Sortez de l’ordinaire en célébrant l’Halloween avec des courges blanches Leur popularité n’a cessé d’augmenter ces dernières années pour renouveller cette fête de la citrouille traditionnelle
La courge Baby Boo est une variété coureuse, productive (8 à 20 fruits par pied) produisant des mini-citrouille de 5 à 8 cm de diamètre sur 2 à 3 cm de hauteur, entre 100 et 200 g de chair blanche, farineuse, sucrée et au goût de châtaigne.
A consommer farcie ou comme des pommes de terre sautées.
Semis : en avril, en godets dans un endroit clair (température 12°C minimum, les graines ont besoin de chaleur pour germer), posez les graines sur la tranche. Attention à l'arrosage, il faudra maintenir le terreau humide avec un pulvérisateur mais sans excès pour ne pas faire pourrir la graine. Placez vos godets près d'une source lumineuse.
Repiquer à exposition ensoleillée à la mi-mai à 1 m en tous sens pour les variétés non coureuses et de 1,20 m sur le rangs et de 2 m entre les rangs pour les variétés coureuses. Arrosages. Apport de compost conseillé. Pincer les tiges afin de stimuler le développement. Biner et sarcler. Pailler le pied afin de limiter le développement d'adventices et préserver l'humidité. Arroser au pied en été sans mouiller le feuillage.
Les bonnes associations - Eviter de faire voisiner avec les pommes de terre. - Par contre, il appréciera la proximité du haricot et du chou.
Récolte et conservation des courges
Entre septembre et novembre, généralement autour du mois d'octobre avant les gelées.
Un des meilleurs moyens de savoir quand récolter vos courges est d'observer le pédoncule, qui devient liégeux quand le fruit est prêt. Attention, ne jamais attraper les courges par ce fameux pédoncule car cela occasionnerait d'invisibles lésions, immanquables causes de pourrissement. Les fruits doivent être coupés au plus près de la tige, laissés sécher une journée au soleil, puis rentrés au chaud, sans les heurter bien sûr, dans un local bien sec et ventilé : entre 12 et 20°C. Pour les petites quantités, un haut d'armoire ou de placard dans la maison est idéal.
Ce commentaire a été modifié le 21/10/2019 à 00:30
Depuis plus d'un siècle, plusieurs générations de jardiniers et de paysans ont constaté l'influence de la lune sur la qualité de leurs récoltes.
En comparant les observations et les expériences, plusieurs principes ont été mis en évidence, qui ont permis d'établir des correspondances entre - les phases de la lune, - sa trajectoire dans le ciel et - le développement des végétaux... avec à la clé de réels bienfaits de la lune sur les plantes, les fruits et les légumes du jardin !
Si vous suivez les préceptes du jardinage lunaire, - les phases montantes et - descendantes de la lune sont très importantes :
..en effet, les phases de lune montante sont celles durant lesquelles vous allez pouvoir semer, faire pousser, greffer, ..tandis que les phases descendantes seront réservées à la taille, la plantation, le bouturage et le rempotage.
De même, - durant les phases de lune croissante (période qui s'écoule de la nouvelle lune à la pleine lune) les récoltes sont censées être conservées, - tandis que durant les phases de lune décroissante (période qui s'écoule de la pleine lune à la nouvelle lune suivante), les récoltes sont faites pour être consommées.
La seconde quinzaine d'octobre : Du 20 au 31 octobre 2019 : lune montante Dernier quartier : lundi 21 octobre Nouvelle lune : lundi 28 octobre Jardiner avec la lune implique de respecter certains principes, comme par exemple celui de ne pas jardiner (ou alors d'éviter de jardiner 5 heures avant ou après) les jours où la lune est à une période :
- D'apogée, qui correspond au moment où, lors de sa rotation autour de la Terre, la lune s'en écarte au maximum (distance maximale entre la Terre et la Lune). - De périgée, qui correspond au moment où, lors de son parcours autour de la Terre, la lune se rapproche au maximum de cette dernière (distance minimale entre les deux astres). - De nœud lunaire (quand, lors de sa rotation autour de la Terre, la lune « coupe » le plan de rotation de cette dernière autour du Soleil).
Pour le mois d'octobre 2019 :
- Périgée lunaire : samedi 26 octobre - Nœuds lunaires ascendants : samedi 5 octobre et dimanche 20 octobre - Apogée lunaire : jeudi 10 octobre En tenant compte de son orbite, son axe et sa distance par rapport à la Terre, le calendrier lunaire différencie :
- Les jours fruits, durant lesquels vous devrez vous focaliser sur : vos arbres fruitiers, qu'il s'agisse de plantation, de semis ou de récolte ! - Les jours racines, où il faudra mettre l'accent sur : la plantation, les semis et la récolte des bulbes et légumes à racines. - Les jours fleurs, autrement dit les jours parfaits pour : entretenir vos fleurs, arbustes et autres plantes. - Les jours feuilles, particulièrement favorables à : la coupe, la taille, la plantation, le semis et le bouturage des végétaux à feuilles. Appliqué au calendrier lunaire du jardinage en octobre 2019 :
Jours fruits en octobre 2019 : samedi 5 octobre, mercredi 16 octobre, mercredi 23 octobre, jeudi 24 octobre.
