De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
03/09/2016 - 19:46
La pêche à pied dans la Hague , vous pouvez la faire sur toute la côte atlantique ( attention aux heures des marées )
 

Si la Hague, avec ses côtes rocheuses abruptes et très découpées, ne découvre pas lors des grandes marées de larges espaces comme les plages de sable du Sud-Ouest Cotentin.
 
Elle présente néanmoins un estran suffisamment riche et varie pour inviter l’amateur à diverses pratiques de pêche a pied. Pointes
rocheuses et promontoires y offrent sur leur pourtour de vastes trous d’eau où jeter des lignes.
 
Plus qu’un simple loisir – même si les pêcheurs à pied de métier sont rares dans cette région – cette pratique a souvent permis d’améliorer l’ordinaire de la table voire d’apporter à certaines personnes de très modeste condition un complément alimentaire non négligeable.
 
D’ailleurs bon nombre de cultivateurs délaissaient une heure ou deux leur ouvrage pour descendre, les jours de grandes marées, dans la basse-iao et nombre d’ouvriers s’arrangeaient pour garder une journée de congé à prendre durant ces journées-là.
 
 
Le ramassage ordinaire de simples coquillages 
 
Cette pêche se pratique quel que soit le coefficient de la marée sur la laisse de basse mer la plus proche du rivage. Elle s’intéresse
surtout à deux types de coquillages : les fllies (patelles) et les vrelins ou brelins. Cette dernière appellation désigne en fait plusieurs variétés d’espèces voisines, c’est-à-dire les « gibules » ou vrelins gris, et les « littorines » dont la plus grosse (« littorina littorea ») d’un
brun fonce ou gris verdâtre tirant sur le noir est nommée vrelin nei (au pluriel vrelins neirs). Cette dernière est appelée encore parfois un vignot.
bigorneaux ou littorines

 
Les gens de la cote haguaise ont également l’habitude de ramasser, de glanaer, une autre forme de petit gastéropode marin de la famille des pourpres : les coques. II ne s’agit pas ici du bivalve que l’on extrait du sable de certaines plages mais d’une sorte de brelin à coquille plus allongée et pointue, de couleur variée, le plus souvent gris clair ou blanc, très commun sur les rochers (« nucella
lapillus »). Cette pourpre est rarement appréciée sur les autres rivages et, sur les plages de la cote ouest (Blainville.
Agon-Coutainville …), ce perceur de coquilles, qui s’attaque aux moules et aux huitres de culture, est traqué pour être éliminé car son ramassage n’a d’autre but que de l’abandonner aux ardeurs du soleil sur le sable des premières dunes.


 
Les fllies ou patelles font partie du groupe des gastéropodes à coquille en forme d’écuelle, elles ont comme nous l’avons déjà dit, une grande importance à cause de la place qu’elles ont tenu et continuent de tenir dans l’alimentation. Elles sont facilement reconnaissables à leur valve unique en forme de chapeau chinois.
patelle ou chapeau chinois ou bernique
 
On les trouve solidement fixées aux rochers au moyen de leur pied formant ventouse (Patelle – Patella vulgata). Les gens les ramassent de préférence sous le varech, sur les rochers qui précèdent le perret, c’est dit-on là qu’elles sont les meilleures. Les saisons ont aussi une influence sur la valeur gustative des fllies; c’est surtout au mois de septembre, alors qu’elles sont laiteuses, à cause de la gestation, qu’elles sont les plus appreciees. On dit alors que les fllies « glanent » (infinitif glanaer) et que les fllies au glanet sont les meilleures.
 

 
Les très grosses fllies ( patelles - berniques )dont la chair du pied tire sur la couleur jaune portent outre le nom de rauns, celui de « chevaux » (ch’vaos, singulier. ch’va). Une variété de petite taille dont la valve plus aplatie présente une texture plus fine que les autres et dont l’intérieur est de couleur jaune porte le nom de cat (chat).
 
