Nous savons que cela doit arriver, et c’est sûrement l’ultime épreuve de notre vie. Nul n’y échappe, et peu importe la place que nous avons occupé dans cette vie et sur cette Terre, nous devons tous traverser cette porte ; la même porte pour tout le monde. Mais c’est la façon de passer cette porte qui fait une grande différence. Maintenant, si vous êtes un athée, ou bien un incroyant, cela ne devrait pas trop vous inquiéter ; après tout, nous ne sommes que de la poussière cosmique. Pour un croyant, c’est un peu différent, les choses changent, et nous avons une responsabilité et besoin de rendre des comptes à un esprit supérieur. Alors, que nous soyons croyant ou pas, nous devons traverser cette épreuve. Voici un petit livret que j’ai trouvé fort intéressant à lire et à méditer dessus.
Patrick Etienne *************
De Grands hommes et leurs Derniers Mots
« Les déclarations faites par les mourants sont toujours dignes de confiance. Même les menteurs font des aveux honnêtes à ce moment-là. Les propos tenus sur leur lit de mort nous en apprennent plus sur les gens que tout ce qu’ils ont pu dire ou faire de leur vivant. Quand confrontés avec la mort, ils laissent tomber leur masque et se montrent enfin tels qu’ils furent. Certains ont reconnu qu’ils avaient vécu de façon vaine et superficielle, d’autres qu’ils avaient poursuivi une illusion, d’autres encore, qu’ils s’étaient laissés entraîner par une idée trompeuse.»
Voltaire : Le célèbre écrivain satirique, eut Une fin épouvantable. L’infirmière qui se trouvait à son chevet déclara : « Pour tout l’or du monde, je ne voudrais assister encore une fois à l’agonie d’un incroyant. » Il implora le pardon en criant toute la nuit.
David Hume qui était athée, cria : « Je suis dans les flammes ! » et son désespoir semblait terrible.
Henri Heine qui fut un persifleur, fit plus Tard pénitence et vers la fin de sa vie, écrivit Le poème suivant : « La vieille lyre s’est rompue sur ce roc qu’on nomme Jésus ! La lyre par le mauvais esprit inspirée chantait des fêtes damnées. Cette lyre, c’est pour la révolte qu’elle Résonnait, pour le doute, la moquerie et la chute qu’elle chantait. Seigneur, Seigneur, pour ces chansons humblement j’implore ton pardon ! »
Napoléon, d’après le médecin qui se trouvait près de lui, eut une fin effroyable. Il écrivit : « L’empereur meurt solitaire et abandonné. »
César Borgia, l’homme d’état : « Dans toutes les circonstances de ma vie, j’ai été prévoyant et j’ai toujours pris toutes les dispositions nécessaires. Et voilà que maintenant je dois mourir sans y être préparé. »
Talleyrand : « Je subis les tortures des damnés. »
Charles IX (roi de France) : « Je suis perdu, je n’en doute pas. »
Mazarin : « Mon âme, qu’adviendra-t-il de toi ? »
Hobbes, philosophe anglais : « Je dois franchir ce pas redoutable qui me conduit dans les ténèbres. »
Sir Thomas Scott, ancien président de la chambre Haute anglaise ; « Jusqu’à présent, je ne croyais ni en Dieu ni au Diable. Maintenant, je sais et je sens qu’ils existent les deux et le jugement équitable du Tout-Puissant me damnera pour l’éternité. »
Goethe : « De la lumière ! »
Nietzsche mourut dans la démence.
Lenine mourut dans un état d’aliénation mentale. Il implorait ses meubles de lui accorder le pardon de ses péchés. Les jeunes révolutionnaires affirmeront certainement avec véhémence que cela est faux. Il faut reconnaître qu’il est déplaisant de devoir admettre que l’idole de plusieurs millions d’hommes s’est reniée elle-même et de cette façon.
Sinowjew, président de l’Internationale Communiste a été fusillé par Staline. Il avait dit : « Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est L’unique Dieu. »
Churchill : « Quel fou ai-je été ! »
Jagoda, qui fut le chef de la police secrète russe : « Il doit y avoir un Dieu, il me punit de mes péchés. »
Laurita venait juste de rentrer chez elle un court moment après sa visite chez moi quand elle réalisa qu’elle avait besoin de pain pour son dîner. Elle décida de ressortir pour en acheter.
A peine qu’elle eut fermé la porte, elle entendit le téléphone sonner. Elle ouvrit la porte de nouveau pour aller répondre.
Au même moment, mon téléphone se mit à sonner aussi. J’étais dans une autre pièce, alors cela m’a pris un petit moment pour venir répondre au téléphone.
Quand je me suis mis à dire « allô », Laurita, elle aussi, à l’autre bout de la ligne, se mit à dire la même chose.
