De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
22/08/2016 - 14:05
Décès à 87 ans du médecin ayant éradiqué la variole,
Donald Henderson.

L’épidémiologiste américain Donald Henderson ayant dirigé les travaux de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui ont permis d’éradiquer la variole, une maladie ayant fait plusieurs centaines de millions de morts, est décédé vendredi à 87 ans des complications d’une fracture de la hanche.
Le docteur Henderson était « un géant de la santé publique qui (…) a mené pendant 10 ans les efforts couronnés de succès de l’OMS pour éradiquer la variole (…), la seule maladie humaine à avoir jamais été éradiquée », a souligné dans un communiqué Michael J. Klag, le doyen de l’école de santé publique de l’université Johns Hopkins à Baltimore.
Donald Henderson, souvent désigné par ses initiales « D.A. » et qui fut lui-même doyen de cette école de 1977 à 1990, rejoignit dans les années 1950 les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des
maladies américains (CDC) avant de diriger la campagne de l’OMS contre la variole, qui permis l’éradication définitive de la maladie à la fin des années 1970.
L' »une des maladies les plus détestables qui soient »La variole est une maladie infectieuse d’origine virale, extrêmement contagieuse et qui peut être mortelle. Elle était caractérisée par une éruption de taches rouges devenant des vésicules, puis des pustules.
Des symptômes qui avaient conduit le Dr Henderson à évoquer « une des maladies les plus détestables qui soient », dans une interview avec le Washington Post en 1979.
« Je sais que quel que soit le nombre de visites que j’ai effectuées auprès de patients sérieusement atteints et en train de mourir de la variole, j’en suis toujours revenu ébranlé », avait expliqué le spécialiste au quotidien américain.
Centaines de millions de morts.
La variole a fait des centaines de millions de morts et est responsable de la disparition de populations autochtones en Amérique, enAfrique et en Asie. Le dernier cas aux Etats-Unis remonte à 1949 et le dernier cas dans le monde a été repéré en Somalie en 1977.
Donald Henderson, qui a raconté son combat contre la variole dans un livre paru en 2009, a « véritablement fait évoluer le mondepositivement », a remarqué Tom Inglesby, directeur du centre pour la sécurité sanitaire de l’Université de Pittsburgh, au sein de laquelle enseignaitDonald Henderson.
A l’issue de son travail avec l’OMS,D.A. Henderson fut conseiller de trois présidents américains, George H.W Bush, Bill Clinton et George W.
Bush. Il conseilla notamment ce dernier sur les questions de bioterrorisme après les attentats du 11-Septembre.
Né dans l’Ohio et décédé dans le
Maryland,
Donald Henderson a été décoré en 2002 de la Médaille présidentielle de la liberté, plus haute
distinction civile américaine.
22/08/2016 - 07:43
Le manuscrit Voynich, indécryptable, sera cloné...


Un scientifique contrôle la qualité de la copie.
AFP Marianne Barriaux Agence France-Presse Burgos

L'un des livres les plus énigmatiques au monde va être reproduit en Espagne:
le manuscrit Voynich, écrit sur un parchemin médiéval dans un langage
que les plus grands cryptographes n'ont jamais pu décoder.

 

 
Un extrait du manuscrit Voynich. Photo archives La Presse

Des centaines de chercheurs ont passé leur vie à tenter d'interpréter ce
livre mystérieux - avec ses pages d'écriture manuscrite élégante, ses
illustrations de plantes étranges et ses dessins de femmes nues - auquel
on attribua même certains pouvoirs magiques...

L'ouvrage altéré par le temps ne sort que rarement du coffre-fort de la
bibliothèque Beinecke, de l'université Yale aux Etats-Unis.

Mais une petite maison d'édition basée dans le nord de l'Espagne, Siloe, a
finalement obtenu après dix ans d'efforts l'autorisation de le
reproduire à l'identique et d'en diffuser près d'un millier de copies, à
la grande joie de son directeur.

«Toucher le Voynich, c'est vraiment quelque chose», dit Juan Jose Garcia, au
dernier étage d'un musée du livre où siège la maison d'édition, à
quelques rues pavées de la fameuse cathédrale gothique de Burgos
(nord de l'Espagne).

«C'est un livre entouré d'une telle aura de mystère que le voir pour la
première fois... emplit d'une émotion vraiment difficile à décrire», dit-il.

Spécialisée dans la publication de fac-similés de manuscrits anciens, Siloe a
acheté les droits de reproduction, pour une somme gardée secrète, afin
d'en diffuser 898 répliques -- la maison d'édition a pris l'habitude de
publier ce nombre d'exemplaires, qui correspond à un palindrome, après
le succès d'un fac-similé publié autrefois à 696 exemplaires, autre palindrome...

