Un adolescent vivait seul avec sa mère et ils avaient une relation privilégiée. Bien que le fils passe toutes ses parties de football assis sur le banc, sa mère était toujours dans les estrades pour l'encourager. Elle ne manquait jamais une partie.
Au début du secondaire, il était encore le plus petit de sa classe et sa mère, tout en continuant à l'encourager lui fit comprendre qu'il n'était pas obligé de jouer au football s'il ne voulait plus jouer. Mais comme il adorait le football, il décida de continuer.
Il était bien décidé à faire de son mieux à toutes les pratiques et espérait qu'on finirait peut-être par le laisser jouer un peu plus tard. Tout au long de son secondaire, il n'a jamais manqué une seule pratique ou partie, mais dû se contenter de réchauffer le banc. Fidèlement, sa mère était toujours dans les estrades et avait toujours des mots d'encouragement pour lui.
Lorsqu'il fit son entrée au collège, il décida de tenter sa chance aux essais afin d'être accepté comme recrue. Tout le monde était certain qu'il ne serait jamais accepté, mais il réussit. L'entraîneur admit qu'il le gardait sur la liste parce qu'il participait de tout coeur à chaque entrainement, ce qui, par le fait même, avait un effet motivateur sur ses coéquipiers. Lorsqu'il apprit qu'il avait été accepté, il fut si content qu'il courut au téléphone le plus près pour l'annoncer à sa mère.
Elle partageait son enthousiasme et reçut des billets de saison pour toutes les parties de l'équipe du collège. Ce jeune athlète tenace ne rata aucun entrainement au cours de ces quatre années, mais ne fut jamais appelé à jouer dans un seul match.
C'était maintenant la fin de la saison de football junior et comme il arrivait sur le terrain en courant, quelque temps avant le grand match des éliminatoires, l'entraîneur vint à sa rencontre, un télégramme à la main.
Le jeune homme lut le télégramme et devint silencieux. Une grosse boule lui nouait la gorge lorsqu'il annonça à son entraîneur: " Ma mère est décédée ce matin. Est-ce que je peux manquer la pratique aujourd'hui? " L'entraîneur pose doucement son bras autour de ses épaules et lui dit: " Prends congé pour le reste de la semaine, fiston. En fait, tu n'as même pas besoin de revenir pour la partie samedi prochain. "
Le samedi suivant, la partie ne se déroulait pas bien du tout. Au troisième quart, alors que l'équipe traînait de l'arrière par 10 points, un jeune homme silencieux se faufila dans le vestiaire et revêtit son équipement. Lorsqu'ils le virent arrivant en courant, l'entraîneur et les coéquipiers furent abasourdis de le voir de retour si tôt.
" Entraîneur, s'il vous plaît, laissez-moi jouer. Je dois absolument jouer aujourd'hui. " lui dit-il. L'entraîneur fit semblant de ne pas l'avoir entendu. Il était hors de question qu'il fasse jouer son pire joueur pendant un match aussi crucial. Mais le jeune homme insista et finalement, ayant pitié de lui, l'entraîneur accepta. " Ok, tu peux y aller. "
Quelques minutes plus tard, l'entraîneur, les coéquipiers et tous les spectateurs dans les estrades n'en croyaient pas leurs yeux. Ce jeune inconnu, qui n'avait jamais joué auparavant, faisait exactement tout ce qu'il fallait et correctement. L'équipe adverse n'arrivait pas à l'arrêter. Il courut, bloqua et plaqua comme une étoile. Dans les dernières minutes de jeu, il intercepta une passe et courut sans s'arrêter et marqua le point gagnant.
Les spectateurs sautaient de joie. Ses coéquipiers, le portèrent sur leurs épaules. Des applaudissements comme on en avait jamais eu. Finalement, une fois que les estrades furent vides, et que le joueurs eurent pris leur douche et quitté le vestiaire, l'entraîneur remarqua le jeune homme assis en silence dans un coin. Il lui dit: " Fiston, je n'arrive pas à y croire. Tu as été fantastique.