Surprises toutes les deux, il s’écoula un petit moment de silence avant qu’une de nous deux sorte une parole, pour demander à l’autre pourquoi elle appelait.
« Je ne t’ai pas appelé », lui dis-je. « Moi aussi », me répondit-elle. Alors je lui demandai où elle était, et elle me répondit qu’elle était chez elle, et que tout aller bien. Nous raccrochâmes, le téléphone.
Au même moment, Laurita entendit un vacarme venant de la rue, et alla voir ce qui se passait. Arrivait à la porte d’entrée, elle s’aperçut qu’un conducteur ivre venait de s’écraser dans sa voiture juste parquée devant chez elle. Plusieurs personnes blessées, étaient allongées aussi sur le trottoir.
L’accident arriva juste en même moment quand elle décida de rentrer chez elle, pour répondre au coup de téléphone.
Je n’ai pas appelé Laurita, elle ne m’a pas appelé aussi, alors comment nos deux téléphones se sont mis à sonner au même moment ? Qui a fait cet appel ?
Quiconque avait fait cet appel, l’avait sauvé d’un horrible accident.
Pouvez-vous expliquer cela ? Je ne peux pas, je sais que Laurita a été miraculeusement protégée.
Peu importe que l’explication soit rationnelle ou technique qu’on peut offrir, je suis sûr que Dieu a utilisé cet appel téléphonique pour la secourir.
Moi, j’appelle cela miraculeux, et vous, comment appelez-vous cela ?
La sagesse ressemble à une magnifique rose; il faut la tenir délicatement, sinon les pétales tomberont à terre pour se faner. Patrick Etienne
1 - De quoi êtes-vous fait?
Une jeune femme alla visiter sa mère et lui parla de tous ses malheurs. La vie semblait dure pour elle, et elle était dans un état désespéré. A peine qu’un problème était passé, qu’un autre survenait aussitôt. Elle était à deux doigts de s’effondrer.
Sa mère l’emmena dans la cuisine et Prit trois pots qu’elle remplit d’eau. Dans le premier, elle mit une carotte, dans le deuxième, un œuf, et dans le troisième des grains de café. Elle alluma la gazinière et mit les trois pots à cuire, sans dire une seule parole.
20 minutes plus tard, elle sortit la carotte et la mit dans un bol, ainsi que l’œuf qu’elle mit dans un autre bol, et pour finir, elle passa le café dans un filtre dans une tasse. Se retournant vers sa fille, elle lui dit : « Qu’est-ce que tu vois ? »
« Une carotte, un œuf, et du café », Lui répondit sa fille.
« Prends la carotte », lui dit sa mère. Elle essaya d’attraper la carotte, mais elle s’écrasa entre ses doigts.
« Maintenant, prend l’œuf » lui dit sa mère, une nouvelle fois ». Sa fille prit l’œuf et le pela. « C’est un œuf dur », dit-elle à sa mère.
« Maintenant, prend la tasse de café et boit là ! » Sa fille fit ce que sa mère lui demanda, et après avoir bu la première gorgée, elle s’exclama : « C’est délicieux, quel arôme ! »
Intriguée, elle dit à sa mère : « Pourquoi tous ces mystères maman, qu’est-ce que tu essais de me montrer ? »
« Le point, ma fille, c’est que la carotte, l’œuf, et le café, sont tous les trois passés à travers la même épreuve ; l’eau bouillante, mais chacun a réagit d’une façon différente.
La carotte est devenue faible et immangeable. L’œuf, lui par contre qui était mou et fragile, est devenu dur. Quant aux grains de café, après l’épreuve, ils sont devenu un délicieux breuvage ».
Alors la mère dit à sa fille :
« Quand les difficultés frappent dans ta vie, comment réagis-tu, es-tu une carotte, un œuf ou une délicieuse tasse de café ? De quoi es-tu faite ? »
« Je clame… Que la vie est indestructible, malgré la mort. Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir. Que l’autre est un frère avant d’être un ennemi. Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde. Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses. Qu’il faut parler l’amour et non les mots de la tempête et du désordre. Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour, et qu’elle est l’espoir. » _____ Martin Gray (écrivain franco-américain, 1922-2016)
Les histoires de bateaux fantômes ont toujours tenu une place de choix dans les grandes énigmes maritimes. L’une d’entre elles semble plus forte que les autres. À la fois mythe, légende mais aussi marqueur historique des grandes découvertes maritimes, nous allons vous conter la vie du Hollandais volant, le fameux Flying Dutchman.