Elle entend éditer des fac-similés du manuscrit Voynich tellement fidèles
qu'ils feront apparaître les tâches, les trous et les déchirures qu'a
subis le vieux parchemin...

Jeunesse éternelle ? Code de Vinci ?
Siloe compte vendre chaque reproduction 7000 à 8000 euros
et assure que près de 300 acheteurs ont déjà réservé un exemplaire.

Raymond Clemens, conservateur de la bibliothèque Beinecke, explique que Yale a
décidé de céder les droits de reproduction de l'ouvrage «parce qu'un
très grand nombre de personnes voulaient le consulter».

Or «si nous laissons le manuscrit être manipulé aussi souvent, cela va le détruire».
La reproduction «permet aussi aux bibliothèques et musées de disposer
d'une copie» et «nous-mêmes allons utiliser le fac-similé pour le
montrer en dehors de la bibliothèque, aux étudiants et autres personnes
intéressées», dit-il.

Les théories abondent sur le mystérieux auteur de ce manuscrit, qui tire
son nom de sa redécouverte par l'antiquaire Wilfrid Voynich vers 1912 en
Italie. Son existence avait déjà été mentionnée dans une correspondance
du XVIIe siècle.

Pendant longtemps, il fut présenté comme l'oeuvre d'un moine franciscain du
XIIIe siècle, l'Anglais Roger Bacon, que son intérêt pour l'alchimie et
la magie conduisit en prison.

Mais cette théorie a été rejetée en 2009 quand le manuscrit a été soumis à
une datation au carbone 14, selon laquelle il a été fabriqué entre 1404 et 1438.

D'autres imaginent qu'il aurait pu être l'oeuvre du jeune génie de la
Renaissance italienne Leonard de Vinci, d'un inconnu écrivant en langage
codé pour échapper à l'Inquisition, d'un extraterrestre qui l'aurait
laissé en cadeau après une visite sur Terre ou le résultat d'un canular
sophistiqué...

Son contenu reste en tout cas des plus énigmatiques.
Les plantes qui y sont dessinées n'ont jamais été identifiées. Et ses
traités d'astronomie et ses illustrations de femmes n'ont toujours pas
livré leurs secrets. Etait-ce la recette d'un elixir de jeunesse
éternelle? Un simple traité d'herboristerie ou ouvrage de médecine?

L'art du clonage
Parmi ceux qui ont échoué à le déchiffrer figure le cryptologue américain
William Friedman, qui s'attaqua avec succès au code utilisé par l'armée
japonaise pendant la Seconde guerre mondiale.

Le seul à avoir percé le secret est... un personnage de fiction, l'archéologue Indiana Jones, dans un roman.
Aujourd'hui encore, la bibliothèque Beinecke reçoit chaque mois des milliers de
courriels de personnes qui pensent avoir levé le mystère, assure Rene Zandbergen,
un ingénieur spatial devenu un expert du manuscrit.

«Plus de 90% de ceux qui accèdent à la bibliothèque en ligne le font pour le manuscrit Voynich», dit-il.
Quant à Siloe, elle compte mettre 18 mois à fabriquer le premier fac-similé
de ce manuscrit de 200 pages, guère plus grand qu'un livre de poche.

Le long processus a débuté en avril quand un photographe a pris des clichés détaillés de l'original.
Le papier utilisé par Siloe - à partir d'une pâte conçue par la société - a été traité d'une façon particulière
pour ressembler au vélin d'origine.

Les imperfections sont recrées grâce à des procédés spéciaux sur lesquels Juan Jose Garcia reste discret.
«Mon partenaire commercial dit que l'auteur du Voynich pourrait aussi avoir été un sadique car il nous a
tous pris au piège de son mystère», conclut le dirigeant de Siloe.

22/08/2016 - 07:36
VISIONNER UN DOCUMENT EXTRAORDINAIRE BRUXELLES GRAND-PLACE.
L'AUTRE VISITE UN WEB-DOCUMENTAIRE.

À ne pas rater !!!  C'est long mais c'est super complet. Il faut cliquer
sur les façades des maisons dont on désire connaître l'histoire...



                       Un Document Extraordinaire...







Je souhaite  de tout cœur que vous puissiez ouvrir ces liens , c'est un voyage vraiment fabuleux...




http://bruxelles.tv5monde.com
 
Bruxelles Grand-Place
bruxelles.tv5monde.com
 
Bruxelles Grand-Place, l'autre visite Un web-documentaire multimédia pour
découvrir de manière inédite un lieu emblématique de la Belgique.

