C'était avant, les champs les villages étaient séparés pas de grands fossés et des haies d'arbres tétards très gros absorbeurs d'eau et protecteurs de la biodiversité de la faune ils sont certes moins esthétiques mais ils sont protecteurs de la nature l'exploitation des terres est bien plus importante
Aujourd'hui on bétonne à tout va même dans des zones qui ne doivent pas l'être, la modernité c'est bien et que l'on nous impose c'est pire, voilà le résultat ( Les catastrophes ect...) quand on regarde que les anciens ne batissaient pas dans certaines zones avaient tout compris il est vrai aussi qu'il y a un dérèglement climatique mais la terre s'est faite comment ?? et que la population augmente.
Avec leurs troncs courts caractéristiques de nos paysages bocagers depuis plusieurs siècles, les arbres traités « en têtars » ont perdu leur intérêt économique. S’il a concerné chênes, saules, érable champêtre, aulne glutineux ou d’autres essences, ce mode de gestion a principalement été appliqué aux frênes. Il subsiste encore dans nos marais et vallées. Les têtards de frênes produisaient beaucoup de feuillage, destiné initialement, et pendant les deux derniers siècles, à fournir au bétail le fourrage dont il avait avant tout besoin. Une coupe à ras des branches était effectuée avant le mois de mars, à environ deux mètres de hauteur. Les animaux présents dans l’herbage ne pouvaient ainsi pas venir manger « leur blé en herbe » ! Travail dangereux à réaliser, cette exploitation fournissait aussi à l’éleveur environ un stère de bois de chauffage par arbre « émondé ». Offrant leur ombre aux bovins alors nombreux dans nos vallées, les frênes têtards, ainsi contenus en hauteur car émondés tous les 7 à 10 ans, assuraient aussi, grâce à leur système racinaire, un rôle indéniable dans la tenue des berges de rivières. Avec la disparition progressive de l’élevage et un entretien de plus en plus réduit des vallées, est venu le temps de l’abandon de cette pratique. Les arbres têtards ont développé de trop grandes branches charpentières, ce qui les a rendu sensibles à l’ouragan de décembre 1999. Ceux qui restent sont tous âgés (80 à 150 ans). Trop élancés, ils peuvent même représenter un danger pour les berges qu’ils sont censés protéger. Pour la seule beauté des paysages de nos vallées, il serait dommage que les frênes têtards disparaissent. D’autant que leur intérêt est, sur le plan environnemental, toujours bien réel. Les cavités creusées dans leurs troncs par les ans peuvent abriter chouettes, huppe fasciée, loir, lérot, ainsi que des amphibiens. La loutre peut venir se réfugier dans les anfractuosités du système racinaire de ces arbres. La Rosalie des Alpes, insecte très menacé, s’installe et se reproduit dans leurs branches mortes… Il est reconnu que l’association frêne têtard et peuplier en alignement contribue à une diversité biologique élevée (ex : site de nidification pour les passereaux…). Toutes ces raisons plaident en faveur de la conservation d’arbres têtards et le remplacement au moins partiel de ceux qui sont trop âgés. S’ils n’ont pas plus de 80 ans, il convient de les reprendre en coupe progressivement, en deux passages espacés de 5 à 7 ans. Le recours à la plantation de jeunes frênes (ou au recrutement de semis naturels), qui subiront plus tard un « étêtage » à 15 cm de diamètre, est la solution pour remplacer des troncs trop vieux ou détériorés. Mais il est difficile de systématiser une telle démarche, qui ne peut concerner que le nombre très restreint de propriétaires forestiers faisant eux-mêmes leur bois. Encore faut-il qu’ils soient capables de manier une tronçonneuse en haut d’une échelle ! Economiquement parlant, ce mode de gestion n’est pas généralisable, sauf si une contrepartie financière vient inciter un propriétaire à le faire. Cela pourrait être le cas dans les sites Natura 2000, dont le document d’objectifs prévoirait une incitation financière d’un niveau suffisant. Pour ceux qui veulent approfondir le sujet Voici un lien interressant http://www.crpf-poitou-charentes.fr/Arbres-tetards-tires-de-l-oubli.html
Autre sujet Ils y a aussi les politiques responsables , alors qui paient les dégâts sanitaires ? l'Etat! c'est le cas pour l'amiante, pour l'uranium dans le massif central etc.... et ça continue avec les gaz de schistes qu'on risque d'exploiter, avec les compteurs Licky qui vont augmenter les rayonnements, et plein d'autres choses. Pas besoin de penser à la surpopulation de la planète, les méfaits de la pollution suffiront à faire disparaitre certains, à faire vivre des laboratoires pour inventer des médicaments alors qu'on pourrait éviter tout ça.
MELANGE DE FLEURS ET ANIMAUX REALISE PAR COLLAGE... par Jenny BROWN Auteur de ces collages, mélangeant fleurs avec animaux marins et donnant naissance à de délicates créatures hybrides. Méduse florale et céphalopode topiaire, plongez dans l’univers aquatique de cette talentueuse artiste.
par Ryan LONGNECKER photographe basé à Los Angeles,
Il capture la nature avec des tons bleutés, que ce soit dans contexte polaire ou solaire, et nous emmène aux quatre coins de l’Amérique : Tahoe, Joshua Tree, Belize, Yosemite, sur les côtes et sur les montagnes en vues aériennes.
Publié Le 08 Juin 2016... Deux Palestiniens sèment la terreur... Aux terrasses de Tel-Aviv... Des survivants de la fusillade se serrent dans les bras sur une terrasse dans le quartier branché de Sarona. Photo AFPAgence France-Presse Jérusalem
Deux Palestiniens ont semé la terreur mercredi soir à Tel-Aviv en ouvrant le feu sans discrimination sur des clients attablés dans un quartier animé de restaurants et de bars, tuant quatre d'entre eux et en blessant cinq autres.