Le savoir-faire et la patience d'un jardinier de La Ciotat (Bouches-du-Rhône) a permis de battre un record. Par Ludovic Moreau Mis à jour le 02/10/2019
Après plusieurs années de tentatives, il a obtenu deux courges de plus de 300 kg, de quoi préparer un velouté pour... 600 personnes. Non, ce n'est pas une conséquence du nuage de Tchernobyl, mais bien le résultat du travail du jardinier de Jean-Pierre Canavese, le propriétaire du terrain.
Au milieu de son jardin, à La Ciotat, dominent deux gigantesques courges.
Deux cucurbitacées de plus de 300 kg chacune et de plus de quatre mètres de circonférence.
"Je m'attendais à de grosses courges, mais pas à ce point-là. Lorsqu'elles étaient petites, je les avais posées sur des palettes pour les isoler du sol, mais surtout pour pouvoir les transporter", explique Christian Vanetti, le jardinier.
Tout a commencé il y a quatre ans, lorsqu'un ami lui a offert une graine de courges. "C'était une graine de la variété Atlantic Giant, très connue aux Etats-Unis et au Canada, pour leur capacité à devenir énorme", précise le jardinier.
Christian Vanetti raconte que la première année, il a obtenu une courge de 130 kg. La deuxième année a été un échec, parce que le pédoncule s'était cassé lors d'une manipulation. L'année dernière, il a fait pousser une courge de 226 kg et a obtenu le premier prix à l'occasion de la Fête de la Courge, à Rians, dans le Var.
D'abord, il faut choisir la bonne variété. L'Atlantic Giant est la mieux adaptée, notamment pour les concours (appelé aussi Courge Gargantua). La plus grosse courge au monde pesait plus de 700 kg.
Ensuite, "il faut énormément d'eau, ces potirons ont très, très soif et ont besoin d'une quantité très importante d'oligo-éléments", explique le botaniste. "Après, il faut un petit savoir-faire personnel". Un savoir-faire personnel et beaucoup de patience "Il faut être présent tous les jours", indique Christian Vanetti. La plante repose à terme sur une surface de 150 m2. Elle possède une tige principale d'environ dix mètres et de plusieurs tiges secondaires.
"Il faut laisser les tiges secondaires pour qu'elles prennent racine et apportent beaucoup de nourriture, il faut un gros feuillage", confie le jardinier.
Mais le véritable secret, c'est la pollinisation. Lorsque le potiron naît et que la fleur apparaît, "on pollinise la fleur manuellement et ensuite on la ligature pour éviter l'arrivée d'autres insectes".
Les courges offertes aux associations Les 12 et 13 octobre prochains, les deux potirons géants seront présentés aux concours de Rians, à l'occasion de la Fête de la Courge.
De retour chez leur propriétaire, il faudra encore attendre 3 à 4 semaines, le temps que les graines mûrissent pour l'année prochaine.
Enfin, les deux cucurbitacées seront offertes à une ou plusieurs associations caritatives.
Chaque potiron devrait permettre de préparer un velouté pour 300 personnes tout de même...
Arbre à perruque, if, berbéris, narcisse, graminée, tulipe, jacinthe...
1) Le feuillage de l’arbre à perruque ‘Royal Purple’ou ‘Dusky Maiden’(Cotinus coggygria), brun pourpre pendant la belle saison, se pare peu à peu de coloris flamboyants avant de tomber.
2) Au pied, l’or d’un berbéris nain ‘Aurea’ ( B. thunbergii) apporte une touche de lumière et contraste à merveille avec les feuilles noires de l’arbre à perruque.
3) Les fleurs des chrysanthèmes , dorées, orangées ou rouge ardent, s’harmonisent avec les feuillages d’automne. Ici, cultivées en potées, elles sont suffisamment rustiques pour prendre place en pleine terre. - Les chrysanthèmes supportent parfaitement le froid à condition que le sol soit perméable. -- Les meilleures variétés sont : ‘Goldmarianne’à fleurs simples jaune clair, ‘Orange Wonder’à fleurs simples orange cuivré et ‘Red Velvet’ à fleurs doubles rouge pourpré.
4) Au centre de la scène, la potée d’alstrœmères à fleurs rouges fleurit surtout en été, elle peut donc être remplacée par des hélénies (Helenium) rouge brique comme ‘Moerheim Beauty’. De la plantation à l’entretien :
Bêcher la surface du parterre sur 20 cm de profondeur. - Dans les terres lourdes, il faut apporter du gravier afin d’améliorer le drainage et - dans les sols pauvres, incorporer du terreau à la terre pour l’enrichir.
