Les 10 Façons Qu'ont les Hommes de Détruire Leur Mariage.
Il est important de se rappeler que l'objectif principal du mariage est d'être heureux et serein.
Alors, même si la liste ci-dessous peut paraître intimidante, ne l'oubliez jamais !
Si la vie vous parait stressante, alors essayez de changer votre perception. En effet, vous êtes la seule personne à pouvoir transformer votre stress en tranquillité.
Si vous vous sentez malheureux, cherchez les choses qui vous satisfont dans la vie. C'est la seule façon de vivre en paix est de se sentir serein. N'oubliez pas que la seule personne que vous pouvez changer, c'est vous-même !
10 choses à éviter pour ne pas gacher son mariage
Même si on n'oublie pas que, dans un couple, chacun doit prendre sa part de responsabilité dans la réussite d'un mariage, ci-dessous nous avons listé les dix erreurs que les hommes commettent le plus souvent.
Lisez la suite pour en apprendre davantage sur les comportements des hommes qui peuvent détruire complètement un mariage :
1. Laisser sa femme seule Une des façons les plus rapides pour détruire votre mariage est de laisser votre femme seule. Comme par exemple passer de longues heures au travail puis aller boire une bière avec les copains en sortant.
Et, quand vous rentrez chez vous, vous ne vous occupez ni d'elle ni de vos enfants. Au lieu de cela, vous vous vautrez devant un match de foot ou devant votre ordinateur pour faire des paris en ligne.
Et le week-end ? Vous vous plaignez du désordre à la maison. Et si vous partez faire des courses, c'est pour disparaitre pendant plusieurs heures. Savez-vous qu'une des choses les plus difficiles à vivre pour une femme est ce sentiment d'isolement lorsque son mari la délaisse ?
Oui, votre femme a des amis et un emploi. Elle passe beaucoup de temps à courir partout avec les enfants. Une femme peut bien sûr pratiquer des activités sans son mari. Mais ce n'est pas la même chose. Ce qu'elle veut, c'est passer du temps avec vous, l'homme qu'elle aime. Être délaissée par son mari peut provoquer un profond chagrin chez elle.
Pour la plupart des femmes, la plus grande crainte se résume à l'isolement et la privation. Quand une femme se sent abandonnée par son mari, elle a tendance à l'attaquer avec des remarques blessantes et irrespectueuses. Sa capacité à vous blesser verbalement est son arme la plus puissante, et elle l'utilise pour essayer d'obtenir votre attention.
Quand une femme commence à vous harceler parce que vous ne passez pas assez de temps à la maison, (parce que vous ne sortez jamais avec elle, et ne vous occupez jamais des enfants), il y a des chances qu'elle se sente abandonnée et isolée. Si vous arrêtez de passer du temps ensemble, la distance émotionnelle entre vous se fait rapidement sentir.
2. Ne pas être assez affectueux?
Une femme triste sans affection Votre femme adore être proche de vous. Si elle se met à croire que pour vous c'est différent, votre mariage est en danger. Pendant que vous vous efforcez de garder votre indépendance, elle, elle a envie de se sentir connectée à vous. Ne soyez pas seulement affectueux et attentif avec elle les jours où vous avez envie d'elle ou que vous avez besoin d'elle.
L'affection et la proximité doivent être une fin en soi et non un moyen d'arriver à quelque chose d'autre. Parler n'est pas la seule chose que les femmes apprécient, même si c'est important.
Voici des idées simples pour contenter votre femme : l'embrasser souvent, lui tenir la main, et passer du temps seul avec elle. Quand son besoin de proximité est rempli, elle sera plus encline à respecter votre besoin d'indépendance. Quand votre femme se sent proche de vous, elle sera également plus disposée à s'encanailler avec vous au cours d'un plan plus intime.
La chose importante à retenir est de l'aider à se sentir connectée. Essayez de lui parler de votre journée, de vos craintes et espoirs et de vos rêves. Tenez-lui la main quand vous sortez ensemble. Embrassez-la de façon inattendue dans la cuisine alors qu'elle prépare le dîner. Asseyez-vous à côté d'elle. Demandez-lui comment elle va, et pendant quelques minutes, donnez-lui toute votre attention pendant qu'elle vous répond. Ces petites attentions lui montreront vraiment que vous l'aimez. Le mariage est un long chemin qu'il faut savoir entretenir.
2.5. Se renfermer sur soi-même Les femmes sont entières. Leur esprit, leur corps et leur âme sont étroitement liés. Si elles se sentent blessées, c'est l'ensemble du système qui est affecté. Une femme dont l'esprit est préoccupé peut facilement souffrir de fatigue et de trouble. Les hommes, eux, savent compartimenter. Les hommes sont en mesure de vivre normalement même si un domaine de leur vie ne fonctionne pas correctement.
Sachez aussi que votre femme ne comprend pas votre comportement quand vous vous renfermez et que vous devenez mystérieux. Les choses ont l'air de glisser sur vous et rien ne semble vous tracasser. Vous n'avez pas envie de lui parler alors qu'elle sait que vous êtes stressé à cause du travail. Quand elle vous questionne, votre femme n'est pas en train d'essayer de rentrer dans votre cerveau pour savoir tout ce qui s'y passe. Elle veut simplement que vous soyez plus ouvert.
Elle veut vous voir comme vous êtes vraiment à l'intérieur. Elle sent votre amour et aimerait que vous lui partagiez vos peurs, vos craintes et vos doutes. Elle a besoin de sentir qu'elle est aussi votre confidente dans les moments difficiles. Ne pensez pas qu'elle est en train d'essayer de vous changer ou de vous "réparer". Elle est juste là pour vous apporter une oreille attentive.
Essayez de lui parler de ce qu'il se passe dans votre tête, y compris vos soucis. Les femmes entre elles adorent se défouler verbalement sans forcément essayer de trouver une solution au problème. Tout ce qu'elle veut c'est vous donner une opportunité de vous exprimer verbalement.
3. Vouloir régler tous les problèmes Même si elle ne le dit pas toujours, votre femme vous voit comme "sa force". Comme le porteur de ses fardeaux. Quand elle vient à vous pour chercher votre aide pour alléger ses soucis, cela doit être perçu comme un compliment. Elle sait que vous pouvez l'aider, elle sait que vous pouvez gérer ça.
Mais attention ! Plutôt que d'essayer de résoudre et de régler tous ses problèmes, essayez de simplement l'écouter. Vous pouvez même lui demander si elle a réellement besoin d'une solution à son souci ou tout simplement d'une oreille attentive.
Vous verrez, ça sera un soulagement pour vous deux quand vous vous rendrez compte que, parfois, vous n'avez pas besoin de régler tous les problèmes qui sont soulevés pendant vos conversations. Le simple fait d'en parler est amplement suffisant. En outre, si vous l'écoutez, elle se sentira comprise (même si ce n'est pas le cas, ce qui au final n'est pas si grave que ça).
4. Ne pas savoir dire "je suis désolé."
Ne pas savoir dire pardon Tous les mariages ont des hauts et des bas. Sachez que refuser de présenter des excuses est un moyen rapide pour détruire le vôtre. Bien que le conflit ne soit pas une chose agréable, sachez que votre complicité peut en sortir grandie une fois le conflit résolu. Pour votre femme, faire des excuses signifie qu'elle a fait un pas pour sortir du conflit, et qu'elle est maintenant à la recherche d'une paix intérieure.
Beaucoup de maris voient les excuses comme un signe de faiblesse. Ils se disent : " Si je présente mes excuses, elle ne me respectera plus." Or, c'est exactement le contraire. Si vous vous excusez humblement et que vous lui demandez pardon, votre femme sera plus compréhensive.
Votre petit acte de contrition apaisera son esprit, et agira comme un baume de guérison sur son cœur et votre couple. En plus, cela montre que vous êtes ouvert, que vous avez envie de faire des efforts pour que ça marche entre vous et que votre mariage est assez important à vos yeux pour admettre vos erreurs. Enfin, cela montre que vous êtes capable d'évoluer et de passer à autre chose pour que votre mariage en ressorte plus solide.
5. Prendre ses doutes à la légère Votre femme porte beaucoup d'importance à votre engagement. Quand elle voit que vous regardez d'autres femmes dans la rue, à la télé, sur votre ordinateur ou ailleurs, elle craint que vous puissiez lui être infidèle. Cela peut la mettre mal à l'aise. Elle va bien évidemment se demander si vous êtes attiré par ces femmes. Surtout si de son côté, elle ne regarde que vous !
Dans tous les cas, elle est fragile et a besoin de votre réconfort. Pas d'être rabaissée, ignorée ou taquinée. Tout cela dévalorise votre femme et ses sentiments bien réels. Lorsque vous regardez fixement une jeune femme mignonne déambuler, c'est comme un rappel lancé à votre femme sur ses nombreuses imperfections. Elle se sent en insécurité et elle veut savoir si vous l'aimez encore car pour elle, ce genre de comportement n'est pas vraiment rassurant...
Ce n'est pas anormal de regarder d'autres femmes, en fait, c'est parfaitement naturel. Mais le danger apparaît quand vous êtes pris en flagrant délit et que vous ne détournez pas votre regard. Cela montre que vous ne prenez pas en compte les sentiments de votre femme, ni son malaise.
Votre femme est motivée par votre amour et votre fidélité. Elle s'implique dans votre relation, et veut sentir que vous êtes tout autant impliquée qu'elle.
Quand votre femme se sent en insécurité, elle peut vous demander si vous pensez à elle. Elle peut vous demander si vous l'aimez. Elle peut vous demander si vous pensez qu'une autre femme est plus attirante qu'elle. Elle peut aussi vous poser beaucoup de questions, mais ne vous inquiétez pas, ce n'est pas un piège.
Elle tente juste de s'ouvrir à vous, en posant une question et ainsi engager une conversation. Parler, discuter, c'est son moyen de savoir, de comprendre. Elle est à la recherche d'une preuve de votre amour et de votre fidélité. Plutôt que d'essayer d'éviter cette situation, pensez plutôt à la regarder. Oui ! À la regarder vraiment. Dites-lui qu'elle est la plus belle femme que vous n'avez jamais vue. Donnez-lui l'assurance qu'elle cherche, et la paix pour calmer son esprit troublé.
6. Négliger les petites attentions Savoir être désolé Votre femme ne désire pas forcément des bijoux ou un repas très coûteux. Certes, parfois c'est la cerise sur le gâteau surtout si vous aimez la couvrir de cadeaux. Cependant, c'est loin d'être toujours indispensable !
En effet, elle se sentira bien plus aimée grâce aux petits gestes qui montrent votre amour et votre attention au quotidien. Lorsque vous négligez ces petites attentions, elle pourrait croire que vous essayez d'acheter son affection - ou soulager votre propre culpabilité - avec des choses coûteuses.
À la place, faites-lui comprendre que vous pensez à elle pendant la journée. Une simple rose quand vous rentrez à la maison en dit long sur votre amour. Appelez-la ou envoyez-lui un texto au cours de la journée pour lui faire savoir que vous pensez à elle. Proposez-lui votre aide pour le dîner, ou la vaisselle. Ce sont des petits dons de votre temps qui signifient beaucoup pour votre femme.
Pour votre femme, les jours les plus importants de l'année sont très souvent son anniversaire et votre anniversaire de mariage. Célébrez ensemble ces jours en passant du temps juste tous les deux. Cela signifiera bien plus que tout autre cadeau coûteux. Le coût est secondaire. L'important est l'intention que vous mettez dedans. Elle veut se sentir spéciale et importante pour vous. La façon de l'aider à se sentir aimée est de passer du temps seul avec elle. Même si vous vous asseyez à la maison pour regarder un film, donnez-lui toute votre attention.
7. Oublier que le sexe est avant tout un plaisir partagé Ne pas prendre soin d'une relation intime Lorsque vous confondez sexe et intimité, c'est n'est pas très agréable. Lorsque vous vous concentrez uniquement sur votre propre orgasme, ce n'est pas très agréable. Lorsque vous montrez seulement de l'intérêt à votre femme quand vous avez envie d'elle, ce n'est pas très agréable. Lorsque vous dévalorisez vos relations intimes avec des blagues grossières et salasses, ce n'est pas très agréable. Lorsque vous vous attendez à ce qu'elle soit excitée instantanément, ce n'est pas très agréable non plus. Enfin lorsque vous négligez les besoins sexuels de votre femme, ce n'est pas très agréable.
Quand vous êtes marié, le sexe est censé être plaisant.
L'intimité est conçue pour vous rapprocher, le sexe doit cimenter votre couple. Pour illustrer ce propos, imaginez votre femme comme une mijoteuse. Vous, vous êtes un micro-ondes. Mettez un repas dans un micro-ondes, et vous mangerez dans 3 min. Par contre, un repas cuisant dans la mijoteuse prend beaucoup plus de temps. Vous devez mettre les ingrédients appropriés ensemble, puis faire cuire, et attendre. Et seulement après six ou huit heures, vous pourrez vous régaler.
Votre femme a besoin d'autant d'attention et de considération. Commencez le matin avec un baiser. Dites-lui qu'elle est belle. Une femme ne se lasse jamais d'entendre cette phrase de l'homme qu'elle aime. Aidez les enfants à être prêts pour l'école. Après le travail, posez-lui des questions pour savoir comment s'est passée sa journée.
Prendre le temps, voilà le maître mot ! Si vous voulez mêler plaisir et sexe, pensez à la mijoteuse, et non au micro-ondes ! Vous pouvez faire le micro-ondes, mais uniquement sous la douche ;-)
8. Se renfermer dans l'amertume et la colère Lorsque vous vous enfermez dans votre désespoir, à ruminer, votre femme commence à avoir peur. Les femmes aiment parler des choses. Les hommes ont tendance à se renfermer. Lorsque vous vous sentez stressé par le travail, l'argent, votre relation, vous vous renfermez sur vous-même. Cela provoque la peur d'être abandonné ainsi que le rejet chez votre femme.
Lorsque vous refusez de parler avec elle, elle va penser que vous ne l'aimez plus. Cette peur, et son désir de résoudre les conflits, va pousser votre femme à vous harceler de questions. Elle veut en parler avec vous, non pas pour vous dénigrer ou vous rabaisser mais juste pour se sentir plus proche de vous. Elle veut que vous lui fassiez confiance. Si vous restez loin d'elle pour éviter de discuter de ce qui vous tracasse, elle sait que quelque chose ne va pas, et elle va commencer à supposer qu'elle est le problème...
Mais vous avez le pouvoir d'éviter la catastrophe qui se profile. Comment ? En vous ouvrant à votre femme. Elle vous aime. Vous pouvez lui faire confiance. Partagez ce que vous avez sur le coeur avec elle, et elle vous ouvrira aussi son cœur.
9. Ne pas savoir prendre ses responsabilités Ne pas savoir prendre ses responsabilités quand on fait une erreur Que l'on parle d'une addiction, d'un adultère ou d'une erreur professionnelle, souvent les hommes remettent la faute sur leur femme. "Je bois parce qu'elle est hystérique. Je l'ai trompée parce qu'elle ne savait pas prendre soin de moi. Je n'avance pas dans mon travail parce qu'elle ne m'encourage jamais."