Ce capitaine de navire hollandais condamné à errer sur les mers jusqu’à la fin des temps avec son vaisseau fantôme, un navire maudit qui inspirera aussi bien Victor Hugo, que Richard Wagner ou les scénaristes de Pirates des Caraïbes. C’est une histoire extraordinaire qui a traversé les siècles, emblématique de tout un univers qui fascine et effraie à la fois, celui de la mer. Alors qui est réellement le Hollandais volant ? A-t-il existé ? Comment s’est construite sa légende ?
Me promenant dans mon imagination Je me suis mise à rêver Que je rencontrais une fée A qui j'ai demandé de m'accorder un voeu "Fait un voeu, qu'elle me dit et je te l'exaucerai Mais seulement un... je peux t'accorder".
Dans ma tête je me suis mise à penser À ce que je devrais lui demander L'amour, l'argent, l'amitié ? La beauté, la gloire, la santé ?
Puis j'ai réalisé Que l'amour, il suffit de chercher pour le trouver. L'argent on peut en gagner. L'amitié pour en avoir, il suffit d'en donner. La beauté, ce n'est pas une nécessité. La gloire, je peux très bien m'en passer.
Alors j'ai compris que le voeu vraiment important C'est de la santé pour longtemps.
Comme voeu, j'ai donc demandé de la santé Pour moi... Pour toi... Pour tous ceux qui en sont privés...
J'espère que mon vœu sera exaucé Avec l'aide de Dieu et de ma gentille petite fée !
Niche des amoureux transis Elle vogue sur les flots Sous les ponts et tonnelles Qui hissent sur son parcours Leurs armatures romantiques Entre les murs de brique Les jardinières de leurs Souriante au soleil Qui mire dans l’eau Elles chavirent en voguant Les amours des âmes Bercer par la bise Qui fredonne un air de fête Au canal lacustre Qui frisonne en vaguelette Donnant la force Au courant de faire valser La barque des amants Qui entichés, valse Au gré des battements de leurs cœurs Louvoyant entre les débarcadères Elle cesse sa course Près du lampadaire Qui éclaire la route Des tourtereaux enivrés Par les effluves suaves De l’ambiance qui embellit Leurs passions naissantes… La gondole…. @ Dominique Chouinard
Charles Darwin reniant la théorie de l’évolution sur son lit de mort, vérité ou fiction?
On raconte souvent que le père de la théorie de l’Evolution, Charles Darwin, aurait à la fin de sa vie renié sa théorie et accepté Jésus avant de mourir. C’est du moins ce qu’un tract raconte, s’appuyant sur le récit d’une certaine Mme Hope, du 19e siècle.
Ce récit de la conversion de Darwin ne s’appuie que sur le récit de cette dame dont aucun des collègues, des membres de la famille et des amis de Darwin ne semblent se souvenir. Tous affirment que Darwin ne s’est pas converti et il ne subsiste dans les écrits du savant aucune trace de cette conversion et de ce reniement total de l’oeuvre d’une vie.
Dans plusieurs ouvrages, des auteurs prétendent même que Mme Hope n’a jamais existé. Dans son livre The Darwin Legend, James Moore affirme qu’il croit à l’existence d’une Mme Hope. Dans une longue analyse de la vie et de la foi de Darwin, le site Christian Answers rapporte comment le scientifique, qui avait songé dans sa jeunesse à devenir pasteur, avait progressivement renié sa foi, pour en arriver au « meurtre de Dieu », dont il proclamait qu’il n’était pas le Créateur dont parlait la Bible. « J’en suis venu », disait-il, « à ne plus croire que le christianisme soit d’inspiration divine ».
L’écrivain James Moore estime que Mme Hope a bel et bien existé, et qu’elle a probablement rendu visite à Charles Darwin entre le mercredi 28 septembre et le dimanche 2 octobre 1881, presque certainement en l’absence de la famille proche du savant, mais Emma, la femme de Charles Darwin, était vraisemblablement présente. Moore conclut la thèse de son livre "The Darwin Legend" en décrivant Mme Hope comme « une narratrice douée de talent, capable de rapporter de poignantes scènes et conversations tout en les enjolivant de sentimentalisme spirituel ». Voilà qui devrait nous inciter sinon à rejeter ce témoignage, du moins à émettre les plus grandes réserves quant à son utilisation.