Toutes ces plantes ont besoin de lumière : - veiller à leur choisir un emplacement bien ensoleillé.
Commencer les plantations par l’arbre à perruque ; attention, le trou doit être assez grand pour contenir la motte.
Ensuite, installer le berbéris Respecter une distance de 80 cm entre ces deux sujets.
Enfin, pour les chrysanthèmes des jardins, prévoir des groupes de 3 pieds de même couleur. Faire tremper les pots dans une bassine d’eau s’ils semblent secs. Les dépoter et les installer en terre. Les recouvrir, tasser et terminer par un arrosage.
Pailler le sol sur 5 cm d’épaisseur pour limiter la corvée de désherbage.
L’hiver, couper au ras du sol les tiges fanées des chrysanthèmes et des hélénies. L’arbre à perruque n’exige pas de taille particulière, mais il est possible de raccourcir les branches devenues gênantes après la floraison.
Au début du printemps, tailler le berbéris à la cisaille pour lui conserver sa forme compacte.
En juin, pincer les tiges des chrysanthèmes pour obtenir des touffes moins hautes, mais plus ramifiées. En intervenant au fil des saisons ce massif restera impeccable. En juin-juillet le spectacle est magnifique, le feuillage pourpre de l’arbre à perruque se pare d’inflorescences plumeuses rosées. Quant à la floraison des vivaces, elle débute à la mi-août pour les hélénies et pour les chrysanthèmes, de la fin août jusqu’aux premières gelées.
Conseils : - Cette scène pourra être complétée par des petites graminées du type stipia (S. tenuissima) ou herbe-aux-écouvillons (Pennisetum alopecuroides). - Dès l’automne, planter quelques bulbes à floraison printanière . Tulipes , Narcisses , Crocus , ou Jacinthes apporteront de la couleur en début de saison à ce massif d’automne.
ET : Une jolie scène bien structurée en sol pauvre, sec et calcaire. Associer un arbre à perruque ‘Grace’(Cotinus coggygria) et un if ‘Fastigiata Aurea’ (Taxus baccata).
Le feuillage presque noir du premier prendra de belles couleurs avant de tomber, contrastant avec le vert bleuté des aiguilles du second. En parfaite opposition, le port arrondi de l’arbre à perruque épouse la forme élancée du conifère. Faite de deux essences, cette association captera les regards au fil des saisons.
Pour réaliser ce décor :
- planter ces 2 arbustes en les distançant de 50 cm.
À l’âge adulte, l’arbre à perruque peut atteindre 2,50 m de hauteur environ.
Le conifère, quant à lui, s’élève jusqu’à 4 m tout en conservant sa belle silhouette élancée.
L'if ‘Fastigiata Aurea’, conserve lui aussi sa jolie forme, mais il présente en plus un magnifique feuillage marqué de jaune doré.
- Au printemps, tailler le conifère à la cisaille tout en respectant son port en forme de fuseau.
Les premières années de culture, supprimer les branches de l’arbre à perruque, elles sont susceptibles de gêner la croissance de l’if.
Ce commentaire a été modifié le 04/10/2019 à 01:51
"Ce jardin personnel, né d’une passion il y a 25 ans fait partie des Parc et Jardins Rhône-Alpes.
"Le parc de la Belle Allemande est un jardin aménagé dans une clairière adossée à la colline de la Croix-Rousse, sur deux longues terrasses qui suivent les méandres de la Saône que l’on aperçoit entre les arbres.
C’est un jardin sur une colline au dessus de la Saône qui offre des points de vue magnifiques sur la rivière et sur les Monts d’or . Au loin les Monts du Lyonnais et le col de la Luére
La partie paysagee du jardin s’insere dans un bois touffu d’erables planes et de marronniers
On ne se croirait pas en ville à 20mn à pied de la Place des Terreaux !
Il entoure une maison du XVIIIème siècle du château de la Belle Allemande, et de sa Tour rose par Jean Kleberger, natif de Nuremberg en Allemagne, le fameux "Homme de la Roche" ou le Bon Allemand (son épouse étant "La Belle Allemande") dont la statue orne le quai Pierre Scize.
Dans les actes notariés anciens (vente du domaine en 1802 au Baron de Vouty) est décrit un parc avec une double allée de marronniers, une vigne, un potager, un jardin d’agrément, des bassins.
En 1981, date d’acquisition de la Belle Allemande par les actuels propriétaires, ne subsistaient que l’allée de marronniers et les bassins en piteux état.
Au fil des ans, les propriétaires passionnés de plantes ont créé l’actuel jardin en dessinant des massifs informels avec érables, roses anciennes, hydrangeas, buis, hostas, fougères, graminées et une grande variété de plantes vivaces.
C’est un jardin pour les quatre saisons. - Au printemps, les canards sauvages viennent nicher au milieu des centaines de jonquilles, narcisses, scilles, des bois, tulipes ; - l’été apparaissent les roses, les hydrangeas et - l’hiver, les écorces décoratives.
