Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
17/05/2016 - 08:04


TRISTE NOUVELLE

Je suis au désespoir

J'ai reçu un au revoir
Sans même recevoir un bonsoir
Je suis triste,mon coeur saigne
Quelqu'un s'en est emparé
Sans me le demander
Il me l'a enlevé
Un peu comme un papillon
Il s'est envolé
Sans même me regarder
Sans même m'embrasser
Mais je sais ,même si ce n'est pas facile
Je dois faire face à la vie, sans lui
Seul son souvenir me poursuivra
Comme je suis triste,sans lui
Ma vie est vide
Tellement vide

@copyright Théma

16/05/2016 - 10:24
 
LES13 COMMANDEMENTS DE LA VIE

Le plus grand handicap, c'est la peur.
Le plus beau jour, c'est aujourd'hui.
La chose la plus facile, c'est de se tromper.
La plus grande erreur, c'est d'abandonner.
Le plus grand défaut, c'est l'égoïsme.
La plus grande distraction, c'est le travail.
La pire faillite, c'est le découragement.
Les meilleurs professeurs, ce sont les enfants.
Le plus grand besoin, c'est le bon sens.
Le sentiment le plus bas, c'est la jalousie.
Le plus beau présent, c'est le pardon.
La plus grande connaissance, c'est celle de soi.


La plus belle chose au monde, C'EST L'AMOUR
16/05/2016 - 07:26




15/05/2016 - 17:47
légende des cigognes:



Dans l'antique Égypte, la cigogne était sacrée et quiconque l'attaquait
était puni de mort. En Grèce, jadis, on appela « loi cigogne » l'édit
qui obligeait les enfants à nourrir leurs vieux parents dans la
détresse.

Aujourd'hui, en Orient et en Alsace, ce respect et cette vénération traditionnels
survivent encore. Des légendes racontent que la cigogne est avant tout
un porte-bonheur. Lorsqu'une jeune fille voit une cigogne à terre faire
quelques pas à sa rencontre, c'est, dit-on, signe de mariage dans l'année.

 
Une très vieille légende féodale du Bas-Rhin raconte que les cigognes
incarnaient la survivance des trépassés et avaient la mission d'aller
quérir au fonds du puits l'âme destinée au bébé qui devait venir sur
terre. De nos jours, c'est la cigogne qui apporte les bébés....  
 
15/05/2016 - 07:33
Homme au masque de fer .


Homme au masque de fer
 
L'Homme au masque de fer, gravure anonyme, 1789.

L'homme au masque de fer est un mystérieux prisonnier
anonyme emprisonné, en France, entre 1669 et 1703, année à
laquelle il meurt. Ses conditions de détention très particulières
(il était forcé de porter un masque ressemblant à un heaume,
le fameux masque de fer)
 
L'obstination avec laquelle le Roi de France Louis XIV et
ses geôliers voulaient le maintenir dans un isolement total,
la longueur peu commune de son emprisonnement
(trente-quatre ans) et surtout le doute qui plane autour de
son identité (il était connu sous le nom d'Eustache Danger)
et de son motif d'arrestation en font l'un des
plus grands mystères de l'Histoire de France.

Popularisé par des écrivains comme Voltaire et
Alexandre Dumas, il fut aussi un symbole sous la
Révolution française, considéré comme un martyr de
l'Ancien Régime.

Selon certaines versions, Danger s'appellerait en réalité
Dauger. Pour des raisons de commodité, c'est Danger qui
 a été repris dans cet article.

Les premières années

En août 1669, Bénigne de Saint-Mars, gouverneur de la
citadelle de Pignerol dans les Alpes, reçoit un nouveau prisonnier,
Eustache Danger, avec pour ordre de le maintenir dans le plus
total isolement, sans aucune communication avec l'extérieur.
Le prisonnier a alors pour compagnon de prison l'ex-surintendant
Nicolas Fouquet, qui vient de perdre les faveurs du roi et d'être
condamné à l'emprisonnement à vie.

Il se lie aussi avec le valet de ce dernier, un certain La Rivière.
 


En prison, Eustache Danger se lie avec le serviteur de Nicolas
Fouquet, l'ancien surintendant des finances.
Au bout de quelques années, Saint-Mars assouplit ses conditions
de détention et autorise Danger à aider la Rivière dans son travail :
il devient donc serviteur de Fouquet. Mais Fouquet meurt en 1680
et Danger voit son régime carcéral durci.


L'homme au masque de fer
n'avait aucun contact avec l'extérieur.

