Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
03/06/2016 - 16:07
- Le dernier pas de vie


Le dernier pas de vie!

Nous savons que cela doit arriver,
et c’est sûrement l’ultime épreuve
de notre vie.
Nul n’y échappe, et peu importe la
place que nous avons occupé dans
cette vie et sur cette Terre, nous
devons tous traverser cette porte ;
la même porte pour tout le monde.
Mais c’est la façon de passer cette
porte qui fait une grande différence.
Maintenant, si vous êtes un athée,
ou bien un incroyant, cela  ne devrait
pas trop vous inquiéter ; après tout,
nous ne sommes que de la poussière
cosmique.
Pour un croyant, c’est un peu différent,
les choses changent, et nous avons une
responsabilité et besoin de rendre des
comptes à un esprit supérieur.
Alors, que nous soyons croyant ou pas,
nous devons traverser cette épreuve.
Voici un petit livret que j’ai trouvé fort
intéressant à lire et à méditer dessus.

Patrick Etienne
                            *************

De Grands hommes
et leurs Derniers Mots

« Les déclarations faites par les mourants
sont toujours dignes de confiance. Même
les menteurs font des aveux honnêtes à ce
moment-là. Les propos tenus sur leur lit de
mort nous en apprennent plus sur les gens
que tout ce qu’ils ont pu dire ou faire de
leur vivant. Quand confrontés avec la mort,
ils laissent tomber leur masque et se
montrent enfin tels qu’ils furent. Certains
ont reconnu qu’ils avaient vécu de façon
vaine et superficielle, d’autres qu’ils avaient
poursuivi une illusion, d’autres encore, qu’ils
 s’étaient laissés entraîner par une idée
trompeuse.»

Voltaire : Le célèbre écrivain satirique, eut
Une fin épouvantable. L’infirmière qui se
trouvait à son chevet déclara : « Pour tout l’or
du monde, je ne voudrais assister encore une
fois à l’agonie d’un incroyant. » Il implora le
pardon en criant toute la nuit.

David Hume qui était athée, cria :
« Je suis dans les flammes ! »
et son désespoir semblait terrible.

Henri Heine  qui fut un persifleur, fit plus
Tard pénitence et vers la fin de sa vie, écrivit
Le poème suivant :
«  La vieille lyre s’est rompue
    sur ce roc qu’on nomme Jésus !
    La lyre par le mauvais esprit inspirée
    chantait des fêtes damnées.
    Cette lyre, c’est pour la révolte qu’elle
    Résonnait,
    pour le doute, la moquerie  et la chute
    qu’elle chantait.
    Seigneur, Seigneur, pour ces chansons
    humblement j’implore ton pardon ! »

Napoléon, d’après le médecin qui se trouvait
près de lui, eut une fin effroyable. Il écrivit :
«  L’empereur meurt solitaire et abandonné. »

César Borgia, l’homme d’état : « Dans toutes
les circonstances de ma vie, j’ai été prévoyant
et j’ai toujours pris toutes les dispositions
nécessaires. Et voilà que maintenant je dois
mourir sans y être préparé. »

Talleyrand : « Je subis les tortures des damnés. »

Charles IX (roi de France) : « Je suis perdu, je
n’en doute pas. »

Mazarin : « Mon âme, qu’adviendra-t-il de toi ? »

Hobbes, philosophe anglais : « Je dois franchir ce
pas redoutable qui me conduit dans les ténèbres. »

Sir Thomas Scott, ancien président de la chambre
Haute anglaise ; « Jusqu’à présent, je ne croyais ni
en Dieu ni au Diable. Maintenant, je sais et je sens
qu’ils existent les deux et le jugement équitable du
Tout-Puissant me damnera pour l’éternité. »

Goethe : « De la lumière ! »

Nietzsche mourut dans la démence.

Lenine mourut dans un état d’aliénation mentale.
Il implorait ses meubles de lui accorder le pardon
de ses péchés. Les jeunes révolutionnaires
affirmeront certainement avec véhémence que
cela est faux. Il faut reconnaître  qu’il est
déplaisant de devoir  admettre que l’idole de
plusieurs millions d’hommes s’est reniée
elle-même et de cette façon.