Au cœur de la ville, avec ses poules naines, ses coqs et ses pigeons-paons, ce parc est aussi un sanctuaire pour les oiseaux sauvages qui trouvent leur nourriture toute l’année grâce aux nombreuses espèces végétales.
"C’est un jardin où les jeux d’ombre et de lumière apportent un charme particulier !"
Les visiteurs pourront découvrir sur le quai Pierre Scize, « l’Homme de la Roche ». Pour lui rendre hommage, une statue de pierre a été érigée.
Une visite enchanteresque dans un merveilleux jardin dans Lyon et déjà une impression de campagne silencieuse toute fleurie. Un accueil personnalisé par la personne qui a crée de ses mains ce site , avec des arbres surprenants et beaucoup de variétés d'hortensias entre autres. Couleurs, senteurs, quelle après-midi d'admiration et d'échanges.
La Belle Allemande, l'un des plus beaux jardins secrets de Lyon planté sur la colline de la Croix-Rousse. Otez vos chaussures, on vous emmène gambader dans l'herbe. Celle qui chasse les mauvaises herbes et traque les plantes rares depuis plus de 30 ans, s'appelle Madame Serre
Et une fois le tour du propriétaire terminé, ce sera pause goûter au vert avec gâteaux et sirop aux fleurs de sureau cueillies ce printemps. Vous avez la main verte ? Sachez que Madame Serre a toujours quelques boutures en rab' dans sa brouette.
du 20 mars au 15 octobre 10€ visite simple 12€ visite guidée Gratuit moins de 16 ans Uniquement sur Rd 1h46
A la fin du XVIIIème siècle Jean Klegerger quitte Nuremberg, en Allemagne et s’installe à Lyon.
Fortune faite il acquiert une clairière blottie au pied de la Croix Rousse, surplombant un méandre de la Saône.
Quelques faits notoires sur le fleuve et il devient : « L’Homme de la Roche » ou « Le Bon Allemand ».
En reconnaissance, une statue est érigée quai Pierre Scize.
Lorsqu’il se marie, avec une Française, elle devient tout naturellement « la Belle Allemande ».
Il construit, aménage, le jardin conservera le joli surnom donné à son épouse.
Puis les propriétaires se succèdent, le jardin végète...
La beauté naturelle, les grands arbres cernant les lieux séduisent Madame Serre.
Quelques coups de pelle, l’odeur d’humus...elle sait que le jardin peut renaître.
En 30 ans il s’est forgé une personnalité.
Sous les ombrages des arbres centenaires se déploient plusieurs étages de végétaux.
Le rythme est donné par - un cyprés chauve aux rameaux verts bordés de jaune, - un ginko, - un sequoia, - mélèze du japon, - un thujopsis.
De taille moyenne ils donnent une ombre plus légère.
Les arbres à écorce décorative apportent une touche raffinée : - le bouleau Jacquemontii au tronc blanc éclatant, - un prunus - Les serpentins de gazon se faufilent entre - les massifs informels de vivaces plantés serrés et nous dirigent vers une gloriette colonisée : - par les rosiers grimpants et - les clématites « Montana » ou « Gloire de Lyon ».
Opulence et simplicité font bon ménage chez les rosiers à tiges ou grimpants.
Escaladant les arbres ou les supports de bambou ils affichent un volume intéressant et répandent couleurs et parfums durant de longs mois : - Astronomia, - Pierre de Ronsard, - Looping, - Buff beauty se mêlent aux nuées suaves - des seringats et - sureaux.
N’oublions pas : - les érables du Japon au rouge éclatant, - les cornouillers, - les cornus... le vent fait bruisser : - les bambous.
Sur une grande table un goûter « british » nous attend : - cake vegan, - thé, - sirop de fleurs de sureau.
Un espace calme, accueillant où le chat est le parfait témoin du lieu - ni trop domestiqué, - ni trop sauvage.
L’œil ne se lasse jamais, la lumière nuance la beauté, la nuture se renouvelle.
Les jardins sont ce qu’en fait le jardinier par : - ses idées, - son travail
par : Fédération Française du Lyceum Club International
Ce commentaire a été modifié le 21/09/2019 à 17:08
Merci Clodisa
Merci Victoria pour tout.
en célébrant l’Halloween avec des courges blanches
Leur popularité n’a cessé d’augmenter ces dernières années pour renouveller
cette fête de la citrouille traditionnelle
La courge Baby Boo est une variété coureuse, productive (8 à 20 fruits par pied) produisant des mini-citrouille de 5 à 8 cm de diamètre sur 2 à 3 cm de hauteur,
entre 100 et 200 g de chair blanche, farineuse, sucrée et au goût de châtaigne.
A consommer farcie ou comme des pommes de terre sautées.
Semis : en avril,
en godets dans un endroit clair
(température 12°C minimum, les graines ont besoin de chaleur pour germer),
posez les graines sur la tranche.
