Sa plume excelle étincelle Les mots couchés sur le papier Sont choisis mûrement réfléchis
Ils nous emmenent nous entraînent Soit dans la peine l'espoir ou le rêve Coeur vagabond les poètes souvent le sont
Ce qui m'exaspère m'ulcère me contrarie Le peu de reconnaissance de ses écrits Avoir le génie de son esprit je vous dit je l'envie
Rimaillon je suis mais je compose pauvre petite chose Les poètes maudits ne sont plus en répit plus personne ne les proscrit Leurs vers leurs rimes apparaissent à présent sublimes nous laissant unanimes Esy Je dédie ce poème à mon ami, il se reconnaitra, poète érudit, dieu que j'envie ces écrits, je corresponds souvent avec lui pour lui donner des nouvelles !!!! je persiste et je signe. Maryse
Un magnifique vidéo en musique et en images et le poème de Mère Teresa!
La vie est une chance, saisis-la. La vie est beauté, admire-la. La vie est béatitude, savoure-la. La vie est un rêve, fais-en une réalité. La vie est un défi, fais-lui face. La vie est un devoir, accomplis-le. La vie est un jeu, joue-le. La vie est précieuse, prends-en soin. La vie est une richesse, conserve-la. La vie est amour, jouis-en. La vie est un mystère, perce-le. La vie est promesse, remplis-la. La vie est tristesse, surmonte-la. La vie est un hymne, chante-le. La vie est un combat, accepte-le. La vie est une tragédie, prends-là à bras le corps. La vie est une aventure, ose-la. La vie est bonheur, mérite-le. La vie est la vie, défends-la.
Sur la route j'en ai rencontré Des doux , des moches , des beaux Chacun ses goûts après tout Des gros pour se faire gronder Des courts , des longs Sans frontière ni couleur
A chaque fois Ils se sont croisés Cases blanches et noires Se sont mêlés Dans tous les sens Voires mélangés et même fléchés !
Toujours en quête D'un bel ou faux - ami Des traits pour l'union, des accents Pour leur donner du caractère Des points , des virgules Pour les aimer , les séparer
Des interrogations Posant maintes questions Des exclamations Exprimant l'émotion Une consonne pour elle ... Une voyelle pour lui ...
Parfois les mots "braillent" Pour les voir avec les doigts Aussi fendant l'air de gestes Les mains se font entendre Les maux et l' émo * Les mots , les mots croisés ...
Poème en alphabet Copyright@thierrypoetilbon Poésies IV
LE GOÛT DE VIVRE Comme, ma vie est stressante Je désire exister Par un beau matin Le temps était gris Un moment de tristesse m'envahit Pour qui, pourquoi Peut-être un trop- plein de chagrin Peut-être que je réalise que tous avons un destin Quel est le mien! Je n'en sais rien Je n'ai pu m'en empêcher Par un désir si empressé J'ai bien dû me résigner Un jour je me sentais abandonné J'ai bien peur d'avoir mal Oui je souffre, la solitude va m'atteindre Que ce feu s'éteigne,que je règne Par la force qui m'est donnée J'ai envie d'espérer Par la foi qui est en moi J'ai envie d'exister, j'ai envie de vivre Une seule pensée, je désire aimer Une seule pensée, je désire être aimé Pour apprécier cette journée triste Il faut que je résiste Pourquoi suis-je si triste ? La pluie est mes pleurs Demain, ce sera mon meilleur J'y verrai un peu de bonheur J'y aperçois au loin une lueur Quel bonheur Oui, le Bonheur est enfin chez moi Entre vite Bonheur Mes amis sont là , merci la vie @copyright Théma
Quand votre voisin n’aime pas vos amis, il a des préjugés ; quand vous n’aimez pas les siens, vous êtes un juge honnête de la nature humaine.
Quand il prend son temps pour faire les choses bien, il est tatillon ou paresseux ; quand vous le faites, vous êtes soigneux et prudent.
