Construite au XVIe siècle par le roi Manuel 1er de Portugal pour veiller sur le port de Lisbonne, la tour de Belém est un monument historique de la capitale lusitanienne. Nous vous replongeons dans l’histoire à travers cette magnifique construction.
Considérée comme le monument le plus connu de Lisbonne, la tour de Belém est un véritable lieu d’exception. Située dans le quartier lisboète de Belém, qui est un abrégé de Bethléem, celle-ci fut érigée entre 1515 et 1521 par le roi Manuel 1er pour protéger et organiser le port de Lisbonne, principal point de départ et d’arrivée des grandes expéditions portugaises à travers le monde.
Construite dans un style manuélin , la tour de Belém est caractérisée par la profusion ornementale : chargée de coquillages, coraux atrophiés, vagues, poissons, ancres, instruments de navigation et cordages ainsi que de la croix du Christ.
D’après la légende, elle ne se serait pas toujours trouvée à cet endroit-là. En effet, lors d’un tremblement de terre à Lisbonne en 1755,la ville fut presque entièrement démolie.
Située sur une plaque qui glissa jusqu’au rivage, la tour se serait déplacée pour s’échouer sur le sable et s’ancrer à l’endroit où elle se trouve actuellement.
Photos ci-dessous : la tour de Bélem
Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1983, ce magnifique monument est aujourd’hui un des lieux les plus visités du Portugal.
18 maisons incroyables et hyper originales dans les lieux les plus insolites au monde.
Des architectes se décarcassent et rivalisent d’originalité en construisant des maisons plus impressionnantes les unes que les autres. Certaines sont localisées dans des endroits fabuleux et d’autres ont un design somme toute… très étrange. Mais toutes valent le coup d’œil.
Voici 18 petits bijoux architecturaux qui vous feront voyager à travers le monde :
1. La cabane dans un arbre, au Sud de Irian Jawa, Indonésie
2. La maison invisible, Slovénie 3. Le Monastère des Météores, Grèce 4. The Drina River, Serbie
5. La maison sur la roche, Australie
6. Waterfall Walkway, Thaïlande
7. The Trabocchi Coast, Les Abruzzes, Italie
8. Maison champignon, Hyde Park à Cincinnati, Ohio, États-Unis
9. Igloo, Kvivik, Islande
10. Glass House, à Tokyo, Japon
11. Palais Dar Al Hajjar, près de Sanaa, Yémen.
12. Munnar, Inde
13. Boeing 727 Hotel, au Costa
14. Maison en bois de Soutiaguine, Russie
15. Quelque part en Norvège…
16. En projet : une maison dans la jungle, que l’on doit à l’architecte Andreas Wenning
17. Le vieux moulin, Vernon, France
18. Un cottage construit sur l'eau, dans le Maine, États-Unis
20 inventions qui vont changer votre quotidien Après les avoir vus, vous ne serez plus la même personne Quand on y réfléchit bien, notre quotidien pourrait être amélioré par des inventions qui nous simplifieraient grandement la vie.
Des inventeurs géniaux ont trouvé comment changer la donne même avec des idées toutes simples (encore fallait-il y penser). Nous avons trouvé quelques inventions plus parfaites les unes que les autres et après les avoir vues, vous risquez d’avoir du mal à vous replonger dans votre routine. On parie ?
Voici un petit florilège des 20 projets les plus fous, qu’on aimerait tous avoir chez soi :
1. La poubelle intelligente qui rattrape tout ce qu’on jette
2. Le tapis-réveil sur lequel il faut marcher pour qu’il s’arrête.
3. L’accessoire indispensable aux lecteurs pour enfin arrêter d'avoir mal au pouce
4. Le magasin tactile où l’on récupère ses courses à l’arrivée, en caisse !
5. Le plâtre qui laisse respirer la peau.
6. Le cinéma avec fauteuil grand standing et tout confort !
7. Le réfrigérateur sans perte de place et au rangement très facile.
8. La porte qui fait aussi table de ping-pong !
9. La serrure qui permet de voir à travers la porte !
10. L’application de traduction en temps réel par smartphone (déjà disponible)
11. L’ustensile pour découper une pomme (très) rapidement.
12. La voiture autonome, qui se conduit toute seule (bientôt en vente au grand public)
13. Le stylo connecté qui enregistre sur le smartphone tout ce que vous écrivez avec.
14. Le réseau social "Invite", connecté à des tables, pour ne plus jamais manger seul
15. Les bancs réversibles pour éviter de se mouiller quand il a plu.
16. Les pantoufles avec lumières intégrées, idéales quand on se réveille en pleine nuit.
17. La tablette du restaurant pour commander, se divertir ou encore payer.
18. La télévision incrustée dans le sol des toilettes
19. Le matelas adapté pour faire de la banquette arrière un vrai lit.
20. Les smartphones nouvelle génération qui démocratisent la réalité virtuelle, comme le Alcatel IDOL 4, vendu avec son casque de réalité virtuelle
D'ailleurs, pour sa nouvelle gamme de smartphones, Alcatel a vu les choses en grand. Les modèles IDOL 4 et IDOL 4S sont en effet équipés de la fonction « Boom Key » qui intensifie tout : du son à l’appareil photo, en passant par les jeux. En plus d’un écran Full HD, d’un appareil photo de qualité professionnelle et d’une qualité audio premium, un casque de réalité virtuelle est offert avec le smartphone ! De quoi repousser encore plus les limites, pour une expérience unique.