Dis-moi ce qui t'est arrivé? Comment as-tu fait? "
Les yeux emplis de larmes, il regarda l'entraîneur et lui dit: " Vous savez que ma mère est décédée cette semaine, mais saviez-vous qu'elle était aveugle? " Il avala avec difficulté et s'efforça à sourire: " Ma mère est venue à toutes mes parties, mais aujourd'hui, c'était la première fois qu'elle pouvait me voir jouer et je voulais lui montrer que j'étais capable de bien jouer. " Souviens-toi TOUJOURS DE CECI
Quelqu'un est très fier de toi. Quelqu'un pense à toi. Quelqu'un se fait du souci pour toi. Quelqu'un s'ennuie de toi. Quelqu'un veut te parler. Quelqu'un veut être avec toi. Quelqu'un espère que tu n'as pas de problèmes. Quelqu'un espère que tout ira pour le mieux pour toi. Quelqu'un désire que tu sois heureux. Quelqu'un a très hâte de te voir. Quelqu'un t'aime tel que tu es. Quelqu'un est content de t'avoir comme ami. Quelqu'un veut que tu saches qu'il sera toujours là pour toi. Quelqu'un a besoin de ton soutien. Quelqu'un a besoin de savoir que tu crois en lui. Quelqu'un te fait confiance. Quelqu'un se souvient de toi en entendant une chanson.
Tu es une personne importante! Ne l'oublie jamais.
J'ai vu un enfant un soir embrasser sa mère il faisait noir de ses bras il entourait son cou sa Maman était tout près, à genoux on se fit aussi un gros câlin j'ai senti que les deux s'aimaient bien j'ai aussi vu la main du petit se lever bien haut en lui disant Bonne nuit moi, je suis demeuré là, sans bouger j'avais la gorge serrée, bien angoissé je me suis rappelé mon enfance quand je pleurais seul dans ma chambre j,aurais voulu pouvoir sourire tous les soirs avant de m'endormir et surtout ne jamais avoir peur qu'un de mes parents vivent ailleurs mes rêves ne m'amenaient nulle part je faisais plutôt des cauchemars je suis donc heureux que cet enfant soit aussi proche de sa Maman et je veux aussi qu'un jour il soit fier de moi qui serai toujours son père
Dialogue avec une entité Voilà déjà longtemps Qu'au travers d'un écran, J'aime à converser Avec une entité. Je lui conte mes joies Mais lui tais mes émois. Nous échangeons sans fin Du soir jusqu'au matin. Cet être évanescent, Source de mes tourments, Est-ce une création De l'imagination? Monologue à deux Ou dialogue verbeux? Mais est-il bien réel Mon Gascon virtuel? Mais oui, car dans sa voix, j'ai trouvé la Garonne Qui, cours d'eau impétueux, dans son accent résonne! En digne descendant de nos chers mousquetaires, Il pourrait, pour l'honneur, manier la rapière.
La Cigale Et La Fourmi Livre de Jean de La Fontaine
La Cigale et la Fourmi est la première fable du livre I de Jean de La Fontaine située dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en mars 1668. Les vers sont en heptasyllabes. Wikipédia
Jean de LA FONTAINE (1621-1695) La Cigale et la Fourmi La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. "Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal. " La Fourmi n'est pas prêteuse : C'est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. - Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. - Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien! dansez maintenant.
Une goutte d' eau qui aimait une rose, elle se délectait de toute sa prose et se glissait souvent dans ses pétales jusqu' a parfois se perdre.
Même si sa robe était pourpre étincelle, elle se sentait si triste, si différente et pensait aux jasmins,odeurs attirantes, au lieu de s' émerveiller devant sa beauté et de se croire si belle, amante et bien aimée.
Mais la goutte d' eau dans ces instants de mélancolie, lui déposait son filtre d' amour afin de faire oublier à madame la rose, que la vie au jardin n' est pas que morose et leur échangent reprenaient bien plus fort.