 
Bruxelles Grand-Place
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22/08/2016 - 07:32
La Terre... Comment la Terre s'est-elle formée ?
Quelles sont ses principales caractéristiques ?



De notre point de vue, la Terre semble être une planète énorme, avec des
océans immenses, de grands continents et une atmosphère profonde.

Avec les progrès de l'exploration de l'espace, nous avons réalisé que notre
Terre est petite, avec une atmosphère très fine et fragile, et une
surface qui pourrait à chaque instant être privée de toute trace de vie
par une collision avec un astéroïde.

Formation de la Terre Comme les autres planètes du système solaire, la Terre se serait formée au
sein d’une masse gazeuse, avec condensation et décantation progressives,
sous les effets combinés des forces de gravité et des divers processus
de transformation énergétique. Son âge est évalué, par les méthodes
radiochronologiques, à 4,55 milliards d’années.

Spécificités de la planète Terre La Terre gravite autour du Soleil à 149,6 millions de
kilomètres en moyenne. Avec une excentricité orbitale de 0,0167, la différence entre
périhélie et aphélie est seulement de 5 millions de kilomètres.


La Terre © Nasa

Ceci explique que les changements de saisons, dus à la variation de chaleur
du Soleil, ne sont pas extrêmes ; ce phénomène, combiné avec une
atmosphère qui agit comme une couverture chauffante, aide à garder des
températures stables.


Formation de cumulus. © Nasa

Toutes les formes de vie sur la planète tournent à la même vitesse orbitale
autour du Soleil, à une moyenne de 29,79 kilomètres-seconde. Nous
voyageons tous à 108 000 kilomètres-heure.


Ouragan Elena. © Nasa

La Terre est la plus grande et la plus massive des planètes telluriques.
Sa vitesse de rotation élevée (23,9345 heures), combinée à son noyau de
fer liquide, lui permet de générer un fort champ magnétique.


Formation de nuages de mousson au-dessus de l'Inde centrale.  © Nasa

La Terre est une planète stratifiée. Elle possède une structure en couches
composée d'un noyau, d'un manteau et d'une croûte, semblable aux
planètes inférieures du système solaire.

Le champ magnétique de la Terre La Terre possède le champ magnétique le plus fort de toutes les planètes
inférieures. Il la protège contre les particules chargées du vent
solaire.

La magnétosphère est la région entourant une planète où le champ magnétique de cette dernière est supérieur à celui du Soleil.
La plupart des particules sont déviées autour de la Terre, mais certaines
se font piéger dans la magnétosphère, formant des ceintures de
particules ionisées et des aurores lumineuses quand ces particules
atteignent l'atmosphère.


Aurore boréale . © Lewis R

Les pôles électriques nord et sud dérivent d'un degré sur plusieurs années
et le centre du champ magnétique semble être éloigné d'environ 400
kilomètres du centre géométrique de la Terre.

En plus de la dérive du champ magnétique, les "archives" rocheuses
indiquent que la polarité du champ magnétique s'inverse de temps en
temps.

On comprend très mal ce mécanisme, mais un historique détaillé de ces
inversions de polarité a été établi sur les 7 derniers millions
d'années. Il révèle que les inversions importantes se produisent
approximativement tous les 500 000 ans.

Atmosphère L'atmosphère terrestre est unique dans le système solaire,
du fait de la quantité d'oxygène (élément vital) qu'elle possède.


Photo numérisée de la couche d'ozone. © Nasa

La présence d'un peu de dioxyde de carbone permet à un effet de serre de
réchauffer agréablement la planète (un peu plus, et la Terre pourrait
devenir aussi chaude que Vénus ; un peu moins, et les températures
seraient constamment glaciales).

L'atmosphère terrestre est composée à l'heure actuelle d'environ 78 % d'azote, 20 %
d'oxygène, 1 % de vapeur d'eau et 1 % d'argon. On trouve d'autres gaz en
plus petite quantité, dont 0,03 % de dioxyde de carbone.


Un cumulus élevé se forme au-dessus de l'île de Java dans l'après-midi. © Nasa

On considère que les taux de dioxyde de carbone sont restés assez constants
au cours de l'histoire récente de la Terre.

Un équilibre est ainsi maintenu, la majorité du dioxyde de carbone étant enfermé
dans les océans et les roches lithosphériques.

Cet équilibre n'a cependant pas toujours existé, et ne continuera pas nécessairement.