Stop ! Il est temps de prendre la responsabilité de votre comportement. Sachez être responsable de vos actions. C'est vous qui choisissez de boire. C'est vous qui avez choisi de la tromper. C'est vous qui choisissez de travailler ou de ne pas travailler assez pour gravir les échelons. Vous faites consciemment toutes ces choses, personne ne vous a forcé. Plutôt que de blâmer quelqu'un ou quelque chose, assumez !
Soyez le reflet des valeurs que vous défendez. Votre vie est entièrement sous votre contrôle. Aujourd'hui, vous pouvez choisir de vivre différemment. Vous pouvez vous créer exactement la vie que vous voulez. En outre, si votre femme est vraiment la racine de tous vos problèmes, alors prenez le contrôle et ayez le courage de lui dire la vérité. Elle ne pourra pas jamais changer si vous ne lui expliquez pas le problème en question.
10. Choisir une femme qui n'est pas faite pour soi Une femme tourmentée, qui passe d'une mauvaise relation à une autre, continuera à souffrir même après votre mariage. Une femme tatillonne qui critique toutes vos décisions continuera à chercher la petite bête. Une femme qui veut toujours tout contrôler fera de même après le mariage. La chose à retenir est simple : si cette femme n'est pas faite pour vous avant le mariage, cela ne changera pas après le mariage, elle conservera ses défauts. Sachez-le !
Si vous voulez une femme gentille, sortez avec une femme gentille et épousez-la. Traitez-la avec amour et respect, et elle saura vous le rendre. Tenter de sauver une femme qui souffre ne vous conduira qu'à vous sentir utilisé et pas apprécié à votre juste valeur.
Un mariage solide commence par de la bonne volonté des deux côtés, aussi bien chez l'homme que chez la femme. Un mariage fleurit lorsque vous grandissez ensemble dans l'amour et le respect l'un envers l'autre.
Choisir la femme qui n'est pas faite pour vous est la meilleure façon d'aboutir à un échec à chaque fois. Vous pouvez bien sûr aimer le sentiment d'être un chevalier servant pour sauver une demoiselle désespérée. Mais la réalité est que ce mariage avec elle sera beaucoup plus difficile et beaucoup moins romanesque que ce que vous ne pensez.
Le mariage est un travail à temps plein, aussi bien pour le mari que pour la femme. Lorsque les deux ont la volonté de faire de ce mariage une bonne expérience, alors il a une chance bien plus grande de réussir. Travaillez sur vous-même
Même si cette liste peut sembler intimidante, il est important de se rappeler que le but principal du mariage est d'être en paix et heureux. Si la vie vous parait stressante, travaillez pour changer votre perception. N'oubliez pas que vous seul avez le pouvoir de percevoir la paix là où il y a du stress.
Ne vous découragez pas car il suffit de changer cette unique perception pour avoir une vie paisible. Si vous vous sentez malheureux, cherchez une chose qui vous comblera dans la vie et soyez heureux. La façon la plus simple pour y parvenir est juste d'être soi-même. N'oubliez jamais : la seule personne que vous pouvez changer, c'est vous-même !
Été : 10 destinations fraîcheur pour fuir la canicule
L'Alaska, aux Etats-unis La majeure partie de la population de cet Etat des Etats-Unis vit dans deux villes : Anchorage et Juneau, la capitale.
Le reste du territoire n’est que forêts, réserves naturelles, montagnes et fjords. On estime à plusieurs millions le nombre de lacs éparpillés en Alaska !
Un vaste terrain de jeu pour explorateurs et passionnés de nature sauvage, qui ont à cœur de passer l’été au frais. Les températures excèdent rarement les 14 degrés en juillet/août, mais plongent allègrement sous les -10°C en hiver.
L'Irlande L’été, en Irlande, les températures varient de 10 à 20°C. À ne pas manquer, le célèbre itinéraire de la "Wild Atlantic Way" : d’une longueur d’environ2 500 kilomètres, il permet de parcourir la côte Atlantique irlandaise du nord au sud. Bol d’air frais garanti.
La Patagonie Fallait-il une raison de plus de visiter la Patagonie ?
Cet immense territoire qui s’étend sur la pointe méridionale de l’Amérique du Sud, à cheval sur le Chili et l'Argentine, est l’une des destinations les plus belles du monde. Le relief des Andes rivalise en majesté avec les vastes glaciers,et au large d’Ushuaia et de la Terre de Feu, l’Antarctique se profile…
Avant de visiter les lieux, n’oubliez pas d’emporter de bons vêtements chauds : en juillet et en août, les températures peuvent descendre sous les 0°C.
L'Islande En Islande, aux portes de l’Arctique, l'été ouvre le pays aux visiteurs.
Le thermomètre affiche en moyenne 11°C, l’ensoleillement est optimal et les routes fermées en hiver en raison des conditions météorologiques extrêmes sont à nouveau praticables.
San Francisco, aux Etats-Unis Il n’est pas nécessaire de mettre le cap sur des destinations « grands espaces » ou « nature » pour capter un peu de fraîcheur au cours de l’été.
La preuve avec San Francisco, sur la côte Ouest des Etats-Unis, où les températures oscillent entre 15 et 17°C en juillet et en août, avec des maximales pouvant atteindre les 24°C. En raison de sa situation géographique et des courants d’eau froids et chauds qui se rencontrent non loin de la zone littorale, la ville de San Francisco est régulièrement recouverte de brume au cours de l’été.
C’est ce qui explique en partie des températures basses, tandis qu’ailleurs en Californie, l’été peut être particulièrement caniculaire.
L'Ecosse D’Edimbourg à l’île de Skye, en passant par les sublimes paysages des Highlands, l’Ecosse fait partie des destinations fraîcheur à découvrir en été.
Les températures, agréables sans être étouffantes, avoisinent les 20°C, et le soleil se fait plus généreux que le reste de l’année.
La Nouvelle-Zélande Pourquoi ne pas profiter de l’inversement des saisons entre les hémisphères ? En juillet et en août, c’est l’été en France mais…l’hiver en Nouvelle-Zélande !
Pulls et manteaux sont alors de rigueur pour visiter ce grand archipel situé au sud-est de l’Australie. Pour pousser l’exotisme hivernal jusqu’au bout, recherchez la neige. On la trouve en abondance dans les régions montagneuses néo-zélandaises, où les amateurs de glisse et de randonnées profitent d’un climat comparable à celui des Alpes.
Zermatt, en Suisse Pour fuir les grandes chaleurs de l’été, rien de tel que de prendre de la hauteur. À Zermatt par exemple.
Cette région montagneuse, située dans le canton du Valais en Suisse, s’étend au pied du Cervin, qui culmine à 4 478 mètres d’altitude. Station de ski très réputée en hiver, Zermatt offre un autre visage l’été, tandis que les alpages reprennent leurs droits.
Melbourne, en Australie Sable chaud, soleil de plomb, baignades à n’en plus finir… Oui, l’Australie permet le rêve balnéaire. Mais à Melbourne, mieux vaut rester couvert en juillet et en août, lorsque l’hiver fait tomber les moyennes de saison en dessous des 10°C.
La Géorgie du Sud Destination rare, réservée à une poignée de touristes privilégiés, la Géorgie du Sud est un territoire britannique qui se trouve au large de l’Argentine,dans le sud de l’océan Atlantique, près de la zone Antarctique.
En été,ce n'est pas la fraîcheur qui est au rendez-vous mais le froid. Les températures dépassent timidement la barre des 0°C, et le soleil ne darde ses rayons que d’une à deux heures par jour.
Christophe Lemaitre a remporté la médaille de bronze du 200 m,jeudi 18 août aux Jeux olympiques de Rio, une épreuve enlevée pour la troisième fois consécutive aux JO par le Jamaïcain Usain Bolt. Sur une piste humide, le Français de 26 ans a signé un chrono de 20''12,contre 19''78 à Bolt et 20''02 au Canadien Andre De Grasse. Il glane ainsi la première médaille olympique de sa carrière. Bolt bien parti pour un "triple triple" Lemaitre, qui a confirmé sa réputation d'homme de championnat, est le premier sprinteur français médaillé olympique d'une épreuve individuelle depuis Abdoulaye Seye en 1960 à Rome (lui aussi médaillé de bronze du 200 m). Il rapporte à la France sa sixième médaille d'athlétisme aux jeux Olympiques de Rio, soit son meilleur total depuis les JO de1948. Pour Usain Bolt, cette victoire est synonyme de doublé 100-200 m. Il remporte ainsi sa 8e médaille d'or olympique, et reste en course pour un incroyable "triple triple", après ses triomphes à Pékin-2008 et Londres-2012 sur 100, 200 et 4x100 m.
Il oublie 150 euros au distributeur... un SDF lui rapporte ses billets !
Ce sont parfois les plus démunis qui se montrent les plus généreux... Bien souvent, ce sont ceux qui en possèdent le moins qui sont les plus généreux…. Et cette belle histoire, qui s’est produite près de Pau, dans le Sud-Ouest, en est bien la preuve !
Avouons-le, il nous est tous arrivé au moins une fois d’aller retirer de l’argent dans un distributeur automatique de billets, au pied duquel se trouvait un SDF. Rongé par la culpabilité, on feint alors d’ignorer celui qui se trouve assis juste à côté, en contemplant fixement l’écran de la machine, prenant garde à ne surtout pas dévier les yeux. On compose le code, et vite, on retire les billets en se retournant sans un regard, avant que l’homme de la rue nous interpelle.
C’est peut-être la pensée qui a traversé l’esprit de Michel, un habitant de Pau, lorsque ce jour-là il a dû retirer une somme de 150€ en argent liquide dans une banque automatique… mais tout ne s’est pas passé comme prévu.
Homme retirant de l'argent à un distributeur de billet, image d'illustration « Monsieur ! Vous avez oublié ça ! »
Lorsque Michel compose son code, la carte ressort instantanément. « Pour moi, l’opération était refusée », raconte ce gestionnaire en ressources humaines de 51 ans.
Il se dirige alors vers le guichet physique de la banque pour effectuer son retrait… C’est là que Jacob, un SDF assis au pied du distributeur, intervient une première fois, expliquant à l’homme que le bureau de banque est fermé à cette heure.
Sans-abri au pied d'un distributeur de billets, image d'illustration Michel quitte alors les lieux, en quête d’un nouveau distributeur. Mais le sans-abri, lui, entend un bruit caractéristique au-dessus de sa tête : les billets sont en train de sortir du distributeur, probablement à cause d'un bug de la machine ! Il se saisit aussitôt la liasse de billets d’une valeur de 150€, et court alors vers Michel en criant : « Monsieur, Monsieur, vous avez oublié ça ! » « Il s'est ensuite rassis par terre sans rien attendre en retour. Moi-même, je ne sais pas si j'aurais réagi comme cela ! »
Une fois la liasse remise à son propriétaire, Jacob retourne se rasseoir. Michel est éberlué par ce réflexe, cette marque d’honnêteté dont bien des personnes, pourtant moins dans le besoin que ce sans-abri, n’auraient sans doute pas été capables.
« Par les temps qui courent, faire preuve d'une telle honnêteté me surprend », a raconté Michel à la République des Pyrénées, qui rapporte ce fait divers. « Moi-même je ne sais pas si j'aurais réagi comme cela. Lui, après m'avoir donné les billets, s'est rassis par terre sans rien attendre de moi ! » Michel et Jacob devant le distributeur de La Poste de Pau à Bosquet-Gambetta. Bien entendu, Michel, très touché, l’a chaleureusement remercié pour sa franchise, et lui a donné un billet de 10 euros pour le remercier. Mais l’histoire ne s’arrête pas là : Les deux hommes discutent, et il fait plus ample connaissance avec ce ressortissant polonais vivant à Pau depuis 4 ans, sans les papiers adéquats.
Pour le remercier, Michel veut désormais aider Jacob à obtenir ses papiers pour qu’il puisse continuer à vivre en France, en interpellant le maire de Pau, François Bayrou, et en contactant diverses associations. En attendant, il passe régulièrement voir le SDF polonais pour s’assurer qu’il va bien et prendre de ses nouvelles…
Mort de Maurice Opinel, président de la célèbre marque de couteaux savoyards.
Le président de la société familiale Opinel, Maurice Opinel, artisan de la modernisation de l’entreprise, est mort mercredi 17 août à l’âge de 88 ans, a annoncé le fabricant savoyard de couteaux.Petit-fils du fondateur, Maurice Opinel présidait le conseil d’administration de l’entreprise depuis septembre 1974. C’est sous sa direction qu’Opinel a construit sa nouvelle usine de Chambéry (Savoie). Il a aussi été très actif pour protéger sa marque par des dépôts de brevets et pour lutter contre la contrefaçon. Marque déposée en 1909Les marques Opinel et La Main Couronnée avaient été déposées dès 1909 par la société. Celle-ci a depuis élargi sa palette au-delà des seuls couteaux de poche pour proposer outils de plein air et couteaux de cuisine. Opinel produit chaque année quelque 4,5 millions de couteaux. Pour suivre le développement de l’activité, l’usine de Chambéry a été agrandie l’an dernier de 1 000 mètres carrés. Opinel y concentre toute sa production, à l’exception de l’assemblage de ses couteaux de cuisine, fait au Portugal. En 2014, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 18,8 millions d’euros, à 45 % à l’export. La société emploie une centaine de personnes. Cent vingt-six ans après sa fondation, son capital est encore entièrement détenu par la famille. La direction générale du groupe était jusqu’ici assurée par Denis Opinel, le fils du défunt.
Cette centenaire dit qu'une pinte de bière par jour est la clef pour avoir une longue vie : elle a 102 ans, elle sait ce qu'elle dit ! Mildred « Millie » Bowers a fêté ses 103 ans, le 31 août dernier. Et pour une chaîne de télévision locale, l’Américaine a livré son « truc » pour vivre aussi longtemps. Son secret de jouvence ne serait autre… qu’une pinte de bière bien fraîche, tous les jours.
En effet, sur ordre de son médecin (!), Millie comme on la surnomme, boit une pinte de bière, à 16h, tous les jours. Et elle pense qu’elle doit sa longévité et sa bonne santé à ce petit rituel qui dure déjà depuis quelques années. « Je trouve que tout le monde devrait boire ce qui lui plaît » a déclaré Millie à la chaîne locale Live 5 News.
Cette habitante de Caroline du Nord s’estime très chanceuse : « J’ai toujours toute ma tête, je n’ai aucun problème de mémoire et je sais que ce n’est pas le cas de tout le monde ».
« Le docteur a dit que c’était pour elle »
Cette « tradition » (de boire une pinte tous les jours) fait suite à une conversation qu’elle a eue avec des infirmières, à qui elle témoignait son amour pour la boisson maltée. Elle a ensuite questionné le médecin qui lui a immédiatement donné son aval.
Aujourd’hui, la dame âgée peut se targuer d’avoir droit à une bière par jour « sur ordre du médecin ». « Le docteur a dit que c'est bien pour elle » a même appuyé son amie Mary Ann Hartman, dans le reportage. Maintenant, si vous lui demandez si tous les séniors devraient adopter cette habitude, elle vous répondra : « Oui, s’ils aiment ça ! ».