À ceux que j’aime... et ceux qui m’aiment » Quand je ne serai plus là, relâchez-moi, Laissez-moi partir, J’ai tellement de choses à faire et à voir Ne pleurez pas en pensant à moi, Soyez reconnaissants pour les belles années, Je vous ai donné mon amitié, Vous pouvez seulement deviner Le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré, Maintenant,il est temps de voyager seul. Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelque temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, Je ne suis pas loin, et la vie continue... Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai, Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là, Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai. Et quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir. Absent de mon corps, présent avec Dieu.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas, Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière que traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit, N'allez pas sur ma tombe pour pleurer, Je ne suis pas là, Je ne suis pas mort. (prière indienne)
Le moqueur moqué Un escargot Se croyant beau, se croyant gros, Se moquait d'une coccinelle. Elle était mince, elle était frêle Vraiment, avait-on jamais vu Un insecte aussi menu ! Vint à passer une hirondelle Qui s'esbaudit du limaçon. - Quel brimborion! s'écria-t-elle, C'est le plus maigre du canton Vint à passer un caneton. - Cette hirondelle est minuscule, Voyez sa taille ridicule Dit-il d'un ton méprisant. Or, un faisan aperçut le canard et secoua la tête : - Quelle est cette minime bête ? Au corps si drôlement bâti ? On n'a jamais vu plus petit Un aigle qui planait, leur jeta ces paroles - Êtes-vous fous ? Êtes-vous folles ? Qui se moque du précédent Sera moqué par le suivant. Celui qui d'un autre se moque À propos de son bec, à propos de sa coque, De sa taille ou de son caquet, Risque à son tour d'être moqué. Pierre Gamarra
Il ne faut pas laisser croître l'herbe sur le chemin de l'amitié. Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Sur la confiance et l'estime réciproque se fonde l'amitié. Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
La véritable amitié n'attend pas d'être sollicitée dans la peine pour se manifester. Proverbe de Maxalexis ; Mes adages et proverbes (2015)
L'amitié, semblable au vin qui se bonifie avec le temps, la plus vieille est toujours la meilleure. Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
Pour un cœur blessé il n'y a pas de meilleur remède que la véritable amitié. Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Les fruits de l'amitié sont de soulager les douleurs et de calmer les inquiétudes. Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
L'amitié est une âme qui habite deux corps, un cœur qui habite deux âmes. Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Qui croit que l'amitié n'est pas une passion ne la connaît pas. Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
L'amitié n'admet point d'égarement coupable, on n'est point ami si l'on n'est raisonnable. Proverbe français ; Petite encyclopédie des proverbes français (1860)
L'amitié véritable n'admet ni déguisement ni feinte. Proverbe latin ; Proverbes et sentences latines - Ier s. av. J.-C.
L'amitié véritable est une parfaite union. Proverbe de la Bible ; L'Ecclésiastique - IIe s. av. J.-C.
La mauvaise fortune est la pierre de touche de l'amitié. Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Le respect est le véritable lien de l'amitié. Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
Sans l'amitié la vie est un fardeau. Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Une des lois sacrées de l'amitié est de se porter secours et assistance. Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
Où commence la défiance, là finit l'amitié. Proverbe français ; Proverbes et sentences françaises (1646)
La confiance et la complicité sont les véritables liens de l'amitié. Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
L'amitié est la sympathie de deux âmes égales. Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Cultive assidûment le champ de l'amitié, et prends soin de tes véritables amis. Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Mouille tes lèvres, au moins une fois par jour, dans la coupe de l'amitié. Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
L'amitié est aussi nécessaire à l'humanité que l'eau et le feu. Proverbe grec ; Proverbes et sentences grecques (1833)
Les yeux de l'amour.
Un adolescent vivait seul avec sa mère
et ils avaient une relation privilégiée.
Bien que le fils passe toutes ses parties de football
assis sur le banc, sa mère était toujours
dans les estrades pour l'encourager.
Elle ne manquait jamais une partie.
Au début du secondaire,
il était encore le plus petit de sa classe et sa mère,
tout en continuant à l'encourager lui fit comprendre
qu'il n'était pas obligé de jouer au football
s'il ne voulait plus jouer.
Mais comme il adorait le football, il décida de continuer.
Il était bien décidé à faire de son mieux
à toutes les pratiques et espérait
qu'on finirait peut-être par le laisser jouer un peu plus tard.
Tout au long de son secondaire,
il n'a jamais manqué une seule pratique ou partie,
mais dû se contenter de réchauffer le banc.
Fidèlement, sa mère était toujours dans les estrades
et avait toujours des mots d'encouragement pour lui.
Lorsqu'il fit son entrée au collège,
il décida de tenter sa chance aux essais
afin d'être accepté comme recrue.