(Sources: Christian Answers / James Moore / Truth or Fiction)
Commentaire de Patrick:
Qui croire? Surtout qu’il y a personne pour le confirmer, à part cette femme, Mme Hope ? Et si vous comptez sur la famille pour dire la vérité, comme sa femme, ne comptez pas dessus, il y a une réputation et de l’argent en jeu ! Alors, chers détracteurs, pourquoi pas ? Avez-vous la preuve absolue qu’il ne l’a pas fait ? Devant un tribunal, votre cas ne tiendrait pas la route. Il y a autant de raison de croire ou de ne pas croire, n’est-ce pas ? N’oublions pas que Darwin était un croyant dans sa jeunesse,et qu’il s’est écarté de la foi, plus tard. La fin de vie est une période cruciale dans la vie d’un être humain,spécialement quand la maladie ronge le corps. Quand vos forces vous abandonnent, et que vous êtes allongé la plupart du temps sur le dos, cela vous laisse beaucoup de temps pour réfléchir et refléter votre vie passée. Je pense c’est ce qu’a fait notre cher Darwin, et pour moi, ce n’est pas étrange qu’il ait fait cette confession de foi. Mais ce qui est semé, est semé ! Les graines de sa rébellion se sont dispersées et répandues aux quatre coins de la Terre, détruisant des millions de vies à travers ce mensonge !
Le roman de ma vie...
Deux cerises
Sur chaque oreille
Enfance joyeuse
Sourires splendides
De l’innocence
Et
Marcher sur la terre
Tiède et noire
Où poussent les blés
Goût acidulé
Simplissime
Et
L’air qui siffle
Entre les roseaux
En douceur
Enchantement
Des cœurs
Et
Chanter la vie
Et les jours soleil
Entre les arbres
Goût acidulé
De l’innocence
Et
Deux cerises
Comme tes yeux
Qui s’ouvrent
À la beauté du monde
éclatante
Et
Les jours de joie
Aux heures riantes
Et toi et moi et nous
Souffle bonheur
De l’innocence
Et
À la nuit calme
Musique timide
S’endormir
Au sourire de sa mère
Dans l’innocence
Et
Deux cerises
Sur chaque oreille
Rêver
Simplement
Être heureux
Et
Vivre !
(Malices)
« Je clame…
Que la vie est indestructible, malgré la mort.
Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir.
Que l’autre est un frère avant d’être un ennemi.
Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde.
Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses.
Qu’il faut parler l’amour et non les mots de la tempête et du désordre.
Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour, et qu’elle est l’espoir. »
_____
Martin Gray
(écrivain franco-américain, 1922-2016)
Les histoires de bateaux fantômes ont toujours tenu une place de choix dans
les grandes énigmes maritimes. L’une d’entre elles semble plus forte
que les autres. À la fois mythe, légende mais aussi marqueur historique
des grandes découvertes maritimes, nous allons vous conter la vie du
Hollandais volant, le fameux Flying Dutchman.
Ce capitaine de navire hollandais condamné à errer sur les mers jusqu’à la
fin des temps avec son vaisseau fantôme, un navire maudit qui inspirera
aussi bien Victor Hugo, que Richard Wagner ou les scénaristes de
Pirates des Caraïbes. C’est une histoire extraordinaire qui a traversé
les siècles, emblématique de tout un univers qui fascine et effraie à la
fois, celui de la mer.
Alors qui est réellement le Hollandais volant ? A-t-il existé ? Comment s’est construite sa légende ?
Me promenant dans mon imagination
Je me suis mise à rêver
Que je rencontrais une fée
A qui j'ai demandé de m'accorder un voeu
"Fait un voeu, qu'elle me dit et je te l'exaucerai
Mais seulement un... je peux t'accorder".
Dans ma tête je me suis mise à penser
À ce que je devrais lui demander
L'amour, l'argent, l'amitié ?
La beauté, la gloire, la santé ?
Puis j'ai réalisé
Que l'amour, il suffit de chercher pour le trouver.
L'argent on peut en gagner.
L'amitié pour en avoir, il suffit d'en donner.
La beauté, ce n'est pas une nécessité.
La gloire, je peux très bien m'en passer.
Alors j'ai compris que le voeu vraiment important
C'est de la santé pour longtemps.
Comme voeu, j'ai donc demandé de la santé
Pour moi...
Pour toi...
Pour tous ceux qui en sont privés...
J'espère que mon vœu sera exaucé
Avec l'aide de Dieu et de ma gentille petite fée !
Niche des amoureux transis
Elle vogue sur les flots
Sous les ponts et tonnelles
Qui hissent sur son parcours
Leurs armatures romantiques
Entre les murs de brique
Les jardinières de leurs
Souriante au soleil
Qui mire dans l’eau
Elles chavirent en voguant
Les amours des âmes
Bercer par la bise
Qui fredonne un air de fête
Au canal lacustre
Qui frisonne en vaguelette
Donnant la force
Au courant de faire valser
La barque des amants
Qui entichés, valse
Au gré des battements de leurs cœurs
Louvoyant entre les débarcadères
Elle cesse sa course
Près du lampadaire
Qui éclaire la route
Des tourtereaux enivrés
Par les effluves suaves
De l’ambiance qui embellit
Leurs passions naissantes…
La gondole….
@ Dominique Chouinard