Comme moi, vous avez peut-être planté des cornichons ce printemps, et maintenant que vous les récoltez, vous vous demandez ce que vous allez bien pouvoir en faire ?
L’une des solutions consiste à les conserver dans du vinaigre, mais il semblerait qu’il existe autant de recette et d’astuce de grand-mère que de jours dans une année. Je vais donc vous présenter celle pour laquelle j’ai opté en l’adaptant à ma sauce.
Les ingrédients
Première étape : préparation des cornichons Pour cela, nous allons commencer par bien nettoyer les cornichons en les frottant vigoureusement sous l’eau afin de les débarrasser de leurs petits « picots ». Ensuite, placez-les dans du sel toute une nuit afin de les faire dégorger. Cornichons dégorgeant dans du sel
Le lendemain donc, rincez-les abondamment puis laissez les sécher. Ne vous découragez pas s’ils ont l’air mous et « fripés » c’est tout à fait normal, ils se sont vidés d’une bonne partie de leur eau pendant la nuit. Nous allons maintenant passer à la préparation du vinaigre.
Deuxiéme étape : le vinaigre On compte généralement 1L de vinaigre blanc pour 1Kg de cornichons (le but étant d’en remplir la conserve). Portez-le à ébullition et dans le même temps préparez vos aromates, laissez libre court à votre imagination et à ce que vous aimez. Ce sont eux qui représenteront votre touche personnelle et rendront vos conserves si particulières: Ail Echalote Oignon Poivre - Coriandre - Thym - Romarin - Laurier - Graine de moutarde… Ma conserve se verra agrémentée de thym, de romarin de graines de coriandre et de poivre.
Étape finale : la mise en bocal Prenez un bocal, une conserve… bien propre, alternez les couches de cornichon et d’aromates, en essayant de bien tasser le tout et finissez par remplir de vinaigre tiédi.
Mise en bocal des cornichons
Fermez le contenant et retournez-le, la vapeur devrait faire le vide (ce qui favorisera la conservation). Vous pourrez commencer à déguster vos précieux cornichons dans 2 ou 3 mois et serrez en mesure de les conserver au moins une année. La conserve est terminée
Si vous souhaitez des cornichons un peu plus doux, vous pouvez "couper" le vinaigre avec de l'eau (50% d'eau, 50% de vinaigre) avant de le chauffer.
Le cornichon : un concombre immature Contre toute attente, le cornichon n’est en fait qu’un concombre juvénile. Suite à une sélection continue des plantes, on obtient aujourd’hui des variétés hybrides de cornichons, pouvant engendrer précocement des fruits plus nombreux et de petite taille. D’oùvient le cornichon ? Comment le prépare-t-on ? Quelles sont ses qualités nutritionnelles ?
Le cornichon, un condiment venu du froid Le concombre est un très vieux légume originaire de l’Himalaya et cultivé depuis plus de 3000 ans en Inde. Lorsqu’il est récolté avant maturité et trempé dans un bol de vinaigre, il change alors de nom et devient cornichon.
On l’évoque en France dès le XVIème siècle, époque à laquelle on consommait du sel et du vinaigre comme condiments. Il fut alors très apprécié pour ses vertus apéritives et digestives.
Préparation du cornichon La récolte du cornichon destiné à être conservé dans du vinaigre s’effectue quand le fruit a atteint 5 à 8 cm de longueur, c’est-à-dire avant sa pleine maturité. Il est ensuite brossé pour retirer les poils superficiels, puis recouvert de sel pendant 24 heures, afin de bien le faire dégorger. Une fois égoutté soigneusement, le cornichon est trempé dans du vinaigre aromatisé qui va progressivement l’imprégner et remplacer toute l’eau initialement présente. Au bout de 3 à 4 semaines, il peut alors être consommé avec de la charcuterie, en salade ou bien tout simplement en apéritif.
Le cornichon : bon pour la santé ? Le cornichon a une composition proche de celle du concombre. Comme lui, il ne renferme que peu de constituants énergétiques : 100g de cornichons n’apportent en effet que 0,7g de protéines, 2,1g de glucides et 0,1g de lipides. En outre, c’est un aliment très peu calorique puisqu’il n’apporte que 16 kcal/100g. Etant donné que la portion habituelle pour un adulte est de l’ordre de 10 à 20g (soit 4 cornichons en moyenne), la teneur calorique totale n’excède pas 5kcal. Pour toutes les miss au régime, ne vous méfiez plus des cornichons ! Si le cornichon n’apporte qu’une fraction minime des vitamines et minéraux recommandés par jour, seul le sodium fait exception et atteint une teneur particulièrement élevée : environ 700mg pour 100g !
Gare donc aux personnes souffrant d’hypertension, de maladie rénale ou encore d’insuffisance cardiaque.
Quel est l’intérêt du cornichon ? Avec sa texture ferme et croquante et sa saveur acidulée et aromatique, le cornichon est un produit très apprécié pour l’apéritif. Il joue également un rôle d’exhausteur en relevant le goût des aliments qui l’accompagnent. Son acidité stimule les sécrétions digestives et excite l’appétit. Consommé en début de repas, il favorise donc la digestion et l’assimilation, en particulier chez les individus atteints d’hypo-acidité gastrique.