Quand il dépense beaucoup, il est extravagant ; quand vous le faites, vous êtes généreux.
Quand il est attentionné et doux avec quelqu’un, vous le jugez faible ; quand vous le faites, vous êtes gracieux.
Quand il dit ce qu’il pense, il est malveillant ; quand vous le faites, c’est de la franchise.
Quand il prend des risques en affaires, il est téméraire ou imprudent ; quand vous le faites, vous êtes un sage investisseur.
Quand il s’habille exceptionnellement bien, il fait l’intéressant ; quand vous le faites, c’est de l’élégance.
Quand il traite quelqu’un particulièrement bien, c’est un lèche botte ; quand vous le faites, vous êtes attentionné.
Quand il est immuable dans ses convictions, il est obstiné ; quand vous l’êtes, c’est de la détermination.
Quand il corrige ses enfants, vous le trouvez dur ; quand vous le faites, vous êtes un psychologue avisé.
(auteur inconnu)
************* Le vent qui souffle (Zig Ziglar)
L’un de mes amis, qui a visité le Centre Biosphère Deux ? un environnement artificiel habitable en Arizona?, me faisait une réflexion intéressante. Au cours de la visite, le guide a mentionné que les concepteurs avaient oublié de produire du vent dans la structure. Or l’absence de vent posait un réel problème pour les arbres: une fois qu’ils avaient atteint une certaine taille, ils se couchaient sous l’effet de leur propre poids. Car le vent, en faisant osciller les arbres, les oblige à développer leurs racines en largeur comme en profondeur.
Mon ami m’expliquait que cette constatation l’avait conduit à s’interroger sur le rôle important que jouent les « vents de l’adversité » dans notre développement personnel. Sans eux, nous ne pouvons devenir les hommes et les femmes robustes. Je partage entièrement ce point de vue. Les champions ne poussent pas sur des lits de rose. Tant d’hommes et de femmes dans l’histoire ont surmonté l’adversité pour atteindre de grands sommets!
Nous avons tous tendance à nous plaindre du temps qu’il fait lorsqu’il n’est pas au beau fixe : « Si seulement je pouvais faire pleuvoir, ou arrêter la pluie, si seulement je pouvais décider de la force du vent, régler la température extérieure etc. » La biosphère nous démontre que l’homme a de grandes chances « de passer à côté » d’un certain nombre de facteurs, et qu’il ignore certaines évidences. En l’occurrence, il avait oublié de faire souffler le vent dans les arbres pour que ces derniers puissent développer leurs racines.
LE POÈME DU LUNDI PAR CHARLES BAUDELAIRE TIRÉ DES FLEURS DU MAL
Titre : J'ai Plus De Souvenirs... Que Si J'avais Mille Ans... Poète : Charles Baudelaire (1821-1867)Recueil : Les fleurs du mal (1857). J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, De vers, de billets doux, de procès, de romances, Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, Cache moins de secrets que mon triste cerveau. C'est une pyramide, un immense caveau, Qui contient plus de morts que la fosse commune. - Je suis un cimetière abhorré de la lune, Où comme des remords se traînent de longs vers Qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers. Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, Où gît tout un fouillis de modes surannées, Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher, Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché.
Rien n'égale en longueur les boiteuses journées, Quand sous les lourds flocons des neigeuses années L'ennui, fruit de la morne incuriosité, Prend les proportions de l'immortalité. - Désormais tu n'es plus, ô matière vivante ! Qu'un granit entouré d'une vague épouvante, Assoupi dans le fond d'un Saharah brumeux ; Un vieux sphinx ignoré du monde insoucieux, Oublié sur la carte, et dont l'humeur farouche Ne chante qu'aux rayons du soleil qui se couche.