Cette attaque est l'une des plus meurtrières de la part de Palestiniens contre des Israéliens depuis le début d'une vague de violences en octobre. Ses deux auteurs ont été arrêtés. Les deux Palestiniens ont ouvert le feu vers 21 h 30 locales dans le quartier de Sarona, un ensemble d'établissements situés à deux pas du ministère de la Défense et très fréquentés à cette heure, ont rapporté la police et des témoins. Avraham Liber, jeune homme venu de Jérusalem, partageait une glace en terrasse avec des amis. «J'étais assis de telle sorte que j'ai pu voir le tireur», a-t-il relaté, «il avait l'air d'être assis sur une chaise, et puis il s'est levé, et il s'est mis à tirer comme ça sur les gens autour de lui, à bout portant». «C'est un truc de dingue», a-t-il ajouté. Meital Gonen, une jeune femme, a vu des gens se ruer vers la porte de son magasin de vêtements en suppliant: «Il y a un terroriste. S'il vous plaît, ouvrez-nous». «Ils criaient, ils hurlaient, (il y avait) beaucoup de sang, des gens qui mouraient. C'était terrifiant. Nous avons ouvert les portes pour que les gens se mettent à l'abri». Yechiel Miller, un bénévole des services de secours United Hatzalah, a raconté avoir trouvé à son arrivée «une dame inconsciente, ne respirant plus, dans un état critique». Outre les blessés, beaucoup de personnes ont été prises en charge en état de choc, a raconté un autre infirmier, Davidi Dahan. Les conditions dans lesquelles les assaillants ont été neutralisés ne sont pas claires. L'un a été arrêté apparemment indemne selon les indications de la police, l'autre a été atteint par des tirs et évacué, dans un état grave, vers l'hôpital.
Le restaurant où s'est déroulée la fusillade. Photo Reuters
La police les a ensuite identifiés comme deux Palestiniens, des cousins du secteur d'Hébron, en Cisjordanie occupée. L'attaque perpétrée a une nouvelle fois provoqué des scènes de panique. Elle a également suscité un flot de rumeurs comme celle, démentie ensuite, selon laquelle un tireur avait réussi à prendre la fuite. «Nous n'avons pas connaissance du fait qu'un autre terroriste serait dans la nature, donc pour nous, les gens peuvent reprendre le cours normal de leur vie», a déclaré le chef de la police, Chico Edri, après que le secteur eut été provisoirement bouclé. En janvier déjà Israël, Jérusalem et les Territoires palestiniens sont en proie à des violences qui avaient coûté la vie, avant mercredi, à 207 Palestiniens, 28 Israéliens, deux Américains, un Érythréen et un Soudanais depuis le 1er octobre, selon un décompte de l'AFP. On ignore la nationalité des personnes tuées mercredi. La plupart des Palestiniens tués sont les auteurs ou auteurs présumés d'attaques, commises pour un grand nombre au couteau. Nombre des assaillants proviennent de la région de Hébron, poudrière du sud de la Cisjordanie. Le rythme des attaques s'était considérablement ralenti ces derniers mois. Mais les causes des tensions n'ont pas disparu. Les perspectives de règlement du conflit israélo-palestinien semblent totalement bouchées. La violence résulte chez les Palestiniens des vexations de l'occupation, de l'absence de toute perspective proche d'indépendance, des frustrations économiques et du discrédit des autorités palestiniennes, estiment des experts. Le gouvernement israélien, lui, dénonce les incitations généralisées à la violence côté palestinien et le refus même de l'existence de l'État d'Israël. Les États-Unis, la France et l'ONU ont condamné le nouvel attentat. «Les États-Unis condamnent dans les termes les plus forts l'attaque terroriste effroyable à Tel-Aviv [...] Ces attaques lâches contre des citoyens innocents ne peuvent jamais être justifiées», a déclaré le porte-parole du département d'État, Mark Toner. Le président François Hollande condamne «avec la plus grande force l'odieux attentat» de Tel-Aviv, déclare un communiqué de la présidence française, qui exprime «son total soutien à Israël dans la lutte contre le terrorisme». «Tout le monde doit rejeter la violence et dire non au terrorisme», a déclaré l'envoyé spécial de l'ONU au Proche-Orient Nickolay Mladenov, dans une apparente référence aux dirigeants palestiniens. Tel-Aviv avait été le théâtre le 1er janvier d'une attaque analogue quand un Arabe israélien avait ouvert le feu sur des terrasses d'établissements, tuant deux personnes et faisant plusieurs blessés. Il avait ensuite tué un chauffeur de taxi dans sa fuite. Il avait été abattu une semaine plus tard. La municipalité a annoncé un renforcement de la sécurité auprès des écoles, des bâtiments publics et des lieux fréquentés. Cependant, a convenu le maire Ron Huldai cité par un porte-parole, «nous ne pourrons pas mettre un policier à l'angle de chaque rue». «L'assaillant solitaire peut surgir à tous les coins de rue, telle est la réalité avec laquelle il nous faut vivre», a-t-il dit.
PORTRAITS D'ARTISTES EN PAPIER DECOUPE ET COLLAGE... Pour la marque de bijoux italienne Pomellato (qui célèbre l’image de la femme depuis 1965), Alessandro Polia et Antonio Zuddas (de l’agence The Big Now) ont commissionné les artistes du papier Apha Designet les photographes d’Arec Studio pour réaliser des posters et portraits, dans le cadre du Festival de Cannes 2016. Ces 3 portraits représentent 3 actrices charismatiques : Salma Hayek (dans Frida Kahlo), Catherine Deneuve (dans Belle de Jour) et Audrey Tautou (dans Amelie), toutes faites à partir de collages en relief et de papier découpé.
Cet Incroyable Village Indien Plante 111 Arbres A Chaque Fois Qu’une Petite Fille Nait .
Chaque culture a ses propres traditions qui tournent autour de la naissance d’un enfant. Alors que nous célébrons la naissance d’une fille en envoyant des robes roses et des poupées, dans le village de Piplantri à Rajasthan, Inde, ils la célèbrent en plantant 111 arbres.