Une ligne de nuages orageux le long d'un front de température au-dessus de l'océan Atlantique.© Nasa
La production d'énergie solaire au début de la formation de la Terre était de
10 à 20 % inférieure à celle d'aujourd'hui.

Malgré cela, la surface terrestre initiale était suffisamment chaude pour
abriter l'eau à l'état liquide et permettre le développement de la vie.

De forts taux de dioxyde de carbone, issus de gaz libérés par la planète,
ont produit un important effet de serre.


L'île hawaïenne de Oahu. Formation nuageuse lors du réchauffement du sol au cours de la journée.© Nasa
Des facteurs autres que l'effet de serre modifient le climat terrestre,
comme l'excentricité orbitale, l'inclinaison (obliquité) de l'axe de
rotation et la précession de l'axe.

Ces variations, sur des échelles de temps allant de 10 000 à 100 000
années, sont responsables, au cours des quelques dernières centaines de
millions d'années, des périodes glaciaires, définies par de basses
températures du globe ainsi que par de vastes calottes glaciaires
continentales et polaires.

Une période glaciaire est accélérée par la forte réfection d'énergie solaire
issue de vastes calottes glaciaires.


Etendue de calotte glaciaire continentale et de banquise au cours de la
dernière période glaciaire. Notez le bas niveau de la mer. © Nasa


Une modification climatique peut également résulter des activités de l'être
humain. De nombreuses activités industrielles ont endommagé la couche
d'ozone de la stratosphère qui protège la vie sur Terre du rayonnement
ultraviolet.

Les volcans La Terre est une planète volcanique, ainsi, mis à part d'importantes
éruptions ponctuelles sur les continents, l'activité volcanique est
continue le long des dorsales océaniques, créant de ce fait une croûte
océanique.



Les îles Galápagos se sont formées à partir de la superposition de coulées de lave
issues de plusieurs volcans boucliers. © Nasa


Les volcans sont en partie responsables du modelage de la surface terrestre et de l'altération
de l'atmosphère primitive.

Cratères d'impact Une régénération complète de la surface de la Terre a effacé les traces
d'impacts de météorites datant de l'intense bombardement du centre du
système solaire, il y a plus de 4 milliards d'années.

Une grande partie des 200 sites d'impact connus dans le monde se trouvent
dans les roches ou les boucliers continentaux les plus anciens, datant
de plus de 500 millions d'années.

Cependant, des impacts continuent à se produire, en petit nombre, à ce jour.

Cratère météoritique, en Arizona, formé il y a seulement 50 000 ans, est, en fait,
l'un des plus jeunes cratères terrestres. © Nasa


En fait, la surface de la Terre devrait plutôt ressembler à celle de la Lune.


Photo d'un météorite. © Martin Sanders

Si ce n'est pas le cas, c'est grâce à l'atmosphère qui empêche la chute
sur sa surface de nombreux météorites, aux phénomènes d'érosion et aux
forces tectoniques qui renouvellent en permanence le paysage.

La Terre porte néanmoins plus de 200 traces d'impacts récents et, bien sûr,
elle reste aujourd'hui une cible.


Manicouagan, vestige d'un cratère d'impact dans l'ancien bouclier canadien. © Nasa

Il y a environ 65 millions d'années, on pense qu'un grand corps est tombé
sur la Terre dans la péninsule du Yucatan, en Amérique centrale.

Ce corps, probablement un astéroïde ou une comète, a peut-être envoyé
assez de débris d'impact dans l'atmosphère pour empêcher la
photosynthèse végétale.


Meteor Crater, Arizona, (Barringer). © Nasa

La datation de l'impact coïncide avec une extinction massive des deux
tiers des espèces animales de la planète, dont les dinosaures, ce qui
laisse à penser que les gros impacts peuvent entraîner une catastrophe
au niveau planétaire.

C'est justement parce qu'un impact de ce genre pourrait avoir des
conséquences dévastatrices pour la vie, qu'un programme de contrôle et
de suivi a été établi, afin de détecter tout astéroïde qui pourrait
entrer en collision avec la Terre.

De nombreux astéroïdes croisent déjà l'orbite terrestre ; on les appelle les astéroïdes
proches de la Terre (NEA).

Le satellite de la Terre La Lune est l’unique satellite naturel de la Terre.
Nous ne savons pas quand la Lune, notre plus proche voisine, fut découverte,
mais elle est sûrement connue de l'humanité depuis des milliers d'années.