The rapt song Qu’est-ce qui ne Va pas people… Quand je regarde Autour de moi Quel mess il y a Paumés drogués Une bande de dudes Qui errent hagards Gouvernements qui S’en foutent Crise de paumés Pour engraisser L’élite choisit Hey dude J’ai faim ce soir Peux-tu économiser Quelques trognons Peut-être je peux Vendre mes organes Ou donner mon corps Sur le trottoir Ça roule en Belles bagnoles Pendant que d’autres Meurent noyés Dans une mare De pétrole sale Allons… Ne dérangeons pas Ils regardent leur Match de foot Tout cela ressemble A une émission De télé réalité Ne les réveillons Surtout pas… Ouvre mes yeux Que je puisse voir Mes oreilles que Je puisse entendre Mon esprit que Je puisse comprendre Mon cœur que Je puisse croire Ne me laisse pas là Ne m’abandonne pas Aide-moi à croire Le courage la volonté De me battre encore Encore une minute De plus dude Une minute Pour dire non Une minute Pour vivre ma vie Pour exister Patrick Etienne
Mes idées s'entremêlent et s'enchevêtrent Mes mots s'entassent s'amoncellent pêle-mêle Il pleut il vente il grêle flocons de neige Même la nature exècre revêche
A présent voici le brouillard Avec un ciel épais si bas si noir Je ne sais plus où poser mon regard en désespoir Mon coeur saigne cerné par un monstrueux cafard
Telle une bête enragée J'ai envie de mordre de griffer Dans quel monde suis-je transposée Tout est sinistre triste fantasmagorique
Je m'éveille enfin rouée brisée Emergeant de ce mauvais rêve ce cauchemar insensé Après une nuit brutale létale fort mouvementée Je renaîs à la vie dans une belle tendre volupté Esy
Il y a si longtemps Il y a si longtemps que vous êtes partis La fontaine têtue vous attend encore Son eau coule fraîche aux éclats du matin Qui s’y noient quand monte le soleil importun La brise légère qui vient rider son flot Caresse la plaine comme un regard d’amour Veut consoler nos yeux qui vous cherchent au loin Il y a si longtemps que vous êtes partis Sur les perches hautes le houblon va fleurir Une pluie très fluide mouille à peine la peau La vie est patience aux vapeurs des heures La fontaine têtue vous attend encore Un enfant chantonne quand naît l’aube claire L’air résonne au chant d’un rossignol caché L’églantier se mire au ruisselet timide Son eau coule fraîche aux éclats du matin Il y a si longtemps que vous êtes partis Les herbes ont poussé la route est effacée Il reste un visage tourné vers l’horizon Qui s’y noie quand monte le soleil importun
Hommage à une belle plume
Sa plume excelle étincelle
Les mots couchés sur le papier
Sont choisis mûrement réfléchis
Ils nous emmenent nous entraînent
Soit dans la peine l'espoir ou le rêve
Coeur vagabond les poètes souvent le sont
Ce qui m'exaspère m'ulcère me contrarie
Le peu de reconnaissance de ses écrits
Avoir le génie de son esprit je vous dit je l'envie
Rimaillon je suis mais je compose pauvre petite chose
Les poètes maudits ne sont plus en répit plus personne ne les proscrit
Leurs vers leurs rimes apparaissent à présent sublimes nous laissant unanimes
Esy
Je dédie ce poème à mon ami, il se reconnaitra, poète érudit, dieu que j'envie ces écrits, je corresponds souvent
avec lui pour lui donner des nouvelles !!!!
je persiste et je signe.
Maryse
et le poème de Mère Teresa!
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-là à bras le corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Sur la route j'en ai rencontré
Des doux , des moches , des beaux
Chacun ses goûts après tout
Des gros pour se faire gronder
Des courts , des longs
Sans frontière ni couleur
A chaque fois
Ils se sont croisés
Cases blanches et noires
Se sont mêlés
Dans tous les sens
Voires mélangés et même fléchés !
Toujours en quête
D'un bel ou faux - ami
Des traits pour l'union, des accents
Pour leur donner du caractère
Des points , des virgules
Pour les aimer , les séparer
Des interrogations
Posant maintes questions
Des exclamations
Exprimant l'émotion
Une consonne pour elle ...
