Un soupir d’enfant…. Douce caresse sur ma vie Petit ange si fragile Quand tu fermes les yeux dans mes bras Et que tendrement Je te sens dormir près de mon coeur Petit ange si fragile C’est de l’amour infini pour l’âme d’une mamie. Soupir d’enfant…. Quand je te vois sourire en dormant C’est comme si tu déposais devant moi En une seule seconde Tout l’amour du monde Petit ange si fragile Tu m’as fait cadeau D’aller au-delà de mas rêves Même les plus inaccessibles Tu as touché ma vie petit ange Et comblé mon coeur de mamie. Soupir d’enfant…. Quand tu pleures Mon univers devient triste Et pour te consoler Je te murmure la chanson Du petit oiseau blanc Qui avait perdu sa maman Mais qui l’a retrouvé devenu grand Voilà…petit ange… Je t’ai raconté un petit bout de ma vie En quelques lignes de poésie. Soupir de mamie…
A quatre aiguilles entre ses mains, Elle tricote des chaussettes, Devant l'âtre et pour demain, Car demain ce sera fête. Quatre aiguilles s'entrechoquent, S'entrecroisent avec adresse: "Et tic et toc, et tic et toc" Elles redoublent de vitesse. Ecoutez cette musique: "La symphonie des aiguilles, Ce cliquetis fantastique, Quatre brins de fer qui brillent Déroulant une pelote Pour tresser des fils de laines, Près du sapin qui clignote Pour Noël et les étrennes! ...Et les santons de la crèche, Ombres et lumières dansent, Quand se meuvent les flammèches, Près du chat qui s'en balance... ...Guirlandes, flocons de neige, Bougies et souliers posés, Chuchotements et sortilèges, Tous ces rites et ces secrets... A quatre aiguilles entre ses mains, Elle tricote des chaussettes Devant l'âtre et pour demain, Car demain ce sera fête.
UNE BELLE HISTOIRE DE NOËL A MEDITER Un jour , une femme sort de sa maison et voit trois vizillards avec de longues barbes , assis devant chez elle . Elle ne les reconnaît pas .Elle leur dit : Je ne pense pas que je vous connaisse , mais vous devez avoir faim , s'il vous plaît , entrez et je vous donnerai queque chose à manger . - Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils . - Non , ils sont partis leur répond-elle Alors , nous ne pouvons pas entrer. En fin d'après-midi , lorsque les enfants reviennent de l'école , la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes .- Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ! Disent-ils à lur mère . La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. - Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison , répondent-ils. Un des vieillards explique- Son nom est " Richesse " , dit-il en indiquant un de ses amis et , en indiquant l'autre , lui , c'est " Succès " , et moi , je sui " Amour ".Il ajoute alors, retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir laquel d'entre-nous vous voulez dans votre maison.La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit.- Comme c'est étrange ! s'exclament les enfants.Puisque c'est le cas , nous allons inviter " Richesse .La mère n'était pas d'accord.- Pourquoi n'inviterions-nous pas " Succès " Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires.La plus petite , Raffie , qui suçait encore son pouce s'exprime à son tour :- voeux mamours , voeus mamours ...Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter " Amour " à entrer." Amour " se lève et commence à marcher vers la maison.Les deux autres se lèvent aussi et le suivent.Etonnée , la femme demande à " Richesse " et " Succès " :- J'ai seulement invité " Amour " . Pourquoi venez-vous aussi?Les vieillards lui répondent ensemble : - Si vous aviez invité " Richesse " ou " Succès " , les deux autres d'entre-nous serait restés dehors , mais vous avez invité " Amour " et partout où il va , nous allons avec lui , puisquePartout où il y a de l'Amour , il y a aussi de la Richesse et du Succès . JOYEUSES FËTES DE NOËL A TOUS DANS LA PAIX ET LA JOIE.