C’est vrai, à chaque fois qu’une petite fille nait à Piplantri, 111 arbres sont plantés en son honneur! Dans la plupart des villages indiens, la naissance d’une fille était historiquement considérée comme un fardeau pour la famille. Les villages ruraux fonctionnent selon le système de la dot, ce qui contribue au cout élevé des mariages pour les foyers avec des filles. En conséquence, les filles étaient souvent considérées comme inférieures aux hommes et beaucoup étaient mariées avant d’atteindre l’âge de 18 ans; rares étaient celle qui recevaient une éducation digne de ce nom. La violence envers les femmes découlant de ces attitude est encore un sujet d’actualité en Inde. Le documentaire “India’s Daughters” a dernièrement été interdit car il présentait explicitement le viol et l’abus dans le pays.
En juxtaposition, la tradition de planter des arbres pour fêter la naissance d’un enfant femelle à Piplantri semble rejeter complètement ces contraintes historiques, favorisant l’espoir que ces attitudes envers les femmes peuvent changer. Cette coutume incroyable a été initiée par un ancien chef du village, Shyam Sundar Paliwal, pour honorer sa fille qui est morte jeune. Même si Paliwal n’est plus le chef du village, la tradition a quand même continué. Quand une fille nait, les membres du villages se cotisent pour soulever une sorte de « fonds » pour la fille. Les parents contribuent du tiers de la somme de 31.000 roupies, l’équivalent de 500$, et l’argent est mis de côté comme une allocation de 20 ans pour la fille. Ceci garantie qu’elle ne sera jamais considérée comme un poids pour sa famille.
Piplantri En contre-partie de ces fonds, les parents signent une déclaration sur l’honneur qui stipule que la fille ne sera mariée qu’après avoir atteint l’âge de 18 ans et qu’elle ait reçu une éducation digne de ce nom. La déclaration sur l’honneur stipule qu’on doit aussi prendre soin des 111 arbres.
Piplantri C’est une astuce très intelligente, mais la pratique de planter des arbres avec la naissance d’un enfant fait en sorte que l’environnement local sera toujours capable de soutenir la population croissante.
Piplantri Cette belle tradition n’initie pas seulement une profonde appréciation pour les femmes dans le village, mais elle engendre aussi un sens de responsabilité remarquable envers l’environnement. Gehrilal Balai, un père qui a planté 111 arbustes l’année dernière, a dit au Hindustan Times qu’il a ressenti le même bonheur à s’occuper des arbustes qu’en berçant sa fille. Piplantri Les arbres sont devenus le symbole des bébés filles et les villageois travaillent aussi dur pour protéger ces arbres des termites, en plantant de l’aloé vera, que pour protéger les filles des difficultés de la vie.
Piplantri En voyant la connection intime entre la santé sociale et la santé environnementale du village, la tradition de Paliwal a créé un futur très stable pour les membres de la communauté.
Piplantri Durant les six dernières années, un quart de million d’arbres a été planté à Piplantri. Les villageois attribuent à l’harmonie que cette tradition a amené dans leur communauté la chute de criminalité. Sans parler de leur amour renouvelé pour les petites filles.
Piplantri Quand nous voyons la connexion entre les problèmes sociaux et que nous cherchons leurs origines environnementales, nous pouvons trouver des solutions uniques et incroyables aux problèmes de la vie moderne. Vous pouvez penser qu’une chose aussi insignifiante qu’un arbuste ne pourrait pas changer le monde, mais rappelez-vous, cet arbuste grandira un jour et deviendra un grand arbre.
C’est aux Etats-Unis que naît la célébration de la fête des pères. La jeune Sonora Smart Dodd (1882-1978) était la fille d’un vétéran de la guerre de Sécession, Henry Jackson Smart, veuf depuis de longues années. En 1909, elle entendit parler del’initiative d’Anna Jarvis, visant à initier une fête des mères, lors d’un sermon prononcé dans une église méthodiste de Spokane, dans l’Etat de Washington. La jeune femme réclame alors une célébration de la paternité, venant en complément de la fête des mères et propose même la date d’anniversaire de son géniteur, le 5 juin. Les pasteurs de la région se saisissent de l’idée, même s’ils décident d’établir la fête au troisième dimanche de juin : la première fête des pères est organisée, à Spokane, le 19 juin 1910. Si les réjouissances de Spokane sombrent vite dans l’anonymat, l’idée de fête des pères est lancée. Dans les années 1920, le président américain Calvin Coolidge tente d’en faire une fête officielle, mais se heurte au Congrès. Les parlementairescraignent que ce rappel des vertus paternelles devienne, à l’image de la fête des mères, un barnum commercial. En 1966 que le président Lyndon Johnson reconnaît le rituel dans une proclamation officielle. Six ans plus tard, Richard Nixon signe une loi en faisant une journée de célébration nationale. Le Father’s Day est définitivement fixé au troisième dimanche de juin.
La fête des pères a été célébrée pour la première fois en France en 1952. Aussi étonnant que cela puisse paraître, on doit cette arrivée à un fabricant de briquet.L’entreprise Flaminaire, située à Redon, en Bretagne, s’inspire de la célébration américaine et de la manne suscitée par les achats des enfants et des compagnes. Sur ses affiches, on peut alors lire : "Nos papas nous l'ont dit, pour la Fête des pères, ils désirent tous un Flaminaire". Très vite, les entreprises et médias reprennent ce motif, qui répond quelques semaines plus tard à la fête des mères. Fête des pères : les cadeaux les plus populaires C’est souvent un casse-tête : quel cadeau offrir pour la fête des pères ? Le magazine LSA a publié en juin 2015 un sondage* montrant les préférences des Français en la matière. Les personnes interrogées ont répondu à la question : "Quel cadeau prévoyez-vous d’offrir pour la prochaine fête des pères ?". Les catégories les plus fréquemment citées sont : vin & alcools, livre/film/musique, vêtement/articles de modes, parfums/cosmétiques et restaurant. En 2014, une autre enquête du magazine LSA** donnait quelques indices sur les habitudes de consommation des Français à l’occasion de la fête des pères. 69,9 % des personnes interrogées déclarent qu’elles offriront un cadeau, contre 78,9% pour la fête des mères. Le budget moyen consacré au présent paternel s’élève à 49,98 euros. Pour les enfants, le poème pour papa reste un indémodable, qui fera toujours plaisir !
