De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
05/09/2016 - 09:19
COMPOSITION FLORALES FOSSILISE.

Rachel Dein artiste:  la fossilisation de végétal par un procédé de moulage en plâtre et en béton.
Dans son échoppe mansardée et lumineuse, elle a mis au point un processus de création de moulage en argile, alliant plâtre et béton.


 
Elle crée en effet des carreaux de plâtre qui consignent la fragilité d’une fleur. 



 

 

 
  la magie du plâtre coulé pour créer des fossiles de la vie quotidienne.


 


 

 

 

 

 

 
05/09/2016 - 09:02
RODEMACK UNE VILLE FORTIFIEE

 Située à quelques encablures de la frontière luxembourgeoise, en Moselle, cette cité médiévale doit sa spectaculaire résurrection au dynamisme de ses habitants à partir des années 1970.


Rodemack est sanglée de fortifications : une ceinture parfaitement conservée de près de 900 mètres de long aménagée en promenade). Aussi lecoeur de la cité s'organise t-il en un entrelacs de ruelles.
Au Pays des Trois Frontières, il y a des vocations que l’on ne peut cacher. Au point de rencontre de la France, de l’Allemagne et du Luxembourg, Rodemack la Mosellane ne pouvait que devenir une place forte. Les façades des maisons et les entrées des caves affichent les signes distinctifs de l’habitat rural lorrain traditionnel. Une belle plongée dans une histoire des plus agitées.
« La petite Carcassonne lorraine ! » En découvrant Rodemack, situé aux frontières de la France, de l’Allemagne et du Luxembourg, on comprend mieux pourquoi elle a hérité de ce surnom.
Ce bourg médiéval, qui fut jadis la place forte des seigneurs de Rodemack, puis des margraves (seigneurs) de Bade, se blottit derrière 700 mètres d’impressionnantes murailles percées de meurtrières et ponctuées de tours rondes.
L’ensemble est dominé par un château, remanié au fil des siècles avant d’être démantelé en 1821. Si ces vestiges ne présentent que peu d’intérêt architectural, le site offre un beau point de vue sur le village.

Voici la porte de Sierck et ses deux tours. Tout au long des murailles, de semblables édifices peuvent être admirés.
C’est par la majestueuse porte fortifiée de Sierck, élevée au XVIe siècle, que l’on pénètre dans Rodemack intra-muros. À l’intérieur s’alignent le long des ruelles pavées de jolies maisons au crépi gris et aux fenêtres cintrées caractéristiques de l’habitat rural lorrain. L’église Saint-Nicolas (fin XVIIIe) vaut le coup d’oeil pour son harmonieuse simplicité.

Ici, rien de spectaculaire, non, mais il y flotte un doux parfum légèrement suranné avec ses vieilles enseignes, son relais de poste télégraphe, sa distillerie communale, son ancien lavoir et ses bildstocks (petits calvaires). Il faut notamment flâner, au pied des remparts, dans son jardin d’inspiration médiévale, espace clos foisonnant de plantes condimentaires, médicinales et aromatiques.

Ces jardins aménagés font le plaisir des touristes, et la fierté des habitants !
Il y a 40 ans, Rodemack était une ruine « Le village était à l’abandon. Intra-muros, c’était un désert, il ne restait quasiment plus une maison habitée, détaille Franck Czachor, le secrétaire de mairie. La renaissance date des années 1970, grâce à une population nouvelle et jeune qui s’est passionnée pour le patrimoine exceptionnel de Rodemack. Ces habitants ont monté un collectif, qui est devenu l’association Les amis des vieilles pierres pour la sauvegarde de Rodemack. »