Le ramassage des brelins ( bigorneaux ) ne nécessite aucun matériel spécial. On peut les mettre dans un petit panier ou dans une hotte ou tout simplement dans un petit seau. On prélève sur les rochers de préférence les plus beaux spécimens qui s’y trouvent collés.
 
Quant aux fllies ( patelles - berniques ou chapeau chinois  qui adhèrent très fortement au rocher, il faut pour les décoller un couteau ou un flliqueus. C’est le plus souvent un instrument de fortune (vieux couteau, tournevis …). Autrefois cependant,ceux qui faisaient le ramassage des fllies pour les vendre à Cherbourg,et qui devaient donc en remplir des sacs entiers, avaient un outil spécial que le forgeron du pays leur confectionnait : il s’agissait d’une lame de fer aplatie, fixée au bout d’un manche en bois. Cet instrument sert, tout comme peut le faire la lame du couteau, à fllier, c’est-à-dire à décoller les fllies du rocher.
 

 
En effet, bien qu’il ne s’agisse pas là encore vraiment d’une pêche à pied professionnelle, il existait jusqu’à une époque assez récente (findes années 1950) des ramasseurs de fllies ( patelles )qui amélioraient leur condition en envoyant par le car des fllies qui étaient vendues à Cherbourg.
 
Familles modestes, petits pêcheurs, trouvaient ainsi un complément à leurs faibles revenus.
 
C’était souvent les femmes ou les enfants qui étaient chargées du ramassage. Albert Lohier, l’écrivain Cotis-Capel, se souvenait de ce
temps ou il fliyait sur les rochers d’Urville. Les fllies étant vendues àla douzaine, chaque 13 ème fllie etait placée dans la poche du
ramasseur qui savait ainsi combien il y avait de douzaines dans son panier.
 
La cueillette est déposée au fur et à mesure dans un panier de petite taille confectionne à cet effet, ou dans une hotte, éventuellement danstout autre récipient comme une gamelle.
 
Certaines personnes utilisaient même un panier à œufs en fil de fer ou coquetyi. Le pêcheur prend soin de mettre sur sa pêche de brelins ou de fllies une poignée de varech, eune pouegnie de vré, avant de remonter chez lui afin de leur conserver de la fraicheur.

 
Les brelins ou bigorneaux  sont cuits brièvement dans un court bouillon d’eau salée assaisonnée de persil et de thym. Egouttés et refroidis ils sont halaes (prononcer rhalaes), extraits avec une grosse aiguille à repriser, ou unéquivalent, et dégustés avec une tartine de pain beurre. II faut prendre bien soin d’enlever l’opercule, le clapet, en le faisant sauter avec la pointe de l’aiguille.
 


 
Les fllies  ou patelles peuvent être consommées crues avec du pain beurre. II faut pour cela les extraire de leur coquille en les décollant sur tout le pourtour d’un mouvement rotatif de la pointe d’un couteau, et porter à la bouche la coquille afin de finir de les en extraire.
 
Elles peuvent être consommées également cuites sur le grill en tournant la pointe de la coquille vers le bas, vers les braises (la
grille doit être serrée, sinon un morceau de grillage peut être nécessaire), ou simplement chauffées sus la tuile (poêle).
 

Dans ce dernier cas on enlève les coquilles au fur et à mesure qu’elles se décollent puis on peut assaisonner les corps des mollusques demeurés dans la tuile au moyen de beurre, persil, poivre, échalote … et faire une haiquelaee de fllies.
 
On peut aussi les réserver sur une assiette afin de faire une omelette dans laquelle on incorporera en cours de cuisson (comme on le
ferait avec des dés de lard) les fllies précuites, débarrassées de leurs coquilles.
 