Six Gin Tonic pour rester jeune Ce n’est pas la première fois que des dames « âgées » vantent les mérites des boissons alcoolisées. Par exemple, Mabel Jackson, 100 ans, boit six Gin tonic tous les jours pour « rester jeune », avait-elle alors déclaré à la Suffolk Gazette. Pauline Spagnola a témoigné qu’à 101 ans, la santé c’était « surtout beaucoup d’alcool ».
Rappelons que l’alcool est à consommer avec modération. Pour relativiser les choses, Millie souligne que « tout est dans les gènes » et que si elle va aussi bien, c’est parce qu’elle a toujours été en bonne santé. Mais avec tous ces témoignages, nous allons croire que les livres d’Histoire nous ont toujours caché que la fontaine de jouvence n’était rien d’autre qu’une grande piscine remplie… de bière fraîche.
Transformez une simple paire de baskets blanches avec cette astuce de coloration arc-en-ciel.
Si vous possédez une paire de baskets blanches, voici un « DIY » parfait pour leur donner des airs de vacances. À vous suivre dans toutes vos aventures, elles aussi méritent un brin de soleil. Pour les transformer couleur arc-en-ciel et suivre la tendance du « Tie & Dye », rien de plus simple.
Voici tous nos conseils et explications détaillés pour réaliser des chaussures arc-en-ciel très jolies (merci à Sarah Lynn Tea pour sa vidéo détaillée –en anglais- que vous retrouverez à la fin de l’article) :
Matériels : - Une paire de baskets blanches (forcément…) - Du papier journal - Du papier essuie-tout - Du scotch de protection - Des marqueurs textiles permanents (sur la vidéo, sont utilisés ceux de la gamme Sharpie) - De l’alcool isopropylique - Une pipette ou un pinceau (selon les motifs désirés)
Réalisation :Étape 1
Protégez votre plan de travail avec du papier journal. Délacez vos chaussures et bourrez de papier journal afin de ne pas tacher l’intérieur. Petite astuce pour éviter de devoir nettoyer la gomme blanche des chaussures : appliquez du scotch de protection dessus. Étape 2
Munissez-vous de vos marqueurs textiles et laissez votre inspiration guider vos mains ! Pour réaliser l’arc-en-ciel, commencez par colorier la basket avec le stylo jaune en faisant une forme ovale. Continuez avec la couleur orange en englobant la forme jaune, et ainsi de suite… Le tout est de teinter progressivement la chaussure en dégradé. Vous n’êtes pas obligé de coller ni de colorier parfaitement les bandes de couleur ! Elles vont se superposer et s’homogénéiser lors de l’ajout du solvant. Étape 3
La moitié des chaussures est maintenant recouverte d’un bel arc-en-ciel. C’est le moment de passer aux choses sérieuses et d’utiliser l’alcool pour dissoudre une partie de la peinture des marqueurs. C’est très simple, mais faites attention quand vous manipulez le solvant ! À l’aide de la pipette, déposez quelques gouttes sur les couleurs. Instantanément, vous allez voir les pigments de couleur se disperser harmonieusement sur le textile de la chaussure, un peu comme de l’aquarelle.
Étape 4 Si vous trouvez qu’une couleur n’est pas assez présente, par exemple le jaune. Vous pouvez revenir recolorer la partie trop effacée avec le marqueur.
Au contraire, si vous trouvez qu’une couleur foncée est trop présente, mettez une goutte d’alcool et venez éponger le surplus de couleur avec du papier essuie-tout.
Étape 5
Pour la suite, suivant le même principe que précédemment, colorez les chaussures avec vos marqueurs. Cette fois-ci, le coloriage ressemblera plus à du gribouillage, de sorte à créer un dégradé plus léger et homogène sur les baskets.Maintenez vos chaussures à la verticale et faites couler l’alcool sur la couleur. Le mélange va se réaliser de manière cohérente sur l’ensemble de la basket.
Étape 6
Vos baskets arborent un joli arc-en-ciel. Si celui-ci ne vous convient pas, vous pouvez rectifier les formes et les couleurs ! Une goutte d’alcool permet de dissoudre la couleur et de créer des formes rondes. Vous pouvez donc recommencer l’opération jusqu’à satisfaction. N’hésitez pas à ajuster les motifs en tordant du papier essuie-tout que vous viendrez presser sur le basket juste après le dépôt d’une larme de solvant.
Elles sont partout ! Dans nos jardins, sur nos balcons, dans nos bois et forêts, au détour d'une allée, elles attendent que vous succombiez au fruit défendu et que vous les mangiez. Ce sont des tueuses de l'ombre, cachées sous de beaux oripeaux. On en compte plusieurs dizaines rien qu'en France. Voici les dix des plus dangereuses...
La belladone Pendant le Moyen-Age, cette plante était fréquemment utilisée lors des rituels de magie noire, ce qui, au fond, en dit assez sur ses propriétés mortelles. On y retrouve carrément de l'atropine et diverses substances très dangereuses. L'absorption de 10 à 15 baies suffit à terrasser n'importe qui. Néanmoins, cette plante est utilisée dans la confection de traitements contre la douleur ou la toux. Auto-médication vivement déconseillée. Crédits photo (creative commons) : Jeantosti
Le chèvrefeuille Souvent utilisé pour dessiner des barrières végétales dans les jardins, appréciée pour ses jolies fleurs, le chèvrefeuille est aussi toxique. N'importe laquelle de ses parties peut provoquer des vomissements, des diarrhées, des sueurs, de la tachycardie et, dans des cas extrêmes, un coma qui peut précéder la mort pure et simple. Crédits photo (creative commons) : Dinkum Le laurier-rose On trouve des lauriers-roses partout sur le pourtour méditerranéen et plus généralement dans la moitié sud de la France. Une belle plante qui cache bien ses propriétés mortelles. En effet, l'ingestion d'un simple feuille pour provoquer des troubles cardiaques fatals chez l'enfant et l'adulte. On rapporte que des soldats de Napoléon furent mortellement intoxiqués pendant la campagne d'Espagne après avoir fait griller de la viande sur des branches de laurier. Crédits photo (creative commons) : Jean Tosti
Le muguet Une fleur que l'on offre partout aux alentours du 1er mai, qui devrait être livrée avec une notice explicative, tant son ingestion (en particulier celle des fleurs) peut mener directement à l'hôpital, voire plus loin... Le simple fait de boire l'eau dans laquelle le muguet a reposé peut s'avérer dangereux. C'est l'une des plus toxiques de France. Pour les hommes et les animaux. Crédits photo (creative commons) : Michel / claquin.com
Le ricin Les graines de cette plante renferment des protéines, des lipides et de la ricine. Un mot qui doit résonner chez ceux qui ont vibré devant les mésaventures de Walter White dans Breaking Bad, qui utilise la ricine pour essayer d'éliminer ses ennemis. Et bien tout ce qu'affirme la série au sujet de ces graines est vrai. N'y touchez pas ! Crédits photo (creative commons) : Peter Forster
Le gui La coutume veut qu'au moment des fêtes de fin d'année, on s'embrasse sous le gui. En réalité, ce geste peut s'avérer particulièrement inconscient si plus de 5 baies venaient à tomber dans la bouche des amoureux au moment fatidique, provoquant ainsi de sérieux troubles digestifs et même, dans certains cas, de graves accidents cardiaques. Crédits photo (creative commons) : Nova La grande ciguë Ce serait elle qui aurait causé la mort de Socrate. On la confond parfois avec le persil. Son odeur, relativement désagréable permettant néanmoins de se prémunir contre ses effets. Une plante qui peut causer une mort certaine après avoir provoqué des maux de tête, des vertiges, une paralysie et des convulsions.
Le buis On peut donner au buis toutes les formes que l'on veut. Esthétique, distingué, il n'attend en réalité que le bon moment pour vous causer, grâce à sa sève, des vomissements, vertiges, tremblements et paralysies spinales. Et vu qu'il peut vivre sans problème plusieurs siècles, autant dire qu'il faut s'en méfier. Crédits photo (creative commons) : Matthieu Sontag
Le colchique On utilise le colchique pour traiter les crises aiguës de goutte. Cela dit, par voie générale, cette plante est surtout connue pour provoquer divers troubles, cardiaques et nerveux, sans parler d'une salivation extrême. Au bout de10 jours, sans traitement, c'est la fin du chemin...
La Camargue, entre sel et ciel Piémanson, la fin d'une époque Du mistral fouettant les plages sauvages de Camargue au pèlerinage des Saintes-Maries-de-la-Mer, nos photographes ont survolé pendant un mois le delta du Rhône avec leurs drones. A l'image, les pêcheurs viennent toujours taquiner le goujon sur la plage de Piémanson, désormais interdite au camping sauvage.
Beauduc, l'un des plus beaux spots de kite La plage de Beauduc, jadis courue par le photographe Lucien Clergue, est aujourd’hui l’un des grands spots européens de kitesurf. C’est dans les environs que le rider français Alexandre Caizergues a établi le record du monde de vitesse en kite surf : 104,86 km/h
Pèlerinage aux Saintes-Maries-de-la-Mer Chaque fin mai, les pèlerins gitans, roms et manouches s’installent pour une dizaine de jours aux Saintes-Maries-de-la-Mer afin de vénérer Sara la noire, leur sainte.
Eleveurs depuis quatre générations Au mas de la Chassagne, la famille Jalabert élève taureaux de corrida et chevaux camarguais.
Des chevaux du pure race Camargue L’éleveur Marc Jalabert surveille ses chevaux camarguais en bordure de l’étang du Vaccarès.
Salin de Giraud, l'empire du selPhoto A Salin de Giraud, ces bassins de décantation servent à produire du sel marin employé majoritairement pour le déneigement.
Le "riz de Camargue", une indication géographique protégée Vue aérienne des rizières de Camargue.
Le domaine de la Tour du Valat, une Réserve Naturelle Régionale Des taureaux sur le domaine de la Tour du Valat, haut lieu camarguais de la recherche scientifique sur la conservation des zones humides méditerranéennes.
La course camarguaise, un jeu sportif sans mise à mort Au Sambuc, sur la manade Plo, un guardian parque des taureaux destinés à une course camarguaise organisée aux arènes du Grau-du-Roi.
Le paradis des cavaliers Cavaliers sur une plage de Camargue.
Piémanson, rattrapée par la loi Cet ancien camion de pompier, garé à l’entrée de la plage de Piémanson, retournée elle aussi à l’état sauvage, sert désormais de camping-car à une famille de touristes allemands.
Sara la noire, vénérée des gitans Chaque 24 mai, la foule assiste à l’immersion rituelle de la statue de Sara la noire. Le jour suivant est dédié aux saintes Marie Jacobé et Marie Salomé. Les racines du pèlerinage sont médiévales, mais cette mise en scène associant les gitans date de 1935.
RENDONS HOMMAGE À JOSEPH OPINEL L'Opinel, le couteau savoyard
En 1890, Joseph Opinel, taillandier à Albiez-le-Vieux près de Saint-Jean-de- Maurienne, fabrique les premiers modèles du couteau Opinel en douze tailles.
Chiffres-clés45 % du chiffre d'affaires se fait à l'étranger. 210 millions d'exemplaires d'Opinel ont été vendus dans le monde. Production annuelle : entre 2,5 et 3 millions de couteaux.
La main couronnée d'Opinel, dite main bénissante de saint Jean-Baptiste, figure sur les armoiries de Saint-Jean-de-Maurienne. La couronne placée au-dessus rappelle que la Savoie était autrefois un duché.
Un secret bien gardé Impossible de pénétrer dans les ateliers Opinel et encore moins d'y prendre des photos. Les secrets de fabrication du couteau, comme le façonnage du manche (en quinze secondes !), sont bien gardés. On peut comprendre aisément cette discrétion quand on sait que, comme de nombreuses marques, celle à la main couronnée est l'objet de contrefaçons. «Cela vient de partout dans le monde, mais nous gagnons tous nos procès car nous avons déposé notre marque et nos brevets dans de très nombreux pays ce qui nous coûte très cher, mais qui nous offre une protection efficace », explique une responsable du service marketing.
Conçu en Maurienne et fabriqué en Savoie à Chambéry, l'Opinel est un couteau à part, un mythe célébré dans le monde entier. Le best-seller de la coutellerie française continue son chemin en essayant toutefois de varier ses formes et nos plaisirs.
Rares sont les tiroirs de cuisine à n'avoir jamais abrité cette lame, outil essentiel de notre patrimoine. L'Opinel sert à tout. Il cueille les champignons ou les pissenlits, il taille les arcs et les flèches en noisetier des petits, il coupe la viande et dénude les fils électriques. Il a été utilisé par des millions d'anonymes, mais également par des mains plus connues. Ellen MacArthur, navigatrice et double vainqueur de la Route du rhum avoue s'en servir pour éliminer les cales qui se forment sur les paumes de ses mains. Toujours chez les marins, Alain Colas sauva sa peau en libérant sa jambe d'un lien avec un Opinel et Tabarly était un inconditionnel. Jean-Louis Étienne part en direction du Pôle en 1986 et n'oublie pas son couteau, Picasso s'en servait pour sculpter de petites pierres... Bref, ce couteau continue à marquer son temps et le règne de la main couronnée n'est pas près de s'achever.
Tout commence en 1890. Joseph Opinel, fils et petit-fils d'une famille de taillandiers d'Albiez-le- Vieux en Maurienne, met au point un couteau fermant qu'il baptise de son nom. La chose ne plaît guère à ses parents qui voient là une lubie de jeunesse. Mais le jeune homme persévère. En 1909, il dépose sa première marque, étape obligatoire depuis 1565, date à laquelle Charles IX, roi de France, ordonna que chaque maître coutelier appose son emblème sur ses produits afin d'en garantir l'origine et la qualité. Joseph Opinel opte pour la main couronnée, aujourd'hui connue sur les cinq continents. Les choses s'accélèrent, et en 1911, Joseph Opinel repart de l'exposition alpine de Turin avec la médaille d'or. Les colporteurs et commerçants régionaux avaient déjà fait connaître son produit phare, vendu en Suisse et en Italie et décliné en douze modèles, numérotés de 1 à 12. Les numéros 1 et 11 ont, par la suite été supprimés, le premier étant trop petit et le second trop proche, par sa taille, du numéro 12. Il s'agit aujourd'hui de pièces rarissimes, très prisées des collectionneurs.
En 1920, Joseph délocalise son entreprise aux portes de Chambéry, à Cognin, là où, aujourd'hui encore, les lames sont fabriquées. Vingt ans plus tard, 20 millions de couteaux ont déjà été vendus ! La société est prospère et continue son expansion. 1955 est une date clé : cette année-là, Opinel dépose le brevet Virobloc. Il s'agit de la bague de sécurité tournante, la virole, conçue pour bloquer la lame en position ouverte, garantissant ainsi une sécurité totale d'utilisation. Le système sera perfectionné en 2000 pour permettre le blocage de la lame en position fermée. L'Opinel a pris la forme qu'on lui connaît, il ne sera pratiquement pas modifié et les techniques de fabrication, si elles ont su s'adapter aux progrès technologiques, sont demeurées identiques à celles des premiers jours.