10 Lieux Les Plus... Insolites De La Terre... (Vidéo)...
Source : Île de Chamarel C'est une plaine et un village de l'île Maurice qui doit son nom à Charles-Antoine de Chazal de Chamarel. Et fait c’est une vidéo que je vous propose aujourd’hui il y a suffisamment de lieux magiques sur Terre pour remplir toute une vie. Cette vidéo créée par l’utilisateur All Time 10s recense dix merveilles qui ne sont pas forcément les plus connues. À l’image de ce cratère volcanique au Turkménistan, de la barrière de corail de Belize, d’un parc national aux sommets très étranges en Chine ou encore des dunes immenses du désert de Namibie (qui est le plus vieux du monde). Bref, si cette vidéo ne vous donne pas envie de partir…
Notre belle planète est pleine de diversité et d’une multitude de lieux évasifs et dépaysants. Mais elle regorge aussi d’endroits magnifiques et étranges qui ont l’air de venir d’ailleurs. La Structure de Richat ou « l’Oeil de l’Afrique » située au beau milieu du désert du Sahara en Mauritanie
La structure de Richat aussi appelée « l’oeil de l’Afrique » est une structure géologique située en Mauritanie qui est longtemps resté une énigme. Se trouvant en plein milieu du désert du Sahara, elle mesure 50 km de diamètre et n’est entièrement visible que depuis l’espace. Elle est en réalité le résultat d’un phénomène volcanique géant, vieux de 100 millions d’années. Pan d’Etosha, en Namibie
C’est un désert de sel situé au nord-ouest du bassin du Kalahari. Lors des saisons humides, le lieu est inondé et l’eau présente est saturée en sel. Certains l’apparentent à la surface d’une des lunes de Saturne, Titan car les lacs d’hydrocarbures sur ce satellite se comportent de façon similaire aux plans d’eau saturée de sel qu’on trouve sur Terre. Wai-O-Tapu, en Nouvelle-Zélande
C’est une zone volcanique naturelle où l’eau possède des couleurs irréelles. En réalité, ce sont des matériaux qui donnent cette couleur particulièreà l’eau : Le jaune pour le souffre, le orange est dû à la présence d’antimoine, le marron pour l’alun ou encore le vert pour les sels ferreux. Le désert d’Atacama, au Chili
Ce désert a été utilisé par la NASA pour tester Viking 1, Viking 2, la sonde spatialePhoenix et bien d’autres appareils pour leurs futures missions sur Mars. C’est aussi dans ce même désert qu’a été retrouvé ATA, un squelette humanoïde aux airs d’extraterrestres. Le salar d’Uyuni, en Bolivie
C’est une vaste étendue de sel (la plus grande du monde) située sur les hauts plateaux au sud ouest du pays, à plus de 3658m d’altitude. Elle fait une superficie de 10 582 km² soit 150 km sur 100 km environ et contient la moitié des réserves de lithium de la planète. Le Grand Trou Bleu
C’est un gouffre d’environ 300 m de diamètre et 120 m de profondeur, situé au milieu de l’océan à 80 km de Belize. Il a été rendu célèbre par l’explorateur français Jacques-Yves Cousteau en tant que site de plongée sous-marine. L’île Devon, au nord du Canada
C’est la plus grande île inhabitée au monde. Elle sert de lieu d’essai pour les robots d’exploration martiens et c’est là qu’est né le projet Haughton-Mars. Huanglong, en Chine
Cet endroit est connu pour ses bassins multicolores formés par des dépôts de calcite. Vale da Lua, au Brésil
Située dans le parc national de Chapada dos Veadeiros, cette vallée porte bien son nom (vallée de la lune) ! Elle possède parmi les plus anciennes formations rocheuses de la Terre. Le parc national de Teide sur les îles Canaries
Ce lieu a également servi de tests pour des équipements spatiaux qui ont notamment pour but de trouver de la vie sur Mars. L’île de Socotra, au Yémen
Vous a déjà vu cette île endémique sur laquelle on trouve une flore qu’on ne trouve nulle part ailleurs sur Terre. Rio Tinto, en Espagne
Cette rivière, surnommée la rivière rouge, est connue pour son acidité élevée avec un Ph de 2, causé par la présence de bactéries extrêmophiles. Elles sont appelées comme cela parce que la plupart des autres organismes vivants ne survivent pas à cet environnement très particulier) et sa couleur rougeâtre due au fer dissous dans l’eau. Kliluk, au Canada
Le lac tacheté est connu pour posséder les plus grandes quantités de sodium, de magnésium et de sulfates de calcium dans le monde. Mais ce n’est pas tout puisqu’il contient aussi de nombreux minéraux comme l’argent, le titane et autres sulfates. La vallée sèche de McMurdo, en Antarctique
C’est l’un des déserts les plus extrêmes du monde, où l’aridité dépasse peut-être même celle du désert d’Atacama. L’humidité est extrêmement basse, il n’y a pas de neige et ses 4800 km² en font l’une des plus grandes régions sans glace de l’Antarctique. Lorsque vient l’été, les vallées ne sont plus sèches mais sont parcourues par de nombreux cours d’eau formés par la fonte des glaces. (Source : IO9/Daily Geek Show)
C'était avant, les champs les villages étaient séparés pas de grands fossés et
des haies d'arbres tétards très gros absorbeurs d'eau et protecteurs de
la biodiversité de la faune ils sont certes moins esthétiques mais ils
sont protecteurs de la nature l'exploitation des terres est bien plus importante
Aujourd'hui on bétonne à tout va même dans des zones qui ne doivent pas l'être, la
modernité c'est bien et que l'on nous impose c'est pire, voilà le
résultat ( Les catastrophes ect...) quand on regarde que les anciens ne
batissaient pas dans certaines zones avaient tout compris il est vrai
aussi qu'il y a un dérèglement climatique mais la terre s'est faite
comment ?? et que la population augmente.
