magie, un lait épais, parfaitement blanc, coule à flots. Il est filtré, conditionné en sac plastique, et servira à faire la base de sauces salées ou sucrées , ou pourra être utilisé en pâtisserie.


Lait de coco frais pressé

Si vous demandez un coco à manger comme un fruit aux Philippines, on vous indiquera immédiatement la buko, une noix de coco immature. Leur bourre est d’un vert acide qui brunit à mesure qu’elle mûrit. A l’intérieur, le jus est bien plus sucré que nous
en avons l’habitude, en effet il devient amer lorsque le coco arrive à maturité.

Généralement, le haut de la buko est prélevé à la machette, laissant apparaître à travers un petit trou le centre du noyau, chargé
de 30 centilitres à 1 litre d’eau. Il se boit à la paille ou en collant directement le fruit aux lèvres.


Buko à la bourre verte et cocos mûres sans bourre

Ensuite, ils ouvriront le jeune coco d’un autre coup de machette, et la partie de la bourre précédemment coupée formera une superbe spatule qui permettra de racler la chair extrêmement tendre, voire gélatineuse, de la buko. Il y a très peu de pulpe à ce stade de maturité. En fait, l’eau cède peu à peu la place à la chair. La buko est donc plus chargée en eau, plus douce et plus rafraîchissante que le coco sec. C’est délicieux.


Buko à boire et à manger

La noix de coco peut tout faire
Si nous n’avons, nous Français, qu’une approche limitée et maladroite de fruit que nous ne connaissons – mal – qu’à un seul stade de maturité, les Philippins ont des techniques sophistiquées et des usages innombrables pour la noix de coco. En effet,ses produits dérivés peuvent aller très loin.
Tout ce qui la constitue trouvera une utilité particulière, parfois si surprenante que c’en est épatant d’ingéniosité. On sent des millénaires de tentatives et d’expériences derrière ces pratiques bien ancrées dans la culture locale.

La bourre et la fibre de la noix de coco peuvent par exemple servir à fabriquer des cordes, des paillassons, des matelas, des brosses ou des flotteurs pour les bateaux. Une fois brûlées, elles produisent un excellent charbon qui sera utilisé pour les barbecues entre autres.
On pourra également en faire un instrument de musique traditionnel, le maglatalik. Les danseurs de maglatalik portent plusieurs demi-coques de noix de coco et se lancent dans des performances impressionnantes, les entrechoquant en mêlant percussions,
danse et arts martiaux.

Piège à poules
A Palawan, j’ai également trouvé des masques sculptés dans l’écorce de la noix de coco, qui sont à l’origine des pièges à poules. Il faudra que j’y retourne pour demander à des locaux de me montrer exactement comment cela fonctionne. Mais dans l’idée, on maintient le masque en équilibre sur les pointes, auxquelles on accroche une ficelle. Lorsque la poule vient picorer du grain posé
sous le masque, on tire la ficelle, elle s’enroule autour du cou de l’animal et la poule se retrouve emprisonnée.

Je ne m’étendrai pas sur les multiples autres possibilités exploitées par les Philippins, qui ont conçu des dizaines de jeux à partir de l’écorce des cocos, mais qui s’en servent aussi comme un matériau de construction, des pièces de vaisselle, etc.

La pulpe séchée est appelée copra. On en extrait de l’huile tellement riche en fibres qu’elle est plutôt réservée à l’alimentation animale. A Tahiti, on en fait du monoï et toutes sortes de produits cosmétiques. Le copra est extrêmement inflammable. Il peut prendre feu spontanément. Il est par conséquent interdit d’en embarquer dans les avions.


Lambanog

Enfin, la fameuse eau de coco, enfin, plutôt l’eau de buko, trouve de nombreux débouchés dans l’industrie alimentaire. On en fait un excellent vinaigre et plusieurs types d’alcools. Le plus fort d’entre eux est le lambanog, la « vodka de coco ». Un vrai tord-boyaux, à 80°. On peut le boire tel quel, si on aime souffrir, ou le mélanger à des jus de fruits pour obtenir des cocktails.

L’eau de coco, lorsqu’elle est fermentée, produit une gelée épaisse, la nata de coco, l’un des ingrédients de base du halo halo, le fameux dessert multicolore dont les Philippins raffolent. Pour l’anecdote, comme l’eau de coco est stérile, elle se conserve très bien.
Mais surtout, elle peut remplacer la solution physiologique pour les intraveineuses, lorsque celle-ci n’est pas disponible.