Moralité : un cornichon en début de repas vous assure équilibre alimentaire et bonne digestion ! Bon appétit !
Aquarium urbain par les artistes du collectif Kingyobu.
Le collectif de jeunes artistes japonais baptisé “Kingyobu” est à l’origine de cette transformation d’une cabine téléphonique en aquarium géant. Pour les personnes nées après 1995, les cabines téléphoniques étaient ce genre de boîtes de verre où l’on pouvait téléphoner grâce à quelques pièces. Mobilier urbain totalement abandonné, le collectif a décidé de lui donner une nouvelle fonction et une seconde vie.
Une batterie continue de fonctionner depuis… 176 ans
Partons à Oxford, métaphoriquement, dans un laboratoire qui a une particularité. Une cloche électrique fonctionne grâce à la même batterie depuis 176 ans et personne ne sait pourquoi ! Le Clarendon Laboratory a même exposé cette batterie dont le mystère n’est toujours pas expliqué.
Une étude impossible à mener ? Les chercheurs aimeraient bien comprendre le mystère qui se cache derrière tout cela, mais ces derniers craignent qu’ouvrir la cloche viendrait à l’abîmer, voire à la détruire. Le clapet de la cloche fonctionne de manière constante depuis 1840, sans arrêt ! Selon les calculs, elle a sonné plus de 10 milliards de fois, à en croire l’université. Selon toute vraisemblance elle serait composée de ce qu’on appelle une pile sèche. Les piles sèches seraient les premiers modèles de piles électriques à avoir existé. Giuseppe Zamboni, un physicien italien aurait inventé la pile au début des années 1800. La lampe Zamboni est d’ailleurs un modèle très connu ressemblant à la Oxford Electric Bell. « Nous ne savons pas de quoi la pile est composée » Tels sont les mots de AJ Croft, un chercheur du laboratoire Clarendon. Ce dernier poursuit en indiquant qu’il est certain que le revêtement extérieur est composé de sulfure. Cependant ses propos datent… de 1984. Les ressemblances entre ces piles et celles de Zamboni semblent assez nombreuses, mais rien d’officiel n’a été publié à ce propos, et ne le sera peut-être jamais ! Cette horloge n’a jamais été l’élément d’une expérience. Elle a juste été livrée en 1840 par Watkin and Hill, des fabricants d’instruments… Le Guinness Book a surnommé ce qui alimente l’horloge « la pile la plus durable au monde ». Ce n’est qu’à la « mort » de la batterie que nous saurons enfin ce qui la composait en procédant à une autopsie.
Fabriqué par impression 3D, le robot-pieuvre Octobot conçu à l’université d’Harvard est dépourvu d’électronique et de batterie. Il se déplace sous l’effet d’une réaction chimique qui libère un gaz mis sous pression pour servir de propulseur. De tels robots pourraient servir à l’exploration et la surveillance des océans, voire à un usage militaire. L’intérêt des robots mous est multiple. Ils sont agiles, capables de s’adapter facilement à une variété de terrains et vraiment très résistants. Les chercheurs en robotique de l’université d’Harvard, qui s’intéressent de près aux robots mous, viennent de présenter un tout nouveau prototype inspiré de la pieuvre. Baptisé Octobot, il a été fabriqué en silicone par impression 3D. ce robot n’a aucune partie rigide : pas de squelette, de composants électroniques ni de batterie. Et pourtant, il se déplace de façon totalement autonome. Comment ?
L’Octobot utilise un circuit microfluidique En fait, l’Octobot est mu par une réaction chimique provoquée par le contact entre du platine et du peroxyde d’hydrogène qui libère un gaz, lequel circule à travers des chambres pneumatiques dans le corps du robot pour actionner ses huit tentacules qui le propulsent dans l’eau. Un circuit microfluidique contrôle la diffusion du peroxyde d’hydrogène stocké dans un réservoir qui assure entre 4 et 8 minutes d’autonomie à ce prototype. Pour le moment, l’Octobot ne peut pas changer de direction, mais les chercheurs d’Harvard travaillent sur l’incorporation de capteurs qui lui permettront de détecter son environnement pour pouvoir ramper et nager. Le dispositif de propulsion peut, semble-t-il, être aisément dimensionné pour mouvoir des robots de plus grande taille et de différentes formes.
7 places préservées de la foule et du bruit, des enclaves un peu magiques .