Avec leurs troncs courts caractéristiques de nos paysages bocagers depuis
plusieurs siècles, les arbres traités « en têtars » ont perdu leur
intérêt économique. S’il a concerné chênes, saules, érable champêtre,
aulne glutineux ou d’autres essences, ce mode de gestion a
principalement été appliqué aux frênes. Il subsiste encore dans nos
marais et vallées.
Les têtards de frênes produisaient beaucoup de feuillage, destiné
initialement, et pendant les deux derniers siècles, à fournir au bétail
le fourrage dont il avait avant tout besoin. Une coupe à ras des
branches était effectuée avant le mois de mars, à environ deux mètres de
hauteur. Les animaux présents dans l’herbage ne pouvaient ainsi pas
venir manger « leur blé en herbe » ! Travail dangereux à réaliser, cette
exploitation fournissait aussi à l’éleveur environ un stère de bois de
chauffage par arbre « émondé ». Offrant leur ombre aux bovins alors
nombreux dans nos vallées, les frênes têtards, ainsi contenus en hauteur
car émondés tous les 7 à 10 ans, assuraient aussi, grâce à leur système
racinaire, un rôle indéniable dans la tenue des berges de rivières.
Avec la disparition progressive de l’élevage et un entretien de plus en plus
réduit des vallées, est venu le temps de l’abandon de cette pratique.
Les arbres têtards ont développé de trop grandes branches charpentières,
ce qui les a rendu sensibles à l’ouragan de décembre 1999. Ceux qui
restent sont tous âgés (80 à 150 ans). Trop élancés, ils peuvent même
représenter un danger pour les berges qu’ils sont censés protéger.
Pour la seule beauté des paysages de nos vallées, il serait dommage que les
frênes têtards disparaissent. D’autant que leur intérêt est, sur le plan
environnemental, toujours bien réel. Les cavités creusées dans leurs
troncs par les ans peuvent abriter chouettes, huppe fasciée, loir,
lérot, ainsi que des amphibiens. La loutre peut venir se réfugier dans
les anfractuosités du système racinaire de ces arbres. La Rosalie des
Alpes, insecte très menacé, s’installe et se reproduit dans leurs
branches mortes… Il est reconnu que l’association frêne têtard et
peuplier en alignement contribue à une diversité biologique élevée (ex :
site de nidification pour les passereaux…).
Toutes ces raisons plaident en faveur de la conservation d’arbres têtards et
le remplacement au moins partiel de ceux qui sont trop âgés. S’ils n’ont
pas plus de 80 ans, il convient de les reprendre en coupe
progressivement, en deux passages espacés de 5 à 7 ans. Le recours à la
plantation de jeunes frênes (ou au recrutement de semis naturels), qui
subiront plus tard un « étêtage » à 15 cm de diamètre, est la solution
pour remplacer des troncs trop vieux ou détériorés.
Mais il est difficile de systématiser une telle démarche, qui ne peut
concerner que le nombre très restreint de propriétaires forestiers
faisant eux-mêmes leur bois. Encore faut-il qu’ils soient capables de
manier une tronçonneuse en haut d’une échelle ! Economiquement parlant,
ce mode de gestion n’est pas généralisable, sauf si une contrepartie
financière vient inciter un propriétaire à le faire. Cela pourrait être
le cas dans les sites Natura 2000, dont le document d’objectifs
prévoirait une incitation financière d’un niveau suffisant.
Pour ceux qui veulent approfondir le sujet
Voici un lien interressant
http://www.crpf-poitou-charentes.fr/Arbres-tetards-tires-de-l-oubli.html
Autre sujet
Ils y a aussi les politiques responsables , alors qui paient les dégâts
sanitaires ? l'Etat! c'est le cas pour l'amiante, pour l'uranium dans le
massif central etc.... et ça continue avec les gaz de schistes qu'on
risque d'exploiter, avec les compteurs Licky qui vont augmenter les
rayonnements, et plein d'autres choses. Pas besoin de penser à la
surpopulation de la planète, les méfaits de la pollution suffiront à
faire disparaitre certains, à faire vivre des laboratoires pour inventer
des médicaments alors qu'on pourrait éviter tout ça.
par Jenny BROWN
Auteur de ces collages, mélangeant fleurs avec animaux marins et donnant
naissance à de délicates créatures hybrides. Méduse florale et
céphalopode topiaire, plongez dans l’univers aquatique de cette
talentueuse artiste.
par Ryan LONGNECKER
photographe basé à Los Angeles,
Il capture la nature avec des tons bleutés, que ce soit dans contexte
polaire ou solaire, et nous emmène aux quatre coins de l’Amérique :
Tahoe, Joshua Tree, Belize, Yosemite, sur les côtes et sur les montagnes
en vues aériennes.
Deux Palestiniens sèment la terreur... Aux terrasses de Tel-Aviv...
Des survivants de la fusillade se serrent dans les bras sur une terrasse dans le quartier branché de Sarona.
Photo AFP Agence France-Presse Jérusalem
Deux Palestiniens ont semé la terreur mercredi soir à Tel-Aviv en ouvrant le
feu sans discrimination sur des clients attablés dans un quartier animé
de restaurants et de bars, tuant quatre d'entre eux et en blessant cinq autres.
Cette attaque est l'une des plus meurtrières de la part de Palestiniens
contre des Israéliens depuis le début d'une vague de violences en
octobre. Ses deux auteurs ont été arrêtés.
