À sa mort, un fermier laissa en héritage dix-sept chevaux à ses trois fils.
Dans son testament, le père avait ainsi établi le partage de l’héritage :Mon fils ainé recevra la moitié (1/2) de tous les chevaux Mon second fils recevra le tiers (1/3) de tous les chevaux Mon plus jeune fils recevra le neuvième (1/9) de tous les chevaux Or il était tout à fait impossible de diviser 17 chevaux par deux, par trois et par neuf. La chicane prit donc entre les trois fils. Puis, à un moment donné, ils décidèrent de faire appel à un fermier voisin, dont ils appréciaient l’intelligence, dans l’espoir qu’il puisse trouver une solution à leur différend. Le fermier prit donc le testament et le lut avec grand soin. Après quoi, il alla chercher son propre cheval et l’ajouta aux dix-sept (17) autres. Il y avait maintenant dix-huit chevaux dans le champ. Dès lors, il devint possible aux héritiers de procéder au partage, tel que prévu dans le testament du père. Car :la moitié de 18 = 9 chevaux le tiers de 18 = 6 chevaux le neuvième de 18 = 2 chevaux En faisant l’addition, cela donna : Fils aîné : 9 chevaux Second fils : 6 chevaux Plus jeune fils : 2 chevaux TOTAL 17 chevaux Il restait un cheval – celui du fermier voisin – que celui-ci reprit et ramena à sa ferme.
La morale de cette histoire Trouver un terrain d’entente peut parfois s’avérer difficile. Mais pour trouver une solution, la première étape consiste à croire qu’il y a effectivement une solution, comme le fermier voisin le croyait; si nous partons de l’idée qu’il n’y en a pas, alors il sera impossible dans trouver une.
Un terroriste taliban, en fuite, désespéré pour trouver de l'eau, erre laborieusement à travers le désert afghan quand il voit quelque chose au loin. Espérant trouver de l'eau, il se précipite vers le mirage, seulement pour trouver un petit vieillard juif très frêle, debout devant un petit présentoir de fortune - avec des cravates à vendre.
Le terroriste taliban demande, "Tu as de l'eau ?"
Le juif répond, "Je n'ai pas d'eau. Tu veux acheter une cravate ? Elles sont à 5€seulement."
Le taliban crie hystériquement, "Idiot Infidèle, je n'ai pas besoin d'une telle parure surévaluée de l'ouest !. Je crache sur tes cravates, j'ai besoin d'eau !"
"Désolé, je n'en ai pas - seulement des cravates - de la pure soie et seulement $5 !"
"Pahh !! Malédiction sur tes cravates, je devrais étrangler ton petit cou maigre avec tes cravates, et sortir la vie hors de toi, mais je dois conserver mon énergie et trouver de l'eau !"
"D'accord," - dit le petit vieillard juif - "Il n'y a pas d'importance que tu ne veuilles pas m'acheter une cravate ou que tu me haïsses,menaces ma vie et m'appelles un infidèle - je vais te montrer que je suis plus grand que tout cela. Si tu continues sur cette colline à l'est pendant environ trois kilomètres, tu trouveras un restaurant. On y mange très bien et tu trouveras toute l'eau glacée dont tu as besoin ... Va en Paix. "
En le maudissant encore, le taliban désespéré se dirige vers la colline.
Plusieurs heures plus tard, il revient en rampant, presque mort, et murmure, le souffle coupé, "Ils ne veulent pas me laisser entrer sans cravate !" ?
Un couple de personnes âgées avait fêté son soixantième anniversaire de mariage.
Ils s'étaient connus amis d'enfance et venaient se promener main dans la main dans le quartier de leur jeunesse ; ils voulaient revoir leur ancienne école.
La grille n'était pas fermée, ils sont entrés et ont retrouvé le vieux pupitre qu'ils avaient partagé, sur lequel Louis avait gravé : « Je t'aime, Claire. »
En revenant à la maison, un sac tomba d'un fourgon presque à leurs pieds. Claire le ramassa et l'emporta à la maison. Là, elle l'ouvrit et compta .... cinquante mille euros !
Louis déclara : « Nous devons le rendre ». Claire dit : « Qui trouve garde. » Elle remit l'argent dans le sac et le cacha dans le grenier.
