Un sans-papier est habitué à faire la manche à proximité de la gare du Nord où tous les jours, il reçoit de la part d’un fonctionnaire navetteur un montant de 25€. Il en est ravi, on peut le comprendre. Cela dure pendant plusieurs années jusqu’au moment où soudainement, l’homme ne reçoit plus que 18 €. Le sans-papier se persuade alors qu’au fond, 18 € , celareste une somme non négligeable même si ce n’est plus 25 €. Une année passe de la sorte quand tout à coup, l’homme ne perçoit cette fois plus que 15€. Le lendemain, au passage du généreux donateur, le sans-papier lui demande : - Excusez-moi, mais est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ou bien est-ce que je vous ai manqué de respect que vous me diminuiez progressivementvotre dotation ? Le fonctionnaire lui répond alors : - Ben oui, que voulez-vous, la vie devient de plus en plus chère et mon fils est entré l’année dernière à l’université et cela coûte beaucoup d’argent.C’est la raison pour laquelle, je ne vous donnais plus que 18 €.A présent que ma fille aînée est à son tour entrée à l’université, cela me coûte encore plus d’où le montant actuel de 15 €.. Sur ce, le sans-papier embraye : - Et combien d’enfants avez-vous en réalité ? Le fonctionnaire lui répond alors : - Ah, quatre magnifiques enfants, mes trésors… Et le sans-papier d’enchérir d’un air soucieux : "Vous n’allez quand même pas tous les faire étudier à mes frais !!!
Dans un lycée de jeunes filles, la prof de biologie fait passer un examen oral à ses élèves de première. Elle appelle une dénommée Lucie au tableau et lui pose la question suivante : - Mademoiselle Dupont, quel est l’organe du corps humain qui, dans certaines conditions, peut multiplier sa taille par six ? Rouge de confusion et furieuse, la jeune Lucie répond : - Madame, je ne crois pas que ce soit la question la plus appropriée à poser à une jeune fille… Croyez-moi, mes parents vont en entendre parler. L’élève regagne sa place et la prof se retourne vers une autre élève qui répond immédiatement : - C’est la pupille de l’œil dans la lumière… - Très bien Bernadette ! répond la prof, avant d’ajouter… Quant à vous Lucie, laissez-moi vous dire trois choses : d’abord vous n’avez pas appris votre leçon. Ensuite, vous avez l’esprit mal tourné. Et enfin, préparez-vous à la plus grande désillusion de votre vie.
Ce commentaire a été modifié le 03/06/2018 à 10:38
Le livre Une femme appelle son mari : - Chéri ? - Ouais ! Qu’est-ce que tu me veux encore ? - L’autre jour, j’ai acheté un livre et je ne le retrouve plus. Tu te souviens, il s’appelait « L’art de devenir centenaire ». Qu’est ce que tu en as fait ? - Je l’ai jeté ! - Tu as du culot, je voulais le lire ! Pourquoi l’as-tu jeté ? - Parce que j’ai vu que ta mère commençait à le lire !
L’informaticien naufragé Un informaticien pris dans une tempête fait naufrage et manque de mourir plusieurs fois quand une vague démente le rejette sur le rivage d’une île déserte. Épuisé, il se traîne sur le sable puis réussit à trouver un creux de rocher où il s’établit tel un Robinson. Les semaines et les mois passent, notre homme subsistant grâce au lait de coco et à quelques bananes vertes est dans une profonde solitude. Au bord de la dépression, barbu et demi nu, tellement désespéré il décide d’aller se noyer,c’est alors qu’il entend une voix féminine : - Hello ! Délire ? Hallucinations ? Une superbe femme, habillée chic-ville et parfaitement maquillée lui fait signe. - Que vous arrive-t-il cher ami ? - Heu, je suis naufragé, je me croyais seul sur une île déserte. - Mais je le croyais aussi jusqu’à ce que je vous aperçoive. Je suis naufragée comme vous, depuis plusieurs années. - Plusieurs années ? Mais à vous voir on dirait que vous sortez du « France » et de ses galeries haute couture ! - Merci, c’est gentil ! En fait j’ai un petit métier à tisser en bois que je me suis fabriqué, et je tisse des fibres de coco. Pour la couleur j’ai trouvé de ravissants coquillages dont je tire une