La place Dauphine Encerclée par de grands immeubles haussmanniens aux murs épais, la place Dauphine est le temple du silence sur l’île de la Cité. Un lieu où les amoureux se dorlotent sous la lueur des réverbères, à mille lieux d’imaginer que Simone Signoret et Yves Montand y avaient leur nid douillet. Mais également une place aux doux airs de Provence, où l’on entend trinquer dans les bistrots, et s’entrechoquer les boules de pétanque en été. Difficile à croire, mais tout cela se passe au beau milieu du Pont-Neuf… 1er arrondissement – Métro Pont-Neuf La place Édouard VII Étonnante, cette place construite en 1912 conserve un calme olympien, dans l’un des quartiers les plus bruyants de la capitale, celui de l’Opéra. Ici, les piétons circulent librement autour de l’imposante statue à cheval du roi Édouard VII, qui donne son nom à la place, ainsi qu’à son célèbre théâtre. Contrairement à bien d’autres places préservées, celle-ci étonne aussi par ses dimensions importantes et sa majesté : classique et chic, elle est bordée par des arcades, qui abritent entre autres le café Guitry et le restaurant de fruits de mer Chez Édouard. 9ème arrondissement – Métro Opéra La place Flora Tristan Dans le quartier peu couru de Plaisance au sud de Paris, se trouve cette petite place, toute aussi méconnue, qui promet une halte reposante, surtout l’été. En plus de nous protéger de l’agitation parisienne, elle nous abrite sous ses platanes à la terrasse des cafés, un luxe les jours de grande chaleur ! On adore son ambiance bohème et apaisée, ses ateliers d’artistes et La Dame Jeanne, son fleuriste chineur. Assez rare pour être souligné, l’endroit porte le nom d’une femme, militante socialiste et féministe du XIXème siècle. 14ème arrondissement – Métro Pernéty La Cité de Trévise Un petit square à l’anglaise vous accueille sous ses érables, comme un refuge. On s’y relaxe au son de la fontaine, ornée ici de trois nymphes se tenant par la main, tout en admirant les maisons de style néo-renaissance qui bordent ce petit poumon vert. Vous avez de la chance, car il n’y a pas si longtemps, la cité, réservée aux familles bourgeoises, était fermée par des grilles… 9ème arrondissement – Métro Cadet La place Furstenberg À quelques mètres du boulevard Saint-Germain et de son Café de Flore si fréquenté par les touristes, planqué derrière l’abbaye Saint-Germain-des-Prés, se trouve une petite place au charme rétro, la place Furstenberg. Autour d’un îlot central agrémenté modestement de quatre pawlaunias (arbres originaires de Chine) et d’un ancien lampadaire à cinq globes, on circule tranquillement à pieds, la place étant peu empruntée par les automobilistes. L’occasion de s’arrêter devant la jolie petite boutique de choux à la crème, La Maison du Chou, et de faire un crochet par le musée Delacroix, qui rappelle que l’artiste avait lui aussi craqué en son temps pour cette placette discrète. 6ème arrondissement – Métro Saint-Germain-des-Prés La place du Marché Sainte-Catherine Cette place dessinée par l’architecte de Louis XVI au XVIIIème siècle a quelque chose de magnétique : d’abord parce qu’avec ses pavés, ses arbres, ses bancs et ses terrasses accueillantes, elle nous attire tout de suite dans ses filets. Préservé de l’agitation du Marais, on y profite d’une parenthèse reposante, mais pas ennuyante : on s’installe à la table de l’un de ses restaurants traditionnels français, on exerce son odorat dans sa parfumerie et on fait connaissance avec les serveurs-magiciens de son café-théâtre. 4ème arrondissement – Métro Saint-Paul La place de la rue Piat Cette place du XXème arrondissement dont le charme ne saute pas immédiatement aux yeux a une botte secrète : sa vue incroyable sur Paris. Au premier plan de ce poster géant, les pentes du parc de Belleville qu’elle surplombe, ses fontaines en cascades, ses jongleurs et ses quelques pieds de vignes. Plus loin, un panorama qui réunit les plus grands monuments parisiens, le Panthéon, Notre-Dame de Paris, Montparnasse, la Concorde, le Grand Palais et bien sûr la Tour Eiffel. Le tout s’admire comme à Montmartre depuis le belvédère, mais sans les touristes… Et en bonus : on s’installe à l’une des terrasses les plus sympas de Paris, celle du café Mon Coeur Belleville. 20ème arrondissement – Métro Pyrénées
Andreea Berendei : une artiste autodidacte aux oeuvres splendides.
Dans ses paysages, elle peint la beauté de la nature. Dans ses portraits, elle peint l'humanité. Une artiste roumaine talentueuse à découvrir !
Andreea Ionela Berendei est une artiste peintre roumaine. Elle vit depuis 2003 à Anaheim en Californie. Autodidacte, son talent est reconnu internationalement. Elle participe à de nombreuses opérations pour la paix et elle a permis à des associations de récolter des fonds.
Andreea dessine et peint des paysages depuis son enfance. Elle représente la réalité avec une grande précision et une infinie poésie. Ses oeuvres ont reçu de nombreuses récompenses. Sur Instagram, l’artiste partage ses oeuvres, les différentes étapes de son travail et son processus créatif. Un passage derrière le rideau particulièrement intéressant à découvrir. Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Depuis trois ans, elle a commencé à faire des portraits. Ceux-ci nous portent à nous interroger sur notre condition et sur le monde qui nous entoure. Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Quand on lui demande d’où vient son inspiration, elle répond avec humilité :
« C’est un don de Dieu et je ne cherche pas à m’attribuer un mérite qui n’est pas le mien. Je suis née avec le talent, mais c’est Lui qui m’a donné ce don.
C’est sa façon de penser, mais force est de constater qu’elle a su cultiver ce talent et ce don.
Andreea peint parfois la souffrance, mais elle ajoute toujours un élément pour contraster cette réalité, provoquer une rupture et faire naître en nous l’espoir. C’est magnifique.