Changements de prison

Ensuite, Saint-Mars devient gouverneur du château d'Exilles,
dans les Alpes. Il n'amène avec lui que deux prisonniers qu'il
gardait à Pignerol (« les deux de la tour d'en bas » pour
reprendre l'expression du ministre Louvois) : Danger et La
Rivière.

En 1687, Saint-Mars devient cette fois gouverneur de l'île
de Sainte-Marguerite : il n'emmène avec lui que Danger,
La Rivière étant décédé de maladie. Danger a le visage
dissimulé sous un masque de velours fermé par une
armature de fer, ce qui évoque un heaume.

Mort

Le 19 novembre 1703 est enterré dans la plus grande
discrétion un dénommé "Marchioly" au cimetière
Saint-Paul. On sait de lui qu'il était emprisonné à la Bastille.
Il semblerait que cette personne soit Danger, inhumé sous
un faux nom afin de ne pasattirer l'attention.

Pourquoi un masque ?

 
Pourquoi donc Saint-Mars a-t-il fait
porter un masque évoquant un heaume
à Danger ?

C'est lors du transfert entre la prison d'Exilles et celle de
Sainte-Marguerite, en 1687, alors que Danger était déjà
détenu depuis 18 ans, que Saint-Mars fait porter un
masque évoquant un heaume à son prisonnier, le fameux
masque de fer.

C'est cette décision étonnante, ainsi que toutes les
précautions prises par le gouverneur pour isoler Danger
du reste du monde, qui a fait la légende du masque de fer.

Danger n'a pas le droit de révéler son identité (on peut
alors supposer que Danger est un faux nom) sous peine
d'être tué sur-le-champ.

Le fait que l'on ne puisse connaître ni son nom, ni son
visage, peut laisser croire qu'il s'agissait d'un prisonnier
important, dont il fallait à tout prix éviter qu'on le
reconnaisse.

C'est sur cette idée que de nombreux romanciers sont
partis pour écrire leur propre version de cette énigme.

Une autre hypothèse moins romanesque, proposée par
l'historien Jean-Christian Petitfils, avance que Saint-Mars,
après avoir perdu son plus fameux
prisonnier Nicolas Fouquet, aurait tenté de retrouver un
peu d'importance en entretenant le « mystère » autour
d'Eustache Danger, en en faisant un énigmatique
"Homme au masque de fer".

Si cette hypothèse est véridique, alors Danger n'était
autre qu'un prisonnier comme les autres et ne possédait
en réalité pas du tout l'importance qu'on lui a supposée !

Un lourd secret ?
 
Le ministre Louvois était terrorisé à l'idée
que Danger puisse révéler son secret.

Danger était l'objet d'une grande attention parmi les
grands du royaume de France : l'insistance de Louvois,
qui exige de Saint-Mars que toutes les dispositions soient
prises pour que le mystérieux prisonnier n'ait absolument
aucun contact avec l'extérieur, laissent en effet croire
que Danger détient un secret compromettant qu'il ne
fallait surtout pas qu'il révèle.

Toutefois, Danger ne vécut pas le début de sa détention
dans la solitude totale : il avait en effet pour compagnie
Nicolas Fouquet et La Rivière, aidant le second à servir
le premier.

Danger n'a obtenu l'autorisation de faire ce travail, qui
l'aidait sans doute à combattre l'ennui, que parce les
trois hommes (Fouquet, Danger et La Rivière) étaient
tous trois destinés à ne jamais sortir de prison : ainsi, si
Danger faisait des révélations compromettantes, elles
ne sortiraient jamais de la prison.

Malgré cela, Louvois était terrorisé à l'idée que Danger
puisse malgré tout révéler son secret : il envoya même
 une lettre à Fouquet, lui demandant si Eustache avait
révélé « ce à quoi il a été employé ».

C'est donc son secret, peut-être plus que son identité,
qui rendait ce détenu si dangereux. On peut alors se
demander pourquoi Danger n'a pas été directement
exécuté plutôt qu'emprisonné, surtout s'il causait une
telle frayeur aux grands du royaume.

Quelle était son identité ?

 

Parmi les nombreuses hypothèses sur la véritable
identité d'Eustache Danger, on peut en trouver une
avançant qu'il serait le frère caché de Louis XIV.

Un des plus grands mystères concernant le prisonnier
était son nom (car Eustache Danger était peut-être un
faux nom). Parmi les nombreuses hypothèses, on peut
trouver :

1) Un frère caché de Louis XIV7, aîné ou cadet voire
même jumeau ou demi-frère selon les versions. Pour
une raison inconnue, Mazarin et Anne d'Autriche
l'auraient écarté et élevé dans un lieu secret. Après
 la mort de Mazarin, Louis XIV découvre ce frère et
décide de le faire emprisonner sous un faux nom pour
qu'il n'y ait pas de contestation de son titre de roi.
Cette hypothèse est notamment celle de Voltaire8
et a été popularisée par
Alexandre Dumas dans son roman
Le Vicomte de Bragelonne9.

