De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
05/06/2016 - 16:31
Cité du Vin de Bordeaux.
Erigée sur la rive gauche de la Garonne, la Cité du Vin de Bordeaux a été inaugurée le 31 mai 2016.
3 000 mètres carrés consacrés à l'univers de la vigne, à même d'accueillir 450 000 visiteurs par an. 
Les concepteurs ont souhaité lui donner la forme d'un "liquide qui tourne dans le verre, geste que érigée sur la rive gauche de la Garonne, la Cité du Vin de Bordeaux a été inaugurée le 31 mai 2016.
3
 000 mètres carrés consacrés à l'univers de la vigne, à même d'accueillir 450 000 visiteurs par an.
 
Les concepteurs ont souhaité lui donner la forme d'un "liquide qui tourne dans le verre, geste que font tous les vignerons".
(Anouk Legendre, associée de l'agence d'architecture XTU).


Ici, le patio. Oeuvre du cabinet d'architecture parisien XTU associée à l'entreprise de design britannique Casson Mann,le musée et les 2 240 panneaux d'alu en laque irisée du bulbe se situent à l'entrée du quartier des Bassins à flot.
Le budget (qui n'a pas, pour une fois dans ce genre de projet, été dépassé) : 81 millions d'euros.
Autre bon point : 70 % des besoins de fonctionnement du bâtiment sont assurés par les énergies vertes.



Dans le parcours permanent de la Cité du vin bordelaise, les plus de 120 productions audiovisuelles au total contiennent plus de dix heures de contenus. Et ce n'est pas tout : un auditorium de 250 places ou encore un espace découverte pour 48 "cobayes" ouverts à une expérience gustative et olfactive dans le noir.

05/06/2016 - 10:44
Une spécialiste du body-painting rend hommage aux victimes des attentats de Paris à travers une belle œuvre
 
Voici une spécialiste du body-painting qui a une parfaite maîtrise des effets de profondeur et des perspectives. Les effets d'optique qu'elle crée à travers ses œuvres en est la preuve. L'américaine pourrait vous faire croire que ses " tatouages éphémères" sont incrustés sur les peaux de ses modèles. Elle a tenu à rendre hommage aux victimes des attentats de Paris à travers sa dernière vidéo, en lançant un message de paix.

05/06/2016 - 09:34
Le Sanctuaire Du Puy De Dôme : Mercure Au Sommet...
Par Détours En France...
 


Découvert à la fin du XIXe siècle, le sanctuaire de Mercure était l’un des plus
importants temples de montagne de toute la Gaule romanisée. Les fouilles
continuent d’y livrer une moisson de résultats.



Outre le magnifique paysage bocagé, nous pouvons distinguer au loin, juché
sur son volcan en someil le sanctuaire de Mercure et son observatoire
qui par son antenne de 73 mètres pique le ciel. Le puy de Dôme est
inratable !

La naissance du site En 1873, la guerre avec la Prusse n’étant plus qu’un mauvais souvenir, le
positivisme et le rationalisme ayant recouvré leur empire, on lance un
grand projet au sommet du puy de Dôme :

La construction d’un observatoire météorologique. De cette éminence pelée,
la science percera les secrets de la pluie et du beau temps… Le hasard
est souvent l’allié des archéologues.


On voit ici les vestiges du mur d’enceinte de ce temple de Mercure, grand
comme un terrain de football et construit en terrasses pour épouser la
courbe du point culminant de la chaîne des Puys.

Parvenus au temple au terme d’une ascension éprouvante, les fidèles suivaient un
cheminement jusqu’au « pronaos », une galerie devant la « cella »,
partie qui leur était interdite mais but du pèlerinage.

Alors qu’ils préparent les fondations de ce temple dédié au dieu progrès, les
ouvriers en trouvent un autre, son aîné de près de vingt siècles, voué àMercure.

Des éléments en domite (pierre volcanique exploitée au puy de Clerziou) et
en arkose (un type de grès) attirent l’attention des spécialistes et le
dossier ne traîne pas : l’incription au titre de monument historique est
quasi immédiate (1875) et permet de protéger ces nouvelles reliques.

L'observatoire du temple Le conseil général du Puy-de-Dôme, en collaboration avec l’université
Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand, a aménagé au chalet de
l’Observatoire, au sommet du puy de Dôme, une salle pour décrypter les
vestiges du temple de Mercure.

Il s’agit d’un centre d’interprétation contenant des moulages d’ex-voto et de blocs de pierre.
Il présente plusieurs restitutions possibles de ce monument spectaculaire,
dont les parois scintillaient grâce à la présence de mica dans la
domite et dont la couverture devait être constituée de plaques de plomb clouées.