Sinowjew, président de l’Internationale
Communiste a été fusillé par Staline. Il avait dit :
« Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est
L’unique Dieu. »

Churchill : « Quel fou ai-je été ! »

Jagoda, qui fut le chef de la police secrète russe :
« Il doit y avoir un Dieu, il me punit de mes péchés. »

Bouddha : « Je n’y suis pas arrivé. »

Jésus Christ : « Tout est achevé ! »

                                       **********
03/06/2016 - 07:46


2 – Le coup de téléphone

Laurita venait juste de rentrer chez elle un
court moment après sa visite chez moi
quand elle réalisa qu’elle avait besoin de
pain pour son dîner. Elle décida de
ressortir pour en acheter.

A peine qu’elle eut fermé la porte, elle
entendit le téléphone sonner. Elle ouvrit
la porte de nouveau pour aller répondre.

Au même moment, mon téléphone se mit
à sonner aussi. J’étais dans une autre pièce,
alors cela m’a pris un petit moment pour
venir répondre au téléphone.

Quand je me suis mis à dire « allô », Laurita,
elle aussi, à l’autre bout de la ligne, se mit
à dire la même chose.

Surprises toutes les deux, il s’écoula un petit
moment de silence avant qu’une de nous
deux sorte une parole, pour demander à
l’autre pourquoi elle appelait.

« Je ne t’ai pas appelé », lui dis-je. « Moi aussi »,
me répondit-elle. Alors je lui demandai où elle
était, et elle me répondit qu’elle était chez elle,
et que tout aller bien. Nous raccrochâmes, le
téléphone.

Au même moment, Laurita entendit un vacarme
venant de la rue, et alla voir ce qui se passait.
Arrivait à la porte d’entrée, elle s’aperçut qu’un
conducteur ivre venait de s’écraser dans sa voiture
juste parquée devant chez elle. Plusieurs personnes
blessées, étaient allongées aussi sur le trottoir.

L’accident arriva juste en même moment quand elle
décida de rentrer chez elle, pour répondre au coup
de téléphone.

Je n’ai pas appelé Laurita, elle ne m’a pas appelé
aussi, alors comment nos deux téléphones se sont mis
à sonner au même moment ? Qui a fait cet appel ?

Quiconque avait fait cet appel, l’avait sauvé d’un
horrible accident.

Pouvez-vous expliquer cela ? Je ne peux pas, je sais
que Laurita a été miraculeusement protégée.

Peu importe que l’explication soit rationnelle ou
technique qu’on peut offrir, je suis sûr que Dieu a
utilisé cet appel téléphonique pour la secourir.

Moi, j’appelle cela miraculeux, et vous, comment
appelez-vous cela ?

(Par Clara Dunnow)
02/06/2016 - 07:34

Le roman de ma vie...



 
 
                                                               




                                          



"Il n'y a rien de plus important en amour que d'accepter la fragilité de l'autre : c'est ce que j'appelle la douceur.
 
 

01/06/2016 - 14:06

 

Deux cerises

Sur chaque oreille

Enfance joyeuse

Sourires splendides

De l’innocence

Et

Marcher sur la terre

Tiède et noire

Où poussent les blés

Goût acidulé

Simplissime

Et

L’air qui siffle

Entre les roseaux

En douceur

Enchantement

Des cœurs

Et

Chanter la vie

Et les jours soleil

Entre les arbres

Goût acidulé

De l’innocence

Et

Deux cerises

Comme  tes yeux

Qui s’ouvrent

À la beauté du monde

éclatante

 Et

Les jours de joie

Aux heures riantes

Et toi et moi et nous

Souffle bonheur

De l’innocence

Et

À la nuit calme

Musique timide

S’endormir

Au sourire de sa mère

Dans l’innocence

Et

Deux cerises

Sur chaque oreille

Rêver

Simplement

Être heureux

Et

Vivre !

 

 (Malices)
01/06/2016 - 08:29
De quoi êtes-vous fait?



La sagesse ressemble à une magnifique
rose; il faut la tenir délicatement, sinon
les pétales tomberont à terre pour se
faner.  Patrick Etienne


1 - De quoi êtes-vous fait?

Une jeune femme alla visiter sa mère
et lui parla de tous ses malheurs.
La vie semblait dure pour elle, et elle
était dans un état désespéré.
A peine qu’un problème était passé,
qu’un autre survenait aussitôt.
Elle était à deux doigts de s’effondrer.

Sa mère l’emmena dans la cuisine et
Prit trois pots qu’elle remplit d’eau.
Dans le premier, elle mit une carotte,
dans le deuxième, un œuf, et dans le
troisième des grains de café.
Elle alluma la gazinière et mit les
trois pots à cuire, sans dire une
seule parole.