2) Nicolas Fouquet10, officiellement mort en 1680 :
ce serait en réalité Danger qui serait mort à cette date,
mais le gouverneur aurait fait croire qu'il s'agissait de
Fouquet. Ce complot aurait été orchestré par Colbert
et Louvois, craignant une libération, puis un retour en
grâce de l'ancien surintendant. Il faut préciser que si
l'Homme au masque de fer était bel et bien Fouquet,
ce dernier aurait alors vécu 88 ans, ce qui est peu
probable pour l'époque.

3) Un messager, qui aurait été chargé de transmettre
des messages secrets entre les monarques français et
anglais pour une éventuelle conversion au catholicisme
de Charles II d'Angleterre. Ces négociations auraient pu
déboucher sur des relations plus étroites entre ces deux
nations, habituellement rivales, et auraient été
forcément négatives pour les Provinces-Unies, il fallait
donc qu'elles se déroulent dans le plus grand secret.
Il est donc possible que Danger ait été un de ces messagers
de confiance, détenant nombre d'informations
extrêmement importantes, et qu'il fallait donc empêcher
de parler. Dans ce cas, Eustache Danger était peut-être
son véritable nom.
14/05/2016 - 07:41



 
SIEGES EN TRIO
Trois chaises en ligne joliment sont placées.
Elles attendent avec fierté,
Les convives qui ne devraient pas tarder.
Elle se taisent, en regardant amusées,
La maîtresse de maison se presser.
Trois chaises regardent la pendule un peu inquiète,
En se disant que si personne ne vient,
Les hôtes ne feront pas la diète.
Les heures passent, l'épouse n'a pas l'air bien.
Le buffet est pourtant proche de la perfection,
Mélange de nouveautés et de tradition.
Vingt et une heure,
La sonnerie fait enfin entendre une douce clameur.
Tous les invités ont répondu à l'invitation,
Les trois chaises vont pouvoir être digne de leur réputation.

14/05/2016 - 07:40

Quand une porte se ferme, une autre s’ouvre.
 
Qu’est-ce que je suis en train de faire de ma vie?
 
Les difficultés ne sont pas là pour me décourager, mais pour me faire dé-couvrir quelque chose.
 
Je cesse de me sentir obligée de faire ce que les autre attendent de moi,
je suis vrai avec moi-même.
Je cesse d’attendre, car ce qui doit arriver viendra de toutes façons.
Je vis dans l’instant présent, sans me soucier du passé ou du futur.
Je prends contact avec ma force intérieure.
Je règle ma situation devenue intolérable, je m’en libère.
Je porte attention aux coïncidences, puisque le hasard n’existe pas.
J’assume ma vie et je cesse de déléguer mon pouvoir aux autres.
Tout découle de mon attitude Intérieure.
Plus la place est prise par mes peurs,
moins j’ai d’espace pour la Joie et l’Amour.
 
Aujourd’hui, je dis Oui au changement.
Aujourd’hui, je me dégage de ma culpabilité,
je me pardonne et m’accepte telle que je suis.
 
La vie est un cadeau et je l’accepte, même si je l’ai mal emballé.
Je souris à la Vie et je rayonne sur mon entourage.
Je définis mes vrais besoins et abandonne les faux désirs.
 
Aujourd’hui, je me respecte et ne renonce pas à mes projets,
même si les autres ne sont pas d’accord.
Je cherche à ressentir le sens réel dans tout ce qui m’arrive.
 
Chaque personne que je rencontre détient un message
et j’en détiens un pour elle : je suis à l’écoute.
 
Je re-crée ma Vie, ma vie est le résultat de mes choix quotidiens.
Je ne cherche plus le chemin du bonheur, car le bonheur, c’est le chemin.
 
Le bonheur, c’est de se sentir remplie d’Amour, de le recevoir et de le redonner.
 
(Inconnu)


13/05/2016 - 07:28
La petite vague


-Je me sens triste, les autres vagues sont si grandes, si vigoureuses

et moi je suis si petite, si chétive" dit une vague de l'océan

en constatant que les autres vagues étaient plus grandes qu'elle.

Une autre vague lui répondit:

-Ne sois pas triste.Ton chagrin n'existe que parce que tu t'attaches

à l'apparence, tu ne conçois pas ta véritable nature."

-Ne suis-je donc pas une vague?"

-La vague n'est qu'une manifestation transitoire de ta nature.