La lame est fabriquée en quatre étapes : on la découpe grâce à une presse de 120 tonnes, puis elle subit un traitement thermique (qui diffère s'il s'agit d'une lame « carbone », résistante, tranchante et facile à aiguiser, ou inoxydable et contenant du chrome). Elle est ensuite meulée et enfin polie, de différentes façons (standard, satiné ou poli-glace) en fonction des commandes et de la gamme à laquelle elle est dédiée. Le manche, lui, est fabriqué en deux temps: les fournisseurs en bois livrent des carrelets (parallélépipèdes en chêne, noyer, hêtre, olivier, buis...) à l'usine, qui vont être façonnés automatiquement. Puis il est verni, afin de résister à l'humidité, et marqué. Dernière étape : la lame et le manche vont être réunis, c'est ici que la bague de sécurité est installée, manuellement.
Petit à petit, Opinel a su s'adapter à la demande des consommateurs, et de nouvelles gammes ont vu le jour : à bout arrondi pour les enfants, couteaux de cuisine ou ustensiles de jardin, haut de gamme avec de manches en ronce de noyer... Mais il est difficile de toucher à un mythe sans le dénaturer, et le bureau d'études d'Opinel se doit d'être prudent. La marque de Chambéry annonce cependant, sans vendre la mèche... une belle surprise pour les consommateurs pour la fin de l'année 2006.
Voilà qui devrait assurer de belles heures à un couteau qui s'est vend à plus de 210 millions d'exemplaires dans le monde. L'histoire Opinel Opinel vous raconte le fabuleux destin d'un petit couteau savoyard inventé par Joseph Opinel en 1890, devenu objet de notre quotidien, aujourd'hui élevé au rang d'icône du design mondial. Une saga familiale au coeur des Alpes, en Savoie.... Pour en savoir plus, nous vous invitons à visiter le Musée Opinel situé à Saint-Jean-de-Maurienne.
1800 Forgerons de père en filsVictor-Amédée Opinel, colporteur, apprend à forger des clous lors de ses tournées. Il installe son premier atelier de forge à Gevoudaz, hameau d'Albiez-le-Vieux, près de Saint-Jean-de-Maurienne. Son fils Daniel travaille ensuite à ses côtés et reprend l'atelier au décès de son père. Il deviendra un taillandier renommé très apprécié des paysans qui venaient de loin pour lui acheter serpes ou faucilles... *taillandier : fabricant d'outils qui ont un tranchant 1872 Naissance de Joseph OpinelJoseph Opinel est le fils aîné de Daniel Opinel. Il naît en 1872 à Gevoudaz, hameau d'Albiez-le-Vieux. Joseph a deux frères, Jean (1877-1943) et Albert (1885-1905), et trois soeurs, Marie (1875-1968), Alphonsine (1879-1959) et Sylvie (1881-1886). 1890 Atelier familialEn 1890 Joseph Opinel a 18 ans et travaille dans l'atelier de taillanderie familial. Il est passionné par les nouvelles machines et techniques, ainsi il monte lui même son appareil photo et devient rapidement le photographe des mariages et évènements de son pays. Sa passion des machines et des process de fabrication vont lui donner envie d'inventer un objet qu'il veut pouvoir fabriquer avec les techniques modernes. Contre l'avis de son père, qui aimait le travail artisanal et se méfiait des machines, il passe ainsi son temps libre à peaufiner la forme et la fabrication d'un petit couteau de poche : l'Opinel est né ! 1897 Série N°1 à N°12Joseph Opinel a l'idée de décliner son couteau en différents formats qui pourront convenir aux mains grandes ou petites et être dédiés à différents usages. Ainsi en 1897, il met au point 12 tailles numérotées de 1 à 12. Le plus petit couteau, le N°1, était doté d'un anneau pour pouvoir être accroché à la chaîne de montre de gousset. Sa fabrication et celle du N°11 ont été arrêtées vers 1935. Aujourd'hui le plus petit Opinel, le N°2, présente une lame de 3.5 cm, et le N°12, une lame de 12 cm. Dans les années 70, un couteau géant avait été fabriqué en petite quantité comme objet publicitaire pour les vitrines des commerçants.... qui ont très vite demandé à l'entreprise de les fabriquer en grande série pour les vendre aux particuliers ! Le géant N°13 est doté d'une lame de 22 cm et mesure 50 cm ouvert ! 1901 L'usine du pont de GevoudazLe succès commercial ne se dément pas, Joseph doit fabriquer plus de quantités.Il quitte la forge de son père et construit son usine au pont de Gevoudaz, près de l'atelier familial. Dans ce nouveau bâtiment, il souhaite rationnaliser la production et met au point des machines pour fabriquer les manches plus rapidement. Grâce à sa turbine hydraulique, il est le premier habitant de la commune à avoir l'électricité ! Après avoir installé un réseau dans son atelier et sa maison, il décide d'éclairer de quelques ampoules le sentier qu'il emprunte pour aller à l'usine. Une grand-mère du village, épatée par son installation, lui demandera comment il a pu "faire passer du pétrole dans les fils"... 1909 La Main CouronnéeEn 1565 le roi de France Charles IX ordonne que chaque maître coutelier appose un emblème sur ses fabrications pour en garantir l’origine et la qualité. En 1909, respectant cette tradition, Joseph Opinel choisit pour emblème La Main Couronnée. La main bénissante est celle de Saint Jean-Baptiste figurant sur les armoiries de Saint-Jean-de-Maurienne, la ville la plus proche d’Albiez-le-Vieux, berceau de la famille Opinel. Joseph Opinel ajoute une couronne pour rappeler que la Savoie était un duché. Depuis, toutes les lames des couteaux et outils Opinel sont poinçonnées de La Main Couronnée. 1911 L'exposition internationale alpine de TurinEn 1911 Joseph Opinel participe à Turin à l'Exposition Internationale Alpine. Pour l'occasion il fait fabriquer une magnifique vitrine avec un cadre en bois ouvragé dans laquelle il présente son fameux couteau de poche décliné en douze tailles mais également les couteaux de cuisine, de table, les rasoirs, les ciseaux, les sondes à fromage, les serpettes, les tire-bouchons qui sont venus étoffer rapidement la collection... Séduit, le jury lui remet la médaille d'or ! La vitrine de 1911 est exposée au sein de l'entreprise Opinel, le diplôme est conservé précieusement dans nos archives... 1915 Le grand déménagement !Joseph devine qu'il ne pourra jamais développer son entreprise si il reste dans son hameau perdu. En pleine guerre, il décide de sillonner la région pour trouver l'endroit idéal, et c'est dans les faubourgs de Chambéry, à Cognin, qu'il trouvera à acheter une ancienne tannerie avec sa chute d'eau sur le canal de l'Hyères. Les locaux sont vétustes mais à proximité de la gare de Chambéry, être au coeur d'un réseau ferré et routier important est un atout non négligeable. Le déménagement de Gevoudaz à Saint-Jean-de-Maurienne se fait à dos de mulets et de boeufs, puis par train jusqu'à Chambéry...Quelques mois sont nécessaires pour rénover les locaux et à partir de 1917, Joseph, épaulé par ses deux fils, Marcel et Léon, débute le développement industriel et commercial d'Opinel. 1926 L' incendieLes copeaux produits par le façonnage des manches ont toujours été brûlés pour chauffer les ateliers. Aujourd'hui encore pour chauffer l'usine, les copeaux sont brûlés dans une chaudière mixte qui permet d’économiser environ 200 000 litres de fuel par an. En janvier 1926 un poêle mal éteint provoque un incendie qui détruit l'ensemble du bâtiment. La famille Opinel fait face à cette catastrophe et décide de reconstruire au même endroit de nouveaux locaux modernes et adaptés à leur production. 1927 La nouvelle usineEn quelques mois une usine moderne est construite et inaugurée en 1927, le jour du baptême de Maurice, le premier enfant de Marcel. Aujourd'hui cette usine est fermée. En 2013, l'atelier viroles, le dernier atelier encore en activité a été déplacé sur le site de Chambéry. 1950 Maurice OpinelEn 1950, le fils de Marcel entre à son tour dans l'entreprise. Il a 23 ans et consacre ses premières années à seconder son oncle Léon qui était en charge du commercial et de l'administratif. Marcel, amoureux fou des machines à l'instar de son père, était en charge des ateliers et de la production. A cette époque l'entreprise comptait une cinquantaine de salariés. Aujourd'hui Maurice Opinel est le président de la société. 1955 Invention du ViroblocÀ l’origine quatre composants forment le couteau Opinel, la lame, la virole fixe, le rivet et le manche. La virole fixe est nécessaire pour pouvoir riveter solidement la lame au manche. En 1955, soucieux d’améliorer la sécurité d’utilisation du couteau, Marcel Opinel invente le système Virobloc®. Il ajoute une virole tournante qui en coulissant sur la virole fixe peut fermer la fente et ainsi bloquer la lame dépliée. L’idée est simple mais sa réalisation est complexe. Dans les années 90 le système Virobloc® est modifié pour permettre de bloquer la lame en position fermée. Réservé dans un premier temps à quelques références, il est généralisé sur tous les modèles en 2000. 1960 Décès de Joseph OpinelLe 29 janvier est une date maudite pour la famille Opinel. C'est ce jour-là en 1926 que l'incendie ravage la première usine de Cognin. Ce jour-là aussi qu'en 1960 Joseph Opinel décède à 88 ans après une vie consacrée à son entreprise. Et trente ans jour pour jour après son père, c'est le 29 janvier 1990 que décèdera Marcel Opinel. 1973 Le nouveau site de ChambéryLes trente glorieuses accélèrent la demande et au début des années 70, l’usine est à l’étroit dans la rue principale de la petite ville de Cognin, aux portes de Chambéry. Il est alors décidé de construire un nouveau site de production plus spacieux et moderne à quelques kilomètres, dans une zone industrielle chambérienne, au lieu-dit La Revériaz. Dans un premier temps dédié à l’activité bois et au montage-conditionnement, il est depuis 2003 le site principal et le siège de l’entreprise. 1985 L'Opinel, icône du designObjet populaire et du quotidien, l'Opinel est un objet dont l'esthétique et la fonctionnalité ont su convaincre des générations d'utilisateurs. Inchangé depuis plus d'un siècle, son design est l'un des plus aboutis de tous les temps. Et c'est à ce titre, qu'en 1985 l’Opinel est consacré au « Victoria and Albert Museum » parmi les cent objets les mieux dessinés du monde à côté de la Porsche 911 et de la montre Rolex. 1989 Opinel entre dans le dictionnaireOpinel fait partie du patrimoine culturel français, il est cité dans de multiples ouvrages. En 1989 il est référencé dans le dictionnaire Larousse, au même titre que les marques Bic, Frigidaire ou Solex, en tant que nom déposé et avec la définition actuelle suivante : Couteau fermant à manche en bois portant une saignée dans laquelle vient se loger la lame en position de fermeture. 1998 La saga familiale se poursuitEn 1998, Maurice Opinel confie la direction générale de l'entreprise à son fils aîné Denis, entré dans l'entreprise en 1973. 2003 Construction du nouveau siège socialPour faciliter les flux de production et la vie de l'entreprise, il est décidé de concentrer peu à peu toutes les activités sur un seul site. Ainsi en 2003 le siège social est déplacé de Cognin à la Revériaz. Un nouveau bâtiment est construit dans le prolongement des ateliers. Au 508 boulevard Henry Bordeaux à Chambéry, l'ensemble des bâtiments représente désormais une surface d'environ 5000 m2. 2006 Nouvelle consécration !Dans le « Phaidon Design Classics », magnique ouvrage composé de 3 volumes, le couteau de poche Opinel est consacré comme l’un des 999 designs les plus aboutis de tous les temps par un jury de designers internationaux. 2010 La cuisine à l'OpinelA l'occasion des 150 ans du rattachement de la Savoie à la France, Opinel publie le livre "La Cuisine à l'Opinel". C'est un véritable voyage gourmand au pays de l'Opinel : portraits et recettes de 25 chefs étoilés de Savoie, Haute-Savoie, Piémont et pays Niçois, accompagnés d'anecdotes passionnantes sur l'histoire de la gastronomie savoyarde écrites par Annie Victor, le tout illustré par les photographies d'Anthony Cottarel. Le livre reçoit le 1er prix au Gourmand World Cookbook Awards 2009, dans la catégorie Best Corporate Book France. (Livre paru aux Editions Lagon Rouge, stock épuisé). 2013 Le Musée Opinel En 1989, avec l’accord de la société Opinel, Jacques Opinel transforme en musée l'atelier de son grand-père Jean (frère de Joseph), lui aussi forgeron-taillandier. Situé à saint-Jean-de-Maurienne, le Musée Opinel devient l’un des tous premiers sites visités en Savoie. En 2013 la société Opinel, Jacques Opinel et son fils Maxime, ont procédé à l’agrandissement et à la rénovation de ce musée privé et gratuit retraçant l’histoire de l’Opinel®. Vous découvrirez les origines familiales et savoyardes de l’Opinel, l’évolution des techniques de fabrication, le développement industriel et commercial de la marque. La visite se conclue par un film réalisé au sein des ateliers et présentant le processus de fabrication actuel. + info 2014 Opinel, au fil de l'histoireUne saga familiale, un destin hors du commun, il a fallu attendre 2014 pour qu'Opinel se décide enfin à dévoiler son histoire dans un ouvrage de 160 pages écrit par l'auteur-journaliste Jean-François Mesplède, ancien directeur du Guide Michelin France. Préfacée par Paul Bocuse et Michel Desjoyeaux, l'histoire racontée grâce aux confidences de Maurice et Denis Opinel et aux témoignages de salariés de l'entreprise, est illustrée par de magnifiques documents d'archive et les photographies de Thierry Vallier. (Editions Page d'Ecriture, 25 €). 2016 Au printemps 2016, la société ouvre sa première filiale à l'international. Basée à Chicago, OPINEL USA sera à présent en charge de la commercialisation et du developpement de la marque aux Etats-Unis.
Il est important de se rappeler que l'objectif principal du mariage est
d'être heureux et serein.
Alors, même si la liste ci-dessous peut paraître intimidante, ne
l'oubliez jamais !
Si la vie vous parait stressante, alors essayez de changer votre
perception. En effet, vous êtes la seule personne à pouvoir transformer
votre stress en tranquillité.
Si vous vous sentez malheureux, cherchez les choses qui vous satisfont
dans la vie. C'est la seule façon de vivre en paix est de se sentir
serein. N'oubliez pas que la seule personne que vous pouvez changer,
c'est vous-même !
10 choses à éviter pour ne pas gacher son mariage
Même si on n'oublie pas que, dans un couple, chacun doit prendre sa part
de responsabilité dans la réussite d'un mariage, ci-dessous nous avons
listé les dix erreurs que les hommes commettent le plus souvent.