20 minutes plus tard, elle sortit la
carotte et la mit dans un bol, ainsi
que l’œuf qu’elle mit dans un autre
bol, et pour finir, elle passa le café
dans un filtre dans une tasse.
Se retournant vers sa fille, elle lui
dit : « Qu’est-ce que tu vois ? »

« Une carotte, un œuf, et du café »,
Lui répondit sa fille.

« Prends la carotte », lui dit sa mère.
Elle essaya d’attraper la carotte,
mais elle s’écrasa entre ses doigts.

« Maintenant, prend l’œuf » lui dit
sa mère, une nouvelle fois ». Sa fille
prit l’œuf et le pela. « C’est un œuf
dur », dit-elle à sa mère.

« Maintenant, prend la tasse de café
et boit là ! » Sa fille fit ce que sa mère
lui demanda, et après avoir bu la
première gorgée, elle s’exclama :
« C’est délicieux, quel arôme ! »

Intriguée, elle dit à sa mère :
« Pourquoi tous ces mystères
maman, qu’est-ce que tu
essais de me montrer ? »

« Le point, ma fille, c’est que
la carotte, l’œuf, et le café,
sont tous les trois passés à
travers la même épreuve ;
l’eau bouillante, mais chacun
a réagit d’une façon différente.

La carotte est devenue faible et
immangeable. L’œuf, lui par
contre qui était mou et fragile,
est devenu dur. Quant aux grains
de café, après l’épreuve, ils sont
devenu un délicieux breuvage ».

Alors la mère dit à sa fille :

« Quand les difficultés frappent
dans ta vie, comment réagis-tu,
es-tu une carotte, un œuf ou une
délicieuse tasse de café ?
De quoi es-tu faite ? »

(Une histoire vraie, réécrite par
Gabe Rucker)
01/06/2016 - 08:20

 
« Je clame…
Que la vie est indestructible, malgré la mort.
Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir.
Que l’autre est un frère avant d’être un ennemi.
Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde.
Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses.
Qu’il faut parler l’amour et non les mots de la tempête et du désordre.
Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour, et qu’elle est l’espoir. »
 
_____
Martin Gray
(écrivain franco-américain, 1922-2016)

 
01/06/2016 - 07:17
Le Hollandais volant (vidéo)


 
Les histoires de bateaux fantômes ont toujours tenu une place de choix dans
les grandes énigmes maritimes. L’une d’entre elles semble plus forte
que les autres. À la fois mythe, légende mais aussi marqueur historique
des grandes découvertes maritimes, nous allons vous conter la vie du
Hollandais volant, le fameux Flying Dutchman.


Ce capitaine de navire hollandais condamné à errer sur les mers jusqu’à la
fin des temps avec son vaisseau fantôme, un navire maudit qui inspirera
aussi bien Victor Hugo, que Richard Wagner ou les scénaristes de
Pirates des Caraïbes. C’est une histoire extraordinaire qui a traversé
les siècles, emblématique de tout un univers qui fascine et effraie à la
fois, celui de la mer.

Alors qui est réellement le Hollandais volant ? A-t-il existé ? Comment s’est construite sa légende ?



 
31/05/2016 - 14:04
                      Un Voeu!
 


Me promenant dans mon imagination
Je me suis mise à rêver
Que je rencontrais une fée
A qui j'ai demandé de m'accorder un voeu
"Fait un voeu, qu'elle me dit et je te l'exaucerai
Mais seulement un... je peux t'accorder".


Dans ma tête je me suis mise à penser
À ce que je devrais lui demander
L'amour, l'argent, l'amitié ?
La beauté, la gloire, la santé ?

Puis j'ai réalisé
Que l'amour, il suffit de chercher pour le trouver.
L'argent on peut en gagner.
L'amitié pour en avoir, il suffit d'en donner.
La beauté, ce n'est pas une nécessité.
La gloire, je peux très bien m'en passer.

Alors j'ai compris que le voeu vraiment important
C'est de la santé pour longtemps.

Comme voeu, j'ai donc demandé de la santé
Pour moi...
Pour toi...
Pour tous ceux qui en sont privés...



J'espère que mon vœu sera exaucé
Avec l'aide de Dieu et de ma gentille petite fée !