En vérité, tu es l'eau."

-L'eau?"

-Oui.Si tu comprends clairement que ta nature est l'eau,

tu n'accorderas plus d'importance à ta forme de vague

et ton chagrin disparaîtra."

 

Françoise Dorn


 
12/05/2016 - 07:06



  Redressons nos droits !

Nous allons parler de nos droits, mais avant de
parler de ces droits, redressons d’abord ce qui
à besoin d’être changé.

Nous savons que nous avons besoin de changer
d’attitude  et de comportement. Cela commence
par nous libérer du matraquage médiatique que
nous subissons chaque jour à travers les médias,
les TVs, les journaux, les magazines, etc…

la première question que nous devons nous poser,
est celle-ci : sommes-nous libres vraiment de penser
par nous-mêmes ?

Maintenant réfléchissons à ces droits pour voir si
Nous avons la bonne formule :

Nous parlons du DROIT DE LA FEMME ; redressons
d’abord, la relation entre un homme et une femme.

Nous parlons du DROIT DE L’ENFANT ; redonnons
la pleine autorité aux parents qui l’on perdu.

Nous parlons des  DROIT DE L’HOMME ; arrêtons
de vendre et de nous enrichir en vendant des armes
de destruction.

Nous parlons du DROIT CONTRE LA FAIM dans le
monde ; arrêtons de gaspiller autant, de dépenser
des milliards dans l’armement.

Nous parlons du DROIT AUX PEUPLES DE S’AUTOGERER ;
arrêtons cette marche forcée vers la mondialisation, et
l’abandon de nos libertés individuelles.

Nous parlons du DROIT DE LA LIBERTE RELIGIEUSE ;
arrêtons de persécuter les minorités religieuses et
débarrassons-nous de ce chien de garde qui est la laïcité.

Nous parlons du DROIT DE LA PRESSE et de L’INFORMATION ;
arrêtons la censure et la partialité dans l’information.

Nous parlons du DROIT AUX RESSOURCES ; condamnons
les grandes puissances comme les Etats-Unis, qui
monopolisent et gaspillent les ressources mondiales pour
Leurs propres bénéfices.

Nous parlons du DROIT DE PRESERVER LA TERRE et SON
ENVIRONNEMENT ; arrêtons cette course folle pour la
technologie moderne qui détruit et pollue.

Ceux-ci, sont quelques-uns des droits qui ont besoin d’être
changé, et il y en a bien d’autres.

N’oublions pas, le plus grand changement commence par
nous-même. Cette révolution commence dans notre cœur
et dans notre esprit, comme individuel.

Nous devons appliquer ces droits dans notre vie de chaque jour,
et nos actions parleront d’eux-mêmes !

1)  Le respect dans le couple
2)  L’auto-éducation de nos enfants
3)  Refuser un gouvernement qui encourage la guerre
4)  Vivre plus frugalement et arrêter le gaspillage
5)  Refuser cette attitude de « subir »
6)  La liberté vient avec un prix
7)  Défendre notre liberté religieuse et nos valeurs chrétiennes
8)  S’opposer à la laïcité
9)  S’opposer à une censure systématique de la vérité à travers
      la presse et l’information ; les mensonges des médias
10) Refuser des projets comme « Le pacte commercial transatlantique »
      qui permettra aux grandes entreprises américaines de submerger
      l’Europe de produits qui détruisent notre planète.
11) Refrénez-vous d’acheter toutes ces technologies modernes
12) vivez simplement !

      Patrick Etienne
11/05/2016 - 11:48

Coloriage
 
L’air doré baigne uniformément l’atmosphère brûlante qui asphyxie les ombres bleues des cèdres.
L’herbe même ploie dont la teinte s’ocre à la terre assoiffée dure comme l’acier indigo de l’enclume.
Au bout du chemin qui flamboie de schistes orangés entre les fossés inutiles,
Au bout du chemin où l’horizon culmine, le ciel livide est sec et vide d’où aucun son ne s’échappe.
Au bord du chemin l’auberge ‘’Eve pleure’’ retient les rires de buveurs du dimanche de crainte de voir la bière s’évaporer.
À la fenêtre aux bois peints de vert dont les vitres ont des reflets argentés qui scintillent,
À la fenêtre un visage oblong attend, dont les yeux d’ambre rêvent, que des cheveux d’ébène encadrent d’une orle,
Un visage au sourire carminé attend la fraîcheur du soir, la joie du
retour lorsque le jour bleuit enfin avant d’éclater de mille couleurs,

Avant que la nuit surgisse qui efface toutes choses sauf les myriades
d’étoiles qui brillent dans les yeux de celle qui attend...

 
  Malices