 
Un délice !
03/09/2016 - 16:19
27 idées pour un week-end éclair à l'île d'Oléron


Trois jours, pour  un vrai coup de coeur pour le coin : l‘île d’Oléron et ses alentours, en Charente Maritime puis l’estuaire de la Gironde. Un petit paradis qui se mérite , Et sur place, quel panard : un océan déchaîné, des plages nature, des gens sympas, des super crustacés, des cabanes colorées, des roses trémières à perte de vue… Bref, une vraie carte postale qu’on a très envie de partager avec ceux qui, comme nous, ne la connaissaient pas jusqu’alors.
 
1. Voir le marais poitevin



  On l’appelle la Venise verte. Le marais poitevin est un marécage des plus verts, la plus grande zone humide de France (100 000 hectares), qui rétrécit et dans laquelle il paraît qu’on arrive à se perdre. Au départ,
la zone était envahie par la mer, et ces canaux sont une réalisation humaine. Il y a plusieurs endroits pour le voir, et il revêt plusieurs visages (marais mouillé, maritime et desséché).

On peut le faire à pied,à vélo et surtout en bateau (de petites barques). Nous on a fait une halte à Coulon, un petit village magnifique qui compte le plus d’embarcadères (et donc l’un des plus touristiques). Et photogénique aussi : arbres à papillons, réplique de vache attendant dans une barque (il y a une barque plate devant chaque maison), bananiers… C’est aussi là qu’on trouve la Maison du marais poitevin.
Mais attention, c’est un peu loin de l’île d’Oléron à proprement parler (1h30 environ).
 
2. Aller à la plage




  Plages sauvages et immenses ouvertes sur l’océan Atlantique (auxquelles on accède souvent, contrairement à la Méditerranée, après un longue marche dans le sable), coquillages (chapeaux chinois, escargots).
La baignade reste quand même réservée aux plus courageux (brrrr) et aux surfeurs. On a testé celles de la Cotinière (un peu trop d’algues, en tout cas à cette période) et celle du phare de la Coubre (top, au bord du phare du même nom et de la forêt).
 
3. Voir des escargots des plages/des herbes

  Alors ça, c’est une petite curiosité pour nous. Au bord de la plage, des centaines d’escargots s’agrippent sur les rares herbes et plantes. De vrais bouquets pour de magnifiques images. Il y en a aussi beaucoup dans l’eau et sur le sable… des escargots de mer, ceux-là.
 
4. Se « coltiner » la Cotinière





  C’est ici, dans l’un des villages de l’île d’Oléron, qu’on a élu domicile (à l’hôtel « Face aux Flots« ). Un typique port de pêche, avec un superbe clocher, des marchés, où l’ona vu le feu d’artifice du 14-Juillet. Aussi un top resto (conseillé par les locaux) : la « Pigouille » (ça veut dire « patauger », et c’est aussi le nom de la perche dont les maraîchins s’aident pour diriger leurbarque et d’un fromage). Top : fruits de mer extra frais, spécialités et inventions sympas comme le burger à la crevette. Vaut bien 4 morfalous.
 
5. Manger de la mouclade… ou prendre part à une églade

  Dans le coin, on ne mange pas de moules marinières mais de la mouclade, un fleuron de la cuisine charentaise (oui, oui comme les chaussures). La recette : des moules de Bouchot (locales), échalotes, beurre des Charentes, jaune d’oeuf, pineau des Charentes, ail, crème, safran ou curry. Une tuerie… qui tient bien au bide. Qui vaudrait trois morfalous.
On la mange aussi lors de giga fêtes sous le nom d’éclades (ou églades ou terrée de moules), une recette approchante mais cuite sur des épines de pin.
 