Le lendemain, deux policiers vinrent enquêter dans le quartier. Ils frappèrent à leur porte. « Pardon, auriez-vous trouvé un sac qui est tombé d'un fourgon hier ? »
Claire dit : «Non». Louis : « Elle ment. Elle l'a caché dans le grenier ». Claire : " Ne le croyez pas, il est sénile ». Les agents se sont tournés vers Louis et lui ont demandé : « Voulez-vous nous raconter l'histoire depuis le début. »
Louis : "- Bien ! Claire et moi revenions de l'école, hier............. »
Le premier agent se tourna vers son collègue et lui dit :
Jolis jeux de mots... d'ani...mots !! Une perle de jean d’Ormesson !!!!!!
«Myope comme une taupe»,«rusé comme un renard»«serrés comme des sardines»... les termes empruntés au monde animal ne se retrouvent pas seulement dans les fables de La Fontaine, ils sont partout. La preuve: que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf, têtu comme un âne, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche. Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme un gardon et là, ...pas un chat! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: cette poule a du chien,une vraie panthère! C'est sûr, vous serez un crapaud mortd'amour.Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive. Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris,malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu'une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme unphoque et rit comme une baleine. Une vraie peau de vache, quoi! Et vous, vous êtes fait comme un rat.Vous roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse, mais vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmesde crocodile, c'est selon). Vous finissez par prendre le taureau par les cornes et vousinventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. C'est pas que vous êtes une poule mouillée, vous ne voulez pas être le dindon de la farce.
Vous avez beau êtredoux comme un agneau sous vos airs d'ours mal léché, faut pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie. Et puis, ç'aurait servi à quoi de se regarder comme des chiens de faïence. Après tout, revenons à nos moutons: vous avez maintenant une faim de loup, l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à fouetter.
À sa mort, un fermier laissa en héritage dix-sept chevaux à ses trois fils.
Dans son testament, le père avait ainsi établi le partage de l’héritage :Mon fils ainé recevra la moitié (1/2) de tous les chevaux Mon second fils recevra le tiers (1/3) de tous les chevaux Mon plus jeune fils recevra le neuvième (1/9) de tous les chevaux Or il était tout à fait impossible de diviser 17 chevaux par deux, par trois et par neuf.
La chicane prit donc entre les trois fils.
Puis, à un moment donné, ils décidèrent de faire appel à un fermier voisin,
dont ils appréciaient l’intelligence, dans l’espoir qu’il puisse trouver
une solution à leur différend.
Le fermier prit donc le testament et le lut avec grand soin. Après quoi,
il alla chercher son propre cheval et l’ajouta aux dix-sept (17) autres.
Il y avait maintenant dix-huit chevaux dans le champ.
Dès lors, il devint possible aux héritiers de procéder au partage, tel que prévu dans le testament du père.
Car :la moitié de 18 = 9 chevaux le tiers de 18 = 6 chevaux le neuvième de 18 = 2 chevaux En faisant l’addition, cela donna :
Fils aîné : 9 chevaux
Second fils : 6 chevaux
Plus jeune fils : 2 chevaux
TOTAL 17 chevaux
Il restait un cheval – celui du fermier voisin – que celui-ci reprit et ramena à sa ferme.
La morale de cette histoire
Trouver un terrain d’entente peut parfois s’avérer difficile. Mais pour trouver
une solution, la première étape consiste à croire qu’il y a
effectivement une solution, comme le fermier voisin le croyait; si nous partons de l’idée qu’il n’y en a pas, alors il sera impossible dans trouver une.
C'est super !!! @+
Il me semblait qu'ils étaient bien plus vieux que moi !
Et vous ?
Les Français nés la même année que vous.
Amusant, voir instructif...?
Petit voyage bien préparé pour les dégustateurs de vins,
je vous souhaite un voyage plaisant en suivant
l'itinéraire proposé dans la région de Bordeaux.
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C'EST L'HEURE DE...
TU PRENDS...
ET TU FINIS PAR ÊTRE...
PUIS TU FAIS LE...
TU TE RETROUVES À ...
DANS...
TU VOIS...
ET...ET ATTENTION TU...
LES...
C'EST ...
ET PUIS...TU TE RÉVEILLES...
ET TU TE REND COMPTE QU'IL NE TE RESTE...
BONNE JOURNÉE!
Voir le Fichier : On_le_regrette.pps