Comparatif entre la Terre et la Lune. Montage effectué à partir de deux photos de la Nasa . © dinosoria
La Lune tourne autour de la Terre à une distance moyenne de 384 000 kilomètres.
Avec un rayon de 1 738 kilomètres.

La Lune est comparable aux plus gros satellites de Jupiter et de Saturne,
et elle est plus grande que la planète Pluton.

V.Battaglia (05.04.2005) M.à.J 04.2007
Histoire de la Terre

Références

Astronomie, Hachette 2001
L’Astronomie, éditions De La Martinière 2002
Site de la NASA
21/08/2016 - 19:07
  choses à faire à Rio de Janeiro

Rio de Janeiro est, selon moi, la plus belle ville au monde. Oui, même Paris ne lui arrive pas à la cheville ! Je ne parle pas uniquement de l’architecture,je parle de ces montagnes qui donnent à la ville cette vision si particulière, je parle évidemment de l’ambiance, de cette chaleur ambiante qui règne 365 jours an, de son climat attrayant, de sa fête, sajovialité mais aussi, sa beauté si singulière.

Vous qui rêvez de visiter cette ville ou d’y revenir, voici pour vous les 5  lieux incontournables de Rio dont on ne se lasse pas !

Les 5  choses à faire à Rio de Janeiro
Le Corcovado

Que serait Rio de Janeiro sans le Corcovado et son Christ Rédempteur ! Même à des kilomètres, on ne voit que lui. De loin comme de près, il impressionne de par sa prestance et sa hauteur (38 mètres) et, devinez-quoi, il a été dessiné par Paul Landowski, sculpteur français : de quoi nous rendre fiers !

Le Christ est non seulement un monument incontournable du Brésil qui, ma foi, peut donner mal au cou à force de lever la tête pour le contempler, mais qui nous offre une vue spectaculaire de tout Rio.

Du haut du Corcovado, vous pourrez apercevoirle Pain de Sucre, les plages de Copacabana et Ipanema, le lac Rodrigo de Freitas et notamment le centre-ville.

Le pic du Corcovado faisant plus de 700 mètres d’altitude,il est important de favoriser le beau temps pour monter rendre visite au Christ Rédempteur. Les nuages sont vite arrivés et le Christ a tendance à disparaître parfois pendant plusieurs heures !

Le Corcovado est l’un des nombreux reliefs surplombant Rio et certainement le plus célèbre avec le Pain de Sucre. En somme, à ne manquer pour rien au monde !
Le « Paõ de Acucar »
Le
Pain de Sucre est une destination incontournable de Rio. Si le Pain de Sucre est moins haut que le Corcovado (36 mètres), il offre toutefois une vue panoramique de la ville des plus spectaculaires. Je ne saurais dire si celle-ci est aussi impressionnante que celle du Corcovado .

  Le téléphérique relie Morro da Babilônia à Morro da Urca pour ensuite rejoindre le Pain de Sucre. L’ascension dure environ trois
minutes et permet de survoler la mer pour, enfin, atteindre le paradis.

À l’inverse du Corcovado, n’ayez pas peur de la météo pour le Pain de Sucre ! Les nuages ne gâchent en rien la beauté du moment. Bien au contraire, ils laissent filtrer à travers eux les rayons du soleil, offrant ainsi un paysage digne des plus beaux tableaux. Si possible, prenez tout l’après-midi afin de profiter du coucher de soleil qui est, sans aucun doute, propre à Rio de Janeiro.

Parmi tous les panoramas visités jusqu’à maintenant, celui-ci est sans aucun doute le plus fabuleux jamais vu. Peu de mots peuvent retranscrire la magie de cet instant. Vivez-le, à tout prix.
Les plages de Rio de Janeiro
Copacabana et Ipanema font partie des plages les plus célèbres au monde, et ce n’est pas pour rien ! Elles regroupent toutes les classes confondues de Rio de Janeiroet, précisément à cet endroit, il n’en existe plus aucune.

Les gens se retrouvent après le travail et les cours, certains même enlèvent directement leur costume sur la plage pour courir se jeter dans les vagues ! Passer d’un homme d’affaire aux traits graves à un fou furieux courant en slip dans la mer, c’est assez perturbant, mais très sympa à voir ! Les directeurs, les ouvriers, les étudiants, les étrangers : tous se retrouvent.

Mais l’incontournable de ces plages, c’est évidemment le foot ! Le sport éteint toutes les distinctions sociales et vous mêle à
la culture brésilienne : un délice. Vous trouverez sur le bord de mer de nombreux stands de boisson. N’hésitez pas à goûter le fameux jus de coco que l’on boit à même la noix à l’aide d’une paille. Vous trouverez également l’açaï, fruit typique du Brésil que l’on déguste sous la formed’un smoothie. Dépaysement garanti !