Attention à l'arrosage, il faudra maintenir le terreau humide avec un pulvérisateur mais sans excès pour ne pas faire pourrir la graine.
Placez vos godets près d'une source lumineuse.
Repiquer
à exposition ensoleillée à la mi-mai à 1 m en tous sens pour les variétés non coureuses et
de 1,20 m sur le rangs et de 2 m entre les rangs pour les variétés coureuses.
Arrosages. Apport de compost conseillé.
Pincer les tiges afin de stimuler le développement.
Biner et sarcler.
Pailler le pied afin de limiter le développement d'adventices et préserver l'humidité.
Arroser au pied en été sans mouiller le feuillage.
Les bonnes associations
- Eviter de faire voisiner avec les pommes de terre.
- Par contre, il appréciera la proximité du haricot et du chou.
Récolte et conservation des courges
Entre septembre et novembre, généralement autour du mois d'octobre avant les gelées.
Un des meilleurs moyens de savoir quand récolter vos courges est d'observer le pédoncule, qui devient liégeux quand le fruit est prêt.
Attention,
ne jamais attraper les courges par ce fameux pédoncule car cela occasionnerait d'invisibles lésions, immanquables causes de pourrissement.
Les fruits doivent être coupés au plus près de la tige, laissés sécher une journée au soleil,
puis rentrés au chaud, sans les heurter bien sûr, dans un local bien sec et ventilé :
entre 12 et 20°C.
Pour les petites quantités, un haut d'armoire ou de placard dans la maison est idéal.
Calendrier lunaire de jardinage : le principe
Depuis plus d'un siècle, plusieurs générations de jardiniers et de paysans ont constaté l'influence de
la lune sur la qualité de leurs récoltes.
En comparant les observations et les expériences, plusieurs principes ont été mis en évidence, qui ont permis
d'établir des correspondances entre
- les phases de la lune,
- sa trajectoire dans le ciel et
- le développement des végétaux...
avec à la clé de réels bienfaits de la lune sur les plantes, les fruits et les légumes du jardin !
Si vous suivez les préceptes du jardinage lunaire,
- les phases montantes et
- descendantes de la lune sont très importantes :
..en effet, les phases de lune montante sont celles durant lesquelles vous allez pouvoir semer, faire pousser, greffer,
..tandis que les phases descendantes seront réservées à la taille, la plantation, le bouturage et le rempotage.
De même,
- durant les phases de lune croissante (période qui s'écoule de la nouvelle lune à la pleine lune)
les récoltes sont censées être conservées,
- tandis que durant les phases de lune décroissante (période qui s'écoule de la pleine lune à la nouvelle lune suivante),
les récoltes sont faites pour être consommées.
La seconde quinzaine d'octobre :
Du 20 au 31 octobre 2019 : lune montante
Dernier quartier : lundi 21 octobre
Nouvelle lune : lundi 28 octobre
Jardiner avec la lune implique de respecter certains principes,
comme par exemple celui de ne pas jardiner (ou alors d'éviter de jardiner 5 heures avant ou après) les jours où la lune est à une période :
- D'apogée, qui correspond au moment où, lors de sa rotation autour de la Terre, la lune s'en écarte au maximum (distance maximale entre la Terre et la Lune).
- De périgée, qui correspond au moment où, lors de son parcours autour de la Terre, la lune se rapproche au maximum de cette dernière (distance minimale entre les deux astres).
- De nœud lunaire (quand, lors de sa rotation autour de la Terre, la lune « coupe » le plan de rotation de
cette dernière autour du Soleil).
Pour le mois d'octobre 2019 :
- Périgée lunaire : samedi 26 octobre
- Nœuds lunaires ascendants : samedi 5 octobre et dimanche 20 octobre
- Apogée lunaire : jeudi 10 octobre
En tenant compte de son orbite, son axe et sa distance par rapport à la Terre, le calendrier lunaire différencie :
- Les jours fruits, durant lesquels vous devrez vous focaliser sur :
vos arbres fruitiers, qu'il s'agisse de plantation, de semis ou de récolte !
- Les jours racines, où il faudra mettre l'accent sur :
la plantation, les semis et la récolte des bulbes et légumes à racines.
- Les jours fleurs, autrement dit les jours parfaits pour :
entretenir vos fleurs, arbustes et autres plantes.
- Les jours feuilles, particulièrement favorables à :
la coupe, la taille, la plantation, le semis et le bouturage des végétaux à feuilles.
Appliqué au calendrier lunaire du jardinage en octobre 2019 :
Jours fruits en octobre 2019 :
samedi 5 octobre, mercredi 16 octobre, mercredi 23 octobre, jeudi 24 octobre.
Jours racines en octobre 2019 :
dimanche 6 octobre, lundi 7 octobre, mardi 8 octobre, jeudi 17 octobre, vendredi 18 octobre, samedi 19 octobre,
vendredi 25 octobre, samedi 26 octobre, dimanche 27 octobre.