L’inauguration de ce lieu qui permet de vivre les avancées et
interrogations quasiment en même temps que les chercheurs et
archéologues est récente.

puydedome.com

On entame une vraie campagne de fouilles en 1875 et, dès 1878, on peut
présenter avec fierté des reconstitutions aux millions de visiteurs de
l’Exposition universelle de Paris : plans, dessins et aquarelles.


Qu’a-t-on donc déterré, à 1 435 mètres, à 30 mètres seulement de la cime balayée
par les vents et par la pluie ? Sur une esplanade terminale, précédée de
terrasses que relient des volées de marches, un temple est entouré d’un
mur d’enceinte.

Il est formé d’un centre, la « cella », où devait se trouver la statue
de la divinité. Cette « cella » est bordée sur trois côtés d’une galerie
et, sur le quatrième, du « pronaos », un portique à colonnes, son entrée.

Temple gaulois ou romain ? Les pèlerins empruntaient le sentier des muletiers en se ménageant des
pauses : pour ralentir leur rythme cardiaque et se recueillir sur les
sanctuaires mineurs qui balisaient l’épuisante montée. Car le vrai
sanctuaire était évidemment le dernier. Cette conclusion n’a pas été
évidente à prononcer.


En effet, on s’est longtemps demandé si ce temple sommital correspondait à
un lieu de culte autonome ou s’il était un but de pèlerinage.

L’archéologie a récemment mis au jour un relais au col du Ceyssat (1 078 mètres). La
présence de bâtiments secondaires près du temple et d’absides
semi-circulaires à l’intérieur de celui-ci peut être décryptée : il
s’agirait d’espaces destinés au repos des pèlerins.


Mais alors, temple gaulois ou romain ?
Cette autre question n’est pas déplacée tant les influences semblent imbriquées.


Si l’on peut supposer que les Gaulois avaient déjà leur propre temple ou «
fanum » à cet emplacement, les Romains ont bien pris la suite. Pour
eux, ce site était également exceptionnel :

Le sommet de la chaîne des puys dominait tous les oppidums de la région,
symboles d’une puissance gauloise asservie mais à laquelle il fallait continuer d’en imposer.

Cette fois, c’est l’épigraphie, ou étude des inscriptions, qui a apporté les confirmations attendues.

Première étape : l’exhumation, en 1874, d’une plaquette votive avec une dédicace sans ambiguïté : « Au dieu Mercure de Dôme ».
Deuxième étape : la statuette de bronze trouvée en 1906 du dieu des commerçants et ses voyageurs.
Troisième étape :
une tête en domite et une stèle qui représentent de nouveau Mercure.

Quatrième et dernière étape :
la découverte en 2003 d’un bloc de pierre avec une nouvelle dédicace au
dieu, dont on suppose qu’elle constituait le socle d’une statue.

Les sceptiques auront bien du mal à déloger Mercure de son temple… Sa présence aide à comprendre l’implantation romaine à Clermont-Ferrand, encontrebas du sanctuaire.
Avant de se baptiser Clermont puis Clermont-Ferrand, la ville s’appelait Augustonemetum, ou « sanctuaire d’Auguste ». Elle fut un élément significatif du quadrillage du territoire arverne.

Après avoir définitivement vaincu les Gaulois à la bataille d’Alésia (52
avant J.-C.), les Romains durent s’atteler à une autre tâche : asseoir
leur pouvoir civil.

L’urbanisme et les grands travaux furent un moyen de choix, sous la poigne
vigoureuse d’Agrippa, l’ami d’Octave (devenu empereur sous le nom
d’Auguste en 27 av. J.-C.), il lance les différentes ramifications de la
Via Agrippa depuis Lyon, dont un tronçon passe par Augustonemetum.


« La ville n’est pas riche en vestiges romains », explique Chantal Lamesch, conservateur chargé des collections archéologiques au musée Bargoin, où l’on peut voir une partie des vestiges trouvés sur le puy de Dôme.
Bien peu de chose pour mesurer la grandeur passée de la ville.
Comme l’écrivait en 1931 le professeur Auguste Audollent, épigraphiste et doyen de l’université de Clermont-Ferrand :

« De somptueux monument publics, de confortables demeures privées devaient être la preuve matérielle de cette prospérité.
Malheureusement, l’incurie ou la rapacité des hommes n’a rien laissé subsister à la surface du sol : il a fallu les efforts persévérants de l’archéologie pour en découvrir sous terre les vestiges. »

Efforts qui ne connaissent pas de trêve : on a mis au jour, en 2006, près de
l’ancienne gare routière, un pied colossal de statue en bronze, d’une
finesse exceptionnelle.