6. Aller au zoo de la Palmyre





  Voilà un zoo qu’on nous a toujours vanté : l’un des plus fréquentés de France, au bord de la mer, peu de cages et un vrai souci du confort des animaux.
1600 animaux, qu’on peut parfois toucher (girafes) voire nourrir (attention, pas les singes, pitié, le pop corn n’est définitivement pas bon pour eux). A l’entrée, giga cascades arrosant les flamants roses.
Loutres archi-mimis, rares (en France) ours polaires et lémurs aux yeux bleus menacés d’extinction. Grande place réservée aux singes (le zoo de la Palmyre est fier d’avoir « réussi » la première naissance de gorille
en France, en 1978) et spectacles d’otaries et de perroquets.

 7. Voir le phare de la Coubre

 
Classé monument historique, le phare rouge et blanc de la Coubre domine l’estuaire de la Gironde du haut de ses 64 mètres. On peut se baigner au bord (attention, ce ne sont pas les eaux les plus calmes du
coin), visiter l’éco-musée qui y a élu domicile ou entreprendre son ascension. L’entrée est payante (quelques euros) et il y a de multiples contre-indications, listées sur un panneau à l’entrée qui nous a bien fait marré : grimper les 300 marches est fortement déconseillé aux personnes âgées, aux cardiaques, mais aussi aux personnes en état d’ébriété !
 
8. Partir à l’assaut du Château d’Oléron

  L’un des plus importants ports ostréicoles du bassin de Marennes-Oléron est aussiun petit village plein de charme. Ex-place forte, sa citadelle fortifiée a été imaginée par Richelieu puis Vauban. On peut y voir les
pêcheurs revenir de leur journée et des cabanes hautes en couleur investies par des artisans et des artistes.
 
9. Admirer les roses trémières et ramener leurs graines (sauf si c’est interdit !)


C’est l’un de nos coups de coeur du séjour. Sincèrement, c’est la première fois qu’on en voyait (en tout cas qu’on y prêtait attention, puisque dès notre retour on en a repéré à plein d’endroits, y compris dans le Jura) :
les roses trémières. On a eu du pot (hum), c’était la pleine saison.
Ces fleurs (qui n’ont de rose que le nom et parfois la couleur), aussi appelées passe-roses ou roses papales, mesurent  parfois plus de trois mètres ! Cette plante vivace dissémine ses graines grâce au vent.

Blanches, roses, violettes, il y en partout. Magnifique. Comme plein de gens, on a ramassé les graines au bas des plantes et on les a ramenées pour les planter chez nous (patience, ce sont des plantes bisanuelles).

10. Se balader sur le site naturel de fort Royer 
 
Pas de fort ici (il y en avait un avant) mais un site naturel protégé. Un site ostréicole typique né dans les années 1920. De vieilles barques et une magnifique plage à laquelle on accède par un mini-ponton un peu casse-gueule. Il y a des cabanes, des dizaines d’espèces d’oiseaux et c’est vraiment tranquille. On est
d’accord, pas une halte obligatoire.
 
11. Voir le fort Boyard… depuis Boyardville
 Désolé, mais il faut être candidat pour accéder à Fort Boyard. La demande doit vraiment être costaud car c’est écrit sur la page d’accueil du site internet ! On peut se consoler en le voyant depuis la plage de
Boyardville (un peu au télescope quand même!). Felindra, tête de tigre !
 
12. Voir les cabanes de plage des premiers touristes à Saint-Denis-d’Oléron 
 
Elles sont apparues en 1900 et ont toujours été sauvegardées depuis. Ces cabanes de plages authentiques, multicolores et ultra photogéniques sont à chercher sur la plage de la Boirie, à Saint-Denis d’Oléron (on a un peu galéré pour les trouver…). A l’époque, c’était la mode desbains de mer.

Mais les gentes dames, un peu coincées, ont besoin de cabines (en bois) pour se changer sur place. Les bourgeois la faisaient même porter jusqu’à l’eau ! Ces cabanes sont les témoins du début des congés payés, des stations balnéaires et des premiers touristes.
 