Une voyelle pour lui ...
Parfois les mots "braillent"
Pour les voir avec les doigts
Aussi fendant l'air de gestes
Les mains se font entendre
Les maux et l' émo *
Les mots , les mots croisés ...
Poème en alphabet
Copyright@thierrypoetilbon
Poésies IV
LE GOÛT DE VIVRE
Comme, ma vie est stressante
Je désire exister
Par un beau matin
Le temps était gris
Un moment de tristesse m'envahit
Pour qui, pourquoi
Peut-être un trop- plein de chagrin
Peut-être que je réalise que tous avons un destin
Quel est le mien!
Je n'en sais rien
Je n'ai pu m'en empêcher
Par un désir si empressé
J'ai bien dû me résigner
Un jour je me sentais abandonné
J'ai bien peur d'avoir mal
Oui je souffre, la solitude va m'atteindre
Que ce feu s'éteigne,que je règne
Par la force qui m'est donnée
J'ai envie d'espérer
Par la foi qui est en moi
J'ai envie d'exister, j'ai envie de vivre
Une seule pensée, je désire aimer
Une seule pensée, je désire être aimé
Pour apprécier cette journée triste
Il faut que je résiste
Pourquoi suis-je si triste ?
La pluie est mes pleurs
Demain, ce sera mon meilleur
J'y verrai un peu de bonheur
J'y aperçois au loin une lueur
Quel bonheur
Oui, le Bonheur est enfin chez moi
Entre vite Bonheur
Mes amis sont là , merci la vie
@copyright Théma
Titre : J'ai Plus De Souvenirs...
Que Si J'avais Mille Ans...
Poète : Charles Baudelaire (1821-1867) Recueil : Les fleurs du mal (1857).
J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.
Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans,
De vers, de billets doux, de procès, de romances,
Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances,
Cache moins de secrets que mon triste cerveau.
C'est une pyramide, un immense caveau,
Qui contient plus de morts que la fosse commune.
- Je suis un cimetière abhorré de la lune,
Où comme des remords se traînent de longs vers
Qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers.
Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées,
Où gît tout un fouillis de modes surannées,
Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher,
Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché.
Rien n'égale en longueur les boiteuses journées,
Quand sous les lourds flocons des neigeuses années
L'ennui, fruit de la morne incuriosité,
Prend les proportions de l'immortalité.
- Désormais tu n'es plus, ô matière vivante !
Qu'un granit entouré d'une vague épouvante,
Assoupi dans le fond d'un Saharah brumeux ;
Un vieux sphinx ignoré du monde insoucieux,
Oublié sur la carte, et dont l'humeur farouche
Ne chante qu'aux rayons du soleil qui se couche.
Charles Baudelaire
Rêve ou réalité
Mes idées s'entremêlent et s'enchevêtrent
Mes mots s'entassent s'amoncellent pêle-mêle
Il pleut il vente il grêle flocons de neige
Même la nature exècre revêche
A présent voici le brouillard
Avec un ciel épais si bas si noir
Je ne sais plus où poser mon regard en désespoir
Mon coeur saigne cerné par un monstrueux cafard
Telle une bête enragée
J'ai envie de mordre de griffer
Dans quel monde suis-je transposée
Tout est sinistre triste fantasmagorique
Je m'éveille enfin rouée brisée
Emergeant de ce mauvais rêve ce cauchemar insensé
Après une nuit brutale létale fort mouvementée
Je renaîs à la vie dans une belle tendre volupté
Esy
Quand Je Partirai
Quand l'obscurité m'envahira,
et que je m'endormirai tout doucement
sur les ailes de ma vie...
Quand mon voyage sera terminé ici-bas,
et que je m'envolerai vers l'infini,
une seule chose de moi subsistera alors...
c'est toute l'immensité de mon amour
que je vous aurai laissée...