Perchée en haut du village, la chapelle Notre-Dame (1658) aurait été bâtie par les Rodemackois au sortir de la guerre de Trente Ans, afin de faire les louanges de la Vierge qui les sauva des grandes épidémies et leur apporta la paix. 
Objectif d’alors : défricher et lancer des chantiers de restauration pour remonter ou restaurer les fortifications. « Le collectif a fait bouger les choses en remettant en valeur le village. À chaque fois que je retombe sur d’anciennes photos, j’ai du mal à retrouver l’endroit exact,tant ça a changé ! C’est le jour et la nuit : les anciennes ruines sontdésormais des maisons appréciables et l’on se déplace de loin pour voirle village… »
La consécration En 1987, Rodemack entre dans le prestigieux cercle des « Plus beaux villages de France ». « Aujourd’hui, on ne restaure plus, mais on entretient. La difficulté reste de maintenir et de créer des commerces…
Mais ce qui fait la force du renouveau de Rodemack, c’est son dynamisme associatif. D’autres villages dans la région ont le même potentiel, ou plus, mais des acteurs locaux ont porté haut
nos couleurs, en témoigne notre fête médiévale, parmi les plus importantes de Lorraine ! » 
Une forte importante place forte La première forteresse de Rodemack est élevée au XIIe siècle par les seigneurs de Rodemack. En 1492, ces vassaux du comte de Luxembourg voient cependant leurs biens confisqués pour félonie – l’empereur Maximilien d’Autriche leur reproche de s’être alliés aux Français – au profit du margrave de Bade qui en fait une forteresse militaire
d’importance. C’est de la moitié du XVIe siècle que date la Maison des Baillis, juste en dessous du château, face à l’office de tourisme.
Le bourg passera ensuite aux mains de la France et de l’empire germanique,jusqu’à son annexion officielle à la France en 1769. Jusqu’à la Première Guerre mondiale, Rodemack, par sa situation, est au carrefour de bien des conflits. En 1815, le général Hugo (père de Victor),
gouverneur de Thionville, y réussit à contenir l’armée prussienne, au cours des Cent-Jours.
05/09/2016 - 08:07
AQUARELLES DE PORTRAITS D'ANIMAUX.

L’artiste Tilen Ti de Singapour,effectue ses petites créations colorées à partir
de peinture jetée de manière hasardeuse sur une feuille de papier, pour ensuite
constituer ce qui sera la silhouette finale de l’animal. 



 

 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

05/09/2016 - 07:52
FRESQUES D'OISEAUX SUR LES MURS.

Le street-artist brésilien L7M dépeint des figures complexes réalisées avec des compositions
chaotiques et faites avec de la peinture en spray.Dans son processus de création, il utilise des vraies plumes d’oiseaux, comme des pochoirs,pour former le plumage de ces volatiles.


 

 
 

 

 

 

 

 

 

05/09/2016 - 07:34
Un jardin de campagne en Artois.
 
Dans un vallon de l’Artois, la ferme restaurée par Françoise et Jacques Droulez témoigne? de leur créativité.
Et le jardin est depuis une quinzaine d’années au centre de leurs activités nombreuses et partagées.


Devant la ferme au toit pentu, entre le hêtre colonnaire ‘Dawyck Gold’ (à gauche) et l’arbre au caramel (Cercidiphyllum japonicum) déjà sans feuilles, le massif est encore au top grâce à l’aster ‘Prof. Anton Kippenberg’ et au Pennisetum orientale.
Françoise et Jacques Droulez aiment ce pays qui est le leur. Après avoir vécu à Lille durant leur vie professionnelle, ils se sont installés à Bergueneuse, un village de l’Artois qui compte à peine 250 habitants, quelques fermes et une usine.