Ah, Copacabana et Ipanema, il s’est passé bien des choses sur ces plages.
Mais attention, leur côté attrayant renferme bien des maléfices ! Vous avez la sensation d’être à l’abri de la température qui peut grimper à plus de 50 degrés en été, mais il n’en est rien !
Santa Teresa
Santa Teresa
est un quartier typique de Rio de Janeiro. On le rejoint grâce au « bôndji » qui franchit l’ancien aqueduc de Lapa. Santa Teresa est assimilé au « Montmartre de Rio » avec ces nombreuses marches aux couleurs estivales. Ce quartier est un incontournable de Rio car il nous plonge au cœur de la vie brésilienne et nous fait vivre à son rythme entraînant !

Vous y trouverez de charmants restaurants où vous pourrez savourer la typique et délicieuse feijoada composée de haricots noirs, de riz et de viande de porc.
Impensable de se rendre au Brésil sans y goûter, et impossible d’y résister !
Le quartier de Santa Teresa est également réputé pour être dangereux.
Comme dans tous les quartiers assez pauvres, que ce soit au Brésil ou n’importe où ailleurs, prenez des précautions élémentaires, soyez prudents et vous ne rencontrerez aucun problème !

À la tombée de la nuit, le quartier s’anime et chante, la vision en journée n’est alors plus du tout la même ! Si vous en avez la possibilité, passez-y une soirée, vous en garderez un merveilleux souvenir !

Le jardin botanique
Le jardin botanique de Rio de Janeiro est l’un des plus beaux jardins au monde. On se retrouve plongé au cœur de la nature brésilienne autour de plantes que vous ne verrez nulle part ailleurs, à moins que vous ayez pour habitude de vous promener dans la jungle le dimanche après-midi, ce qui est tout à votre honneur.

Vous trouverez à l’intérieur de ce jardin deux édifices historiques que sont la Casa dos Piloes et la Casa de los Cedros. Rio étant une ville extrêmement bruyante qui donne l’impression de ne jamais dormir, cet instant saura vous apaiser et vous faire apprécier le
calme et la fraîcheur du lieu.

Voilà, Rio, c’est déjà fini !
21/08/2016 - 15:13
Tout sur... la carpe
Saisons, Histoire,  bienfaits ...  Les conseils pour la choisir, la cuisiner et la conserver

La saison.
C'est pendant l'été que les grands pêcheurs en sorte le plus des étangs. ( souvent c'est leur passe-temps favori )

Bienfaits.
100 g
La carpe est un poisson semi-gras, puisqu’elle ne contient que 3% de lipides. Elle est ainsi peu calorique, fournissant 100 calories pour 100 g de carpe. Elle apporte par ailleurs à votre organisme des quantités intéressantes de protéines (18 g pour 100 g).

Celles-ci sont essentielles pour garder la forme, car elles fournissent les acides aminés dont vous avez besoin pour la
formation des cellules de votre corps. Les protéines constituent également une protection efficace contre les maladies, car l’organisme
les transforme en anti-corps.

La carpe vous apporte enfin du phosphore, qui est un oligo-élément minéral essentiel pour beaucoup de réactions chimiques dans votre corps. Il en va de même pour la vitamine B12, que la carpe vous fournit également.

Conservation 
La carpe, comme tous les autres poissons, ne se conserve que très peu de temps : 1 ou 2 jours maximum au réfrigérateur.
carpe commune
Le poisson ne peut être congelé qu’immédiatement après la pêche, à cause de la fragilité de sa chair. Ne le faites donc que si vous pêchez vous-même la carpe, et en aucun cas si vous l’achetez chez le poissonnier, aussi fraîche soit-elle.

Avant de congeler une carpe, il faut d’abord l’écailler, la vider, la laver, puis la sécher, y compris à l’intérieur.

 Dégustation 
Lors de votre achat chez le poissonnier, choisissez une carpe bien charnue, à la fois ferme et élastique. Ses écailles doivent être bien adhérentes et sa paroi abdominale intacte. Demandez par ailleurs à votre poissonnier de retirer la poche située au fond de la gorge, car elle est difficile à enlever.

Comptez un poisson de 1 Kg pour 3 convives, sachant que les déchets correspondent environ à la moitié du poids d’origine. Notez que l’on trouve parfois, sur le marché français, des carpes congelées provenant d’Asie. Leur chair est réputée plus ferme et
plus savoureuse.