Lisez la suite pour en apprendre davantage sur les comportements des
hommes qui peuvent détruire complètement un mariage :
1. Laisser sa femme seule
Une des façons les plus rapides pour détruire votre mariage est de
laisser votre femme seule. Comme par exemple passer de longues heures au
travail puis aller boire une bière avec les copains en sortant.
Et, quand vous rentrez chez vous, vous ne vous occupez ni d'elle ni de
vos enfants. Au lieu de cela, vous vous vautrez devant un match de foot
ou devant votre ordinateur pour faire des paris en ligne.
Et le week-end ? Vous vous plaignez du désordre à la maison. Et si vous
partez faire des courses, c'est pour disparaitre pendant plusieurs
heures. Savez-vous qu'une des choses les plus difficiles à vivre pour
une femme est ce sentiment d'isolement lorsque son mari la délaisse ?
Oui, votre femme a des amis et un emploi. Elle passe beaucoup de temps à
courir partout avec les enfants. Une femme peut bien sûr pratiquer des
activités sans son mari. Mais ce n'est pas la même chose. Ce qu'elle
veut, c'est passer du temps avec vous, l'homme qu'elle aime. Être
délaissée par son mari peut provoquer un profond chagrin chez elle.
Pour la plupart des femmes, la plus grande crainte se résume à
l'isolement et la privation. Quand une femme se sent abandonnée par son
mari, elle a tendance à l'attaquer avec des remarques blessantes et
irrespectueuses. Sa capacité à vous blesser verbalement est son arme la
plus puissante, et elle l'utilise pour essayer d'obtenir votre
attention.
Quand une femme commence à vous harceler parce que vous ne passez pas
assez de temps à la maison, (parce que vous ne sortez jamais avec elle,
et ne vous occupez jamais des enfants), il y a des chances qu'elle se
sente abandonnée et isolée. Si vous arrêtez de passer du temps ensemble,
la distance émotionnelle entre vous se fait rapidement sentir.
2. Ne pas être assez affectueux?
Une femme triste sans affection
Votre femme adore être proche de vous. Si elle se met à croire que pour
vous c'est différent, votre mariage est en danger. Pendant que vous vous
efforcez de garder votre indépendance, elle, elle a envie de se sentir
connectée à vous. Ne soyez pas seulement affectueux et attentif avec
elle les jours où vous avez envie d'elle ou que vous avez besoin d'elle.
L'affection et la proximité doivent être une fin en soi et non un moyen
d'arriver à quelque chose d'autre. Parler n'est pas la seule chose que
les femmes apprécient, même si c'est important.
Voici des idées simples pour contenter votre femme : l'embrasser
souvent, lui tenir la main, et passer du temps seul avec elle. Quand son
besoin de proximité est rempli, elle sera plus encline à respecter
votre besoin d'indépendance. Quand votre femme se sent proche de vous,
elle sera également plus disposée à s'encanailler avec vous au cours
d'un plan plus intime.
La chose importante à retenir est de l'aider à se sentir connectée.
Essayez de lui parler de votre journée, de vos craintes et espoirs et de
vos rêves. Tenez-lui la main quand vous sortez ensemble. Embrassez-la
de façon inattendue dans la cuisine alors qu'elle prépare le dîner.
Asseyez-vous à côté d'elle. Demandez-lui comment elle va, et pendant
quelques minutes, donnez-lui toute votre attention pendant qu'elle vous
répond. Ces petites attentions lui montreront vraiment que vous l'aimez.
Le mariage est un long chemin qu'il faut savoir entretenir.
2.5. Se renfermer sur soi-même
Les femmes sont entières. Leur esprit, leur corps et leur âme sont
étroitement liés. Si elles se sentent blessées, c'est l'ensemble du
système qui est affecté. Une femme dont l'esprit est préoccupé peut
facilement souffrir de fatigue et de trouble. Les hommes, eux, savent
compartimenter. Les hommes sont en mesure de vivre normalement même si
un domaine de leur vie ne fonctionne pas correctement.
Sachez aussi que votre femme ne comprend pas votre comportement quand
vous vous renfermez et que vous devenez mystérieux. Les choses ont l'air
de glisser sur vous et rien ne semble vous tracasser. Vous n'avez pas
envie de lui parler alors qu'elle sait que vous êtes stressé à cause du
travail. Quand elle vous questionne, votre femme n'est pas en train
d'essayer de rentrer dans votre cerveau pour savoir tout ce qui s'y
passe. Elle veut simplement que vous soyez plus ouvert.
Elle veut vous voir comme vous êtes vraiment à l'intérieur. Elle sent
votre amour et aimerait que vous lui partagiez vos peurs, vos craintes
et vos doutes. Elle a besoin de sentir qu'elle est aussi votre
confidente dans les moments difficiles. Ne pensez pas qu'elle est en
train d'essayer de vous changer ou de vous "réparer". Elle est juste là
pour vous apporter une oreille attentive.
Essayez de lui parler de ce qu'il se passe dans votre tête, y compris
vos soucis. Les femmes entre elles adorent se défouler verbalement sans
forcément essayer de trouver une solution au problème. Tout ce qu'elle
veut c'est vous donner une opportunité de vous exprimer verbalement.
3. Vouloir régler tous les problèmes
Même si elle ne le dit pas toujours, votre femme vous voit comme "sa
force". Comme le porteur de ses fardeaux. Quand elle vient à vous pour
chercher votre aide pour alléger ses soucis, cela doit être perçu comme
un compliment. Elle sait que vous pouvez l'aider, elle sait que vous
pouvez gérer ça.
Mais attention ! Plutôt que d'essayer de résoudre et de régler tous ses
problèmes, essayez de simplement l'écouter. Vous pouvez même lui
demander si elle a réellement besoin d'une solution à son souci ou tout
simplement d'une oreille attentive.
Vous verrez, ça sera un soulagement pour vous deux quand vous vous
rendrez compte que, parfois, vous n'avez pas besoin de régler tous les
problèmes qui sont soulevés pendant vos conversations. Le simple fait
d'en parler est amplement suffisant. En outre, si vous l'écoutez, elle
se sentira comprise (même si ce n'est pas le cas, ce qui au final n'est
pas si grave que ça).
4. Ne pas savoir dire "je suis désolé."
Ne pas savoir dire pardon
Tous les mariages ont des hauts et des bas. Sachez que refuser de
présenter des excuses est un moyen rapide pour détruire le vôtre. Bien
que le conflit ne soit pas une chose agréable, sachez que votre
complicité peut en sortir grandie une fois le conflit résolu. Pour votre
femme, faire des excuses signifie qu'elle a fait un pas pour sortir du
conflit, et qu'elle est maintenant à la recherche d'une paix intérieure.
Beaucoup de maris voient les excuses comme un signe de faiblesse. Ils se
disent : " Si je présente mes excuses, elle ne me respectera plus." Or,
c'est exactement le contraire. Si vous vous excusez humblement et que
vous lui demandez pardon, votre femme sera plus compréhensive.
Votre petit acte de contrition apaisera son esprit, et agira comme un
baume de guérison sur son cœur et votre couple. En plus, cela montre que
vous êtes ouvert, que vous avez envie de faire des efforts pour que ça
marche entre vous et que votre mariage est assez important à vos yeux
pour admettre vos erreurs. Enfin, cela montre que vous êtes capable
d'évoluer et de passer à autre chose pour que votre mariage en ressorte
plus solide.
5. Prendre ses doutes à la légère
Votre femme porte beaucoup d'importance à votre engagement. Quand elle
voit que vous regardez d'autres femmes dans la rue, à la télé, sur votre
ordinateur ou ailleurs, elle craint que vous puissiez lui être
infidèle. Cela peut la mettre mal à l'aise. Elle va bien évidemment se
demander si vous êtes attiré par ces femmes. Surtout si de son côté,
elle ne regarde que vous !
Dans tous les cas, elle est fragile et a besoin de votre réconfort. Pas
d'être rabaissée, ignorée ou taquinée. Tout cela dévalorise votre femme
et ses sentiments bien réels. Lorsque vous regardez fixement une jeune
femme mignonne déambuler, c'est comme un rappel lancé à votre femme sur
ses nombreuses imperfections. Elle se sent en insécurité et elle veut
savoir si vous l'aimez encore car pour elle, ce genre de comportement
n'est pas vraiment rassurant...
Ce n'est pas anormal de regarder d'autres femmes, en fait, c'est
parfaitement naturel. Mais le danger apparaît quand vous êtes pris en
flagrant délit et que vous ne détournez pas votre regard. Cela montre
que vous ne prenez pas en compte les sentiments de votre femme, ni son
malaise.
Votre femme est motivée par votre amour et votre fidélité. Elle
s'implique dans votre relation, et veut sentir que vous êtes tout autant
impliquée qu'elle.
Quand votre femme se sent en insécurité, elle peut vous demander si vous
pensez à elle. Elle peut vous demander si vous l'aimez. Elle peut vous
demander si vous pensez qu'une autre femme est plus attirante qu'elle.
Elle peut aussi vous poser beaucoup de questions, mais ne vous inquiétez
pas, ce n'est pas un piège.
Elle tente juste de s'ouvrir à vous, en posant une question et ainsi
engager une conversation. Parler, discuter, c'est son moyen de savoir,
de comprendre. Elle est à la recherche d'une preuve de votre amour et de
votre fidélité. Plutôt que d'essayer d'éviter cette situation, pensez
plutôt à la regarder. Oui ! À la regarder vraiment. Dites-lui qu'elle
est la plus belle femme que vous n'avez jamais vue. Donnez-lui
l'assurance qu'elle cherche, et la paix pour calmer son esprit troublé.
6. Négliger les petites attentions
Savoir être désolé
Votre femme ne désire pas forcément des bijoux ou un repas très coûteux.
Certes, parfois c'est la cerise sur le gâteau surtout si vous aimez la
couvrir de cadeaux. Cependant, c'est loin d'être toujours indispensable !
En effet, elle se sentira bien plus aimée grâce aux petits gestes qui
montrent votre amour et votre attention au quotidien. Lorsque vous
négligez ces petites attentions, elle pourrait croire que vous essayez
d'acheter son affection - ou soulager votre propre culpabilité - avec
des choses coûteuses.
À la place, faites-lui comprendre que vous pensez à elle pendant la
journée. Une simple rose quand vous rentrez à la maison en dit long sur
votre amour. Appelez-la ou envoyez-lui un texto au cours de la journée
pour lui faire savoir que vous pensez à elle. Proposez-lui votre aide
pour le dîner, ou la vaisselle. Ce sont des petits dons de votre temps
qui signifient beaucoup pour votre femme.
Pour votre femme, les jours les plus importants de l'année sont très
souvent son anniversaire et votre anniversaire de mariage. Célébrez
ensemble ces jours en passant du temps juste tous les deux. Cela
signifiera bien plus que tout autre cadeau coûteux. Le coût est
secondaire. L'important est l'intention que vous mettez dedans. Elle
veut se sentir spéciale et importante pour vous. La façon de l'aider à
se sentir aimée est de passer du temps seul avec elle. Même si vous vous
asseyez à la maison pour regarder un film, donnez-lui toute votre
attention.
7. Oublier que le sexe est avant tout un plaisir partagé
Ne pas prendre soin d'une relation intime
Lorsque vous confondez sexe et intimité, c'est n'est pas très agréable.
Lorsque vous vous concentrez uniquement sur votre propre orgasme, ce
n'est pas très agréable. Lorsque vous montrez seulement de l'intérêt à
votre femme quand vous avez envie d'elle, ce n'est pas très agréable.
Lorsque vous dévalorisez vos relations intimes avec des blagues
grossières et salasses, ce n'est pas très agréable. Lorsque vous vous
attendez à ce qu'elle soit excitée instantanément, ce n'est pas très
agréable non plus. Enfin lorsque vous négligez les besoins sexuels de
votre femme, ce n'est pas très agréable.
Quand vous êtes marié, le sexe est censé être plaisant.
L'intimité est conçue pour vous rapprocher, le sexe doit cimenter votre
couple. Pour illustrer ce propos, imaginez votre femme comme une
mijoteuse. Vous, vous êtes un micro-ondes. Mettez un repas dans un
micro-ondes, et vous mangerez dans 3 min. Par contre, un repas cuisant
dans la mijoteuse prend beaucoup plus de temps. Vous devez mettre les
ingrédients appropriés ensemble, puis faire cuire, et attendre. Et
seulement après six ou huit heures, vous pourrez vous régaler.
Votre femme a besoin d'autant d'attention et de considération. Commencez
le matin avec un baiser. Dites-lui qu'elle est belle. Une femme ne se
lasse jamais d'entendre cette phrase de l'homme qu'elle aime. Aidez les
enfants à être prêts pour l'école. Après le travail, posez-lui des
questions pour savoir comment s'est passée sa journée.
Prendre le temps, voilà le maître mot ! Si vous voulez mêler plaisir et
sexe, pensez à la mijoteuse, et non au micro-ondes ! Vous pouvez faire
le micro-ondes, mais uniquement sous la douche ;-)
8. Se renfermer dans l'amertume et la colère
Lorsque vous vous enfermez dans votre désespoir, à ruminer, votre femme
commence à avoir peur. Les femmes aiment parler des choses. Les hommes
ont tendance à se renfermer. Lorsque vous vous sentez stressé par le
travail, l'argent, votre relation, vous vous renfermez sur vous-même.
Cela provoque la peur d'être abandonné ainsi que le rejet chez votre
femme.
Lorsque vous refusez de parler avec elle, elle va penser que vous ne
l'aimez plus. Cette peur, et son désir de résoudre les conflits, va
pousser votre femme à vous harceler de questions. Elle veut en parler
avec vous, non pas pour vous dénigrer ou vous rabaisser mais juste pour
se sentir plus proche de vous. Elle veut que vous lui fassiez confiance.
Si vous restez loin d'elle pour éviter de discuter de ce qui vous
tracasse, elle sait que quelque chose ne va pas, et elle va commencer à
supposer qu'elle est le problème...
Mais vous avez le pouvoir d'éviter la catastrophe qui se profile.
Comment ? En vous ouvrant à votre femme. Elle vous aime. Vous pouvez lui
faire confiance. Partagez ce que vous avez sur le coeur avec elle, et
elle vous ouvrira aussi son cœur.
9. Ne pas savoir prendre ses responsabilités
Ne pas savoir prendre ses responsabilités quand on fait une erreur
Que l'on parle d'une addiction, d'un adultère ou d'une erreur
professionnelle, souvent les hommes remettent la faute sur leur femme.
"Je bois parce qu'elle est hystérique. Je l'ai trompée parce qu'elle ne
savait pas prendre soin de moi. Je n'avance pas dans mon travail parce
qu'elle ne m'encourage jamais."
Stop ! Il est temps de prendre la responsabilité de votre comportement.
Sachez être responsable de vos actions. C'est vous qui choisissez de
boire. C'est vous qui avez choisi de la tromper. C'est vous qui
choisissez de travailler ou de ne pas travailler assez pour gravir les
échelons. Vous faites consciemment toutes ces choses, personne ne vous a
forcé. Plutôt que de blâmer quelqu'un ou quelque chose, assumez !
