Humour et Jeux.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
17/03/2015 - 06:42
Les français se moquent souvent des Belges avec leurs histoires, mais l'iverse existe :
Un français entre dans un bar à Bruxelles et au bout d'un moment demandent où sont les toilettes. Le barman lui répond : "Ici on dit la toilette alors que chez vous vous dites les toilettes, car ils y en a plusieurs et il faut en faire quelques unes pour en trouver une propre".
16/03/2015 - 12:48
Je ne bois jamais à outrance , je ne sais même pas où c'est.

L' ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne !

Je n'ai jamais abusé de l'alcool , il a toujours été consentant.

Si vous parlez à Dieu , vous êtes croyant... S'il vous répond , vous êtes schizophrène.

5 fruits et légumes par jour , ils me font marrer... Moi , à la troisième pastèque , je cale.

L'alcool tue mais combien sont nés grâce à lui ?

Un jour j'irai vivre en Théorie , car en Théorie tout se passe bien.

La médecine du travail est la preuve que le travail est bien une maladie !

Le Lundi , je suis comme Robinson Crusoé , j'attends Vendredi.

IKEA est le meilleur prénom pour une femme : suédoise , bon marché , à emmener aussitôt chez soi et facile à monter.

      Dieu a donné un cerveau et un sexe à l'homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois.

La lampe torche. Le PQ aussi.

La pression , il vaut mieux la boire que la subir.

Jésus changeait l'eau en vin... et tu t'étonnes que 12 mecs le suivaient partout !

Si la violence ne résout pas ton problème, c'est que tu ne frappes pas assez fort.

Travailler n'a jamais tué personne mais pourquoi prendre le risque ?


  Merci Desproges !!!
16/03/2015 - 08:27
heu........
16/03/2015 - 08:20
Moi j'ai trouvé,mais je l'a connaissais,super merci,et bonne journée.
16/03/2015 - 07:57
Julien Lepers

 Question posée par Julien LEPERS en personne lors de la finale des masters de platine réunissant tous les plus grands champions jeu télévisé .

 
 Top 30 secondes.
 
 JE SUIS une chose très utile qui mesure en général dans les quinze centimètres.

 En temps normal, je suis là, inerte, attendant l'action.
 
  On trouve à l'une de mes extrémités un buisson de poils que je porte avec arrogance.
 
 Lorsqu'on m'utilise, c'est en m'introduisant promptement, et souvent vigoureusement.

 Mais il y a les adeptes d'utilisation rapide, comme ceux d'utilisation lente
: tout dépend du tempérament et de la condition physique.
 
 Ce pendant la méthode d'emploi est toujours la même : des va-et-vient répétés dans une cavité chaude
et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée.

Lorsque j'ai finalement terminé mon office, je laisse dans la cavité humide une
substance blanche, moussante, collante et parfois un peu sucrée.

 On retrouvera également cette sécrétion sur moi même et dans mes poils.

 Il faudra me nettoyer pour que je sois à nouveau propre en attendant mon prochain emploi.
 
 Une fois de retour à l'état de repos, j'attends sagement ma prochaine utilisation.
 
 On pourrait m'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes soutiennent.


 Je suis....
 
 
 Je suis…..
 
 
 Je suis…. 
 

  LA BROSSE A DENT !                    
(Et, je voudrais bien savoir qui a trouvé…)

15/03/2015 - 06:56


 


15/03/2015 - 06:47
Origine du mot 'trinquer'

Au Moyen Âge, l'empoisonnement était une pratique relativement courante
lors des banquets entre seigneurs concurrents, nobles et autres
notables. Certains voleurs se servaient aussi de poisons pour tuer des
gens aisés et dérober leur fortune. Pour parer ce danger, l'habitude fut
prise par les maîtres des lieux de verser une petite quantité de leur
boisson dans le verre de leurs interlocuteurs et réciproquement. Chacun
devait ensuite boire une première gorgée en regardant l'autre dans les
yeux. De cette manière, chacun prouvait qu'il n'avait pas de mauvaise
intention. Par la suite, on se contenta simplement de cogner les verres
(remplis à ras bord) afin qu'un peu de liquide s'échange entre les verres.


14/03/2015 - 10:34
 Réflexions presque proverbiales !
 
Je suis responsable de ce que je dis, pas de ce que tu comprends. ,
,
 La vie c'est comme une glace, si tu n'en profites pas elle te file entre les doigts.

 La pilule fait grossir, surtout si on l'oublie.

 Ce n'est pas en coupant les oreilles d'un âne qu'on en fera un cheval de course.

 En Arabie, les voleurs sont amputés. En France, les voleurs sont députés.

 Les hommes politiques et les couches doivent être changés régulièrement... et pour les mêmes raisons.

 Dieu a créé les seins pour nourrir les enfants, on les a siliconés pour nourrir les chirurgiens.

 Une femme c'est comme une haie, si tu ne t'en occupes pas, elle part chez le voisin.

 Les hommes, c'est comme les poissons : c'est la queue qui leur fait changer de direction

Une femme doit coucher pour réussir, un homme doit réussir pour coucher.

Les cons c'est comme les feux rouges, tu en as à tous les coins de rues.

 Une seconde chance ne veut rien dire si tu n'as rien compris à ta première erreur.

 Fuir tes problèmes est une course que tu ne gagneras jamais.

 Un jour, Dieu demanda à Goo de parler plus fort et depuis,. Google.

À notre époque, sembler con est la meilleure façon de passer inaperçu.

 Tu veux de l'argent. Travaille ! tu veux en gagner, fais autre chose.

 Le trésor public est le seul trésor qu'on ne cherche pas mais qui vous trouve tout seul.
13/03/2015 - 07:15

Un gars monte dans un taxi.

- "Au Palais de Justice...

- Tiens, dit le chauffeur, Vincent aussi se rendait au Palais de Justice.

- Vincent? Qui est Vincent?

- Vincent Tremblay, un champion. Un gars absolument parfait. Avocat, il
gagnait toutes ses causes; au golf, il jouait mieux que tous; aux
cartes, il gagnait sans tricher, ce qui est rare pour un avocat; en
voyage, il parlait couramment six langues; au lit, il faisait de la
magie...

- C'est un gars d'ici?

- Non, il venait du midi.

- Ah bon... Et vous l'avez bien connu?

- Non.

- Non?

- Non, mais je me suis marié avec sa  veuve!"
13/03/2015 - 06:45
Deux hommes sont dans un bar :
- Où est-ce que tu es né ?
- A Tours...
- Ah bon ! Moi aussi !! Et dans quelle maternité ?
- Celle du beffroi....
- Moi aussi !! Et quel jour ?
- Le 5 octobre 1955...
- Oh ! Moi aussi ! On est pareil ! C'est dingue !
Un troisième homme entre dans le bar et demande au barman :
- Alors Jimmy, quoi de neuf ?
- Bof, rien de nouveau. Les jumeaux sont encore bourrés.