13. Aller au bout du bout, au phare de Chassiron
  C’est l’un des plus anciens phares encore en activité en France. Classé monument historique, le majestueux phare noir et blanc de Chassiron a été construit au XVIIe siècle (le premier) et est situé à la pointe septentrionale de l’île d’Oléron. C’est aussi un musée, dans lequel on peut monter, ou participer à des
visites guidées théâtralisées (en costumes d’époque traditionnels et payantes). On vous conseille surtout de venir vous balader autour, le long des falaises, au coucher du soleil. Magique. N’oubliez pas de jeter
un coup d’oeil aux arbres, balayés par les vents, qui en ont pris la forme. Ni un à l’un des restos de l’entrée, baptisé « Macdau ».
 
14. S’asseoir sur un banc 5 minutes avec toi
 Le coin invite tellement à la contemplation que vous trouverez partout des bancs au bord de la plage. Celui-ci, sur le chemin du retour du phare de Chassiron, nous avait tapé dans l’oeil.
 
15. Goûter aux spécialités de la brasserie des flots à Chaucre
  Ce n’est pas un incontournable mais une chouette halte en-dehors des sentiers battus, qui vous permettra en plus de jeter un oeil à deux villages bucoliques et authentiques de la pointe : Chaucre et Domino. Accueil sympa, menus pas chers écrits sur des cahiers d’écolier et plats cuisinés à la commande (on voit le chef s’activer derrière la baievitrée). On a tenté les encornets et les moules. Morfales.
 
16. Tourner autour des ronds-points
Grâce à un « sculpteur-créateur de ronds-points » et à une entreprise locale, les ronds-point du canton sont plus insolites les uns que les autres.
 
 17. Claquer une photo au port de Saint-Trojan-les-Bains


  Ce petit village est surtout connu pour son mimosa et ses plages, mais ce qu’on a préféré, c’est son joli petit port aux cabanes colorées, encadré de roses trémières. Petit magasins sympas (lire juste après) et restos
insolites (et burgers maison !).
 
18. Ne plus savoir où donner de la tête à « Retour de plage »



  Pendant que vous êtes là, arrêtez-vous à la première cabane ostréicole, chez « Retour de plage ». Un petit paradis pour les amatrices de bijoux.
Genre récup’ locale, Myriam Bataille crée des dizaines de bijoux avec des coquillages, des fils de pêche, des perles bleues, du verre… Il y en a des dizaines, classés par couleur, et la déco est top: les bijoux sont accrochés partout, sur des planches, au plafond, sur les murs…

Accueil très sympa et produits très abordables (et très jolis emballages). Une poignée de magasins dans le secteur mais pas de dépositaires en France (mais au Luxembourg !).

19. S’arrêter à l’éco musée des salines

  On peut visiter l’éco-musée des salines, composé de plusieurs cabanes (dédié au sel et aux marais salants, avec visites commentées et expos temporaires). Attention, il n’est pas ouvert toute l’année. Sinon, un
petit tour autour suffira: barques, pontons et mannequins (!) pour une halte buccolique.

20. Observer le fort Louvois… ou y aller (à bateau ou à pied) et vivre au rythme des marées
  On l’aperçoit aussi au générique de Fort Boyard, dont il est l’un des petits frères : le fort Louvois, situé sous le pont de l’île d’Oléron (sur la commune de Bourcefranc-le-Chapus) ne s’offre pas instantanément. Il faut suivre le rythme des marées pour pouvoir y accéder (à pied). Sinon, on peut en faire le tour en bateau.
Encore une construction à mettre au crédit de Vauban.
 
21. Prendre le pont d’Oléron

  
C’est un pont, il est assez spectaculaire, offre une belle vue… et de toute façonil faut bien l’emprunter pour arriver sur l’île. Le pont de l’île d’Oléron, construit dans les années 1960, a été jusque dans les années
1970 le pont le plus long de France avec ses presque trois kilomètres.
Il n’a pas de péage.
 