Il pourrait être dû au célèbre sculpteur Zénodore, dont parle Pline à
propos de la réalisation du mythique Mercure des Arvernes, jamais
retrouvé.

Le chef-d’oeuvre révélé par ce fragment devait se trouver au centre du
forum et était sans aucun doute l’objet d’un culte à l’empereur ou à une
divinité...











05/06/2016 - 09:23
10 bonnes raisons de visiter Moulins...
Par Léa Billon...

 


À 2h30 de Paris, Moulins se prête aux escapades culturelles. Vivier de
collections en tous genres, la ville est le témoignage de plusieurs
siècles d’Histoire de France, des Ducs de Bourbon à nos jours. De Louis
Mantin en passant par les plus grands costumes scéniques et le musée de
la Visitation.


 Remonter le temps dans le coeur médiéval
La ville doit probablement son nom aux nombreux moulins présents dans la
région mais une légende raconte qu’Archambaud, sire de Bourbon, perdu au
cours d’une chasse se réfugia dans un moulin pour la nuit.

Il tomba amoureux de la jeune et jolie meunière et érigea un pavillon de chasse. Le
pavillon de chasse devint château et la ville naquit tout autour !
Classée ville d’Art et d’Histoire, Moulins s’illustre par un riche
patrimoine hérité du Moyen-Âge et de la Renaissance.

Les petites rues étroites et pavées, bordées de belles maisons à pans de
bois, les hôtels particuliers aux façades de briques roses et
noires losangées, le Jacquemart ou la Chapelle de la Visitation offrent
aux regards curieux de nombreux édifices chargés d’histoire.

Le Triptyque du Maître de Moulins Incontournable, la cathédrale renferme le fameux
Triptyque du Maître de Moulins. Ce tableau, qui a su traverser cinq siècles sans restauration, est
souvent qualifié comme étant un des chefs-d’oeuvre de la peinture de la fin du Moyen-Âge.

Niché dans la Chapelle des Evêques, le triptyque représente une Vierge en
gloire entourée du Duc Pierre II, de la duchesse Anne, fille de Louis XI
et de leur fille Suzanne. De renommée internationale, il garde tout son
mystère quant à l’identité exacte de son créateur !


Se laisser surprendre par la Maison Mantin
Il était une fois, à la fin du XIXe siècle, un riche bourgeois, Louis Mantin, qui se fit construire une imposante 
demeure aussi cosmopolite que cossue.

Se sachant malade, il rédigea un testament selon lequel il souhaitait que
sa maison soit ouverte au public cent ans après sa mort de façon à
montrer aux visiteurs "un spécimen d’habitation d’un bourgeois du XIXe siècle".

Le voeu, de l’excentrique donateur, fut excaucé : après plus d’un siècle
de sommeil, la Maison Mantin est aujourd’hui un véritable cabinet de
curiosités avec un goût prononcé pour la rareté, l’insolite,
l’éclectisme et l’exotique.

Des serpents dans du formol, des portraits drolatiques et effrayants,
des pictogrammes étranges, des indices maçonniques, des bouddhas, des
vitraux codés d’idéogrammes ou de démons, des mosaïques, des
faïences, des animaux empaillés et des oeuvres d’art…

La richesse des collections de cette étonnante bâtisse lui confère
un caractère unique, miroir original d’un passionné et d’une époque : le
XIXe siècle. 

 Découvrir les racines de l'Allier (Musée Anne de Beaujeu)
Réunion des musées municipal et départemental, le musée Anne de Beaujeu doit
beaucoup aux dernières volontés du Moulinois et collectionneur Louis Mantin.

Au début du XXe siècle, ce dernier légua sa maison, ses collections et une somme
d’argent aux pouvoirs publics pour la création d’un musée rassemblant
les deux collections dans le pavillon Anne de Beaujeu à la condition que
celui-ci soit ouvert au public dans les cinq ans suivants sa mort.

C’est ainsi que le nouveau musée ouvrit ses portes le 5 juin 1910. Le musée
Anne de Beaujeu constitue l’un des premiers exemples d’architecture et
de décor Renaissance construit en France. Il se compose d’un portique à
l’italienne dans lequel s’ouvre une tour percée de trois arcades
déclinant tout le registre ornemental de l’époque.

Constituées de dons, d’achats et de dépôts de l’Etat, les collections du musée
regroupent quelques 20 000 objets d’art, d’archéologie et d’histoire
naturelle dont une partie seulement est présentée dans les
salles d’exposition. 