Bref, du piège à poules au combustible en passant par le matelas et les pâtisseries, la noix de coco est définitivement le fruit le plus polyvalent des Philippines. A ceci près qu’il ne sera jamais mangé sous sa forme première, celle du simple fruit.

C’est le signe d’une culture du coco extrêmement poussée et sophistiquée. C’est aussi le signe, comme dans toute civilisation qui
maîtrise son sujet, qu’il serait dommage de faire simple, quand on peut faire compliqué.
01/09/2016 - 08:39
Créer un sol en béton ciré

Relookez un sol de cuisine en carrelage en le couvrant de béton ciré, c'est facile ! On vous explique.

1. Nettoyez le sol et appliquez un primaire sablé multisupport. Cela permet une meilleure accroche.
2. Préparez le mélange (poudre + eau) en évitant de créer des bulles d’air, puis coulez la préparation autonivelante
en vous aidant d’une spatule. Laissez sécher 24 à 48 heures.
3. Le ponçage se fait au papier fin. Ponceuse excentrique.
4. Au bout de 5 jours, protégez le béton en passant deux couches fines d’un traitement de surface acrylique au rouleau.
Ici, réalisé avec du béton ciré RBX de Mercadier.

01/09/2016 - 08:18
Mayyan , il faut que je change de lunettes
01/09/2016 - 08:15
01/09/2016 - 08:11
31/08/2016 - 19:28
Les bienfaits des fruits d'été

Côté aliments, pas de doute, les fruits sont les véritables vedettes de l'été. On en trouve en quantité sur tous les étals des marchés. Alors ce serait vraiment pêché de s'en priver. Colorés, savoureux, sucrés, hydratants, bons pour la santé, les fruits sont de bons alliés pour votre ligne, une bonne raison pour les consommer sans modération.










































Cet été, vous allez remplir vos paniers de fruits, parce qu'ils sont bons, parce qu'ils sont sains et surtout parce que c'est la saison.
Quels fruits choisir selon les mois, quels sont leurs apports santé, et comment les consommer ? Vous allez tout savoir sur les fruits, ces stars de l'été.
 
LES FRUITS À CONSOMMER EN PRIORITÉ CET ÉTÉ 
De nombreux fruits, comme la banane, le citron ou le kiwi, sont à maturité tout l'été (et également durant l'hiver). Aucune raison de vous en priver, ils seront vos compagnons durant toute la saison. Les melons, les pastèques et les prunes sont aussi bons en juillet qu'en septembre. Les fraises, les framboises et les groseilles aussi, alors on n'hésite pas, on en garnit son panier, en s'efforçant de choisir des fruits bio.
 
Pour les abricots, les pêches et les nectarines, on s'en régale en juillet et en août, et on commence à les oublier en fin de saison.
Certains fruits d'été sont mûrs plus tardivement. Quand septembre s'approche, pensez aux figues, elles commencent à être délicieuses.
C'est aussi le bon moment pour commencer à déguster des châtaignes, des marrons et des coings.
 
 
LES FRUITS D'ÉTÉ, UN BAIN DE JOUVENCE 
Vous le savez, on vous l'a dit et répété, les fruits sont bons pour la santé. Vous avez donc tout intérêt à en consommer plusieurs chaque jour.
Mais pour quelles raisons ?
D'abord parce qu'ils sont gorgés d'eau et de sucre, les deux carburants essentiels de votre corps. Avec les chaleurs de l'été, il est indispensable de bien vous hydrater, et les fruits y contribuent largement. Les fruits ont d'autres vertus.
La plupart contiennent des antioxydants qui contribuent à limiter les effets du vieillissement et à prévenir l'apparition des cancers.
 
Par ailleurs, ils sont peu caloriques, et sont d'excellentes alternatives aux coupe-faim de type barres chocolatées. En bref, les
fruits d'été sont les amis de votre maillot de bain , un bon argument pour vous convaincre de ne pas oublier votre nectarine sur la plage.
 
 
DES FRUITS EN JUS, EN SALADE, TOUT L'ÉTÉ 
La façon la plus simple de manger un fruit, c'est évidemment de le croquer cru. Prendre le temps de bien le mastiquer permet d'assimiler aumieux tous les nutriments qu'il contient. Toutefois, il n'est pas interdit de varier les plaisirs pour éviter de vous lasser.