22. Escalader les remparts de Hiers-Brouage

 
  Voilà un village qui tranche dans le paysage local, et semble n’avoir pas beaucoup bougé depuis sa création, sous Richelieu (c’était un site de garnison important). A une exception près : le tourisme n’a pas oublié de s’y développer. Arrêtez-vous une petite heure, le temps de faire une petite balade sur les remparts (hauts de treize mètres), qui offrent unevue à 360 degrés sur les alentours et les marais. On peut aussi visiter
les anciennes salines ou le port souterrain. A noter que c’est ici qu’est né Samuel de Champlain, le fondateur du Québec (d’où les drapeaux bleu et blanc).
 
23. Oser l’île Madame à Port-des-Barques
Là encore, il faudra se rencarder sur le calendrier des marées ou tout voir depuisle parking. Si Oléron est la plus grande des îles de l’archipel charentais, Madame est la plus petite avec un nombre d’habitants qui
compte sur les doigts d’une seule main.
Elle est reliée à la terre par une bande de sable appelée passe-aux-boeufs. Paradis des pêcheurs, il
paraît que les couchers de soleil y sont incroyables. Petite auberge surplace qui sert les produits locaux.
 
24. Aller voir ce qu’est vraiment une cabane de pêcheur à Meschers


 
Quand on se retrouve sur les falaises de Meschers-sur-Gironde, on se prend immédiatement à voir du romantisme dans la chanson de Francis Cabrel… Des dizaines de cabanes de pêcheurs hautes en couleurs
sont adossées au plateau calcaire qui surplombe l’estuaire. La balade est un peu raide mais on s’est aventurés jusque sur les pontons. Magique
! A noter qu’on peut aussi visiter les grottes voisines : celles de Regulus et de Matata.
 
25. Se balader dans le très bucolique Talmont







  Talmont-sur-Gironde est l’un des plus beaux villages de France (il a d’ailleurs fait campagne dans une  re émission de Stéphane Bern). Ruelles fleuries (attention, ici il est interdit de prendre les graines des roses
trémières), jolie église de Sainte-Radegonde et cimetière enfoui sous les roses, le tout sur une presqu’île. Le coin est forcément très touristique : enfilade de boutiques artisanales et parking payant.
Super glacier avec des parfums vraiment originaux : canelé, champagne, betterave…
Les soirs d’été, les rues sont éclairées de bougies.
 
26. Voir le drôle de port des Monards
  
Pas la peine de faire de détour, mais si vous êtes par là, c’est assez insolite et ça fera une chouette photo. Le port des Monards est conçu… un peu n’importe comment, autour d’un moulin et surtout de deux cours d’eau. Il a été un haut lieu de la pêche à l’esturgeon, dont on faisait du caviar.
 
27. Envoyer une carte postale « typique » 


  Vous les trouverez dans quelques-uns des petits magasins touristiques. Comme
partout certes, mais les Oléronnais ont fait preuve de beaucoup… d’inventivité dira-t-on.  choisir !
03/09/2016 - 07:50

   UN MELI MELO DE PHOTOS CHIPEES AU PASSAGE DE SEAN PRUEN

  Dans la région de Los Santos ville imaginaire de magnifiques images tirées 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



03/09/2016 - 07:47
LES CREATION D'ELIA MERVI  
PEINTRE MADRILENE VIVANT AU PORTUGAL

 Son inspiration de prédilection reste les figures féminines, notamment celles qui ont marqué l’histoire par
leur combat intellectuel.
Pour illustrer au mieux tout cela, elle utilise du graphite puis de l’aquarelle afin de couronner le tout.
Selon elle, « le dessin montre cequi est tangible alors que l’aquarelle apporte la dose de surréalisme,
d’intuition et de sensibilité indispensable à son travail ».



