Sourire au destin et y croire Croire encore à de beaux lendemains Je n'ai plus d'autres choix que d'espérer Croire encore aux lendemains Mon coeur refuse d'écouter ma raison Ma vie est un véritable escalier Chaque jour je monte une marche Le lendemain je redescends cette marche Je donnerais tout pour ne plus souffrir Sourire au destin Suivre mon chemin Croire encore aux lendemains J'aimerais pouvoir croire au bonheur J'aimerais pouvoir oublier mes malheurs Malheureusement, je n'ai pas le choix Ma vie doit se dérouler ainsi Mais il me faut croire aux lendemains M'accrocher à la vie Pour des lendemains meilleurs Et retrouver le vrai bonheur
Cette nuit, j'ai fait un songe. J'ai rêvé d'une petite princesse, D'un doux petit teint rosé Si agréable et si belle à regarder.
De ses yeux clairs couleur de vert Me transportait dans un monde d'univers, Au chaleureux royaume de son coeur Pour me faire partager son bonheur.
Si calme et si douce à mes côtés, Mon coeur ne fait que chanter Une douce mélodie d'amour Pour conquérir son coeur de velours.
Avec son sourire d'angélique Mon rêve devient magnifique. De ses douces lèvres, j'ai rêvé, D'un geste tendre, elle m'a guidé Pour me donner un doux baiser.
À mon réveil, je m'émerveille En découvrant près de moi Sa peau douce comme de la soie. Je réalise mon bonheur et ma joie Car cette petite princesse, c'est toi
Restera t-il de nous une trace ? Quelque part que le temps n’efface ? Comme moi, la majorité a couru pour rien, Parfois même en s’efforçant de faire le bien. Inconscient du sablier qui défile Alors, que nos vies ne sont accrochées qu’à un simple fil. Ton départ m’a ouvert grand les yeux, Le bonheur ne dure guère plus que la vie d’un cheveu. Hier encore, j’étais petite danseuse sur l’aube légère, Bientôt pourtant je ne serais plus qu’ombre et poussière. Toujours jeune au compte de mes ans, Mais si vieille à celui de mes peines. J’ai joui avant toi, de la vie chaque instant, Sans souci de laisser une graine que le temps n’essaime Ceux que j’aime trop vite sont partis, Quand demain, lorsque j’aurai cent ans, me restera t-il un ami ? Pourquoi faut-il toujours un grand malheur, Pour prendre réelle conscience de la vie et du bonheur. copyright@Claudie
Rendu au milieu de ma vie, J'ai cherché à savoir ''à quoi ça sert la vie?'' J'ai cherché dans les sports et les voyages, J'ai cherché dans la politique et les performances, J'ai cherché dans les religions et les livres, J'ai cherché dans le travail acharné et le luxe, J'ai cherché de toutes les façons, J'ai même cherché des façons de chercher.
Un beau jour, j'ai trouvé sans chercher. J'avais cherché trop loin, à l'extérieur, dans les autres. J'avais cherché l'impossible pour m'apercevoir qu'il n'y avait rien à trouver. On le possède tous à l'intérieur de nous.
Maintenant que je sais que la vie est faite de petits et de grands moments présents, Maintenant que je sais qu'il faut se détacher pour aimer plus fort, Maintenant que je sais que le passé ne m'apporte rien, Maintenant que je sais que le futur me fait parfois souffrir d'angoisse et d'insérucité, Maintenant que je sais qu'on n'a pas besoin de voyager dans l'astral pour être heureux sur cette terre, Maintenant que je sais que la bonté et la simplicité sont essentielles et que pour rendre les autres heureux je dois l'être d'abord, Maintenant que je sais qu'on peut aider les autres surtout par l'exemple et le rayonnement, Maintenant que je sais qu l'accpetation est un gage de bonheur et que la nature est mon meilleur ''Maître'', Maintenant que je sais: la réponse vient du même endroit que la question, Maintenant que je sais que je vis, Alors maintenant je vis tout simplement...
Portes-tu encore à ton cou, ce collier de marguerite Ses fleurs tissées du soleil des jours heureux ? Sens-tu la trace des baisers des vagues bleues ? Mon âme les a laissées suspendu au pont de tes délires Couverts d’émoi et de milliers de perles de rosées.
Vois, le long des berges, je supplie le vent à genou De t’emporter toutes mes pages de mots d’amour Mais son requiem en écho ne fredonne que mes maux. Vois, sur la passerelle des rêves comme je t’appelle Vois ton nom est écrit sur les registres de ma mémoire.