Jours fleurs en octobre 2019 :
mardi 1er octobre, mercredi 2 octobre, mercredi 9 octobre, jeudi 10 octobre, vendredi 11 octobre, dimanche 20 octobre,
lundi 21 octobre, lundi 28 octobre, mardi 29 octobre.
Jours feuilles d'octobre 2019 :
jeudi 3 octobre, vendredi 4 octobre, samedi 12 octobre, dimanche 13 octobre, lundi 14 octobre, mardi 15 octobre,
mardi 22 octobre, mercredi 30 octobre, jeudi 31 octobre.
Par Ludovic Moreau Mis à jour le 02/10/2019
Après plusieurs années de tentatives,
il a obtenu deux courges de plus de 300 kg, de quoi préparer un velouté pour... 600 personnes.
Non, ce n'est pas une conséquence du nuage de Tchernobyl, mais bien le résultat du travail du jardinier de
Jean-Pierre Canavese, le propriétaire du terrain.
Au milieu de son jardin, à La Ciotat, dominent deux gigantesques courges.
Deux cucurbitacées de plus de 300 kg chacune et de plus de quatre mètres de circonférence.
"Je m'attendais à de grosses courges, mais pas à ce point-là. Lorsqu'elles étaient petites, je les avais posées sur des palettes pour les isoler du sol, mais surtout pour pouvoir les transporter", explique Christian Vanetti, le jardinier.
Tout a commencé il y a quatre ans, lorsqu'un ami lui a offert une graine de courges.
"C'était une graine de la variété Atlantic Giant, très connue aux Etats-Unis et au Canada, pour leur capacité à devenir énorme", précise le jardinier.
Christian Vanetti raconte que la première année, il a obtenu une courge de 130 kg.
La deuxième année a été un échec, parce que le pédoncule s'était cassé lors d'une manipulation.
L'année dernière, il a fait pousser une courge de 226 kg et
a obtenu le premier prix à l'occasion de la Fête de la Courge, à Rians, dans le Var.
D'abord, il faut choisir la bonne variété.
L'Atlantic Giant est la mieux adaptée,
notamment pour les concours (appelé aussi Courge Gargantua).
La plus grosse courge au monde pesait plus de 700 kg.
Ensuite,
"il faut énormément d'eau, ces potirons ont très, très soif et ont besoin d'une quantité très importante d'oligo-éléments", explique le botaniste.
"Après, il faut un petit savoir-faire personnel".
Un savoir-faire personnel et beaucoup de patience
"Il faut être présent tous les jours", indique Christian Vanetti.
La plante repose à terme sur une surface de 150 m2.
Elle possède une tige principale d'environ dix mètres et de plusieurs tiges secondaires.
"Il faut laisser les tiges secondaires pour qu'elles prennent racine et apportent beaucoup de nourriture,
il faut un gros feuillage", confie le jardinier.
Mais le véritable secret, c'est la pollinisation.
Lorsque le potiron naît et que la fleur apparaît,
"on pollinise la fleur manuellement et ensuite on la ligature pour éviter l'arrivée d'autres insectes".
Les courges offertes aux associations
Les 12 et 13 octobre prochains, les deux potirons géants seront présentés aux concours de Rians,
à l'occasion de la Fête de la Courge.
De retour chez leur propriétaire, il faudra encore attendre 3 à 4 semaines,
le temps que les graines mûrissent pour l'année prochaine.
Enfin, les deux cucurbitacées seront offertes à une ou plusieurs associations caritatives.
Chaque potiron devrait permettre de préparer un velouté pour 300 personnes tout de même...
Par La Provence
Pour avoir un aperçu des records :
- En 2008 : la courge la plus lourde pesait 225.6 kg
- En 2009 : la courge la plus lourde pesait 126 kg
- En 2010 : la courge la plus lourde pesait 131,4 kg
- En 2011 : la courge la plus lourade pesait 141,60 kg
- En 2012 : la courge la plus lourde pesait 188.10 kg
- En 2013 : la courge la plus lourde pesait 100,5 kg
- En 2014 : la courge la plus lourde pesait 162 kg
Arbres et arbustes à planter pour un automne coloré
Arbre à perruque, if, berbéris, narcisse, graminée, tulipe, jacinthe...
1) Le feuillage de l’arbre à perruque ‘Royal Purple’ou ‘Dusky Maiden’(Cotinus coggygria), brun pourpre pendant la belle saison,
se pare peu à peu de coloris flamboyants avant de tomber.
2) Au pied, l’or d’un berbéris nain ‘Aurea’ ( B. thunbergii) apporte une touche de lumière et contraste à merveille avec
les feuilles noires de l’arbre à perruque.
3) Les fleurs des chrysanthèmes , dorées, orangées ou rouge ardent, s’harmonisent avec les feuillages d’automne.
Ici, cultivées en potées, elles sont suffisamment rustiques pour prendre place en pleine terre.
- Les chrysanthèmes supportent parfaitement le froid à condition que le sol soit perméable.