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



03/09/2016 - 07:20
LES DECORATEUR DE TROLLEY BUS  DE VILNIUS
 


   


 

 

 

 
02/09/2016 - 11:33
Perséides de septembre.
U
ne pluie d'étoiles filantes pour la rentrée
 
Vous n’avez pas vu les pluies d’étoiles filantes en août ? Il vous reste une
chance avant la fin de l’été. Les Perséides de septembre arrivent dès
le début du mois avec un pic d’activité dans la nuit du 9 au 10
L’été se termine, mais les étoiles filantes sont de retour. Le phénomène
commence le 2 septembre et doit durer 16 jours. La nuit du 9 septembre
devrait être la plus intense avec en moyenne 5 étoiles par heure
visibles à l’oeil nu. Le pic d’activité est prévu vers 3h45 en France.

Les Perséides de septembre viennent de la constellation de Persée. 
Il faut donc regarder dans sa direction, vers le nord-est. C’est une constellation circumpolaire. Cela signifie qu’elle ne se couche jamais en Europe. Les étoiles sont donc toujours présentes, mais visibles en fonction de l’intensité de la lumière.
Vous avez envie d’en savoir un peu plus sur les étoiles, cette vidéo est faite pour vous :
 
Connaissez-vous le meilleur endroit sur Terre pour observer les étoiles ?
Voici quelques indices : ce lieu doit être loin de la pollution lumineuse, notamment des villes et des habitations. Le ciel doit être limpide et sans nuages. Réponse : en Bolivie, dans le désert
salé d’Uyuni. La preuve avec ces photos extraordinaires de Daniel Kordan. A voir absolument.
Dernier conseil : soyez patient, n’abandonnez pas votre poste d’observation au bout de quelques minutes, car les yeux ont besoin d’un temps d’adaptation.
 

Les Perséides du mois d’août n’ont pas déçu les attentes. Dans les commentaires sur les réseaux sociaux, on a pu lire que certains d’entre vous ont vu une vingtaine d’étoiles filantes dont certaines incandescentes.
La rentrée commence de la plus belle des manières avec de nombreuses étoiles pour nous souhaiter la bienvenue.

02/09/2016 - 08:04
LA CHUTE FIGEE DES PLONGEURS....

par John Francis Peters  Le photographe capture les plongeurs qui sautent
dans l’océan depuis les falaises de San Diego en plein milieu de leur saut.




 









02/09/2016 - 08:01
DES FLEURS S'EMBRASENT D'UN FEU BLEUTE....
  par le photographe chinois JIANG ZHI 

Série d’images intitulée « Love Letters »
dans laquelle il fait s’embraser avec de l’alcool
des fleurs délicates dans des jolies flammes bleues.

 


 



















 
02/09/2016 - 07:56
Un Bon Bol D’air (Photos De Nature)  
Images À Partager...Cadeau Du Vendredi !




 
Voilà des photos qui vont vous donner envie...
De vous évader …. et de partir en balade !





















02/09/2016 - 07:46
Des oeuvres d'arts comme ça dans les villes ,
tu parles d'une grosse connerie

 
1. Nouvelle-Zélande – Cette chose affreuse vient d’apparaitre dans ma ville.  

 
2. Pays-Bas – Tout simplement magnifique.  

 
3. Californie – Un étron ?  

 
4. Luxembourg – Jean, tu aurais pu fermer la porte.  

 
5. Finlande – Voici une abomination à côté de l’université.  


6. Canada – Ça ressemble à un terrible accident sexuel.  

 
7. Pays-Bas – Un tas de seins.  

 
8. États-Unis – Un pénis, ou une tour de merde. À vous de choisir.  

 
9. Belgique – Terrifiant.  

 
10. États-Unis – Un champ de maïs géants.  

 
11. Lituanie – Tout le monde appelle ça « le tuyau ».  

 
12. États-Unis – La ville entière DÉTESTE cette statue.  

 
13. Norvège – Nu et attaqué par des bébés ?!  

 
14. États-Unis – Une sculpture intéressante.