La flore locale valorisée Séduits dès 1978 par cette authentique longère du XVIIIe, Françoise et Jacques ont consacré de nombreux week-ends à la restauration du bâtiment avec son séchoir à tabac. « Nous avancions lentement sur les traces du passé », se souviennent-ils avec émotion. Durant 20 ans, nos jardiniers ont beaucoup compté sur les essences naturelles du vallon – aubépines, viornes sauvages, merisiers, sureaux, troènes – dominées par un saule pleureur planté entre les bâtiments. Des jacinthes des bois se répandaient dans le creux ombragé et les orchidées sauvages s’étaient établies sur les hauteurs. On soupçonne que Françoise apportait déjà ses pivoines, marguerites et autres fleurs favorites, sans trop empiéter sur le terrain de
jeux de ses enfants, heureuse qu’elle était de leur offrir cet espace de liberté qui manquait à leur vie citadine.
J’aime les arbustes pour structurer le jardin, mais j’ai une vraie passion
pour les vivaces. L’offre actuelle est de plus en plus belle.


Le cosmos ‘Chocolat’ est une variété vivace,? très tenace en fin de saison, dont la couleur se marie bien aux feuillages d’automne.
Il se
plaît dans le milieu drainant de la bordure empierrée au pied de la maison.
Aménagements bien pensés C’est dans les années 2000 que le jardin a pris sa forme actuelle à la faveurde plusieurs événements : d’abord, l’installation à plein-temps de Françoise à Bergueneuse, rejointe deux ans plus tard par son époux ; ensuite, l’agrandissement par deux acquisitions successives, l’une en 2000 qui permettait d’accéder aux rives du ruisseau en contrebas, l’autre en 2005 du talus à l’arrière de la longère ; enfin, l’activité de sculpteur de Jacques qui a petit à petit peuplé le lieu de figures insolites créées à partir de vieux outils agricoles et de pièces métalliques désaffectées.

Les alentours?du jardin.
Des troupeaux de vaches évoluent paisiblement
dans des pâtures protégées par des bosquets d’arbres. Au premier plan, une variété de fusain d’Europe qui a été sélectionnée pour sa belle couleur automnale. Un chemin empierré suit discrètement la courbe du massif et permet d’atteindre le fond du vallon à pied sec.
Une belle sélection de plantes Unissant leurs compétences, Françoise et Jacques ont très vite concrétisé un projet ambitieux,aidés comme tous les jardiniers de la région par un climat aux écarts plutôt modérés, même si certaines années font exception, lorsque le ciel prend l’arrosage en charge à plus de 90 %.
Jacques dessine les massifs et réalise les structures, Françoise décide des couleurs, détermine les associations et choisit les plantes adaptées dans des pépinières locales aussi réputées que celle des Hennebelle à Boubers-sur-Canche. C’est ainsi que les massifs ont accueilli de belles essences comme l’heptacodion, les hamamélis, le Parrotia persica, l’érable du Japon ‘Senkaki’, les Cotinus coggygria, les viornes et d’autres encore qui rendent les automnes si flamboyants.

Contre les façades en briques patinées, de nombreux objets chinés dans les villages alentour et les asters, omniprésents ?en l’automne.
Les idées de Jacques et de Françoise.
Chemins et bordures de tous styles
Avec le piétinement, les ruissellements, les gels et les dégels, les chemins initiaux finissaient par se défaire ; après les chutes de neige de l’hiver dernier, ils ont été refaits à neuf avec des techniques variées :

Pas japonais en pavés posés sur gazon. 


Pas japonais en rondins créés à partir d’un mélèze abattu sur place.



Plages de gravier retenues par des bordures faites avec des chutes de bois du jardin. 



Plages de gravier retenues par des lames de métal récupérées de l’usine
du village. Ces lames (environ 10 cm de large) enterrées dans le sol sont pratiquement invisibles et simplifient l’entretien : avec elles, plus besoin de refaire les bordures !
05/09/2016 - 07:17
Les anémones du Japon, reines de l’automne. 

Ces vivaces animent avec grâce nos massifs de la fin de l’été jusqu’aux premières gelées.
A la fois légères, résistantes et peu exigeantes, elles trouveront forcément une place dans votre jardin. 

Anémone japonaise 'Little Princess'
(A. hupenhensis var. japonica 'Little Princess').
Floraison de août à novembre. Haut. 50 cm.  Plusieurs tons de rose. 