Dites-vous bien, que même si je suis absente,
dans le coeur de ceux que j'ai aimés...
je serai toujours présente...
C'est l'essence même de l'amour suprême,
les plus beaux souvenirs resteront toujours
une inépuisable source d'amour, un oasis de sérénité
où chacun pourra s'y reposer...
C'est l'espoir seul, qui réussit à libérer nos chaînes...
Le plus beau et le plus important des souvenirs,
est toujours le présent, et comme le bonheur est éphémère,
il nous laisse pour nous consoler...
des souvenirs qui peuvent subsister à jamais...
Oui, Maintenant j'ai Compris...
Que rien n'est plus merveilleux que le sourire d'un enfant...
et que prendre le temps d'écouter,
c'est semer dans son coeur des fleurs de sagesse,
que rien ne vaut l'instant présent...
car la vie est en perpétuel mouvement,
et que cet instant-là ne reviendra jamais.
Que rien n'est vraiment perdu,
il y a toujours une lueur d'espoir pour nous faire oublier
nos rêves déçus.. et que la paix et la sérénité ,
sont nos meilleurs alliés.
Oui, Maintenant j'ai Compris...
Qu'il faut avoir traverser une nuit d'orage ,
pour apprécier la beauté d'un matin paisible...
et que rien n'est plus apaisant,
que deux bras qui se referment autour de vous tendrement,
Que pour avoir le courage de se relever,
il faut accepter humblement d'être tombé...
Qu'il ne faut jamais se comparer à personne,
et toujours se rappeler qu'on est unique...
Qu'il est possible d'avoir des regrets toute sa vie,
pour des erreurs passées.
Qu'il y a de cachée à l'intérieur de moi,
une source inépuisable d'amour...
il me suffit de la chercher...
Oui, Maintenant j'ai Compris...
Que lorsque tu portes un enfant sur ton coeur,
tu participes par le fait même, à l'œuvre du Créateur...
Que l'amitié est un don très précieux, qui nous vient de Dieu.
Qu'il faut d'abord se pardonner à soi-même,
si on aspire à être pardonné...
Qu'il ne faut jamais laisser détruire ses rêves,
tôt ou tard, il peuvent devenir réalité..
Que peu importe les épreuves que j'ai eues à traverser,
elles m'ont toujours fait grandir...
Que de pouvoir écrire, est la plus belle thérapie qui soit,
pour faire un petit peu plus de place à l'intérieur de moi...
Qu'être votre maman et votre amie,
c'est la plus belle chose qui soit...
L'océan tout entier, ne serait pas assez grand,
pour contenir tout l'amour, que j'aurai toujours pour vous...
Oui, Maintenant j'ai Compris...
Que le simple fait de dire "Je t'aime" ...
est le plus doux des poèmes...
Je veux dédier ce texte, à mes trois enfants que j'aime de tout mon coeur, et à tous mes amis qui me sont
très précieux aussi.
© Claire De La Chevrotière
Mme Claire De La Chevrotière ,
1950-2016
Il y a si longtemps
Il y a si longtemps que vous êtes partis
La fontaine têtue vous attend encore
Son eau coule fraîche aux éclats du matin
Qui s’y noient quand monte le soleil importun
La brise légère qui vient rider son flot
Caresse la plaine comme un regard d’amour
Veut consoler nos yeux qui vous cherchent au loin
Il y a si longtemps que vous êtes partis
Sur les perches hautes le houblon va fleurir
Une pluie très fluide mouille à peine la peau
La vie est patience aux vapeurs des heures
La fontaine têtue vous attend encore
Un enfant chantonne quand naît l’aube claire
L’air résonne au chant d’un rossignol caché
L’églantier se mire au ruisselet timide
Son eau coule fraîche aux éclats du matin
Il y a si longtemps que vous êtes partis
Les herbes ont poussé la route est effacée
Il reste un visage tourné vers l’horizon
Qui s’y noie quand monte le soleil importun
Malices
30/03/2016