Un bon cocktail de fruits pressés le matin aura le mérite de vous apporter un maximum de vitamines et d'énergie en un minimum de temps. Et pour vous faire plaisir de temps à autre, une bonne salade de fruits d'été sera parfaite pour combiner en un délicieux dessert tous les nutriments que chaque fruit contient.
31/08/2016 - 17:14
Pegasus, Le Logiciel Espion Qui Fait Trembler Apple...


Apple vient de corriger en urgence trois failles de sécurité majeures
exploitées par un logiciel espion redoutablement performant nommé
Pegasus.

Mis au point par NSO Group, une entreprise israélienne spécialisée dans la
création d’outils d’écoutes électroniques pour les États, ce malware
transformait les iPhone en mouchards sans se faire repérer.

Un puissant outil de surveillance et d’espionnage industriel.
Le 29/08/2016 - Marc Zaffagni, Futura-Sciences


Développé pour le compte d’États désireux de pratiquer la surveillance
électronique et/ou l’espionnage industriel, le malware Pegasus était
capable d’écouter les communications sous toutes les formes. © Brian A Jackson, Shutterstock

Utilisateurs d’un iPhone ou d’un iPad, vous avez certainement vu passer la semaine dernière une mise à jour de sécurité diffusée en urgence par Apple.
La rustine est venue colmater trois failles critiques dites zero day dans le système d’exploitation iOS qui pouvaient permettre l’installation d’un redoutable logiciel espion nommé Pegasus.
Une fois installé, ce dernier est en mesure d’accéder à la caméra et au microphone du smartphone pour voir et entendre tout ce qu’il se passe en temps réel, mais aussi
de surveiller les messages, les appels, les courriels ainsi que les applications les plus populaires telles que FaceTime, Facebook, GMail, Skype, WhatsApp ou encore Viber.

Tout ceci s’effectue évidemment en arrière-plan, à l’insu de la victime.
Apple, et ses clients, peuvent remercier Ahmed Mansoor. Cet Émirati activiste
qui se bat pour la défense des droits de l’Homme est à l’origine de la
découverte de Pegasus.

Tout commence le 10 août dernier lorsqu’il reçoit plusieurs SMS avec des liens censés lui fournir des informations concernant des
exactions dont le régime des Émirats arabes unis se serait rendu
coupable.

Déjà victime de plusieurs tentatives d’espionnage, Ahmed Mansoor a le réflexe de ne pas ouvrir ces contenus et de les communiquer à Citizen Lab, une équipe de chercheurs en cybersécurité rattachés à l’université de Toronto (Canada).

Voici une capture d’écran des SMS piégés que l’activiste émirati Ahmed Mansoor a reçus.

En ouvrant ces liens, il aurait déclenché, à son insu, l’installation du logiciel espion Pegasus sur son iPhone 6. © Citizen Lab
Pegasus serait actif depuis 2013 Ces derniers travaillent alors de concert avec la firme Lookout Security et découvrent que les SMS piégés visaient à installer Pegasus afin de
transformer l’iPhone 6 d’Ahmed Mansoor en véritable mouchard.

Avant de rendre publics ses travaux, le Citizen Lab a donc averti Apple qui a
pu procéder à la mise à jour en urgence. Mais ce n’est pas tout.

Car les chercheurs ont pu remonter à la source du programme et découvrir
qu’il avait été conçu par NSO Group, une entreprise israélienne
spécialisée dans la création d’outils d’écoutes électroniques qu’elle
vend aux États.

Autrement dit, des gouvernements pour qui le respect de la démocratie et des
droits de l’Homme n’est pas une vertu cardinale ont vraisemblablement
utilisé Pegasus pour espionner des activistes, des opposants ou encore des régimes rivaux.

Des informations relevées dans le code du logiciel malveillant laissent penser que Pegasus serait actif au moins depuis la version iOS 7, qui est sortie en 2013.
Si le correctif publié par Apple devrait rendre ce malware inopérant, on peut raisonnablement s’interroger sur l’existence d’autres failles
zero day exploitées en toute discrétion à des fins similaires.


You have networking monitoring blind spots. Find out where. Combining on-premises networks with cloud services should make IT simpler — but for network managers it adds complexity.
Proposé par SolarWinds...