Viendras-tu escalader le sommet des nuages blancs À ma rencontre pour un nouveau festin de roi ? Entendras-tu ma prière ô mon beau troubadour, Mon bel Algérien qui poétisait des mots de ciels bleus Je me demande, as-tu peut-être, quitté cette terre ?
Portes-tu encore l’éclat feutré de mes lunes d’or? Où déposes-tu, la nuit, le coffret de tes caresses ? Je sens sur mon corps, l’hiver de ta cruelle absence. Il neige des pluies de douleurs au fond de mes yeux. La musique de ton cœur bat-elle encore pour moi?
C'est l'automne qui pleure...
C'est l'automne qui pleure au jardin dépouillé.
La pluie, qui s'est déversée, en cette nuit blême,
A jonché le gazon de pétales mouillés
De pâles chrysanthèmes.
Sur la plaine endormie, le brouillard épandu
Est un rideau tiré qui m'isole du monde,
Et la grande maison semble un vaisseau perdu,
Dans une mer profonde.
Je sens tomber sur moi le poids des sombres jours
Quand la brume d'ouate enlise la demeure ;
Aucun bruit, si ce n'est au silence des cours
L'appel d'un chien qui pleure.
Mes amis disparus, revenez pour ce soir,
Surgissez dans la nuit de la brume livide,
Mon âme vous attend, revenez vous asseoir
À votre place vide. J.A.
Illustration: Photo sur Google.
CROIRE ET SOURIRE AU DESTIN
Sourire au destin et y croire
Croire encore à de beaux lendemains
Je n'ai plus d'autres choix que d'espérer
Croire encore aux lendemains
Mon coeur refuse d'écouter ma raison
Ma vie est un véritable escalier
Chaque jour je monte une marche
Le lendemain je redescends cette marche
Je donnerais tout pour ne plus souffrir
Sourire au destin
Suivre mon chemin
Croire encore aux lendemains
J'aimerais pouvoir croire au bonheur
J'aimerais pouvoir oublier mes malheurs
Malheureusement, je n'ai pas le choix
Ma vie doit se dérouler ainsi
Mais il me faut croire aux lendemains
M'accrocher à la vie
Pour des lendemains meilleurs
Et retrouver le vrai bonheur
@copyright Théma
Petite Princesse
Cette nuit, j'ai fait un songe.
J'ai rêvé d'une petite princesse,
D'un doux petit teint rosé
Si agréable et si belle à regarder.
De ses yeux clairs couleur de vert
Me transportait dans un monde d'univers,
Au chaleureux royaume de son coeur
Pour me faire partager son bonheur.
Si calme et si douce à mes côtés,
Mon coeur ne fait que chanter
Une douce mélodie d'amour
Pour conquérir son coeur de velours.
Avec son sourire d'angélique
Mon rêve devient magnifique.
De ses douces lèvres, j'ai rêvé,
D'un geste tendre, elle m'a guidé
Pour me donner un doux baiser.
À mon réveil, je m'émerveille
En découvrant près de moi
Sa peau douce comme de la soie.
Je réalise mon bonheur et ma joie
Car cette petite princesse, c'est toi
feeclochette
Restera t-il de nous une trace ?
Quelque part que le temps n’efface ?
Comme moi, la majorité a couru pour rien,
Parfois même en s’efforçant de faire le bien.
Inconscient du sablier qui défile
Alors, que nos vies ne sont accrochées qu’à un simple fil.
Ton départ m’a ouvert grand les yeux,
Le bonheur ne dure guère plus que la vie d’un cheveu.
Hier encore, j’étais petite danseuse sur l’aube légère,
Bientôt pourtant je ne serais plus qu’ombre et poussière.
Toujours jeune au compte de mes ans,
Mais si vieille à celui de mes peines.
J’ai joui avant toi, de la vie chaque instant,
Sans souci de laisser une graine que le temps n’essaime
Ceux que j’aime trop vite sont partis,
Quand demain, lorsque j’aurai cent ans, me restera t-il un ami ?
Pourquoi faut-il toujours un grand malheur,
Pour prendre réelle conscience de la vie et du bonheur.
copyright@Claudie
Rendu au milieu de ma vie,
J'ai cherché à savoir ''à quoi ça sert la vie?''
J'ai cherché dans les sports et les voyages,
J'ai cherché dans la politique et les performances,
J'ai cherché dans les religions et les livres,
J'ai cherché dans le travail acharné et le luxe,
J'ai cherché de toutes les façons,
J'ai même cherché des façons de chercher.