Cette étoile qui brille à tes côtés Te rappelleras tes souvenirs d'enfance Que de beaux souvenirs Sur le beau sapin naturel de NOËL Ces lumières scintillantes Ravivent ton beau sourire Tu as le droit de rêver Ses belles petites lumières ressemblent à un phare Elles te guideront tout au long de ta vie Laisse aller ton imagination Ne serait-ce qu'un seul instant Quand tu auras des moments de découragements Regarde ton bel arbre et le sourire te reviendra Noel t'apporte aujourd'hui Un beau message d'amour Car c'est cela la magie d'aimer En cette belle période de l'année Joyeux NOËL à tous
@copyright Théma Ce poème est une création personnelle
C’était la veille de Noël. Johann, un pauvre petit orphelin sans domicile, marchait à pas pesants dans la neige. Son manteau, en loques, était trempé. Ses chaussures étaient usées et trouées. Ses pieds étaient engourdis par le froid. Il avait rabattu son capuchon sur son front et ses oreilles, mais celui-ci, déchiré, laissait passer le vent glacial. La nuit tombait, et l’obscurité enveloppait le gamin, qui continuait d’avancer lentement, triste et solitaire.
Si seulement je pouvais trouver un abri, se dit-il, un endroit où je pourrais me réchauffer. Si seulement quelqu’un me donnait quelque chose à manger. Et un bon bouillon bien chaud !
Parvenu à la lisière d’une forêt, il aperçut un petit village, en bas dans la vallée. Sur les collines à l’entour, on distinguait de belles maisons. Des lumières scintillaient aux fenêtres. Des volutes de fumée s’élevaient des cheminées et allaient se fondre dans le ciel grisâtre.
Cette vue fit naître un nouvel espoir dans le cœur du petit Johann. Ici enfin, parmi tant de charmantes demeures, il trouverait sûrement une âme charitable. Il reprit sa marche d’un pas plus décidé, certain qu’il verrait bientôt la fin de ses tourments.
Il arriva devant l’entrée d’une belle maison de maître. Les fenêtres s’ornaient de nombreuses guirlandes lumineuses et une forte lumière éclairait le perron. Assurément, pensa-t-il, ces gens doivent être riches, et ils seront heureux d’aider un pauvre petit mendiant affamé.
Rassemblant son courage à deux mains, il gravit les marches qui conduisaient à la porte d’entrée. Se hissant sur la pointe des pieds, il parvint à saisir la poignée de la cloche et tira de toutes ses forces. Celle-ci produisit un tel vacarme à l’intérieur de la maison qu’il fit un bond en arrière. L’énorme porte de chêne s’entrouvrit. Un homme imposant, revêtu d’un costume éclatant, apparut. Johann était paralysé de frayeur.
Le majordome, le toisant de toute sa hauteur, lui demanda d’un air revêche :
? C’est toi qui as sonné ?
? Euh… oui, bredouilla le garçon. C’est que j’ai… j’ai froid, et j’ai faim. Alors je pensais que…
? C’est la veille de Noël, répondit le domestique avec impatience, et nous avons des invités. Je regrette, mais aujourd’hui, on n’a pas de temps à perdre avec des petits mendiants de ton espèce. Alors, bonne nuit !
Et la porte se referma. Je n’en reviens pas, se dit Johann. Ici, à la veille de Noël, les gens sont peut-être trop occupés pour s’intéresser à un gamin affamé. J’essayerai ailleurs. Il décida d’ignorer les autres maisons riches et se dirigea vers le centre du village.
De la première maison s’échappaient des bruits de musique et des éclats de rires. Elle était certainement habitée par des gens sympathiques. Il frappa doucement à la porte. Mais il y avait tellement de bruit à l’intérieur qu’il dut frapper plus fort. De plus en plus fort.
Finalement, la porte s’ouvrit toute grande et un jeune homme se planta devant lui, coiffé d’une drôle de casquette en papier.
? Excusez-moi, fit Johann, mais je me demandais si…
? Je suis désolé, mais on est en plein réveillon, et on ne veut pas être dérangé.
? Je vous en supplie ! implora Johann.
? Navré, je te souhaite bonne nuit !
On lui claqua la porte au nez.
Terriblement déçu, Johann alla frapper chez les voisins, mais il ne put même pas se faire entendre, tellement ils faisaient de bruit.