La plantation

1. Anemone 'Whirlwind' à fleurs doubles blanches.
Floraison en septembre-octobre. Haut. 120 cm. Exposition ombre-mi-ombre.
2. Anémone japonaise 'Serenade', à fleurs semi-doubles rose tendre. Floraison d'août à octobre. Haut. 100 cm. 
 L’exposition L’anémone n’est pas une plante trop compliquée.Comme toute bonne vivace, elle se plante au soleil ou mi-ombre, mais évitez le soleil de midi à 14 heures.Dans la nature, cette plante de sous-bois, pousse très bien dans des endroits sombres, mais elle n’aime pas une ombre trop dense.Au jardin, ne la placez pas en concurrence avec les arbustes qui pourraient la priver de lumière. Elle a aussi besoin d’air. Le sol L’anémone ne tolère pas vraiment le calcaire, plantez-la dans un sol neutre ou acide, léger de préférence et riche en humus.Si votre sol est lourd ou argileux, apportez du terreau pour l’alléger.A savoir : pour bien fleurir, l’anémone du Japon a besoin de prospérer dans un sol frais. Quand la planter ? Les périodes idéales sont mars-avril ou septembre-début octobre, c’est à dire après les fortes gelées ou après les fortes chaleurs.L’été, elle va stagner (tapis de feuilles assez quelconque), puis elle va s’épanouir dès que l’humidité commence à revenir. C’est une très belle plante de fin d’été.
Bon à savoir :
comme toutes les plantes vivaces à tendance drageonnante, l’anémone va
végéter la première année. C’est donc mieux de la planter à l’automne, lorsqu’elle est en fleur ; vous pourrez ainsi profitez de sa floraison. 
Quelles anémones choisir ?
Privilégiez les variétés à fleurs doubles et basses au bord d’un massif, pour border une allée.
Placez les plus hautes en arrière demassif.


Anémone 'September Charm'
. Floraison d'août à octobre.
Fleurs simples, rose nacré à cœur vert. Hauteur : 100 cm. 
Peut-on planter l’anémone en pot ? Bien sûr l’anémone peut être cultivée en pot. C’est même typiquement la plante que l’on peut cultiver seule dans un pot de minimum 25-30 cm de
diamètre. Dans des grands bacs, vous pouvez l’associer à d’autres plantes avec des graminées par exemple, comme les stipas, mais aussi desdahlias, des phlox ou des asters. Evitez les couleurs criardes. 
Faut-il un apport d’engrais ?
En terre, pas besoin ! De manière générale, il ne faut pas apporter trop d’azote car sinon la plante fera beaucoup de feuillage mais ne fleurira pas.
En pot, vous pouvez apporter de l’engrais chaque année. Il doit être bien dosé : riche en potasse (pour la floraison) et phosphore (pour les racines), mais pas riche en azote (au risque de
donner trop de feuillage)
Envahissante l’anémone du Japon ?


Dans ce massif, l'anémone du Japon est associée à des astrances. Beau mariage champêtre où chaque plante trouve naturellement sa place.
En poussant, l’anémone donne des espèces de racines qui vont drageonner.
Elle forme des colonies et peut se montrer envahissante.Point positif : parmi les plantes drageonnantes, l’anémone est l’une des rares qui n’étouffe pas ses voisines ; elle se glisser parmi les autres de manièretrès naturelle. (à l’inverse, une plante comme l’aster va finir par étouffer les plantes voisines).
Si votre côté naturaliste l’emporte, laissez faire la nature, le résultat sera très joli.
Si vous aimez les massifs bien ordonnés, creusez une tranchée de 25 cm de profondeur autour du pied d’anémone,glissez une bâche et encerclez la touffe pour l’empêcher de se développer.  
Autre option : le désherbage ! L’anémone « vit sa vie », elle peut rester en place, au même endroit, pendant des années. 