-- Les meilleures variétés sont :
‘Goldmarianne’à fleurs simples jaune clair, ‘Orange Wonder’à fleurs simples orange cuivré et ‘Red Velvet’ à fleurs
doubles rouge pourpré.
4) Au centre de la scène,
la potée d’alstrœmères à fleurs rouges fleurit surtout en été, elle peut donc être remplacée par des hélénies (Helenium) rouge brique comme ‘Moerheim Beauty’.
De la plantation à l’entretien :
Bêcher la surface du parterre sur 20 cm de profondeur.
- Dans les terres lourdes, il faut apporter du gravier afin d’améliorer le drainage et
- dans les sols pauvres, incorporer du terreau à la terre pour l’enrichir.
Toutes ces plantes ont besoin de lumière :
- veiller à leur choisir un emplacement bien ensoleillé.
Commencer les plantations par l’arbre à perruque ;
attention, le trou doit être assez grand pour contenir la motte.
Ensuite, installer le berbéris
Respecter une distance de 80 cm entre ces deux sujets.
Enfin, pour les chrysanthèmes des jardins, prévoir des groupes de 3 pieds de même couleur.
Faire tremper les pots dans une bassine d’eau s’ils semblent secs.
Les dépoter et les installer en terre.
Les recouvrir, tasser et terminer par un arrosage.
Pailler le sol sur 5 cm d’épaisseur pour limiter la corvée de désherbage.
L’hiver,
couper au ras du sol les tiges fanées des chrysanthèmes et des hélénies.
L’arbre à perruque n’exige pas de taille particulière, mais il est possible de raccourcir les branches devenues gênantes après la floraison.
Au début du printemps,
tailler le berbéris à la cisaille pour lui conserver sa forme compacte.
En juin,
pincer les tiges des chrysanthèmes pour obtenir des touffes moins hautes, mais plus ramifiées.
En intervenant au fil des saisons ce massif restera impeccable.
En juin-juillet le spectacle est magnifique, le feuillage pourpre de l’arbre à perruque se pare d’inflorescences plumeuses rosées.
Quant à la floraison des vivaces,
elle débute à la mi-août pour les hélénies et pour les chrysanthèmes, de la fin août jusqu’aux premières gelées.
Conseils :
- Cette scène pourra être complétée par des petites graminées du type stipia (S. tenuissima)
ou herbe-aux-écouvillons (Pennisetum alopecuroides).
- Dès l’automne, planter quelques bulbes à floraison printanière .
Tulipes , Narcisses , Crocus , ou Jacinthes apporteront de la couleur en début de saison à ce massif d’automne.
ET :
Une jolie scène bien structurée en sol pauvre, sec et calcaire.
Associer un arbre à perruque ‘Grace’(Cotinus coggygria) et un if ‘Fastigiata Aurea’ (Taxus baccata).
Le feuillage presque noir du premier prendra de belles couleurs avant de tomber,
contrastant avec le vert bleuté des aiguilles du second.
En parfaite opposition, le port arrondi de l’arbre à perruque épouse la forme élancée du conifère.
Faite de deux essences, cette association captera les regards au fil des saisons.
Pour réaliser ce décor :
- planter ces 2 arbustes en les distançant de 50 cm.
À l’âge adulte, l’arbre à perruque peut atteindre 2,50 m de hauteur environ.
Le conifère, quant à lui, s’élève jusqu’à 4 m tout en conservant sa belle silhouette élancée.
L'if ‘Fastigiata Aurea’,
conserve lui aussi sa jolie forme, mais il présente en plus un magnifique feuillage marqué de jaune doré.
- Au printemps,
tailler le conifère à la cisaille tout en respectant son port en forme de fuseau.
Les premières années de culture,
supprimer les branches de l’arbre à perruque, elles sont susceptibles de gêner la croissance de l’if.
"Ce jardin personnel, né d’une passion il y a 25 ans fait partie des Parc et Jardins Rhône-Alpes.
"Le parc de la Belle Allemande
est un jardin aménagé dans une clairière adossée à la colline de la Croix-Rousse,
sur deux longues terrasses qui suivent les méandres de la Saône que l’on aperçoit entre les arbres.
C’est un jardin sur une colline au dessus de la Saône qui offre des points de vue magnifiques sur la rivière et sur les Monts d’or .
Au loin les Monts du Lyonnais et le col de la Luére
La partie paysagee du jardin s’insere dans un bois touffu d’erables planes et de marronniers
On ne se croirait pas en ville à 20mn à pied de la Place des Terreaux !
Il entoure une maison du XVIIIème siècle du château de la Belle Allemande, et de sa Tour rose par Jean Kleberger,
natif de Nuremberg en Allemagne, le fameux "Homme de la Roche" ou le Bon Allemand
(son épouse étant "La Belle Allemande") dont la statue orne le quai Pierre Scize.
Dans les actes notariés anciens (vente du domaine en 1802 au Baron de Vouty)
est décrit un parc avec une double allée de marronniers, une vigne, un potager, un jardin d’agrément, des bassins.