Un peu plus loin, un vieil homme grincheux lui ordonna de rentrer chez lui et d’arrêter de troubler le voisinage.
Rentrer chez moi ? pensa Johann, j’aimerais bien, mais comment le pourrais-je ?
À une autre porte, on lui signifia de revenir un autre jour. À ce moment-là, on l’aiderait peut-être. Mais c’était maintenant qu’il avait besoin d’aide !
Donc, de maison en maison, il quémanda un toit et un peu de nourriture. Mais sans résultat. Dépité, découragé, exténué, il s’enfonça dans la nuit, laissant derrière lui les lumières scintillantes. Il avait juste envie de se laisser mourir.
C’est alors que, levant les yeux, il aperçut une vieille chaumière. Une petite chaumière plongée dans l’obscurité, qui faisait une tache sombre sur le blanc manteau de neige qui l’entourait. Autrement, il ne l’aurait sans doute pas remarquée. Un volet protégeait l’unique fenêtre, mais de faibles rayons de lumière s’échappaient de dessous la porte et à travers les fissures des charpentes.
Johann fit halte. Devait-il, à nouveau, tenter sa chance ? À quoi bon ? Les riches occupants des belles maisons n’avaient pu le secourir. Comment les habitants de cette chaumière le pourraient-ils ? Non, ça ne servait à rien d’essayer. Il valait mieux ne pas déranger.
Mais soudain, il se ravisa. Il avait déjà frappé à tant de portes, qu’avait-il à perdre ? Alors, quittant la route, il se fraya un sentier dans la neige et frappa doucement.
Quelques instants plus tard, la porte s’ouvrit lentement. Une vieille femme risqua un œil à l’extérieur.
? Mon Dieu, s’écria-t-elle ! Que fais-tu là, mon petit, en pleine nuit, dans le froid ?
? Je vous en prie, commença Johann...
Mais avant qu’il ne puisse ajouter un mot, elle avait ouvert la porte toute grande, et elle l’avait saisi par la main pour le faire entrer.
? Mon pauvre petit ! fit-elle. … Tu m’as l’air frigorifié, tu es trempé. Tu dois avoir faim. Allons ! Je vais mettre la bouilloire sur le feu
Johann promena son regard autour de lui. La maisonnette était presque vide. La lumière qu’il avait aperçue était celle de l’unique bougie placée sur le rebord de la cheminée.
Mais il n’eut pas le loisir de poursuivre son inspection, car la gentille femme lui retirait déjà ses haillons trempés pour l’envelopper dans une couverture. Puis elle le fit asseoir devant un bol de soupe bien chaude.
La vieille femme retourna à son fourneau pour remuer la marmite. C’est alors que quelque chose lui fit lever la tête. Était-ce un rêve, ou ses yeux lui jouaient-ils un tour ? La chandelle dégageait une douce sensation de chaleur et se mettait à briller de plus en plus fort, illuminant d’un éclat céleste jusqu’aux moindres recoins de son intérieur. Les meubles, de ternes qu’ils étaient, devenaient lumineux. Ils resplendissaient comme de l’or. Comme au jour où Dieu avait rempli le Temple de Sa gloire. Et soudain, l’homme riche, qui regardait par la fenêtre de sa villa sur la colline, s’écria :
? Il y a une étrange lumière dans la vallée. Venez voir ! La chaumière de la veuve Jolicœur est en feu !
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre, de maison en maison. Interrompant leur réveillon, les villageois enfilèrent leur manteau, mirent leur écharpe, et se précipitèrent dehors pour voir ce qui se passait.
Ils aperçurent, eux aussi, cette étrange lumière et coururent en direction de la chaumière. Là, ils contemplèrent l’humble maisonnette qui scintillait de mille feux. En regardant à l’intérieur, ils ne virent rien d’autre qu’une vieille femme qui s’affairait autour d’un gamin
? celui même qui avait frappé à leur porte cette nuit-là.
Puis la lumière finit par s’éteindre. Impatients d’en savoir plus, les villageois frappèrent chez la vieille femme pour demander ce qui s’était passé.