La floraison

Anemone 'Fantasy Pocahontas'
à fleurs frisotantes rose argenté à cœur d'or. Floraison d'août à
novembre. Hauteur : 45 cm. Cette variété compacte et basse est idéale enbordure de massif. 
La floraison de l’anémone peut durer un bon mois (les variétés naines jusqu’à un mois et demi) et chaque fleur dure 4 à 5 jours.
Une fleur dure 4 ou 5 jours.Les premières anémones fleurissent à la fin de l’été. L’arrosage L’anémone est très tolérante, elle aime les sols frais, mais tolère mal les sols humides, surtout quand elle est jeune.Par temps sec : arrosez 1 fois par semaine pendant les 2 premiers mois après la plantation. S’il ne fait pas trop sec, arrosez 1 fois par semaine pendant 3 semaines, puis 1 fois tous les 15 jours.
Le bouturage Si vous voulez multiplier les anémones, intervenez au printemps à l’aide d’une fourche bêche.
Tranchez pour dégager quelques racines, remettez-les en terre, sous 30 cm de terre. Vous verrez, elles repoussent comme par magie. Pour être sûr de son coup, on peut aussi mettre les racines en godet dans du terreau avant de les replanter en pleine terre.

1. Anémone du Japon 'Hadspen Abundance'.
Floraison rose framboise et rosé, sur des tiges sombres, d'août à octobre. Hauteur : 80 cm. 
2. Anémone du Japon 'Rosenschale'. Floraison d'août à octobre, avec des fleurs semi-doubles rose à revers pourpré.
Hauteur : 120 cm. A placer de préférence en arrière de massif.
Donne de beaux bouquets.
Jamais malade l’anémone du Japon ? L’anémone du Japon n’est pas sensible du tout ; ni aux maladies, ni aux parasites
.La seule chose qui peut se passer quand elle est jeune : on a tendance à vouloir trop l’arroser, et dans un sol trop humide, elle peut pourrir.
En résumé, gardez le sol frais, c’est à dire humide mais sans excès d’eau.

1. Anémone 'Mont Rose'.
Floraison d'août à octobre ; avec des pétales semi-doubles ébouriffés, rose framboise, nacrés de blanc en fin de floraison .
Hauteur : 60 cm. 
2. Anémone japonaise 'Wild Swan'. Floraison de juin à octobre. Hauteur : 50 cm. Pétales blancs à revers bleuté.
Les anémones du Japon, pour des bouquets champêtres

En bouquet, l’anémone a une bonne tenue (10 jours environ), à condition dela cueillir en bouton ou en cours d’épanouissement.
Elle continue de s’ouvrir une fois dans l’eau. Si vous la cueillez déjà épanouie, elle ndure que 4 jours. Confectionnez des bouquets simples.Un côté champêtre et romantique : en bouquet simple.Avec des feuillages d’ombellifères et de manière générale et des graminées.

04/09/2016 - 12:15
Cinq vertus méconnues de la bière, validées par la science



Inventée en -6000 av J.C. , la bière est la seconde boisson la plus achetée dans le monde, après l'eau minérale. Mais mis à part le
côté festif (et désaltérant ?) de cette boisson, on trouve différents
bienfaits thérapeutiques.

La bière favorise le sommeil  
Pour certains chercheurs, le houblon pourrait en effet avoir des vertus sédatives, car il contient la lupuline, une substance qui aurait des propriétés calmantes et anti-dépressives. 
 
La bière a des vertus diurétiques 
Si l'effet du houblon sur les reins n'est pas scientifiquement admis, l'apport liquide favorise le fonctionnement des reins. 
 
La bière a des vertus cardiovasculaires 
En effet, l'éthanol, contenu dans les boissons alcoolisées diminuerait le "mauvais cholestérol". Elle aurait aussi un effet sur le diabète de type 2, dit diabète "gras", qui se caractérise par un accroissement du risque cardiovasculaire. 
 