teinture . - Mais ces bijoux ? poursuit l’homme, ahuri. - Ils vous plaisent ? Je les ai fondus moi même à partir d’un minerai que j’ai découvert là bas à flanc de montagne. Mais suivez-moi, je vous invite plutôt à vous restaurer et à vous reposer chez moi, vous avez l’air épuisé. Complètement hébété, le type la suit et découvre un superbe bungalow avec piscine. » Nom d’un chien, pense-t-il, elle est sacrement débrouillarde, cette femme « , et il s’affale sur le canapé. - Je vous sers quelque chose à boire ? lui propose t-elle - Heu, si c’est encore du lait de coco, non merci j’en ai ma claque. - Du lait de coco ! Qu’il est drôle ! Non bien sûr ! Je distille un petit alcool dont vous me direz des nouvelles. Avec ou sans glaçons ? Plus étonné de rien, le type boit d’un trait quelque chose qui ressemble fort à du whisky, et se voit proposer par la jeune femme une étape dans la salle de bains : - Vous trouverez un rasoir sur l’étagère. Douché, rasé de près, détendu, il revient au salon et voit son hôtesse vêtue d’un déshabillé transparent et très suggestif. Elle se colle contre lui et lui susurre à l’oreille : - Dis moi chéri, je suis sûre qu’il y a quelque chose que tu n’as pas fait depuis très longtemps et qui te manque terriblement… Décidément halluciné le type répond : - Nan ??!!…Pas possible ! je peux aller consulter mes e-mail en plus
Ce commentaire a été modifié le 01/06/2018 à 13:59
Au dispensaireDeux gamins sont assis dans la salle d’attente d’un dispensaire médical. L’un des deux pleure comme une madeleine. – Pourquoi pleures-tu ? lui demande son pote Raoul. – Je viens pour une analyse de sang, répond le premier. – Eh alors! C’est ça qui te fait peur ? – Oui. Pendant l’examen ils te coupent le bout du doigt. C’est mon frère qui me l’a dit ! À son tour Raoul commence à sangloter. Le premier gamin hoquette de surprise. Son pote Raoul le téméraire qui pleure ? – Pourquoi tu pleures, toi ? – Parce que moi, je viens pour une analyse d’urine !
il reçoit de la part d’un fonctionnaire navetteur un montant de 25€.
Il en est ravi, on peut le comprendre.
Cela dure pendant plusieurs années jusqu’au moment où soudainement, l’homme ne reçoit plus que 18 €.
Le sans-papier se persuade alors qu’au fond, 18 € , celareste une somme non négligeable même si ce n’est plus 25 €.
Une année passe de la sorte quand tout à coup, l’homme ne perçoit cette fois plus que 15€.
Le lendemain, au passage du généreux donateur, le sans-papier lui demande :
- Excusez-moi, mais est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ou bien est-ce que je vous ai manqué de respect que vous me diminuiez
progressivementvotre dotation ?
Le fonctionnaire lui répond alors :
- Ben oui, que voulez-vous, la vie devient de plus en plus chère et mon fils est entré l’année dernière à l’université et cela coûte beaucoup d’argent.C’est la raison pour laquelle, je ne vous donnais plus que 18 €.A présent que ma fille aînée est à son tour entrée à l’université, cela me coûte encore plus d’où le montant actuel de 15 €..
Sur ce, le sans-papier embraye :
- Et combien d’enfants avez-vous en réalité ?
Le fonctionnaire lui répond alors :
- Ah, quatre magnifiques enfants, mes trésors…
Et le sans-papier d’enchérir d’un air soucieux :
"Vous n’allez quand même pas tous les faire étudier à mes frais !!!
Deux puces se retrouvent sur un brave labrador, et elles commencent à discuter :
- Qu'est-ce que tu a regardé hier soir à la télé ? La deuxième chienne ?
- Non, canal puce !
Dans un lycée de jeunes filles, la prof de biologie fait passer un examen oral à ses élèves de première. Elle appelle une dénommée Lucie au tableau et lui pose la question suivante :
- Mademoiselle Dupont, quel est l’organe du corps humain qui, dans certaines conditions, peut multiplier sa taille par six ?
Rouge de confusion et furieuse, la jeune Lucie répond :
- Madame, je ne crois pas que ce soit la question la plus appropriée à poser à une jeune fille… Croyez-moi, mes parents vont en entendre parler.