? Je n’en ai pas la moindre idée, répondit la veuve en souriant, le visage illuminé de joie. J’avais juste l’impression qu’une voix me disait :
« Tout ce que vous avez fait pour l’un de ces plus petits de Mes frères, c’est à Moi que vous l’avez fait » (Matthieu 25:40).
Mon bonheur tient à la virgule de ton sourire Un trou dont l'échancrure, souvent, soupire Sur le dos de ta tirelire à souvenirs Il s'étire dans un tiret sans fin
Jusqu'aux rives de demain enfin atteint Quand la sonnette résonne sous ta main Ton bonheur, c'est mon image en point de mire Quand ta marée montante se retire
Jusqu'aux confins d'un désir à ne pas fuir Sa porte s'y dévoile à guillemets ouverts Sur un jardin de fleurs à la Baudelaire Juste histoire de ne pas se complaire
Notre bonheur est un pointillé d'étoiles Nuancé d'éphémère splendeur boréale Sur nos existences bipolaires et bancales Il est parsemé de points d' interrogation
Ou de suspension redevenant exclamation L'automne de ta vie a ouvert une parenthèse Pour m'y glisser entre ses bras de braise Alors le bonheur, un point c'est tout.
*** PETITE MAMIE *** (Claire De La Chevrotière) Le temps passe lentement et la vie nous bouscule... Tout comme l'orage s'apaisant au crépuscule Il m'arrive d'être affaiblie, et de rêver doucement... Sur les ailes du temps... "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". Dans ma mémoire, inlassablement, les souvenirs défilent, Mais jamais... les images ne s'atténuent... Parfois, mon coeur devient fébrile, Mais, toujours le film de ma vie continue... "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". Au fond de moi, je sais que la satisfaction du devoir accompli, M'accompagnera jusqu'à la fin de ma vie... Toute ma vie, j'ai su donner le meilleur de moi même, N'est-ce pas là, l'amour suprême... "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". Et même aujourd'hui, accablée par la maladie, Le bonheur des miens, demeurera toujours, Mon plus grand souci.. "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". Quand je regarde derrière moi ... Le chemin parcouru pendant toutes ces années, "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". Et que je fais courageusement le bilan, De toutes les épreuves que j'ai dû traverser... "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". Je vois alors, que toutes ces peines m'ont fait grandir... Et qu'à travers toutes ces pierres... Il pousse encore quelques fleurs... Au jardin de mon coeur... "Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit". J'ai écris ce texte, pour une très gentille dame, En qui j'ai beaucoup d'admiration.... Claire...
Pour moi ,tu es une étoile Je lève les yeux vers le ciel Je t'imagine tellement belle Toi qui brilles de mille feux Je sais que je n'y arriverai jamais C'est trop haut pour la décrocher Ne jamais t'atteindre Toujours t'admirer Par contre,j'arriverai Toujours à te regarder Avec amour Je t'aime toujours Petite étoile de mes rêves Amour et tendresse
Par Claire De La Chevrotière...
Un soupir d’enfant….
Douce caresse sur ma vie
Petit ange si fragile
Quand tu fermes les yeux dans mes bras
Et que tendrement
Je te sens dormir près de mon coeur
Petit ange si fragile
C’est de l’amour infini
pour l’âme d’une mamie.
Soupir d’enfant….
Quand je te vois sourire en dormant
C’est comme si tu déposais devant moi
En une seule seconde
Tout l’amour du monde
Petit ange si fragile
Tu m’as fait cadeau
D’aller au-delà de mas rêves
Même les plus inaccessibles
Tu as touché ma vie petit ange
Et comblé mon coeur de mamie.
Soupir d’enfant….
Quand tu pleures
Mon univers devient triste
Et pour te consoler
Je te murmure la chanson
Du petit oiseau blanc
Qui avait perdu sa maman
Mais qui l’a retrouvé devenu grand
Voilà…petit ange…
Je t’ai raconté un petit bout de ma vie
En quelques lignes de poésie.