Tout le monde était certain
qu'il ne serait jamais accepté, mais il réussit.
L'entraîneur admit qu'il le gardait sur la liste
parce qu'il participait de tout coeur à chaque entrainement,
ce qui, par le fait même,
avait un effet motivateur sur ses coéquipiers.
Lorsqu'il apprit qu'il avait été accepté,
il fut si content qu'il courut au téléphone
le plus près pour l'annoncer à sa mère.
Elle partageait son enthousiasme et reçut des billets de saison pour toutes les parties de l'équipe du collège.
Ce jeune athlète tenace ne rata aucun entrainement au cours de ces quatre années,
mais ne fut jamais appelé à jouer dans un seul match.
C'était maintenant la fin de la saison de football junior et comme il arrivait sur le terrain
en courant, quelque temps avant le grand match des éliminatoires,
l'entraîneur vint à sa rencontre, un télégramme à la main.
Le jeune homme lut le télégramme et devint silencieux.
Une grosse boule lui nouait la gorge
lorsqu'il annonça à son entraîneur:
" Ma mère est décédée ce matin.
Est-ce que je peux manquer la pratique aujourd'hui? "
L'entraîneur pose doucement son bras autour de ses épaules et lui dit: " Prends congé pour le reste de la semaine, fiston.
En fait, tu n'as même pas besoin de revenir pour la partie samedi prochain. "
Le samedi suivant, la partie ne se déroulait pas bien du tout.
Au troisième quart, alors que l'équipe traînait de l'arrière
par 10 points, un jeune homme silencieux se faufila dans le vestiaire et revêtit son équipement.
Lorsqu'ils le virent arrivant en courant,
l'entraîneur et les coéquipiers furent abasourdis de le voir de retour si tôt.
" Entraîneur, s'il vous plaît, laissez-moi jouer.
Je dois absolument jouer aujourd'hui. " lui dit-il.
L'entraîneur fit semblant de ne pas l'avoir entendu.
Il était hors de question qu'il fasse jouer son pire
joueur pendant un match aussi crucial.
Mais le jeune homme insista et finalement, ayant pitié de lui,
l'entraîneur accepta. " Ok, tu peux y aller. "
Quelques minutes plus tard, l'entraîneur, les coéquipiers
et tous les spectateurs dans les estrades n'en croyaient pas leurs yeux.
Ce jeune inconnu, qui n'avait jamais joué auparavant,
faisait exactement tout ce qu'il fallait et correctement.
L'équipe adverse n'arrivait pas à l'arrêter.
Il courut, bloqua et plaqua comme une étoile.
Dans les dernières minutes de jeu,
il intercepta une passe et courut sans s'arrêter et marqua le point gagnant.
Les spectateurs sautaient de joie.
Ses coéquipiers, le portèrent sur leurs épaules.
Des applaudissements comme on en avait jamais eu.
Finalement, une fois que les estrades furent vides,
et que le joueurs eurent pris leur douche et quitté le vestiaire,
l'entraîneur remarqua le jeune homme assis en silence dans un coin.
Il lui dit: " Fiston, je n'arrive pas à y croire. Tu as été fantastique.
Dis-moi ce qui t'est arrivé? Comment as-tu fait? "
Les yeux emplis de larmes, il regarda l'entraîneur et lui dit:
" Vous savez que ma mère est décédée cette semaine,
mais saviez-vous qu'elle était aveugle? " Il avala avec difficulté
et s'efforça à sourire: " Ma mère est venue à toutes mes parties, mais
aujourd'hui, c'était la première fois qu'elle pouvait me voir
jouer et je voulais lui montrer que j'étais capable de bien jouer. "
Souviens-toi TOUJOURS DE CECI
Quelqu'un est très fier de toi.
Quelqu'un pense à toi.
Quelqu'un se fait du souci pour toi.
Quelqu'un s'ennuie de toi.
Quelqu'un veut te parler.
Quelqu'un veut être avec toi.
Quelqu'un espère que tu n'as pas de problèmes.
Quelqu'un espère que tout ira pour le mieux pour toi.
Quelqu'un désire que tu sois heureux.
Quelqu'un a très hâte de te voir.
Quelqu'un t'aime tel que tu es.