Un beau jour, j'ai trouvé sans chercher.
J'avais cherché trop loin, à l'extérieur, dans les autres.
J'avais cherché l'impossible pour m'apercevoir
qu'il n'y avait rien à trouver.
On le possède tous à l'intérieur de nous.
Maintenant que je sais que la vie est faite
de petits et de grands moments présents,
Maintenant que je sais qu'il faut se détacher
pour aimer plus fort,
Maintenant que je sais que le passé ne m'apporte rien,
Maintenant que je sais que le futur me fait parfois
souffrir d'angoisse et d'insérucité,
Maintenant que je sais qu'on n'a pas besoin de voyager
dans l'astral pour être heureux sur cette terre,
Maintenant que je sais que la bonté et la simplicité
sont essentielles et que pour rendre les autres heureux
je dois l'être d'abord,
Maintenant que je sais qu'on peut aider les autres
surtout par l'exemple et le rayonnement,
Maintenant que je sais qu l'accpetation est un gage de bonheur
et que la nature est mon meilleur ''Maître'',
Maintenant que je sais: la réponse vient du même endroit que la question,
Maintenant que je sais que je vis,
Alors maintenant je vis tout simplement...
Auteur inconnu
Portes-tu encore…
Portes-tu encore à ton cou, ce collier de marguerite
Ses fleurs tissées du soleil des jours heureux ?
Sens-tu la trace des baisers des vagues bleues ?
Mon âme les a laissées suspendu au pont de tes délires
Couverts d’émoi et de milliers de perles de rosées.
Vois, le long des berges, je supplie le vent à genou
De t’emporter toutes mes pages de mots d’amour
Mais son requiem en écho ne fredonne que mes maux.
Vois, sur la passerelle des rêves comme je t’appelle
Vois ton nom est écrit sur les registres de ma mémoire.
Viendras-tu escalader le sommet des nuages blancs
À ma rencontre pour un nouveau festin de roi ?
Entendras-tu ma prière ô mon beau troubadour,
Mon bel Algérien qui poétisait des mots de ciels bleus
Je me demande, as-tu peut-être, quitté cette terre ?
Portes-tu encore l’éclat feutré de mes lunes d’or?
Où déposes-tu, la nuit, le coffret de tes caresses ?
Je sens sur mon corps, l’hiver de ta cruelle absence.
Il neige des pluies de douleurs au fond de mes yeux.
La musique de ton cœur bat-elle encore pour moi?
© Rose Des Niege (Janedeau)
Une petite mésange charbonnière
Voletait jouant dans la lumière
Sautillant de branche en branche
A la recherche sans doute de sa pitance
Pensait-elle trouver suspendue
Une boule de graisse bien dodue ?
C’est un peu tôt il lui faudra attendre
Et revenir me voir en décembre
Quand l’hiver de sa froidure
Aura privé les arbres de leur verdure.
© Alice 20.09.2017
Paroles de la chanson "Les Feuilles d'automne "par Indila.
Tout comme une feuille morte
Échouée près de ta porte
J'attendrai que le vent se lève
Que l'espoir m'emporte
Et qu'on me donne la force
D'aller vers tout ce qui m'élève
Mille et une couleurs
Qui font battre mon cœur
Au rythme des saisons
Le temps d'une chanson
Sous un saule pleureur
Je rêve d'une vie meilleure
Mais il faut être fort
Alors j'attends encore
Je laisse passer l'automne
Mais mon cœur me somme
De t'avouer que dans mes prières
Non, jamais je n't'abandonne
Et si parfois je déraisonne
Ton absence est mon seul hiver
Mille et une couleurs
Qui font battre mon cœur
Au rythme des saisons
Le temps d'une chanson
Sous un saule pleureur
Je rêve d'une vie meilleure
Mais il faut être fort
Alors j'attends encore
Tête en l'air je fredonne
Quand les carillons sonnent
Tu viendras toi qui m'es si cher
Le printemps et l'été rayonnent
Tu es là j'n'attends plus personne
Toute une vie n'est qu'un seul jour sur terre
Mille et une couleurs
Qui font battre mon cœur
Au rythme des saisons
Le temps d'une chanson
Sous un saule pleureur
Je rêve d'une vie meilleure
Mais il faut être fort
Mille et une couleurs
Qui font battre mon cœur
Au rythme des saisons
Le temps d'une chanson
Sous un saule pleureur
Je n'compte plus les heures
Bercée jusqu'aux aurores
Il fait moins froid dehors....
montage lepoete71