Soupir de mamie…
(Claire De La Chevrotière)
A quatre aiguilles entre ses mains,
Elle tricote des chaussettes,
Devant l'âtre et pour demain,
Car demain ce sera fête.
Quatre aiguilles s'entrechoquent,
S'entrecroisent avec adresse:
"Et tic et toc, et tic et toc"
Elles redoublent de vitesse.
Ecoutez cette musique:
"La symphonie des aiguilles,
Ce cliquetis fantastique,
Quatre brins de fer qui brillent
Déroulant une pelote
Pour tresser des fils de laines,
Près du sapin qui clignote
Pour Noël et les étrennes!
...Et les santons de la crèche,
Ombres et lumières dansent,
Quand se meuvent les flammèches,
Près du chat qui s'en balance...
...Guirlandes, flocons de neige,
Bougies et souliers posés,
Chuchotements et sortilèges,
Tous ces rites et ces secrets...
A quatre aiguilles entre ses mains,
Elle tricote des chaussettes
Devant l'âtre et pour demain,
Car demain ce sera fête.
@copyright Marie-Hélène
lllustration: "Google"
UNE BELLE HISTOIRE DE NOËL A MEDITER
Un jour , une femme sort de sa maison et voit trois vizillards avec de longues barbes , assis devant chez elle .
Elle ne les reconnaît pas .Elle leur dit :
Je ne pense pas que je vous connaisse , mais vous devez avoir faim , s'il vous plaît , entrez et je vous donnerai queque chose à manger .
- Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils .
- Non , ils sont partis leur répond-elle
Alors , nous ne pouvons pas entrer.
En fin d'après-midi , lorsque les enfants reviennent de l'école , la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes .- Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ! Disent-ils à lur mère .
La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
- Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison , répondent-ils.
Un des vieillards explique- Son nom est " Richesse " , dit-il en indiquant un de ses amis et , en indiquant l'autre , lui , c'est " Succès " , et moi , je sui " Amour ".Il ajoute alors, retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir laquel d'entre-nous vous voulez dans votre maison.La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit.- Comme c'est étrange ! s'exclament les enfants.Puisque c'est le cas , nous allons inviter " Richesse .La mère n'était pas d'accord.- Pourquoi n'inviterions-nous pas " Succès " Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires.La plus petite , Raffie , qui suçait encore son pouce s'exprime à son tour :- voeux mamours , voeus mamours ...Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter " Amour " à entrer." Amour " se lève et commence à marcher vers la maison.Les deux autres se lèvent aussi et le suivent.Etonnée , la femme demande à " Richesse " et " Succès " :- J'ai seulement invité " Amour " . Pourquoi venez-vous aussi?Les vieillards lui répondent ensemble :
- Si vous aviez invité " Richesse " ou " Succès " , les deux autres d'entre-nous serait restés dehors , mais vous avez invité " Amour " et partout où il va , nous allons avec lui , puisquePartout où il y a de l'Amour , il y a aussi de la Richesse et du Succès .
JOYEUSES FËTES DE NOËL A TOUS DANS LA PAIX ET LA JOIE.
VIVE NOËL
Cette étoile qui brille à tes côtés
Te rappelleras tes souvenirs d'enfance
Que de beaux souvenirs
Sur le beau sapin naturel de NOËL
Ces lumières scintillantes
Ravivent ton beau sourire
Tu as le droit de rêver
Ses belles petites lumières ressemblent à un phare
Elles te guideront tout au long de ta vie
Laisse aller ton imagination
Ne serait-ce qu'un seul instant
Quand tu auras des moments de découragements
Regarde ton bel arbre et le sourire te reviendra
Noel t'apporte aujourd'hui
Un beau message d'amour
Car c'est cela la magie d'aimer
En cette belle période de l'année
Joyeux NOËL à tous
@copyright Théma
Ce poème est une création personnelle
Bonheur en ponctuation.