Les deux Palestiniens ont ouvert le feu vers 21 h 30 locales dans le
quartier de Sarona, un ensemble d'établissements situés à deux pas du
ministère de la Défense et très fréquentés à cette heure, ont rapporté
la police et des témoins.
Avraham Liber, jeune homme venu de Jérusalem, partageait une glace en terrasse
avec des amis. «J'étais assis de telle sorte que j'ai pu voir le
tireur», a-t-il relaté, «il avait l'air d'être assis sur une chaise, et
puis il s'est levé, et il s'est mis à tirer comme ça sur les gens autour
de lui, à bout portant». «C'est un truc de dingue», a-t-il ajouté.
Meital Gonen, une jeune femme, a vu des gens se ruer vers la porte de son
magasin de vêtements en suppliant: «Il y a un terroriste.
S'il vous plaît, ouvrez-nous». «Ils criaient, ils hurlaient, (il y avait)
beaucoup de sang, des gens qui mouraient. C'était terrifiant. Nous avons
ouvert les portes pour que les gens se mettent à l'abri».
Yechiel Miller, un bénévole des services de secours United Hatzalah, a raconté
avoir trouvé à son arrivée «une dame inconsciente, ne respirant plus,
dans un état critique». Outre les blessés, beaucoup de personnes ont été
prises en charge en état de choc, a raconté un autre infirmier, Davidi
Dahan.
Les conditions dans lesquelles les assaillants ont été neutralisés ne sont
pas claires. L'un a été arrêté apparemment indemne selon les indications
de la police, l'autre a été atteint par des tirs et évacué, dans un état grave, vers l'hôpital.
Le restaurant où s'est déroulée la fusillade. Photo Reuters
La police les a ensuite identifiés comme deux Palestiniens, des cousins du secteur d'Hébron, en Cisjordanie occupée.
L'attaque perpétrée a une nouvelle fois provoqué des scènes de panique. Elle a
également suscité un flot de rumeurs comme celle, démentie ensuite,
selon laquelle un tireur avait réussi à prendre la fuite.
«Nous n'avons pas connaissance du fait qu'un autre terroriste serait dans la
nature, donc pour nous, les gens peuvent reprendre le cours normal de
leur vie», a déclaré le chef de la police, Chico Edri, après que le
secteur eut été provisoirement bouclé.
En janvier déjà
Israël, Jérusalem et les Territoires palestiniens sont en proie à des violences
qui avaient coûté la vie, avant mercredi, à 207 Palestiniens, 28
Israéliens, deux Américains, un Érythréen et un Soudanais depuis le 1er
octobre, selon un décompte de l'AFP. On ignore la nationalité des
personnes tuées mercredi.
La plupart des Palestiniens tués sont les auteurs ou auteurs présumés
d'attaques, commises pour un grand nombre au couteau. Nombre des
assaillants proviennent de la région de Hébron, poudrière du sud de la
Cisjordanie.
Le rythme des attaques s'était considérablement ralenti ces derniers mois.
Mais les causes des tensions n'ont pas disparu.
Les perspectives de règlement du conflit israélo-palestinien semblent totalement bouchées.
La violence résulte chez les Palestiniens des vexations de l'occupation,
de l'absence de toute perspective proche d'indépendance, des
frustrations économiques et du discrédit des autorités palestiniennes,
estiment des experts.
Le gouvernement israélien, lui, dénonce les incitations généralisées à la
violence côté palestinien et le refus même de l'existence de l'État
d'Israël.
Les États-Unis, la France et l'ONU ont condamné le nouvel attentat.
«Les États-Unis condamnent dans les termes les plus forts l'attaque
terroriste effroyable à Tel-Aviv [...] Ces attaques lâches contre des
citoyens innocents ne peuvent jamais être justifiées», a déclaré le
porte-parole du département d'État, Mark Toner.
Le président François Hollande condamne «avec la plus grande force
l'odieux attentat» de Tel-Aviv, déclare un communiqué de la présidence
française, qui exprime «son total soutien à Israël dans la lutte contre
le terrorisme».
«Tout le monde doit rejeter la violence et dire non au terrorisme», a déclaré
l'envoyé spécial de l'ONU au Proche-Orient Nickolay Mladenov, dans une
apparente référence aux dirigeants palestiniens.
Tel-Aviv avait été le théâtre le 1er janvier d'une attaque analogue quand un
Arabe israélien avait ouvert le feu sur des terrasses d'établissements,
tuant deux personnes et faisant plusieurs blessés. Il avait ensuite tué
un chauffeur de taxi dans sa fuite. Il avait été abattu une semaine plus tard.
La municipalité a annoncé un renforcement de la sécurité auprès des écoles, des bâtiments publics et des lieux fréquentés.
Cependant, a convenu le maire Ron Huldai cité par un porte-parole, «nous ne
pourrons pas mettre un policier à l'angle de chaque rue».
«L'assaillant solitaire peut surgir à tous les coins de rue, telle est la réalité avec laquelle
il nous faut vivre», a-t-il dit.
Pour la marque de bijoux italienne Pomellato (qui célèbre l’image de la femme depuis 1965), Alessandro Polia et Antonio Zuddas (de l’agence The Big Now) ont commissionné les artistes du papier Apha Designet les photographes d’Arec Studio pour réaliser des posters et portraits, dans le cadre du Festival de Cannes 2016.
Ces 3 portraits représentent 3 actrices charismatiques : Salma Hayek (dans
Frida Kahlo), Catherine Deneuve (dans Belle de Jour) et Audrey Tautou
(dans Amelie), toutes faites à partir de collages en relief et de papier découpé.
A Chaque Fois Qu’une Petite Fille Nait .
Chaque culture a ses propres traditions qui tournent autour de la naissance
d’un enfant. Alors que nous célébrons la naissance d’une fille en
envoyant des robes roses et des poupées, dans le village de Piplantri à Rajasthan, Inde, ils la célèbrent en plantant 111 arbres.