Construite au XVIe siècle par le roi Manuel 1er de Portugal pour veiller sur le port de Lisbonne, la
tour de Belém est un monument historique de la capitale lusitanienne.
Nous vous replongeons dans l’histoire à travers cette magnifique construction.
Considérée comme le monument le plus connu de Lisbonne, la tour de Belém est un véritable lieu d’exception. Située dans le quartier lisboète de Belém, qui est un abrégé de Bethléem, celle-ci fut érigée
entre 1515 et 1521 par le roi Manuel 1er pour protéger et organiser le port de Lisbonne, principal point de départ et d’arrivée des grandes expéditions portugaises à travers le monde.
Construite dans un style manuélin , la tour de Belém est caractérisée par la profusion ornementale :
chargée de coquillages, coraux atrophiés, vagues, poissons, ancres, instruments de navigation et cordages ainsi que de la croix du Christ.
D’après la légende, elle ne se serait pas toujours trouvée à cet endroit-là. En effet, lors d’un tremblement de terre à Lisbonne en 1755,la ville fut presque entièrement démolie.
Située sur une plaque qui glissa jusqu’au rivage, la tour se serait déplacée pour s’échouer sur le
sable et s’ancrer à l’endroit où elle se trouve actuellement.
Photos ci-dessous : la tour de Bélem
Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1983, ce magnifique monument est aujourd’hui un des lieux les plus visités du Portugal.
Des architectes se décarcassent et rivalisent d’originalité en construisant
des maisons plus impressionnantes les unes que les autres. Certaines
sont localisées dans des endroits fabuleux et d’autres ont un design
somme toute… très étrange. Mais toutes valent le coup d’œil.
Voici 18 petits bijoux architecturaux qui vous feront voyager à travers le monde :
1. La cabane dans un arbre, au Sud de Irian Jawa, Indonésie
2. La maison invisible, Slovénie
3. Le Monastère des Météores, Grèce
4. The Drina River, Serbie
5. La maison sur la roche, Australie
6. Waterfall Walkway, Thaïlande
7. The Trabocchi Coast, Les Abruzzes, Italie
8. Maison champignon, Hyde Park à Cincinnati, Ohio, États-Unis
9. Igloo, Kvivik, Islande
10. Glass House, à Tokyo, Japon
11. Palais Dar Al Hajjar, près de Sanaa, Yémen.
12. Munnar, Inde
13. Boeing 727 Hotel, au Costa
14. Maison en bois de Soutiaguine, Russie
15. Quelque part en Norvège…
16. En projet : une maison dans la jungle, que l’on doit à l’architecte Andreas Wenning
17. Le vieux moulin, Vernon, France
18. Un cottage construit sur l'eau, dans le Maine, États-Unis
Après les avoir vus, vous ne serez plus la même personne
Quand on y réfléchit bien, notre quotidien pourrait être amélioré par des
inventions qui nous simplifieraient grandement la vie.
Des inventeurs géniaux ont trouvé comment changer la donne même avec des
idées toutes simples (encore fallait-il y penser). Nous avons trouvé
quelques inventions plus parfaites les unes que les autres et après les
avoir vues, vous risquez d’avoir du mal à vous replonger dans votre
routine. On parie ?
Voici un petit florilège des 20 projets les plus fous, qu’on aimerait tous avoir chez soi :
1. La poubelle intelligente qui rattrape tout ce qu’on jette
2. Le tapis-réveil sur lequel il faut marcher pour qu’il s’arrête.
3. L’accessoire indispensable aux lecteurs pour enfin arrêter d'avoir mal au pouce
4. Le magasin tactile où l’on récupère ses courses à l’arrivée, en caisse !
5. Le plâtre qui laisse respirer la peau.
6. Le cinéma avec fauteuil grand standing et tout confort !
7. Le réfrigérateur sans perte de place et au rangement très facile.
8. La porte qui fait aussi table de ping-pong !
9. La serrure qui permet de voir à travers la porte !
10. L’application de traduction en temps réel par smartphone (déjà disponible)
11. L’ustensile pour découper une pomme (très) rapidement.
12. La voiture autonome, qui se conduit toute seule (bientôt en vente au grand public)
13. Le stylo connecté qui enregistre sur le smartphone tout ce que vous écrivez avec.
14. Le réseau social "Invite", connecté à des tables, pour ne plus jamais manger seul
15. Les bancs réversibles pour éviter de se mouiller quand il a plu.
16. Les pantoufles avec lumières intégrées, idéales quand on se réveille en pleine nuit.
17. La tablette du restaurant pour commander, se divertir ou encore payer.
18. La télévision incrustée dans le sol des toilettes
19. Le matelas adapté pour faire de la banquette arrière un vrai lit.
20. Les smartphones nouvelle génération qui démocratisent la réalité
virtuelle, comme le Alcatel IDOL 4, vendu avec son casque de réalité
virtuelle
D'ailleurs, pour sa nouvelle gamme de smartphones, Alcatel a vu les choses en
grand. Les modèles IDOL 4 et IDOL 4S sont en effet équipés de la
fonction « Boom Key » qui intensifie tout : du son à l’appareil photo,
en passant par les jeux. En plus d’un écran Full HD, d’un appareil photo
de qualité professionnelle et d’une qualité audio premium, un casque de
réalité virtuelle est offert avec le smartphone ! De quoi repousser
encore plus les limites, pour une expérience unique.