L’élève regagne sa place et la prof se retourne vers une autre élève qui répond immédiatement :
- C’est la pupille de l’œil dans la lumière…
- Très bien Bernadette ! répond la prof, avant d’ajouter… Quant à vous Lucie, laissez-moi vous dire trois choses : d’abord vous n’avez pas appris votre leçon. Ensuite, vous avez l’esprit mal tourné. Et enfin, préparez-vous à la plus grande désillusion de votre vie.
"- Est-ce que je peux vous faire la cour ?
- Oui, bien sûr ... Je vais vous chercher le balai !"
Une femme appelle son mari :
- Chéri ?
- Ouais ! Qu’est-ce que tu me veux encore ?
- L’autre jour, j’ai acheté un livre et je ne le retrouve plus. Tu te souviens, il s’appelait « L’art de devenir centenaire ». Qu’est ce que tu en as fait ?
- Je l’ai jeté !
- Tu as du culot, je voulais le lire ! Pourquoi l’as-tu jeté ?
- Parce que j’ai vu que ta mère commençait à le lire !
L’informaticien naufragé
Un informaticien pris dans une tempête fait naufrage et manque de mourir plusieurs fois quand une vague démente le rejette sur le rivage d’une île déserte. Épuisé, il se traîne sur le sable puis réussit à trouver un creux de rocher où il s’établit tel un Robinson.
Les semaines et les mois passent, notre homme subsistant grâce au lait de coco et à quelques bananes vertes est dans une profonde solitude. Au bord de la dépression, barbu et demi nu, tellement désespéré il décide d’aller se noyer,c’est alors qu’il entend une voix féminine :
- Hello !
Délire ? Hallucinations ? Une superbe femme, habillée chic-ville et parfaitement maquillée lui fait signe.
- Que vous arrive-t-il cher ami ?
- Heu, je suis naufragé, je me croyais seul sur une île déserte.
- Mais je le croyais aussi jusqu’à ce que je vous aperçoive. Je suis naufragée comme vous, depuis plusieurs années.
- Plusieurs années ? Mais à vous voir on dirait que vous sortez du « France » et de ses galeries haute couture !
- Merci, c’est gentil ! En fait j’ai un petit métier à tisser en bois que je me suis fabriqué, et je tisse des fibres de coco. Pour la couleur j’ai trouvé de ravissants coquillages dont je tire une teinture .
- Mais ces bijoux ? poursuit l’homme, ahuri.
- Ils vous plaisent ? Je les ai fondus moi même à partir d’un minerai que j’ai découvert là bas à flanc de montagne. Mais suivez-moi, je vous invite plutôt à vous restaurer et à vous reposer chez moi, vous avez l’air épuisé.
Complètement hébété, le type la suit et découvre un superbe bungalow avec piscine. » Nom d’un chien, pense-t-il, elle est sacrement débrouillarde, cette femme « , et il s’affale sur le canapé.
- Je vous sers quelque chose à boire ? lui propose t-elle
- Heu, si c’est encore du lait de coco, non merci j’en ai ma claque.
- Du lait de coco ! Qu’il est drôle ! Non bien sûr ! Je distille un petit alcool dont vous me direz des nouvelles. Avec ou sans glaçons ?
Plus étonné de rien, le type boit d’un trait quelque chose qui ressemble fort à du whisky, et se voit proposer par la jeune femme une étape dans la salle de bains :
- Vous trouverez un rasoir sur l’étagère.
Douché, rasé de près, détendu, il revient au salon et voit son hôtesse vêtue d’un déshabillé transparent et très
suggestif. Elle se colle contre lui et lui susurre à l’oreille :
- Dis moi chéri, je suis sûre qu’il y a quelque chose que tu n’as pas fait depuis très longtemps et qui te manque terriblement…
Décidément halluciné le type répond :
- Nan ??!!…Pas possible ! je peux aller consulter mes e-mail en plus
– Pourquoi pleures-tu ? lui demande son pote Raoul.
– Je viens pour une analyse de sang, répond le premier.
– Eh alors! C’est ça qui te fait peur ?
– Oui. Pendant l’examen ils te coupent le bout du doigt. C’est mon frère qui me l’a dit !
À son tour Raoul commence à sangloter. Le premier gamin hoquette de surprise. Son pote Raoul le téméraire qui pleure ?
– Pourquoi tu pleures, toi ?
– Parce que moi, je viens pour une analyse d’urine !