Marcher sur les pas de Coco Chanel…
Saviez-vous que c’est à Moulins que Gabrielle est devenue Coco… ? En 1900, une
jeune fille pauvre de 18 ans débarque à Moulins, fraîchement admise à
l’Institution Notre-Dame pour y apprendre la couture.

Nul ne se doute alors que le destin extraordinaire de Coco Chanel est en train de s’écrire ! 
Tracée par le service patrimoine de l’Office du Tourisme, la visite guidée
"Sur les pas de Coco Chanel", de 1,5 km, permet d’écumer la douzaine de
lieux et institutions moulinoises où Gabrielle Chanel avait ses habitudes.

 Découvrir le génie des visitandines à l’ombre des cloîtres (Musée de la Visitation)...
Façonné par la passion de Gérard Picaud, l’homme de confiance des soeurs, le
Musée de la Visitation, créé en 1991, est né du désir de 89 monastères
de faire connaître leur Institut, leur spiritualité et leur Histoire
dans la ville où est décédée leur fondatrice, Sainte-Jeanne de Chantal Frémyot.

Unique au Monde, il permet de découvrir un patrimoine inédit composé de près
10 000 pièces sur cinq siècles d’art. Depuis plusieurs années, le musée
met l’accent sur le génie et la qualité des travaux d’aiguilles via des
expositions thématiques consacrées à la collection textile.

Exposition temporaire "Nous, visitandines de Moulins" Découvrez les liens urbanistiques et
sociaux tissés entre les visitandines et la ville qui les accueille depuis 400 ans, au travers de pièces d’archives,
d’œuvres d’art inédites et de souvenirs bourbonnais émouvants (du 5 maiau 24 décembre 2015). 


Faire une pause au grand café
Le Grand Café, café-brasserie sur la place d'Allier, est l'un des plus beaux de France. 
Inscrit à l'Inventaire des Monuments Historiques, il a conservé sa décoration de 1899. 
De style Art-Déco, sa devanture de boiseries, ses murs habillés de miroirs
dont les reliefs combinés déploient l'espace à l'infini, sa pendule et
son baromètre sont formidablement conservés. 

Assister à un lever de rideau unique sur les coulisses des spectacles...
Ouvert en 2006, Le Centre national du costume de scène (CNCS) est un
des premiers musées au monde dédié aux costumes et décors de scène. 

Issues de dons et des collections de la Bibliothèque nationale de France, de la
Comédie-Française et de l’Opéra national de Paris, il rassemble plus de
10 000 pièces uniques. 

Fleuron muséographique de la ville, situé dans l’ancienne caserne de cavalerie du XVIIIe siècle,
le CNCS s’attache à redonner une seconde vie au patrimoine matériel des spectacles. 

Les plus grands costumes y sont conservés : celui de Maria Callas
dans Norma en 1964, l’armure de Jean Marais dans Britannicus en 1952 ou
encore les tutus de Christian Lacroix pour Les Anges ternis en 1987.

Dans les pas chassés de Rudolf Noureev En dehors des expositions temporaires, le Centre abrite
également la collection Noureev avec une scénographie qui commémore la carrière du
danseur étoile le plus célèbre du XXe siècle. 


Costumes, tableaux, sculptures, gravures, estampes, meubles, instruments
de musique, photographies personnelles ainsi qu’une reconstitution de
son appartement Quai Voltaire à Paris saluent cette immense personnalité
de la danse. 


 Déguster un Palet d'Or...

 Créé à Moulins à la fin du siècle dernier par Bernard Sérardy, le Palet d'Or
est sans conteste la spécialité sucrée de la capitale historique du
Bourbonnais.

 Ce chocolat mi-amer, composé d'une ganache faite à partir d'un mélange de
chocolat et de crème fraîche, et légèrement parfumé au café, possède la
particularité d'être recouvert par quelques paillettes d'or fin.

Ce petit plaisir fut un tel succès à l'époque qu'il sera copié de
nombreuses fois, un chocolatier de Saint-Germain-en-Laye déposa même un
brevet à son nom. 

Après des années de procès, l'appellation Palets d'Or fut rendu à son
créateur, et par la même occasion aux Moulinois, ravis de pouvoir
retrouver ce qu'ils considèrent comme leur patrimoine local.

Retomber en enfance (Musée de l’illustration jeunesse)...
Unique lieu en Europe dédié à l’illustration du livre de jeunesse, le Musée de
l'illustration jeunesse (Mij) conserve plus de 3 400
planches originales de styles et de courants variés et une collection de
plus de 11 500 albums illustrés, du XIXe siècle à nos jours.