C’est vrai, à chaque fois qu’une petite fille nait à Piplantri, 111 arbres sont plantés en son honneur!
Dans la plupart des villages indiens, la naissance d’une fille était historiquement considérée comme un fardeau pour la famille.
Les villages ruraux fonctionnent selon le système de
la dot, ce qui contribue au cout élevé des mariages pour les foyers avec
des filles. En conséquence, les filles étaient souvent considérées
comme inférieures aux hommes et beaucoup étaient mariées avant
d’atteindre l’âge de 18 ans; rares étaient celle qui recevaient une
éducation digne de ce nom.
La violence envers les femmes découlant de ces attitude est encore un sujet d’actualité en Inde. Le documentaire “India’s Daughters” a dernièrement été interdit car il présentait explicitement le viol et l’abus dans le pays.
En juxtaposition, la tradition de planter des arbres pour fêter la
naissance d’un enfant femelle à Piplantri semble rejeter complètement
ces contraintes historiques, favorisant l’espoir que ces attitudes
envers les femmes peuvent changer.
Cette coutume incroyable a été initiée par un ancien chef du village, Shyam Sundar Paliwal, pour honorer sa fille qui est morte jeune. Même si Paliwal n’est plus le chef du village, la tradition a quand même continué.
Quand une fille nait, les membres du villages se cotisent pour soulever une sorte de « fonds » pour la fille. Les parents contribuent du tiers de la somme de 31.000 roupies, l’équivalent de 500$, et l’argent est mis de côté comme une allocation
de 20 ans pour la fille. Ceci garantie qu’elle ne sera jamais considérée
comme un poids pour sa famille.
Piplantri
En contre-partie de ces fonds, les parents signent une déclaration sur
l’honneur qui stipule que la fille ne sera mariée qu’après avoir atteint
l’âge de 18 ans et qu’elle ait reçu une éducation digne de ce nom. La
déclaration sur l’honneur stipule qu’on doit aussi prendre soin des 111
arbres.
Piplantri
C’est une astuce très intelligente, mais la pratique de planter des arbres
avec la naissance d’un enfant fait en sorte que l’environnement local
sera toujours capable de soutenir la population croissante.
Piplantri
Cette belle tradition n’initie pas seulement une profonde appréciation pour
les femmes dans le village, mais elle engendre aussi un sens de
responsabilité remarquable envers l’environnement.
Gehrilal Balai, un père qui a planté 111 arbustes l’année dernière, a dit au Hindustan Times
qu’il a ressenti le même bonheur à s’occuper des arbustes qu’en berçant sa fille.
Piplantri
Les arbres sont devenus le symbole des bébés filles et les villageois
travaillent aussi dur pour protéger ces arbres des termites, en plantant
de l’aloé vera, que pour protéger les filles des difficultés de la vie.
Piplantri
En voyant la connection intime entre la santé sociale et la santé
environnementale du village, la tradition de Paliwal a créé un futur
très stable pour les membres de la communauté.
Piplantri
Durant les six dernières années, un quart de million d’arbres a été planté à
Piplantri. Les villageois attribuent à l’harmonie que cette tradition a
amené dans leur communauté la chute de criminalité. Sans parler de leur
amour renouvelé pour les petites filles.
Piplantri
Quand nous voyons la connexion entre les problèmes sociaux et que nous
cherchons leurs origines environnementales, nous pouvons trouver des
solutions uniques et incroyables aux problèmes de la vie moderne. Vous
pouvez penser qu’une chose aussi insignifiante qu’un arbuste ne pourrait
pas changer le monde, mais rappelez-vous, cet arbuste grandira un jour
et deviendra un grand arbre.
C’est aux Etats-Unis que naît la célébration de la fête des pères. La jeune Sonora Smart Dodd (1882-1978) était la fille d’un vétéran de la guerre de Sécession,
Henry Jackson Smart, veuf depuis de longues années. En 1909, elle
entendit parler del’initiative d’Anna Jarvis, visant à initier une fête des mères, lors d’un sermon prononcé dans une église méthodiste de Spokane, dans l’Etat de Washington. La jeune femme réclame alors une célébration de la paternité, venant en complément de la fête des mères et propose même la date
d’anniversaire de son géniteur, le 5 juin. Les pasteurs de la région se
saisissent de l’idée, même s’ils décident d’établir la fête au troisième
dimanche de juin : la première fête des pères est organisée, à Spokane, le 19 juin 1910.
Si les réjouissances de Spokane sombrent vite dans l’anonymat, l’idée de
fête des pères est lancée. Dans les années 1920, le président américain Calvin Coolidge tente d’en faire une fête officielle, mais se heurte au Congrès. Les parlementairescraignent que ce rappel des vertus paternelles devienne, à l’image de la fête des mères, un barnum commercial. En 1966 que le président Lyndon Johnson reconnaît le rituel dans une proclamation officielle. Six ans plus tard, Richard Nixon signe une loi en faisant une journée de célébration nationale. Le
Father’s Day est définitivement fixé au troisième dimanche de juin.
La fête des pères a été célébrée pour la première fois en France en 1952. Aussi étonnant que cela puisse paraître, on doit cette arrivée à un fabricant de briquet.L’entreprise Flaminaire, située à Redon, en Bretagne, s’inspire de la célébration américaine et
de la manne suscitée par les achats des enfants et des compagnes. Sur
ses affiches, on peut alors lire : "Nos papas nous l'ont dit, pour la
Fête des pères, ils désirent tous un Flaminaire". Très vite, les
entreprises et médias reprennent ce motif, qui répond quelques semaines
plus tard à la fête des mères.
Fête des pères : les cadeaux les plus populaires C’est souvent un casse-tête : quel cadeau offrir pour la fête des pères ? Le magazine LSA a publié en juin 2015 un sondage* montrant les préférences des Français
en la matière. Les personnes interrogées ont répondu à la question :
"Quel cadeau prévoyez-vous d’offrir pour la prochaine fête des pères ?".