Après avoir vidé et écaillé la carpe, laissez la tremper dans plusieurs bains d’eau vinaigrée successifs, afin de lui enlever son goût de vase. Vous pouvez ensuite la cuisiner de multiples façons.
carpe farcie

La carpe peut être rôtie, grillée, mais surtout braisée au four. On peut également la farcir. On fait frire plus particulièrement les petites carpes, aussi appelées "carpillons". Lorsque l’on veut pocher la carpe, il est inutile de l’écailler. Il suffira de retirer la peau
avant de la déguster. Il est en revanche conseillé de plonger le poisson dans de l’eau encore froide, afin de ne pas abîmer la surface et d’assurer une cuisson en profondeur.

La carpe est également fréquemment préparée en matelote, c'est-à-dire qu’on la cuit dans du vin, blanc de préférence, mais pas
uniquement. Cette préparation est également possible avec de la bière.

carpe à la juive

La carpe peut par ailleurs être préparée "à la juive". Il faut pour cela découper le poisson en petits tronçons, puis la braiser dans une sauce au vin. On laisse ensuite cette préparation au réfrigérateur, car la carpe à la juive se mange toujours froide.
Notez que la laitance de carpe est très appréciée, elle peut servir en finition d’une sauce.

Histoire 
La carpe possède un corps trapu, recouvert d’écailles épaisses et brunâtres sur le dos. Les côtés sont plutôt jaunes, tandis que le
ventre est blanc. Sa bouche, petite et dépourvue de dent, est entourée de quatre barbillons. Ce poisson peut atteindre 80 cm de long.

La carpe est un poisson des rivières à cours lent, qui appartient à la famille des cyprinidés. Originaire d’Asie, elle s’est naturellement étendue vers la chine il y a 8000 ou 10 000 ans. Son introduction en Europe date des Romains. Au Moyen-âge, les
moines en faisaient un élevage, et elle faisait par ailleurs partie des festins des tables des rois. Elle est aujourd’hui présente à l’état
sauvage dans toute l’Europe, à l’exception des pays froids (Norvège, Russie, etc.).

La carpe fut le premier poisson sauvage élevé en bassin. Elle est aujourd’hui élevée en étang ou en bassin. Des croisements entre différentes espèces ont permis d’obtenir des meilleurs rendements.
carpe cuir
Vous trouverez ainsi, sur les marchés, de la carpe cuir, qui ne possède qu’une seule rangée d’écailles sur la nageoire dorsale et près des nageoires. La carpe miroir ne possède d’écailles que près des nageoires et est considérée comme étant la plus fine. Pour la carpe, la période de frais a lieu en mai et juin.

21/08/2016 - 11:01
Quelle est l’alternative la plus écologique aux sacs plastiques ?  
 
Maintenant que les sacs en plastique ne sont plus fournis en caisses, nombre d’entre nous auront l’obligation de changer leurs habitudes. Parmi le large choix qui s’offre alors, quelle est l’option la plus respectueuse pour la planète ? 
 
La distribution de sacs en plastique à usage unique est finalement prohibée depuis le 1er juillet 2016.
C’est la loi de transition énergétique qui a permis la mise en place de cette mesure.
Ainsi tous les sacs d’une épaisseur inférieure à 50 microns sont interdits, cependant les cabas et autres sacs plus épais réutilisables sont acceptés.

Des sacs plastiques
via Shutterstock
Cela fait quelque temps maintenant que certains supermarchés font payer les sacs en
plastique et vendent des sacs réutilisables en caisse.
Cette évolution a déjà permis une diminution spectaculaire du nombre de sacs en plastique utilisés : de dizaines de milliards à centaines de millions en 10 ans.
Maintenant, la loi s’appliquera aussi aux rayons de fruits et légumes, boucherie et fromagerie où ils sont utilisés pour la pesée.
Alors, quelle alternative ? Il y a tout d’abord le sac en plastique biosourcé, non recyclable mais compostable.
D’après le ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, il est composé de matières d’origine biologique à l’exclusion des matières intégrées dans des formations géologiques ou fossilisées (type pétrole), c’est-à-dire, d’amidon de pomme de terre de maïs, etc. D’un point de vue économique, cette évolution va permettre la création de milliers d’emplois en France et l’apparition d’une filière pouvant faire face à la concurrence internationale.