Soyez le reflet des valeurs que vous défendez. Votre vie est entièrement
sous votre contrôle. Aujourd'hui, vous pouvez choisir de vivre
différemment. Vous pouvez vous créer exactement la vie que vous voulez.
En outre, si votre femme est vraiment la racine de tous vos problèmes,
alors prenez le contrôle et ayez le courage de lui dire la vérité. Elle
ne pourra pas jamais changer si vous ne lui expliquez pas le problème en
question.
10. Choisir une femme qui n'est pas faite pour soi
Une femme tourmentée, qui passe d'une mauvaise relation à une autre,
continuera à souffrir même après votre mariage. Une femme tatillonne qui
critique toutes vos décisions continuera à chercher la petite bête. Une
femme qui veut toujours tout contrôler fera de même après le mariage.
La chose à retenir est simple : si cette femme n'est pas faite pour vous
avant le mariage, cela ne changera pas après le mariage, elle
conservera ses défauts. Sachez-le !
Si vous voulez une femme gentille, sortez avec une femme gentille et
épousez-la. Traitez-la avec amour et respect, et elle saura vous le
rendre.
Tenter de sauver une femme qui souffre ne vous conduira qu'à vous sentir
utilisé et pas apprécié à votre juste valeur.
Un mariage solide commence par de la bonne volonté des deux côtés, aussi
bien chez l'homme que chez la femme. Un mariage fleurit lorsque vous
grandissez ensemble dans l'amour et le respect l'un envers l'autre.
Choisir la femme qui n'est pas faite pour vous est la meilleure façon
d'aboutir à un échec à chaque fois. Vous pouvez bien sûr aimer le
sentiment d'être un chevalier servant pour sauver une demoiselle
désespérée. Mais la réalité est que ce mariage avec elle sera beaucoup
plus difficile et beaucoup moins romanesque que ce que vous ne pensez.
Le mariage est un travail à temps plein, aussi bien pour le mari que
pour la femme. Lorsque les deux ont la volonté de faire de ce mariage
une bonne expérience, alors il a une chance bien plus grande de réussir.
Travaillez sur vous-même
Même si cette liste peut sembler intimidante, il est important de se
rappeler que le but principal du mariage est d'être en paix et heureux.
Si la vie vous parait stressante, travaillez pour changer votre
perception. N'oubliez pas que vous seul avez le pouvoir de percevoir la
paix là où il y a du stress.
Ne vous découragez pas car il suffit de changer cette unique perception
pour avoir une vie paisible. Si vous vous sentez malheureux, cherchez
une chose qui vous comblera dans la vie et soyez heureux. La façon la
plus simple pour y parvenir est juste d'être soi-même. N'oubliez jamais :
la seule personne que vous pouvez changer, c'est vous-même !
L'Alaska, aux Etats-unis
La majeure partie de la population de cet Etat des Etats-Unis vit dans deux villes : Anchorage et Juneau, la capitale.
Le reste du territoire n’est que forêts, réserves naturelles, montagnes et fjords. On estime à plusieurs millions le nombre de lacs éparpillés en Alaska !
Un vaste terrain de jeu pour explorateurs et passionnés de nature sauvage, qui ont à cœur de passer l’été au frais. Les températures excèdent rarement les 14 degrés en juillet/août, mais plongent allègrement sous les -10°C en hiver.
L'Irlande
L’été, en Irlande, les températures varient de 10 à 20°C. À ne pas manquer, le célèbre itinéraire de la "Wild Atlantic Way" : d’une longueur d’environ2 500 kilomètres, il permet de parcourir la côte Atlantique irlandaise du nord au sud. Bol d’air frais garanti.
La Patagonie
Fallait-il une raison de plus de visiter la Patagonie ?
Cet immense territoire qui s’étend sur la pointe méridionale de l’Amérique du Sud, à cheval sur le Chili et l'Argentine, est l’une des destinations les plus belles du monde. Le relief des Andes rivalise en majesté avec les vastes glaciers,et au large d’Ushuaia et de la Terre de Feu, l’Antarctique se profile…
Avant de visiter les lieux, n’oubliez pas d’emporter de bons vêtements chauds : en juillet et en août, les températures peuvent descendre sous les 0°C.
L'Islande
En Islande, aux portes de l’Arctique, l'été ouvre le pays aux visiteurs.
Le thermomètre affiche en moyenne 11°C, l’ensoleillement est optimal et les routes fermées en hiver en raison des conditions météorologiques extrêmes sont à nouveau praticables.
San Francisco, aux Etats-Unis
Il n’est pas nécessaire de mettre le cap sur des destinations « grands espaces » ou « nature » pour capter un peu de fraîcheur au cours de l’été.
La preuve avec San Francisco, sur la côte Ouest des Etats-Unis, où les températures oscillent entre 15 et 17°C en juillet et en août,
avec des maximales pouvant atteindre les 24°C. En raison de sa situation géographique et des courants d’eau froids et chauds qui se rencontrent non loin de la zone littorale, la ville de San Francisco est régulièrement recouverte de brume au cours de l’été.
C’est ce qui explique en partie des températures basses, tandis qu’ailleurs en Californie, l’été peut être particulièrement caniculaire.
L'Ecosse
D’Edimbourg à l’île de Skye, en passant par les sublimes paysages des Highlands, l’Ecosse fait partie des destinations fraîcheur à découvrir en été.
Les températures, agréables sans être étouffantes, avoisinent les 20°C, et le soleil se fait plus généreux que le reste de l’année.
La Nouvelle-Zélande
Pourquoi ne pas profiter de l’inversement des saisons entre les hémisphères ? En juillet et en août, c’est l’été en France mais…l’hiver en Nouvelle-Zélande !
Pulls et manteaux sont alors de rigueur pour visiter ce grand archipel situé au sud-est de l’Australie. Pour pousser l’exotisme hivernal jusqu’au bout, recherchez la neige. On la trouve en abondance dans les régions montagneuses néo-zélandaises, où les amateurs
de glisse et de randonnées profitent d’un climat comparable à celui des Alpes.
Zermatt, en Suisse
Pour fuir les grandes chaleurs de l’été, rien de tel que de prendre de la hauteur. À Zermatt par exemple.
Cette région montagneuse, située dans le canton du Valais en Suisse, s’étend au pied du Cervin, qui culmine à 4 478 mètres d’altitude. Station de ski très réputée en hiver, Zermatt offre un autre visage l’été, tandis que les alpages reprennent leurs droits.
Melbourne, en Australie
Sable chaud, soleil de plomb, baignades à n’en plus finir… Oui, l’Australie permet le rêve balnéaire. Mais à Melbourne, mieux vaut rester couvert en juillet et en août, lorsque l’hiver fait tomber les moyennes de saison en dessous des 10°C.
La Géorgie du Sud
Destination rare, réservée à une poignée de touristes privilégiés, la Géorgie du Sud est un territoire britannique qui se trouve au large de l’Argentine,dans le sud de l’océan Atlantique, près de la zone Antarctique.
En été,ce n'est pas la fraîcheur qui est au rendez-vous mais le froid. Les températures dépassent timidement la barre des 0°C, et le soleil ne darde ses rayons que d’une à deux heures par jour.
Le Français a arraché de justesse sa place sur le podium, derrière la "Foudre" Usain Bolt et le Canadien Andre de Grasse.
Clic ici...... http://www.francetvinfo.fr/sports/jo/video-jo-2016-revivez-le-sacre-d-usain-bolt-et-le-bronze-de-christophe-lemaitre-sur-200-m_1596067.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20160819-[lestitres-colgauche/titre1]
Francetv info LA NEWSLETTER ACTU
Christophe Lemaitre a remporté la médaille de bronze du 200 m,jeudi 18 août aux Jeux olympiques de Rio, une épreuve enlevée pour la troisième fois consécutive aux JO
par le Jamaïcain Usain Bolt. Sur une piste humide, le Français de 26 ans a signé un chrono de 20''12,contre 19''78 à Bolt et 20''02 au Canadien Andre De Grasse. Il glane ainsi la première médaille olympique de sa carrière.
Bolt bien parti pour un "triple triple" Lemaitre, qui a confirmé sa réputation d'homme de championnat, est le premier sprinteur français médaillé olympique d'une épreuve individuelle depuis Abdoulaye Seye en 1960 à Rome (lui aussi médaillé de bronze du 200 m).
Il rapporte à la France sa sixième médaille d'athlétisme aux jeux Olympiques de Rio, soit son meilleur total depuis les JO de1948.
Pour Usain Bolt, cette victoire est synonyme de doublé 100-200 m. Il remporte ainsi sa 8e médaille d'or olympique, et reste en course pour un incroyable "triple triple", après ses triomphes à Pékin-2008 et Londres-2012 sur 100, 200 et 4x100 m.
un SDF lui rapporte ses billets !
Ce sont parfois les plus démunis qui se montrent les plus généreux...
Bien souvent, ce sont ceux qui en possèdent le moins qui sont les plus
généreux…. Et cette belle histoire, qui s’est produite près de Pau, dans
le Sud-Ouest, en est bien la preuve !
Avouons-le, il nous est tous arrivé au moins une fois d’aller retirer de l’argent
dans un distributeur automatique de billets, au pied duquel se trouvait
un SDF. Rongé par la culpabilité, on feint alors d’ignorer celui qui se
trouve assis juste à côté, en contemplant fixement l’écran de la
machine, prenant garde à ne surtout pas dévier les yeux. On compose le
code, et vite, on retire les billets en se retournant sans un regard,
avant que l’homme de la rue nous interpelle.
C’est peut-être la pensée qui a traversé l’esprit de Michel, un habitant de
Pau, lorsque ce jour-là il a dû retirer une somme de 150€ en argent
liquide dans une banque automatique… mais tout ne s’est pas passé comme
prévu.
Homme retirant de l'argent à un distributeur de billet, image d'illustration
« Monsieur ! Vous avez oublié ça ! »
Lorsque Michel compose son code, la carte ressort instantanément. « Pour moi,
l’opération était refusée », raconte ce gestionnaire en ressources humaines de 51 ans.
Il se dirige alors vers le guichet physique de la banque pour effectuer
son retrait… C’est là que Jacob, un SDF assis au pied du distributeur,
intervient une première fois, expliquant à l’homme que le bureau de
banque est fermé à cette heure.
Sans-abri au pied d'un distributeur de billets, image d'illustration
Michel quitte alors les lieux, en quête d’un nouveau distributeur. Mais le
sans-abri, lui, entend un bruit caractéristique au-dessus de sa tête :
les billets sont en train de sortir du distributeur, probablement à
cause d'un bug de la machine ! Il se saisit aussitôt la liasse de
billets d’une valeur de 150€, et court alors vers Michel en criant : «
Monsieur, Monsieur, vous avez oublié ça ! »
« Il s'est ensuite rassis par terre sans rien attendre en retour.
Moi-même, je ne sais pas si j'aurais réagi comme cela ! »
Une fois la liasse remise à son propriétaire, Jacob retourne se rasseoir.
Michel est éberlué par ce réflexe, cette marque d’honnêteté dont bien
des personnes, pourtant moins dans le besoin que ce sans-abri,
n’auraient sans doute pas été capables.
« Par les temps qui courent, faire preuve d'une telle honnêteté me surprend »,
a raconté Michel à la République des Pyrénées, qui rapporte ce fait divers.
« Moi-même je ne sais pas si j'aurais réagi comme cela. Lui, après m'avoir donné les billets,
s'est rassis par terre sans rien attendre de moi ! »
Michel et Jacob devant le distributeur de La Poste de Pau à Bosquet-Gambetta.
Bien entendu, Michel, très touché, l’a chaleureusement remercié pour sa
franchise, et lui a donné un billet de 10 euros pour le remercier. Mais
l’histoire ne s’arrête pas là : Les deux hommes discutent, et il fait
plus ample connaissance avec ce ressortissant polonais vivant à Pau
depuis 4 ans, sans les papiers adéquats.
Pour le remercier, Michel veut désormais aider Jacob à obtenir ses papiers
pour qu’il puisse continuer à vivre en France, en interpellant le maire
de Pau, François Bayrou, et en contactant diverses associations. En
attendant, il passe régulièrement voir le SDF polonais pour s’assurer
qu’il va bien et prendre de ses nouvelles…
de couteaux savoyards.
Le président de la société familiale Opinel, Maurice Opinel, artisan de la
modernisation de l’entreprise, est mort mercredi 17 août à l’âge de 88
ans, a annoncé le fabricant savoyard de couteaux. Petit-fils du fondateur, Maurice Opinel
présidait le conseil d’administration de l’entreprise depuis septembre 1974.
C’est sous sa direction qu’Opinel a construit sa nouvelle usine de Chambéry (Savoie).
Il a aussi été très actif pour protéger sa marque par des dépôts de brevets et pour lutter contre la contrefaçon.
Marque déposée en 1909 Les marques Opinel et La Main Couronnée avaient été déposées dès 1909 par
la société. Celle-ci a depuis élargi sa palette au-delà des seuls
couteaux de poche pour proposer outils de plein air et couteaux de cuisine.
Opinel produit chaque année quelque 4,5 millions de couteaux. Pour suivre le développement de l’activité,
l’usine de Chambéry a été agrandie l’an dernier de 1 000 mètres carrés.
Opinel y concentre toute sa production, à l’exception de l’assemblage de ses couteaux de cuisine, fait au Portugal.
En 2014, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 18,8 millions d’euros, à 45 % à l’export.
La société emploie une centaine de personnes.
Cent vingt-six ans après sa fondation, son capital est encore entièrement détenu par la famille.
La direction générale du groupe était jusqu’ici assurée par Denis Opinel, le fils du défunt.
est la clef pour avoir une longue vie : elle a 102 ans, elle sait ce qu'elle dit !
Mildred « Millie » Bowers a fêté ses 103 ans, le 31 août dernier. Et pour
une chaîne de télévision locale, l’Américaine a livré son « truc » pour
vivre aussi longtemps. Son secret de jouvence ne serait autre… qu’une
pinte de bière bien fraîche, tous les jours.
En effet, sur ordre de son médecin (!), Millie comme on la surnomme, boit
une pinte de bière, à 16h, tous les jours. Et elle pense qu’elle doit sa
longévité et sa bonne santé à ce petit rituel qui dure déjà depuis
quelques années. « Je trouve que tout le monde devrait boire ce qui lui
plaît » a déclaré Millie à la chaîne locale Live 5 News.
Cette habitante de Caroline du Nord s’estime très chanceuse : « J’ai toujours
toute ma tête, je n’ai aucun problème de mémoire et je sais que ce
n’est pas le cas de tout le monde ».
« Le docteur a dit que c’était pour elle »
Cette « tradition » (de boire une pinte tous les jours) fait suite à une
conversation qu’elle a eue avec des infirmières, à qui elle témoignait
son amour pour la boisson maltée. Elle a ensuite questionné le médecin
qui lui a immédiatement donné son aval.
Aujourd’hui, la dame âgée peut se targuer d’avoir droit à une bière par jour « sur
ordre du médecin ». « Le docteur a dit que c'est bien pour elle » a même
appuyé son amie Mary Ann Hartman, dans le reportage. Maintenant, si
vous lui demandez si tous les séniors devraient adopter cette habitude,
elle vous répondra : « Oui, s’ils aiment ça ! ».