De la gravure au pop-up, de Gustave Doré à Grégoire Solotareff, le musée
met l’accent sur les milliers d’images qui fascinent les enfants depuis
200 ans.

 Installé dans le prestigieux hôtel de Mora, autrefois siège des célèbres imprimeries Desrosiers, le Mij couvre 350 m2 d’exposition sur deux étages et possède une aile réservée aux ateliers et animations.
Prendre du bon temps à l’hôtel de Paris...
Hôtel de caractère et demeure de style XIXe bâtie en 1834, l'hôtel de Paris est aujourd'hui un élégant complexe hôtelierer grand luxe, classé 4 étoiles.

Ghislaine et Philippe Boismenu, les propriétaires des lieux, ouvrent les portes
de cette  étape incontournable de la mythique Nationale 7, véritable
écrin de quiétude situé en plein coeur du centre historique de
Moulins. Ses deux restaurants :

"La Cave à viande" (brasserie) et son restaurant gastronomique "Le 1834"
vous invitent à découvrir une cuisine du terroir. Le Spa, abrité dans
les cryptes de la chapelle, est un sanctuaire dédié au bien-être et à la
beauté.

Office de tourisme de Moulins et sa région - Infos touristiques - Voir la fiche
Le Grand Café - Café/Bar/Salon de thé - Voir la fiche
Hôtel de Paris (Moulins) - Hôtel - Voir la fiche
Les Palets d'Or - Artisans (métiers de bouche) - Voir la fiche
Musée de l'illustration jeunesse - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Centre national du costume de scène - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Musée de la Visitation - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Musée Anne de Beaujeu et Maison Mantin - Musée/Monument/Site - Voir la fiche









05/06/2016 - 07:48
L'évolution des poupées Barbies de 1959 à 2015, 56 ans...
 
Depuis la sortie de la poupée Barbie emblématique, c'est-à-dire en 1959, on a observé des changements au fil des années. Ces changements sont venus des idéaux que la société a fixés pour les femmes. Tenaflyviper a fait une sélection de visage des barbies de 1959 à 2015, donc 56 ans, 56 photos pour nous montrer la différence, l'évolution.
Vous préfériez les barbies d'avant ou celles d'aujourd'hui ?




 






[td]














05/06/2016 - 07:44
Origami, l'art de plier des papiers n'a jamais été aussi réussi.
 
Au Japon, à chaque 11 novembre, on célèbre la journée de l'origami. Représentés des animaux, des personnes, des choses avec du papier, c'est juste extraordinaire. L'origami a été présent au Japon bien avant 1680, 100 ans après en Europe, un Allemand du nom de Friedrich Fröbel apprend cet art de plier des papiers à des enfants qui font la maternelle. Depuis, l'origami ne cesse de se moderniser, ces belles images vous en diront plus.


 



















































































05/06/2016 - 07:41
10 clichés qui finiront de vous prouver que les smartphones
sont des aspirateurs d'âmes.


Le smartphone est un objet pratique de nos jours et est devenu
incontournable dans notre quotidien. C'est l'outil de communication par
excellence, il nous sert de réveil, de lecteur musique, nous donne
l'information en temps réel et tout ceci grâce à ses multiples
fonctionnalités. Pour certains, le dernier contact qu'ils ont
juste avant de dormir, c'est avec leur smartphone, à tel point qu'il est
devenu indéboulonnable dans nos vies. Cette dépendance a été ressassée
en quelques clichés par l'artiste français Antoine Geiger qui les décrit
comme des aspirateurs d'attention, d'émotion et d'identité, faisant de
nous des curateurs de notre propre vie. La preuve en 10 clichés
mémorables.



 


























 
05/06/2016 - 07:34
Harcèlement sexuel, la nouvelle campagne qui dit
"ÇA SUFFIT".

 
L'étude qui avait été menée par le Haut Conseil à l'Egalité entre les Femmes et les Hommes (HCEFH) 
sur 600 femmes a démontré que 100 % des femmes avaient fait l'objet d'harcèlement dans les transports en commun. 

Une campagne publicitaire a été lancée dans beaucoup de grandes villes depuis le 9 de ce mois, par le gouvernement français. À la gare ou dans le métro ou à chaque station routière, vous verrez probablement ces affiches publicitaires
qui disent stop aux harcèlements sexuels. Si vous ne l'avez pas encore vu, on vous donne ce petit aperçu
.










 





















04/06/2016 - 17:20
04/06/2016 - 08:08