Quelqu'un est content de t'avoir comme ami.
Quelqu'un veut que tu saches qu'il sera toujours là pour toi.
Quelqu'un a besoin de ton soutien.
Quelqu'un a besoin de savoir que tu crois en lui.
Quelqu'un te fait confiance.
Quelqu'un se souvient de toi en entendant une chanson.
Tu es une personne importante!
Ne l'oublie jamais.
Pris sur le net chez frizou.org
Auprès d’elle
C’est une étrange sensation
Quand une femme dort
Auprès d’un homme,
Un esprit de protection
Vous envahit, pour elle.
Elle vient se blottir et se cajoler
Instinctivement dans vos bras,
Recherchant le nid douillet
De la sécurité de votre corps.
Vous êtes éveillé, la caressée
Gentiment dans son sommeil,
Retirant une mèche de cheveux
Qui s’est égarée sur son visage.
Vous la contemplez pendant
Un bon moment, vous émerveillant
Comment un ange comme elle
A pu s’égarer dans votre maison.
Vous sentez son souffle court et
Ses petits gémissements à peine
Audible, comme si les caresses
D’affection faisait vibrer son cœur.
La douceur de ce moment vous
Apporte une grande paix,
Une relaxation que votre corps
Stressé par une longue journée
A désespérément besoin.
Dans la tendresse de vos bras,
Cet être de faiblesse et de volonté
Profonde, vous fascine, vous
Sensibilise dans la douceur de la nuit.
Puis, sans bruit et sans avertissement,
Le sommeil vient faire sa ronde,
Vos yeux se ferment pour laisser
L’ange de l’amour prendre son repos.
Il se retire, son travail accomplit,
Laissant ces deux cœurs tendres
Voyager dans le monde du rêve.
Patrick Etienne
J'ai vu un enfant un soir
embrasser sa mère il faisait noir
de ses bras il entourait son cou
sa Maman était tout près, à genoux
on se fit aussi un gros câlin
j'ai senti que les deux s'aimaient bien
j'ai aussi vu la main du petit
se lever bien haut en lui disant Bonne nuit
moi, je suis demeuré là, sans bouger
j'avais la gorge serrée, bien angoissé
je me suis rappelé mon enfance
quand je pleurais seul dans ma chambre
j,aurais voulu pouvoir sourire
tous les soirs avant de m'endormir
et surtout ne jamais avoir peur
qu'un de mes parents vivent ailleurs
mes rêves ne m'amenaient nulle part
je faisais plutôt des cauchemars
je suis donc heureux que cet enfant
soit aussi proche de sa Maman
et je veux aussi qu'un jour il soit fier
de moi qui serai toujours son père
Marcel Breault Octobre 2007
Voilà déjà longtemps
Qu'au travers d'un écran,
J'aime à converser
Avec une entité.
Je lui conte mes joies
Mais lui tais mes émois.
Nous échangeons sans fin
Du soir jusqu'au matin.
Cet être évanescent,
Source de mes tourments,
Est-ce une création
De l'imagination?
Monologue à deux
Ou dialogue verbeux?
Mais est-il bien réel
Mon Gascon virtuel?
Mais oui, car dans sa voix, j'ai trouvé la Garonne
Qui, cours d'eau impétueux, dans son accent résonne!
En digne descendant de nos chers mousquetaires,
Il pourrait, pour l'honneur, manier la rapière.
Nicole Larrue
Livre de Jean de La Fontaine
La Cigale et la Fourmi est la première fable du livre I de Jean de La Fontaine située dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en mars 1668.
Les vers sont en heptasyllabes. Wikipédia
Jean de LA FONTAINE (1621-1695)
La Cigale et la Fourmi
La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal. "
La Fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant.
A la mémoire de nos deux grandes poétesses
Marcelle et Claudine
Complices dans la poésie elles se sont donné la main
Pour parcourir un nouveau chemin
Sur les lettres de l'alphabet
Au milieu des étoiles
Au revoir Marcelle et Claudine
Merci de nous avoir fait rêver
Chantal
Une goutte d' eau qui aimait une rose, elle se délectait de toute sa prose et
se glissait souvent dans ses pétales jusqu' a parfois se perdre.