Six Gin Tonic pour rester jeune
Ce n’est pas la première fois que des dames « âgées » vantent les mérites
des boissons alcoolisées. Par exemple, Mabel Jackson, 100 ans, boit six
Gin tonic tous les jours pour « rester jeune », avait-elle alors déclaré
à la Suffolk Gazette. Pauline Spagnola a témoigné qu’à 101 ans, la
santé c’était « surtout beaucoup d’alcool ».
Rappelons que l’alcool est à consommer avec modération. Pour relativiser les
choses, Millie souligne que « tout est dans les gènes » et que si elle
va aussi bien, c’est parce qu’elle a toujours été en bonne santé. Mais
avec tous ces témoignages, nous allons croire que les livres d’Histoire
nous ont toujours caché que la fontaine de jouvence n’était rien d’autre
qu’une grande piscine remplie… de bière fraîche.
Si vous possédez une paire de baskets blanches, voici un « DIY » parfait
pour leur donner des airs de vacances. À vous suivre dans toutes vos
aventures, elles aussi méritent un brin de soleil. Pour les transformer
couleur arc-en-ciel et suivre la tendance du « Tie & Dye », rien de
plus simple.
Voici tous nos conseils et explications détaillés pour réaliser des
chaussures arc-en-ciel très jolies (merci à Sarah Lynn Tea pour sa vidéo
détaillée –en anglais- que vous retrouverez à la fin de l’article) :
Matériels :
- Une paire de baskets blanches (forcément…)
- Du papier journal
- Du papier essuie-tout
- Du scotch de protection
- Des marqueurs textiles permanents (sur la vidéo, sont utilisés ceux de la gamme Sharpie)
- De l’alcool isopropylique
- Une pipette ou un pinceau (selon les motifs désirés)
Réalisation : Étape 1
Protégez votre plan de travail avec du papier journal. Délacez vos chaussures et
bourrez de papier journal afin de ne pas tacher l’intérieur. Petite
astuce pour éviter de devoir nettoyer la gomme blanche des chaussures :
appliquez du scotch de protection dessus.
Étape 2
Munissez-vous de vos marqueurs textiles et laissez votre inspiration guider vos
mains ! Pour réaliser l’arc-en-ciel, commencez par colorier la basket
avec le stylo jaune en faisant une forme ovale. Continuez avec la
couleur orange en englobant la forme jaune, et ainsi de suite… Le tout
est de teinter progressivement la chaussure en dégradé. Vous n’êtes pas
obligé de coller ni de colorier parfaitement les bandes de couleur !
Elles vont se superposer et s’homogénéiser lors de l’ajout du solvant.
Étape 3
La moitié des chaussures est maintenant recouverte d’un bel arc-en-ciel.
C’est le moment de passer aux choses sérieuses et d’utiliser l’alcool
pour dissoudre une partie de la peinture des marqueurs. C’est très
simple, mais faites attention quand vous manipulez le solvant ! À l’aide
de la pipette, déposez quelques gouttes sur les couleurs.
Instantanément, vous allez voir les pigments de couleur se disperser
harmonieusement sur le textile de la chaussure, un peu comme de
l’aquarelle.
Étape 4
Si vous trouvez qu’une couleur n’est pas assez présente, par exemple le
jaune. Vous pouvez revenir recolorer la partie trop effacée avec le
marqueur.
Au contraire, si vous trouvez qu’une couleur foncée est trop présente,
mettez une goutte d’alcool et venez éponger le surplus de couleur avec
du papier essuie-tout.
Étape 5
Pour la suite, suivant le même principe que précédemment, colorez les
chaussures avec vos marqueurs. Cette fois-ci, le coloriage ressemblera
plus à du gribouillage, de sorte à créer un dégradé plus léger et
homogène sur les baskets.Maintenez vos chaussures à la verticale et
faites couler l’alcool sur la couleur. Le mélange va se réaliser de
manière cohérente sur l’ensemble de la basket.
Étape 6
Vos baskets arborent un joli arc-en-ciel. Si celui-ci ne vous convient pas,
vous pouvez rectifier les formes et les couleurs ! Une goutte d’alcool
permet de dissoudre la couleur et de créer des formes rondes. Vous
pouvez donc recommencer l’opération jusqu’à satisfaction. N’hésitez pas à
ajuster les motifs en tordant du papier essuie-tout que vous viendrez
presser sur le basket juste après le dépôt d’une larme de solvant.
Étape 7
Elles sont partout ! Dans nos jardins, sur nos balcons, dans nos bois et
forêts, au détour d'une allée, elles attendent que vous succombiez au
fruit défendu et que vous les mangiez. Ce sont des tueuses de l'ombre,
cachées sous de beaux oripeaux. On en compte plusieurs dizaines rien
qu'en France. Voici les dix des plus dangereuses...
La belladone
Pendant le Moyen-Age, cette plante était fréquemment utilisée lors des rituels
de magie noire, ce qui, au fond, en dit assez sur ses propriétés
mortelles. On y retrouve carrément de l'atropine et diverses substances
très dangereuses. L'absorption de 10 à 15 baies suffit à terrasser
n'importe qui. Néanmoins, cette plante est utilisée dans la confection
de traitements contre la douleur ou la toux. Auto-médication vivement
déconseillée.
Crédits photo (creative commons) : Jeantosti
Le chèvrefeuille
Souvent utilisé pour dessiner des barrières végétales dans les jardins,
appréciée pour ses jolies fleurs, le chèvrefeuille est aussi toxique.
N'importe laquelle de ses parties peut provoquer des vomissements, des
diarrhées, des sueurs, de la tachycardie et, dans des cas extrêmes, un
coma qui peut précéder la mort pure et simple.
Crédits photo (creative commons) : Dinkum
Le laurier-rose
On trouve des lauriers-roses partout sur le pourtour méditerranéen et plus
généralement dans la moitié sud de la France. Une belle plante qui
cache bien ses propriétés mortelles. En effet, l'ingestion d'un simple
feuille pour provoquer des troubles cardiaques fatals chez l'enfant et
l'adulte. On rapporte que des soldats de Napoléon furent mortellement
intoxiqués pendant la campagne d'Espagne après avoir fait griller de la
viande sur des branches de laurier.
Crédits photo (creative commons) : Jean Tosti
Le muguet
Une fleur que l'on offre partout aux alentours du 1er mai, qui devrait être
livrée avec une notice explicative, tant son ingestion (en particulier
celle des fleurs) peut mener directement à l'hôpital, voire plus loin...
Le simple fait de boire l'eau dans laquelle le muguet a reposé peut
s'avérer dangereux. C'est l'une des plus toxiques de France. Pour les
hommes et les animaux.
Crédits photo (creative commons) : Michel / claquin.com
Le ricin
Les graines de cette plante renferment des protéines, des lipides et de la
ricine. Un mot qui doit résonner chez ceux qui ont vibré devant les
mésaventures de Walter White dans Breaking Bad, qui utilise la ricine
pour essayer d'éliminer ses ennemis. Et bien tout ce qu'affirme la série
au sujet de ces graines est vrai. N'y touchez pas !
Crédits photo (creative commons) : Peter Forster
Le gui
La coutume veut qu'au moment des fêtes de fin d'année, on s'embrasse sous
le gui. En réalité, ce geste peut s'avérer particulièrement inconscient
si plus de 5 baies venaient à tomber dans la bouche des amoureux au
moment fatidique, provoquant ainsi de sérieux troubles digestifs et
même, dans certains cas, de graves accidents cardiaques.
Crédits photo (creative commons) : Nova
La grande ciguë
Ce serait elle qui aurait causé la mort de Socrate. On la confond parfois
avec le persil. Son odeur, relativement désagréable permettant néanmoins
de se prémunir contre ses effets. Une plante qui peut causer une mort
certaine après avoir provoqué des maux de tête, des vertiges, une
paralysie et des convulsions.
Le buis
On peut donner au buis toutes les formes que l'on veut. Esthétique,
distingué, il n'attend en réalité que le bon moment pour vous causer,
grâce à sa sève, des vomissements, vertiges, tremblements et paralysies
spinales. Et vu qu'il peut vivre sans problème plusieurs siècles, autant
dire qu'il faut s'en méfier.
Crédits photo (creative commons) : Matthieu Sontag
Le colchique
On utilise le colchique pour traiter les crises aiguës de goutte. Cela
dit, par voie générale, cette plante est surtout connue pour provoquer
divers troubles, cardiaques et nerveux, sans parler d'une salivation
extrême. Au bout de10 jours, sans traitement, c'est la fin du chemin...
Le lierre
Largement exploité pour ses propriétés médicinales (contre les brûlures ou la
cellulite), le lierre ne doit pas être utilisé à la légère et demande
une extrême prudence. Car on ne dirait pas comme ça, mais cette plante
grimpante a aussi la possibilité de vous clouer plusieurs heures sur le
trône, tout en vous filant des boutons et des vomissements.
Crédits photo (creative commons) : Gormé
De quoi regarder d'un autre œil son jardin...
Source : Plantes.Toxiques, Wikipedia, Jardinier-pro
Piémanson, la fin d'une époque
Du mistral fouettant les plages sauvages de Camargue au pèlerinage des Saintes-Maries-de-la-Mer, nos photographes ont survolé pendant un mois le delta du Rhône avec leurs drones.
A l'image, les pêcheurs viennent toujours taquiner le goujon sur la plage de Piémanson, désormais interdite au camping sauvage.
Beauduc, l'un des plus beaux spots de kite
La plage de Beauduc, jadis courue par le photographe Lucien Clergue, est aujourd’hui l’un des grands spots européens de kitesurf. C’est dans les environs que le rider français Alexandre Caizergues a établi le record du monde de vitesse en kite surf : 104,86 km/h
Pèlerinage aux Saintes-Maries-de-la-Mer
Chaque fin mai, les pèlerins gitans, roms et manouches s’installent pour une dizaine de jours aux Saintes-Maries-de-la-Mer afin de vénérer Sara la noire, leur sainte.
Eleveurs depuis quatre générations
Au mas de la Chassagne, la famille Jalabert élève taureaux de corrida et chevaux camarguais.
Des chevaux du pure race Camargue
L’éleveur Marc Jalabert surveille ses chevaux camarguais en bordure de l’étang du Vaccarès.
Salin de Giraud, l'empire du selPhoto
A Salin de Giraud, ces bassins de décantation servent à produire du sel marin employé majoritairement pour le déneigement.
Le "riz de Camargue", une indication géographique protégée
Vue aérienne des rizières de Camargue.
Le domaine de la Tour du Valat, une Réserve Naturelle Régionale
Des taureaux sur le domaine de la Tour du Valat, haut lieu camarguais de la recherche scientifique sur la conservation des zones humides méditerranéennes.
La course camarguaise, un jeu sportif sans mise à mort
Au Sambuc, sur la manade Plo, un guardian parque des taureaux destinés à une course camarguaise organisée aux arènes du Grau-du-Roi.
Le paradis des cavaliers
Cavaliers sur une plage de Camargue.
Piémanson, rattrapée par la loi
Cet ancien camion de pompier, garé à l’entrée de la plage de Piémanson, retournée elle aussi à l’état sauvage, sert désormais de camping-car à une famille de touristes allemands.
Sara la noire, vénérée des gitans
Chaque 24 mai, la foule assiste à l’immersion rituelle de la statue de Sara la noire. Le jour suivant est dédié aux saintes Marie Jacobé et Marie Salomé. Les racines du pèlerinage sont médiévales, mais cette mise en scène associant les gitans date de 1935.
En 1890, Joseph Opinel, taillandier à Albiez-le-Vieux près de Saint-Jean-de- Maurienne, fabrique les premiers modèles du couteau Opinel en douze tailles.
Chiffres-clés45 % du chiffre d'affaires se fait à l'étranger.
210 millions d'exemplaires d'Opinel ont été vendus dans le monde.
Production annuelle : entre 2,5 et 3 millions de couteaux.
La main couronnée d'Opinel, dite main bénissante de saint Jean-Baptiste, figure sur les armoiries de Saint-Jean-de-Maurienne. La couronne placée
au-dessus rappelle que la Savoie était autrefois un duché.
Un secret bien gardé
Impossible de pénétrer dans les ateliers Opinel et encore moins d'y prendre des photos. Les secrets de fabrication du
couteau, comme le façonnage du manche (en quinze secondes !), sont bien
gardés. On peut comprendre aisément cette discrétion quand on sait que,
comme de nombreuses marques, celle à la main couronnée est l'objet de
contrefaçons. «Cela vient de partout dans le monde, mais nous gagnons
tous nos procès car nous avons déposé notre marque et nos brevets dans
de très nombreux pays ce qui nous coûte très cher, mais qui nous offre
une protection efficace », explique une responsable du service
marketing.
part, un mythe célébré dans le monde entier. Le best-seller de la
coutellerie française continue son chemin en essayant toutefois de
varier ses formes et nos plaisirs.
Rares sont les tiroirs de cuisine à n'avoir jamais abrité cette lame, outil
essentiel de notre patrimoine. L'Opinel sert à tout. Il cueille les
champignons ou les pissenlits, il taille les arcs et les flèches en
noisetier des petits, il coupe la viande et dénude les fils électriques.
Il a été utilisé par des millions d'anonymes, mais également par des
mains plus connues. Ellen MacArthur, navigatrice et double vainqueur de
la Route du rhum avoue s'en servir pour éliminer les cales qui se
forment sur les paumes de ses mains. Toujours chez les marins, Alain
Colas sauva sa peau en libérant sa jambe d'un lien avec un Opinel et
Tabarly était un inconditionnel. Jean-Louis Étienne part en direction du
Pôle en 1986 et n'oublie pas son couteau, Picasso s'en servait pour
sculpter de petites pierres... Bref, ce couteau continue à marquer son
temps et le règne de la main couronnée n'est pas près de s'achever.
Tout commence en 1890. Joseph Opinel, fils et petit-fils d'une famille de
taillandiers d'Albiez-le- Vieux en Maurienne, met au point un couteau
fermant qu'il baptise de son nom. La chose ne plaît guère à ses parents
qui voient là une lubie de jeunesse. Mais le jeune homme persévère. En
1909, il dépose sa première marque, étape obligatoire depuis 1565, date à
laquelle Charles IX, roi de France, ordonna que chaque maître coutelier
appose son emblème sur ses produits afin d'en garantir l'origine et la
qualité. Joseph Opinel opte pour la main couronnée, aujourd'hui connue
sur les cinq continents. Les choses s'accélèrent, et en 1911, Joseph
Opinel repart de l'exposition alpine de Turin avec la médaille d'or. Les
colporteurs et commerçants régionaux avaient déjà fait connaître son
produit phare, vendu en Suisse et en Italie et décliné en douze modèles,
numérotés de 1 à
12. Les numéros 1 et 11 ont, par la suite été supprimés, le premier étant trop petit et le second trop proche, par sa
taille, du numéro 12. Il s'agit aujourd'hui de pièces rarissimes, très
prisées des collectionneurs.