Comme moi, vous avez peut-être planté des cornichons ce printemps, et maintenant que vous les récoltez, vous vous demandez ce
que vous allez bien pouvoir en faire ?
L’une des solutions consiste à les conserver dans du vinaigre, mais il semblerait qu’il existe autant de recette et d’astuce de grand-mère que de jours dans une année. Je vais donc vous présenter celle pour laquelle j’ai opté en l’adaptant à ma sauce.
Les ingrédients
Première étape : préparation des cornichons
Pour cela, nous allons commencer par bien nettoyer les cornichons en les frottant vigoureusement sous l’eau afin de les débarrasser de leurs petits « picots ».
Ensuite, placez-les dans du sel toute une nuit afin de les faire dégorger.
Le lendemain donc, rincez-les abondamment puis laissez les sécher. Ne vous découragez pas s’ils ont l’air mous et « fripés » c’est tout à fait normal, ils se sont vidés d’une bonne partie de leur eau pendant la nuit. Nous allons maintenant passer à la préparation du vinaigre.
Deuxiéme étape : le vinaigre
On compte généralement 1L de vinaigre blanc pour 1Kg de cornichons (le but étant d’en remplir la conserve).
Portez-le à ébullition et dans le même temps préparez vos aromates, laissez libre court à votre imagination et à ce que vous aimez. Ce sont eux qui représenteront votre touche personnelle et rendront vos conserves si particulières:
Ail
Echalote
Oignon
Poivre - Coriandre - Thym - Romarin - Laurier - Graine de moutarde…
Ma conserve se verra agrémentée de thym, de romarin de graines de coriandre et de poivre.
Étape finale : la mise en bocal
Prenez un bocal, une conserve… bien propre, alternez les couches de cornichon et d’aromates, en essayant de bien tasser le tout et finissez par remplir de vinaigre tiédi.
Fermez le contenant et retournez-le, la vapeur devrait faire le vide (ce qui favorisera la conservation).
Vous pourrez commencer à déguster vos précieux cornichons dans 2 ou 3 mois et serrez en mesure de les conserver au moins une année.
Si vous souhaitez des cornichons un peu plus doux, vous pouvez "couper" le vinaigre avec de l'eau (50% d'eau, 50% de vinaigre) avant de le chauffer.
Le cornichon : un concombre immature
Contre toute attente, le cornichon n’est en fait qu’un concombre juvénile. Suite à une sélection continue des plantes, on obtient
aujourd’hui des variétés hybrides de cornichons, pouvant engendrer précocement des fruits plus nombreux et de petite taille. D’où vient le cornichon ? Comment le prépare-t-on ? Quelles sont ses qualités nutritionnelles ?
Le cornichon, un condiment venu du froid
Le concombre est un très vieux légume originaire de l’Himalaya et cultivé depuis plus de 3000 ans en Inde. Lorsqu’il est récolté avant
maturité et trempé dans un bol de vinaigre, il change alors de nom et devient cornichon.
On l’évoque en France dès le XVIème siècle, époque à laquelle on consommait du sel et du vinaigre comme condiments. Il fut alors très apprécié pour ses vertus apéritives et digestives.
Préparation du cornichon
La récolte du cornichon destiné à être conservé dans du vinaigre s’effectue quand le fruit a atteint 5 à 8 cm de longueur, c’est-à-dire
avant sa pleine maturité. Il est ensuite brossé pour retirer les poils superficiels, puis recouvert de sel pendant 24 heures, afin de bien le faire dégorger.
Une fois égoutté soigneusement, le cornichon est trempé dans du vinaigre aromatisé qui va progressivement l’imprégner et remplacer toute l’eau initialement présente.
Au bout de 3 à 4 semaines, il peut alors être consommé avec de la charcuterie, en salade ou bien tout simplement en apéritif.
Le cornichon : bon pour la santé ?
Le cornichon a une composition proche de celle du concombre. Comme lui, il ne renferme que peu de constituants énergétiques : 100g de cornichons n’apportent en effet que 0,7g de protéines, 2,1g de glucides et 0,1g de lipides.
En outre, c’est un aliment très peu calorique puisqu’il n’apporte que 16 kcal/100g.
Etant donné que la portion habituelle pour un adulte est de l’ordre de 10 à 20g (soit 4 cornichons en moyenne), la teneur calorique totale n’excède pas 5kcal. Pour toutes les miss au régime, ne vous méfiez plus des cornichons !
Si le cornichon n’apporte qu’une fraction minime des vitamines et minéraux recommandés par jour, seul le sodium fait exception et atteint une teneur particulièrement élevée : environ 700mg pour 100g !
Gare donc aux personnes souffrant d’hypertension, de maladie rénale ou encore d’insuffisance cardiaque.
Quel est l’intérêt du cornichon ?
Avec sa texture ferme et croquante et sa saveur acidulée et aromatique, le cornichon est un produit très apprécié pour l’apéritif.
Il joue également un rôle d’exhausteur en relevant le goût des aliments qui l’accompagnent.