Les catégories les plus fréquemment citées sont : vin & alcools, livre/film/musique, vêtement/articles de modes, parfums/cosmétiques et restaurant. En 2014, une autre enquête du magazine LSA** donnait quelques indices
sur les habitudes de consommation des Français à l’occasion de la fête
des pères. 69,9 % des personnes interrogées déclarent qu’elles offriront
un cadeau, contre 78,9% pour la fête des mères. Le budget moyen consacré au présent paternel s’élève à 49,98 euros.
Pour les enfants, le poème pour papa reste un indémodable, qui fera toujours plaisir !
Source : Île de Chamarel
C'est une plaine et un village de l'île Maurice qui doit son nom à Charles-Antoine de Chazal de Chamarel.
Et fait c’est une vidéo que je vous propose aujourd’hui il y a
suffisamment de lieux magiques sur Terre pour remplir toute une vie.
Cette vidéo créée par l’utilisateur All Time 10s recense dix merveilles qui ne sont pas forcément les plus connues.
À l’image de ce cratère volcanique au Turkménistan, de la barrière de
corail de Belize, d’un parc national aux sommets très étranges en Chine
ou encore des dunes immenses du désert de Namibie (qui est le plus vieux
du monde).
Bref, si cette vidéo ne vous donne pas envie de partir…
Notre belle planète est pleine de diversité et d’une multitude de lieux
évasifs et dépaysants. Mais elle regorge aussi d’endroits magnifiques et
étranges qui ont l’air de venir d’ailleurs. La Structure de Richat ou « l’Oeil de l’Afrique »
située au beau milieu du désert du Sahara en Mauritanie
La structure de Richat aussi appelée « l’oeil de l’Afrique » est une
structure géologique située en Mauritanie qui est longtemps resté une
énigme.
Se trouvant en plein milieu du désert du Sahara, elle mesure 50 km de
diamètre et n’est entièrement visible que depuis l’espace. Elle est en
réalité le résultat d’un phénomène volcanique géant, vieux de 100
millions d’années.
Pan d’Etosha, en Namibie
C’est un désert de sel situé au nord-ouest du bassin du Kalahari. Lors des
saisons humides, le lieu est inondé et l’eau présente est saturée en
sel.
Certains l’apparentent à la surface d’une des lunes de Saturne, Titan car les
lacs d’hydrocarbures sur ce satellite se comportent de façon similaire
aux plans d’eau saturée de sel qu’on trouve sur Terre.
Wai-O-Tapu, en Nouvelle-Zélande
C’est une zone volcanique naturelle où l’eau possède des couleurs irréelles.
En réalité, ce sont des matériaux qui donnent cette couleur particulièreà l’eau :
Le jaune pour le souffre, le orange est dû à la présence d’antimoine,
le marron pour l’alun ou encore le vert pour les sels ferreux.
Le désert d’Atacama, au Chili
Ce désert a été utilisé par la NASA pour tester Viking 1, Viking 2, la
sonde spatialePhoenix et bien d’autres appareils pour leurs futures
missions sur Mars.
C’est aussi dans ce même désert qu’a été retrouvé ATA, un squelette humanoïde
aux airs d’extraterrestres.
Le salar d’Uyuni, en Bolivie
C’est une vaste étendue de sel (la plus grande du monde) située sur les hauts
plateaux au sud ouest du pays, à plus de 3658m d’altitude.
Elle fait une superficie de 10 582 km² soit 150 km sur 100 km environ
et contient la moitié des réserves de lithium de la planète.
Le Grand Trou Bleu
C’est un gouffre d’environ 300 m de diamètre et 120 m de profondeur,
situé au milieu de l’océan à 80 km de Belize.
Il a été rendu célèbre par l’explorateur français Jacques-Yves Cousteau en
tant que site de plongée sous-marine.
L’île Devon, au nord du Canada
C’est la plus grande île inhabitée au monde. Elle sert de lieu d’essai pour
les robots d’exploration martiens et c’est là qu’est né le projet Haughton-Mars.
Huanglong, en Chine
Cet endroit est connu pour ses bassins multicolores formés par des dépôts de calcite.
Vale da Lua, au Brésil
Située dans le parc national de Chapada dos Veadeiros, cette vallée porte bien
son nom (vallée de la lune) !
Elle possède parmi les plus anciennes formations rocheuses de la Terre.
Le parc national de Teide sur les îles Canaries
Ce lieu a également servi de tests pour des équipements spatiaux qui ont
notamment pour but de trouver de la vie sur Mars.
L’île de Socotra, au Yémen
Vous a déjà vu cette île endémique sur laquelle on trouve une flore qu’on ne
trouve nulle part ailleurs sur Terre.
Rio Tinto, en Espagne
Cette rivière, surnommée la rivière rouge, est connue pour son acidité élevée
avec un Ph de 2, causé par la présence de bactéries extrêmophiles.
Elles sont appelées comme cela parce que la plupart des autres
organismes vivants ne survivent pas à cet environnement très
particulier) et sa couleur rougeâtre due au fer dissous dans l’eau.
Kliluk, au Canada
Le lac tacheté est connu pour posséder les plus grandes quantités de
sodium, de magnésium et de sulfates de calcium dans le monde.
Mais ce n’est pas tout puisqu’il contient aussi de nombreux minéraux comme l’argent,
le titane et autres sulfates.
La vallée sèche de McMurdo, en Antarctique
C’est l’un des déserts les plus extrêmes du monde, où l’aridité dépasse peut-être même celle du désert d’Atacama.
L’humidité est extrêmement basse, il n’y a pas de neige et ses 4800 km² en font
l’une des plus grandes régions sans glace de l’Antarctique.
Lorsque vient l’été, les vallées ne sont plus sèches mais sont parcourues par
de nombreux cours d’eau formés par la fonte des glaces.
(Source : IO9/Daily Geek Show)