La bière est bonne pour le développement des os 
Autre vertu de la bière ? Elle serait bénéfique pour les os. Riche en silicium et en phytoestrogènes, elle permettrait d'accroître le développement des tissus osseux et ainsi préviendrait de certaines maladies comme l'ostéoporose. 
 
La bière a des vertus anti-ulcères 
Une étude allemande de 2003 a mis en lumière les effets de la bière sur les bactéries responsables de l'ulcère gastrique !
 
 Toutefois, les médecins mettent en garde les consommateurs, car la bière peut aussi être la cause de dérèglements,
favorisant le développement d'autres maladies. 
 

 * Rappel : la bière est un alcool. A consommer avec modération.
04/09/2016 - 10:12
Saint-Antonin-Noble-Val, rendez-vous avec le bon vivre. 

Cette cite? me?die?vale a conserve? de belles architectures gothiques et romanes, elle peaufine un art de vivr
tre?s proche d’une nature particulie?rement ge?ne?reuse.



Admirablement situe? au croisement des trois anciennes provinces du
Quercy, du Rouergue et de l’Albigeois, Saint-Antonin-Noble-Val s’est
de?veloppe? sur la rive droite de l’Aveyron, la? ou? ses gorges s’e?largissent. 
Le dimanche, c'est sacré Le dimanche, si tous ne se ruent pas forcément à la messe,
c'est sous les arcades de la halle qu'ils jouent à se pousser du coude.
Objectif : faire le marché, soit communier avec les forces vives d'une village qui
n'en manque pas. Ici s'expriment toutes les saveurs et les odeurs du
grand verge du Midi, pays de cocagne où, sur les étals, les fragrances
sucrées des grappes de chasselas, des melons lectourois, des reines-claudres
quercynoises, des cerises, pêches, pruneaux... voisinentavec l'agneau fermier du Quercy,
les cabécous, les pastis, les gâteaux à la broche... 


Que faites-vous dimanche, entre 9 heures et 13 heures? Si vous êtes
saint-antoninois, la question ne se pose pas : vous allez au marché !
A? voir, humer, gou?ter cette manne issue des terroirs, on saisit pourquoi
Les Recettes du bon- heur ont trouve? leur terre d’adoption. Aux terrasses des cafe?s
de?ploye?es autour de la halle, on en parle encore.
Mais de quoi donc ? Du film, parbleu ! 
Un américain à Saint-Antonin L'année passe?e, Saint-Antonin-Noble-Val s’est retrouve?
sous les sunlights du 7e Art. Monsieur Steven Spielberg en personne a traverse? l’Atlantique
pour planter le de?cor de sa production dans les rues et les places de ce village,
pe?pite de la rive droite de l’Aveyron. Pour lui, un Ame?ricain assez fin connaisseur de la France,
ses Recettes du bonheur ne pouvaient que s’e?panouir ici-bas. Et nombre de Saint-Antoninois ne
sont pas peu fiers d’avoir « fait le figurant ». Le propos du film, de Lasse Halstro?m, peut sommairement
se re?sumer a? comment les bons produits nourriciers de la terre et la cuisine peuvent rassembler les e?tres.


L'église de Saint-Antonin se fond parfaitement dans ce décors d'exception.
A? Saint-Antonin, on ne se re?gale pas seulement des nourritures
terrestres. Les plaisirs de l’esprit se logent dans un patrimoine ba?ti,
te?moignage d’une cite? me?die?vale qui a surve?cu aux coups de sort de
l’histoire. De l’antique bourgade Nobilis Vallis au XVIe sie?cle, la
cite? be?ne?ficia de l’apport de personnages de pouvoir qui lui
assure?rent une prospe?rite? e?conomique et un dynamisme intellectuel envie?s.