Son acidité stimule les sécrétions digestives et excite l’appétit. Consommé en début de repas, il favorise donc la digestion et
l’assimilation, en particulier chez les individus atteints d’hypo-acidité gastrique.
Moralité : un cornichon en début de repas vous assure équilibre alimentaire et bonne digestion ! Bon appétit !
Le collectif de jeunes artistes japonais baptisé “Kingyobu” est à l’origine de cette transformation
d’une cabine téléphonique en aquarium géant.
Pour les personnes nées après 1995, les cabines téléphoniques étaient ce genre de boîtes de verre où l’on pouvait téléphoner grâce à quelques pièces. Mobilier urbain totalement abandonné, le collectif a décidé de lui donner une nouvelle fonction et une seconde vie.
Partons à Oxford, métaphoriquement, dans un laboratoire qui a une
particularité. Une cloche électrique fonctionne grâce à la même batterie
depuis 176 ans et personne ne sait pourquoi ! Le Clarendon Laboratory a
même exposé cette batterie dont le mystère n’est toujours pas expliqué.
Une étude impossible à mener ?
Les chercheurs aimeraient bien comprendre le mystère qui se cache derrière
tout cela, mais ces derniers craignent qu’ouvrir la cloche viendrait à
l’abîmer, voire à la détruire. Le clapet de la cloche fonctionne de
manière constante depuis 1840, sans arrêt ! Selon les calculs, elle a
sonné plus de 10 milliards de fois, à en croire l’université. Selon
toute vraisemblance elle serait composée de ce qu’on appelle une pile sèche.
Les piles sèches seraient les premiers modèles de piles électriques à avoir
existé. Giuseppe Zamboni, un physicien italien aurait inventé la pile
au début des années 1800. La lampe Zamboni est d’ailleurs un modèle très
connu ressemblant à la Oxford Electric Bell.
« Nous ne savons pas de quoi la pile est composée »
Tels sont les mots de AJ Croft, un chercheur du laboratoire Clarendon. Ce
dernier poursuit en indiquant qu’il est certain que le revêtement
extérieur est composé de sulfure. Cependant ses propos datent… de 1984.
Les ressemblances entre ces piles et celles de Zamboni semblent assez
nombreuses, mais rien d’officiel n’a été publié à ce propos, et ne le
sera peut-être jamais !
Cette horloge n’a jamais été l’élément d’une expérience. Elle a juste été
livrée en 1840 par Watkin and Hill, des fabricants d’instruments…
Le Guinness Book a surnommé ce qui alimente l’horloge « la pile la plus
durable au monde ».
Ce n’est qu’à la « mort » de la batterie que nous saurons enfin ce qui la composait en procédant à une autopsie.
Fabriqué par impression 3D, le robot-pieuvre Octobot conçu à l’université d’Harvard est dépourvu
d’électronique et de batterie.
Il se déplace sous l’effet d’une réaction chimique qui libère un gaz mis
sous pression pour servir de propulseur. De tels robots pourraient
servir à l’exploration et la surveillance des océans, voire à un usage
militaire.
L’intérêt des robots mous est multiple. Ils sont agiles, capables de s’adapter
facilement à une variété de terrains et vraiment très résistants. Les
chercheurs en robotique de l’université d’Harvard, qui s’intéressent de
près aux robots mous, viennent de présenter un tout nouveau prototype
inspiré de la pieuvre. Baptisé Octobot, il a été fabriqué en silicone
par impression 3D. ce robot n’a aucune partie rigide : pas de squelette,
de composants électroniques ni de batterie. Et pourtant, il se déplace
de façon totalement autonome. Comment ?
L’Octobot utilise un circuit microfluidique
En fait, l’Octobot est mu par une réaction chimique provoquée par le
contact entre du platine et du peroxyde d’hydrogène qui libère un gaz,
lequel circule à travers des chambres pneumatiques dans le corps du
robot pour actionner ses huit tentacules qui le propulsent dans l’eau.
Un circuit microfluidique contrôle la diffusion du peroxyde d’hydrogène
stocké dans un réservoir qui assure entre 4 et 8 minutes d’autonomie à
ce prototype.
Pour le moment, l’Octobot ne peut pas changer de direction, mais les
chercheurs d’Harvard travaillent sur l’incorporation de capteurs qui lui
permettront de détecter son environnement pour pouvoir ramper et nager.
Le dispositif de propulsion peut, semble-t-il, être aisément
dimensionné pour mouvoir des robots de plus grande taille et de
différentes formes.
7 places préservées de la foule et du bruit, des enclaves un peu magiques .
La place Dauphine
Encerclée par de grands immeubles haussmanniens aux murs épais, la place Dauphine est le temple du silence
sur l’île de la Cité.
Un lieu où les amoureux se dorlotent sous la lueur des réverbères, à mille
lieux d’imaginer que Simone Signoret et Yves Montand y avaient leur nid
douillet.
Mais également une place aux doux airs de Provence, où l’on entend trinquer
dans les bistrots, et s’entrechoquer les boules de pétanque en été.
Difficile à croire, mais tout cela se passe au beau milieu du Pont-Neuf…
1er arrondissement – Métro Pont-Neuf
La place Édouard VII
Étonnante, cette place construite en 1912 conserve un calme olympien, dans l’un
des quartiers les plus bruyants de la capitale, celui de l’Opéra.