Mon bonheur tient à la virgule de ton sourire
Un trou dont l'échancrure, souvent, soupire
Sur le dos de ta tirelire à souvenirs
Il s'étire dans un tiret sans fin
Jusqu'aux rives de demain enfin atteint
Quand la sonnette résonne sous ta main
Ton bonheur, c'est mon image en point de mire
Quand ta marée montante se retire
Jusqu'aux confins d'un désir à ne pas fuir
Sa porte s'y dévoile à guillemets ouverts
Sur un jardin de fleurs à la Baudelaire
Juste histoire de ne pas se complaire
Notre bonheur est un pointillé d'étoiles
Nuancé d'éphémère splendeur boréale
Sur nos existences bipolaires et bancales
Il est parsemé de points d' interrogation
Ou de suspension redevenant exclamation
L'automne de ta vie a ouvert une parenthèse
Pour m'y glisser entre ses bras de braise
Alors le bonheur, un point c'est tout.
Adelaide
(Claire De La Chevrotière)
Le temps passe lentement et la vie nous bouscule...
Tout comme l'orage s'apaisant au crépuscule
Il m'arrive d'être affaiblie, et de rêver doucement...
Sur les ailes du temps...
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
Dans ma mémoire, inlassablement, les souvenirs défilent,
Mais jamais... les images ne s'atténuent...
Parfois, mon coeur devient fébrile,
Mais, toujours le film de ma vie continue...
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
Au fond de moi, je sais que la satisfaction du devoir accompli,
M'accompagnera jusqu'à la fin de ma vie...
Toute ma vie, j'ai su donner le meilleur de moi même,
N'est-ce pas là, l'amour suprême...
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
Et même aujourd'hui, accablée par la maladie,
Le bonheur des miens, demeurera toujours,
Mon plus grand souci..
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
Quand je regarde derrière moi ...
Le chemin parcouru pendant toutes ces années,
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
Et que je fais courageusement le bilan,
De toutes les épreuves que j'ai dû traverser...
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
Je vois alors, que toutes ces peines m'ont fait grandir...
Et qu'à travers toutes ces pierres...
Il pousse encore quelques fleurs...
Au jardin de mon coeur...
"Plus on Vieillit, plus le Coeur s'Attendrit".
J'ai écris ce texte, pour une très gentille dame,
En qui j'ai beaucoup d'admiration....
Claire...
Si tu crois qu'un sourire est plus fort qu'une arme,
Si tu crois à la puissance d'une main offerte,
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important que ce qui divise,
Si tu crois qu'être différent est une richesse et non pas un danger,
Si tu sais regarder l'autre avec un brin d'amour,
Si tu préfères l'espérance au soupçon,
Si tu estimes que c'est à toi de faire le premier pas, plutôt qu'à l'autre,
Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton coeur,
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin,
Si l'injustice qui frappe les autres te révolte autant que celle que tu subis,
Si pour toi l'étranger est un frère qui t'est proposé,
Si tu sais donner gratuitement un peu de temps par amour,
Si tu acceptes qu'un autre te rende service,
Si tu partages ton pain et que tu saches y joindre un morceau de ton coeur,
Si tu crois qu'un pardon va plus loin qu'une vengeance,
Si tu sais chanter le bonheur des autres et danser leur allégresse,
Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre ton temps et lui garder ton sourire,
Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit, sans la renvoyer et te justifier,
Si tu sais accueillir et adopter un avis différent du tien,
Si pour toi l'autre est d'abord un frère,
Si la colère est pour toi une faiblesse, non une preuve de force,
Si tu préfères être lésé que faire tort à quelqu'un,
Si tu refuses qu'après toi ce soit le déluge,
Si tu te ranges du côté du pauvre et de l'opprimé sans te prendre pour un héros,
Si tu crois que l'Amour est la seule force de dissuasion,
Si tu croix que la Paix est possible,
...Alors la Paix viendra.
Pierre Guibert
Pour moi ,tu es une étoile
Je lève les yeux vers le ciel
Je t'imagine tellement belle
Toi qui brilles de mille feux
Je sais que je n'y arriverai jamais
C'est trop haut pour la décrocher
Ne jamais t'atteindre
Toujours t'admirer
Par contre,j'arriverai
Toujours à te regarder
Avec amour
Je t'aime toujours
Petite étoile de mes rêves
Amour et tendresse
@copyright Théma