Un sac en plastique retrouvé dans l’océan
Ce type de sac ne doit pas être confondu avec le sac oxo-fragmentable qui va être totalement interdit, du fait de son oxydation sous l’effet de lalumière et de la chaleur. Cette oxydation fragmente le plastique en minuscules particules ingérables par les poissons et de ce fait risquant
de se retrouver dans notre alimentation. Ce sac n’est donc pas biodégradable.
Une autre option existe, le sac en papier. Présent depuis longtemps sur nos étals, il peut être recyclé plus d’une demi-douzaine de fois, n’affecte pas la nourriture et est biodégradable.
De plus, il coûte moins cher que celui en plastique biosourcé.
Cependant, il est fragile, souvent déchiré à la première utilisation et ne résiste pas à l’humidité.
De plus, son processus de fabrication demande beaucoup d’énergie et consomme énormément d’eau, huit fois plus que la fabrication d’un sac en plastique.
 

Un sac en papier
La plus connue des alternatives est le cabas synthétique. En polypropylène tissé ou non, il est proposé en caisse depuis quelques années. En plus d’être pratique car solide et peu coûteux, il fait de la publicité aux supermarchés. Il faut aussi savoir que le polypropylène est recyclable.
Cela dit, il reste en plastique car fabriqué à partir de pétrole, il émet des gaz à effet de serre.  
Enfin, l’option chic, le sac en fibres naturelles. En coton, en lin ou en jute, ils sont plus chers que les précédents. Leur fabrication est aussi gourmande en eau sauf s’ils sont issus de l’agriculture biologique. Mais ils sont solides et biodégradables. Leur prix est variable et creuse l’écart avec les sacs en plastique car la mode et les tendances ajoutent leur grain de sel.

      Un cabas synthétique
Un “tote bag”
Le plus simple, si l’on veut respecter l’environnement, est encore de ne
pas jeter les sacs en plastique. Selon une étude de l’Agence britannique
pour l’environnement, si tous ces sacs étaient réutilisés en sacs
poubelle, leurs impacts environnementaux en seraient nettement réduits.
Pour une bonne utilisation, un sac en papier kraft devrait servir 7 fois,
un cabas 26 fois, et un sac en coton 327 fois !
Si la question écologique vous intrigue, découvrez ce scandale :
le plastique biodégradable est une arnaque :
il ne se décompose pas dans l’océan
!

21/08/2016 - 08:03
6 astuces pour demander de l'aide aux enfants



21/08/2016 - 07:58
La bienveillance et l’éducation positive.....
commencent à faire leurs chemins dans les esprits, et les nombreuses petites graines semées par les parents conscients des bienfaits de l’éducation bienveillante commencent à porter leurs fruits !
 


 
21/08/2016 - 07:45
L’arbre à vent, une éolienne de nouvelle génération.


Aujourd’hui, nous sommes face à l’obligation de développer des nouveaux procédés
afin de produire de l’énergie. Si les éoliennes représentent une
véritable solution pour alimenter des maisons, des villes ou même des
usines, elle sont encore très imposantes et bruyantes.

Heureusement, une start-up parisiennevient de présenter un projet très intéressant
basé sur une éolienne plus esthétique, plus discrète et en forme
d’arbre.

Développé par la start-up NewWind R&D (www.arbre-a-vent.fr), l’arbre à vent est un projet aux grandes ambitions.
L’arbre à vent est constitué d’un tronc et de branches en acier pour une grande solidité.

Sur chaque branche sont disposées de nombreuses feuilles en plastique qui tournent avec la force du vent.
L’avantage c’est que ces feuilles sont beaucoup plus légères que les pales d’une
éoliennes et peuvent donc tourner avec un vent deux fois moins rapide : 2 mètres par seconde contre 4 mètres par seconde.

Du coup, l’arbre à vent est capable de produire entre 2,5 et 4 kWh en
fonction de la force du vent. Avec ses 11 mètres de haut, il est capable
de capturer les vents de toutes les directions ce qui est plutôt
pratique en milieu urbain.


De plus, il est important de noter qu’il fonctionne de manière
silencieuse. Pour vous donner une idée, l’énergie produite par cette
éolienne d’un nouveau genre permet d’alimenter un foyer de 4 personnes
en énergie sans compter le chauffage bien entendu.

Le premier exemplaire de cet arbre à vent à été inauguré dans le Parc du
Radôme à Pleumeur-Bodou le 23 avril 2014. Depuis, il est régulièrement
photographié car il intrigue beaucoup.


Pas moins de 21 commandes ont été passées par des collectivités depuis et
Paris devrait accueillir son arbre, place de la Concorde en 2015 dans un
espace de démonstration. Côté prix, c’est plutôt abordable, un peu
moins de 30 000 euros HT !

(Source : Hitek)