Même si sa robe était pourpre étincelle, elle se sentait si triste, si
différente et pensait aux jasmins,odeurs attirantes, au lieu de
s' émerveiller devant sa beauté et de se croire si belle, amante et bien
aimée.
Mais la goutte d' eau dans ces instants de mélancolie, lui déposait son
filtre d' amour afin de faire oublier à madame la rose, que la vie au
jardin n' est pas que morose et leur échangent reprenaient bien plus fort.
et ceux qui m’aiment »
Quand je ne serai plus là, relâchez-moi,
Laissez-moi partir,
J’ai tellement de choses à faire et à voir
Ne pleurez pas en pensant à moi,
Soyez reconnaissants pour les belles années,
Je vous ai donné mon amitié,
Vous pouvez seulement deviner
Le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré,
Maintenant,il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps.
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur,
Je ne suis pas loin, et la vie continue...
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai,
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là,
Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir.
Absent de mon corps, présent avec Dieu.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne dors pas,
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement
des cristaux de neige,
Je suis la lumière que traverse
les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne,
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit,
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer,
Je ne suis pas là,
Je ne suis pas mort.
(prière indienne)
Un escargot
Se croyant beau, se croyant gros,
Se moquait d'une coccinelle.
Elle était mince, elle était frêle
Vraiment, avait-on jamais vu
Un insecte aussi menu !
Vint à passer une hirondelle
Qui s'esbaudit du limaçon.
- Quel brimborion! s'écria-t-elle,
C'est le plus maigre du canton
Vint à passer un caneton.
- Cette hirondelle est minuscule,
Voyez sa taille ridicule
Dit-il d'un ton méprisant.
Or, un faisan aperçut le canard et secoua la tête :
- Quelle est cette minime bête ?
Au corps si drôlement bâti ?
On n'a jamais vu plus petit
Un aigle qui planait, leur jeta ces paroles
- Êtes-vous fous ? Êtes-vous folles ?
Qui se moque du précédent
Sera moqué par le suivant.
Celui qui d'un autre se moque
À propos de son bec, à propos de sa coque,
De sa taille ou de son caquet,
Risque à son tour d'être moqué.
Pierre Gamarra
Il ne faut pas laisser croître l'herbe sur le chemin de l'amitié.
Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Sur la confiance et l'estime réciproque se fonde l'amitié.
Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
La véritable amitié n'attend pas d'être sollicitée dans la peine pour se manifester.
Proverbe de Maxalexis ; Mes adages et proverbes (2015)
L'amitié, semblable au vin qui se bonifie avec le temps, la plus vieille est toujours la meilleure.
Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
Pour un cœur blessé il n'y a pas de meilleur remède que la véritable amitié.
Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Les fruits de l'amitié sont de soulager les douleurs et de calmer les inquiétudes.
Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
L'amitié est une âme qui habite deux corps, un cœur qui habite deux âmes.
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Qui croit que l'amitié n'est pas une passion ne la connaît pas.
Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
L'amitié n'admet point d'égarement coupable, on n'est point ami si l'on n'est raisonnable.
Proverbe français ; Petite encyclopédie des proverbes français (1860)
L'amitié véritable n'admet ni déguisement ni feinte.
Proverbe latin ; Proverbes et sentences latines - Ier s. av. J.-C.
L'amitié véritable est une parfaite union.
Proverbe de la Bible ; L'Ecclésiastique - IIe s. av. J.-C.
La mauvaise fortune est la pierre de touche de l'amitié.
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Le respect est le véritable lien de l'amitié.
Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
Sans l'amitié la vie est un fardeau.
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Une des lois sacrées de l'amitié est de se porter secours et assistance.
Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
Où commence la défiance, là finit l'amitié.
Proverbe français ; Proverbes et sentences françaises (1646)
La confiance et la complicité sont les véritables liens de l'amitié.
Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
L'amitié est la sympathie de deux âmes égales.
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Cultive assidûment le champ de l'amitié, et prends soin de tes véritables amis.
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
Mouille tes lèvres, au moins une fois par jour, dans la coupe de l'amitié.
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
L'amitié est aussi nécessaire à l'humanité que l'eau et le feu.
Proverbe grec ; Proverbes et sentences grecques (1833)