En 1981, date d’acquisition de la Belle Allemande par les actuels propriétaires, ne subsistaient que l’allée de marronniers et les bassins en piteux état.
Au fil des ans, les propriétaires passionnés de plantes ont créé l’actuel jardin en dessinant des massifs informels avec érables, roses anciennes, hydrangeas, buis, hostas, fougères, graminées et une grande variété de plantes vivaces.
C’est un jardin pour les quatre saisons.
- Au printemps, les canards sauvages viennent nicher au milieu des centaines de jonquilles, narcisses, scilles, des bois, tulipes ;
- l’été apparaissent les roses, les hydrangeas et
- l’hiver, les écorces décoratives.
Au cœur de la ville, avec ses poules naines, ses coqs et ses pigeons-paons, ce parc est aussi un sanctuaire pour les oiseaux sauvages qui trouvent leur nourriture toute l’année grâce aux nombreuses espèces végétales.
"C’est un jardin où les jeux d’ombre et de lumière apportent un charme particulier !"
Les visiteurs pourront découvrir sur le quai Pierre Scize, « l’Homme de la Roche ».
Pour lui rendre hommage, une statue de pierre a été érigée.
Une visite enchanteresque dans un merveilleux jardin dans Lyon et déjà une impression de campagne silencieuse toute fleurie.
Un accueil personnalisé par la personne qui a crée de ses mains ce site , avec des arbres surprenants et beaucoup de variétés d'hortensias entre autres.
Couleurs, senteurs, quelle après-midi d'admiration et d'échanges.
La Belle Allemande, l'un des plus beaux jardins secrets de Lyon planté sur
la colline de la Croix-Rousse.
Otez vos chaussures, on vous emmène gambader dans l'herbe.
Celle qui chasse les mauvaises herbes et traque les plantes rares depuis plus de 30 ans,
s'appelle Madame Serre
Et une fois le tour du propriétaire terminé,
ce sera pause goûter au vert avec gâteaux et sirop aux fleurs de sureau cueillies ce printemps.
Vous avez la main verte ?
Sachez que Madame Serre a toujours quelques boutures en rab' dans sa brouette.
du 20 mars au 15 octobre
10€ visite simple 12€ visite guidée Gratuit moins de 16 ans
Uniquement sur Rd 1h46
A la fin du XVIIIème siècle Jean Klegerger quitte Nuremberg, en Allemagne et s’installe à Lyon.
Fortune faite il acquiert une clairière blottie au pied de la Croix Rousse,
surplombant un méandre de la Saône.
Quelques faits notoires sur le fleuve et il devient :
« L’Homme de la Roche » ou « Le Bon Allemand ».
En reconnaissance, une statue est érigée quai Pierre Scize.
Lorsqu’il se marie, avec une Française, elle devient tout naturellement
« la Belle Allemande ».
Il construit, aménage, le jardin conservera le joli surnom donné à son épouse.
Puis les propriétaires se succèdent, le jardin végète...
La beauté naturelle, les grands arbres cernant les lieux séduisent Madame Serre.
Quelques coups de pelle, l’odeur d’humus...elle sait que le jardin peut renaître.
En 30 ans il s’est forgé une personnalité.
Sous les ombrages des arbres centenaires se déploient plusieurs étages de végétaux.
Le rythme est donné par
- un cyprés chauve aux rameaux verts bordés de jaune,
- un ginko,
- un sequoia,
- mélèze du japon,
- un thujopsis.
De taille moyenne ils donnent une ombre plus légère.
Les arbres à écorce décorative apportent une touche raffinée :
- le bouleau Jacquemontii au tronc blanc éclatant,
- un prunus
- Les serpentins de gazon se faufilent entre
- les massifs informels de vivaces plantés serrés et nous dirigent
vers une gloriette colonisée :
- par les rosiers grimpants et
- les clématites « Montana » ou « Gloire de Lyon ».
Opulence et simplicité font bon ménage chez les rosiers à tiges ou grimpants.
Escaladant les arbres ou les supports de bambou ils affichent un volume intéressant et répandent couleurs et parfums durant de longs mois :
- Astronomia,
- Pierre de Ronsard,
- Looping,
- Buff beauty se mêlent aux nuées suaves
- des seringats et
- sureaux.
N’oublions pas :
- les érables du Japon au rouge éclatant,
- les cornouillers,
- les cornus...
le vent fait bruisser :
- les bambous.
Sur une grande table un goûter « british » nous attend :
- cake vegan,
- thé,
- sirop de fleurs de sureau.
Un espace calme, accueillant où le chat est le parfait témoin du lieu
- ni trop domestiqué,
- ni trop sauvage.
L’œil ne se lasse jamais, la lumière nuance la beauté, la nuture se renouvelle.
Les jardins sont ce qu’en fait le jardinier par :
- ses idées,
- son travail
par :
Fédération Française du Lyceum Club International