En 1920, Joseph délocalise son entreprise aux portes de Chambéry, à Cognin, là où, aujourd'hui encore,
les lames sont fabriquées. Vingt ans plus tard, 20 millions de couteaux
ont déjà été vendus ! La société est prospère et continue son expansion.
1955 est une date clé : cette année-là, Opinel dépose le brevet
Virobloc. Il s'agit de la bague de sécurité tournante, la virole, conçue
pour bloquer la lame en position ouverte, garantissant ainsi une
sécurité totale d'utilisation. Le système sera perfectionné en 2000 pour
permettre le blocage de la lame en position fermée. L'Opinel a pris la
forme qu'on lui connaît, il ne sera pratiquement pas modifié et les
techniques de fabrication, si elles ont su s'adapter aux progrès
technologiques, sont demeurées identiques à celles des premiers jours.
La lame est fabriquée en quatre étapes : on la découpe grâce à une presse
de 120 tonnes, puis elle subit un traitement thermique (qui diffère s'il
s'agit d'une lame « carbone », résistante, tranchante et facile à
aiguiser, ou inoxydable et contenant du chrome). Elle est ensuite meulée
et enfin polie, de différentes façons (standard, satiné ou poli-glace)
en fonction des commandes et de la gamme à laquelle elle est dédiée. Le
manche, lui, est fabriqué en deux temps: les fournisseurs en bois
livrent des carrelets (parallélépipèdes en chêne, noyer, hêtre, olivier,
buis...) à l'usine, qui vont être façonnés automatiquement. Puis il est
verni, afin de résister à l'humidité, et marqué. Dernière étape : la
lame et le manche vont être réunis, c'est ici que la bague de sécurité
est installée, manuellement.
Petit à petit, Opinel a su s'adapter à la demande des consommateurs, et de nouvelles gammes ont vu le jour :
à bout arrondi pour les enfants, couteaux de cuisine ou ustensiles de
jardin, haut de gamme avec de manches en ronce de noyer... Mais il est
difficile de toucher à un mythe sans le dénaturer, et le bureau d'études
d'Opinel se doit d'être prudent. La marque de Chambéry annonce
cependant, sans vendre la mèche... une belle surprise pour les
consommateurs pour la fin de l'année 2006.
Voilà qui devrait assurer de belles heures à un couteau qui s'est vend à plus de 210 millions d'exemplaires dans le monde.
L'histoire Opinel Opinel vous raconte le fabuleux destin d'un petit couteau savoyard
inventé par Joseph Opinel en 1890, devenu objet de notre quotidien,
aujourd'hui élevé au rang d'icône du design mondial.
Une saga familiale au coeur des Alpes, en Savoie.... Pour en savoir plus, nous vous invitons à visiter le Musée Opinel situé à Saint-Jean-de-Maurienne.
1800 Forgerons de père en filsVictor-Amédée Opinel, colporteur, apprend à forger des clous lors de ses tournées. Il installe son premier atelier de forge à Gevoudaz,
hameau d'Albiez-le-Vieux, près de Saint-Jean-de-Maurienne. Son fils
Daniel travaille ensuite à ses côtés et reprend l'atelier au décès de
son père. Il deviendra un taillandier renommé très apprécié des paysans
qui venaient de loin pour lui acheter serpes ou faucilles...
*taillandier : fabricant d'outils qui ont un tranchant
1872 Naissance de Joseph OpinelJoseph Opinel est le fils aîné de Daniel Opinel. Il naît en 1872 à Gevoudaz, hameau d'Albiez-le-Vieux. Joseph a deux frères, Jean
(1877-1943) et Albert (1885-1905), et trois soeurs, Marie (1875-1968),
Alphonsine (1879-1959) et Sylvie (1881-1886).
1890 Atelier familialEn 1890 Joseph Opinel a 18 ans et travaille dans l'atelier de taillanderie familial. Il est passionné par les nouvelles machines et
techniques, ainsi il monte lui même son appareil photo et devient
rapidement le photographe des mariages et évènements de son pays. Sa
passion des machines et des process de fabrication vont lui donner envie
d'inventer un objet qu'il veut pouvoir fabriquer avec les techniques
modernes. Contre l'avis de son père, qui aimait le travail artisanal et
se méfiait des machines, il passe ainsi son temps libre à peaufiner la
forme et la fabrication d'un petit couteau de poche : l'Opinel est né !
1897 Série N°1 à N°12Joseph Opinel a l'idée de décliner son couteau en différents formats qui pourront convenir aux mains grandes ou petites et être dédiés à
différents usages. Ainsi en 1897, il met au point 12 tailles numérotées
de 1 à 12. Le plus petit couteau, le N°1, était doté d'un anneau pour
pouvoir être accroché à la chaîne de montre de gousset. Sa fabrication
et celle du N°11 ont été arrêtées vers 1935. Aujourd'hui le plus petit
Opinel, le N°2, présente une lame de 3.5 cm, et le N°12, une lame de 12
cm. Dans les années 70, un couteau géant avait été fabriqué en petite
quantité comme objet publicitaire pour les vitrines des commerçants....
qui ont très vite demandé à l'entreprise de les fabriquer en grande
série pour les vendre aux particuliers ! Le géant N°13 est doté d'une
lame de 22 cm et mesure 50 cm ouvert !
1901 L'usine du pont de GevoudazLe succès commercial ne se dément pas, Joseph doit fabriquer plus de quantités.Il quitte la forge de son père et construit son usine au pont
de Gevoudaz, près de l'atelier familial. Dans ce nouveau bâtiment, il
souhaite rationnaliser la production et met au point des machines pour
fabriquer les manches plus rapidement. Grâce à sa turbine hydraulique,
il est le premier habitant de la commune à avoir l'électricité ! Après
avoir installé un réseau dans son atelier et sa maison, il décide
d'éclairer de quelques ampoules le sentier qu'il emprunte pour aller à
l'usine. Une grand-mère du village, épatée par son installation, lui
demandera comment il a pu "faire passer du pétrole dans les fils"...
1909 La Main CouronnéeEn 1565 le roi de France Charles IX ordonne que chaque maître coutelier appose un emblème sur ses fabrications pour en garantir
l’origine et la qualité. En 1909, respectant cette tradition, Joseph
Opinel choisit pour emblème La Main Couronnée. La main bénissante est
celle de Saint Jean-Baptiste figurant sur les armoiries de
Saint-Jean-de-Maurienne, la ville la plus proche d’Albiez-le-Vieux,
berceau de la famille Opinel. Joseph Opinel ajoute une couronne pour
rappeler que la Savoie était un duché. Depuis, toutes les lames des
couteaux et outils Opinel sont poinçonnées de La Main Couronnée.
1911 L'exposition internationale alpine de TurinEn 1911 Joseph Opinel participe à Turin à l'Exposition Internationale Alpine. Pour l'occasion il fait fabriquer une magnifique vitrine avec
un cadre en bois ouvragé dans laquelle il présente son fameux couteau de
poche décliné en douze tailles mais également les couteaux de cuisine,
de table, les rasoirs, les ciseaux, les sondes à fromage, les serpettes,
les tire-bouchons qui sont venus étoffer rapidement la collection...
Séduit, le jury lui remet la médaille d'or !
La vitrine de 1911 est exposée au sein de l'entreprise Opinel, le diplôme est conservé précieusement dans nos archives...
1915 Le grand déménagement !Joseph devine qu'il ne pourra jamais développer son entreprise si il reste dans son hameau perdu. En pleine guerre, il décide de sillonner la
région pour trouver l'endroit idéal, et c'est dans les faubourgs de
Chambéry, à Cognin, qu'il trouvera à acheter une ancienne tannerie avec
sa chute d'eau sur le canal de l'Hyères. Les locaux sont vétustes mais à
proximité de la gare de Chambéry, être au coeur d'un réseau ferré et
routier important est un atout non négligeable. Le déménagement de
Gevoudaz à Saint-Jean-de-Maurienne se fait à dos de mulets et de boeufs,
puis par train jusqu'à Chambéry...Quelques mois sont nécessaires pour
rénover les locaux et à partir de 1917, Joseph, épaulé par ses deux
fils, Marcel et Léon, débute le développement industriel et commercial
d'Opinel.
1926 L' incendieLes copeaux produits par le façonnage des manches ont toujours été brûlés pour chauffer les ateliers. Aujourd'hui encore pour chauffer
l'usine, les copeaux sont brûlés dans une chaudière mixte qui permet
d’économiser environ 200 000 litres de fuel par an. En janvier 1926 un
poêle mal éteint provoque un incendie qui détruit l'ensemble du
bâtiment. La famille Opinel fait face à cette catastrophe et décide de
reconstruire au même endroit de nouveaux locaux modernes et adaptés à
leur production.
1927 La nouvelle usineEn quelques mois une usine moderne est construite et inaugurée en 1927, le jour du baptême de Maurice, le premier enfant de Marcel.
Aujourd'hui cette usine est fermée. En 2013, l'atelier viroles, le
dernier atelier encore en activité a été déplacé sur le site de
Chambéry.
1950 Maurice OpinelEn 1950, le fils de Marcel entre à son tour dans l'entreprise. Il a 23 ans et consacre ses premières années à seconder son oncle Léon qui
était en charge du commercial et de l'administratif. Marcel, amoureux
fou des machines à l'instar de son père, était en charge des ateliers et
de la production. A cette époque l'entreprise comptait une cinquantaine
de salariés. Aujourd'hui Maurice Opinel est le président de la
société.
1955 Invention du ViroblocÀ l’origine quatre composants forment le couteau Opinel, la lame, la virole fixe, le rivet et le manche. La virole fixe est nécessaire pour
pouvoir riveter solidement la lame au manche.
En 1955, soucieux d’améliorer la sécurité d’utilisation du couteau,
Marcel Opinel invente le système Virobloc®. Il ajoute une virole
tournante qui en coulissant sur la virole fixe peut fermer la fente et
ainsi bloquer la lame dépliée. L’idée est simple mais sa réalisation est
complexe.
Dans les années 90 le système Virobloc® est modifié pour permettre de
bloquer la lame en position fermée. Réservé dans un premier temps à
quelques références, il est généralisé sur tous les modèles en 2000.
1960 Décès de Joseph OpinelLe 29 janvier est une date maudite pour la famille Opinel. C'est ce jour-là en 1926 que l'incendie ravage la première usine de Cognin. Ce
jour-là aussi qu'en 1960 Joseph Opinel décède à 88 ans après une vie
consacrée à son entreprise. Et trente ans jour pour jour après son
père, c'est le 29 janvier 1990 que décèdera Marcel Opinel.
1973 Le nouveau site de ChambéryLes trente glorieuses accélèrent la demande et au début des années 70, l’usine est à l’étroit dans la rue principale de la petite ville de
Cognin, aux portes de Chambéry. Il est alors décidé de construire un
nouveau site de production plus spacieux et moderne à quelques
kilomètres, dans une zone industrielle chambérienne, au lieu-dit La
Revériaz. Dans un premier temps dédié à l’activité bois et au
montage-conditionnement, il est depuis 2003 le site principal et le
siège de l’entreprise.
1985 L'Opinel, icône du designObjet populaire et du quotidien, l'Opinel est un objet dont l'esthétique et la fonctionnalité ont su convaincre des générations
d'utilisateurs. Inchangé depuis plus d'un siècle, son design est l'un
des plus aboutis de tous les temps. Et c'est à ce titre, qu'en 1985
l’Opinel est consacré au « Victoria and Albert Museum » parmi les cent
objets les mieux dessinés du monde à côté de la Porsche 911 et de la
montre Rolex.
1989 Opinel entre dans le dictionnaireOpinel fait partie du patrimoine culturel français, il est cité dans de multiples ouvrages. En 1989 il est référencé dans le dictionnaire
Larousse, au même titre que les marques Bic, Frigidaire ou Solex, en
tant que nom déposé et avec la définition actuelle suivante : Couteau fermant à manche en bois portant une saignée dans laquelle vient se loger la lame en position de fermeture.
1998 La saga familiale se poursuitEn 1998, Maurice Opinel confie la direction générale de l'entreprise à son fils aîné Denis, entré dans l'entreprise en 1973.
2003 Construction du nouveau siège socialPour faciliter les flux de production et la vie de l'entreprise, il est décidé de concentrer peu à peu toutes les activités sur un seul
site. Ainsi en 2003 le siège social est déplacé de Cognin à la Revériaz.
Un nouveau bâtiment est construit dans le prolongement des ateliers. Au
508 boulevard Henry Bordeaux à Chambéry, l'ensemble des bâtiments
représente désormais une surface d'environ 5000 m2.
2006 Nouvelle consécration !Dans le « Phaidon Design Classics », magnique ouvrage composé de 3 volumes, le couteau de poche Opinel est consacré comme l’un des 999
designs les plus aboutis de tous les temps par un jury de designers
internationaux.
2010 La cuisine à l'OpinelA l'occasion des 150 ans du rattachement de la Savoie à la France, Opinel publie le livre "La Cuisine à l'Opinel". C'est un véritable
voyage gourmand au pays de l'Opinel : portraits et recettes de 25 chefs
étoilés de Savoie, Haute-Savoie, Piémont et pays Niçois, accompagnés
d'anecdotes passionnantes sur l'histoire de la gastronomie savoyarde
écrites par Annie Victor, le tout illustré par les photographies
d'Anthony Cottarel. Le livre reçoit le 1er prix au Gourmand World Cookbook Awards 2009, dans la catégorie Best Corporate Book France. (Livre paru aux Editions Lagon Rouge, stock épuisé).
2013 Le Musée Opinel En 1989, avec l’accord de la société Opinel, Jacques Opinel transforme en musée l'atelier de son grand-père Jean (frère de Joseph),
lui aussi forgeron-taillandier. Situé à saint-Jean-de-Maurienne, le
Musée Opinel devient l’un des tous premiers sites visités en Savoie. En
2013 la société Opinel, Jacques Opinel et son fils Maxime, ont procédé
à l’agrandissement et à la rénovation de ce musée privé et gratuit
retraçant l’histoire de l’Opinel®. Vous découvrirez les origines familiales et savoyardes de l’Opinel, l’évolution des
techniques de fabrication, le développement industriel et commercial de
la marque. La visite se conclue par un film réalisé au sein des ateliers
et présentant le processus de fabrication actuel. + info
2014 Opinel, au fil de l'histoireUne saga familiale, un destin hors du commun, il a fallu attendre 2014 pour qu'Opinel se décide enfin à dévoiler son histoire dans un
ouvrage de 160 pages écrit par l'auteur-journaliste Jean-François
Mesplède, ancien directeur du Guide Michelin France. Préfacée par Paul
Bocuse et Michel Desjoyeaux, l'histoire racontée grâce aux confidences
de Maurice et Denis Opinel et aux témoignages de salariés de
l'entreprise, est illustrée par de magnifiques documents d'archive et
les photographies de Thierry Vallier. (Editions Page d'Ecriture, 25 €).
2016 Au printemps 2016, la société ouvre sa première filiale à l'international. Basée à Chicago, OPINEL USA sera à présent en charge de la commercialisation et du developpement de la marque aux Etats-Unis.