 
31/08/2016 - 17:12
Le Cycle De Vie D'une Étoile En Vidéo


Une étoile est un corps céleste gazeux qui rayonne sa propre lumière par réactions de fusion nucléaire, ou des corps qui ont été dans cet état à un stade de leur cycle de vie, comme les naines blanches ou les étoiles à neutrons.
Cela signifie qu'elles doivent posséder une masse minimale pour que les conditions de température et de pression au sein de la région centrale — le cœur — permettent l'amorce et le maintien de ces réactions nucléaires, seuil en deçà duquel on parle d'objets substellaires.
Les masses possibles des étoiles s'étendent de 0,085 masse solaire à une centaine de masses solaires. La masse détermine la température et la luminosité de l'étoile.
La plupart des étoiles se situent sur la séquence principale du diagramme de Hertzsprung-Russell, où les étoiles produisent leur énergie et leur rayonnement par conversion de l'hydrogène en hélium, par des mécanismes de fusion nucléaire comme le cycle carbone-azote-oxygène ou la chaîne proton-proton.
Pendant une grande partie de son existence, une étoile est en équilibre hydrostatique sous l'action de deux forces qui s'opposent : la gravitation, qui tend à contracter et faire s'effondrer l'étoile, et la pression cinétique (avec la pression de radiation pour les étoiles massives), régulée et maintenue par les réactions de fusion nucléaire, qui tend au contraire à dilater l'astre.
À la fin de cette phase, marquée par la consommation de la totalité de
l'hydrogène, les étoiles de la séquence principale se dilatent et
évoluent en étoile géante qui obtient son énergie d'autres réactions nucléaires, comme la fusion de l'hélium en carbone et oxygène.

Une étoile rayonne dans tout le spectre électromagnétique, au contraire de la plupart des planètesNote 1 (comme la Terre) qui reçoivent principalement l'énergie de l'étoile ou des étoiles autour desquelles elles gravitent.
Le Soleil est une étoile assez typique dont la masse, de l'ordre de 2×1030 kg, est représentative de celle des autres étoiles.
31/08/2016 - 15:12
Entre le 9 et le 10 septembre, un incroyable phénomène va se produire dans leciel : après ceux d'août, ne manquez pas les Perséides de septembre !
Amateurs d’astronomie, le mois de septembre vous réserve une surprise : les Perséides, une pluie d’étoiles filantes qui offre un spectacle tout à fait impressionnant. Chaque année, cet évènement est l’un des plus attendus par tous les fans d’observation stellaire. Et 2016 ne déroge pas à la règle. Explications.


 

Cet essaim d'étoiles filantes tire son nom du fait que, comme pour les Perséides d'août, les météores semblent provenir de la constellation de Persée. Active durant 16 jours
(du 2 au 18 septembre), cette pluie d’étoiles atteindra son pic d’intensité dans la nuit du 9 au 10 septembre, avec des fortes prévisions en termes de nombre de météores visibles par heure. Un phénomène qui une fois de plus viendra illuminer le ciel français, pour le plus grand bonheur des passionnés et des observateurs d’un jour.


Pendant longtemps, du fait qu’ils venaient de la constellation de Persée, les astronomes ont pensé que les Perséides de septembre n’étaient qu’une seconde vague de ceux d’août. Mais après de nombreuses observations très poussées, ils sont arrivés à la conclusion qu’il s’agissait en réalité d’un essaim à part.

Pour ceux qui s’apprêtent à observer l’évènement, sachez que le moment idéalsera dans
la nuit du 9 au 10 septembre aux alentours de 3h45 du matin.
Pour cette période, les prévisions s’accordent à dire que 5 météores seront visibles chaque heure. Ces derniers atteignant des vitesses pouvant aller jusqu’à 64 km/s, le rendu sera incroyable.


Autre bonne nouvelle, la constellation de Persée, vers laquelle il faut se tourner pour observer la pluie d’étoiles filantes, est circumpolaire, c’est-à-dire qu’elle ne se couche jamais en Europe. Du coup, vous pourrez observer le show du soir jusqu’au matin sans aucune contre-indication.


 

Petit rappel tout de même, afin de profiter des meilleures conditions possible, pensez à vous éloigner des zones trop éclairées comme les grandes villes, les grandes avenues et les habitations. De plus, sachez que vos yeux ont besoin, en moyenne, d’une vingtaine de minutes pour s’habituer complètement à l’obscurité, soyez donc patient ! En tout cas,
si vous suivez toutes ces consignes, vous serez surpris d’assister au passage des Perséides de septembre, l’une des plus anciennes pluies de météores recensées à ce jour (les premiers rapports datent de l’an 36 enChine et l’an 811 en Europe, ndlr) à un tel spectacle dans notre ciel.