Le pont de Saint-Atonin était le seul point de traversée de la rivière
entre Moissac et Villefranche du Rouerguen au XIIe siècle. Un début
d'explication à l'activité économique florissante du village ? Mais ce
pont en bois fut détruit et remplacé par celui-ci, en pierre, sans doute
au XIVe siècle.
La guerre de Cent Ans viendra rompre l’a?ge d’or de
Saint-Antonin-Noble-Val. Les habitants firent alors un temps ami-ami
avec les Anglais, minimisant ainsi les destructions. Les guerres de
Religion infligeront les plus dures e?preuves au village. En effet,
se?duits par les ide?es religieuses nouvelles, comme ils le furent par
le catharisme, les Saint-Antoninois soutinrent la cause protestante. 
Maison de l'amour, maison du repentir Sur la place se dresse la Maison romane, l’un des joyaux architecturaaux de
la cite?. E?rige?e a? partir de 1120, cette noble demeure eut pour
commanditaire le vicomte de Saint-Antonin, Archambaud. Elle est ensuite
acquise par les consuls en 1312 et servit de maison commune. Ce rare
exemple d’un e?difice civil roman va connai?tre, entre 1846 et 1853, une
profonde restauration sous la houlette d’Euge?ne Viollet-le-Duc. Son
tour de force : l’e?le?vation d’un beffroi carre? surmonte? d’une loggia
d’inspiration florentine.


En haut a? droite, le beffroi de la Maison romane du XIIe sie?cle,
e?merge des toits de tuiles brunes. Ce « pe?riscope » est une cre?ation
de Viollet-le-Duc, au XIXe sie?cle. 
Au-dessus des grandes arcades infe?rieures court une galerie a? colonnettes et
des trumeaux sculpte?s, dont l’un porte les figures en bas-relief d’Adam
et E?ve. Pour trouver l’ho?tel de ville actuel, rendez-vous a? l’ancien
couvent des cha- noines ge?nove?fains, du nom de la congre?gation de
Sainte-Genevie?ve de Paris. L’e?difice du XVIIIe sie?cle est d’un style
ne?oclassique. De la place borde?e de maisons du Moyen A?ge et de la
Renaissance, musardez au gre? des vieilles rues. La plus sinueuse porte
un nom e?tonnant : la rue Bombe-Cul. Dans la rue Droite, la maison de
l’Amour (fin XVe sie?cle) est ainsi de?nomme?e en raison d’une sculpture
ornant la clef de vou?te de l’arcade principale : le couple de
proprie?taires se donne un baiser. Plus loin, c’est la maison du
Repentir qui offre une repre?sentation inverse, avec deux visages se
de?tournant l’un de l’autre.


Voici les halles du village. C'est sous cette arcade que le marché à lieu tous les dimanches.
Rue de la Grande-Boucherie se situe la maison du Roy et rue del Pe?bre?, la
maison de l’Ave Maria. Place du Bessarel, ouverte suite a? la crue
catastro- phique de 1930, remarquez les anciennes tanneries aligne?es le
long du canal inte?rieur de?rive? de la Bonnette. Elles rappellent que
ce quartier e?tait celui des tanneurs et des cloutiers. Le tannage des
peaux, particulie?rement de veau, a fait la fortune et la re?putation de
cette industrie aux XIIIe et XIVe sie?cles. Un peu plus loin, rue du
Pont-des-Vierges, un ancien moulin a? huile de noix, mu? par la force
hydraulique, est toujours en e?tat de fonctionnement, il peut se visiter
a? l’occasion de la Journe?e des moulins (juin) et de la Fe?te des battages (aou?t).  

04/09/2016 - 07:33
HORLOGES MURALES

par JUSTYNA

 
 






















04/09/2016 - 07:31
DES POSES INCROYABLES DE YOGA

Souffrant de stress post-traumatique, l'anxiété et la dépression majeure, une
victime de viol Heidi Williams a finalement trouvé la paix dans le yoga.

 
 
#1

 

n ° 2

 
 

N ° 3

 
 

N ° 4

 

N ° 5

 
 

n ° 6

 
 

#7

 

n ° 8

 

# 9