Ici, les piétons circulent librement autour de l’imposante statue à cheval
du roi Édouard VII, qui donne son nom à la place, ainsi qu’à son célèbre théâtre.
Contrairement à bien d’autres places préservées, celle-ci étonne aussi par ses dimensions importantes et sa majesté : classique et chic, elle est bordée par des arcades, qui abritent entre autres le café Guitry et le restaurant de fruits de mer
Chez Édouard.
9ème arrondissement – Métro Opéra
La place Flora Tristan
Dans le quartier peu couru de Plaisance au sud de Paris, se trouve cette petite place, toute aussi méconnue,
qui promet une halte reposante, surtout l’été.
En plus de nous protéger de l’agitation parisienne, elle nous abrite sous
ses platanes à la terrasse des cafés, un luxe les jours de grande
chaleur ! On adore son ambiance bohème et apaisée, ses ateliers
d’artistes et La Dame Jeanne, son fleuriste chineur.
Assez rare pour être souligné, l’endroit porte le nom d’une femme, militante socialiste et féministe du XIXème siècle.
14ème arrondissement – Métro Pernéty
La Cité de Trévise
Un petit square à l’anglaise vous accueille sous ses érables, comme un refuge.
On s’y relaxe au son de la fontaine, ornée ici de trois nymphes se tenant
par la main, tout en admirant les maisons de style néo-renaissance qui
bordent ce petit poumon vert. Vous avez de la chance, car il n’y a pas
si longtemps, la cité, réservée aux familles bourgeoises, était fermée
par des grilles…
9ème arrondissement – Métro Cadet
La place Furstenberg
À quelques mètres du boulevard Saint-Germain et de son Café de Flore si
fréquenté par les touristes, planqué derrière l’abbaye Saint-Germain-des-Prés,
se trouve une petite place au charme rétro, la place Furstenberg.
Autour d’un îlot central agrémenté modestement de quatre pawlaunias (arbres
originaires de Chine) et d’un ancien lampadaire à cinq globes, on
circule tranquillement à pieds, la place étant peu empruntée par les
automobilistes.
L’occasion de s’arrêter devant la jolie petite boutique de choux à la crème,
La Maison du Chou, et de faire un crochet par le musée Delacroix, qui
rappelle que l’artiste avait lui aussi craqué en son temps pour cette
placette discrète.
6ème arrondissement – Métro Saint-Germain-des-Prés
La place du Marché Sainte-Catherine
Cette place dessinée par l’architecte de Louis XVI au XVIIIème siècle a
quelque chose de magnétique : d’abord parce qu’avec ses pavés, ses
arbres, ses bancs et ses terrasses accueillantes, elle nous attire tout
de suite dans ses filets.
Préservé de l’agitation du Marais, on y profite d’une parenthèse reposante, mais pas ennuyante :
on s’installe à la table de l’un de ses restaurants traditionnels français, on exerce son odorat dans sa
parfumerie et on fait connaissance avec les serveurs-magiciens de son café-théâtre.
4ème arrondissement – Métro Saint-Paul
La place de la rue Piat
Cette place du XXème arrondissement dont le charme ne saute pas immédiatement
aux yeux a une botte secrète : sa vue incroyable sur Paris.
Au premier plan de ce poster géant, les pentes du parc de Belleville
qu’elle surplombe, ses fontaines en cascades, ses jongleurs et ses
quelques pieds de vignes.
Plus loin, un panorama qui réunit les plus grands monuments parisiens, le Panthéon, Notre-Dame de Paris,
Montparnasse, la Concorde, le Grand Palais et bien sûr la Tour Eiffel.
Le tout s’admire comme à Montmartre depuis le belvédère, mais sans les touristes…
Et en bonus : on s’installe à l’une des terrasses les plus sympas de Paris, celle du café Mon Coeur Belleville.
20ème arrondissement – Métro Pyrénées
Dans ses paysages, elle peint la beauté de la nature. Dans ses portraits, elle peint l'humanité.
Une artiste roumaine talentueuse à découvrir !
Andreea Ionela Berendei est une artiste peintre roumaine. Elle vit depuis 2003 à Anaheim en Californie.
Autodidacte, son talent est reconnu internationalement. Elle participe à de nombreuses opérations pour la
paix et elle a permis à des associations de récolter des fonds.
Andreea dessine et peint des paysages depuis son enfance. Elle représente la réalité
avec une grande précision et une infinie poésie. Ses oeuvres ont reçu de
nombreuses récompenses.
Sur Instagram, l’artiste partage ses oeuvres, les différentes étapes de son travail et
son processus créatif. Un passage derrière le rideau particulièrement
intéressant à découvrir.
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Depuis trois ans, elle a commencé à faire des portraits. Ceux-ci nous portent à
nous interroger sur notre condition et sur le monde qui nous entoure.
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Crédit photo : Andrea Ionela Berendei – Creating Art / Facebook
Quand on lui demande d’où vient son inspiration, elle répond avec humilité :
C’est sa façon de penser, mais force est de constater qu’elle a su cultiver ce talent et ce don.
Andreea peint parfois la souffrance, mais elle ajoute toujours un élément pour
contraster cette réalité, provoquer une rupture et faire naître en nous
l’espoir. C’est magnifique.