30/05/2016 - 12:33
  La gondole

Niche des amoureux transis
Elle vogue sur les flots
Sous les ponts et tonnelles
Qui hissent sur son parcours
Leurs armatures romantiques
Entre les murs de brique
Les jardinières de leurs
Souriante au soleil
Qui mire dans l’eau
Elles chavirent en voguant
Les amours des âmes
Bercer par la bise
Qui fredonne un air de fête
Au canal lacustre
Qui frisonne en vaguelette
Donnant la force
Au courant de faire valser
La barque des amants
Qui entichés, valse
Au gré des battements de leurs cœurs
Louvoyant entre les débarcadères
Elle cesse sa course
Près du lampadaire
Qui éclaire la route
Des tourtereaux enivrés
Par les effluves suaves
De l’ambiance qui embellit
Leurs passions naissantes…
La gondole….

@ Dominique Chouinard



30/05/2016 - 07:20
Le reniement de Darwin !

 
Le reniement de Darwin !

Charles Darwin reniant la théorie de l’évolution
sur son lit de mort, vérité ou fiction?

On raconte souvent que le père de la théorie de
l’Evolution, Charles Darwin, aurait à la fin de
sa vie renié sa théorie et accepté Jésus avant
de mourir. C’est du moins ce qu’un tract raconte,
s’appuyant sur le récit d’une certaine Mme Hope,
du 19e siècle.

Ce récit de la conversion de Darwin ne s’appuie
que sur le récit de cette dame dont aucun des
collègues, des membres de la famille et des amis
de Darwin ne semblent se souvenir. Tous affirment
que Darwin ne s’est pas converti et il ne subsiste
dans les écrits du savant aucune trace de cette
conversion et de ce reniement total de l’oeuvre
d’une vie.

Dans plusieurs ouvrages, des auteurs prétendent
même que Mme Hope n’a jamais existé. Dans son
livre The Darwin Legend, James Moore affirme
qu’il croit à l’existence d’une Mme Hope.
Dans une longue analyse de la vie et de la foi
de Darwin, le site Christian Answers rapporte
comment le scientifique, qui avait songé dans
sa jeunesse à devenir pasteur, avait
progressivement renié sa foi, pour en arriver
au « meurtre de Dieu », dont il proclamait
qu’il n’était pas le Créateur dont parlait la
Bible. « J’en suis venu », disait-il, « à ne
plus croire que le christianisme soit
d’inspiration divine ».

L’écrivain James Moore estime que Mme Hope a bel
et bien existé, et qu’elle a probablement rendu
visite à Charles Darwin entre le mercredi
28 septembre et le dimanche 2 octobre 1881,
presque certainement en l’absence de la famille
proche du savant, mais Emma, la femme de Charles
Darwin, était vraisemblablement présente. Moore
conclut la thèse de son livre "The Darwin Legend"
en décrivant Mme Hope comme « une narratrice douée
de talent, capable de rapporter de poignantes scènes
 et conversations tout en les enjolivant de
sentimentalisme spirituel ». Voilà qui devrait nous
inciter sinon à rejeter ce témoignage, du moins à
émettre les plus grandes réserves quant à son
utilisation.

(Sources: Christian Answers / James Moore /
Truth or Fiction)
 



Commentaire de Patrick:

Qui croire? Surtout qu’il y a personne pour le
confirmer, à part cette femme, Mme Hope ? Et si vous
comptez sur la famille pour dire la vérité, comme sa
femme, ne comptez pas dessus, il y a une réputation
et de l’argent en jeu !
Alors, chers détracteurs, pourquoi pas ? Avez-vous
la preuve absolue qu’il ne l’a pas fait ?
Devant un tribunal, votre cas ne tiendrait pas la
route. Il y a autant de raison de croire ou de ne pas
croire, n’est-ce pas ?
N’oublions pas que Darwin était un croyant dans sa
jeunesse,et qu’il s’est écarté de la foi, plus tard.
La fin de vie est une période cruciale dans la vie
d’un être humain,spécialement quand la maladie ronge
le corps. Quand vos forces vous abandonnent, et que
vous êtes allongé la plupart du temps sur le dos,
cela vous laisse beaucoup de temps
pour réfléchir et refléter votre vie passée.
Je pense c’est ce qu’a fait notre cher Darwin, et
pour moi, ce n’est pas étrange qu’il ait fait cette
confession de foi.
Mais ce qui est semé, est semé ! Les graines de sa
rébellion se sont dispersées et répandues aux quatre
coins de la Terre, détruisant des millions de vies
à travers ce mensonge !